#Moïse Katumbi
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RDC : Félix Tshisekedi appelé à dialoguer avec Kabila, Katumbi, Nanga et à réorganiser les élections pour "sauver le pays"
La République démocratique du Congo est en crise. Les dernières élections organisées au pays, au lieu d’être une véritable voie de sortie, semblent plutôt avoir envenimé une situation qui était déjà volatile. Sur le plan politique, opposition et majorité sont constamment sur le ring, prêtes à se faire une raclée. Les adversaires de Félix Tshisekedi continuent toujours de l’accuser d’avoir…
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#composante Société civile#Coordonnateur Monsieur Corneille Nangaa#Corbeille Nanga#crise socio-politico-sécuritaire#Franck Diongo#Joseph Kabila#les Églises catholique#Moïse Katumbi#présidentielle de 2023
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RDC/Politique - Moïse Katumbi aux Congolais : « En dépit des intimidations, des menaces..., vous n'avez pas baissé les bras et vous avez milité avec détermination pour que la CENI et la Cour constitutionnelle travaillent dans le strict respect des lois »
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Katumbi et Bemba se battent ?
Media Congo a publié un article choc sur la question que nous avons repris ici, avec plusieurs autres liens du site-même. Vous trouverez plus encore sur le site de MédiaCongo. Politique Présidentielle 2023 : Moïse Katumbi répond sèchement aux accusations de Jean-Pierre Bemba Moïse Katumbi, candidat à la présidentielle de 2023, a sans passer par le dos de la cuillère, répondu aux accusations…
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RDC/ Haut-katanga/Affaire aérodrome de Mulonde : Justicia Asbl, IRDH et CJR dénoncent un alibi d'abus de pouvoir, extorsion, arrestation arbitraire et détention illégale
Le dossier de l’aérodrome de Mulonde réhabilité dans le Haut-Katanga par l’opposant Moïse Katumbi est évoqué par trois organisations non gouvernementales et membres de la société civile de la région du Katanga. Il s’agit de Justicia Asbl avec Timothée Mbuya Muselwa, l’Institut de recherche en droits humains (IRDH) de Hubert Tshiswaka Masoka et le Centre pour la justice et la réconciliation avec…
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Moïse Katumbi critique sévèrement la possible révision de la Constitution et dénonce la situation du pays
Lors d’une récente interview à l’occasion du 64ème anniversaire de l’indépendance de la RDC, Moïse Katumbi, président du parti de l’opposition Ensemble pour la République, s’est exprimé avec fermeté contre toute tentative de modifier la Constitution en République Démocratique du Congo. Selon lui, le véritable changement nécessaire réside dans l’amélioration des conditions de vie du peuple…
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la Première ministre vivement critiquée par l'opposition
Cheffe du premier gouvernement du second mandat de Félix Tshisekedi, Judith Suminwa Tuluka et son programme d’action suscitent des critiques acerbes de l’opposition. Des cadres de Lamuka de Martin Fayulu, du FCC de Joseph Kabila et d’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, se sont montrés particulièrement sceptiques quant à sa faisabilité. « Cela n’a été en fait qu’une présentation des…
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RDC : Moïse Katumbi empêché de quitter sa résidence, les raisons
L’opposant congolais Moïse Katumbi a été empêché de quitter sa résidence pendant quelques heures, ce lundi 8 janvier 2024. « Ce lundi 8 janvier, Moïse Katumbi, dont les avions ont déjà été cloués au sol par décision militaire, a vu sa résidence dans son village natal de Kashobwe (Haut-Katanga) cernée par les troupes du patron des services de renseignement, le général Christian Ndaywell »,…
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🇨🇩🔥 IRRÉGULARITÉS DU PROCESSUS ÉLECTORAL : “Ce fut un faux semblant d’élection qui a avili l’image du pays et délabré la démocratie congolaise” (Joseph Olengankoy)
🇨🇩IRRÉGULARITÉS DU PROCESSUS ÉLECTORAL🔥 Les résultats provisoires donnant lieu à la victoire de Félix Tshisekedi sont émaillés des critiques de tout genre, plusieurs acteurs politiques appellent à la résistance et l’application de l’article 64 de la constitution, en l’occurrence Martin Fayulu, Moïse Katumbi et le Fcc de Joseph KABILA qui ont demandé au peuple de se tenir près pour des actions de…
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DR Congo elections: Fayulu's supporters clash with police in Kinshasa
Police in the Democratic Republic of Congo have clashed with opposition supporters demanding that last week's presidential poll be annulled. Leading opposition candidates have denounced the election as a sham and have demanded a rerun. Several people were wounded as police fired tear gas and threw stones back at protesters in the capital, Kinshasa. The government banned the protest, saying it would not tolerate attempts to undermine the electoral process. Election officials have so far not said exactly how many polling stations opened or how many people voted in the 20 December election. About 44 million people were registered to vote at about 75,000 polling stations. With just over nine million ballots counted so far, President Felix Tshisekedi is in the lead with almost 80% of the vote as he seeks a second term. Football tycoon and mining magnate Moïse Katumbi is trailing him with about 16%. Former oil executive Martin Fayulu, who claims he was robbed of victory in the 2018 election, is in third place with about 4%. Mr Fayulu's supporters burnt tyres and clashed with police outside his campaign headquarters in Kinshasa. Police took up positions on key roads in the city and thwarted an attempted march to the headquarters of the electoral commission. Mr Fayulu said that 11 of his supporters were injured, while police reported two injuries on their side. The election was marred by logistical delays and administrative chaos, forcing voting to be extended to a second day in some parts of the country. The opposition has also accused the electoral commission of orchestrating fraud and ballot stuffing in order to pave the way for Mr Tshisekedi to be declared the winner. The commission has denied the allegations. DR Congo is roughly four times the size of France, but lacks basic infrastructure. Even some of its main cities are not linked by road. About two-thirds of the country's 100 million population live below the poverty line, earning $2.15 (£1.70) a day or less. Voters also chose parliamentary, provincial and municipal representatives, with about 100,000 candidates in total. The elections were not held in parts of the east because of insecurity. Dozens of armed groups have been competing to control parts of the region, home to much of the country's vast mineral wealth. This includes vast reserves of cobalt, a vital part of many lithium batteries, seen as essential to a future free of fossil fuels. Read the full article
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FELIX TSHISEKEDI DYNAMISE LA CAMPAGNE A LUBUMBASHI, TERRE DE MOÏSE KATUMBI
En République démocratique du Congo, la campagne électorale s’intensifie à l’approche du scrutin dans deux semaines. Le président sortant, Félix Tshisekedi, continue sa tournée dans le sud-ouest du pays. Mardi, il s’est rendu à Lubumbashi, dans le Haut Katanga, une province clé et également le bastion de l’opposant Moïse Katumbi. Dans un autre contexte, en République centrafricaine, la Cour…
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Campagne électorale au Congo : le camp présidentiel lancé dans une course au racisme et à l’homophobie pour discréditer son opposition.
L’Afrique est en pleine mutation. Les acteurs économiques principaux du continent comptent bien faire entendre leur voix dans le concert des nations dans les années à venir, et à raison : ils ont longtemps été les oubliés de l’ensemble des décisions mondiales, les parents pauvres, les exploités. Ce regain économique ne saurait pourtant masquer la persistance de vieilles habitudes difficilement compréhensibles, explicables, ou excusables.
Plusieurs candidats se disputent actuellement la présidence de la République Démocratique du Congo. Parmi eux, on retrouve notamment le Président sortant, Félix Tshisekedi, le célèbre homme d’affaires Israélo-Congolais Moïse Katumbi, et l’ancien prix nobel de la paix, Denis Mukwege. Chacun de ces candidats cultive une vision bien distincte de l’avenir de son pays, avec, il est vrai, un progressisme plus affiché dans l’opposition que du côté du Président sortant, qui cultive une image de « Congolais à l’ancienne ».
Cette dichotomie aurait pu en rester là si le camp du Président, sûr de sa victoire, ne s’était pas mis à mépriser ouvertement l’ensemble de ses adversaires sur des thématiques qui, en Europe, n’auraient jamais été tolérées par l’opinion publique mais qui, au Congo, ne semblent pas émouvoir grand monde. Ainsi, l’un des comptes TikTok qui vilipende les opposants au Président, n’hésite pas à annoncer le (faux) coming-out de Moïse Katumbi, à grands renforts d’images de gay prides occidentales et dans une rhétorique particulièrement dégradante à l’égard de la communauté LGBT. L’israélo-congolais est violemment attaqué pour son « occidentalisation », que certains de ses compatriotes voient comme une allégeance à la théorie du genre ou à on ne sait quel autre complot conservateur.
Katumbi « L’étranger »
Ce n’est pas la seule attaque en dessous de la ceinture que reçoit Moïse Katumbi depuis quelques jours. Le brillant businessman est également dépeint, dans des posts sur les réseaux X et Tiktok, comme un étranger, au prétexte que son ascendance ne soit pas totalement congolaise, et que sa femme soit Burundaise. Ainsi l’on voit fleurir des hashtags comme « #katumbietranger » et autres commentaires fleuris, d’un racisme exacerbé envers les non-congolais. Mais Moïse Katumbi n’est pas la seule victime de ces procédés d’un autre âge. Denis Mukwege, l’ancien prix nobel de la paix, lui aussi fort de nombreux contacts et soutiens occidentaux, n’échappe pas à la vindicte conservatrice. Ce dernier ayant été engagé publiquement à de nombreuses reprises pour la défense des homosexuels et des transgenres, il fait également l’objet d’une campagne de dénigrement pour ses prises de position progressistes.
La République Démocratique du Congo est le troisième pays le plus peuplé d’Afrique, l’une des plus importantes puissances économiques du continent. Comment l’opinion internationale peut-elle tolérer qu’une campagne puisse se passer dans ces conditions ? Pourquoi aucune enquête indépendante n’est menée, au nom de la protection des minorités ? Si les propos sont aussi libres sur internet, cela laisse imaginer l’état des libertés pour les LGBT et pour les étrangers dans le Congo dirigé par Félix Tshisekedi. Il est particulièrement clair, en tout état de cause, qu’au vu des agissements des proches du Président, seul un changement de gouvernance pourrait améliorer la condition des homosexuels et des étrangers au Congo, et permettrait de faire entrer ce pays dans la sphère des nations progressistes et tolérantes.
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RDC : Félix Tshisekedi appelé à dialoguer avec Kabila, Katumbi, Nanga et à réorganiser les élections pour "sauver le pays"
La République démocratique du Congo est en crise. Les dernières élections organisées au pays, au lieu d’être une véritable voie de sortie, semblent plutôt avoir envenimé une situation qui était déjà volatile. Sur le plan politique, opposition et majorité sont constamment sur le ring, prêtes à se faire une raclée. Les adversaires de Félix Tshisekedi continuent toujours de l’accuser d’avoir…
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#composante Société civile#Coordonnateur Monsieur Corneille Nangaa#Corbeille Nanga#crise socio-politico-sécuritaire#Franck Diongo#Joseph Kabila#les Églises catholique#Moïse Katumbi#présidentielle de 2023
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Katumbi gagnera-t-il ?
Apparemment oui ! La swahiliphonie, majoritaire, est avec lui, à ce qui commence à se voir dans les localités où il a annoncé son passage. Rare congolais capitaliste, les USA ne se tromperont probablement plus cette fois-ci et abandonneront probablement un soutient aux pro-soviétiques et pro-chinois que nous leur avons toujours désespéremment déconseillés ! Quant à la question de la congolité,…
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Lubumbashi- Opposition : Moïse Katumbi s'indigne selon lui l'aveuglement des dirigeants est criante,un vice-ministre a eu l'indécence d'annoncer deux morts. Il doit démissionner.
Les ne réactions cessent de tomber en République démocratique du Congo (RDC), au lendemain des tueries enregistrées à la plus grande prison du pays, la prison centrale de Makala à Kinshasa, de capitale la RDC, où les autorités qui ont tenté de minimiser premièrement la gravité des faits en annonçant deux morts, ont fini par rendre public le lourd bilan de la tentative d’évasion indiquant que 129…
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Le sénateur Salomon Kalonda, conseiller spécial de Moïse Katumbi, prône la paix et la prudence en RDC
Le sénateur Salomon Kalonda, qui occupe le poste de conseiller spécial de l’opposant Moïse Katumbi, a affirmé sa volonté de placer son mandat dans le cadre de la paix, de l’unité et de la réconciliation en République Démocratique du Congo. Dans un contexte marqué par des défis politiques et sociaux majeurs, Kalonda met en avant l’importance de ces valeurs fondamentales pour le bien-être et…
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RDC: Daniel SAFU désavoue Moïse KATUMBI et reconnaît le bien-fait de Félix TSHISEKEDI
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