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After hiding his loot and getting thrown in jail, Ruby, a brooding outlaw encounters Quentin, a dim-witted and garrulous giant who befriends him. After Quentin botches a solo escape attempt, they make a break together. Unable to shake the clumsy Quentin Ruby is forced to take him along as he pursues his former partners in crime to avenge the death of the woman he loved and get to the money. Credits: TheMovieDb. Film Cast: Quentin: Gérard Depardieu Ruby: Jean Reno Commissioner Vernet: Richard Berry Prison psychiatrist: André Dussollier Vogel: Jean-Pierre Malo Katia / Sandra: Leonor Varela Lambert: Jean-Michel Noirey Mauricet: Laurent Gamelon Rocco: Aurélien Recoing Raffi: Vincent Moscato Martineau: Ticky Holgado Nosberg: Michel Aumont Jambier: Loïc Brabant Bourgoin: Arnaud Cassand Vavinet: Edgar Givry Teenager Becca: Adrien Saint-Joré Teenager Bryana Fletcher: Johan Libéreau Maximillian Lefevbre: Guy Delamarche Isabel Lefebvre: Rebecca Potok Chief Warden: Stéphane Boucher Fat jailbird: Ludovic Berthillot West Indian prisoner: Thierry René A cop: Pierre Rousselle A cop: Michaël Troude A cop: Norbert Haberlick A cop: Antoine Blanquefort Bank cashier: Eric Vanzetta Exchange office employee: Dominique Parent Exchange office employee: Luq Hamet Police Sergeant: Gérard Renault Prison hospital nurse: Pétronille Moss Prison hospital intern: Guillaume de Tonquédec Mental Home Radiologist: Jean Dell Mental Home Garden Nurse: Stéphane Jacquot Mental Home Garden Patient: Philippe Brigaud Bistrot Customer: Thierry Nenez Bistrot Owner: François Gamard Driver of the car with the broken roof: Julien Cafaro Thug: Valentin Merlet Thug: Romain Redler Girl on mobile: Armelle Deutsch Opel Driver: Alain Fourès Cop in Unmarked Van: Arnaud Le Bozec Police Inspector: Léon Clémence Prison Hospital Old Man: Michel Caccia Nurse at the secretariat: Luc Bernard Policeman in Unmarked Light Van: Fabrice Bousba Vogel’s man: Patrick Médioni Vogel’s man: Gilles Conseil Mental patient (uncredited): Eric Moreau (uncredited): Patrice Cols (uncredited): Pierre-Olivier Scotto Film Crew: Casting: Françoise Menidrey Sound: Jean Gargonne Original Music Composer: Marco Prince Editor: Georges Klotz Sound Re-Recording Mixer: Gérard Lamps Director: Francis Veber Stunt Coordinator: Philippe Guégan Director of Photography: Luciano Tovoli Producer: Saïd Ben Saïd Executive Producer: Gérard Gaultier Script Supervisor: Isabelle Thévenet Costume Design: Jacqueline Bouchard Idea: Serge Frydman Sound: Bernard Bats Production Design: Dominique André Key Makeup Artist: Karina Gruais Key Makeup Artist: Turid Follvik First Assistant Director: Christopher Gachet Movie Reviews:
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... Mais que fais-tu ici ? A quoi joues-tu ?
Quel est ce besoin qui te pousse à vouloir continuellement braver les périls ?
La chance n'est pas une amie fidèle.
Gérard Guégan, Tout à une fin, Drieu.
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Nouvelles acquisitions (Octobre 2018) Rattrapage
Vendredi 05.10.18 Café-librairie Michèle Firk, 9 Rue François Debergue, 93100 Montreuil Fernand Combet - SchrummSchrumm ou l'excursion dominicale aux sables mouvants
Livre singulier, très original, un peu décevant aussi. J'ai découvert ce livre grâce à la lecture qu'en fit Denis Lavant ici : https://bit.ly/3eC1jAW Lavant raconte sa rencontre avec ce livre, c'est Éric Dussert, dénicheur infatigable de chefs d'œuvres méconnues, qui l'arrête un jour dans la rue et qui, dans la conversation, lui vente les mérites de ce livre. Contre toute attente, Lavant l'ouvre rapidement et se trouve pris dans les filets du mystérieux Fernand Combet. J'ai entendu un entretien de Jean-Paul Cisife (Comédien et adaptateur) datant de 1971. C'est Jean-Claude Grumberg (l'auteur de théâtre) qui, le premier, trouve le livre de Combet sur le quais. Il le prête à Sisyphe qui, bien qu’un peu déprimé par certains passages, l'adapte pour la radio.
Combet est l'auteur de trois livres. SchrummSchrumm ou l'excursion dominicale aux sables mouvants, 1966 ; Factice ou les hommes-oiseaux, 1968 ; Mort et passion de Félix C. Scribator, 1971. Tous trois parus chez Pauvert. Plus tard, l'éditeur affirmera que SchrummSchrumm est un des meilleurs livres qu'il ait édité. Un chef d'œuvre alors ? Oui et non. D’abord, ça parle de quoi ? SchrummSchrumm est un excursionniste de première classe. (On ne sait jamais à quoi correspond exactement cette profession, « une vocation » précise SchrummSchrumm, on n'en saura pas plus.) Un jour, un car vient le chercher en bas de chez lui pour l'emmener en excursion… aux sables mouvants. Pourtant, SchrummSchrumm ne se souvient pas d'en avoir fait la demande. Peu importe. On l'emmène, presque de force. Dans le car, les voyageurs sont attachés, les yeux bandés. On les moleste, on leur parle mal. Ce n'est que le début d'un récit absurde, ritualisé et angoissant, dans lequel SchrummSchrumm attendra longtemps les réponses à ses questions. Stagnant dans une citadelle étrange appelée Malentendu, cernée de miradors, aux portes des sables mouvant, il sera confronté à des personnages aberrants, ambigus, cauchemardesques, qui ne semblent mis sur son chemin que pour mieux le perdre. Il en vient à souhaiter le plus vite possible, et nous aussi, le départ pour les sables mouvants, qui tarde à venir. Qui est le Saint directeur de Malentendu ? Que fait-il là, lui, SchrummSchrumm ? Qu’est-ce qui l’attend une fois passée l’épreuve des sables mouvants ? Sera-t-il plus malin, plus habile que ses prédécesseurs à en déjouer les pièges ?
Malgré l'originalité de ce roman, qui reste, il faut le dire, longtemps en tête, quelques bémols… Dès le départ, on sent quand même venir la fin, et on n'a, hélas, pas de surprise de ce côté-là. Le récit, vers le milieu, tourne un peu en rond et il faut à ce moment se forcer pour continuer la lecture. L'histoire prend alors une direction inattendue et finit somme tout assez vite, de façon abrupte. Ceci dit, le monde décrit par Combet, irrationnel au possible quoique crédible, est assez marquant et des scènes vous restent durablement en tête, comme la mort des petits obèses nus, qui se dégonflent en lâchant un : « aaah, nous avons bien aimé la vie ! » On est forcé en lisant Combet de penser à Kafka. Jean-Paul Cisife, lui, y voit surtout une influence de Michaud, ce qui n’est pas faux. Combet, de son côté, parlait d'un roman d'adolescence. Il est vrai que malgré une originalité et une folie évidentes, ce roman vous laisse sur un sentiment mitigé. Il faut pourtant le lire, si on aime les récits absurdes et les univers décalés, on n’en trouve pas des dizaines qui ont le pouvoir de vous rester en tête. Malgré son côté glauque et déprimant, c'est un livre qu'on a envie de refiler ; sous le manteau, certes, mais j'allais dire comme une sorte d'ivresse, pas désagréable, car elle tourne un peu la tête, mais dont on n’est pas mécontent de se débarrasser et de voir quel effet elle aura chez les autres. Comme le firent, pour des raisons diverses, Grumberg avec Cisife et Dussert avec Lavant... Cisife et Lavant ont fait leur travail de passeurs. Je m’y colle, car c’est le genre de livre qui ne peut laisser indifférent.
Samedi 06.10.18 Gilda, 36 rue Bourdonnais Michel Onfray - Le deuil de la mélancolie
Je l'avais pourtant écouté raconter ici ou là le récit de son second AVC, égrener les erreurs de diagnostiques qu'il a rencontré... Cela aurait pu me suffire. Il y a pourtant une plus-value à la lecture de ce livre. C'est la même à chaque fois, d'ailleurs : la force de l'écriture. S'il sort de cette épreuve diminué, champ de vision altéré, problèmes de spacialisation... son écriture demeure intacte.
Il y a en outre un passage bouleversant au coeur du livre : l'oraison funèbre écrite à la mort de sa compagne, et qu'il n'a pas eu la force lire sur le moment. Lecteur de longue date d'Onfray (1990, avec Cynismes) j'avais entendu parler de Marie-Claude, ici où là, depuis Fééries Anatomiques. Elle n'était souvent qu'une silhouette, qu'un prénom. On découvre soudain toute une vie, et on est pris à la gorge à la description des choses qu'elle aimait et qui lui survivent, comme dit Onfray, sous la forme d'une belle anaphore. Les chats, les chevaux, les arbres, les jardins, ses élèves, certains endroits de sa ville. Avec des phrases d'une simplicité brute comme : « seuls les morts n'ont plus à mourir et sont fait d'une étoffe de mémoire. » Ou encore, comme un écho au très beau Requiem Athée : « Je te survivrai un temps, mais l'éternité du néant nous réunira. »
On sort aussi du livre avec l'envie de lire, ou de relire Marc Aurèle (qui sans doute apparaîtra tout entier dans Sagesse ?), auteur que pour ma part j'avais survolé lors de ma lecture de Cioran vers 1992. Pour des phrases de ce genre :
« Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être, mais aussi la sagesse de distinguer l'un et l'autre. »
Ce livre rappelle à tous les pédants qui dénient à Onfray le titre de philosophe, 1) que la philosophie est au centre de tout ce qu'il écrit et 2) que la philosophie doit être avant tout utile, sinon elle ne vaut rien. Pour certains, les mêmes pédants, un auteur qui nous transmet cela n'est pas un philosophe. Il l'est pour moi. Il est même plus, il est important.
Jean-Pierre Martinet - La grande vie
Encore un texte qui a été lu (sur scène) par Denis Lavant et édité par Éric Dussert à l’Arbre vengeur. La grande vie est un court récit, euh... dérangeant. Un personnage un peu falot, fossoyeur de son état, qui habite, évidemment, en face d'un cimetierre, vit une histoire d'amour sordide avec sa concierge, personnage ideux et déluré. Pour les amateurs de noiceur et de vies tragiques sans issue, ce livre est pour vous !
« Je pensais souvent à ce cinéaste japonais, Ozu, qui avait fait graver ces simples mots sur sa tombe « Néant ». Moi aussi je me promenais avec une telle épitaphe, mais de mon vivant. »
Tout est dit, ou presque. Texte sombre voire sordide, certes, mais intense. Et drôle. L'humour, comme on s'en doute, est aussi noir que le reste.
« A vrai dire, je ne désirais pas grand-chose. Ma règle de conduite était simple : vivre le moins possible pour souffrir le moins possible. »
Martinet est l'auteur d’un roman culte, Jérôme, autre livre que je ne m'interdirai pas de lire à l'avenir.
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Umberto Eco - Comment voyager avec un saumon James Thurber - Ma chienne de vie
Boulinier HISTORIA SPECIAL N°477 - La commune de Paris - 1871, Les 72 jours de l'insurrection Gaston Leroux - Hardigras ou le fils de 3 pères
Dimanche 07.10.18 Boulinier Jean-Pierre Andrevon - Les revenants de l'ombre HISTORIA N°471 - Mars 1986 - Hetzel éditeur, Le trésor de Charette, Tuer Heydrich, L'année 1936 Henri Michaux - Plume, précédé de Lointain intérieur Jean-Pierre Martin - L'autre vie d'Orwell Shirley Jackson - La loterie Huysmans - En rade, Un dilemme, Croquis parisiens
Samedi 13.10.18 Gilda, 36 rue Bourdonnais Michel Onfray - La Cavalière de Pégase - Dernière leçon de Démocrite
Lu et apprécié ce nouveau recueil de haïkus, inattendus de la part de l'auteur. Je garde une petite préférence pour le recueil Un Requiem athée.
Boulinier Jacques Pessis - Pierre Dac, mon maître soixante-trois, théâtre Graham Greene - Un américain bien tranquille - Notre agent à la Havane - Le facteur humain (Coll. Bouquins) John Steinbeck - La grande vallée, nouvelles
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Europe n°853 - Mai 2000 - Ramuz, Iossif Brodski, Ecrivains d'Acadie Albert Camus - Caligula, suivi de Le Malentendu
Sur les quais Henri Pichette - Les Epiphanies (Coll. Poésie Gallimard) Jean Follain - Exister, suivi de Territoires (Coll. Poésie Gallimard)
Samedi 20.10.18 Librairie Le Dilettante (7, place de l'Odéon) Luke Rhinehart - Invasion Raymond Cousse - Le bâton de la maréchale, roman militaire et pornographique Henry Miller - Peindre c'est aimer à nouveau, suivi de Le sourire au pied de l'échelle Isaac Bashevis Singer - Yentl et autres nouvelles
Librairie Rieffel (15, rue l’Odéon, Paris) Michel Onfray - La cour des miracles, carnets de campagne 2
Boulinier José Corti - Souvenirs désordonnés
Vendredi 26.10.18 Via internets Isaac Bashevis Singer - Une sorte d'autobiographie spirituelle - T1. Un jeune homme à la recherche de l'amour
Samedi 27.10.18 Boulinier Ivan Bounine - Elle Remy de Gourmont - Histoires magiques et autres récits
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Neeli Cherkovski - La vie de Charles Bukowski Serge Valletti - Pourquoi j'ai jeté ma grand-mère dans le Vieux-Port Saul Bellow - L'hiver du doyen Christopher Isherwood - Le mémorial, portrait d'une famille René Depestre - Eros dans un train chinois Juan Carlos Onetti - Les bas-fonds du rêve
Mercredi 31.10.18 Via internet Gérard Guégan - Ascendant Sagittaire - Une histoire subjective des années soixante-dix
J'ai commencé par piocher dans ce livre en ciblant les auteurs qui m'intéressaient : Charles Bukowski, Ken Kesey, Jean-Jacques Abrahams (L’auteur de L'homme au magnétophone, qui mis à mal la psychanalyse, avant le Livre Noir et avant celui d’Onfray), Jean-Pierre Martinet, dont je parle plus haut et sur qui on apprend quelques éléments biographiques. Guégan, viré de Champ Libre, qui relança les éditions Sagitaire (grand éditeur surréaliste), de 1975 à 1979, date de disparition de la maison, est un personnage souvent arrogant, aux postures très post soixante-huitarde, toujours un peu dans l’excès, la provoc’. Et sa proximité avec Raphaël Sorin, que je trouve tout aussi antipathique, malgré son admiration pour Louise Brooks, fait que j’ai souvent reposé le livre avec un soupir agacé. Mais j'aime les livres qui parlent de livres, alors parfois j’y replonge. Tenir l'homme à distance ne sous-entend pas qu'il n'ait pas un avis sûr en matière de livres, qu'on puisse partager.
Anecdote encourageante pour les traducteurs en herbe : Quand Guégan a commencé à traduire son premier Bukowski, les poèmes de L’amour est chien de l’enfer, il n'avait que de faibles bases en anglais et un mini dictionnaire bilingue de la collection Poucet. Il a fait des progrès ensuite, vu le nombre de ses traductions. Ceci dit, dans Bukowski, je préfère quand même celles de Philippe Garnier.
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Cela fait deux jours qu’Hemingway a réussi à prendre le large; deux jours qu’il a échappé à la vigilance de la bande à Hoover; deux jours qu’il se bourre d’amphétamines pour rester sur le qui-vive; deux jours donc qu’il n’a pas fermé l’oeil même si, dans l’Excelsior 609 qui se rapproche à petite vitesse de New York, il donne l’impression de s’être assoupi maintenant qu’il a rabattu sa casquette de tweed sur la presque totalité de son visage.
La casquette n’est qu’un paravent.
Un paravent destiné à lui assurer la tranquillité dont il a besoin s’il veut pouvoir vivre une histoire différente de celle que le cours des événements cherche à lui imposer.
[...] Si une chose est fondamentalement juste, peu importe que l’on mente.
[...] Hemingway ira voir Hammett, et ils feront la paix, quitte à ce qu’elle soit courte et qu’elle se termine dans le sang.
En tout état de cause, ils ne peuvent qu’essayer de se réconcilier.
Ils y sont condamnés par leur ennemi commun.
Ne partagent-ils pas en effet le privilège, car c’en est un, d’avoir été classés FBI targets par Hoover lui-même.
[...] La vie n’est qu’un rêve dont la mort nous réveille.
[...] Mais le fait est là : bien que chacun des deux ait pressenti que les hostilités reprendraient au moindre mot de travers, le mur qui les séparait a commencé à se lézarder.
[...] Mais les premiers mots d’Hemingway l’ébahissent :”L’éboueur et l’écrivain sont interchangeables. L’un comme l’autre exercent le même métier, ils font disparaître ou apparaître les saletés de la société. La nourriture humaine est leur royaume. Autrement dit, l’égout et l’écriture remplissent la même fonction.
[...] Quoique attentif, et même conquis, si l’on s’en remet aux apparences, Hammett soupçonne toujours Hemingway d’insincérité.
S’il n’a pas tout à fait tort, il n’a pas totalement raison. Hemingway les mène en bateau mais, en même temps, il est lui aussi à bord du bateau.
Comme tous les écrivains lorsqu’ils bataillent avec eux-mêmes, il se sait faible et lâche, et il en souffre.
Il pourrait se refréner, non, il insiste.
Ainsi vient-il tout à trac de se déclarer partisan d’un roman dans lequel l’auteur se dépouillerait de son identité.
Dans lequel il laisserait voir sa face non avouable.
Lui-même n’a pas osé s’y risquer, contrairement à ce qu’ont pu penser ses lecteurs.
Hemingway, Hammett, dernière Gérard Guégan
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Ecoutez Eugène BIZEAU (1981) Bernard Baissat Ecoutez Eugène Bizeau, film de Bernard Baissat, avec Robert Brécy 1981, 47 minutes, film 16 mm “Tourangeau frisé, frisant la trentaine, vit par ses efforts sur le sol natal. Pétrit ses chansons d’amour et de haine. Et se trouve bien d’avoir tourné mal.” C’est par ce quatrain qu’Eugène Bizeau se présentait au groupe des chansonniers révolutionnaires de la MUSE ROUGE, en 1913. En I98I, à 98 ans, Eugène Bizeau vit toujours à Veretz, en Touraine. Il est resté fidèle à sa vigne, à sa poésie, à ses luttes “ pour les causes généreuses “, à son idéal de paix et de fraternité. Robert Brécy, historien, Rosalie Dubois, Boris Napes, André Guéganou, artistes de la chanson, évoquent avec Eugène BIZEAU les principales époques de sa vie. ROBERT BRÉCY Historien, auteur de FLORILÈGE DE LA CHANSON RÉVOLUTIONNAIRE DE 1789 AU FRONT POPULAIRE, LA MUSE ROUGE. http://bbernard.canalblog.com/archives/2012/12/12/25808188.html Gérard Pierron Ferraille à vendre - YouTube Ferraille à vendre - YouTube �� ou Alain Brisemontier : Ferraille à vendre - YouTube
#Eugène Bizeau#Bernard Baissat#Robert Brécy#Rosalie Dubois#Boris Napes#André Guéganou#Touraine#la MUSE ROUGE#le Libertaire#Louise Michel#Sébastien Faure#L'Anarchiste#FLORILEGE DE LA CHANSON REVOLUTIONNAIRE DE 1789 AU FRONT POPULAIRE LA MUSE ROUGE#Béranger#Ferraille à vendre#Gérard Pierron#Chante vigne chante vin#Alain Brisemontier#chanson révolutionnaire
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« Ils doivent être de ces écervelés qui ont lâché leurs études pour s’improviser soldats de l’an II » Depuis des mois, depuis un an peut-être, c’est le hasard qui choisit mes lectures : je les croise dans la rue, chez mes grands-parents, dans la chambre de mon frère, sur des rayonnages à hauteur d’yeux. En ne choisissant plus à l’avance, en ne planifiant plus, je consolide ce rêve flou de tout lire, je justifie un sentiment obscur : vraiment, tous les livres pourraient être reliés, deux à deux. Ayant découvert Roger Vailland à la Toussaint, je fus d’abord grisée de le deviner sous les traits d’un personnage secondaire de la « fable » de Gérard Guégan. Tous les indices convergeaient : la mention du Grand Jeu, le meurtre avorté de Céline, le stalinisme, Daniel Cordier. Deux soirs plus tard, alors que je recopiais dans un cahier les phrases les plus frappantes du roman et les noms à chercher, j’ai cependant été prise d’un doute. Cela me décevait qu’un récit si réussi ressortisse du simple « truc », qu’il ressemble à ces rencontres apocryphes (Pascal et Descartes, Talleyrand et compagnie, etc.) peuplant les scènes des théâtres privés. Je finis par comprendre que ce n’était pas Vailland et ses amis, mais bien plutôt plusieurs personnages inventés par ce romancier résistant, qui enlevaient Drieu. Ce que j’avais cru une tentative de reconstitution historique était en fait célébration de la pure fiction.
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JEAN GRÉMILLON
El fugaz paso por la Filmoteca, en proyecciones únicas y a las horas menos frecuentables, de cuatro películas de este cineasta «maldito» por excelencia, nunca muy conocido y hoy olvidado hasta en Francia —pese al proverbial ��chauvinismo» de sus compatriotas—, debiera haber despertado, a mi entender, más interés del que indica una asistencia media de unas ocho personas en las tres sesiones a las que me fue posible acudir, sobre todo teniendo en cuenta que se trataba de cuatro de las obras de Grémillon que más aprecian sus contados pero selectos admiradores (Jean-Marie Straub, Paul Vecchiali —que le considera «el más grande»—, Pierre Kast, Truffaut, algún crítico serio como Gérard Guégan); aunque sólo fuese porque Grémillon (1902-1959) hizo dos films en España durante la República —La Dolorosa (1934) y Centinela ¡alerta! (1935), esta última producida por Buñuel— , su misteriosa figura eclipsada debiera haber atraído a algún cinéfilo curioso y trasnochado (ya que la «nueva cinefilia» sólo atiende, y poco, a los «consagrados», y eso cuando están de moda o acaban de morir).
Pese a que, en lo que va de año, he conseguido, por fin, admirar una película de Boris Barnet, y varias que no conocía de Renoir, Ophüls y Stroheim, las tres de Grémillon que he logrado ver llevan camino de constituir, para mí, la revelación de 1979: Remordimiento (Remorques, 1941), Le ciel est á vous (1943) y L'amour d'une femme (1953) me parecen tan asombrosas obras maestras que me exaspera haberme perdido —en una época en la que el 80% o más de las películas que uno llega a ver resulta prescindible— su famosa Lumiére d'été (1942) y no tener a mi alcance Gardiens de phare (1929), Pattes de mouches (1936), Gueule d'amour (1937), L'étrange Monsieur Victor (1938), Pattes blanches (1949), y André Masson et les quatre éléments (1959), por no citar toda su breve obra.
Es difícil, en el reducido espacio disponible, dar una idea, siquiera aproximativa, de cómo son las películas de Grémillon, tan originales en su modestia serena que no se prestan al juego de las comparaciones y los paralelismos (porque decir que algo tiene que ver con el Renoir de los años 30, con Ophüls, con Jacques Becker y hasta con Rohmer, aunque sea cierto, resulta tan vago como señalar que guarda relación con lo mejor del cine francés), todavía más difícil sería intentar explicar qué es lo que me hace admirarlas tanto, ya que precisamente su enorme complejidad es lo que más valoro.
Lo primero que cabe observar acerca de estas tres películas de Grémillon es que, dentro de lo difusas y poco operativas que resultan en el cine europeo las distinciones genéricas, son melodramas; pero, y esto lo complica, nada desmelenados, sino tranquilos y discretos, con humor y amplitud de miras, sin puritanismo ni intolerancia, con catástrofes verosímiles y personajes bienintencionados, sin que sea nunca preciso el recurso a cualquier «deus ex machina» cuya intervención imprevista o fatídica haga cambiar —para bien o para mal— el curso de los acontecimientos: para Grémillon, como para Shakespeare, «la culpa no es de las estrellas, sino de nosotros mismos».
En segundo lugar, destacaría la sencillez, claridad y precisión de una puesta en escena que, atenta sobre todo a los actores, procura mantener un difícil equilibrio entre la rigurosa sobriedad, cercana a la desnudez, del acercamiento «documental» y el estilizado lirismo, casi barroco, de Ophüls o Sternberg, logrando así que estas películas nada tenga de «naturalistas» y respondan, en cambio, plenamente, a lo que Grémillon entendía por «realismo», consistente en «el descubrimiento de lo sutil que el ojo humano no percibe directamente y que es preciso mostrar estableciendo armonías, relaciones ignoradas entre los objetos y los seres». La palabra «armonía» es reveladora, puesto que indica la raíz musical del acercamiento al cine de Grémillon, que no en vano estudió música y llevó a cabo interesantes y logrados experimentos en la integración de la música, las voces y los ruidos.
Una tercera característica del cine de Grémillon estriba en su capacidad para, rehuyendo la simplificación y el esquematismo, abordar los conflictos sin omitir las razones de cada una de las partes ni cerrar los ojos a los defectos o las virtudes de los personajes, estén o no equivocados. Para Grémillon el drama consiste precisamente, en que —esté o no de acuerdo con ellos— la actitud de sus protagonistas —tanto masculinos como femeninos— es comprensible, justificable incluso, pero incompatible con la de otras personas a las que aman. Por eso, pese a respaldar claramente el vivificante entusiasmo por la aviación que libera de un existencia rutinaria al matrimonio Gauthier, no disimula que esta pasión es la causa del egoísmo y la incomprensión de que hacen gala con respecto a la pasión por el piano de su hija, en dos escenas de una dureza inaudita (Le ciel est á vous), o bien, al tiempo que hace ver que el capitán André Laurent y Catherine se necesitan y se aman de verdad, no oculta el daño que la indiferencia de aquél hace a su esposa enferma (Remorques), o —con un sentido del equilibrio verdaderamente encomiable, y, por qué negarlo, bastante insólito en un cineasta de izquierdas— apoya la decisión final de la doctora Marie Prieur, sopesando el sacrificio que supone y sin que su implícita admiración por el personaje le obligue a falsear los razonamientos, también aceptables que le opone su amante, André Lorenzi (L'amour d'une femme). Y no se trata de «dar una de cal y otra de arena», ni de buscar un punto de vista «neutral», sino de ofrecer al espectador una versión completa, no deformada, de los hechos, de los personajes, de sus relaciones y de las situaciones conflictivas, a menudo insolubles, a que pueden conducir. No es que Grémillon eluda tomar partido —es evidente que está de parte de André y Catherine, de los Gauthier, de Marie Prieur—, sino que tiene la honestidad de no falsear las alternativas, de no presentarlas como más cómodas, fáciles o claras de lo que son, del mismo modo que, por mucho que le conciernan, por próximo a ellos que se sienta, no cae nunca en la tentación —muy rentable, además, ya que facilita la identificación del público— de embellecer o blanquear a los personajes; ni sublima sus intenciones ni palia las consecuencias de sus actos. Esta visión compleja, verdaderamente dialéctica, de la realidad hace de Grémillon un autor excepcional, sobre todo si tenemos en cuenta la época en que realizó dos de las películas citadas —durante la ocupación alemana— y si comparamos la tercera con el cine que se hacía en Francia en 1953: no es extraño que no tuvieran éxito, ya que tampoco lo alcanzaron La régle du jeu (1939) de Renoir, Caught (1948) y The Reckless Moment (1949) de Ophüls, Clash by Night (1952) de Lang, Viaggio in Italia (1953) de Rossellini, Akasen Chitai (1956) de Mizoguchi o Tokyo Boshoku (1957) de Ozu.
Miguel Marías
Dirigido por… nº64, Junio 1979
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L'écriture, c'est du désir et de la jouissance, rien d'autre. Gérard Guégan | Appelle-moi Stendhal (2013)
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Alors, voici l’histoire. La leur et, parfois, la nôtre, telle que je me la rappelle. L’histoire d’un temps, et d’un parti, où le reniement de soi était souvent le prix à payer pour échapper à l’exclusion.
« A peine sont-ils sortis dans les jardins du Palais-Royal, que Mahé enlace Aragon et l’embrasse à la hussarde, sans retenue ni délicatesse.
Ils ne se séparent que lorsque le souffle leur manque, mais ils ne s’écartent pas l’un de l’autre ou si peu que ça ne compte pas. On devine à leur attitude que plus rien n’existe en dehors d’eux. Ils n’ont rien à envier à leurs voisins, peut-être une actrice et son amant, qui malgré le secours du montant de l’arcade se soutiennent pour ne pas tomber. Sans quitter des yeux Mahé, et la main sur sa hanche, Aragon soudain prononce ces quelques mots :
Entre nous, mon grand chéri, notre histoire, c’est quoi ? Un coup de foudre ?
– La vraie question, ce n’est pas de savoir si c’est un coup de foudre, la vraie question c’est de se demander s’il y aura un lendemain. J’ai envie de te répondre que oui mais, tu le sais, nous sommes des clandestins et nous sommes condamnés à le rester.
Aragon se tait. Il ne veut retenir qu’un mot. Condamné. Et c’est vrai, qu’ils le sont, condamnés. »
[...] Par bien des aspects, Mahé est resté un adolescent qui cherche à attendrir. Tout du moins dans les relations amoureuses. Parce que sinon, dans ses missions d’intimidation, il fait montre d’un flegme effrayant. Il n’y a qu’avec Aragon qu’il a fini par baisser la garde. Ça ne lui était pas arrivé depuis une éternité. D’où son éblouissement malgré le danger qu’il y avait à y céder. Aussi son départ n’était-il qu’un simulacre, une façon de dire à son amant : “Si tu m’aimes, empêche-moi de monter dans cet avion.”
Il ne l’empêchera pas. C’est clair.
Aragon est égoïste.
Mahé déteste les égoïstes.
Ce sont des planches pourries.
Sans doute, mais Mahé ne peut qu’aimer Aragon et être malheureux.
Qui dira la souffrance d’Aragon ? Gérard Guégan
Illustration : Un lit défait, Eugène Delacroix (vers 1827) Musée du Louvre
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