#Les arbres en ville
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Du Climat des Arbres des Hommes .Soissonnais en Transition. Pierre Lenob...
#youtube#changement climatique#les arbres et le changement climatique#La forêt de demain#L'avenir des forêts#Les arbres en ville
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Le choix du sapin qui trônera dans le salon revient à mon plus jeune fils depuis qu'il est tout petit. Il aura 18 ans en janvier, et cette année encore, il a choisi le plus grand qu’il ait pu trouver. De mon côté, j’envisagerais volontiers un sapin en plastique, mais j’hésite toujours à déterminer ce qui est réellement le plus écologique. Faut-il privilégier un arbre artificiel, fabriqué à partir de plastique, ou opter pour un sapin naturel, cultivé spécialement pour Noël, puis recyclé dans la chaufferie à bois de ma ville, qui fournit du chauffage à de nombreux habitants ?
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L'ombre n'est-elle qu'une simple et grande illusion portée sur la terre
l'égale de notre passage éphémère
parmi les arbres, les pierres et les villes ?
Je voyais dans cette ombre que la lumière m'offrait
mon humble condition, mon devenir multiplié et fragile,
nous qui ne sommes que des ombres en puissance,
passagère.
.
(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(vendredi 21 octobre 2005)
#poème#poésie#poètes sur tumblr#french poetry#poésie contemporaine#poètes français#dans la portée des ombres#les ombres#condition humaine
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À l'heure où les rayons du soleil Caressent horizontalement la plaine Projetant les ombres des ormes vers l'orée de la forêt et de l’obscur, Je croisai son regard.
Les semelles noyées, chaque pas m'étais lourd Bruyant d'humidité et de roseaux froissés Je me rêvais mystérieux à longer le boqueteau quand la silhouette m’effraya. Je me retrouvai chancelant, caduc.
Caduc et honteux, devant l'animal déboisé: La forme était grande et majestueuse, aux longues jambes élancées. La robe était mouchetée et lisse, telle un champ de lin couché après un orage d'été. J'étais boueux, tremblant de honte et de stupeur.
Elle se tourna vers moi, au travers du champ, Et, maternelle, elle parti, m'abandonnant après s'être retournée une dernière fois, Ses yeux sombres me traversant par dessus son garrot. Je me précipitais sans un mot, ahuri.
Tant bien que mal, je sortais mes genoux des remous et de la tourbe. Malgré mes efforts, la silhouette s'éloignait, disparaissant entre deux clairières, Semblant jouer à m'attendre et se laisser cacher derrière les arbres, au milieu de la nuit tombée. J’avais déjà trouvé une dizaine de façons de la heller.
Mes chausses atteignirent le sol dur d'une départementale Puis longèrent un temps une nationale, derrière le parapet. Des voitures pressées aux phares perçants dessinaient de temps à autre l'animal. Je me surpris à courir à en brûler mes poumons.
Halluciné, éreinté, c'est la ville qui se découvrait pourtant à mes yeux. Dans un élan de lucidité je reconnaissais déjà la grande rue. Et pourtant il me semblait toujours distinguer la bête, entre coins de rues et vitrines sombres. J'entendis même le bruit de ses pas sur les pavés.
Et à l'heure où les rayons du soleil Dessinent enfin horizontalement le contour de la ville Projetant les ombres des formes, des bâtiments sur l'impasse étroite et l'animal enfin arrêté. Elle se tourna, en silence, et me chargea.
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 8 : Bienvenue à Storybrooke
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Agatha, Lilia, Ivana, Lucillia, Jen et Alice se tenaient au milieu d'une route en bitume, entourées par un paysage qui semblait tout droit sorti d'un rêve. Le bitume noir, brillant sous le soleil, s'étendait à perte de vue, bordé de chaque côté par des arbres majestueux dont les feuilles dansaient doucement au gré du vent.
Les sorcières avaient l'air perdues, leurs visages trahissant la confusion et l'inquiétude. Agatha, avec ses cheveux ondulés et son regard perçant, scrutait l'horizon, espérant apercevoir un signe de leur destination. Lilia, quant à elle, jouait nerveusement avec une mèche de cheveux, son esprit tourbillonnant d'inquiétude. Ivana, toujours pragmatique, tentait de calmer le groupe, mais son ton trahissait son propre doute.
Lucillia et Jen, échangaient des regards inquiets, tandis qu'Alice, semblait perdue dans ses pensées, contemplant les nuages qui flottaient paresseusement dans le ciel bleu. Les murmures des sorcières se mêlaient au chant des oiseaux, créant une mélodie douce-amère d'incertitude.
La chaleur du soleil pesait sur elles, et l'odeur d'herbe fraîche s'élevait dans l'air, mais cela ne faisait qu'accentuer leur sentiment d'errance. Elles se tenaient là, au milieu de cette route, réalisant qu'elles étaient loin de chez elles, sans aucune idée de la manière dont elles avaient atterri ici. Leurs cœurs battaient à l'unisson, un mélange d'appréhension et d'espoir, alors qu'elles cherchaient désespérément une direction, un indice, ou simplement un moyen de retrouver leur chemin.
Subitement, le groupe d'amies fut tiré de ses pensées par un éclat de lumière éblouissant. Une voiture, d'un rouge vif, s'arrêta brusquement juste devant elles, faisant crisser ses freins sur le bitume. Les sorcières échangèrent des regards surpris, le cœur battant à l'unisson dans cette atmosphère tendue.
L'homme qui sortit de la voiture avait l'air complètement perturbé. Ses cheveux en désordre et son regard écarquillé trahissaient son étonnement face à cette scène incongrue. Il s'approcha d'elles, l'air inquiet, et demanda d'une voix hésitante :
« Que se passe-t-il ici ? »
Agatha, qui avait toujours eu un tempérament fort, le regarda avec un regard noir, ses bras croisés sur sa poitrine.
« Qui êtes-vous ? » demanda-t-elle d'un ton ferme, ne laissant aucune place à l'ambiguïté.
L'homme, visiblement pris au dépourvu par son attitude, balbutia un instant avant de répondre :
« Je m'appelle David Nolan. Je suis le sherif de la ville , je ne m'attendais pas à voir un groupe de femmes au milieu de la route. C'est dangereux ! »
Lilia, se penchant légèrement en avant, ajouta avec un sourire moqueur : « Oui, et nous ne sommes pas là pour faire du camping, vous savez. »
Ivana, toujours pragmatique, tenta de calmer la situation. « Écoutez, David, nous sommes un peu perdues. Peut-être pouvez-vous nous aider ? En réalité on se sais même pas comment on à fait pour att »
David, réalisant qu'il avait interrompu quelque chose d'important, se gratta la tête, l'air embarrassé. « Euh, bien sûr. Je peux vous donner un coup de main... mais il faut que vous vous écartiez de la route. »
Jen, avec un clin d'œil, murmura à Alice : « On dirait que notre sauveur est arrivé. »
☆○o。 。o○☆
La nouvelle de l'arrivée de ces étranges personnes avait déjà commencé à circuler, et il savait que chaque seconde comptait. Il rassembla toutes les sorcières, et les conduisit vers le bureau de Regina.
Arrivés devant le bureau, il frappa à la porte, le bruit résonnant comme un tambour dans le silence tendu. Regina, avec ses cheveux brun et son regard perçant, ouvrit la porte. Elle les accueillit avec un sourire amère et David pouvait voir l'inquiétude dans ses yeux.
Regina, avec ses cheveux brun qui brillaient sous la lumière du soleil, fixa Agatha avec un regard perçant. Ses sourcils se froncèrent légèrement alors qu'elle prenait la mesure de la sorcière devant elle.
« La sorcière du chaos, vraiment ? » s'exclama Regina, levant les yeux au ciel avec une exaspération palpable. « Je peux savoir ce que tu fais dans ma ville ? »
Agatha, avec un sourire énigmatique, répondit d'une voix douce mais assurée : « Nous sommes arrivées par hasard, Regina. C'était imprévu. »
Regina plissa les yeux, visiblement sceptique. « Par hasard ? Je doute que le chaos soit une simple coïncidence. »
C'est alors que Lucillia, avec son enthousiasme habituel, s'avança, les bras légèrement écartés comme pour apaiser la tension. « C'est vrai, madame ! On était sur la route des sorcières et on a atterri ici. »
Regina tourna son regard vers Lucillia, surprise par sa franchise. « La route des sorcières, dis-tu ? » demanda-t-elle, son ton se radoucissant légèrement. « Et vous pensez que cela justifie votre présence ici ? »
Lucillia hocha la tête vigoureusement. « Oui ! C'est un peu comme un accident de voyage. On ne voulait pas déranger, mais maintenant que nous sommes là, peut-être que nous pourrions... »
« Non, non, non, » interrompit Regina, levant une main pour couper court aux explications. « Je ne peux pas simplement laisser des sorcières errer dans ma ville sans savoir ce qu'elles prévoient. »
Ivana croisa les bras, un sourire amusé aux lèvres. « Peut-être que si nous vous racontions notre histoire, vous comprendriez mieux pourquoi nous sommes ici. »
Regina soupira, son regard balayant le groupe de sorcières. « Très bien. Je vous écoute. Mais sachez que je n'hésiterai pas à agir si je sens que vous représentez une menace. »
La tension dans l'air était palpable, et le silence s'installa alors que les sorcières se préparaient à expliquer leur présence, chacune consciente que le destin de leur rencontre dépendait des mots qu'elles choisiraient.
Ivana, avec une lueur d'enthousiasme dans les yeux, s'avança, les mains gesticulant légèrement. « Nous avons pris la route pour obtenir la récompense à la fin du chemin, mais sur la route, un portail nous a transportées ici ! » expliqua-t-elle, sa voix pleine d'excitation. « Nous voulons bien repartir, vraiment. »
David, les bras croisés, secoua la tête avec une moue désapprobatrice. « C'est impossible. Les limites de la ville sont bloquées avec la magie. Vous ne pouvez pas partir comme ça. »
Agatha éclata de rire, un son clair et moqueur qui résonna dans l'air. « Alors, un sort que tu as encore raté, Regina ? » dit-elle en se tournant vers la sorcière, son sourire taquin trahissant son amusement.
Regina, irritée par le commentaire, lança un regard noir à Agatha. « Si tu ne veux pas que je te transforme en carpeaux, tu ferais mieux d'arrêter de me charrier, » rétorqua-t-elle, sa voix ferme et pleine de menace sous-jacente.
La tension était palpable, et un silence lourd s'installa alors que les autres scrutaient Regina, attendant sa réaction. Ivana, un peu intimidée, tenta de calmer l'atmosphère. « Écoutez, nous ne cherchons pas de problèmes. Nous voulons simplement rentrer chez nous. »
David soupira, son regard passant de Regina à Agatha. « Peut-être qu'il y a un moyen de lever le sort, mais pour le moment on cherche encore alors désolé mais vous allez être coincé avec nous un moment. »
Regina, toujours sur la défensive, croisa les bras. « Très bien, mais sachez que je n'hésiterai pas à utiliser mes pouvoirs si cela tourne mal. »
Agatha, visiblement amusée par la situation, se pencha légèrement en avant. « Oh, je suis impatiente de voir comment cela va se dérouler. »
Les regards échangés entre les sorcières et David témoignaient d'une tension palpable, alors que chacun réalisait que leur destin était désormais lié dans cette ville magique.
Lilia, les sourcils froncés, s'approche du groupe avec une lueur d'inquiétude dans les yeux. "Il faut vraiment qu'on trouve un moyen de se loger. On ne peut pas rester ici sans plan," dit-elle, sa voix trahissant une légère panique.
David, toujours prêt à agir, se redresse et lance avec enthousiasme : "Pourquoi ne pas aller chez Granny ? Elle a toujours de la place pour les invité !" Son sourire contagieux semble apaiser un peu l'atmosphère tendue.
Lucillia, visiblement d'accord, acquiesce avec énergie. "C'est une excellente idée, !"
Regina, les yeux levés au ciel, ne peut s'empêcher de sourire malgré elle. "D'accord, d'accord, je valide. Mais je ne veux pas que ce soit trop chaotique, comme d'habitude," ajoute-t-elle en croisant les bras, un air faussement sévère sur le visage, trahissant son amusement.
☆○o。 。o○☆
Le soir était tombé, enveloppant la ville d'une douce lumière tamisée. Une soirée chez Granny s'annonçait, une occasion parfaite pour les nouveaux arrivants de se mêler au reste du groupe. L'ambiance était à la fois excitante et nerveuse, et Lucillia se tenait devant le miroir de sa chambre, son cœur battant la chamade.
Elle observait son reflet, anxieuse, ne sachant pas vraiment quelle tenue choisir. Les pensées tourbillonnaient dans son esprit, des doutes sur son apparence et son style l'assaillant. Finalement, elle opta pour des vêtements simples mais élégants, dans des teintes claires qui reflétaient la douceur de la soirée. La lumière du soleil couchant se reflétait sur les tissus, ajoutant une aura délicate à sa silhouette.
Alors qu'elle attachait ses cheveux avec soin, un léger bruit de toc retentit à la porte, brisant le silence de sa concentration. Lucillia se retourna, le cœur battant, se demandant qui pouvait bien être là, ajoutant une nouvelle couche d'anticipation à sa soirée déjà chargée d'émotions.
Lucillia s'approcha de la porte avec une légère hésitation, son cœur palpitant toujours à cause de l'angoisse de la soirée. Lorsqu'elle ouvrit la porte, une vision éblouissante se présenta devant elle : Lilia, rayonnante dans une tenue soigneusement choisie. La lumière ambiante de la pièce se reflétait sur les tissus de sa robe, mettant en valeur chaque courbe avec une élégance naturelle.
Lucillia ne put s'empêcher de laisser ses yeux glisser le long de la silhouette de Lilia, admirant la façon dont elle avait su marier les couleurs et les textures. Les cheveux de Lilia, soigneusement coiffés, tombaient en cascade sur ses épaules, encadrant son visage délicat. Les détails de sa tenue, un subtil mélange de sophistication et de simplicité, captivaient l'attention de Lucillia, qui se sentit soudainement submergée par la beauté de son amie.
Sa bouche s'ouvrit légèrement, prise au dépourvu par l'éclat de Lilia, incapable de trouver les mots justes pour exprimer ce qu'elle ressentait. Un mélange d'admiration et d'émerveillement l'envahissait, tandis qu'elle réalisait à quel point cette soirée serait marquée par des rencontres mémorables et des moments inoubliables.
Lucillia secoua la tête, chassant les pensées inappropriées qui l'assaillaient, et se força à se concentrer sur Lilia. Avec un sourire émerveillé, elle s'exclama :
« Wow, tu as l'air... incroyable ! »
Lilia, rayonnante, lui répondit avec un sourire complice : « Et toi également ! » Ces mots résonnaient comme une douce mélodie, renforçant le lien entre elles.
Lilia entra dans la chambre, son regard pétillant d'énergie. Elle se tourna vers Lucillia, s'approchant doucement, comme si chaque mouvement était soigneusement orchestré. S'arrêtant juste derrière elle, Lilia commença à glisser ses doigts dans les cheveux de Lucillia, les coiffant avec une délicatesse infinie.
Les doigts de Lilia effleurèrent la nuque de Lucillia, provoquant un léger frisson qui parcourut le corps de cette dernière. Lucillia ferma les yeux un instant, savourant cette attention, tandis qu'un sourire se dessinait sur ses lèvres.
Lilia continua son geste, chaque mouvement créant une atmosphère intime et chaleureuse, renforçant la complicité qui les unissait.
Lorsque Lilia eut terminé de coiffer Lucillia, un sourire délicat illumina son visage. Elle s'approcha doucement, frotta les épaules de Lucillia avec tendresse et dit avec une voix douce :
« C'est tout bon. »
Lucillia, touchée par cette attention, lui rendit son sourire, les yeux pétillants de joie. Elle se pencha légèrement en avant et embrassa la joue de Lilia avec affection, murmurant :
« Parfait, merci ! On y va ? »
Lilia, toujours souriante, hocha la tête avec enthousiasme, ses yeux brillants d'excitation.
« Oui, allons-y ! » répondit-elle, prête à partager une nouvelle aventure avec son amie.
L'atmosphère était légère, empreinte de complicité et d'énergie positive, tandis qu'elles se dirigeaient ensemble vers la porte, prêtes à affronter le monde extérieur.
☆○o。 。o○☆
La soirée chez Ganny's battait son plein, l'ambiance était chaleureuse et animée. Les invités étaient dispersés autour des tables, certains assis, d'autres debout, échangeant des rires et des histoires. La lumière tamisée créait une atmosphère intime, tandis que des éclats de voix et des éclats de rire résonnaient dans la pièce.
David se tenait à côté de Mary-Magarette, mais son attention était ailleurs. Ses yeux, captivés, suivaient Ivana, qui se tenait un peu plus loin. Elle rayonnait dans sa robe élégante, ses cheveux tombant en cascade sur ses épaules, capturant la lumière d'une manière presque magique. Son sourire illuminait la pièce, et chaque mouvement qu'elle faisait semblait hypnotiser David.
Il ne pouvait s'empêcher de la trouver incroyablement belle, une beauté qui le dépassait et le laissait sans voix. Les conversations autour de lui devenaient floues, comme si le monde s'était arrêté, ne laissant place qu'à cette fascination qu'il éprouvait pour Ivana. Le battement de son cœur s'accéléra alors qu'il se perdait dans ses pensées, se demandant si elle avait remarqué son regard.
Lucillia se tenait près d'Henry, un léger sourire sur le visage, découvrant peu à peu la personnalité de ce jeune homme. Il avait une aura chaleureuse, et chaque mot qu'il prononçait semblait empreint de sincérité.
« Alors, quelle genre de magie tu as ? » demanda-t-il avec curiosité, ses yeux pétillants d'intérêt.
Lucillia, un peu hésitante, haussait les épaules. « Eh bien, je ne sais pas vraiment... » dit-elle, une touche d'incertitude dans sa voix. « Je n'ai jamais vraiment pensé à ça. »
Henry, avec un sourire encourageant, lui répondit : « Pas de souci ! Ma mère peut t'aider. C'est une sorcière, tu sais. Au début, elle paraissait un peu méchante, mais en réalité, elle est très gentille. »
À ces mots, un rire léger s'échappa des lèvres de Lucillia. « C'est une bonne idée ! » s'exclama-t-elle, amusée par l'idée d'une sorcière bienveillante.
Elle se sentait soudainement plus à l'aise, comme si une porte s'ouvrait devant elle, pleine de promesses et d'aventures. Henry, satisfait de sa réaction, continua à discuter avec elle, renforçant leur lien naissant, tandis que l'ambiance autour d'eux se remplissait de rires et d'échanges joyeux.
Agatha et Regina étaient assises à une table, entourées d'un doux murmure de conversations et du cliquetis des couverts. Regina, qui connaissait Agatha depuis longtemps, sentit que c'était le moment de briser le silence.
« Tu attendais quoi de la route au juste ? » demanda Regina, inclinant légèrement la tête, curieuse.
Agatha haussait les épaules, le regard perdu dans le vide, comme si les mots lui échappaient. Regina plongea son regard dans celui d'Agatha, cherchant à percer le mystère de son silence.
« Les pouvoirs, » finit par répondre Agatha, sa voix à peine audible.
La surprise illumina le visage de Regina. « Attends quoi ? Tu n'as plus de pouvoir ? » s'exclama-t-elle, laissant échapper un fin rire, à la fois incrédule et amusée.
Agatha, un peu agacée par la réaction de son amie, lui lança un regard sérieux. « Ça va, arrête de rire. Non, je n'ai plus de pouvoir, » répondit-elle, sa voix teintée d'une tristesse contenue.
Regina, réalisant la gravité de la situation, se fit plus attentive. Elle comprit que derrière cette révélation se cachait une histoire bien plus complexe que ce qu'elle avait imaginé.
Agatha, les yeux rivés sur la table, prit une profonde inspiration avant de révéler :
« Si tu veux tout savoir, c'est la société rouge qui m'a pris tous mes pouvoirs. » Ses mots résonnaient avec une gravité palpable, et Regina ne put s'empêcher de froncer les sourcils, perplexe.
« Tu penses vraiment que la route aurait pu te donner ça ? » demanda Regina, sa voix trahissant une combinaison d'incrédulité et de préoccupation.
Agatha, quant à elle, haussait les épaules, l'air résigné, sans rien dire de plus. Son silence en disait long, et Regina sentit une vague d'empathie l'envahir. L'atmosphère autour d'elles devint soudainement plus lourde, comme si le poids des secrets d'Agatha pesait sur leurs épaules. Regina savait qu'il y avait davantage derrière cette histoire, mais elle respectait le besoin d'Agatha de ne pas en dire plus pour l'instant.
Les yeux d'Agatha se posèrent sur Ivana, qui était en plein échange avec David. Une vague de dégoût l'envahit ; elle détestait cet homme. Son regard s'assombrit, et Regina, qui observait la scène, remarqua immédiatement ce changement. Elle connaissait parfaitement ce regard, ce regard de la jalousie qui trahissait les sentiments tumultueux d'Agatha.
Regina, un peu amusée par la situation, prit une gorgée de son verre avant de se tourner vers Agatha. « Tu sais, tu pourrais aller lui parler ou même lui dire ce que tu ressens, » proposa-t-elle avec un sourire encourageant.
Agatha lâcha un rire amer, vidant son verre d'un trait. « Je ne suis pas assez ivre pour ça, » rétorqua-t-elle, un brin sarcastique.
Regina ne put s'empêcher de rire doucement. « Depuis quand as-tu besoin d'alcool pour ça ? » demanda-t-elle, taquine.
Agatha la regarda, un sourire en coin. « Depuis que c'est la fille de Wanda, » répondit-elle, le ton de sa voix trahissant une frustration mêlée à une pointe d'humour.
Regina connaissait ce sentiment, celui qui rongeait Agatha de l'intérieur. Elle pencha la tête sur le côté, son regard plein de compréhension.
« Quand je te dis que l'amour est une faiblesse, » commença-t-elle, sa voix douce mais ferme.
Agatha hocha la tête, le cœur lourd, avant de se lever pour se resservir un verre. Le bruit du liquide qui s'écoule dans le verre résonna dans le silence ambiant, créant une pause dans leur conversation. Regina, toujours attentive, ne la quittait pas des yeux. Elle pencha à nouveau la tête sur le côté, comme si elle pesait ses mots.
« Tu mérites ta fin heureuse, Agatha. Vraiment, » affirma-t-elle, son ton sincère et encourageant.
Agatha esquissa un sourire doux, mais son regard se perdit au loin, et elle baissa la tête. « Ça ne sera sans doute pas avec elle... » murmura-t-elle, une mélancolie palpable dans sa voix.
Regina, déterminée à redonner espoir à son amie, pencha encore la tête sur le côté et dit : « Ça peut. De toute façon, elle ne peut pas être pire que Rio. »
Son sourire était contagieux, et bien que la situation fût délicate, il y avait dans ses mots une lueur d'espoir, une promesse que tout pouvait encore changer.
☆○o。 。o○☆
La soirée avait doucement tiré à sa fin, laissant derrière elle les échos de rires et de conversations animées. Les lumières tamisées de la salle s'éteignaient progressivement, plongeant les lieux dans une atmosphère paisible. Mary-Margarette, Emma et David avaient pris le temps de dire au revoir, chacun portant avec lui les souvenirs de cette belle soirée.
David, le visage marqué par la fatigue, avait décidé de se retirer se coucher, laissant les deux femmes dans la cuisine.
Mary-Margarette se tenait dans la cuisine, son regard perdu dans le vide, un léger froncement de sourcils trahissant son trouble habituel. Emma, attentive et observatrice, ne pouvait s'empêcher de remarquer ce changement. Elle s'approcha de sa mère, son cœur battant un peu plus vite, et lui demanda d'une voix douce :
«Qu'est-ce qui se passe ? Tu sembles différente aujourd'hui. »
Mary-Margarette, se redressant légèrement, répondit d'un ton léger, « Oh, tout va bien, ma chérie. » Mais son sourire était trop forcé, et Emma le remarqua immédiatement.
« Ne me mens pas, » répliqua Emma en croisant les bras, son regard perçant fixé sur sa mère. « Dis-moi la vérité. »
Mary-Margarette soupira, réalisant qu'elle ne pouvait pas cacher son malaise plus longtemps. « D'accord, » avoua-t-elle finalement. « Je ne sens pas Ivana. Il y a quelque chose d'étrange chez elle, et je ne l'aime pas. »
La révélation laissa Emma sans voix, ses yeux s'écarquillant de surprise. « Quoi ? Mais pourquoi ? » demanda-t-elle, cherchant à comprendre ce qui avait pu provoquer un tel sentiment chez sa mère.
Mary-Margarette se mordit la lèvre, cherchant les mots justes. « Je ne sais pas exactement, mais il y a quelque chose dans son attitude qui me dérange. »
Emma, toujours sous le choc, réfléchit un instant avant de répondre. « Tu penses qu'il y a vraiment un problème avec elle ? »
Mary-Margarette hocha la tête, le regard sérieux. « Oui, et je préfère que tu sois prudente. »
Un silence pesant s'installa entre elles, chacune plongée dans ses pensées, alors que la tension de la conversation flottait dans l'air.
Emma, toujours perplexe face aux inquiétudes de sa mère, décida de défendre Ivana. « Mais moi , je trouve qu'Ivana est très correcte »
Mary-Margarette haussait les épaules, une expression de scepticisme sur son visage. « Moi, je me méfierais, » répondit-elle, son ton trahissant une légère impatience. « Sans compter qu'Agatha connaît Regina. Je ne serais pas surprise si ça tourne mal. »
Emma fronça les sourcils, visiblement troublée par cette déclaration. « Tu es pourtant la plus optimiste d'entre nous, » lui fit-elle remarquer, cherchant à comprendre ce qui avait bien pu changer.
Mary-Margarette haussait à nouveau les épaules, son visage se fermant légèrement. Elle ne répondit pas, laissant le silence s'installer entre elles, pesant lourdement sur l'atmosphère de la cuisine. Emma, sentant l'inquiétude de sa mère, commença à se demander si elle avait raison de faire confiance à Ivana.
☆○o。 。o○☆
Agatha faisait les cent pas dans sa chambre, ses pensées tourbillonnant comme une tempête. Chaque pas résonnait dans le silence lourd de la pièce, marquant son agitation intérieure.Elle ne pouvait s'empêcher de repenser à la discussion qu'elle avait eue avec Regina au sujet d'Ivana. Les mots de Regina résonnaient dans son esprit, comme un écho incessant : «Elle est un peu être ta fin heureuse . »
Agatha s'arrêta un instant, le regard perdu dans le vide, puis se remit à arpenter la pièce. L'image d'Ivana près de David lui revenait sans cesse, et cela la dégoûtait. Elle se voyait les observer, rire ensemble, une complicité qui lui était insupportable. Chaque fois qu'elle imaginait cette scène, une colère sourde montait en elle, alimentée par la jalousie.
Plus elle y pensait, plus son esprit s'emballait, imaginant des scénarios catastrophiques qui n'avaient jamais eu lieu. Cette spirale de pensées la rendait folle, et elle se sentait piégée dans un tourbillon d'émotions contradictoires, entre la rage et l'inquiétude. Agatha s'arrêta finalement, le souffle court, réalisant qu'elle devait trouver un moyen de calmer son esprit avant que cela ne la consume complètement.
Agatha prit une profonde inspiration avant de frapper doucement à la porte communicante entre les deux chambres. Le bruit résonna légèrement, brisant le silence pesant qui l'entourait. Elle attendit un instant, le cœur battant, avant d'ouvrir la porte.
En entrant dans la chambre d'Ivana, elle fut frappée par la vue de son amie, toujours vêtue de sa tenu de soirée.
Le regard d'Ivana se posa sur Agatha , qui la fixait avec une expression d'incompréhension. Les yeux d'Ivana, cherchaient à comprendre la raison de cette visite inattendue.
Ivana, brisant le silence, demanda à Agatha d'une voix douce :
« Tout va bien ? »
Sa question, simple mais chargée d'inquiétude, résonna dans la pièce. Agatha sentit une vague d'émotions l'envahir, entre la colère, la jalousie et une profonde tristesse. Elle savait qu'elle devait répondre, mais les mots semblaient bloqués dans sa gorge, incapables de franchir le seuil de ses lèvres.
Leurs regards se croisèrent, et dans ce moment suspendu, Agatha réalisa à quel point la situation était délicate. Elle devait trouver les mots justes pour exprimer ce qu'elle ressentait, tout en évitant de blesser Ivana. L'intensité de ce moment la plongea dans une réflexion profonde sur leur amitié, sur les tensions qui s'étaient installées entre elles, et sur ce qu'elle allait dire ensuite.
Agatha se tenait là, les pensées embrouillées, ne sachant pas comment répondre à la question d'Ivana. Le brouillard de l'alcool qu'elle avait partagé avec Regina commençait à s'installer dans son esprit, rendant chaque pensée plus floue que la précédente. Elle pouvait sentir une chaleur familière dans son corps, une légère ivresse qui la rendait à la fois audacieuse et vulnérable.
S'approchant lentement d'Ivana, Agatha ne pouvait s'empêcher de la fixer, ses yeux cherchant à capter la moindre émotion sur le visage de son amie. Ivana, quant à elle, restait immobile, comme figée dans le temps, ne comprenant pas vraiment ce qui se passait. Son regard était interrogateur, mais aussi un peu inquiet, cherchant des réponses dans le visage d'Agatha.
L'espace entre elles semblait se rétrécir à chaque pas qu'Agatha faisait, et elle pouvait presque sentir la tension palpable dans l'air. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles, amplifiés par l'angoisse de la situation. Elle s'approcha encore, le sol craquant légèrement sous ses pas, chaque mouvement semblant résonner dans le silence de la chambre.
Ivana, toujours immobile, ne bougea pas d'un pouce, laissant Agatha venir vers elle. À mesure qu'Agatha se rapprochait, elle pouvait voir les détails du visage d'Ivana : la manière dont ses sourcils se froncèrent légèrement, la façon dont ses lèvres s'entrouvrirent, comme si elle était sur le point de dire quelque chose, mais n'en avait pas encore trouvé le courage. Ce moment, suspendu dans le temps, était à la fois délicat et chargé de promesses, et Agatha savait qu'elle devait choisir ses mots avec soin.
Agatha, avec une douceur presque hypnotique, passa ses doigts dans les cheveux d'Ivana. Ses mouvements étaient lents et délicats, comme si elle caressait un trésor précieux. Les mèches de cheveux glissaient entre ses doigts, et elle pouvait sentir la chaleur de la tête d'Ivana sous sa main. Chaque geste était empreint d'une tendresse qui semblait créer une bulle d'intimité autour d'elles.
Sans jamais quitter le regard d'Ivana, Agatha continua à glisser ses doigts, la connexion entre elles se renforçant à chaque instant. Les yeux d'Ivana brillaient d'une lueur d'incertitude mêlée à une curiosité palpable. Agatha, consciente de l'effet qu'elle avait sur elle, laissa échapper un léger sourire, un mélange de défi et de douceur.
Puis, avec une assurance nouvelle, Agatha plaça doucement ses deux mains sur les joues d'Ivana. Ce contact, à la fois intime et électrisant, fit battre le cœur d'Ivana un peu plus vite. Elle pouvait sentir la chaleur des paumes d'Agatha sur sa peau, et une vague d'excitation l'envahit. Agatha rapprocha lentement ses lèvres de celles d'Ivana, créant un espace chargé de tension et d'anticipation.
Leurs souffles se mêlaient, se croisant dans l'air, créant une atmosphère presque palpable. Ivana ferma les yeux un instant, savourant cette proximité. Elle aimait ça, cette sensation d'être à la fois vulnérable et désirée. Son cœur battait la chamade, et l'excitation de la situation la submergeait. Chaque seconde semblait s'étirer, suspendue entre le désir et la peur, alors qu'Agatha se tenait là, prête à franchir cette ligne délicate qui les séparait.
Ivana, avec une détermination douce, posa ses mains sur les hanches d'Agatha. Ce geste, à la fois tendre et audacieux, laissa échapper une sensation de chaleur qui traversa leurs corps. En la rapprochant doucement d'elle, Ivana pouvait sentir le rythme du cœur d'Agatha s'accélérer sous ses doigts, comme si elles étaient toutes deux synchronisées dans ce moment suspendu.
Les lèvres d'Agatha, douces et hésitantes, allèrent ce poser sur celle d'Ivana cependant, au plus profond de son esprit, un brin de lucidité fit surface, comme une alarme silencieuse. Agatha réalisa soudain l'absurdité de la situation : elle était ivre, et Ivana, n'était autre que la fille de Wanda.
Agatha, baissa lentement la tête, comme si elle cherchait à fuir cette vérité qui la rattrapait. Sa voix, teintée de regret, s'éleva dans l'air chargé de tension :
"Non, je suis désolée, je ne peux pas, c'est impossible." Ces mots résonnèrent comme un écho de désespoir, brisant la magie du moment et laissant place à un silence lourd de non-dits et de sentiments conflictuels.
Agatha quitta la pièce, ses pas résonnant faiblement sur le sol, comme si chaque mouvement était un adieu. Son cœur, lourd et brisé, semblait se fissurer un peu plus à chaque seconde. La douleur de la situation l'étouffait, et elle savait qu'elle ne pouvait plus gérer ce tourbillon d'émotions qui la submergeait.
Une fois dans sa chambre, elle ferma la porte derrière elle avec un léger claquement, comme pour se couper du monde extérieur. L'air y était devenu lourd, chargé des souvenirs de ce qui venait de se passer. Agatha laissa échapper un fin soupir, un son presque inaudible, mais qui portait tout le poids de sa tristesse. Ce soupir était une libération, une tentative de chasser les pensées qui tourbillonnaient dans son esprit.
Elle s'approcha de sa fenêtre, regardant le paysage qui s'étendait devant elle, mais son regard était perdu, distant. Les du soir se mêlaient, mais elle ne pouvait pas les apprécier. Son cœur battait encore la chamade, et elle se sentait déconnectée de tout, comme si elle flottait dans un océan de désespoir.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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Some of my poems (in french and english)
Also, reblogs and any form of interactions always appreciated
Not all of my poems are there but ye
Eng: I always write free verse poems by the way. I let my pen guide me when I write.
FR: Je fait tout le temps des poème en vers libres by the way. Je laisse mon stylo me guider quand j'écris.
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Court poème sans nom/ short poem without a name
Prairie des montagnes, fleurs de moneuil.
Les oiseaux chantent dans un son aigu l'arrivée du printemps
Ainsi que la saison des amours.
Les petits renardeaux attendent le retour de leur mère
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Les facettes
Douce expression de soi sans effroi.
Un savoir si grand et sage, malgré son jeune age
Jolie voix, Grand cœur froid
Une surface parfaite, ce n'est qu'une facette.
Les oiseaux chanteron ils encore demain ?
Il paraît heureux, mais c'est bien plus brumeux.
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fin de bataille
Rosée du matin, feuilles de Bambou. La fin de la guerre, le Samourai à terre. Les enfants ne courent plus. Il n'y a désormait que la melancholie du chant des oiseaux.
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Brises d'Hiver
Un hiver froid, les joues Rouges La neige et les arbres sans feuilles, les animaux hibernent, les bois sont calmes Le vent froid, les écharpes. L'Hiver s'annonce rude mais quelque peut réconfortant.
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Longer love poem
Ils étaient là, dans le lit. Lumière tamisée, ambiance romantique et Relaxée.
Une intimitée semi présente. Intimitée entre deux corps encore trop jeunes pour fusioner mais pourtant. Ils étaient là. Stressés et amoureux sous la faible lumière des leds accrochées au plafond.
Le silence, le bruit de leur coeur qui battent à la chamade. Ces deux corps relaxés dans un baiser. Enfin, après échange de salive, Ils se détendent dans un monde de rêves anjoleurs au de lendemain.
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Ce cœur.
Ce cœur qui hais
Ce cœur qui trahis
Il a pendu ses amis
ceux avec qui il a rit
Ils sont maintenant partis; tout est fini.
Ca coeur qui trahis, lui qui a tand aimé, mais il a aimé. Il deteste aimer. Il se sent blessé, car il a perdu tout ce qu'il avait de plus cher.
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Douce voix de Soprano
Cette douce voix de soprano qui transperce les cristaux de mon cœur Cette voix Si douce, comme une rangée de Jonquilles qui se faufile dans le creux des fissures de mon âme.
Cette voix de Soprano qui mue, un changement désespérant. On ne fait pas de miracles.
Il faut Chanter malgré les changements, Chanter malgré le désarroi, Chanter avec espoir
Le changement est normal, jeune Soprano. Alors continue de faire chavirer mon coeur avec ta voix et ton cœur pur.
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Fr:Poème dédié à Carlo du Jeux Lies of P
Eng:poem dedicated to Carlo from lop
Des yeux marrons
des yeux marrons, un sourire malicieux un rêve dangereux mais ambitieux
des yeux marrons, un sourire perdu
Si seulement il lui avait fait ne serait-ce qu'un câlin
Des yeux marrons, un cœur brisé
Tout ce qu'il voulait était sa reconnaissance mais il n'est même pas venu pour la remise des diplômes
Des yeux marrons, un cœur perdu
Seulement la haine pour lui reste, l'amour n'est plus.
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Poem dedicated to Roméo de Lies of P
(Celui ci n'a pas de titre, ça m'arrive souvent)
(This one doesn't have a title, I often do that)
Des cheveux blonds aussi beau que l'or des rois aussi clairs que les reflets du soleil
Un cœur courageux coeur de poète, cœur théatrale
délicat comme de la soie, sensible comme une fleur de lys
Beau en scène comme à la ville
Beau comme la vie, grand comme un chêne.
fidèle comme une ombre
Une sensation de chaleur dans ces yeux bleus teintés de marron
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FR: Poème dédié à mon OC, Ayezl.
Eng: Poem dedicated to my OC Ayezl.
The goddess of ice and her bottled up emotions.
She gets mad at every little thing because her heart is in pain. She does ballet to help her go through strong emotions.
She dances to make the pain go away.
A dance so graceful, and yet, it aches.
She tries not to think about it too much like.
But, it always ends up like an explosion of feelings with tears burning her cheeks like acid.
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FR: Poème dédié à mon petit ami (enfin, l'un d'eux.. oui je suis poly tu va faire quoi?? XD)
Eng:Poem dedicated to my boyfriend (well, one of them.. yes I'm poly what you gonna do?? XD)
My sweet dove, as sweet as love
My Sunshine in the sky
a light in my heart who became a part of my mind and Soul
This scary experience named unconditional love.
Love is for us to share
No matter how strong the emotions
No matter what, our love will remain.
For as long as it can, wishing it could be forever.
This feels like a fever dream.
Is it really happening? Or is it just an addicting hallucination..?
I can only imagine the day we meet for now and dream about it.
My dearest, my tulip, my darling, my love. But your prettiest name is [his name]
FR: (Oui je ne dit pas son nom, because confidentialitée mon ami 🥸)
Eng: (Yes I won't say his name, because confidentiality my friend 🥸)
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"On est toujours des singes essayant d'exprimer nos pensées avec des grognements, alors que l'essentiel de ce que l'on aimerait communiquer reste coincé dans notre cerveau."
J'ai terminé "Là où les arbres rencontrent les étoiles", de Glendy Vanderah.
On dirait un livre feel good en lisant le résumé: C'est l'histoire d'une doctorante en ornithologie, Jo, qui rencontre un jour une jeune demoiselle, Ursa, lui annonçant qu'elle est une extraterrestre, qu'elle a emprunté le corps d'une enfant qui venait de décéder et qu'elle cherche 5 miracles, après quoi elle retournera sur sa planète. Jo, plutôt habituée à être une ermite dans la forêt, dans ses recherches et dans sa méfiance va voir son quotidien s'enchanter petit à petit. Les personnages : Jo, Ursa et Gabe (le voisin) sont aussi attachants qu'ils sont cabossés.
Joli pitch, lecture chill du dimanche aprèm ? Sur Babelio, les critiques les moins sympas parlent d'un style trop simple, d'une fin attendue et un peu trop naïve mais c'est précisément ce qu'on attend d'un livre feel good, non ?
Ce sera un peu plus profond que ça, puisque l'histoire abordera sans filtre des sujets plus graves comme notamment le cancer, la dépression, le pardon, l'amour et la résilience.
J'ai passé un moment agréable, la plus grande partie de l'histoire se déroule dans la forêt, j'ai trouvé les descriptions immersives et je ressentais comme un apaisement quand les personnages revenaient de la ville, prenaient des routes de plus en plus isolées pour ensuite se retrouver parmi les arbres. Je me suis moi aussi attachée à Ursa, sans savoir avant la fin de l'histoire si elle venait effectivement d'une autre planète ou si elle s'était inventé une histoire pour remplacer son passé douloureux.
Bon, il y a une histoire d'amour entre Jo et le voisin, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire mais ça complexifie les personnages.
⭐⭐⭐⭐⭐ (encore 5 étoiles, ça va devenir une habitude de lire des pépites !)
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Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile.
3 jours à Catane (Catania). La ville, le jour.... Pas loin de la Pescheria, le Giardino Pacini où les vieux tapent le carton sous des arbres torsadés et sous le viaduc du train...
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Et maintenant …
Tout n’est plus que jardins désertés par la lune,
Les fleurs que tu aimais sont mortes une à une.
Le ciel est sans espoir les anges l'ont quitté,
Les cygnes ont fui cet étang d’antiquité.
Qu’il est désespéré ce grand bras qui s’étire,
Arbre qui mille oiseaux aux grands chants plus n’attire.
Et toi nocturne ami étrange visiteur,
Messager d’au-delà noir annonciateur.
Tu t’es perdu noyé dans les bruits de la ville,
O silence de l’âme ô musique immobile.
Et peu à peu les frais brouillards se sont levés,
En laissant éplorés les pays délavés.
Et la nuit est partie par une grille ouverte,
La nuit panthère noire aux yeux de lune verte.
Arbre désert sans cris jardin de bas-côté,
S’est défleuri tout ce qui fut de sa beauté.
Poème d’Avraham
Source : site La Passion des Poèmes
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26 novembre 2024
Jour de première neige ici, à Québec.
Ville que je n'avais jamais encore vue enneigée. À date, je suis charmée.
Dénudés de leurs feuilles et semi couverts de blanc, les arbres me fascinent d'avantage. Leur squelette m'hypnotise. Dans mon esprit, je leur invente des histoires, leur crée des vies.
Ma forêt me manque. Celle à deux pas de ma maison, à Gatineau. La forêt ne m'appartient évidemment pas, mais j'en ai fait mon refuge. Elle m'a vu grandir, me perdre, apprendre ses recoins par coeur, y laisser aller ma colère, mes larmes et ma joie, danser, m'enfuir à toute jambe du chien de garde du propriétaire du terrain du cultivateur et en déchirer mes collants, être saoule et gelée, être.
J'aurais envie d'être devant ces arbres qui forment une chorale, devant ces deux-là à côté qui baisent sans gêne, et devant celui-là, mon préféré de tous, mort mais encore debout, résistant encore aux tempêtes.
J'apprends d'eux. Peut-être apprennent-ils de moi aussi.
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La rencontre
Le mercredi 11 mai 1983, Arthur Dias de Almeida est appelé pour intervenir près de la ville de Sinop dans le Mato Grosso. En effet, d’étranges lumières ont été aperçues au-dessus de la campagne et de constructions neuves. Le policier ne fut pas le seul à avoir été sollicité. Deux avions de chasse brésiliens décolèrent, après le survol de l’Amazonie par un engin inconnu, et toujours à côté de la ville de Sinop.
Au début, Arthur pensait avoir à faire à des braconniers ou des trafiquants d’or. Il pensait aux phares de leur jeep vus de loin par quelques fermiers. D’ailleurs, il s’attendait à les croiser au détour d’un carrefour. Mais après une dizaine de minutes à scruter les environs, il découvrit avec stupeur que l’origine de cette luminosité, venait du ciel. En effet, il aperçut au loin ce qui ressemblait à un cigare volant dont les bords rayonnaient.
Après un moment de stupéfaction, il appela le commissariat afin d’obtenir de l’aide. Puis, il profita du déplacement extrêmement lent du véhicule, pour le suivre. Arthur demeurait fasciné par cette chose. Il se demanda si l’engin était habité. Peut-être était-ce une sorte de ballon sonde ou d’une expérience militaire ? La base n’était pas très loin. D’ailleurs, il entendit les deux avions de chasse passer à toute vitesse.
L’OVNI continua de se déplacer lentement. Il ne faisait pas de bruit, et se limitait à avancer au-dessus des bords de l’Amazonie. Enfin de ce qui en restait, car tout avait été rasé pour construire des fermes et des quartiers résidentiels. Un appel provenant de la radio avertit Arthur de l’arrivée de renfort. En attendant, il ne devait rien faire.
Le policier s’arrêtait de temps en temps pour rassurer des habitants sortis regarder le vaisseau volant. Il parlait calmement, prévenant que tout était sous contrôle et qu’ils pouvaient retourner chez eux. Puis, il repartait en direction des lumières visibles de la machine volante. Les avions militaires continuaient de tourner autour d’elle sans pour autant la gêner.
Cela dura un bon quart d’heure lorsqu’Arthur réalisa quitter l’agglomération. L’objet non identifié continua de voler puis s’arrêta brusquement au-dessus d’un enclos. Dès lors, l’agent descendit de sa voiture, continuant à pieds, la main posée sur son arme vers le champ, qui ne présentait rien de particulier.
C’est alors qu’une lumière jaune sortit de l’engin jusque sur le chemin. Arthur n’en croyait pas ses yeux, une forme vivante semblait descendre en glissant par le rayon. Aussitôt, le policier courut pour mieux voir l’individu. Il voulait être le premier homme à entrer en contact avec ce qui paraissait être évident, un extra-terrestre. Soudain, une réflexion envahit son esprit : « Et s’il était dangereux ? »
Plus il avançait, plus la raison poussait le policier à fuir. Malgré la peur au ventre, il continua d’approcher du point de chute de la lumière jaune. Il n’était plus très loin. Arthur remarqua une étable, les portes grandes ouvertes. Il n’y avait rien dans l’enclos. Il entendit le meuglement de quelques vaches. Celles-ci ne semblaient pas paniquer. Il approcha furtivement lorsqu’il vit quelque-chose sortir du bâtiment.
Ça portait une combinaison de cosmonaute. Son casque empêchait de voir sa tête. Il sortit calmement de l’étable puis s’arrêta, tout-à-coup, au milieu du chemin. Il ne remarqua pas l’agent Dias de Almeida, préférant observer les arbres de l’autre côté de l’enclos. Dans le ciel, on ne remarquait plus l’OVNI qui pourtant, continuait de stagner, sans faire de bruit, au-dessus de l’Alien.
Ne bougez-pas ! cria Arthur.
L’extra-terrestre tourna la tête. Il fit un mouvement de recul quand il découvrit le policier en train de pointer son arme. Il ne prononça aucun mot et attendit sagement pendant quelques secondes. Arthur ne savait que faire. Il braquait la chose en réalisant que personne ne savait où les trouver. Tout-à-coup, le visiteur posa brutalement sa main sur son ceinturon. Arthur comprit qu’il cherchait une arme et sans hésiter, il tira vers l’extra-terrestre.
Mais qu’ai-je fait ?
Il réalisa avoir oublié les sommations d’usage. Touché à l’épaule, l’ET entra précipitamment dans l’étable, immédiatement suivi par Arthur Dias de Almeida. Ce dernier tendait son arme et ciblait toutes les vaches qui se présentaient. Il marchait en tournant sur lui-même. Il chercha partout, dans tous les recoins de la grange. Lorsqu’il entendit un grincement, il aperçut le cosmonaute qui sortait en courant. Le policier tira une seconde fois avant de pourchasser le fuyard.
Mais en sortant, il n’y avait plus personne. Il leva les yeux. L’OVNI éclairait le ciel comme un feu d’artifice. Il s’éloignait d’abord lentement. Puis d’un claquement de doigt, il disparut totalement, ne laissant d’une petite trainée blanche à la place. Au même moment, les deux avions de chasse annoncèrent avoir perdu de vue le vaisseau inconnu en forme de cigare.
Hector Baumann quitta l’hôpital tout de suite après l’opération. Il gardait cependant son bras en écharpe afin d’immobiliser l’épaule blessée. La portière d’une voiture attendant sur le parvis s’ouvrit, l’invitant à entrer. Un homme attendait patiemment en lisant une tablette. Il ne regarda pas Hector s’assoir. La voiture démarra aussitôt dans un silence incroyable. Elle n’avait pas de roue, elle flottait sur l’air
Alors, le XXe siècle est comment ? demanda-t-il.
J’étais au XXe siècle ? s’esclaffa Hector.
L’homme tendit la tablette et continua de parler.
D’après le rapport sur la balle, oui. Elle vaut une fortune maintenant pour les collectionneurs et les musées. Ensuite, d’après un rapport retrouvé dans les archives du ministère de la défense Brésilienne.
Hector n’en croyait pas ses yeux. Il lisait le fameux document qui relatait son contact avec un autochtone. Celui-ci racontait avoir blessé un extra-terrestre. Dehors, un paysage urbain et gris dévalait le long des vitres. L’homme sourit en regardant un groupe d’écoliers attendre sur le trottoir.
Pourquoi avoir ramené une fiole de sang de bœuf ? Votre mission était de récupérer des graines d’arbres et de plantes disparues.
Quand j’ai vu qu’il n’y avait pas d’arbre. J’ai pris ce qui me tombait sous la main. Il y avait des vaches. Alors, j’ai fait un prélèvement. Par contre, j’étais censé débarquer au milieu de l’Amazonie bien avant l’arrivée de Christophe Colomb.
Il y a eu un bug, répondit l’homme. Ce doit être corrigé pour la prochaine expédition.
Le jeune cosmonaute spatio-temporel continuait de lire le rapport datant de 1983. Il trouva rigolo d’être décrit comme un monstre de trois mètres avec des tentacules et de gros yeux ronds. Il rit en lisant avoir été aperçu plusieurs fois durant la nuit, alors qu’il n’était sorti qu’une seule fois. Il comprit pourquoi le dossier n’avait pas été pris au sérieux. Du coup, la hiérarchie ne l’avait pas retenu dans leurs paramètres de probabilité d’incidents possibles. De plus, l’erreur de date fut à l’origine de cette rencontre avec le policier Arthur Dias de Almeida.
J’ai fait retarder le prochain vol pour dans six mois. Je veux trouver la raison de ce bug de date. Je suppose que vous en serez ?
Je n’hésiterai pas. Les risques en valent la peine, réagit Hector.
Ce n’était pas son premier vol dans le temps. Il aimait visiter le passé de la terre et découvrir ce que l’homme a perdu…ou plutôt détruit. Son seul regret était de garder une combinaison afin d’éviter tout contact avec des maladies disparus, ou d’apporter de nouvelles maladies. Il aurait voulu plonger dans une mer dépolluée ou juste sentir une fleur.
La voiture s’arrêta devant une porte de garage. Elle attendit son ouverture avant de s’engouffrer dans un bâtiment connu pour être abandonné, mais classé « secret défense ».
Alex@r60 – novembre 2023
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" Let's Not Fall In Love "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Bruno Buccellati.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Malgré sa vie au sein de l'organisation Passione, Bruno vit une liaison avec une citoyenne lambda depuis quelques mois. Cette matinée ne fait pas exception alors qu'il a passé la nuit auprès d'elle et qu'il se réveille ainsi donc dans ses bras.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟔𝟏𝟏.
Musique : Let's Not Fall In Love - Big Bang.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Depuis le lit dont les draps sont défaits, il m'est possible d'apercevoir une petite partie de la banlieue de Naples, jolie ville d'Italie. Elle est éclairée par le soleil matinal puissant qui illumine le ciel d'un bleu paradisiaque, aux côtés d'oiseaux dont les chants s'additionnent au brouhaha des passants. L'on se croirait en milieu d'après-midi. C'est un mélange de vie, entre voitures, vélos, bateaux, piétons et animaux, Naples ne se repose qu'une fois la lune sortie de sa cachette.
La fenêtre est grande ouverte, ses deux portes sont collées au mur de la pièce, quant à la dentelle qui sert de rideau, elle flotte au gré du vent marin entrant dans la pièce, les volets en extérieur n'ont pas été fermés depuis hier matin, c'est la raison pour laquelle la chambre est aussi éclairée. Il devrait faire froid, pourtant c'est tout le contraire, la température est idéale. Les draps ont été poussés au bord du matelas pour une raison. Ma tête ne repose plus sur mon oreiller, je n'ai aucune idée d'où il se trouve tandis que, de ma hauteur --c'est-à-dire allongée--, j'admire le paysage qui m'est offert depuis cet appartement miteux. La verdure se fait rare en ville. Je ne peux voir, d'ici, que des arbres plantés en deux lignes longeant la route, pariant que les feuilles sont sèches, les troncs meurtris, et qu'une odeur d'essence s'en dégage, cela me rappelle les années où je passais mon temps davantage dehors qu'à la maison. Mes yeux y sont rivés, de petites perles salées se sont formés au bord de ceux-ci car, trop émerveillée par la beauté de mon pays, j'en ai oublié de cligner.
Avec mes mains abandonnées au dessus de ma tête, les doigts emmêlés dans mes cheveux, j'en oublie de sentir mon cœur battre. Les mèches me coupent la circulation, elles étrangles mes extrémités. Perdue dans mes pensées, il m'est impossible de songer à quoi que ce soit.
Je ne suis que la témoin de ce spectacle, tendant l'oreille à la moindre discussion provenant de l'extérieur, que cela soit des disputes ou des ragots bon à se mettre des vieilles mégères à dos.
Mes yeux changent de trajectoire avec fainéantise lorsque le matelas s'affaisse. Je ne vois qu'une silhouette floue le temps que ma vue s'adapte, du côté de la porte. Une main élégante tire sur un bout de costume blanc saupoudrées de gouttes noires. Un bruit de fermeture éclair survient. Sans attendre, je saisis ce qui est en train de se passer, mes doigts se crispent, ils s'accrochent à mes mèches de cheveux jusqu'à en casser certaines.
Mon regard accusateur se porte sur lui.
Buccellati. Bruno Buccellati.
« Tu me quittes déjà ? Reste donc, nous avons tant de temps à rattraper. Pourquoi tu pars ? Tu vas me rendre triste. »
Ma main s'approche de son torse pour jouer avec une des grosses fermetures éclaire sur son épaule. Puis, elle se pose sur sa poitrine.
« Je t'ai prévenue que je devais partir, je suis occupé aujourd'hui. » il explique, d'un ton posé, quoique compréhensif.
« Bruno.. »
Ma supplication le laisse indifférent. Il ne sourcille même pas.
Quel homme, j'en veux plus, mais parviendrais-je à le convaincre ? Il me paraît si souvent inaccessible, je ne le connais pas aussi bien que je le pense. Depuis quelques années déjà, Bruno Buccellati est sur toutes les bouches de notre petite ville aux abords paradisiaque, que ce soit sur celles de jeunes sauvés de la drogue, ou de parents, grand-parents, reconnaissants. Je me souviens de notre rencontre comme si cela datait d'hier.
Dès que ses yeux se sont posés sur moi, j'ai su que j'étais sienne.
Encore aujourd'hui, son emprise n'a fait que se raffermir.
« J'aimerais te garder rien que pour moi, tu es si cruel. »
Mes lèvres se posent sur sa joue.
« Mouah. »
J'embrasse chaque partie de son visage, désormais redressée, le torse bombé, et ignorant mon corps en tenue d'Ève. Je ne suis focalisée que sur un seul objectif : envelopper Bruno d'un océan d'amour. Mes mains prennent appui sur le matelas chaud, avec mes doigts agrippés au drap, je dépose de nombreux baiser sur sa joue, il ne dit rien lorsque je dérive sur son nez jusqu'à finir mon trajet à ses lèvres. Bruno ne fait que m'observer. Ce n'est pas un homme particulièrement bavard, je m'y suis habituée depuis le temps que nous nous fréquentons, et à vrai dire, c'est ce que j'aime le plus chez lui.
« Je reviendrai ce soir. » murmure-t-il en attrapant mon menton, me stoppant dans ma démarche. « Tu m'attendras ? »
Malgré moi, je glousse.
« Toujours. »
Sa question résonne dans ma tête et il m'est impossible d'ignorer le ton incertain qu'il a utilisé, parce que cela me surprend. Comment ose-t-il douter de ma fidélité ? Pas un instant ne passe sans que je n'espère le voir apparaître dans mon appartement. Je me moque de savoir si il a réussi à se procurer une clé en volant mon trousseau lorsque j'étais inconsciente, ou si entrer par effraction l'amuse, j'aime ça. J'aimerais qu'il le fasse plus souvent si possible, j'en ai assez de passer mes soirées à l'attendre au bord de ma fenêtre, jusqu'à m'assoupir ou me lasser et finir contrariée. Si possible, je voudrais l'ouvrir de l'intérieur et me glisser dans sa chair, le pénétrer et le refermer afin de vivre auprès de lui, d'unir nos cœurs dans un rythme que eux seuls pourraient répéter. Qu'il me fasse une telle proposition n'est pas inhabituel, Bruno Buccellati est bien plus qu'un homme respecté, auprès de tous il est vu comme un gentleman. Parfois je l'oublie. Il se fait un plaisir de me le rappeler, comme en cet instant.
Bruno caresse mon menton. Il jete des coups d'œil envieux à mes lèvres pendant que son pouce me touche, comme résistant l'envie de m'embrasser. Il me regarde de haut avec une expression plus douce. Son odeur empeste mon gel douche, à cela, je remarque que ses cheveux ont été récemment séchés et qu'il a la peau toute douce. Lorsque je me penche pour l'embrasser, il me stoppe d'un doigt sur la bouche.
« Je te gâte décidément trop. Tu as oublié tes manières ? »
Avec un tel homme dans mon lit, je suis plus que gâtée. Mais est-ce qu'il peut réellement me le reprocher ?
« Je reviendrai. » promet-t-il en se levant, m'abandonnant soudainement.
Paniquée, j'attrape sa main. Bruno l'esquive sans s'en apercevoir, forçant une plainte hors de mes lèvres.
« Tu es cruel, Bruno Buccellati. Tu me brises le cœur avec tes fausses promesses et tes flatteries, je suis une femme sensible, tu le sais, non ? »
Je ne l'atteins pas. Ma tentative de le manipuler échoue, je parviens toutefois à lui arracher un sourire. Il se courbe en rattrapant ses souliers et en les enfilant puis, lorsque sa main se pose sur la poignée de ma porte de chambre, je pose mes pieds par terre. Je suis chargée de regret. Tant de temps gâcher à dormir alors que j'aurais pu profiter de sa compagnie... c'est une erreur destinée à se répéter car ce n'est qu'en sa compagnie que je parviens à trouver du repos.
À sa hauteur, je pose ma main sur son bras et l'accompagne.
Bruno et moi échangeons un ultime regard, celui-ci, empli de tendresse, fait fleurir en mon bas ventre un cocon de papillons. Je me bats tant bien que mal. De toute mes forces, je me plie à ses désirs et évite de faire une scène.
Je m'arrête toutefois en entendant du bruit dans la cuisine, plus précisément des clés. Elles se posent sur le comptoir avant qu'une fois familière n'appelle mon prénom. Elle poursuit.
« Tu es là ? Je suis rentré plus tôt aujourd'hui. »
Bruno ferme la porte.
D'un calme calculateur, il examine ma chambre du regard, l'espace d'un instant il m'est impossible de comprendre ses intentions, car je suis bien trop partagée entre ces deux hommes chez moi. Finalement, il jete son dévolu sur ma fenêtre. Tandis que le bruit de pas se rapproche, que, horrifiée, je m'accroche à lui, Bruno se dirige jusqu'à elle. En chemin, il se saisit de mon drap pour m'envelopper dedans. Je renifle. Ses doigts s'attardent sur mon épiderme, ce n'est qu'une fois certain que je suis parfaitement couverte qu'il passe ses jambes au travers de la fenêtre et qu'il ne nous sépare. Immédiatement, ma main part à sa recherche.
Bruno ne me repousse pas.
« Reviens-moi. » je le supplie.
Il ne répond pas, plutôt, il embrasse le dos de mes doigts. L'onctuosité de ses lèvres me coupe le souffle. Lorsque la porte de ma chambre s'ouvre subitement, je fais volte-face.
Mon compagnon entre.
Son expression paniquée fond pour laisser place à une soulagée.
« Pourquoi tu répondais pas ? Je t'ai appelée. »
Il entre, cherche à me rejoindre.
Je suis trop occupée à me retourner pour m'assurer que Bruno est parti. Où est-il ? Disparu. Il tenait ma main une seconde plus tôt. Je sens encore sa chaleur et l'odeur de mon gel douche envahir mes narines, me faire flotter sur un petit nuage loin d'ici, comme imprimé dans mon esprit. Il me manque déjà. Je n'ai pas envie de redescendre.
« Qu'est-ce que tu fiches ? Tu m'entends ? »
Il est là !
Au bout de la rue, sur le trottoir. Je l'ai cherché partout... Je reconnaîtrais ce costume et cette allure entre mille, ça ne peut être que Bruno. Pendant que mon compagnon s'approche de moi et pose sa main sur mon épaule, je m'accroche à la fenêtre et plisse les yeux. Par peur de le perdre de vue, je ne cligne pas, et c'est à peine si je respire, à vrai dire, je retiens mon souffle.
Bruno marche de manière décontractée, les mains dans les poches. Il salue un trio de vieilles femmes qui lui sautent dessus l'instant même où elles le reconnaissent. Elles l'ont arrêté juste avant qu'il s'engouffre dans une autre rue, loin de moi. Je l'aurais perdu de vue. À cette pensée, ma gorge se serre. J'essaie de former des mots, de dire n'importe quoi, mais je ne peux que faire le deuil de cette nuit que nous avons passé ensemble en espérant que ce soir, il me reviendra. Que ça n'est pas encore un de ses mensonges. À cause de sa fichue bonté, je ne peux même pas me montrer égoïste, le garder rien que pour moi. Il sert le peuple, rend service, il tue pour protéger le nom de son gang, Passione, tandis que je reste dans l'ombre à attendre son retour dans les bras d'un homme pour qui je n'éprouve rien. Son toucher m'est indifférent. Le son de sa voix est aussi doux que du papier de verre. Il m'erraffle le cœur. Je ne veux qu'un homme, et il me glisse entre les doigts, fuyant ses responsabilités après qu'il se soit emparé de mon âme.
En pleine discussion, Bruno tourne la tête. Les dames s'écrient joyeusement, quémandant de l'aide, elles ignorent qu'il ne les écoute plus.
Au même moment, mon compagnon dépose un baiser sur mon épaule.
Nos regards se croisent. Lui dans son monde, moi dans le mien.
J'en ai le souffle coupé. Une brise se met à souffler, l'air marin me frappe au visage. Tandis que mes mèches de cheveux emmêlés me reviennent au visage, je ferme les paupières. Lorsque je les rouvre, mes mains sur le visage, glissant mes mèches derrières mes oreilles avec hâte, il a disparu. Bruno s'en est allé.
De notre liaison, ne me reste que la douce sensation sur mes lèvres. Du bout de mes doigts, je les touche.. Elles sont encore chaudes.
À m'y méprendre, je peux sentir les rémanences de notre dernier baiser.
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22 octobre
cet été je m'en voulais de m'impliquer beaucoup plus dans mon journal que dans mon livre parce que je sentais qu'il allait nulle part mais depuis que j'ai commencé à mettre le journal en forme/poésie j'ai l'impression d'aller quelque part et la leçon à en tirer c'est qu'il faut suivre ses désirs. je fais aussi beaucoup de photos que je poste dans mes stories instagram tous les jours parce que ça m'aide à me motiver à sortir. faire des photos pour avoir des preuves de tout ce que je fais et de tout ce que je vois parce que je vois beaucoup de choses comparé à la maison. aujourd'hui j'ai passé trois quarts d'heure dans une librairie d'art à feuilleter un gros livre de photos d'un photographe qui s'appelle tino zimmermann. il a documenté sa dépression, ses journées enfermées dans sa chambre, ce qu'il fait sur son ordi, ses recherches google, y a des scans de paquets de tortellinis, des scans de ses pochettes de photos développées en magasin, ses essais de camera obscura etc. y a de très belles photos et des photos un peu chiantes, ça m'a tellement happée que j'ai regardé tout le livre, les 500 pages, dès que quelqu'un documente sa dépression ça m'intéresse, sous quelque forme que ce soit, même si c'est chiant, parce que c'est chiant la dépression, il se passe rien, c'est très monotone, mais ça m'intéresse.
j'ai pas l'impression d'être déprimée en ce moment. j'ai la flemme de sortir mais je sors et je prends du plaisir à mes sorties. je suis retournée à potsdam pour voir l'orangerie, je me suis promenée sous une rangée de grands arbres oranges et jaunes qui perdaient leurs feuilles, j'étais toute seule et je chantais et tout était magnifique, j'ai vu des fleurs qui ressemblaient à des clitoris roses et oranges, des vignes, un très beau cimetière niché entre la forêt et une prairie avec des allées recouvertes d'herbe très verte et très moelleuse qui ressemblait à de la moquette, c'était des couloirs de moquette, c'était un cimetière-hôtel de luxe. et puis google maps m'a joué un tour en me laissant plantée dans l'herbe au bord d'une route bouchonnée à chercher des fausses ruines antiques qui étaient censées être là devant moi mais y avait rien à part la route. je me suis dit que peut être qu'elles existaient plus et que google maps s'était perdu dans le temps, mais j'ai fini par les trouver au sommet d'une colline cachées par les arbres, trois fausses colonnes grecques dont une nonchalamment inclinée contre les autres et une espèce de mini demi colisée avec une tour.
24 octobre
j'ai rêvé d'une maison qui partait en lambeaux. on venait de la refaire mais au bout de quelques semaines tout était déjà déglingué, mon armoire se désintégrait comme la petite table carrée ikea que j'avais dans ma première chambre de bonne, je disais mais pourquoi on a pas gardé nos vieux meubles? un des piliers du grand escalier blanc était en train de tomber et y avait de la poussière partout, quand les ouvriers sont arrivés je leur ai dit de revenir plus tard parce que je devais faire le ménage d'abord. et puis je me suis levée et ma fenêtre était recouverte de buée, première fois que ça arrive. je me suis dit que si je restais dans cet appartement plus longtemps j'allais attraper des moisissures et mon corps allait se désintégrer comme la maison de mon rêve. c'est pas étonnant que tout le monde soit tout le temps malade dans cette ville.
le garçon assis à côté de moi à la lecture de lisette lombé hier soir a du sortir pour aller tousser toutes ses tripes sur le trottoir et la femme de l'autre côté de moi toussait dans l'encolure de son pull. lisette lombé est poète nationale de la belgique et l'ambassadeur belge était en pâmoison devant elle, il arrêtait pas de hocher la tête et de faire des petites approbations orales quand elle lisait et quand elle parlait, surtout quand elle parlait de racisme. je me demandais ce qu'elle pensait de lui. elle lisait ses poèmes en tandem avec sa traductrice allemande et j'aimais bien voir comme ça à l'oral comment elle avait fait pour transposer ses poèmes, le son que ça faisait dans une autre langue, j'aimais bien le son de la langue allemande dans sa bouche, ça avait quelque chose de goûtu, goûteux? je sais pas pourquoi je relie toujours l'allemand à la bouffe.
avant la lecture je suis allée me promener sur la presqu'île de stralau avec j. on voulait voir le coucher du soleil mais il était caché par la ville, alors on s'est contentés de la lumière dorée sur les arbres jaunes. je me demandais si préférais le bleu et le vert ou le bleu et le jaune, le bleu et le jaune ayant un côté show off spectaculaire et éphémère, alors que le bleu et le vert c'est plus intemporel. mais c'est pas vrai les arbres ne restent pas verts tout le temps, à part les sapins, peut être que c'est pour ça que je les aime autant, pour leur constance. c'était agréable de pas me promener seule. j'aime discuter avec j. je me sens à l'aise avec lui. je lui ai montré mon cimetière mais il était moins sous le charme que moi.
aujourd'hui j'ai fait une excursion du côté de krumme lanke, je me suis promenée à travers la waldsiedlung zehlendorf, un grand ensemble de bâtiments bauhaus à moitiés enfoncés dans une magnifique forêt de pins. j'ai appris en rentrant qu'ils avaient été construits pour les ss dans les années 30. y avait aussi des maisons individuelles à toit pointu avec des volets en bois verts sapin et bordeaux entourées de jardins avec des petites clôtures en bois tout droit sorties de mes fantasmes. c'est là que je suis censée habiter, pas dans ce taudis. j'ai marché jusqu'au bout des habitations puis jusqu'au bout de la forêt et je suis arrivée au lac. j'étais pas seule donc j'avais pas peur. j'ai vu une femme qui se baignait, une fille assise au bord de l'eau en tailleur avec les yeux fermés au soleil et deux cormorans qui faisaient de la plongée. j'ai regardé les pins qui craquaient au dessus de ma tête jusqu'à ce que j'aie mal à la nuque. ils se balançaient légèrement alors qu'y avait pas de vent. y avait un pivert qui tapait sur un pin, ça faisait des bruits de travaux. je suis restée plantée au milieu du trottoir à le regarder, la folle qui n'a rien d'autre à faire de ses journées que d'écouter les pins craquer et les piverts taper. j'étais dans une rue à la lisière de la forêt et un vieil homme est sorti d'une maison en criant laura! laura du hast was vergessen! alors que laura était déjà à sa voiture, et j'ai brièvement entr'aperçu ma vie alternative allemande où mon père n'est pas mort et où on a jamais quitté l'allemagne et maintenant je suis adulte et j'ai une vraie vie et une voiture et mes parents habitent dans une maison blanche en lisière du grunewald et quand on regarde par la fenêtre on voit les bouleaux se mélanger avec les pins de la forêt. si je voyais des pins se mélanger avec des bouleaux depuis ma fenêtre je la quitterais jamais et je passerais mes journées à les regarder vivre jusqu'à ce qu'ils me disent d'aller vivre ma propre vie comme les arbres de la forêt à la maison un jour de 2018.
dans ma vie alternative germanique ma tête est mieux vissée sur mon corps et je fais des choses comme aller me baigner nue en hiver dans le lac de krumme lanke et manger à ma faim. je sais pas pourquoi j'arrive pas à manger quand je suis dehors. pourquoi c'est si dur de m'acheter quelque chose à manger, même une pâtisserie sur un petit marché comme celui qu'y avait devant la station de la u bahn. c'est pas qu'une histoire de ressources financières limitées parce que quand j'étais à amsterdam j'avais de l'argent et je me rappelle très distinctement d'une après-midi passée à me promener à travers la ville avec un bagel au cream cheese dans mon sac sans réussir à le manger. j'ai attendu d'être rentrée chez moi pour le dévorer sur le balcon de ma chambre universitaire, au bord de l'évanouissement. peut être que je devrais en parler à ma future psy. donc j'ai repris la u bahn sans manger et je suis allée me promener à la ferme pédagogique de dahlem. je regardais les corbeaux et je me demandais s'ils mangeaient à leur faim. ça sentait le cheval c'était bien, j'ai vu des belles rangées de choux et une femme qui lisait un livre sur un banc au soleil à côté des choux. j'ai aussi vu une autre femme assise par terre au pied d'un arbre qui se tenait la tête en tripotant les racines comme si elle devait résoudre un puzzle compliqué. enfin je sais pas ce qu'elle tripotait, j'ai pas osé regarder de trop près. dans la u bahn je regardais deux hommes âgés mais pas trop qui me donnaient envie d'être un homme âgé mais pas trop et j'avais l'impression d'avoir une araignée sur le nez.
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Eldrya est un monde né des forces primordiales, où chaque élément — l'air, le feu, la nature et la terre — a donné naissance à une entité divine, appelée les Quatre Esprits Fondateurs : Aeriah, déesse des cieux ; Ignar, esprit du feu éternel ; Sylvana, gardienne des forêts ; et Caelis, créateur de la pierre et des métaux. Ensemble, ils façonnèrent Eldrya, y insufflant magie et vie, avant de donner naissance aux races élémentaires, chacune incarnant un reflet unique de leur puissance.
Au fil des millénaires, les Esprits se retirèrent dans leurs sanctuaires sacrés, confiant la préservation de l'équilibre aux peuples d'Eldrya. La paix régna pendant un temps, mais les guerres, les avancées technologiques et la soif de pouvoir des mortels érodèrent peu à peu cet équilibre fragile.
Récemment, des failles éthérées ont commencé à apparaître aux quatre coins d'Eldrya, ouvrant des portails d'où s'échappent des créatures mystiques appelées Éthers. Autrefois protecteurs des terres, ces êtres sont devenus des entités corrompues, semant peur et chaos en frappant aveuglément les cités. Personne ne sait ce qui les a changés, mais certains soupçonnent qu'une puissance obscure, oubliée depuis des siècles, manipule les énergies élémentaires pour réveiller un mal ancien.
À présent, les failles se multiplient, et chaque nation doit faire face à des périls inédits. En Astorica, elles apparaissent dans les citadelles célestes, menaçant de briser la barrière arcanique qui protège la ville. À Tharos, des éruptions volcaniques violentes, attisées par des créatures de feu, ravagent des villages entiers. Dans les forêts de Luminiel, la corruption des failles rend la nature elle-même hostile, transformant arbres et animaux en monstres sauvages. Enfin, les souterrains de Calthras sont envahis par des énergies mécaniques perturbées, rendant les automates fous et instables.
Face à cette menace croissante, les quatre nations sont contraintes de se réunir pour la première fois depuis des siècles. Un Conseil d'Eldrya est formé, rassemblant des représentants de chaque royaume pour discuter d'une solution commune. Mais les tensions restent vives : chaque nation accuse les autres d’être responsables de ces anomalies. Certains prônent l’isolation, d’autres appellent à une alliance totale, tandis que certains soupçonnent un complot plus sinistre visant à bouleverser l’ordre naturel.
Le Conseil finit par prendre une décision cruciale : envoyer un groupe de champions issus de chaque nation pour enquêter sur l’origine des failles. Ces Champions des Nations, choisis pour leurs compétences exceptionnelles et leurs aptitudes uniques, devront également incarner l’esprit de leur peuple. Mais les rivalités et désaccords personnels risquent de menacer leur unité, alors même qu’ils affrontent une menace capable de détruire Eldrya tout entière.
Les joueurs incarneront ces champions, des héros aux talents et origines variés, chargés de résoudre les mystères des failles, de combattre les Éthers corrompus et de percer le secret de l’entité obscure qui menace le monde. Chaque décision qu’ils prendront pourra soit rapprocher les nations, soit précipiter Eldrya dans une guerre totale, tandis qu’une puissance ancienne et effrayante se profile derrière les failles.
Le destin d’Eldrya repose entre leurs mains : sauront-ils déjouer les complots ou seront-ils les instruments de sa chute ?
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Ça fait plusieurs jours que nous n’avons rien posté, faute de connexion internet très très mauvaise. Mais rassurez-vous tout va bien ;) Voici les débuts de notre voyage :
Si nous avons fait le trajet jusqu’ici m, à Victoria Falls c’est pour aller voir…the Victoria Falls 😂
Les chutes Victoria sont des chutes d’eau situées sur le fleuve Zambèze faisant la frontière entre le Zimbabwé et la Zambie. Les chutes sont larges d’1,7km et hautes de 108m, ce qui les placent dans les chutes d’eau les plus grandes du monde. Le premier explorateur à découvrir ces chutes (David Livingstone) était écossais et a nommé ces chutes Victoria en l’honneur de la reine Victoria du Royaume-Uni. La ville zambienne voisine aux chutes porte le nom de l’explorateur : Livingstone.
Nous entrons dans le parc peu avant 10h. Il y a pas mal de sortie scolaire ce matin, mais le parc est grand alors on ne se marche pas dessus. Il y a 15 points de vue reparti sur environ 2km le long des chutes et du fleuve Zambèze. Le panorama est à couper le souffle ! Nous croisons sur notre chemin quelques singes, des petites biches et de très beaux oiseaux !
A l’entrée du parc il est écrit qu’il y a une “rainforest”, en français “forêt de pluie”. On ne comprenait pas vraiment ce que c’était, jusqu’à ce qu’on y arrive 😂 le débit de l’eau des chutes est tellement fort, que les gouttelettes d’eau peuvent remonter jusqu’à 400m. La végétation se trouvant pile en face des chutes d’eau principales se retrouvent arrosées en permanence. En plus d’être verdoyante, la forêt est tellement humide que des goutes d’eau tombent des arbres, exactement comme lorsqu’il pleut. La différence est flagrante entre la végétation séchée sous un soleil aride et la forêt verdoyante arrosée par les chutes 💦
Après avoir dîner au restaurant du parc, nous allons visiter un parc de crocodiles non loin de là. Un guide nous emmène faire la visite, il est super ! Il connaît les reptiles sur le bout des doigts et en plus il est drôle 💪🏼
On commence la visite par la “nurserie”. Il y a des bébés crocodiles d’un peu moins d’un an. Ils sont craquant 😍 on a pu en porter un pour le caresser. Leur dos est fait d’écailles dures pour les protéger mais le ventre est fait d’écailles toute “molles”, ça en est presque doux. La visite se poursuit par la maison des serpents. Une vingtaine d’espèce de serpent cohabitent ici. Majoritairement africain mais aussi américain et asiatique, du plus venimeux au constricteur. On a pu porter deux serpents constricteur (donc pas venimeux du tout), un grand et un petit. Ils sont trop chou, beaux, doux, et on sent tous leurs muscles lorsqu’ils bougent. J’ai adoré l’expérience mais j’avoue que je n’était pas rassuré sur leur morsure. Bien qu’ils ne soient pas venimeux, je pense que ça doit tout de même faire mal 😅 au moins j’ai bien fait rire le guide et Dan 😂 après les serpents, ce sont les lionnes (oui c’est un centre de crocos mais il y a des lionnes, je ne sais pas pourquoi). Elles sont belles, comme deux gros chats, mais une était en train de se remplir la pance et l’autre voulait faire la sieste. Autant vous dire que Dan et Stefano ne sont pas leur priorité numéro 1 😂 Les crocodiles suivants était, eux, plus intéressés ! Oke peut être qu’on avait de la viande à leur donner 😂 mais ça marche 🤷🏽♂️. Ceux-ci étaient adultes, ils ont environ 55 ans et pourrons vivre jusqu’à 120 ans 🫢nous sommes allés voir les bassins des plus jeunes individus. 4-5 ans puis 2-3 ans. Nous avons appris que les crocos âgés de 4-5 ans sont les meilleurs pour utiliser la peau en maroquinerie. Et pour ne rien perdre, la chair est revendue aux hôtels et restaurants pour les cuisiner ( d’ailleurs on en a goûté à Victoria Falls et c’était très bon 😋). Ça nous a un peu refroidi au premier abord puis on a remis les choses dans leur contexte. Chaque pays fait avec les animaux qu’ils ont chez eux. Ici il y a des crocos, ils les élèvent et ils les mangent…🤷🏽♂️
Nous ne pouvons pas partir avec d’aller voir la gare de Victoria Falls. J’aurais adoré venir jusqu’ici en train de nuit mais malheureusement depuis le Covid tous les trains voyageur sont annulé.
Une fois la visite terminée, nous reprenons la route en direction de notre campement, à 2h30 de route, aux portes du parc national Hwange. L’endroit est très chouette, les lodges sont assez moderne mais nous sommes seuls. Pourtant le complexe est assez grand, mais il n’y a personne d’autre que nous à séjourner là cette nuit 😂
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Day 4 (mon jour préféré) : j’ai loué un vélo pour pouvoir parcourir la ville à ma guise, au menu Golden Gate + Conservatory of Flowers avec de beaux spécimen de plantes improbables + Ocean Beach où l’eau était beaucoup trop froide, pour un total de 38,9km et beaucoup trop de rues pentues.
Day 5 : visite du Muir Woods Monument Park qui hébergent des redwoods, une variété de séquoias connus comme les plus grands arbres du monde (jusqu’à 90m dans ce parc) + balade dans Sausalito un petite ville de riches en face de SF + dégustation des pains en forme d’animaux de la boulangerie Boudin.
Day 6 : aller chercher mon numéro de sécurité sociale pour pouvoir travailler (clairement le moment le plus excitant de mon périple) + après-midi à Alcatraz. La prison est impressionnante mais j’ai eu du mal à me projeter dans les lieux. Il y avait beaucoup de visiteurs mais surtout il faisait super beau, l’île est très végétalisée et fleurie et beaucoup d’oiseaux marins y ont élu domicile. On se demande pourquoi on y a pas construit un village vacances plutôt qu’une prison.
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