#Marc Pichette
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Wet weather pushes New Brunswick wharf, restaurant opening back
There were more construction workers than visitors on the Pointe-du-Chêne Wharf Friday, but a few curious people did pop by for a look.
The wharf was supposed to officially open for the season, but the rain and cool temperatures pushed that back until Saturday at 9 a.m.
The gates were open though and anyone who wanted to swing by for a visit could do so free of charge, but there definitely wasn't anybody jumping off the wharf into the Shediac Bay.
Pointe-du-Chêne Harbour Authority general manager Victor Cormier said this is the first time in the 13 years he’s been working at the wharf it has not opened by the Victoria Day long weekend.
“Thanks to Fiona. She gave us a left hook that we didn't see coming, I guess,” said Cormier.
Post-tropical storm Fiona caused around $3 million in damages, about a third of that to the entrance road to the wharf.
While the wharf is ready to receive visitors, the repair work isn't quite done yet.
“The public will have access to 90 per cent of the wharf anyway, so it's not going to interfere with the main wharf, but we want to make sure that the construction site is fenced off properly and safe,” said Cormier.
Those who did come for a look were happy with what they saw.
Jim Whelan thought things looked great.
“The road coming in has got to be at least three times as wide as what it was. I mean, it's got to be the number one tourist destination,” said Whelan. “I’m amazed with the work they’ve done in the period of time they’ve done it.”
Around 250,000 visitors come to the Pointe-du-Chêne Wharf every year no matter what the weather is like.
Jacques Pichette and his wife brought their lunch on Friday.
“It's just the nature. Just watching the nice waves that are out there today. It's a little chilly, it's windy, but it's still nice to be here. It warms up the heart,” said Pichette.
Marc Cormier lives across the bay and often comes for a visit.
“It’s a nice place to relax and watch the sunset. It’s a place to meet friends and talk to anyone you want,” said Cormier.
Pichette said it’s been a hangout for people in the Shediac area for as long as he can remember.
“We do a lot of fishing off the wharf here. You see a pile of people coming in off the wharf. The restaurants that are here, seems like they're getting back into order,” said Pichette.
Friday was also supposed to be the grand opening of the rebuilt Sandbar Restaurant, but the miserable weather pushed that back too.
The grand opening will now be Saturday at 11:30 a.m., just in time for lunch.
from CTV News - Atlantic https://ift.tt/nr8yIel
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CBC/Radio-Canada's executive vice-president of French services is apologizing for travelling to Florida last month despite the federal government strongly warning against non-essential travel during the pandemic.
Michel Bissonnette, who oversees French-language television, radio and digital content for the public broadcaster, owns property in Miami and stayed there Dec. 2 to Dec. 27. He both worked and vacationed while south of the border, said Radio-Canada spokesperson Marc Pichette in an email.
The story was first reported on by the National Post Thursday morning.
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Filmografía
Cine
1943: La Boîte aux rêves de Yves Allégret: una silueta en la película"
1943: Les Petites du quai aux fleurs de Marc Allégret : Jérôme Hardy
1945: Le Pays sans étoiles de Georges Lacombe : Simon Le Gouge y Frédéric Talacayud
1945: El idiota de Georges Lampin : El príncipe Muychkine, inocente de espíritu
1945: Schéma d'une identification, cortometraje inédito de Alain Resnais
1946: Ouvert pour cause d'inventaire, cortometraje inédito de Alain Resnais
1947: Le Diable au corps de Claude Autant-Lara: François Jaubert
1947: La cartuja de Parma de Christian-Jaque: El marqués Fabrice Del Dongo
1947: Les Drames du bois de Boulogne, cortometraje de Jacques Loew: comentario
1948: Une si jolie petite plage de Yves Allégret: Pierre Monet, el viajero
1948: Tous les chemins mènent à Rome de Jean Boyer: Gabriel Pégase, geómetra
1949: La Beauté du diable de René Clair: Enrique y Fausto joven
1949: Visite à Picasso, cortometraje documental de Paul Haesaerts: récitant du film
1950: Souvenirs perdus de Christian-Jaque : Gérard de Narcay, el loco evadido del asilo
1950: Juliette ou la Clé des songes de Marcel Carné: Michel, el soñador que busca a Juliette
1950: La Ronde de Max Ophüls: El Conde
1950: Saint-Louis, ou L'Ange de la paix, cortometraje, documental de Robert Darène: comentario
1950: La paix vaincra, documental polaca de Joris Ivens: comentario de la versión francesa
1950: Avec André Gide, documental de Marc Allégret: comentario
1951: Avignon, bastion de la provence, cortometraje de James Guenet: él mismo
1951: Vedettes sans maquillage, cortometraje de Jacques Guillon: él mismo
1951: Fanfan la Tulipe de Christian-Jaque: Fanfan la Tulipe
1951: Los siete pecados capitales, sketch El octavo pecado de Georges Lacombe
1951: Fêtes galantes : Le peintre Watteau, cortometraje, documental de Jean Aurel : comentario
1952 : Les Belles de nuit de René Clair: Claude, compositor oscuro de música
1952: Les Amants de la villa Borghèse, sketch La Rupture de Gianni Franciolini: El joven en el banco
1953: Les Orgueilleux de Yves Allégret: Georges, ex médico alcohólico
1953: Monsieur Ripois de René Clément: Mr André Ripois, marido de Catherine.
Teatro
1942: Une grande fille toute simple de André Roussin, casino de Nice: Mick
1943: Une jeune fille savait de André Haguet, tournée Rasimi.
1942: Sodome et Gomorrhe de Jean Giraudoux, Georges Douking, Théâtre Hébertot: l'Ange
1944: Au petit bonheur de Marc-Gilbert Sauvajon, Pasquali, Théâtre Gramont
1945: Fédérigo de René Laporte, Théâtre des Mathurins: prince blanc
1945: Calígula de Albert Camus, Paul Œttly, Théâtre Hébertot: Caligula
1947: Les Épiphanies d'Henri Pichette, Georges Vitaly, Théâtre des Noctambules: le Poète
1948: K.M.X , Jacques Deval, Théâtre de la Michodière: Harold Britton.
1949: Le Figurant de la gaité de Alfred Savoir, Théâtre Montparnasse.
1951: Le Cid de Pierre Corneille, mise en scène Jean Vilar, Festival de Aviñón: Rodrigue
1951: Le Prince de Hombourg d'Heinrich von Kleist, Jean Vilar, Festival de Aviñón: Prince Frédéric
1951: Mère courage de Bertolt Brecht, Suresnes: Eilif, l'un des fils.
1951: La Calandria de Bernardo da Bibbiena, René Dupuy, Festival de Aviñón: Artemona.
HONDURASQUEDATEENCASA
#ELCINELATELEYMICKYANDONIE
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Nouvelles acquisitions (Octobre 2018) Rattrapage
Vendredi 05.10.18 Café-librairie Michèle Firk, 9 Rue François Debergue, 93100 Montreuil Fernand Combet - SchrummSchrumm ou l'excursion dominicale aux sables mouvants
Livre singulier, très original, un peu décevant aussi. J'ai découvert ce livre grâce à la lecture qu'en fit Denis Lavant ici : https://bit.ly/3eC1jAW Lavant raconte sa rencontre avec ce livre, c'est Éric Dussert, dénicheur infatigable de chefs d'œuvres méconnues, qui l'arrête un jour dans la rue et qui, dans la conversation, lui vente les mérites de ce livre. Contre toute attente, Lavant l'ouvre rapidement et se trouve pris dans les filets du mystérieux Fernand Combet. J'ai entendu un entretien de Jean-Paul Cisife (Comédien et adaptateur) datant de 1971. C'est Jean-Claude Grumberg (l'auteur de théâtre) qui, le premier, trouve le livre de Combet sur le quais. Il le prête à Sisyphe qui, bien qu’un peu déprimé par certains passages, l'adapte pour la radio.
Combet est l'auteur de trois livres. SchrummSchrumm ou l'excursion dominicale aux sables mouvants, 1966 ; Factice ou les hommes-oiseaux, 1968 ; Mort et passion de Félix C. Scribator, 1971. Tous trois parus chez Pauvert. Plus tard, l'éditeur affirmera que SchrummSchrumm est un des meilleurs livres qu'il ait édité. Un chef d'œuvre alors ? Oui et non. D’abord, ça parle de quoi ? SchrummSchrumm est un excursionniste de première classe. (On ne sait jamais à quoi correspond exactement cette profession, « une vocation » précise SchrummSchrumm, on n'en saura pas plus.) Un jour, un car vient le chercher en bas de chez lui pour l'emmener en excursion… aux sables mouvants. Pourtant, SchrummSchrumm ne se souvient pas d'en avoir fait la demande. Peu importe. On l'emmène, presque de force. Dans le car, les voyageurs sont attachés, les yeux bandés. On les moleste, on leur parle mal. Ce n'est que le début d'un récit absurde, ritualisé et angoissant, dans lequel SchrummSchrumm attendra longtemps les réponses à ses questions. Stagnant dans une citadelle étrange appelée Malentendu, cernée de miradors, aux portes des sables mouvant, il sera confronté à des personnages aberrants, ambigus, cauchemardesques, qui ne semblent mis sur son chemin que pour mieux le perdre. Il en vient à souhaiter le plus vite possible, et nous aussi, le départ pour les sables mouvants, qui tarde à venir. Qui est le Saint directeur de Malentendu ? Que fait-il là, lui, SchrummSchrumm ? Qu’est-ce qui l’attend une fois passée l’épreuve des sables mouvants ? Sera-t-il plus malin, plus habile que ses prédécesseurs à en déjouer les pièges ?
Malgré l'originalité de ce roman, qui reste, il faut le dire, longtemps en tête, quelques bémols… Dès le départ, on sent quand même venir la fin, et on n'a, hélas, pas de surprise de ce côté-là. Le récit, vers le milieu, tourne un peu en rond et il faut à ce moment se forcer pour continuer la lecture. L'histoire prend alors une direction inattendue et finit somme tout assez vite, de façon abrupte. Ceci dit, le monde décrit par Combet, irrationnel au possible quoique crédible, est assez marquant et des scènes vous restent durablement en tête, comme la mort des petits obèses nus, qui se dégonflent en lâchant un : « aaah, nous avons bien aimé la vie ! » On est forcé en lisant Combet de penser à Kafka. Jean-Paul Cisife, lui, y voit surtout une influence de Michaud, ce qui n’est pas faux. Combet, de son côté, parlait d'un roman d'adolescence. Il est vrai que malgré une originalité et une folie évidentes, ce roman vous laisse sur un sentiment mitigé. Il faut pourtant le lire, si on aime les récits absurdes et les univers décalés, on n’en trouve pas des dizaines qui ont le pouvoir de vous rester en tête. Malgré son côté glauque et déprimant, c'est un livre qu'on a envie de refiler ; sous le manteau, certes, mais j'allais dire comme une sorte d'ivresse, pas désagréable, car elle tourne un peu la tête, mais dont on n’est pas mécontent de se débarrasser et de voir quel effet elle aura chez les autres. Comme le firent, pour des raisons diverses, Grumberg avec Cisife et Dussert avec Lavant... Cisife et Lavant ont fait leur travail de passeurs. Je m’y colle, car c’est le genre de livre qui ne peut laisser indifférent.
Samedi 06.10.18 Gilda, 36 rue Bourdonnais Michel Onfray - Le deuil de la mélancolie
Je l'avais pourtant écouté raconter ici ou là le récit de son second AVC, égrener les erreurs de diagnostiques qu'il a rencontré... Cela aurait pu me suffire. Il y a pourtant une plus-value à la lecture de ce livre. C'est la même à chaque fois, d'ailleurs : la force de l'écriture. S'il sort de cette épreuve diminué, champ de vision altéré, problèmes de spacialisation... son écriture demeure intacte.
Il y a en outre un passage bouleversant au coeur du livre : l'oraison funèbre écrite à la mort de sa compagne, et qu'il n'a pas eu la force lire sur le moment. Lecteur de longue date d'Onfray (1990, avec Cynismes) j'avais entendu parler de Marie-Claude, ici où là, depuis Fééries Anatomiques. Elle n'était souvent qu'une silhouette, qu'un prénom. On découvre soudain toute une vie, et on est pris à la gorge à la description des choses qu'elle aimait et qui lui survivent, comme dit Onfray, sous la forme d'une belle anaphore. Les chats, les chevaux, les arbres, les jardins, ses élèves, certains endroits de sa ville. Avec des phrases d'une simplicité brute comme : « seuls les morts n'ont plus à mourir et sont fait d'une étoffe de mémoire. » Ou encore, comme un écho au très beau Requiem Athée : « Je te survivrai un temps, mais l'éternité du néant nous réunira. »
On sort aussi du livre avec l'envie de lire, ou de relire Marc Aurèle (qui sans doute apparaîtra tout entier dans Sagesse ?), auteur que pour ma part j'avais survolé lors de ma lecture de Cioran vers 1992. Pour des phrases de ce genre :
« Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être, mais aussi la sagesse de distinguer l'un et l'autre. »
Ce livre rappelle à tous les pédants qui dénient à Onfray le titre de philosophe, 1) que la philosophie est au centre de tout ce qu'il écrit et 2) que la philosophie doit être avant tout utile, sinon elle ne vaut rien. Pour certains, les mêmes pédants, un auteur qui nous transmet cela n'est pas un philosophe. Il l'est pour moi. Il est même plus, il est important.
Jean-Pierre Martinet - La grande vie
Encore un texte qui a été lu (sur scène) par Denis Lavant et édité par Éric Dussert à l’Arbre vengeur. La grande vie est un court récit, euh... dérangeant. Un personnage un peu falot, fossoyeur de son état, qui habite, évidemment, en face d'un cimetierre, vit une histoire d'amour sordide avec sa concierge, personnage ideux et déluré. Pour les amateurs de noiceur et de vies tragiques sans issue, ce livre est pour vous !
« Je pensais souvent à ce cinéaste japonais, Ozu, qui avait fait graver ces simples mots sur sa tombe « Néant ». Moi aussi je me promenais avec une telle épitaphe, mais de mon vivant. »
Tout est dit, ou presque. Texte sombre voire sordide, certes, mais intense. Et drôle. L'humour, comme on s'en doute, est aussi noir que le reste.
« A vrai dire, je ne désirais pas grand-chose. Ma règle de conduite était simple : vivre le moins possible pour souffrir le moins possible. »
Martinet est l'auteur d’un roman culte, Jérôme, autre livre que je ne m'interdirai pas de lire à l'avenir.
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Umberto Eco - Comment voyager avec un saumon James Thurber - Ma chienne de vie
Boulinier HISTORIA SPECIAL N°477 - La commune de Paris - 1871, Les 72 jours de l'insurrection Gaston Leroux - Hardigras ou le fils de 3 pères
Dimanche 07.10.18 Boulinier Jean-Pierre Andrevon - Les revenants de l'ombre HISTORIA N°471 - Mars 1986 - Hetzel éditeur, Le trésor de Charette, Tuer Heydrich, L'année 1936 Henri Michaux - Plume, précédé de Lointain intérieur Jean-Pierre Martin - L'autre vie d'Orwell Shirley Jackson - La loterie Huysmans - En rade, Un dilemme, Croquis parisiens
Samedi 13.10.18 Gilda, 36 rue Bourdonnais Michel Onfray - La Cavalière de Pégase - Dernière leçon de Démocrite
Lu et apprécié ce nouveau recueil de haïkus, inattendus de la part de l'auteur. Je garde une petite préférence pour le recueil Un Requiem athée.
Boulinier Jacques Pessis - Pierre Dac, mon maître soixante-trois, théâtre Graham Greene - Un américain bien tranquille - Notre agent à la Havane - Le facteur humain (Coll. Bouquins) John Steinbeck - La grande vallée, nouvelles
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Europe n°853 - Mai 2000 - Ramuz, Iossif Brodski, Ecrivains d'Acadie Albert Camus - Caligula, suivi de Le Malentendu
Sur les quais Henri Pichette - Les Epiphanies (Coll. Poésie Gallimard) Jean Follain - Exister, suivi de Territoires (Coll. Poésie Gallimard)
Samedi 20.10.18 Librairie Le Dilettante (7, place de l'Odéon) Luke Rhinehart - Invasion Raymond Cousse - Le bâton de la maréchale, roman militaire et pornographique Henry Miller - Peindre c'est aimer à nouveau, suivi de Le sourire au pied de l'échelle Isaac Bashevis Singer - Yentl et autres nouvelles
Librairie Rieffel (15, rue l’Odéon, Paris) Michel Onfray - La cour des miracles, carnets de campagne 2
Boulinier José Corti - Souvenirs désordonnés
Vendredi 26.10.18 Via internets Isaac Bashevis Singer - Une sorte d'autobiographie spirituelle - T1. Un jeune homme à la recherche de l'amour
Samedi 27.10.18 Boulinier Ivan Bounine - Elle Remy de Gourmont - Histoires magiques et autres récits
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Neeli Cherkovski - La vie de Charles Bukowski Serge Valletti - Pourquoi j'ai jeté ma grand-mère dans le Vieux-Port Saul Bellow - L'hiver du doyen Christopher Isherwood - Le mémorial, portrait d'une famille René Depestre - Eros dans un train chinois Juan Carlos Onetti - Les bas-fonds du rêve
Mercredi 31.10.18 Via internet Gérard Guégan - Ascendant Sagittaire - Une histoire subjective des années soixante-dix
J'ai commencé par piocher dans ce livre en ciblant les auteurs qui m'intéressaient : Charles Bukowski, Ken Kesey, Jean-Jacques Abrahams (L’auteur de L'homme au magnétophone, qui mis à mal la psychanalyse, avant le Livre Noir et avant celui d’Onfray), Jean-Pierre Martinet, dont je parle plus haut et sur qui on apprend quelques éléments biographiques. Guégan, viré de Champ Libre, qui relança les éditions Sagitaire (grand éditeur surréaliste), de 1975 à 1979, date de disparition de la maison, est un personnage souvent arrogant, aux postures très post soixante-huitarde, toujours un peu dans l’excès, la provoc’. Et sa proximité avec Raphaël Sorin, que je trouve tout aussi antipathique, malgré son admiration pour Louise Brooks, fait que j’ai souvent reposé le livre avec un soupir agacé. Mais j'aime les livres qui parlent de livres, alors parfois j’y replonge. Tenir l'homme à distance ne sous-entend pas qu'il n'ait pas un avis sûr en matière de livres, qu'on puisse partager.
Anecdote encourageante pour les traducteurs en herbe : Quand Guégan a commencé à traduire son premier Bukowski, les poèmes de L’amour est chien de l’enfer, il n'avait que de faibles bases en anglais et un mini dictionnaire bilingue de la collection Poucet. Il a fait des progrès ensuite, vu le nombre de ses traductions. Ceci dit, dans Bukowski, je préfère quand même celles de Philippe Garnier.
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Caroline Neron, celebrity jewel queen and former ‘Dragon,’ dethroned in Quebec
MONTREAL — News that celebrity Quebec jewelry-maker Caroline Neron filed for bankruptcy protection Thursday is shining a harsh light on the qualifications of stars chosen for the province’s French-language version of the deal-making show, “Dragon’s Den.”
Described by news media as a “thunderclap” in Quebec’s retail industry, Neron’s financial troubles have called into question her aptitude for assessing entrepreneurial talent on Radio-Canada’s “Dans l’oeil du dragon.” The show features prominent businesspeople deciding whether to invest in the pitches of budding entrepreneurs.
Francois Lambert, a former panellist on the show, said the French CBC does not ask its prospective stars to reveal their riches or demonstrate they have the time and liquidity to properly invest in start-ups.
“They never asked to see my numbers,” Lambert said in an interview. “They can say that they ask to see people’s numbers, but they don’t, because they never did it with me. And this week it exploded in their faces.”
Other embarrassing choices to play the role of dragon include Gilbert Rozon, the disgraced founder of Just for Laughs facing sex-crimes charges, and Martin-Luc Archambault, who quit the show in September under a cloud. An investigation by the privacy commissioner of Canada revealed his IT company violated numerous provisions in the Personal Information Protection and Electronic Documents Act.
Lambert co-founded Aheeva Technology Inc., a software for call centres available in 75 countries, and says he has investments in 10 companies, including a three-year-old start-up called Boostmi — an on-demand roadside assistance application.
The entrepreneur said a little research would have flagged concerns about Rozon and Archambault, and he claimed there are other people with whom he appeared who did not belong on the show. Radio-Canada should seek out candidates who have money, and who have sold a business, he argued.
“We make money with a company, in reality, when we sell it,” Lambert said. “I had just sold my business when they asked me to be on the show …. I wasn’t an impostor and I had my place there. You become a dragon when you have finished your company, and you have the time to invest and apply your recipe of success with others.”
Marc Pichette, spokesman for Radio-Canada, said the public broadcaster and the show’s producers “conduct a basic review of (the) application based on information given in good faith by the potential dragon.”
He added that when Rozon was on the show in 2016 he was an internationally celebrated figure who had also been chosen by the City of Montreal as commissioner for its 375th anniversary, held in 2017.
Montreal’s La Presse reported Friday it contacted all eight of the entrepreneurs with whom Neron made deals on the latest season of the show, which ended in June 2018. Not one of them had received any money from the jewelry maker. Neron left the show in December.
During an interview with the TVA television network on Thursday, Neron said she is closing 9 of 14 boutiques in the province and letting go 64 of 152 employees.
She rose to prominence in Quebec as a singer and actor. Michel Nadeau, head of a think tank on governance of public and private companies, said Neron’s brand was strong in Quebec, and she was one of the few people to make a name in the jewelry market.
“It was one of the rare companies, in the jewelry and craft and artisanal industry that succeeded in imposing a brand in the industry — she succeeded,” said Nadeau. “She is very, very present on television and on the radio.” The problem was that she grew the business too quickly, he said, by investing too much in retail and small boutiques in commercial centres with extremely high rents.
Lambert, who was not invited back for the upcoming season of “Dans l’oeil du dragon,” said Neron’s story should serve as a lesson to all entrepreneurs “who spread themselves so thin and do anything and everything, instead of managing their own company.”
from Financial Post http://bit.ly/2SR23GM via IFTTT Blogger Mortgage Tumblr Mortgage Evernote Mortgage Wordpress Mortgage href="https://www.diigo.com/user/gelsi11">Diigo Mortgage
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⚠ Driving safety is a daunting task for any creative agency - it has to provoke a strong and lasting impression with an important message whilst still being creatively sound. 🚗 This campaign from #Lg2, an agency based in #Canadadoes all these things and more. 🇨🇦 Although a somewhat vintage idea, the #seatbeltis used to showcase the important message and encourage young drivers to ensure their own safety. 🚙 Credits: #Advertising Agency: Lg2, #Quebec, Canada Creative Direction / Copywriting: Luc Du Sault Art Direction: Jean Lafrenière Account Planners: Mireille Côté, Alexandra Laverdière Account Managers: Alexandra Laverdière Photographer: Maude DeVarennes Production: Julie Pichette Digital Artists: Marc Rivest, David Boivin #advertisement (at Montreal, Quebec)
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