#Les Bateaux
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fidjiefidjie · 11 months ago
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Le Belem 🔥à Marseille
"Et toi, Marseille, assise aux portes de la France, comme pour accueillir ses hôtes dans tes eaux."
Alphonse de Lamartine
Source: France 3/ Tik Tok
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iamidentical · 1 year ago
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finally finished a song i started 2 years ago!! i'm better at music now so i managed to put some decent chords together.... i still gotta play it for my sister and clean it up and all. but i got the hard part done
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folichonneries · 2 years ago
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flashbic · 1 year ago
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chaque Cartouchien a une chambre individuelle quelque part dans le Chariot d'Or CONFIRMED
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myrmecomorphisme · 13 days ago
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Liste en vrac de chaînes pas encore citées dans les notes (je crois) :
Jeux vidéo
Pseudoless1 : critiques de jeux récents et des vidéos plus poussées sur le game design aussi (sous titres fr dispo)
Thegreatreview : storytelling. jsp si ça sert de le présenter mais bon (sous titres anglais dispo. C'est nouveau ça)
Ache : critique, féminisne, transidentité dans le jv (sous titres fr dispo)
Horreur :
Feldup
Alt 236 : longues vidéos sur tout un tas de sujets étranges
Ratelrock : critiques de films/franchises d'horreur
Sciences humaines
Histoires crépues : histoire coloniale et son impact aujourd'hui
Dave Sheik : histoire et géopolitique
Grégoire Simpson : sociologie (sous titres fr dispo)
Autre :
Misterfox : doublage
Faune cool : le nom est assez explicite, il parle d'animaux
Nexus VI : SF
Qu'est ce qu'on lit ? : littérature
La plupart de ces chaînes sont peut être trop compliquées pour des débutants mais pour ceux qui ont déjà un peu de niveau ou qu'ils veulent entretenir leur français ça convient bien je pense
Les chaînes où j'ai pas précisé les sous titres ont juste les sous titres automatiques
Je vois plein de gens sur langblr qui cherchent des chaines youtubes françaises. Je regarde malheureusement quasiment rien en français sur youtube...Est-ce-que, par hasard, quelqu'un aurait un post avec des recommandations qui ne datent pas de 2010 (Cyprien/Norman...) ?
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jean-doe · 26 days ago
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Les Petits Bateaux by Emily Lab
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oldsardens · 1 month ago
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Adrien Jean Le Mayeur de Merpres - Bateaux (Yellow Sailboats)
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lounesdarbois · 2 months ago
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Gustave Doré dessine les ouvriers de Londres
Les commentaires les plus profonds sur l'Angleterre sont l'œuvre de Français. Jules Vallès, Céline, Morand, Hippolyte Taine et bien d'autres ont compris ce pays et ses mœurs comme si c'étaient les leurs. Nul n'est prophète en son pays. Le grand peintre figuratif de l'ère victorienne est le français James Tissot, mais c'est Gustave Doré qui demeure avec son album de 1872 London a pilgrimage, le principal sociologue par le dessin de l'envers du décor d'une société au sommet de son empire sur le monde.
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Tout français qui assume sa sensibilité d'artiste, une fois introduit dans les centres décisifs de Londres est un enfant dans un magasin de jouets. Pour visualiser ce qu'était cette ville en 1872 il faut d'abord imaginer son fleuve large comme quatre fois la Seine. Une eau verte et grise battue par les vents, vaste comme la mer. Sur cette étendue avancent à pleines voiles des bateaux de toutes tailles, dans toutes les directions, penchés sur l'eau par la force du vent, des myriades de bateaux qui vont chacun leur chemin, et d'autres amarrés par grappes ensemble ça et là au hasard, immobiles avec leurs gréements nus, chaque rive garnie de colonnes de navires au mouillage alignés par dizaines comme des voitures au péage. Si bien qu'en levant le regard sur ce paysage dantesque ce sont des centaines de bateaux qui apparaissent, et qui deviennent des milliers de bateaux jusqu'à l'horizon.
Et sur chaque rive de ce fleuve s'étend une ville, et dans cette ville voici une population de travailleurs qui circule, qui entre et sort des bâtiments, une colonie humaine innombrable qui fourmille sous tous costumes, uniformes, fardeaux, qui est là dans les rues bondées, dans les étages, par les fenêtres, sur les quais, sur les bateaux. Partout la vie, le travail, l'avenir.
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De 1560 à 1960, quatre siècles ont nourri Londres la chétive, à la petite cuillère. Cette cuillère fut l'arrivage continuel des navires coloniaux chargés de marchandises, régime qui fortifia un corps entier, développant les muscles l'un après l'autre. Les quais. Les hangars. Une Venise rationalisée. La ville était creusée de rues aquatiques garnies d'installations inventées pour fluidifier le trafic des bateaux : débarcadères douaniers, entrepôts étanches, péniches grutières, corderies, leviers sur pivot hydraulique, tourelles de mâtage, guichets d'examen d'échantillons, stations de pesage, zones de tri, wagonnets de transbordement. Des quais longs comme des routes, les hangars les plus hauts jamais vus, des murailles de 10 mètres pour empêcher les voleurs d'attenter au trésor de l'Angleterre. Et pour servir ces équipements était la foule immense des travailleurs prolétaires de tous âges, avec leur famille.
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Peu d'hommes ont ce don du témoignage exact. Pascal l'avait pour la condition humaine, Doré pour les sociétés vivantes. Ses illustrations de Dante et des Fables sont connues. Son art culmine dans son Pèlerinage à Londres au moment où cette ville était le premier port du monde, le convecteur de millions de tonnes de marchandises par jour. C'est cette accumulation du capital par l'accumulation de marchandise qui engendra en ce même endroit à la fois Rotschild et Marx, le keynésianisme et Mosley, Charles Darwin et John Wesley, les Lords du commerce et les cockneys manutentionnaires. Tous les contraires, toutes les dualités radicales se sont forgées ici sans pourtant se heurter jamais. Extériorisant sur le continent ses contradictions comme un corps fiévreux sue pour guérir, l'Angleterre n'était plus la proie d'aucun trouble interne majeur depuis Cromwell, deux siècles auparavant.
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Le cœur du monde bat calmement. Cette scène de déjeuner à Epsom, improvisé sur les calèches arrêtées au milieu des foules allant et venant, le rappelle. Chaque visage y est comme la nuance amusante et spéciale d'un type physique général. Amusantes jeunes femmes tête couverte dans leur chale de laine, gracieux attelages, chevaux comme des cygnes à l'encolure courbée. Mais pour qu'une seule de ces dames en leur maison georgienne capitonnée de tapisseries afghanes, puisse prendre son thé indien dans une tasse Wedgwood, il a fallu que se lèvent aux aurores des milliers d'ouvriers, de porteurs, de sherpas, de soldats, de matelots. Des hommes payés pour trouver, acheminer, façonner, sécuriser, entreposer. Doré rend justice à ces hommes.
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Observez ces portefaix qui ploient sous leur fardeau. Il s'agit de ballots de thé du Sri-Lanka, de sacs de sucre de Jamaïque, de rouleaux de tapis d'Iran, de caissons de marmelades d'Égypte, de piles de peaux de bêtes du Canada, de tonneaux de vin cuit du Portugal, de mille articles nouveaux dont la nouvelle bourgeoisie raffole. D'autres navires arrivent chaque jour d'Australie, de Fidji, de Singapour. Ces hommes en vident les cales puis les chargent à nouveau de laine, de gin, de houblon avant que ces cargos reprennent la mer vers l'Inde, la Chine, la Tanzanie.
Londres est une grande roue et ce rude prolétariat est attelé à ses rayons. La rotation continue qu'ils impriment projette le surplus au dehors et attire les nutriments à l'intérieur, force giratoire véloce en son pourtour et tranquille en son centre. Le cœur du monde bat son rythme.
Londres serait restée une banale cité-pirate comme l'ont été Tyr, Nhatrang, Alger ou Istanbul à certaines époques, si elle n'avait pris le parti de retravailler les matières premières obtenues à l'étranger en des produits manufacturés à vendre. En cela Amsterdam avait précédé Londres dans le grand idéal colonial d'une ville européenne à la fois enracinée dans son monde propre et irriguée de ce que le monde alentour offre de meilleur (l'exact contraire d'aujourd'hui). Idéal assez fort pour partir fonder outre-mer d'autres Londres: Singapour, Hongkong, Sydney.
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Ces hommes se laissent pousser la barbe et rasent la moustache, précepte religieux observé encore de nos jours par les Amish et les Salafi.
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Et ce manutentionnaire de troisième étage de hangar de Millwall, arc-bouté sur son palan à 12 mètres au-dessus du sol, pour l'attirer dans la chambre de stockage, n'est-il pas là, présent devant nous? Gustave Doré a su voir l'extraordinaire dans l'ordinaire de son époque.
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Doré dessine non pas la foule dépareillée, bordéleuse et rapace que nous coudoyons de nos jours mais un peuple au travail. Un peuple physique, religieux, pauvre, heureux, un peuple chantant, varié, et blanc (albe, albinos, "Albion"). L'Angleterre est la synthèse de l'Europe, l'estuaire de la Tamise a tamisé les hommes du continent venus remonter son courant, et ce fleuve est le déduit filtrant du continent dont il n'a gardé que le suc, d'où cette grammaire simplifiée qui est la partie visible, audible, de soubassements plus profonds.
Londres est le pèlerinage continuel des européens initié par le peuple français dès 1066, et quelque ennemi que l'on puisse être de ses Whigs, des cruelles manœuvres de son Foreign Office, de l'Intelligence Service activateur de guerres, de ses Churchill bouffis et autres donneurs d'ordre par téléphone, un Français peut regarder Londres comme une partie de lui-même enfuie ailleurs il y a longtemps. L'expatriation ressemble parfois au remembrement, ou au souvenir (to remember).
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Les professeurs gauchistes nous ont rebattu les oreilles avec la notion d'exploitation du travailleur. Le style crayonné et grisaillant de Doré semble parfois forcer le trait en ce sens. Pourtant sommes-nous mieux ou moins biens lotis que ces bougres dessinés par Gustave Doré? Il a dépeint tout ce dont nous manquons aujourd'hui. Un peuple autour de soi, nombreux, cohérent. Du travail assuré. Dix enfants par foyer. Le mouvement, l'entraide, l'action concrète sur les choses. Gustave Doré montre la vie vivante comme nous ne l'avons jamais vue. Elle a existé. Autant d'éléments impensables en nos temps d'abstraction et de dépeuplement qui n'en finissent plus. Rappelons que depuis 30 ans un Français peut à peine trouver du travail dans son propre pays, ou se marier avec une femme de chez lui, ou enfanter, ou acheter un foyer décent. Les rues sont vides, les villages morts, les gens éteints, et pour chaque Français qui se tient bien dix hyènes venues de l'enfer convoitent son pain, son travail, sa maison, sa femme, sa voiture, son argent.
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Revoyons la richesse objective des travailleurs pauvres de 1872, cent fois plus substantielle que notre fausse monnaie actuelle. Richesse d'enfants nombreux, abondance d'avenir meilleur, profusion de chansons de marins et de territoire à soi, ressources de bon sens paysan et de religion stable. Le moindre immeuble accueillait dix familles blondes autour d'un feu sous une marmite suspendue. Un simple manutentionnaire avait un logement comprenant sous-sol, étage et grenier, il était père de sept enfants et la vie portait tout cela. À bien y regarder, la pauvreté d'hier est un luxe aujourd'hui. Ces prolétaires logeaient en plein centre-ville dans des maisons individuelles avec jardinet. On les voit manger des huîtres chaque jour, le plat du pauvre. Ils circulent en confiance dans des rues à eux. Ces joies devenues payantes sont aujourd'hui des privilèges de millionnaires.
Dieu a voulu des inégalités, pas des injustices. Gustave Doré montre en 1872 une société très inégalitaire et assez juste. La société actuelle est à la fois égalitaire et injuste. Que le tout-venant s'installe chez vous à égalité avec vous comporte une note d'obscènité en plus du degré d'extrême injustice. Le pouvoir le sait, le veut. Tout est là.
Pour accomplir un travail très physique la classe ouvrière se sélectionnait elle-même dans la partie la plus saine du peuple. Elle avait l'éthique du travail bien fini, la fierté de sa maîtrise physique, technique, d'outils de production d'importance vitale pour la survie commune. L'Angleterre a tôt choyé ce précieux capital humain: maisons individuelles, viande abondante, premiers systèmes d'entraide mutuelle pour les accidentés. Il y eut un Proudhon anglais un peu plus tardif que le nôtre, ce fut William Morris.
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Que reste-t-il de ce peuple ouvrier aujourd'hui ? Il reste la Culture. Tout d'abord leurs clubs de football, montés à partir de 1868. West Ham United pour les ouvriers des forges et l'emblème des deux marteaux croisés, Millwall Football Club pour les manutentionnaires des docks de Millwall, Arsenal FC pour les fondeurs de canons etc. Tout le mouvement skinhead, l'esthétique Fred Perry, Ben Sherman, butcher coat, gingham shirt, et avant eux les Black Shirts, les Teddy boys, les Mods, et tant de chansons, tout cela provient de l'héritage ouvrier d'une période légendaire. Londres est la seule ville connue où le prolétariat fut producteur d'une Culture. C'est un fruit involontaire et magnifique d'une Monarchie chrétienne donné aux pauvres: la stabilité. Au contraire la république soi-disant française, avec ses neuf révolutions et guerres par siècle a sadiquement forcé l'extinction d'un peuple notoirement plus beau que l'anglais.
Le Romantisme, grande passion française, est un mouvement étrange qui active chez l'artiste la nostalgie d'une époque qu'il n'a pas connu. En célébrant l'Angleterre Gustave Doré chante en réalité la France et elle seule, les notes de ce qu'elle aurait pu être, les accords encore muets de ses potentiels sous cloche. Quand nous passons la Manche pour voir dans les stades soixante mille gaillards chanter des airs anciens debouts les bras en croix nous n'avons d'émotion que pour notre pays à nous. C'est de moi que je parle. J'ai la nostalgie de Montorgueil Sport contre Louvre-FC, de Villette Abattoir contre AS-Vincennes, et du tournoi des quinze clubs franciliens remporté par les Flèches Noires de Paris devant cent mille Dupont-Dubois qui chantaient dans les graves "Rien de rien, non je ne regrette rien". Nostalgie de ce qui n'a pas été porte en soi le monde à venir qui veut être.
Si Gustave Doré a le mieux dessiné Londres c'est qu'il faut être extérieur à l'objet pour le bien voir. De la même façon, c'est un étranger, l'anglophone David Crosby qui a le mieux chanté notre Carillon de Vendôme, mélodie du Moyen-Age, complainte émue des villages restés fidèles au royaume de France envahi, réduit à portion congrue. Que reste-t-il à ce Dauphin si gentil? Orléans, Beaugency, Notre Dame de Cléry, Vendôme, Vendôme. Elle ferait une très belle chanson de stade, en canon, dans les graves.
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camisoledadparis · 3 months ago
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saga: Soumission & Domination 369
Octobre USA - Novembre en France
Pendant le WE j'aurai à nouveau l'occasion de tester ses capacités. Il se défend bien !!
Je me ferais aussi sa bande de copains aussi chauds que lui. Dane s'y essaye aussi. Pour lui c'est une première que de baiser aux côtés de son petit frère. Mais après quelques hésitations, il n'a pas pu résister à la vue des 8 jeunes corps musclés, imberbes dont les peaux brillaient d'un voile de sueur.  Fin de partie au lever du soleil !! La triplette est ravie de cette fin de séjour en Californie.
Quand nous renvoyons mes " petits frères " en France, ils nous arrachent la promesse de faire venir leurs nouveaux amis en France pour passer noël et le nouvel an.
Duke est aussitôt d'accord, Dane accepte aussi. Pour Tyler je pense qu'il sera OK aussi.
En attendant je passe les WE à visiter le pays avec Dane et Tyler. Souvent nous sommes accompagnés d'une bonne dizaine de potes.
Ça été le cas quand nous avons fait du rafting sur le Colorado. Vraiment impressionnant de se faire secouer sur le pneumatique entre deux parois d'une hauteur vertigineuse.
De même lors d'une sortie sur le lac Powell. Dès notre arrivée et les bagages déposés à l'hôtel, nous avons loués des petits bateaux à moteur pour voguer sur le lac. Lac de barrage sur le Colorado, ses bords sont très déchiquetés et s'il y a de grand " plages ", il y a aussi des à-pic qui nous permettent de faire de superbes plongeons. Le milieu naturel c'est quand même plus excitant que la piscine chlorée.
Evidemment, nous ne sommes pas partis sans kpote ni gel !! Du coup quand on se trouve une plage un peu cachée, c'est touze au soleil.
Le mélange nageurs et fighters (combattants) n'as pas mis longtemps à prendre et l'ambiance est trop bonne, j'adore.
Sans parler de compétition, c'est une franche émulation qui agite les deux groupes. Si les adeptes des sports de combats sont longboard, les nageurs ont gardé les maillots réduits du plongeon. Comme s'il fallait ça pour exciter la partie adverse !! Les maillots moulent des bites et surtout les glands circoncis, pire qu'une deuxième peau. Le nylon lâche des shorts de surf pointe en avant sous la pression interne.
J'apprends alors que c'est une première que les deux " groupes " sortent ensemble. Dane et Tyler me dit que je suis leur point commun.
Je le sens bien quand en fin de touze, ils se servent de moi comme point focal d'un gang bang improvisé.
Sans parler que je ressente la même chose que Ric lorsque je suis organisateur de ce genre de plan, j'apprécie le fait que je sois le mec qui les ai amené à se lâcher pareillement.
Ils alternent dans ma rondelle et je prends plaisir à resserrer comme à détendre mon sphincter afin que chacun soit serré au plus confortable. Les deux blacks du groupe apprécient cette capacité alors que je laisse passer facilement leurs gros glands avant, d'une première fois les bloquer aussitôt dans leurs progressions puis de les laisser m'enfiler jusqu'aux couilles et de les bloquer là à nouveau.
Ce sont aussi les mieux montés même s'ils n'atteignent pas les dimensions de mes clients. Mais 23 et 23+ par un bon 6,5 c'est quand même très efficace !! Les gémissements que je n'arrive pas à retenir en font foi !!!
Le dernier à passer me fait juter les litres de sperme dont ses prédécesseurs avaient stimulé la production.
Quand je reçois les litres de sperme stockés dans leurs couilles, ça coule de part et d'autre sur le sable qui absorbe. Heureusement que nous sommes dans un coin isolé, car les mecs crient fort leurs plaisirs quand ils jutent.
Moi, je me serais pris ce coup là, mes 12 comparses et certains plus d'une fois, trop trop bon ça !
Le 13 novembre, cela fait une heure que je suis dans le bassin de plongeon quand Dane déboule et m'appelle avec de grands signes. Je plonge et quand j'émerge, il est sur le bord. Il me tire de l'eau, me serre dans ses bras et me dit qu'il y a eu des attentats à Paris et qu'il y a plusieurs centaines de mort.
Aussitôt je pense à mes amis Parisiens. Kev et Henri, Bogosse et sa Moitié et aussi à Alban plus tous les autres qui peuvent y être sans que je le sache d'où je suis !
Le coach comprend que j'interrompe mon entrainement et me dit d'aller voir tout de suite si mes amis sont indemnes.
J'enfile mes vêtements par-dessus mon maillot et courre jusqu'à ma chambre pour ouvrir mon ordinateur. Sur mon téléphone déjà 10 messages ! PH et Ludovic me rassurent à moitié. Ils ont déjà contacté tous nos amis et ils sont tous sauf, mais il manque à l'appel Alban et Ric et Kev qui étaient au Bataclan pour écouter un concert de rock.
Sur Facebook, de nombreux films me montrent les horreurs qui se sont passée en France. Autour de la salle de spectacle on ne voit que les gyrophares qui percent la nuit.
J'appelle André. Sa voix est calme et posée bien qu'il sache déjà que son fils (Ric) n'est pas joignable. Il me remercie de ma sollicitude et me promet de m'appeler dès qu'il aura des nouvelles.
Henri est dans la même situation. Malgré toutes ses connaissances, il n'arrive pas à savoir si Kev est sauf.
Il s'en suivra quelques heures d'angoisse le temps que la police donne l'assaut et qu'enfin, sur Facebook, Alban nous assure qu'ils sont vivants tous les trois mais à l'hôpital où Ric se fait extraire une balle de son bras gauche et Kev d'une dans un mollet.
Marc me contacte du Japon où il est en déplacement. Ça le rassure que je ne sois pas seul. Il comprend quand je lui dis que je saute dans le premier avion.
Dane a pris les devants et de son côté a déjà retenu par internet deux allers pour Paris départ dans 3h ! Il ne veut pas me laisser voyager seul !
Tyler qui a appris la chose nous rejoint. Embrassade, geste de réconfort, il nous conduit à l'aéroport.
Dans l'avion impossible de dormir. Les hôtesses et stewards très gentils, ne savent comment nous rendre service. Je ne suis pas le seul français à rentrer en urgence !  A Roissy, alors que nous allons prendre un taxi, je vois Henri qui nous fait signe. Nous nous engouffrons dans sa voiture et filons sur Paris. Il nous donne les dernières nouvelles, mes deux amis vont bien et devraient sortir rapidement.
Nous filons directement vers la Salpêtrière. L'entrée est encore très encombrée mais grâce à Henri nous passons rapidement les contrôles et je retrouve Ric alors qu'Henri passe dans la chambre à coté retrouver Kev.
Séquence émotion !! Je le serre dans mes bras et le traite d'imbécile à nous avoir fait aussi peur. Il me dit que la dernière fois c'était moi qui leur avait foutu la trouille (cf. mon accident de moto). Dans la chambre, André et Alban sont là aussi. J'ai la surprise de voir Ludovic.
Embrassades, Alban m'explique que Ric s'est couché sur lui et c'est pour ça, qu'il a pris la balle qui aurait dû le toucher.
Ric rigole et dit que si la balle l'avait touché, lui, elle aurait fait beaucoup plus de dégâts vus l'épaisseur du mec.
Ludovic me dit qu'il est monté à Paris avec PH qui est dans la chambre d'à côté.
Je lui roule un patin grave et part voir Kev.
Je le trouve avec Henri et PH. Il est heureux de me voir. On se serre fort, on s'embrasse. Il me dit que ce n'était pas la peine de revenir puisqu'ils vont bien.
Je me recule et le regarde avec sa jambe plâtrée. La balle qui lui a perforé le mollet lui a aussi cassé le tibia.
Il tape sur son plâtre et me dit que comme ça je ne serais plus le seul à avoir une broche dans la patte ! Puis il me demande qui est la personne qui m'accompagne.
Dane, en retrait, s'avance et se présente. Kev le déshabille du regard et siffle avant de me dire que j'ai toujours aussi bon goût.
J'ai la surprise de voir Dane rougir. C'est la première fois que je le vois intimidé !
Malgré mon envie de rester plus longtemps avec eux, il est déjà tard et ils sont fatigués. Henri nous conduit jusqu'à l'appartement de Kev en nous disant de nous y installer tous les 4 et qu'il nous attend chez lui dans une demi-heure pour le diner.
Arrivés dans le duplex, on se fait un gros gros câlin avec bien sûr émissions de spermes.
Du coup on est un peu en retard chez Henri. Il ne nous en veut pas et nous dit que nous allons directement au restaurant. Pas de raison de changer nos habitudes !!!
Dane est ravi, il n'était jamais venu en France et ne connais les grands restaurants que de nom.
Alors que nous sommes en sportwear, le fait que nous soyons avec Henri règle le problème de l'entrée. La salle est loin d'être aussi remplie que d'habitude. Du coup les serveurs sont à nos petits soins ce qui impressionne encore plus notre américain.
Pendant le diner, nous ne pouvons nous empêcher de parler des évènements. Henri nous remercie encore d'être venus voir Kev. Je lui rappelle que son " fils " est quasiment un frère pour moi quand à Ric c'est pareil. Il me dit que rien que pour cela, il me doit une reconnaissance éternelle. C'est vrai que c'est moi qui ai mis Kev dans son lit, mais après c'est leur propre alchimie qui l'avait poussé à l'adopter comme Emma l'avait fait avec moi.
Retour à l'appart. Le décalage horaire nous rattrape et je m'écroule tout comme Dane.
Réveil, douche, comme d'habitude il n'y a rien à manger dans les placards de Kev !
On descend prendre un café croissant au bar du coin. La télé est branchée sur les chaines d'infos en continu et malgré le débit rapide des journalistes, Dane comprend avec les images.
Il nous dit que ça lui rappel l'ambiance de leur 11 septembre. Le patron qui entend ça nous offre les consommations. Faut dire qu'on est pas nombreux dans son bar ! A nous 4, on fait 50% de sa clientèle !!
Retour à la Salpêtrière. Sans que le calme soit revenu, la partie où mes amis sont soignés n'est plus dans l'effervescence de l'urgence. Avec mes trois acolytes, nous inondons de fleurs et de chocolats le service. Minces remerciements pour le dévouement avec lequel les équipes ont traité cet évènement.
Nos deux blessés vont bien même si pour Kev cela tient aussi au traitement analgésique. L'infirmière en chef nous annonce qu'ils vont pouvoir bientôt sortir. Tout le monde est content !
Avec la complicité de mes amis, nous arrivons même à soulager leur trop plein d'excitation. Rien ne vaut une bonne pipe prodigué par un mec un peu vorace !
Vu comme cela s'arrange pour eux, je rentre au blockhaus. Quand j'arrive l'immeuble qui colle à gauche est en travaux. Heureusement pour nous le bâtiment ne fait que 2 étages mais sa façade est plus longue. Sa cour colle la mienne et du coup je regrette de pas l'avoir acheté pour être tranquille. Faudra qu'on se renseigne sur le nouveau proprio.
En attendant je fais visiter Dane. Il trouve que nous avons bien tiré parti de ce vieil entrepôt. Il kiffe totalement nos deux hommes de service et me dit qu'il ne s'attendait pas à ça.
Le diner est délicieux et Dane se régale de nos plats typiquement français.
Jardinier
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40viewscollection · 2 months ago
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Au fil de l'eau...
L'origine de l'expression « au fil de l'eau » remonte à l'époque où les marchandises étaient transportées en bateau sur les fleuves et les rivières. Les péniches et les bateaux de transport naviguaient en suivant le courant naturel de l'eau. Les mariniers avaient pour habitude de dire qu'ils naviguaient « au fil de l'eau ».(Wikipédia)
Dany ERDOCIO
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coovieilledentelle · 9 months ago
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Camogli, l'une des plus belles villes côtières de la Riviera italienne, est toujours en mouvement avec les bateaux, les oiseaux et les plages, ainsi que la mer...
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frenchcurious · 1 year ago
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La maison et le hangar à bateaux, d'Agnes et Lowell Walter sur les rives de la rivière Wapsipinicon à Quasqueton, dans l'Iowa, conçus par Frank Lloyd Wright et achevés en 1950. Photo : franklloydwrightstudios. - source MCM Daily.
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papillondusublime · 5 months ago
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En ce Jour du Souvenir, portons le coquelicot et accordons une minute de silence pour tous les soldats qui se sont sacrifiés pour notre liberté! N'oublions pas non plus d'honorer nos vétérans et ceux qui servent le pays car ils le méritent. En espérant que l'avenir nous apportera des temps de paix, voici un poème de Paul Eluard:
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.
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gacougnol · 1 year ago
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Denise Colomb (1902-2004)
Deux bateaux à quai côte à côte dont le 'Joseh Marie d’Nez'
Cap Sizun, Bretagne, Finistère, Audierne
1950
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motsimages · 6 days ago
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J'ai enfin recommencé Le Comte de Monte-Cristo. C'est à dire, j'ai un peu sauté quelques épisodes pour être au jour avec Monte Cristo daily (pas encore à jour).
Bref, je suis encore dans le châpitre de l'île de Tiboulen et je me suis arrêtée au moment quand on le sauve et on le prend dans un navire. Il ne porte pas de vetêments, donc on demande à un autre marin de lui donner un pantalon et une vareuse, s'il en a.
C'est à dire, ce n'est pas garanti qu'un marin ait assez de vetêments pour en prêter. Et d'ailleurs, c'est le cas puisqu'il n'a pas de vareuse, mais une chemise.
Petit rappel sur le fait qu'on fait encore les vetêments à la main. Oui, il y a des métiers à tisser, mais filer les matériaux est toujours, encore, fait manuellement (et plus encore dans le temps du livre, qui est censé de passer en début du XIXème siècle). Très probablement par les femmes et les filles des marins (peut-être aussi par les marins s'ils ont du temps libre dans les bâteaux ??), et puis tous ces fils sont emportés au métier à tisser du village qui fait la toile.
C'est donc lent et cher d'avoir 2 ou 3 vetêments complets (soit, pantalon + chemise/vareuse + tricot ?).
Et puis, sur la vareuse, quelques choses intéressantes que j'ai vu sur wikipedia sont qu'il y en avait de différentes couleurs selon la région, pour mieux reconnaître les navires et les gens dans la mer et dans les ports, et qu'elles n'ont pas de bouton extérieur, mais intérieur pour pas qu'il se mèlent avec les cordes ou toute autre chose lors du travail.
Il faut donc ajouter aux difficultés d'avoir un uniforme complet, la teinture. On ne peut pas avoir une vareuse blanche, et les couleurs n'étaient pas toujours faciles à faire : le noir pour la Hollande, le bleu à Boulogne et Dieppe, le rouge à Concarneau, l’écru à Arcachon (peut-être celui-ci pourrait être du lin sans traiter, mais comme on voit ci-dessous, si c'est fait de la toile d'une voile, ce sera plutôt de la laine, peut-être aussi sans teindre). "La patine de la toile avec le temps permettait aussi de différencier les jeunes marins des anciens."
Je copie de Wikipédia ce morceau et la photo :
"Elle est faite d'un tissu très serré pour couper du vent (toile qui était autrefois celle des voiles des bateaux, réutilisée pour sa résistance et dans un souci d'économie). Souvent, elle est réversible (un côté mer, un côté terre) : le côté sale/usé associé au vêtement de travail, le côté propre était porté en ville"
Tumblr media
C'est à dire : si la toile est vieillie ou qu'elle se casse, elle peut devenir une vareuse. Faudrait alors la teindre, j'imagine. Avait-il toute une industrie de seconde main autour de la recupération des toiles de bâteau pour la création des vetêments ?
Oui, je vais faire des commentaires textiles sur ce livre, les commentaires que personne ne s'attendait.
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coulisses-onirisme · 5 months ago
Text
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom
Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom
Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom
Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin) Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)
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