#Lentilles de contact

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[lolochaponnay]

Un touriste français, célibataire, séjourne au Portugal. Un soir, il se rend dans un bordel et demande à la taulière : - Je voudrais une fille blonde, aux yeux bleus, et qu' elle soit bien épilée. - Oui, monchieur, une fille blonde aux chyeux bleus et bien épilée, vous challez chambre dix-chuit. Le gars entre dans la chambre 18 et voit une fille toute nue sur le lit. Mais elle est brune, elle a des yeux foncés et une épaisse toison entre les jambes. Alors, il retourne à l'accueil et dit : - Ca ne va pas. Chambre 18, la fille est tout le contraire de ce que je voulais. - Ma non, monchieur. Che viens avec vous. Ils entrent tous les deux chambre 18 et le client dit : - Regardez, elle est brune. - Maria, enlève ta perruque ! La fille s'exécute, et elle a de beaux cheveux blonds. - Oui, mais elle n'a pas les yeux bleus. - Maria, enlève tes lentilles de contact ! La fille fait ce qu'on lui dit, et elle a de beaux yeux bleus. - Oui, mais elle n'est pas épilée. - Maria, bouche un peu, pour chacher les mouches !

[diverse-2024]

Ce trebuie sa stie utilizatorii de lentile de contact - lucruri utile

Prea multă lumină solară poate provoca infecții oculare

Despre lentilele de contact și activitățile sportive

Unele sortimente de lentile de contact sunt mai sănătoase decât altele

Cresc stima de sine

Copiii sunt mult mai atenți la îngrijirea lentilelor de contact decât adulții

Primele lentile de contact au fost fabricate din sticlă

Apa poate distruge lentile de contact

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[swedesinstockholm]

18 juillet

en sortant du cimetière maman m'a appelée pour voir comment j'allais et j'ai recommencé à pleurer derrière mes lunettes de soleil en traversant le parc de la hasenheide. elle m'a dit rappelle-toi que tout prend toujours beaucoup plus de temps avec toi et que tes émotions sont décuplées, que c'est un énorme changement et que tout ne peut pas être bien du premier coup. c'est exactement ce que me disait r. hier soir. je lui ai parlé des gens de bumble et il a dit que j'allais pas forcément rencontrer les gens les plus intéressants tout de suite, mais que je les trouverais peut être à travers d'autres gens, de fil en aiguille. je lui ai demandé s'il avait une stratégie pour se faire des amis dans une nouvelle ville et il m'a dit que lui il irait aux concerts et il essaierait de parler aux gens, et si j'y arrive pas, essayer de les trouver sur insta et leur écrire, comme il a fait avec moi. ha. je lui disais que j'étais de mauvaise foi mais lui il trouvait pas, juste un petit côté indécrottable à la limite. j'ai dit que je le mettrais dans ma bio parce que j'adore ce mot. on a discuté pendant un moment et tout d'un coup il a dit mais je vais me coucher lara! j'espère que notre causette t'a été utile, et la manière dont il l'a formulé m'a donné l'impression que toute notre conversation n'était qu'une sorte de bonne action de sa part. comme s'il se disait que j'avais que lui pour parler. j'en suis à un stade où je m'en fous un peu de ce qu'il pense mais ça m'énerve qu'il se donne cette importance toujours. ou alors c'est juste moi qui me monte le chou pour rien. indécrottable.

bon ça va un peu mieux depuis que j'ai pleuré en public. quand j'ai raccroché je voulais pas rentrer alors j'ai marché jusqu'au k-fetisch juste pour voir des lesbiennes et tenter du eye contact sur le trottoir, on sait jamais, mais personne m'a calculée sauf une fille hot au crâne rasé mais vite fait. je me suis dit ok, même si j'ose pas y rentrer, c'est quand même cool d'habiter à douze minutes à pied d'un bar lesbien. je suis rentrée à la maison de bonne humeur je me suis douchée j'ai chanté j'ai mangé du pain avec du beurre de cacahouètes et de la confiture et j'ai fini de traduire mon cv + fait une lettre de motiv pour les cours de français. j'ai l'impression que cette journée a duré cent ans. demain j'écris. demain je suis sérieuse. je dois rester plus concentrée sur mes objectifs. je m'éparpille trop.

20 juillet

j'ai envie de rentrer. j'arrête pas de penser au meme avec le squelette qui court qui dit if it sucks it da bricks!! je sais pas combien d'efforts je suis censée faire exactement? ce matin j'ai de nouveau été réveillée par des gémissements de sexe (cette fois c'était n.) et évidemment j'avais le coeur qui battait trop vite pour me rendormir et je me demandais est-ce que je suis vraiment obligée de m'infliger ça? et si ça me suffisait de vivre ma vie par procuration? de me contenter de celle des personnages de fiction? à la maison quand je vois les autres vivre leur vie ça me donne envie de me tuer mais maintenant que j'ai l'opportunité d'avoir une vie moi aussi et que je dois faire des efforts pour la construire j'ai envie de retourner dans ma non vie par procuration. mais est-ce qu'avoir une vie signifie forcément de vivre dans une métropole sortir en club avoir du sexe et vivre dans une chambre pourrie de 9m2 avec de la vieille moquette dégueue? en scrollant ig ce matin au lit j'ai regardé une vidéo d'hortense raynal qui s'enregistre en train de dire des trucs dans un micro avec un looper installée dans ce qui ressemble à une maison de campagne et je veux ça. vivre à la campagne tranquillement et faire mes trucs au calme et puis aller à la ville pour les trucs pro, occasionnellement.

hier soir j'ai accompagné n. à une fête dans un squat alors que je m'étais déjà mise en pyjama et que je m'apprêtais à regarder un film en mangeant mes galettes de lentilles avec du beurre de cacahouète et une banane parce que je recommence à manger n'importe quoi n'importe quand et surtout je mange pas assez, mais dans un élan de courage j'ai enfilé des habits noirs englouti mes deux galettes et j'ai dit je viens! on s'est trompé de s bahn et on a atterri beaucoup trop loin et j'espérais secrètement qu'on arrive jamais, qu'on se perde dans la banlieue et que la fête disparaisse de l'horizon. j'étais jalouse des gens à l'intérieur de leurs appartements avec un éclairage tamisé eh oh moi aussi je veux passer la soirée sur le canapé devant la télé. vers une ou deux heures du matin des voisins ont appelé la police pour faire arrêter la musique et automatiquement je me suis mise à la place des voisins, de leur côté je veux dire, même si j'appellerais jamais la police, je suis pas du côté de la police, je suis juste du côté des gens qui veulent dormir en paix. j'ai passé la soirée à discuter avec des inconnus dans le jardin donc ça va, c'était largement faisable, c'était un jardin labyrinthique avec plein de petits recoins secrets et des grandes fleurs sauvages et on y voyait pas grand chose. toutes les fêtes devraient avoir lieu dans des jardins comme ça. à un moment n. est allée danser sur la techno à l'intérieur où il faisait mille degrés mais je préférais encore affronter la conversation avec des inconnus plutôt que le dancefloor.

j'avais un semi crush sur un garçon maigre et bouclé qui s'appelait oleg. il portait des lunettes rondes et il était hydrogéologue ou un truc comme ça et ça a suffi à me séduire. il racontait qu'il avait quitté la russie pour échapper à l'armée y a deux ans et que depuis il vivait un peu peu partout et nulle part. il revenait de naples là. avant il était à tenerife où il a retrouvé ses parents et sa soeur restés à moscou. je lui ai dit que j'étais française sans mentionner le luxembourg parce que ça m'emmerde les questions sur le luxembourg, c'est toujours les mêmes et ça m'ennuie profondément. il m'a dit qu'il avait habité à rennes parce qu'il devait travailler à l'université mais que le gouvernement français avait décidé que c'était un espion russe et qu'ils l'avaient mis sur liste noire, alors il est reparti. je me demande s'il mentait. l'été dernier à berlin j'avais décidé que j'allais commencer à mentir aux gens mais je l'ai jamais fait. il portait un sweat troué informe qui tombait sur son corps maigre. n. portait un mini short en jean taille basse avec un haut moulant en dentelle noire sans manches, pas berlin du tout. moi je portais un pantalon noir avec un tshirt noir et mes converse noires. à côté d'elle je me sentais pas trop habillée pour aller à une fête. en m'habillant j'ai dit i don't have any party clothes, mais après deux secondes de réflexion je me suis dit on s'en fout des party clothes, si j'étais un mec je pourrais mettre n'importe quoi, comme un grand sweat troué qui ressemble à rien et un pantalon quelconque et tout le monde s'en foutrait et je trouverais encore des filles pour avoir un crush sur moi (moi). la première fois que j'ai vu r. il portait portait un sweat troué aussi je crois. oh être un garçon.

j'ai aussi discuté avec un espagnol catalan à qui j'ai accidentellement mentionné ma crise existentielle le pauvre, il a dit it's okay i'm open to all kinds of conversation avec un sourire bienveillant mais j'ai vite manoeuvré vers un autre sujet de conversation en lui demandant ce qu'il faisait lui. je crois qu'il travaillait pour une start-up qui fabrique des batteries. il m'a dit just enjoy your funemployment in berlin! ou bien la phrase la plus absurde qu'on puisse me sortir. je crois que j'ai dit i'm not a person who enjoys things ou un truc comme ça. au moins je fais rire les gens avec mes conneries. il portait une veste en daim couleur caramel, je l'ai touchée quand il m'a serrée dans ses bras dans la s bahn, c'était tout doux. je suis sûre qu'il doit vivre dans un bel appart propre et bien rangé.

[sofya-fanfics]

Essaye de me la prendre

Fandom : Lupin III

Relationship : Lupin x Fujiko

Voici ma participation pour le Year of the OTP 2023. J’esp��re que ça vous plaira.

Résumé : Fujiko poussa la porte et entra dans le coffre. Elle se dirigea au centre de la pièce où une petite boite en bois était posée sur un socle. Elle ouvrit la boite et écarquilla les yeux. La bague n’était pas là.

« C’est impossible, marmonna-t-elle.

-C’est ça que tu cherches ? »

Fujiko se retourna à toute vitesse.

« Lupin !S’exclama-t-elle. »

Disclaimer : Lupin III appartient à Monkey Punch.

@yearoftheotpevent​

AO3 / FF.NET

Fujiko arriva devant la salle des coffres. Elle arrivait enfin a but. Cela faisait des semaines qu’elle préparait son coup. Elle était à la recherche d’une bague. Ce n’était pas la bague en elle-même qui était importante, mais la pierre qui l’ornait.

Il s’agissait d’un diamant offert à l’impératrice Joséphine lors de son mariage avec Napoléon. À la mort de Joséphine, le diamant avait disparu. Il fut retrouvé il y a un an, monté sur une bague et mis aux enchères. Le monde entier en avait parlé lorsque les enchères furent remportées par un puissant magna des affaires qui avait fait fortune en créant un nouveau réseau social. La bague lui avait coûté plusieurs millions, c’était devenue une enchère historique.

Fujiko avait préparé un plan pour pouvoir s’approprier cette bague. Elle avait réussi à se faire engager comme assistante de l’homme d’affaires. Elle s’était montrée indispensable et il ne pouvait plus se passer d’elle. Elle avait trouvé où était la bague et avait déjoué la sécurité. Il ne restait plus que la porte de ce coffre à franchir.

En plus du code qu’elle avait trouvé, il y avait un détecteur d’empreintes et un scanner rétinien. Elle mit des lentilles de contact et se plaça devant le scanner. La rétine de l’homme d’affaire fut reconnue. Elle enfila ensuite un gant où se trouvaient ses empreintes et posa sa main sur le détecteur. Elle fit le code et sourit lorsque la porte s’ouvrit.

Tout se passait comme prévu. Elle poussa la porte et entra dans le coffre. Elle se dirigea au centre de la pièce où une petite boite en bois était posée sur un socle. Elle ouvrit la boite et écarquilla les yeux. La bague n’était pas là.

« C’est impossible, marmonna-t-elle.

-C’est ça que tu cherches ? »

Fujiko se retourna à toute vitesse.

« Lupin !S’exclama-t-elle. »

Il était adossé contre le mur, une main dans sa poche et l’autre tenant la bague. Fujiko sentit la colère monter en elle. Comment osait-il la devancer et lui voler la bague. Bien sûr, elle lui avait déjà joué ce mauvais tour plusieurs fois, mais ce n’était pas une raison. Lupin s’approcha d’elle et sourit malicieusement. Fujiko avait toujours craqué pour ce sourire. Mais à ce moment précis, cela l’irritait.

« Beau bijou. Je ne suis pas étonné qu’il te plaît tant. »

Il lança la bague en l’air et la rattrapa.

« Donne-la moi, dit-elle. J’ai travaillé trop dur pour que se soit toi qui l’aie.

-Moi aussi j’ai travaillé dur. Tu pourrais choisir d’autres bagues toutes aussi belles.

-C’est celle-la que je veux.

-Moi aussi. »

Elle avait l’impression de se comporter comme une enfant de cinq ans, mais elle s’en moquait. D’ailleurs, Lupin ne se comportait pas mieux qu’elle.

« De toute façon, elle m’irait bien mieux à moi qu’à toi, dit-elle.

-Je demande à voir. »

Il mit la bague à son doigt pour la défier. Il ne le montrait pas, mais il s’amusait de la situation. Elle s’approcha de lui et lui lança un regard noir. Quelques centimètres les séparaient. Elle pouvait sentir la chaleur de son corps.

« Lupin donne-moi la bague.

-Essaye de me la prendre. »

Fujiko sourit malicieusement à son tour. Lupin connaissait ce sourire, qui en général n’augurait rien de bon. Elle attrapa soudainement sa veste et se colla contre lui. Sans que Lupin n’ait le temps de réagir, elle l’embrassa. C’était le genre de baiser qui lui fit tourner la tête et oublier tout ce qui se passait autour de lui. Il passa son bras autour de sa taille et la colla plus contre lui. Il n’y avait plus que Fujiko et ses lèvres posées sur les siennes qui comptaient. Il était perdu dans ce baiser et ne sentit pas Fujiko lui prendre discrètement la bague. Elle s’écarta brusquement de lui. Lupin ouvrit les yeux, ne comprenant pas ce qu’il se passait. Il vit Fujiko lui montrer la bague autour de son annulaire.

« Merci pour la bague, dit-elle joyeusement.

-C’est de la triche ! »

Lupin tapa du pied par terre, se sentant idiot d’être tombé aussi facilement dans son piège. Elle se dirigea vers la porte et lui fit un signe de la main.

« Bye bye ! »

Elle referma la porte du coffre derrière elle. Lupin se précipita vers la porte et la tira de toutes ses forces. Heureusement pour lui, il était plus facile de sortir du coffre que d’y entrer. La porte s’ouvrit et il sortit. Il regarda des deux côtés du couloir. Fujiko avait disparu.

« Lupin ! »

Lupin vit Zenigata courir vers lui. Il ne manquait plus que lui, pensa-t-il. Il réussit à s’enfuir de la propriété et à rejoindre sa voiture qu’il avait caché plus loin. Il arriva une heure plus tard à sa planque. Il ouvrit la porte et découvrit Fujiko assise sur le canapé. Il n’était pas étonné de la voir. Il referma la porte et s’approcha du canapé.

« Pour m’excuser, je t’invite à dîner, dit-elle. Alors sans rancune ? »

Lupin sourit. Peu importe les mauvais tours qu’ils pouvaient se jouer, il tenait trop à elle pour rester fâché.

« Sans rancune. »

Il lui tendit la main pour l’aider à se lever et elle l’accepta. Ils sortirent dîner et pour une fois, Lupin ne tenterait rien pour récupérer la bague. Après tout, il avait à ses côtés un trésor bien plus précieux.

Fin

[bleumc]

30 Mai 2022

Parce que cette date, c'est une des dates les plus importantes de ma vie. Un autre article parlera du avant. Mais je pense que je dois commencer par le jour ou j'ai commencé à vivre.

J'ai 24 ans. J'ai déménagé dans la région avec ma mère environ 8 mois auparavant. Je cours depuis des mois, j'ai perdu environ 10kg. J'ai réussi à avoir des lentilles, moi qui porte des lunettes qui me complexent depuis plus de 5 ans. Pour la première fois de ma vie, je me sens bien dans ma peau. Je décide, après 4 ans de célibat pour des raisons que j'expliquerais plus tard, de m'inscrire sur une célèbre application de rencontre. Je suis brune, plutôt jolie, je plais assez facilement. Je rencontre un premier homme, mais au bout de 3 rendez vous je lâche l'affaire. Il n'est pas correct, ne veut que du sexe. Puis je reçois, le lundi 30 Mai un message. "Est ce que toutes les Chloé sont jalouses ?".

Visiblement, l'ex de cet homme doit porter le même pr��nom que moi et avoir été du genre très jalouse. Nous commençons alors à discuter. Il s'appelle Marc. Il à 3 ans de plus que moi, semble grand et bel homme. Il parle bien, ne fait pas de fautes d'orthographe ce qui est relativement miraculeux dans notre monde actuel. Et la conversation dure jusqu'au mercredi ou il propose de se rencontrer. J'accepte, sans grande conviction. Il me donne rendez vous dans un bar sympa que je ne connais absolument pas. Rendez vous ce mercredi à 20h.

J'enfile un pantalon habillé vert clair, des bottines à talon pour me donner confiance en moi. J'ai les cheveux lâchés et je porte un petit top noir cours juste au dessus du nombril. Je passe une veste que j'emprunte à ma mère pour couvrir mes épaules en fin de soirée. Je prend la route. Nous nous sommes donnés rendez vous sur le parking du McDo. Il à une voiture bleu. Je connais le modèle et il me semble que c'est justement la voiture qui me suis quand je tourne sur l'entrée du parking. Je me gare, prend le temps de repoudrer mon nez qui brille facilement. Je lui envoie un message, "je suis arrivée". Lui aussi. Je sors de la voiture et le temps s'arrête.

Devant moi, un homme grand, blond aux yeux bleus. Il porte une chemise blanche et un pantalon chino beige. Il à des épaules carrées. J'envoie un message à ma mère "il est trop beau !". "T'emballes pas poulette !!" elle me répond. Elle à raison, voyons qui il est. Nous allons nous poser au bar. C'est un roofstop avec pas mal de fontaines. L'endroit est magnifique. Je commande un cocktail, sans alcool, je ne bois pas. Je suis intimidée. Il est beau, sur de lui et calme. Je me cache derrière mes longs cheveux, la mèche qui me tombe devant les yeux me sert de masque. Il me pose des questions sur moi, ma famille, mon histoire. Le feeling passe bien, on ne voit pas le temps passer. Il avait réservé dans un restaurant. Mince, il est déjà 22h. C'est trop tard pour le resto. Ça commence bien. Alors il propose au culot, une pizza. Qu'on fini par déguster sur le bord d'un point d'eau. Nous sommes assis dans l'herbe. Il fait bon. Un rat passe au loin. On rigole bien, ce date n'a aucun sens. Marc parle. Beaucoup. Il me parle de ses anciennes histoires, de sa famille, de lui. Il à l'air d'avoir de l'argent, je n'ai pas déboursé un centime ce soir. Il à l'air d'être du genre "one Life", impulsif et qui aime l'aventure. Je l'écoute, mais je me dis que nous ne venons pas du même monde. Je suis casanière, posée. Lui vibre, vis. Pendant que je l'écoute, je me demande si je lui plait. Généralement je plais bien. Mais il n'a absolument pas cherché à me draguer. Aucun eyes contact, aucun rapprochement physique. C'est tant mieux d'ailleurs, je n'aime pas qu'on me "saute dessus". La soirée passe. Nous sommes fatigués, il est déjà 2h du matin. On discute devant la voiture, on se met à faire une blague à propos des gens "tous des enculés". Et la on se regarde dans les yeux, vraiment. Et une décharge me traverse le corps. Ça dure une fraction de seconde. Mais je l'ai senti et je crois que lui aussi. Je reprend la route et lui promet de lui envoyer un message quand je serais rentrée. Ce que je fais. J'ai passé une bonne soirée, mais je suis mitigée. Cet homme ne pourra pas me correspondre je pense, mais il à le mérite de me traiter comme une princesse et ça, j'adore. On se dit bonne nuit, à demain.

[christophe76460]

C'étaient les jours ❤️💞

"Grand-père, quel âge as-tu ?" demanda une petite fille aux yeux curieux.

,,Hmm, laisse-moi réfléchir un instant...

C'est vrai, quand je suis né, chaque famille avait un père et une mère.

Nous séchions le linge à l'air libre, le pied humain n'avait pas encore foulé la Lune et les gens ne partaient pas en vacances en avion.

Nous n'avions pas de télévision ni de lentilles de contact à la place des lunettes.

Quand je suis né, il n'y avait pas d'ordinateurs et personne n'avait besoin d'un psychothérapeute.

Les gens ne faisaient pas de diagnostics, seul le médecin le faisait après leur examen.

J'appelais les policiers et les officiers "monsieur" et les femmes "mademoiselle" ou "madame".

Quand une femme montait dans le bus, les enfants et les jeunes se levaient naturellement pour lui céder leur place, si elle était enceinte, ils l'aidaient à descendre.

Les hommes préféraient les femmes, les aidaient à retirer leurs manteaux, étaient de vrais gentlemen pour de vraies dames.

Dans la vie, nous obéissions aux commandements de Dieu, au bon sens, respections nos aînés et obéissions aux autorités et aux lois.

Nous étions capables de distinguer clairement le bien du mal et nous réalisions que nous étions responsables de notre comportement envers les autres et ne fuyions pas les conséquences.

Les liens dans la famille étaient durables et les attaches fortes.

Nous n'avions pas de téléphones portables ni d'ordinateurs, nous ne connaissions pas les DVD et Netflix ou Instagram, mais nous lisions des livres et discutions.

Il n'y avait pas de lumières dans notre chambre, nous ne paniquions pas lorsque le wifi s'éteignait inopinément.

Il n'y avait pas de distributeurs automatiques ni de micro-ondes.

Les expériences et les sentiments étaient vécus pleinement, nous n'avions pas besoin de prendre des photos et des vidéos pour les mettre sur Facebook.

Nos photos étaient prises uniquement en noir et blanc pour des situations spéciales.

Nous ne connaissions pas la restauration rapide, les soupes instantanées, les édulcorants artificiels.

L'herbe était coupée, nous ne la fumions pas.

Oui, à bien y penser, je suis très, très vieux."

"Eh bien, grand-père ! Tu as aussi environ 200 ans !" s'exclama-t-elle surprise.

"Non, ma chère enfant, je n'ai que 80 ans."

Beaucoup peut arriver en un clin d'œil.

Bonne nuit, fais de beaux rêves 😴

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Etudier et prier

◀ 10 DÉCEMBRE ▶ La Bonne Semence

Recevez avec douceur la Parole plantée en vous, qui a la puissance de sauver vos âmes. Seulement, mettez la Parole en pratique, et ne vous contentez pas de l’écouter, vous abusant vous-mêmes. Jacques 1 : 21, 22

Lire la Bible pour la vivre

Une amie employée chez un opticien me vantait récemment les lentilles de contact. Elle en parlait avec enthousiasme et présentait de façon très précise leurs avantages. Mais, remarquant ses lunettes, je lui ai demandé si elle-même portait parfois aussi des lentilles. Elle m’a avoué qu’elle n’en avait jamais essayé, car elle avait peur ! Certaines personnes parlent avec éloquence de la Bible, et jugent incroyables les histoires qu’elle contient, comme la création, le déluge, la traversée de la mer Rouge. Et pourtant elles n’ont jamais lu l’Ancien Testament, ni même ses deux premiers livres, la Genèse et l’Exode ! D’autres critiquent les miracles accomplis par Jésus Christ : la marche sur les eaux, la multiplication des pains, la résurrection de Lazare. Et pourtant elles n’ont jamais lu un seul évangile en entier, alors que cette lecture ne prend que deux ou trois heures ! Lisons la Bible avant d’en parler. Combien de fois aussi des chrétiens se permettent-ils de donner des leçons, de faire des critiques, sans avoir fait eux-mêmes l’expérience de ce qu’ils disent. Jésus Christ, au contraire, agissait d’abord, enseignait ensuite ; il était « puissant en œuvre et en parole » (Luc 24 : 19). Esdras le scribe, un homme de Dieu, « avait disposé son cœur à rechercher la loi de l’Éternel, et à la faire, et à enseigner » (Esdras 7 : 10). Ayons à cœur de lire la Bible, de la recevoir intérieurement, puis de la mettre en pratique, enfin de la communiquer à d’autres. - Lire plus ici :

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[lolochaponnay]

Un inspecteur de police fait passer un entretien à trois blondes afin de trouver sa partenaire pour les enquêtes de terrain. Il regarde la première blonde et lui montre une photo: - Cet homme est un suspect, regardez bien sa photo. Comment le reconnaîtriez-vous dans la rue? La première blonde répond: - Facile Monsieur, il n'a qu'une seule oreille. L'inspecteur est surpris, il s'exclame: - Mais c'est normal qu'il n'ait qu'une oreille, il est de profil sur la photo! Il se tourne vers la deuxième blonde et lui montre la même photo. Celle-ci lui répond: - Facile, il n’a qu’un oeil. Le policier commence à s’énerver: - C'est normal qu’il n’ait qu’un oeil et qu’une oreille, il est de profil. Il se retourne vers la troisième blonde et lui lance: - Réfléchissez bien avant de dire quoi que ce soit. Comment reconnaitriez-vous le suspect? La blonde, un peu paniquée, réfléchit un instant puis répond: - Facile, il porte des lentilles de contact! Le policier, qui n’était pas au courant de cet indice, se précipite donc pour voir le dossier et vérifier l’information. Le suspect porte bien des lentilles de contact. Il retourne vers la dernière blonde, très surpris, et lui demande: - Comment avez-vous su qu’il portait des lentilles? - Facile, avec un œil et une oreille, il ne pouvait pas porter de lunettes!

[zehub]

Les lentilles de contact sont-elles vraiment sans danger ? 👁️

Elles sont petites, invisibles une fois portées, et séduisent par leur praticité. Pourtant, les lentilles d

[marinaetmoi]

Comptez chaque lentilles et chaque grains de riz.

Mélanger un tas de riz et de lentilles non cuits. Engagez-vous à aller jusqu'au bout. Séparez et comptez chaque grain de riz et chaque lentille, en les notant sur une feuille de papier.

Cette activité de comptage de grains de riz et de lentilles est une belle pratique de pleine conscience et de concentration. Voici comment vous pouvez aborder cette expérience :

Les deux objectifs de la performance sont de travailler sur sa concentration et sa patience, tout en développant une prise de conscience sensorielle.

Cette tâche exige une attention minutieuse et peut aider à développer la patience. Compter chaque grain peut devenir une méditation en soi, permettant d'échapper au bruit du quotidien. Comme un puzzle.

En manipulant les grains, j'ai été en contact avec différentes textures, poids et sons, enrichissant ainsi l'expérience.

Ce type d'exercice peut être apaisant et peut également servir de métaphore sur l’importance de prêter attention aux détails et de valoriser les petites choses de la vie.