#LowellDean
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DIE ALONE (2024) Movie Trailer: Carrie-Anne Moss & Frank Grillo star in Lowell Dean's Zombie Thriller https://film-book.com/die-alone-2024-movie-trailer-carrie-anne-moss-frank-grillo-star-in-lowell-deans-zombie-thriller/?feed_id=145836&_unique_id=66d2794da56dd
#MovieTrailer#CarrieAnneMoss#DieAlone#DouglasSmith#FrankGrillo#KimberlySueMurray#LowellDean#QuiverDistribution#StevenRoy#filmbook
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“Die Alone” (2024) Movie Review >>To Watch The Full Movie Click Here>> https://joymahidul.com/die-alone-2024-movie-review #BanglaReview, #CarrieAnneMoss, #DieAlone2024, #DouglasSmith, #FilmCritique, #FrankGrillo, #HorrorThriller, #LowellDean, #MovieExplanation, #MovieReview,
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Today at http://psychodrivein.com Cahiers du Horror 04: Director Roundup April 2020 Who is the George Romero of tomorrow, or the Wood, the Milligan, the Steckler? --- Read more of Fred's article at the link in our profile! #richardraaphorst #jasonleihowden #lowelldean #quentindupieux #frankensteinsarmy #deathgasm #gunsakimbo #wolfcop #anotherwolfcop #supergrid #13eerie #deadlands #rubber #wrong #wrongcops #reality #keepaneyeout #deerskin #mandibles https://www.instagram.com/p/B_Spyg0HzzM/?igshid=1bnjxmqbd9v9l
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This Friday night is brought to you by #hotdogs #beer & #wolfcop! #dudedesigns #thedudedesigns #lowelldean #wolfcopthemovie
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I’m looking forward to finally watching Supergrid this morning.
#5amCinema #CanadianFilm #filmmaking #Supergrid #LowellDean #LeoFafard #Canadian
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13 EERIE (2013) Avant WOLFCOP (2014) et ANOTHER WOLFCOP (2017), Lowell Dean a fait EERIE 13, petit film sans prétention: on ne va pas vous mentir, le scénario horrifique tient sur un bout de papier, avec son lot de personnages stéréotypés au possible. Quelques étudiants en médecine légale -entendez par là des apprentis légistes- se retrouvent sur l’île d’Eerie Strait, en vue de passer un examen: avec ces quelques corps de prisonniers décédés abandonnés sur les lieux, leur professeur va leur laisser champ libre pour procéder à leur évaluation pratique, en binômes, et aidé par un système de surveillance. EERIE 13 est donc très simple, va à l’essentiel, sans vraiment surprendre, les pauvres étudiants réalisant rapidement que les rumeurs au sujet de l’île sont réelles: une prison secrète, des tests biologiques, tout est là pour que des zombies errants viennent perturber leur séjour, les morts ne l’étant pas vraiment. On retrouve d’ailleurs l’acteur Brednan Fletcher, un habitué de la caméra d’Uwe Boll: fort heureusement, son rôle est secondaire et n’entache pas le visionnage de EERIE 13. Bon, on est loin de l’amusement de la saga WOLFCOP, toujours dans la série B MAIS plusieurs choses se démarquent de cette petite production. Tout d’abord, les effets spéciaux des dits zombies, plutôt pas mal, à l’ancienne, et pas mal de gore viscéral qui en découle: c’est très sale -positivement parlant-, et ça accentue l’atmosphère pesante de l’île abandonnée. En effet, les maquillages sont carrément valables -le zombie cloué au mur qui tire jusqu’à presque s’arracher le visage-, à l’image de la performance efficace de l’actrice Katharine Isabelle -non messieurs les pervers, ce n’est pas Sophie Dee-, taillée pour son rôle de survivante/combattante. Pas grand-chose à dire de plus, la petite heure et demie passe assez vite, et Lowell Dean ne peut s’empêcher de livrer une fin “à la con” assez inattendue par sa tournure humoristique très noire -les prémisses de WOLFCOP, sans doute-. EERIE 13 vous fera patienter jusqu’à WOLFCOP 3, faible substitut d’un réalisateur prometteur: et pour la point de vue objectif, c’est un long-métrage un peu faible mais bien gore, avec ses idées inventives. Y’a mieux, y’a pire... LOWELL DEAN ORIGINS /20
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Designed a proper logo for Organo (which kinda had its debut in the coloured Birthday page for Gowan/@organo-the-return back in November)
Might make this available on prints and things...soon
Based this on the typography used in Gowan's logo from his Strange Animal album onwards.
Art (c) Illia St. Onge
Organo concepts (c) Gowan/@lowelldean
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What a fun movie - starting your transformation while pissing blood was hilarious - wolf penis LOL - gotta check our the sequel #OoH #WolfCop #2014 #LowellDean.#director #LeoFafard #AmyMatysio #BlackFriday #Shudder #ilovehorrormovies #toothandnail #bloodandfangs #teethandclaws #Werewolves — view on Instagram https://ift.tt/2TCSex8
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Review: WolfCop Vol. 1: Hog Wild #1
Review: WolfCop Vol. 1: Hog Wild #1
WolfCop Vol. 1: Hog Wild #1
Publisher: Dynamite
Writer: Max Marks
Art: Arcana Studios
Created/Edited By: Lowell Dean
The artwork of WolfCop Vol. 1: Hog Wild #1by Arcana Studios is great. They use a “not too much, not too little” style with their pencils and inks that is fun to look at. It is Arcana Studios’ coloring however takes the cake. It’s a brilliant blend of shades and colors that adds a…
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On this very special Bigger Show Mike and Cam interview the writer/director of the upcoming film, WolfCop!
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WolfCop director Lowell Dean and actor Leo Fafard have been travelling across Canada recently in preparation for the world premiere on June 6 and the Eastern Canada premieres today (Friday the 13th)! A few days ago they sat down with the good people at The Edge 102.1 in Toronto - here's the clip if you had the misfortune of missing it!
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Today at http://psychodrivein.com 13 Eerie (2013) Katharine Isabelle plays Megan, the blonde who doe-eyes the teacher in the beginning, but as the zombies begin attacking, becomes an energetic tour-de-force, showing the most resilience and the most arc of any other character. --- Read more of Fred's review at the link in our profile! #13eerie #katharineisabelle #lowelldean #michaelshanks #brendanfahr #nickmoran #jessemoss #zombie #zombies https://www.instagram.com/p/B-NUhCBHd2I/?igshid=6n3g8bwayfda
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ANOTHER WOLFCOP (2017) Lowell Dean nous avait enjoués avec WOLFCOP (2014), film déjanté mêlant hommage aux eighties et amour du lycanthrope: comme promis à la fin du générique de ce dernier, la suite est là, intitulée ANOTHER WOLFCOP. On retrouve avec plaisir Leo Fafard dans le rôle du flic loup-garou Lou Garou, ainsi que ses sidekicks qui reviennent à ses côtés, toujours autant motivés pour foutre le bordel: car l’esprit de WOLFCOP, au risque de se répéter, ce n’est pas de faire du grand art, mais de la comédie horrifique sincère, drôle, et gore. Répondant sans mal à ces besoins/pulsions d’un public bien ciblé, ANOTHER WOLFCOP ne joue pas la redite -le complot reptilien sera bien présent, mais sous une forme inattendue, plus moderne-, innove -une femelle loup-garou à trois paire de seins!-, et renforce son identité en proposant une aventure inédite dans la même bourgade que le premier opus. Alcool, donuts, radio tenue par les mêmes animateurs, lieux bien connus, on est clairement dans le monde de WOLFCOP, et cet univers s’agrandit, s’étoffe peu à peu: nouveau long-métrage, nouvelle menace, c’est donc la compagnie Darkstar -au logo mal camouflé, et c’est volontaire- qui pourrit la petite ville canadienne avec sa boisson Chicken Milk, qui une fois bue provoque d’affreux symptômes -l’influence STREET TRASH (1987), sans doute-: pour remédier à cette invasion, qui de mieux que Lou Garou et ses potes pour aller casser du super-soldat, et couper des têtes en faisant du patin à glace? Appuyant encore plus fort là où WOLFCOP était “timide”, ANOTHER WOLFCOP s’assume encore plus, parodiant de façon géniale l’affiche du thriller culte COBRA (1986), Lou Garou dans sa forme animale remplaçant Sylvester Stallone: alors oui, beaucoup diront que ce second chapitre surfe sur la vague “revival 80′s”, MAIS n’oublions pas que le premier épisode était là avant un certain KUNG FURY (2015). De l’avant-garde rétro-nostalgique? Carrément, et même si les notes de RottenTomatoes et autres n’encouragent pas à regarder les WOLFCOP, qu’est-ce qu’on en a à foutre? Punchlines rigolotes, situations abracadabrantes, c’est rythmé comme un trip instoppable. Arguant sur son poster original que “Les suites sont une maladie: rencontrez le remède” ANOTHER WOLFCOP ne ment pas et nous offre un divertissement de durée égale à son aîné -1h18-, meilleure en tous points -sauf si vous préférez le “frisson de la découverte”, et on rit énormément pendant le visionnage. C’est simple, si WOLFCOP vous a plu, vous aimerez/adorerez le second: et si Kevin Smith passe faire le couillon durant le film, ce n’est pas pour rien, lui qui a sa propre carrière: double combo parfait pour un samedi soir arrosé entre amis, la saga n’a rien à se reprocher. On gagne avec ANOTHER WOLFCOP une certaine qualité -on passe de série B “cheapos” à série B correcte-, en plus du traditionnel message final -un peu plus prudent car annoncé sans deadline-: WOLFCOP WILL RETURN. Allez, on attend patiemment que Lowell Dean finisse sa trilogie, plaisir coupable de délire gras et de passion du genre. Cooler than ever. VITE LE 3 /20
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WOLFCOP (2014) Embarquement immédiat pour le Canada avec WOLFCOP, second film du réalisateur Lowell Dean: shériff alcoolique -au dernier degré, vraiment- d’une petite bourgade, Lou Garou -ça ne s’invente pas, et mérite le visionnage en V.O. pour la subtilité”, victime d’un rituel occulte, se transforme en lycanthrope. Une étape importante de tout film de loup-garou qui sera filmée à même LA TEUB du protagoniste principal, pissant -littéralement- du sang alors que sa toison de monstre éclate ses chairs! Un pitch aussi simple qu’efficace pour ce long-métrage de série B, très conscient de sa condition, qui nous emmène dans son délire pendant 1h18 -scène post-générique incluse-: pas de fioritures ici, WOLFCOP a connaissance du temps qui lui est imparti, et va profiter à fond de ce dernier pour nous divertir grassement, et rythmer son récit de comédie horrifique d’une manière on ne peut plus assumée. Des gros plans dynamiques et évocateurs pour camoufler le budget moyen, comme autant de techniques déployées pour soutenir cette histoire amusante et old-school: si un filtre orange dégueulasse s’affiche à l’écran, c’est à cause d’une éclipse solaire; et si quelques faux-raccords sont décelables, on s’en TAPE. WOLFCOP, bien que de seconde zone, trahit la volonté joyeuse d’un réalisateur profitant au maximum de ses opportunités, tout en gardant une cohérence sur la durée: Lowell Dean est derrière la caméra, mais a aussi écrit le film, et ça se ressent beaucoup. Très franc, WOLFCOP n’hésite pas à s’auto-caricaturer -une différence avec l’autoparodie, celle-ci trop souvent involontaire ou ridicule-, fort d’une spontanéité rafraîchissante: toujours en quête d’alcool quelles que soient les circonstances, Lou Garou a, en plus de son addiction permettant de lui attribuer certaines caractéristiques, un charisme adéquat desservi par l’acteur Leo Fafard, on ne peut mieux choisi pour le rôle. Errant dans la petite ville avant sa transformation, son personnage nous immerge dans ce lieu -et ses traditions- où règne la racaille redneck, et pourquoi pas des reptiliens régissant la bourgade dans le plus grand secret: des histoires de famille en passant par la corruption policière jusqu’à même recycler d’une façon adulte -la scène de sexe- Le Petit Chaperon Rouge, WOLFCOP use d’une recette fonctionnelle qui dépasse ses atours visibles. Distant avec le mythe lycanthrope, il va l’utiliser pour le “souder” à sa storyline, oscillant entre “reveals” sérieux, et phases totalement gores -la transformation de Lou, sans CGI aucun, très rugueuse, texturée, et ruisselante -crade, quoi- où parfois l’humour noir s’immisce sans gêne -la flic qui joue avec un masque de chair sans se rendre compte de l’irrespect de la situation-. On ne s’ennuie pas devant WOLFCOP donc, à l’image de cette séquence où Lou, transformé, revêt son uniforme de flic pour aller customiser sa voiture de fonction en gravant un gros “W” sur son capot, entre deux règlements de compte -pisser sur des tagueurs/exploser un laboratoire où est conçue de la drogue-: fendard et direct, le long-métrage compense généreusement sa seule faiblesse -le budget- par son entêtement passionné à aller de l’avant, pour que ses spectateurs passent un bon moment, sans prise de tête. Avec sa fragrance de film des années 80 -le soundtrack est aussi sorti au format cassette audio en édition limitée, le visuel des ses affiches, son style rétro en ce qui concerne ses SFX et son état d’esprit décomplexé-, WOLFCOP se conclut sur une annonce nous teasant WOLFCOP II pour 2015: bon, la suite a bien eu lieu, mais disponible en 2016, sous le nom de ANOTHER WOLFCOP. Et devinez quoi? Elle sera l’objet de la prochaine review! Allez, criez au loup, WOLFCOP vous le rendra bien! JERRY GOLAY /20
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