#Mes meilleurs copains
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#Matchbook Romance#Mon copain m’a quitté après cinq ans#Il était mon meilleur ami quand il m’a ouvert le cœur#Tous les matins je me réveille et mon cœur se brise à nouveau
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Working for christmas is like going to bed at 19h, waking up at 4h and forgetting it's christmas.
But at least i got a nintendo switch teehee.
#et je me suis pétée le bide avec tous les trucs de la boulangerie#je veux bien y bosser si je peux manger gratos tbh#par contre j'ai bien mal aux jambes#et on m'a félicitée parce que j'ai fais du bon boulot à la vente hihihii#best gift ever#en plus la connasse qui couche avec le collègue marié et qui draguait le mien était pas là donc yeay belle journée#par contre les gens qui viennent acheter une buche pour 12 PERSONNES et qui râlent parce qu'il y en a plus#franchement#à quoi vous pensez#ptn mon copain a fait des mini burger foie gras#je pleure#le meilleur cadeau qu'on puisse me faire c'est vraiment de la bouffe jpp#gimme food and i'll give u my heart#voilà voilà je raconte ma vie#joyeux noël tout le monde#et passe un bon réveillon si qlq est tjr en train de lire mdr#<3
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FRENCH LOVE
( French is romantic, at least when you understand it. )
warning : fluff
note : I had to write in my native language at least once
word count : 683
Charles came to take a seat next to you, on the empty spot on the sofa. His eyes admired you with such a special and indescribable depth, that you couldn't describe what feeling he felt deep inside when he laid his eyes on you. “Have you finished your report?” His arm naturally came to rest on the edge of the sofa, moving closer to you, his fingers brushing the tip of your shoulder. “Yes, for today.” You try as best you can to hide your embarrassment by turning off your laptop.
“Viens ici, mon coeur” (come here, sweetheart) You didn't understand these words, only you quickly understood their meaning when Charles opened his arms wide so that you could snuggle into them. So with a light and beating heart, you settled comfortably into his comforting embrace. “Tu es tellement belle et ravissante comme ça” (you look so beautiful and lovely like that)
You didn't know what he was talking about, what words he was careful to use. After all, you don't understand the French language. But his perfect smile and bright eyes made you understand that it was probably something positive. So, you smiled at him in turn, although you didn't know the meaning of his sentence.
Several minutes, warm and peaceful, passed like this. His hand wandered quietly through your hair, plunging you a little deeper into a well deserved sleep. "J'aurai aimé prendre soin de toi ainsi... mais pas juste en tant que meilleur ami. En tant que copain" (I wish I could take care of you like that...but not just as your best friend. But as your boyfriend). His voice drummed strangely loud in your ears.
You sat up slightly so you could look at him, a questioning look fixed on your face. Your expression made him chuckle softly, and his fingers came up to sweep away a strand of hair. "Heureusement que tu ne comprends pas ce que je dis" (Luckily you don’t understand what I’m saying.). Your eyebrows suddenly furrowed, perplexed by how he always spoke in French when he was around you.
"What did you say ?". You could only blurt out these few words, a sign of your incomprehension of the language he used. A glint of sadness moved discreetly behind his pupils, before he drifted his gaze behind you. “I said… fortunately you don’t understand what I say when I speak French.”
You tilted your head slightly, confused. "Why ?". Your eyes begged him to answer you without you even realizing it. He looked away again, feeling insecure. “You will certainly never see me the same way again…” His sentence is only a slight sigh, which nevertheless managed to reach your ears.
Your hands were now intertwined with his, while he showed a saddened expression. “You will always be the most important person in my life, Charles.” His eyes searched yours, perhaps to find hope and courage there. "Even though I love you? Not like your best friend. I love you, I'm in love with you. So much in love that I'm losing my mind."
He pauses for a moment before continuing slowly. “I was trying to be obvious because French is a romantic language, but I think it failed.” He scratches the back of his neck embarrassed. “Completely failed, I was wondering when you were finally going to explain to me what those sentences meant.” A laugh escapes your throat as he looks at you tenderly, a smile on his lips.
“So, can you translate the sentences you said to me?” Your eyebrows raised curiously, while Charles' cheeks turned a pretty pink. He clears his throat loudly. "Oh uh.. I was just saying that you are incredibly beautiful, lovely, very intelligent and just... adorable." You couldn’t help but kiss the corner of his lips softly, your heart racing.
“So if you were to say that, I think I could get used to listening to you speak French.” Charles laughed softly, cupping your face, placing his sweetest kiss on your lips. "Je t'aime". These words now sounded obvious to you. “I love you too, Charles.”
#f1 imagine#f1 x reader#f1 fanfic#charles leclerc x reader#charles leclerc x you#charles leclerc fluff#charles leclerc imagine#cl16 x reader
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
#article copié en entier car réservé aux abonnés#rien ne me surprend dans cet article mais ça m'attriste...#racism#upthebaguette#whatthefrance#french side of tumblr#french#en français#maghreb#mena#arabe#islam#muslims
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Toc toc toc… Hé oh, je sais que tu me vois ! Ne fais pas comme si je n’étais pas là. C’est moi, Lundi ! Je sais que je n’ai pas toujours le beau rôle. Mais je vais te présenter des copains qui te plairont. D’abord, Mr Café, ensuite, Mr Ptit Dej, ils sont gourmands et ils te donneront la pêche, tu verras. Tiens, voilà aussi Madame Onsedépêche (elle est un peu stressante celle-là. Surtout, ignore Miss Réunion et Mr Patron, il sont barbants. Et là, c’est ma bande de copains : mardi, mercredi, jeudi et mon meilleur copain, vendredi ! Allez, viens avec moi, on va vivre une folle semaine ensemble !
Sur ces Toc Toc Toc de Mr lundi, je nous souhaite de vivre une folle semaine comme il nous l'a promis !
Soyez heureux et prenez soin de vous ! 🙏🫶
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Salut Lounès ! Voyons tes réactions à ces quelques citations… taquines !
Première citation :
Je suis de ces auteurs qu’ont du souffle, du répondant, du biscoto. J’emmerde le genre entier humain à cause de mon répondant terrible, de ma paire de burnes fantastiques (et bordel de dieu je le prouve !). Je jute, je conclus, je triomphe, je trempe la page de plein génie… De vous à moi, entre copains, c’est ce qu’on me pardonne pas du tout, à la ronde, ce qu’on me pardonnera jamais, jamais, la façon que je termine, que j’achève les entreprises, que je vais au pied comme une reine, à tous les coups. Ils voudraient bien me faire mourir, mes émules, même mes petits élèves, par chagrins, par méchants propos, me faire périr sous les morsures d’une foison de cancrelats, sous les venins d’une pullulation atroce d’aspics effroyablement voyous, martyrivores. Mais ma peau de vache me protège, jusqu’ici j’ai réchappé. Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres (1938)
Lounès Darbois : Eh oui ! Dans une confrontation, se coucher excite rarement la pitié de l’adversaire mais plutôt son sadisme. Les cruels sont souvent des lâches et vice-versa. C’est pourquoi il faut être « terrible et fantastique » pour durer et endurer. J’ai une photo de Raymond Poulidor grimpant une côte. Tout est résumé dans l’expression de son visage, le genre qui ne plaisante pas, sourd à la douleur, tendu vers son idéal. Parfois je la regarde.
Deuxième citation :
(…) il ne s’agit plus de comprendre et d’aider son prochain mais de le fasciner et de l’enculer. Philippe de Vulpillières, L’homme tue et la femme rend fou (2017)
Lounès Darbois : Brutal mais exact vu les mœurs actuelles ! La fascination, la « possession » sont des caractéristiques du diable. Tendance fatale quand on veut bien croire à tout sauf au bon sens ! Auteur au parcours intéressant soit dit en passant.
Troisième citation :
Les hommes sont devenus avides, mesquins, menteurs, […] ils ont perdu la foi et le sens du vrai, il n’y a plus de rois, il n’y a plus de bonheur. Ils chercheront la mort sans la trouver ; ils désireront mourir, mais la mort les fuira. Roman von Ungern-Sternberg cité par Léonid Youzéfovitch, Le Baron Ungern (2001)
Lounès Darbois : Terrible lorsqu’on sait le destin de cet homme. Lui et sa troupe se battaient à 1 contre 100 dans la steppe, dans une guerre sans espoir. La chanson sur les Russes blancs finit bien par « et leur agonie cruelle, la honte de l’Occident ».
Quatrième citation :
La vie de l’homme oscille, comme un pendule, entre la douleur et l’ennui. Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation (1819)
Lounès Darbois : Qu’est-ce qui est le plus agaçant : est-ce le poison de la philosophie du soupçon que Schopenhauer et Nietzsche, en suivant les pas de La Rochefoucauld, ont répandu sur les meilleures générations d’Européens qu’ils avaient au contraire pour mission de galvaniser ? Ou est-ce la complaisance dans la déprime où aiment se morfondre les jeunes Blancs intelligents pour justifier leur inertie ? Difficile à dire ! Enfin tout cela mérite une bonne douche froide et deux jours de diète. Il y a plus de sagesse dans la vie sans parole de François d’Assises que dans les 10 000 pages de l’oncle Arthur et j’ai le droit de le dire car je les ai toutes lues ! Flaubert plus laconique disait à Maupassant : « Méfiez vous de la tristesse, c’est un vice. »
Cinquième citation :
Ainsi devient raciste celui qui ne veut pas voir son pays envahi par l’étranger, réactionnaire celui qui regrette le temps passé, révisionniste celui qui n’adhère pas à la doxa nationale, fondamentaliste celui qui se réclame de la religion de ses pères. Jean de Pingon, préface à Laurent Gruaz, Et si la Savoie redevenait indépendante ? Projet pour un état souverain, catholique et royal (2020)
Lounès Darbois : La xénophobie que l’on essaie toujours de faire passer pour une agression active est un réflexe de défense à une agression. Au plan des instincts, elle procède de la pulsion de vie ; au plan politique elle est une résistance à la colonisation ; au plan moral elle est morale ; et au plan chrétien… elle est justifiée par la parabole du bon Samaritain : seul l’étranger qui vous sauve est votre prochain, pas les étrangers en général.
Sixième citation :
Ah la sale gueule des honnêtes gens… Pierre-Antoine Cousteau, pensées et aphorismes (2021)
Lounès Darbois : Se vérifie souvent chez des gens très fiers d’avoir étudié en école de commerce.
Septième citation :
La conversation d’une femme : 95 % de reproches. Paul Morand, Journal inutile (1968-1972 et 1973-1976)
Lounès Darbois : Vrai sauf… sauf si vous l’« honorez », comme on disait jadis. Alors elle vous fiche la paix.
Huitième citation :
À vingt ans on a déjà plus que du passé. Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932)
Lounès Darbois : Avez-vous déjà eu cette impression malgré tous les voyages que vous avez entrepris, malgré toutes les réalisations que vous avez accomplies, que tout pendant l’enfance et l’adolescence étaient encore plus intense, plus beau, plus spontané, en somme plus vrai ? Il me semble que la vraie vie, c’est l’enfance, et que le reste est accessoire.
Retrouvez Lounès Darbois chez Kontre Kulture
#Paul Morand#Schopenhauer#Arthur Schopenhauer#Roman Ungern-Sternberg#Louis-Ferdinand Céline#Pierre-Antoine Cousteau#Philippe de Vulpillières
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hier j’ai rejoint youcef tout beau dans son jean de cowboy en fin d’après-midi pour qu’on aille faire mon cadeau d’anniversaire à savoir mes deux piercing tant attendus autant par lui que par moi!! le salon dans lequel il avait pris rendez-vous n’a pas pu nous prendre car le perceur était en vacances finalement donc on a eu peur on était trop déçus mais on nous a proposé d’aller dans un autre qui s’appelait joli cœur (comme moi il a dit) et la perceuse était trop mimi, j’ai saigné mais dans la bonne humeur et c’est trop trop beau donc je suis trop contente depuis… et une fois sortis du perceur je pensais qu’on prenait juste notre temps pour boire un peu et se balader avant le match mais en allant sur les quais il a commencé à me raconter une histoire sans fin en me regardant bien dans les yeux pour que je ne puisse regarder nulle part ailleurs puisque juste devant nous mes meilleurs copains m’attendaient ce que je n’avais pas vu venir après il faut dire que j’étais encore un peu toute étourdie des piercing bref il a organisé tout ça et on a passé une trop cool soirée, il avait acheté un gâteau absolument délicieux que personne sauf lui et moi n’a su apprécier car ils ont tous des mauvais palais, on a gagné le match donc je me sens vengée des portugais et tout le monde m’a offert des cadeaux trop mimis donc je suis remplie d’amour, il avait bien raison quand il m’a promis que je passerai un meilleur anniversaire que la semaine dernière
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La dernière fois que mon cousin est venu, on a parlé des relations amoureuses. Lui n'a jamais sauté le pas et n'en a jamais vu le côté complexant. Je l'admire pour ça. Mais je sais que s'il ne souffre pas de ça c'est bien parce qu'il n'y accorde pas d'intérêt. On ne souffre que par le biais des choses qui comptent. Il me disait que tang qu'il aurait des amis, alors il n'aurait jamais besoin d'un couple. Je lui avais dit que c'était différent un ami et un partenaire sans trop y avoir réfléchi en amont. Il m'avait répondu que pour lui, la seule différence c'était l'aspect sexuel. Qu'un amoureux était un ami avec qui tu fais du sexe. Qu'en réalité, on partage la même chose entre vrai ami et amoureux, sauf l'intimité, le désir, le sexe, l'amour sexuel. Lui conçoit justement l'amour sans le sexe d'où le rapprochement presque évident entre ami et amoureux. Cependant, sans mauvaise foi, je dois avouer qu'il a un peu raison quand j'y réfléchis. La plupart des gens l'admettent sans l'admettre, ils disent "c'est à la fois mon copain, mon meilleur ami ect", c'est bien que le lien est là. J'avoue aimer la sexualité dans le relationnel mais au fond, je me suis quasiment toujours mieux entendu avec des amis que des amants parce qu'avec un ami tu n'as pas peur, tu n'as pas de réelles failles, tu n'as pas d'exclusivité. Enfin, si, certaines personnes ont tout ça mais là je parle à titre personnel. Finalement, il a conclu que la meilleure relation qu'il pourrait avoir c'est avec un.e bon.ne ami.e avec qui confessions et moments seraient fluides, où la tromperie n'existerait pas, les complexes non plus, et qu'il y aurait toujours un moyen de resserrer les liens, qu'une amitié était rarement entièrement perdue à contrario d'un amour. Ça m'avait fait réfléchir. C'est une belle vision des choses je trouve.
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Pour parler d'autre chose... ''Et si on parlait d'autre chose ?''
Un week-end récent, par curiosité et par ennui (les dimanches sont un peu longs, parfois, aux veufs non-encore habitués à la solitude), je feuilletais les pages des bouquins faits de chacune des années regroupant les ''billets'' de ce blog (à raison d'un Tome par année, ça en fait, du volume et des volumes !). Une chose m'a frappé : le nombre de ''billets'' qui parlaient de Syrie, dans les années 2013/2015...
La Syrie fut longtemps un pays que j'ai beaucoup fréquenté et beaucoup aimé. J'y retournais fréquemment, ''par gourmandise'', si l'on peut dire, comme au Liban voisin, mon cher Liban, presque une ''autre patrie''. La vie est ainsi faite –ou est-ce nous qui l'avons détournée de sa vocation ?-- qu'elle nous donne souvent l'impression de se présenter à nous sous la forme étonnante de pages qui se tournent et qui doivent être oubliées. Il en va ainsi des amis qui ont disparu : un être vraiment très cher laisse dans votre mémoire une empreinte ineffaçable, tandis qu'un ami (mais alors : en est-ce un ?) plus ''superficiel'' (''copains'' de promo, fréquentations de travail, anciens voisins, relations de voyage ou de vacances) va se ranger presque naturellement dans les cases d'un pré-oubli, en chemin vers l'effacement total : le temps qui passe crée de grands vides sombres dans les carnets d'adresses, dans les noms sur les photos, et dans les souvenirs...
La Syrie, donc, et le Liban aussi, nous l'avons dit. Mais il y a tant d'autres pays merveilleux, où on se promet de revenir... sans concrétiser jamais cette envie d'un moment. Dans mon Panthéon (puisque la panthéonisation est une idée fixe de notre président), il y a le Maroc de mon enfance, ce petit coin de ''mon éternité'', qui ne disparaîtra qu'avec moi. Mais il y a aussi la Grèce, ce jardin béni de mes premières extases artistiques où, été après été, je retournais retrouver tout ce qui ne se trouve que là, dans ces deux mondes si différents que sont la Grèce continentale et les îles... et retrouver, surtout, la langue grecque, magique, ''mère'' de toutes nos langues, belle, riche, précise, à en être intraduisible...
Et puis, bien sûr, il y a l'Italie, qui a fasciné les jeunes français, génération après génération, depuis ''nos ancêtres les gaulois'', colonisés mais comme ensorcelés –et comme c'était intelligent !-- par leur colonisateur, au point d'abandonner leur civilisation celte pour devenir des ''gallo-romains''... jusqu'à nos romantiques transportés dans leurs rêves de beauté et plus récemment, à certains hommes politiques contemporains (mais pas meilleurs pour autant), qui, au lieu d'étaler sans talent leurs fantasmes pornographiques (n'est-ce pas, Bruno Le Maire ? Avec tes 1800 opuscules péniblement vendus, arrête donc d'écrire : tu ne seras jamais Chateaubriand !), avouent une ''Tentation de Venise''... comme Juppé qui, pour une fois honnête, expliquait que cette escapade lui permettait de mesurer les limites et les insuffisances de sa propre vie … ce que nous avions fait longtemps avant lui. Sans compter que chacun de nous cache un petit ''coin'' secret, à lui tout seul, dont Rimbaud disait : ''Je sais que je serais mieux ailleurs... Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs''.
Depuis une dizaine d'années, un mal puissant s'est imposé à moi et s'est mis à créer des ravages dans l'exercice de ma mémoire : je ne retrouve plus la France... Vous rendez-vous compte de ce que cela veut dire pour l'ancien (lire ici : ''le très ancien''!) enfant de la guerre --je parle de celle de 39-45-- qui avait appris de ses bons maîtres, eux-mêmes gazés et multi-blessés de la précédente (celle de 14-18) que la France (on disait, d'une voix qui avait vite fait de devenir frémissante : ''la Patrie'' !) était une personne de chair et de sang qu'il fallait aimer plus que tout... Sic transit gloria mundi...
Car la savoir défaite, envahie, humiliée, occupée... la rendait encore plus ''désirable'' à nos huit ou dix ans : elle avait besoin de nous, et nous n'avions donc pas le droit de la décevoir ! En ces temps, de nos jours prétendus démodés par ceux qui ne les ont pas connus et n'en savent rien que les quelques éléments négatifs disponibles, ceux que la sale ''propaganda'' de gauche a retenus puisqu'ils étaient ''à charge'', la vérité ne se résumait pas à tricher sur les chiffres et à mentir sur leurs causes –ce à quoi elle ressemble de plus en plus, aujourd'hui-- mais était (n'était que ?) la recherche des devoirs qu'imposait celui de profiter du peu qui nous était laissé... C'était dur ? Non : c'était beau !
Comme les ravageuses et débilitantes méthodes faussement dites ''pédagogiques'' n'avaient pas encore été con-coctées (le choix du tiret est mûrement réfléchi) par les ''pédagos'' criminels qui ont fait du ministère de l'instruction publique (nom qu'il faut reprendre au plus vite) une redoutable machine à décérébrer, à désinformer, à déconstruire et... à déconner, le ''par cœur'' avait conservé le poids qu'il mérite (NDLR : je n'ai jamais compris pourquoi le fait qu'internet permette l'accès à une information plus rapidement que nos anciens dictionnaires... forcerait à ne plus entretenir ce merveilleux outil qu'est notre mémoire, au moment où la ''muscu'' semble chère à notre ''le plus jeune président etc...'' qui s'exhibe en photo, ''photoshoppé'' avec les biceps de Rambo ! NDLR-bis : tout de même.... 'faut oser ! De cette ''gonflette'' de très mauvais goût à sa dissolution au pire moment, il n'en aura pas raté une !). Toujours est-il que le fait de chercher ''ma France'' sans plus être capable d'en retrouver la moindre trace, est vécu, par moi, comme un drame, que j'ai conscience de partager avec nombre d'amis (de ma tranche d'âge, notamment).
Il n'a pas fait beau, aujourd'hui... Cela joue-t-il un rôle dans la nostalgie qui m'étreint, ce soir ? Je me sens apte à rejoindre tous les vieillards de tous les temps, pour murmurer, comme eux... mais sans être entendu (car il est très mal vu de dire la vérité, dans notre pays où la Liberté n'est plus qu'un slogan sans contenu, mais répété ''ad nauseam''), que... ''C'était mieux, avant !'' : les franches horreurs dont la Gauche-en-folie et ''extrême'' en tout nous menace, en cet instant précis, ne semblent pas de nature à me donner envie de changer ce slogan ou de m'écarter de son sens prophétique...
H-Cl.
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Coucou alors le peuple veut savoir : des informations sur l'histoire d'Aura (qui est-elle ? comment est-elle apparue ?), et sur ton idée en cours (quelles inspirations etc.) ?
Coucou ! :D Merci beaucoup pour les questions ! Et oui ! Des questions sur Aura ! Merci beaucoup !
(L'évolution du design d'Aura dans le temps, du plus vieux à l'actuel de gauche à droite, même si à la base, il y avait "que" 3 bandes de feuilles pour les habits de la plus vieille mais bon, je dessinais pas très bien à l'époque ^^')
Aura :
Alors, pour Aura, comme j'en ai déjà parlé, c'est mon plus vieux personnage et celle que j'utilise pour me représenter moi-même. En fait, de base, je l'avais créé avec des amis à l'école primaire (vers le CE2 de mémoire) : on regardait toutes les Winx alors, une amie qui aimait beaucoup écrire / dessiner avait imaginé qu'on vivait des aventures proches des leurs en combattant Lord Valtor, et chacune d'entre nous venait d'une planète différente. Elle m'avait attribué Pluton et un pouvoir du feu (j'ai jamais su pourquoi le feu sur le coup, mais je suppose que c'était parce que j'avais plus de reflets roux et la seule du groupe avec des taches de rousseur à l'époque) et là, j'avais choisi mon surnom, soit Aura, même si j'avais pas vraiment d'apparence différente, juste que j'étais la plus petite car je venais de Pluton qui est une petite planète contrairement à elle qui venait de Mars et Vénus.
C'est plus je me suis réapproprié son personnage qu'elle a pris sa forme actuelle et j'ai commencé à la dessiner à peu près au même moment où je me suis mis à dessiner. Cette fois, elle était toujours une plutonienne avec des pouvoirs de feu (mais aussi télékinétique pour déplacer des objets de taille normal tout en faisant la taille d'une poupée Barbie) mais, elle rejoignait d'autres enfants du reste du système solaire pour combattre le Soleil Noir (c'est surement de là que vient le fait que le soleil est souvent l'astre des méchants, là où la nuit est le moment propice à la magie et où les personnages se sentent bien) pour défendre le bon royaume de la Lune dirigé par Queen Serenity (oui, j'ai beaucoup bouffé des animes des années 80-90 quand j'étais petites, surtout Sailor Moon et Sakura Chasseuse de Cartes alors, des personnages de ses histoires revenaient souvent) et Aura partait sur Terre pour veiller à ce que le Soleil Noir ne corrompe pas les humains. C'est aussi là qu'elle a gagné sa queue de cheval haute sur le côté, qui va de plus en plus ressembler à une flamme au fil du temps, et ses ailes qui apparaissent et disparaissent aléatoirement vu que soit elle vole, soit elle flotte dans les airs étant donné qu'elle reste toujours toute petite (elle restait même souvent sur les épaules de ses amis, surtout son meilleur ami de Jupiter qui est immense).
(si, si, je jure, la queue de cheval est censé être à gauche ! ^^' Et ça, c'est le design plus travaillé, je ne suis pas arrivé à retrouver mes vieux vieux carnets avec son design original plus simple)
Ensuite, au fil de l'adolescence, elle restait en mission sur Terre mais, ça alternait entre "elle est là pour étudier les humains qui sont l'espèce la plus en retard du système solaire afin de les aider" et "elle est là pour étudier pour ensuite voter si les humains doivent continuer à exister ou pas vu qu'ils détruisent leur planète et veulent aller coloniser d'autres planètes une fois qu'ils auront pété la leur" (oui, le collège a été une période compliquée alors, j'aimais pas vraiment les autres humains, et j'avais pas encore le recul pour me dire que bon, la civilisation avancée qui vient aider les sauvages terriens, c'était pas une très bonne idée).
(j'avais un truc avec les horloges et les grosses mécaniques à l'époque du lycée... ça devait être quand les copains m'avaient poussé à aller sur Wattpad...)
A la fin du lycée où elle se calme aussi en même temps que moi niveau "je déteste les humains, je veux me barrer de cette planète", elle gagne un nouveau look avec un aspect plus steampunk vu que j'avais un gros délire sur les rouages et les design ultra complexe à ce moment-là qui remplace ses habits en feuilles. Elle a même gagné un frère "double" venant de Charon, le satellite de la planète Pluton (vu que les deux s'influencent beaucoup dans leur rotation et tournent de tandem, j'avais imaginé que dès que quelqu'un naissait sur Pluton / Charon, une autre personne naissait aussi sur l'autre planète et que les deux avaient un lien télépathique qui les unissaient comme des frères et soeurs) qui était spécialisé en géographie pendant qu'Aura préférait l'histoire. J'avais même l'idée de faire un manuel d'histoire romaine avec eux deux, où Aura se baladerait à Rome et dans l'Empire pour dire ce qu'elle voyait, avec son frère qui donnant des infos sur les environnements.
(Aura à gauche et en paysage, son frère Spirit à droite et en portrait, j'avais imaginé son design comme étant celui d'Aura mais en inversé [queue de cheval basse et à droite, un serre-tête à gauche au lieu d'un chapeau à droite, un tour de cou avec un pendentif en flamme plutôt qu'un pendant plus lâche des boutons droits au lieu de travers...)
A présent, même si je me sers d'elle plus comme d'une représentation de moi-même vu qu'on a vraiment grandi ensemble toutes les deux, elle a encore une petite histoire à elle pour le moment. C'est toujours une plutonienne qui vit sur Terre mais, comme journaliste avec son frère qui sert d'agent de liaison, et ses meilleurs amis viennent chacun d'une planète différente. Pour sa personnalité, c'est une personne assez vive et énergique, qui va facilement vers les autres et se fait plein d'amis (trait qu'elle a gardé de ma période adolescente, j'aurais adoré être bien moins timide et bizarre [j'arrivais pas à me plier à ce que je trouvais stupide comme le fameux "il faut souffrir {et geler} pour être belle"] à l'époque ^^'), très curieuse qui va fouiner n'importe où pour trouver des informations et se renseigner sur la Terre et maintenant, elle assume bien plus ses côtés plus étranges. Elle a aussi encore changé de look pour une apparence plus simple avec une veste, un haut croisé et son collier en forme de flamme que j'utilise à présent pour la représenter (beaucoup plus simple pour en faire des chibis qu'avec son design ultra détaillé ^^') même si je peux toujours la faire avec ses habits steampunk vu que j'aime toujours cette tenue ^^
C'est vraiment un perso que j'adore dessiner alors, elle évolue beaucoup et elle risque de faire d'autres apparitions sur ce blog ! :D
Idée en cours (et faut vraiment que je lui trouve un titre ^^') :
Pour cette idée, je me suis pas mal basée sur ce que j'avais déjà fait avec ma version de la famille Fraldarius mais, sans la contrainte du canon pour faire mon propre truc sans cet encombrant boulet au pied. Ma famille principale est principalement mes Fraldarius mais, où ils survivent tous jusqu'à la fin sans avoir besoin de les faire disparaitre par nécessité de coller au scénario du jeu (l'équivalent de Guillaume, Aliénor et Félicia survivent par exemple) avec une autre histoire qui se concentre plus sur leur ascension vu qu'ils sont de la toute petite noblesse cette fois mais, qu'ils montraient en grade petit à petit, même si l'aspect fantastique deviendrait de plus en plus important au fur et à mesure de l'histoire, notamment lors de la partie de la 2e génération (notamment avec le destin de Caemgen et la naissance de son petit dernier Dil, qui est né d'une vivante et d'un mort vu que son père a échappé de très peu à ça après avoir pâmé la discussion avec la faucheuse un moment alors, c'est plus ou moins une aberration car c'est pas censé arriver de naitre d'un ou d'une mort.e). Les origines aussi de cet univers seraient également vraiment imprégnés de magie qui aurait encore des retombés sur le présent, notamment parce qu'elle s'est imprégnée dans les environnements et influencent des régions entière.
Dans la première partie, même s'il y a de la magie, on se concentrait surtout sur Gwilim et Siofra Fontanges qui bâtissent petit à petit leur fortune et leur nom, tout en restant les rois de la débrouille et en n'hésitant pas trop avant de donner un coup de main à leurs sujets dans le but d'éviter les impôts, eux-mêmes étant opposés à pas mal de mesures du souverain, même s'il y aurait surement un équivalent à Ludovic étant donné qu'il finirait par aider un bon souverain à monter sur le trône, ce qui permettrait aussi de valider officiellement leur ascension. Pour les inspirations, ça irait surement beaucoup chercher dans l'histoire de France, mais aussi dans celle de mon coin en particulier. J'aimerais bien casé un équivalent à la Salle Héraldique, une très grande salle où tout le plafond est recouvert de blasons représentant les alliés des comtes du Forez, qui a été soit construite pour un mariage, soit pour l'émancipation d'un des comtes (si vous passer dans le coin, allez la voir, c'est magnifique !), peut-être pour quand Gwilim et Siofra marquent leur ascension pour montrer leur puissance avec une salle similaire. Un autre truc serait que pas mal de monastères fortifiés. Le Forez, c'est une zone frontalière avec des terres d'Empire (genre Lyon qu'on déteste depuis des générations) alors, y a pas mal de places fortes et fortifié tout le long de la frontières (je veux dire, ça c'est Saint-Romain-le-Puy, la tête de l'église qui est au sommet d'un piton rocheux avec une bonne enceinte, même si lui, c'est particulier, y a aussi un château avec -et là aussi, si vous êtes dans le coin, allez-y). ça pourrait être une bonne base pour la ville des Fontanges qui pourrait être perché en hauteur comme ça.
Mais pour la deuxième partie où on suit leurs enfants, là, on tournerait plus vers du fantastique où j'aimerais bien m'inspirer des contes français, et encore une fois foréziens comme les contes des quenouillères (oui, grande région où on faisait de la dentelle en hiver pour compléter ses revenus). J'aime beaucoup les contes de fées et les légendes alors, j'aimerais arriver à retranscrire leur ambiance, notamment avec les personnages encore humains qui ne comprennent pas ce qui se passe et reçoivent une punition karmique après avoir mal agi et continuer à mal agir en connaissance de cause.
J'aimerais bien caser une punition ressemblant au conte "L'Auvergnat" par exemple, où un homme particulièrement radin fait tomber son poisson (pourri car il a acheté le moins cher), ramasse à la place un gros crapaud qu'il mange mais, l'influence maléfique du crapaud (animal très lié au diable vu que plusieurs d'entre eux sont au mieux urticants, au pire toxiques - par pitié, n'en toucher jamais à mains nues, mettez des gants épais si vous devez en manipuler !) le rend complètement fou et vivre un véritable enfer avant de se faire brûler lui-même, où ce serait Dil qui - en pensant faire une farce à quelqu'un qui a mal parlé à son papa - met un crapaud dans le sac de cette personne en l'ayant chargé de sa magie.
Enfin, pour les origines de cet univers, ce serait aussi pas mal inspiré de mes Braves mais, sans devoir tous les faire mourir dans d'affreuses souffrances à la fin et qui ont un avenir un peu moins noir bouché foutu pour tout le monde en attendant que les persos du jeu viennent les sauver. ça partirait en cacahuète à un moment ou un autre pour que la suite de l'histoire arrive dans cet univers mais, ça me permettrait de faire une histoire qui se déroule pendant l'Antiquité, qui est ma période historique préférée.
En fait, le truc avec cette histoire, c'est que j'aimerai finir celles que j'ai en cours, même si c'est de la fanfic (notamment mon billet sur Pyrkaïa, une "petite" histoire tournant autour des lions de saphir qui trouve une pierre de résurrection, et j'aimerais aussi écrire une petite histoire sur Halloween, que ce soit en reprenant mon histoire de chasse fantastique de l'année dernière ou autour du fait que plusieurs personnages soient contrôlés mentalement sur AG avec tous les sacrifices qu'il faut faire pour les libérer) alors, je n'ai pas encore commencé à l'écrire. Au moins, ça fera bien mijoter l'idée avant de le mettre sur papier et ça me permettra de me décider si j'écris l'histoire de la famille Fontanges en premier ou l'origine de cet univers afin d'avoir un monde bien solide... enfin on verra bien !
#écriture de curieuse#dame ladyniniane#jeu de questions#merci beaucoup pour les questions !#j'étais vraiment contente de pouvoir parler d'Aura !#Et j'espère que l'idée en cours -qui aura un titre un jour ^^'- te plait !#Il y aura au moins une personne qui fera de la pub pour que vous alliez dans le Forez et ce sera moi ! C'est super comme coin !#Et on est pas envahi ni par les touristes ni par les Lyonnais c'est pas mal ! Et c'est pas cher ! Vous verrez c'est super ! XD#y a pas mal de site à visiter sur le lien avec Saint-Romain-le-Puy et la Diana vous montrera tout ce qu'il y a à faire !
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Je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai demandé à mon mari de parler à notre fils au sujet de ses études. Notre fils va avoir 18 ans, il n'a jamais rien fait par lui même mais il souhaite poursuivre ses études à Lyon, soit à 8h de voiture de chez nous. Pas parce que l'école est la meilleure pour lui mais parce qu'il a des copains de jeux en ligne qui vivent là bas. ça donne déjà une idée de la maturité de mon fils ! Vouloir vivre dans une ville simplement parce que des copains de jeux en ligne, qu'il n'a jamais rencontré de sa vie y vivent, c'est un peu léger comme motivation ! Comme s'ils allaient faire autre chose que jouer sur leur pc chacun chez soi ! bref.. Je demande à mon mari de lui parler lors de leur soirée entre homme de samedi à venir. Sauf qu'il lui en a parler sans prendre de gants, à la sortie du lycée, ce midi. Les deux sont des capricornes, pas les rois du dialogue posé, ni de la patience. Mon fils est rentré à la maison remonté comme une pendule et son père, pareil ! Mais qu'est ce qui m'a prit de demander un peu d'aide à mon mari ? Pourquoi ai-je oublier que s'il y a bien une personne avec qui on ne peut pas discuter, c'est lui ! Moi, ça fait presque 10 ans que j'ai arrêté. On ne parle que de chose sans importance, de la vie courante, mais jamais des problèmes de fond. Par exemple, nous n'avons jamais discuté du pourquoi de l'arrêt de notre vie sexuelle, ni du fait que moi j'ai très envie d'aller voir ailleurs si l'occasion se présente. Nous n'avons jamais parlé de mes manques de tendresse dû à l'absence de câlins, bisous, et de signe d'affection autre que les choses qu'il achète au quotidien pour me faire plaisir et dont j'ai parlé dans un autre post. Je n'en parle pas parce que chaque fois que j'ai essayé d'avoir une discussion de couple avec lui, il s'est énervé, il a claqué la porte et il a fait la gueule plusieurs jours d'affilés. J'ai finis par me résigner voyant que cela ne servait à rien. On ne se dispute plus jamais, on a pas de motif ! Les sujets qui fâchent sont purement et simplement bannit de notre vie. L'éducation de mon fils, les choix d'orientation, les dossiers scolaires, c'est moi depuis toujours. Et je vais devoir gérer parcours sup et toute la suite, j'en ai bien peur. Si vous saviez comme je rêve d'une oreille attentive, d'un partenaire à la hauteur de mes exigences qui ne sont pourtant pas si élevées que ça. Mais je crois qu'on en est tous là, après plusieurs années en couple. L'autre n'est plus qu'une désillusion permanente avec qui il faut composer malgré tout.
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28 juin 2024
En ce moment, j’ai du mal à me livrer comme je le faisais avant sur ce blog, car j’essaye d’anticiper un maximum les réactions des gens pour ne froisser personne. Du coup, je me sens moins sincère et je me retrouve à mentir à des gens que j’aime sur ce que je ressens et ce qu’il se passe dans ma vie.
Il n’y a pas longtemps, je pensais encore que j’avais des sentiments pour mon ex, mais depuis quelque temps, j’essaye d’ouvrir mon cœur aux autres. Avant, je n’arrivais à me sentir belle et aimée qu’à travers ses yeux, mais depuis la rupture, j’ai rencontré des gens formidables qui m’ont fait - d’une manière ou d’une autre - me sentir aimée. C’est compliqué de comprendre que d’autres personnes peuvent être intéressées par moi quand on m’a fait me sentir insuffisante pendant plusieurs mois, pas digne d’amour. J’ai encore du mal aujourd’hui à accepter de me laisser tomber amoureuse ou tout simplement me laisser porter par les événements et les rencontres sans regretter le moindre geste ambigu comme si je le trompais, mais j’ai décidé de ne plus attendre. À quoi bon attendre quelqu’un qui ne veut pas être aimé ? À quoi bon essayer de maintenir quelqu’un dans sa vie alors qu’il veut partir ?
Bref, ces derniers mois, j’ai reçu des « je t’aime » et des déclarations en tout genre, amicales ou amoureuses, et ça m’a fait du bien même si certaines m’ont étouffée plus qu’autre chose. J’ai l’impression que grâce à ça, j’ai pu prendre du recul sur mon ancienne relation.
Je trouve que ça reste quand même très fatigant toutes ces histoires, surtout quand on ne les cherche pas. En ce moment, je crois que j’ai surtout besoin d’amis plus que d’amours, mais je ne ferme plus la porte à cette idée.
Je n’irais pas jusqu’à dire que je suis guérie, que mon cœur est réparé car non, j’ai des moments de faiblesse où je pleure encore je ne sais trop quoi, mais j’aime à penser que ça me rend juste plus humaine que d’autres. Je ne regrette pas d’avoir aimé et d’aimer encore. Ça ne devrait pas être une honte d’être ou d’avoir été amoureuse, peu importe la fin. J’aime aussi penser que si un jour ça doit arriver, on se retrouvera et, inversement, que si ça n’arrive pas, c’est que ce n’était pas une bonne personne pour moi tout simplement. Je suis en paix avec moi-même. J’ai tout fait de mon côté, tout ce qu’il décide ne me regarde plus et s’il décide que je ne lui conviens plus, soit.
Ce soir, je vais à un repas avec des copains, demain soir j’ai une rave party avec un copain et son groupe de copains (bon là ce n’est pas la meilleure idée, je l’avoue, ça m’angoisse un peu notamment car il est intéressé par moi, selon les rumeurs, mais qui vivra verra) et dans quelques jours, je pars avec un très bon copain à la mer.
Je retiens de tout ça que je ne me suis jamais sentie aussi vivante que dernièrement. Je n’ai jamais fait autant d’expériences que ces derniers mois et d’une certaine manière, il m’a offert une nouvelle mentalité et c’est très bien comme ça. En revanche, je refuse de perdre foi en l’amour et je sais que la vie me réserve encore plein de surprises.
La phrase du renard dans Le Petit Prince : « C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante » prend tout son sens maintenant. Bientôt, je trouverai une autre rose et je la rendrai unique, tout comme je l’avais rendu unique.
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mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser !
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre.
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut être ?
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
2/2 suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé… je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé en une énorme onde de plaisir, après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup, je venais de jouir pour la première fois de ma vie.
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
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Je voudrais que quelqu’un rentre dans ma vie et là renverse de part en part, qu’elle fasse trembler les meubles, voler les assiettes, que les draps se tordent comme des voiliers en pleine tempête. Je voudrais qu’on soit deux et puis toute seule en même temps, qu’on fasse équipe pour tout, partout, tout le temps que les gens parlent de nous en disant :
« Eux », « Eux.. la », les indissociables, les amoureux, les relous qui passent leurs temps a se dire « je t’aime » avec les yeux. Je voudrais qu’ont passe nos nuits à faire l’amour et nos journées à se raconter nos soirées, je voudrais qu’on le fasse dehors, au cinéma, dans l’ascenseur. Je voudrais connaître sa peau par cœur, qu’il soit la carte et le voyage, qu’il soit le ciel puis le paysage.
Je voudrais qu’on se disent « pour toujours » et que « pour toujours veuille dire jusqu’à la fin », qu’il n’existe plus d’horaires, ni de fuseaux, que la seule horloge qui compte soit celle qui palpite sous nos os et que si même un jour ça crée une sacrée putain de triste histoire, on se sépare, qu’on soit foutrement heureux d’avoir vécu l’éternité à deux.
Je voudrais que le temps s’arrête, je veux m’endormir avec lui dans mes bras et me réveiller dans les siens. Je veux qu’on rie de tout de rien et qu’à chaque fou rire, je retombe amoureuse.
Je veux qu’on se pardonne les erreurs, les maladresses et les faux pas, qu’on dise « Peu importe ce que tu feras, je sais que tu le feras pour moi pour me retrouver » pour me saisir, me réveiller, pour me crier « Je t’aime », « J’ai peur », « Tu me manques », pour ne pas se perdre. » Même si il arrive parfois que pour ne pas se perdre il faille s’égarer.
Je voudrais qu’on fasse nos courses comme des enfants puis qu’on finissent par commander, qu’on danse des slows dans le salon, qu’il me marche sur les pieds, je voudrais que les voisins ralent à grands coups de manche à balais, je veux qu’on ai nos classiques, nos blagues privées, nos musiques, des trucs qui rendent jaloux tous les potes en soirées. Je voudrais qu’on soit se couple insupportable qui s’embrasse dans la rue puis dans le métro et même les escaliers.
Je voudrais qu’on se regarde dormir, passer des heures a l’effleurer a lui dire qu’il est beau.
Je voudrais qu’il m’attende à la gare parce que c’est triste une gare sans lui.
Je voudrais qu’on passe notre temps à se murmurer des choses, comme si c’étaient des secrets, comme si ça nous appartenait, comme si le monde ne le savait pas.
Je voudrais qu’il me tienne par le bras quand on s’en va marcher et que rien que ça suffise à me faire mouiller, qu’on parle de tout, que l’on se connaisse par cœur, que son histoire je l’aime comme on aime un roman, je veux qu’à chaque fois que je le vois je me dise… « Putain.. Je pourrais mourir. J’ai tout vécu. Vraiment. »
Je voudrais qu’il m’inspire, qu’il soit ma muse et mon modele, je voudrais qu’il soit dans toutes les phrases ou j’emploie « il » et qu’à chaque foutu poème je ne fasse que bégayer sa beauté. Je voudrais qu’on s’aime, qu’un jour on ai des gamins qui nous ressemblent. Parce que les enfants, c’est de l’amour qui ne se sépare pas, c’est de l’amour après l’amour. C’est tout. Les enfants c’est l’union réussie de deux corps qui échouent.
Je voudrais qu’il soit mon mari, mon copain, mon mec, mon amoureux, mon meilleur ami, mon partenaire, mon complice, mon âme sœur, ma raison, mon relecteur aussi, ma rose, mon armure. Je voudrais qu’il soit ma maison et je voudrais être tout ça pour lui aussi. Puis même séparé que ça sonne toujours un peu vrai. Que si un jour on se croise dans la rue, redevenus deux inconnus, on puisse se dire dans un sourire muet : « J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois, mais j’ai aimé. »
.Félix Radu~
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ptn.
Je me rends compte à quel point j'ai de la chance quand même. I feel blessed.
Un copain adorable qui se plie en 4 pour me rendre heureuse, un nouvel appartement avec un grand jardin qu'on aurait jamais pu trouver sans les amis/proprios qu'on a, un bébé chien absolument adorable, une meilleure amie qui est ma soulmate d'écriture et qui m'a soutenue contre vents et marées pendant 5 ans, un projet d'écriture qui avance vite et bien, les problèmes administratifs qui disparaissent, mes études qui avancent nickel, des expériences pro incroyables et de nouvelles amitiés qui naissent.
Comme quoi parfois faut juste avoir confiance dans la vie et garder espoir même quand t'es au fond du trou.
#OUI JE RACONTE BCP MA VIE AUJOURDHUI#franchement la moi ado aurait jamais pu croire ce qu'il m'arrive mdr#entre perdre une amie très proche et les problèmes familiaux + la santé mentale#ces 2 dernières années ont été COMPLIQUEES#BUT. HERE. WE. ARE.#never been happier
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là on a 17 ans et on fête l'anniversaire de ma meilleure amie pendant cette soirée on a cru que deux personnes allaient se suicider en sautant par dessus la fenêtre une de mes amies est partie en pleurant car elle nous avait demandé de l'embrasser ce qu'on avait fait avec plaisir alors qu'elle avait un copain et une autre avait fini par s'enfuir pieds nus de la soirée en courant à travers toute la ville après avoir volé une place de concert de ma meilleure amie (je crois que là on avait retrouvé la place et l'amie aux pieds nus)
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