#Lycée de la Vallée de la Gresse
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Lycée de Meximieux : un superbe progrès : 50 M€ du Conseil Régional Auvergne Rhône Alpes pour un lycée au top de la modernité capable d'accueillir 1 200 élèves. Où est passé le projet de lycée de la Vallée de la Gresse défendu par Denis Bonzy alors Conseiller Général du Canton de Vif et inscrit officiellement par Guy Poirieux (VP chargé de l'enseignement) dans le PPI ? L'affaissement de l'agglomération grenobloise accéléré depuis 2014 sert les autres départements. Les investissements non mis en
Isère vont ailleurs à la grande joie des départements de l'Ain et des deux Savoie. La municipalité Piolle a réussi deux objectifs : la décroissance dans l'agglo faute d'une mobilisation de la ville chef lieu et la fermeture de la ville de Grenoble aux Communes voisines. Les investissements régionaux vont ailleurs ...
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Comment comprendre que le sud de l'agglomération grenobloise attende toujours son lycée ? La Région Auvergne Rhône Alpes effectue un effort considérable à destination des lycées. Dans le Rhône, ouverture du lycée Docteur Charles Mérieux , budget global : plus de 65 millions d’euros. À Meyzieu, construction du lycée Colonel Arnaud Beltrame (ouverture en 2023). Un nouveau lycée programmé sur Caluire-et-Cuire. Dans le département du Puy de Dôme, à Clermont-Ferrand, un nouveau lycée Saint-Jean est en chantier. Dans l’Ain, un nouveau lycée à Gex : 57 millions d'euros (ouverture en 2025 ). Et en Haute-Savoie, idem ... Et la liste pourrait durer longtemps. C'est un effort considérable pour ajuster à juste titre la carte scolaire à des pressions démographiques fortes et placer ces équipements dans une logique de proximité. Ce qui est l'intérêt des élèves comme des familles concernées. A plus forte raison quand on connait les difficultés de circulation dans l'agglomération grenobloise. Un lycée de proximité allègerait considérablement les trafics entre le péri-urbain sud et la ville - centre. Pendant les récentes élections cantonales, un candidat avait placé ce dossier du lycée de la vallée de la Gresse au coeur de ses priorités : Claude Soullier. Ce projet avait été classé en priorité de la Région à l'initiative de Denis Bonzy alors en qualité de Conseiller Général du Canton de Vif avant d'être déclassé par JJ Queyranne. La carte des lycées dans l'agglomération grenobloise mériterait une
actualisation et une forte mobilisation pour qu'enfin ce projet puisse voir le jour.
20/10/2021
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#Départementales2021 #Régionales2021 : J - 65 : début des 3 ans de travaux sur l'échangeur du Rondeau à l'origine de perturbations considérables pour les habitants de l'agglomération grenobloise : depuis le lundi 12 avril ont débuté les travaux sur l'échangeur du Rondeau - Echirolles. C'est la partie qui impactera le plus lourdement la fluidité de circulation dans l'agglo car cet échangeur est une plaque tournante de la circulation dans l'agglomération. Les travaux sont prévus pour durer jusqu'en 2024. Une réalité qui va mettre en surface notamment deux faits pour les habitants du sud de l'agglomération 1) l'impact particulièrement préjudiciable de l'immobilisme ces dernières années sur le projet de lycée de la vallée de la Gresse, projet qui n'a fait l'objet d'aucune attention de la part des conseillers départementaux sortants du secteur (Mme Martin Grand et M. Gimel). 2) La durée nouvelle des trajets lors de la prochaine carte scolaire des collèges puisque tous les collèges de proximité du secteur sont bondés et que le choix va intervenir sur le renvoi sur Picasso - Echirolles. Là aussi, une
situation totalement incompréhensible que la fermeture d'un collège dans le Canton de Vif au moment même où l'explosion des effectifs scolaires est considérable.
16/04/2021
#Lycée de la Vallée de la Gresse#Collège Jules Verne de Varces#Echangeur du Rondeau#Départementales2021#Régionales2021
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Lycée de la Vallée de la Gresse : enfin la clarté ! Suite aux engagements de candidats aux dernières élections départementales sur le projet de Lycée de la Vallée de la Gresse, le Club 20 a posé dernièrement une question simple : où en est le projet ? Combien de réunions locales pour dialoguer sur la localisation, sur le bassin précis de recrutement ... ?
Trois rappels s’imposent.
1) Un lycée de proximité, c’est une économie de temps importante pour les étudiants. Une économie d’argent pour limiter les frais de transports individuels ou collectifs. C’est donc une valeur ajoutée réelle concrète pour la qualité de vie des élèves et des familles.
2) Dans le sud de l’agglomération, de nombreux citoyens ont l’expérience de tels enjeux lourds de carte scolaire qui demandent beaucoup de travail collectif. En effet, quand Denis Bonzy a exercé la fonction de Conseiller Général du Canton de Vif, avec lui, les parents d’élèves du secteur ont obtenu et mis en application :
- l’extension restructuration du Collège Massegu à Vif,
- la construction du Collège Jules Verne à Varces,
- la reconstruction du Collège Moucherotte à Pont de Claix.
Par conséquent, avec trois réalisations de ce type menées dans des délais brefs, les citoyens du sud de l’agglomération ont l’expérience nécessaire. Ils connaissent les
étapes, les lourdeurs ...
3) Depuis plusieurs mois, le Club 20 est dans l’incapacité d’obtenir des informations simples par exemple la tenue de réunions de travail à l’initiative des conseillers départementaux. Certains disent que des réunions seraient intervenus ? D’autres disent que non ? Si bien qu’il y a un mois, par le canal de Facebook, nous avons demandé à un Conseiller Municipal de Varces de nous donner les dates des réunions tenues. Il a fait part de son accord pour rechercher cette information. Et depuis, pas de nouvelle.
Et pour cause, la Région a remis totalement à plat la programmation des Lycées. Tout est bloqué. C’est donc le vide total. Il ne peut pas y avoir de réunion quand la Région a déprogrammé les opérations éventuelles.
La preuve :
Très probablement, à ce rythme, ce sujet deviendra l’une des préoccupations des prochains candidats et des élus du prochain mandat. C’est dommage. Parce que c’est en délocalisant des équipements publics de ce type de Grenoble que les trafics de circulation sur Grenoble changeront.
11/05/2017
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Le marqueur du Lycée de la Vallée de la Gresse ou l’impératif pour l’agglomération grenobloise de mettre en oeuvre d’autres centres de gravité : mardi 02 mai, date de la rentrée scolaire, c’est le véritable rendez-vous pour le nouveau plan de circulation de la Ville de Grenoble. Ce rendez-vous va montrer, si besoin était, qu’il ne peut pas y avoir de plan de circulation efficace sans la définition préalable des vocations des espaces qui structurent les déplacements. Prenons un exemple concret : le projet de lycée de la Vallée de la Gresse. Le projet a été acté en mars 1991. Il y a 26 ans. Comment expliquer l’immobilisme absolu pendant 26 ans ? Certes, selon les élus, les niveaux de mobilisation ont été différents, parfois meme manifestement inexistants comme depuis 2015 puisqu’il est impossible d’avoir communication d’une seule date de réunion locale sur ce sujet. Et pour cause, depuis plus de 2 ans, pas une seule réunion n’a été organisée ... Le blocage va bien au-delà. La conception des lycées de proximité remet en cause toute la carte scolaire des lycées “grenoblois”. Construire des lycées de proximité, c’est vider une partie importante des effectifs de lycées grenoblois. Un vieux débat local ayant donné lieu à des altercations vives dans l’assemblée départementale par exemple entre Charles Descours, alors Conseiller général de Grenoble et Denis Bonzy, alors Conseiller Général du canton de Vif.
Ce faisant la Ville de Grenoble montre les contradictions absolues de ses prétentions. Il n’est pas possible de réduire les conditions d’accès à la Ville tout en conservant les obligations d’accès à la ville compte tenu de certains services publics que la Ville refuse de voir “délocalisés” pour partie. Le dossier des lycées est exemplaire en la matière. Qu’il s’agisse de lycées publics ou privés. Avec le nouveau plan de circulation de Grenoble, l’accès au lycée Termier (1 000 élèves) à partir du Sud de l’agglomération, c’est un parcours du combattant considérable.
Un temps quotidien pris dans des déplacements sans fin. Une réelle inégalité. Un volet de multiplication de centres de gravité pour structurer des bassins de vie à l’extérieur de Grenoble qui n’est pas pris en considération par l’actuel PLUI (Plan local d’urbanisme intercommunal) en dépit des dépenses d’études externalisées considérables engagées par la Métro. Un sujet toujours pendant qui pourra d’autant moins être sérieusement réglé si les plans d’urbanisme sont remis en question tous les 5 ans au plus. C’est un volet qui demande de la durée donc un certain consensus local. Un des sujets les plus importants qui n’est pas traité actuellement avec l’attention nécessaire.
30/04/2017
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La politique locale dans l’agglomération grenobloise ou l’enfumage permanent pour cacher un immobilisme dramatique : aujourd’hui, aucun observateur objectif sérieux ne conteste le déclassement de l’agglomération grenobloise dans la compétition des territoires. La seule question pour l’avenir c’est : ce retard est-il rattrapable et si oui combien d’années d’efforts pour le faire ? Prenons un exemple précis lié à la vie quotidienne : les lycées. Le sud de l’agglomération grenobloise explose. Le projet de lycée de la Vallée de la Gresse n’a pas avancé. Existe-t-il une seule motion de la Métro et des Communes concernées pour présenter un projet ? Non ! Une seule motion du Département pour montrer l’urgence de ce qui serait un changement considérable dans la vie quotidienne ? Non. Et dans le même temps, exemple parmi d’autres, grâce à une très large mobilisation positive des élus locaux, dans l’Ain, pour un seul bassin de vie (la Plaine de l’Ain) la Région investit 77 millions d’euros pour les lycées du secteur dont 35 M€ pour un nouveau lycée totalement neuf avec une remarquable section sports études. Là c’est du concret ouvert dès
2022. Un lycée dans le sud de l’agglomération, c’est un changement de vie immédiat pour les lycéens, moins de fatigue de trajets et pour les parents et une façon de contribuer à un moindre trafic routier en direction de la ville centre. L’immobilisme local actuel est dramatique. Dans l’agglomération grenobloise, l’imagination n’est pas mobilisée pour avancer mais pour trouver le fauteur-alibi qui permet d’excuser l’immobilisme. Hier Capitale du sport d’hiver, aujourd’hui statut perdu au profit des 2 Savoies, l’agglomération grenobloise est la Capitale de l’immobilisme. Irréel à ce point.
14 septembre 2019
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Quand le local est devenu l’hôtellerie logistique du national ... : une fois la fièvre retombée, la présidentielle 2017 a été l’occasion de la mise en surface de faits locaux importants désormais avérés dont un : la fonction d’élu local a beaucoup évolué : ce sont aujourd’hui souvent des hôteliers de la logistique du national. Prenons des exemples précis. Quels sont les problèmes concrets rencontrés dans l’agglomération :
- le coût des dégradations d’équipements publics : voitures, abribus, matériels de la Semitag ... : une fois la dégradation constatée, quelles suites ? Aucune. Les contribuables payent.
- Pour le sud de l’agglo, le projet de lycée de la Vallée de la Gresse : toujours en l’état de nouveau, nouveau, nouveau projet au gré des élections.
- Pour la sécheresse qui est annoncée de tous les côtés avec les problèmes d’alimentation à venir cet été : pas de stress hydrique pour prévenir.
... et la liste pourrait durer longtemps. Les sujets à traiter sont connus. Mais ils ne bougent pas. Comment expliquer ce vide ? Les élus locaux s’occupent de la politique nationale. Leurs mandats locaux, c’est d’abord la logistique payée par les contribuables : un bureau, le courrier, le téléphone, le recrutement de collaborateurs ... Mais le reste n’intéresse pas ou si peu.
La facilité des constats dressée par les réseaux sociaux ne ment pas. Prenez des comptes Twitter ou Facebook, il n’y a que des informations en fonction des clans politiques nationaux. Des pré-investitures locales ne sont pas attribuée en fonction du mérite ou de la consultation des militants mais si souvent en fonction du seul copinage par rapport aux différents clans. Même aux heures de travail de fonctionnaires de cabinet, des comptes de réseaux sociaux sont envahis par des messages sur tel ou tel candidat que ce soit du temps des primaires ou plus encore dans les derniers mois de l’actuelle présidentielle. Il y a davantage d’informations de politique nationale que de données sur les dossiers locaux. On comprend mieux la banalisation de certaines réalités probablement qualifiées prochainement juridiquement de “travaux fictifs” quand il y a une telle généralisation de ... “travaux détachés”. C’est une réalité qui n’échappe plus aux citoyens exaspérés face à de telles situations.
14/04/2017
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Quand une soirée sur la recette du tajine au poulet dans la Province Nord de l’Ouzbekistan mérite davantage d’attention que la démission d’un Conseiller Municipal ... : il y a des moments où la démocratie locale dans l’agglomération grenobloise met en relief d’elle-même, par l’ordre des priorités officielles, les crises qu’elle veut absolument cacher. Prenons des exemples concrets récents. 1) Vous êtes Conseiller Municipal en charge de la sécurité. Vous démissionnez. Pas une ligne pour rendre hommage aux heures consacrées à cette fonction. Pas un seul article pour s’expliquer. Vous êtes en charge des finances et cette délégation vous est reprise en pleine période de préparation budgétaire : pas une ligne. Pas une explication. Vous avez servi une Commune comme
Directeur des Services Techniques pendant 12 ans. Vous êtes conduit à la quitter : pas une ligne. Pas une explication. Tous ces silences sont la négation de la reconnaissance de fonctions et au-delà d’êtres humains, avec lesquels il est possible ou pas d’être d’accord, mais qui méritent le respect. Et le premier respect c’est de considérer qu’ils ont ... existé. Le Club 20 ne cautionne pas cette logique nouvelle de communication qui consacre à un point jamais connu une mentalité kleenex. Cette mentalité peut même être appliquée au moment le plus “solennel” : il est même possible d’avoir servi comme Maire une Commune dans l’agglo et ne pas mériter une ligne dans le magazine municipal ou une ligne dans le quotidien régional lors de son ... décès ! C’est du jamais vu. Jamais vu nulle part ailleurs. Ici, il est possible de préférer le focus sur la recette du tajine ou les secrets de la plantation du pavot sur les hauts plateaux des Andes ... 2) Est-il possible qu’il y ait des informations vraies à partir d’un compte ... faux ? La question mérite d’être posée différemment : quel peut être l’intérêt d’un compte “exotique” pour diffuser des informations justes ? Depuis début 2017, l’agglomération avait une “spécialiste” du décompte des présents aux réunions : le compte Facebook au nom de Mme Isabelle Garcin-Wernioz. Dès qu’il s‘agissait d’une réunion d’une personne qui n’est pas un adhérent de LR38, la moquerie fusait. Olivier Véran avait été sa “bête noire” pendant les législatives 2017. Puis le Club 20 avec des commentaires très agressifs et en février 2018 le Cercle du Sud Grenoblois. Toujours la même méthode : les moqueries : “ils ne sont que ...”. Le 7 février 2018, sur sa lancée habituelle, Mme Isabelle Garcin-Wernioz commente une photo du Cercle du Sud Grenoblois avec son acidité habituelle. Face à une remarque courtoise, c’est ... Sandrine Chaix qui répond en s’appropriant le compte de Mme ... Isabelle Garcin-Wernioz. Qui est Sandrine Chaix ? Elle est conseillère régionale rémunérée dans la majorité de Laurent Wauquiez + assistante parlementaire rémunérée du sénateur filloniste Savin + assistante rémunérée du groupe dit d’opposition à la Métro. Or tout dernièrement, Mme Chaix vient de tenir une réunion sur Grenoble pour présenter un lycée à 52 millions d’euros (pendant que le lycée de la Vallée de la Gresse attend toujours ...). Combien de personnes présentes : 19.
Une remarque de Mme Isabelle Garcin-Wernioz à ce sujet ? Non. Il est vrai que depuis nos demandes d’explications son compte est ... fermé ! Mais là aussi, une élue n’éprouve aucun besoin moral de s’expliquer face à une confusion légitime qu’elle a suscitée par son propre comportement. Du jour au lendemain,un compte et une identité sont perdus dans les couloirs du temps ...
L’agglomération grenobloise se vante souvent d’être un “laboratoire de démocratie”. Sur ces dossiers, les “éprouvettes du laboratoire” ont des composants qui méritent d’être sérieusement révisés.
10/03/2018
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