#Lennie Tristano
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jazzplusplus · 4 months ago
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Downbeat - May 16, 1956 - Lennie Tristano
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jazzdailyblog · 1 month ago
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Warne Marsh: The Enigmatic Master of Cool Jazz
Introduction: Warne Marsh, a tenor saxophonist with a distinctive voice in jazz, remains one of the most celebrated and yet underappreciated figures in jazz history. Known for his cerebral approach to improvisation and his unrelenting dedication to musical innovation, Marsh’s career spanned several decades, leaving an indelible mark on cool jazz and beyond. Despite never achieving the mainstream…
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jazzandother-blog · 8 months ago
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Billy Bauer, guitar
Charlie Parker, saxophone
Eddie Safranski, double bass
Lennie Tristano, piano
Nueva York, 1949. Foto: Herman Leonard
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jt1674 · 11 months ago
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arterrorist · 1 year ago
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Admiring Lennie Tristano innovations 🙀🥰
He pioniered many things in jazz, which the others, who did it later, were praised for.
Pioneering cool in 1949 (along with much more famous „Birth of the cool” sessions)
Inventing free jazz in 1949 (!)
Tape manipulations in 1951 - it started with experiments on overdubbing and speed adjustments with Rudy Van Gelder, later also used by him in 1955 - all of it many years before Davis/Macero.
Uneven rhythms in 1955, (again, several years ahead of Brubeck, who gets all the credit).
That’s Tristano for you 🤗
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michelristenpattsworld · 2 years ago
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jpbjazz · 4 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
BUD POWELL, LA DESCENTE AUX ENFERS D’UN GÉNIE DU JAZZ ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.”
- Sonny Rollins
Né le 27 septembre 1924 à Harlem, Earl Rudolph ‘’Bud’’ Powell était le fils de William Powell Sr., un pianiste de stride, trompettiste et joueur de trombone, et de Pearl Young, une violoniste. Powell avait deux frères, William (né le 15 mars 1923) et Richard Bertram (né le 5 septembre 1931).
Powell était issu d’une famille musicale. e frère aîné de Powell, William, jouait de la trompette et du violon. Le plus jeune frère de Powell, Richie, était aussi un pianiste de bop réputé.
Powell, qui avait seulement cinq ans au moment de la mort de son père, avait été élevé par sa mère avec ses frères.
À l’âge de cinq ans, Bud avait commencé à apprendre le piano d’un professeur indien appelé Rawlins. Deux ans plus tard, il avait été initié à la musique classique en jouant à l’église et dans les chorales de son école.
Bud avait fait sa première apparition publique dans un party où il avait imité le pianiste Fats Waller. La première pièce de jazz que Powell avait interprétée était ‘’Carolina Stout’’ de James P. Johnson.
Au printemps 1940, à l’âge de quinze ans, Powell s’était joint au groupe de son frère, les Skeets Powell and Hill Jolly Swingers. C’est probablement à cette époque que Powell s’était lié d’amitié avec un autre pianiste, Allen Tinney. Entre 1940 et 1942, avec Tinney et un autre pianiste, Gerald Wiggins, Powell avait commencé à fréquenter les clubs de Harlem, où il avait lancé des défis à d’autres pianistes.
D’abord influencé par la musique classique, Powell avait commencé à étudier le jazz à l’âge de douze ans. Ses premières influences en jazz avaient été les pianistes Fats Waller, Earl Hines, Jelly Roll Morton, Thelonious Monk et Art Tatum.
Après avoir entendu Art Tatum à la radio, Powell avait tenté d’imiter sa technique.
Après avoir étudié à la Wendell Phillips Academy, où il avait pris des leçons avec le docteur John DeMarco, Powell avait fréquenté le Conservatoire de Musique de Chicago. En 1935, alors qu’il avait treize ans, la mère de Bud lui avait offert un piano. À l’époque, Bud étudiait la musique classique au New York Conservatory of Music.
En 1938, à l’âge de seulement quinze ans, Powell était entré à la Juilliard School of Music, où il avait étudié la composition, l’harmonie, le contrepoint et l’orchestration sous la direction de Lennie Tristano.
Après avoir décroché son diplôme, Powell avait continué d’étudier avec Tristano durant sept ans. CARRIÈRE PROFESSIONNELLE Dans sa jeunesse, Powell avait assisté à des concerts à l’Uptown House, un club situé près de chez de lui, où il allait souvent voir jouer Charlie Parker et Thelonious Monk.
Powell avait amorcé sa carrière professionnelle comme membre de l’orchestre d’Artie Shaw en 1940. C’est là qu’il avait rencontré Charlie Parker qui était rapidement devenu son mentor et l’avait invité à venir jouer avec son groupe. Powell était demeuré trois ans avec Parker avant de se joindre aux Jazz Messengers d’Art Blakey en 1941. Lorsque Monk avait rencontré Powell pour la première fois à l’automne 1942, il avait été tellement impressionné par le jeune pianiste qu’il avait décidé de le présenter à ses musiciens du Minton’s Playhouse. Monk, qui avait vite pris Powell sous son aile, avait d’ailleurs composé une pièce en son honneur intitulée ‘’In Walked Bud.’’ Mais si Monk avait tendance à se servir du piano comme instrument de percussion, Powell se servait plutôt du piano comme un instrument à vent et tentait d’imiter les saxophonistes et les trompettistes qu’il admirait. Son style était une combinaison de musique classique et d’improvisation.
Au printemps 1943, le contrebassiste Jimmy Butts avait proposé la candidature de Powell pour jouer dans le Sunset Royals Orchestra, un groupe de danse dirigé par Doc Wheeler. Powell s’était rapidement lié d’amitié avec un des trompettistes de l’orchestre, George Treadwell.
Entre l’été et l’automne de 1943, Treadwell, qui était conscient que le talent de Powell était sous-exploité, avait décidé de quitter les Sunset Royals pour former son propre groupe avec Powell. Le trompettiste Cootie Williams, qui dirigeait son propre orchestre de danse, avait vu le groupe de Treadwell à l’oeuvre, et avait décidé par la suite d’engager plusieurs de ses musiciens, dont Powell.
À la fin de l’année 1943, on avait proposé à Powell de jouer avec le quintet d’Oscar Pettiford et de Dizzy Gillespie, mais, comme le groupe se produisait dans un club de nuit, la mère de Bud avait décidé qu’il était préférable que son fils continue d’occuper un emploi plus stable dans l’orchestre de Williams.
La décision de la mère de Powell était tout à fait pertinente car l’année suivante, Powell avait participé à quelques sessions d’enregistrement avec Williams. L’une d’entre elles comprenait le premier enregistrement de l’histoire de la pièce ‘’Round Midnight’’ de Monk. Le contrat de Powell avec Williams avait pris fin à Philadelphie en janvier 1945. Après le concert, Powell se trouvait près de Broad Street Station lorsqu’il avait été arrêté dans un état d’intoxication avancé par la police du chemin de fer. Un des policiers l’avait d’ailleurs frappé durement à la tête après qu’il ait résisté à son arrestation. Remis aux constables de la ville, Powell avait été brièvement incarcéré.
Dix jours après sa libération, comme ses maux de tête ne démontraient aucun signe de ralentissement, Powell avait été admis à l’Hôpital Bellevue, avant d’être envoyé à l’hôpital psychiatrique de Pilgrim State situé à une soixantaine de milles plus loin, où il était demeuré durant deux mois et demi. Il est très probable que les coups que Powell avaient reçus à la tête avaient provoqué une commotion cérébrale et avaient été la cause de ses fréquents maux de tête et de ses problèmes de comportement au cours des années suivantes.
Après sa libération en avril 1945, Powell était aller jouer à Manhattan avec le batteur Sid Catlett et le saxophoniste ténor Don Byas. C’est alors qu’il avait été recruté par le contrebassiste John Kirby afin de prendre la place du pianiste Billy Kyle avec son groupe.
En 1945-46, Powell avait enregistré avec Frank Sololow, Sarah Vaughan, Dexter Gordon, J.J. Johnson, Sonny Stitt, Fats Navarro et Kenny Clarke. Le 6 mars 1947, Powell avait dirigé ce qui avait sans doute été son premier concert sous son nom à Harlem.
Powell étant reconnu pour son habileté à lire la musique et à exécuter des pièces au tempo rapide, Charlie Parker l’avait choisi comme pianiste en vue d’une session d’enregistrement qui devait avoir lieu le 8 mai 1947 avec un quintet composé de Miles Davis, Tommy Potter et Max Roach. C’était la seule fois de l’histoire où Powell et Parker participaient à la même session d’enregistrement.
La seule autre session d’enregistrement à laquelle Powell avait participé en 1947 avait eu lieu le 10 janvier dans le cadre d’un enregistrement avec son trio formé de Curly Russell et Max Roach. UNE SANTÉ MENTALE PRÉCAIRE Le 14 novembre 1947, Powell avait eu une altercation avec un client dans un bar de Harlem. Au cours de la bagarre, Powell avait été frappé par une bouteille au-dessus de l’oeil. Lorsque les employés de l’hôpital de Harlem avaient examiné Powell, ils l’avaient trouvé incohérent et turbulent. Ils l’avaient donc fait admettre à l’Hôpital Bellevue, où il avait déjà été soigné précédemment. À leur tour, les employés de l’Hôpital Bellevue n’avaient pas su quoi faire de Powell et l’avaient envoyé au Creedmoor State Hospital, où il avait été gardé durant onze mois.
Powell s’était assez bien adapté à son séjour à l’hôpital, même si lors d’examens psychiatriques il s’était plaint d’avoir été persécuté en raison de sa couleur. De février à avril 1948, Powell avait été soumis à une thérapie par électro-chocs après avoir appris que sa petite amie Mary Frances Barnes était enceinte. La thérapie n’ayant pas produit les résultats souhaités, les médecins de Powell lui avaient administré une seconde série de traitements en mai. Powell avait finalement été libéré en mai 1948. Le 1er juin, l’amie de coeur de Powell, Mary Frances, avait donné naissance à son seul enfant, une fille qui avait été baptisée sous le nom de Cecelia June Powell.
Après avoir été brièvement hospitalisé au début de l’année 1949 après avoir enfreint les conditions de sa libération, Powell avait fait quelques enregistrements durant les deux ou trois années suivantes (notamment avec Sonny Rollins et Fats Navarro), principalement sous étiquette Blue Note, Mercury, Norgran et Clef. Powell avait également enregistré pendant l’été pour le compte de deux producteurs indépendants avec son trio habituel composé de Max Roach et Curly Russell. Les huit ‘’masters’’ qui avaient résulté de ces enregistrements n’avaient été publiés qu’en 1950, après que les disques Roost aient racheté les ‘’masters’’ et les aient publiés sous forme de 78-tours. Le musicologue Guthrie Ramsey avait écrit qu’avec cette session "Powell proves himself the equal of any of the other beboppers in technique, versatility, and feeling."
Le 17 septembre 1949, Powell avait signé le premier contrat de sa carrière avec le producteur Norman Granz. Powell avait fait ses débuts à Carnegie Hall le soir de Noël de 1949 avec son trio. Participaient également au concert le saxophoniste ténor Stan Getz, la chanteuse Sarah Vaughan, le pianiste Lennie Tristano et Charlie Parker.
Parmi les musiciens qui avaient participé à la session d’août 1949 pour Blue Note, on remarquait Fats Navarro, Sonny Rollins, Tommy Potter et Roy Haynes. Au nombre des pièces interprétées par le groupe, on remarquait ‘’Bouncing with Bud’’ et ‘’Dance of the Infidels.’’ La session de 1951 mettait en vedette le trio de Powell avec ses acolytes Curley Russell et Max Roach. Parmi les pièces enregistrées, on relevait ‘’Parisian Thoroughtfare’’ et ’’Un Poco Loco’’ Cette dernière pièce avait été sélectionnée plus tard par le critique littéraire Harold Bloom dans sa liste des plus grandes oeuvres américaines du 20e siècle. Les musiciens Ray Brown, George Duvivier, Percy Heath, Max Roach, Curly Russell, Lloyd Trotman, Art Blakey, Kenny Clarke, Osie Johnson, Buddy Rich et Art Taylor avaient participé aux sessions organisées par Norman Granz.
La rivalité de Powell avec Charlie Parker avait éventuellement semé la zizanie parmi les musiciens. La détérioration de la santé mentale et physique de Powell n’avait d’ailleurs guère contribué à alléger l’atmosphère.
Au cours des années 1950, Powell avait fait d’autres enregistrements pour Blue Note et Norman Granz, mais ceux-ci avaient dû être interrompus par un nouveau séjour en hôpital psychiatrique entre la fin de 1951 et le début de l’année 1953, après que le pianiste ait été arrêté pour possession d’héroïne en compagnie de Monk et de deux autres musiciens. Les quatre compères avaient été enfermés aux Tombs, un célèbre centre de détention. Powell avait d’ailleurs été de nouveau battu dans le cadre de son incarcération. Après avoir plaidé non coupable, Monk avait été condamné à soixante jours de prison. Quant à Powell, il avait été renvoyé à l’hôpital Bellevue, puis à Pilgrim, où il avait été déclaré mentalement inapte. Après une détention d’un mois, le directeur de Pilgrim avait recommandé que Powell soit gardé indéfiniment. Durant onze jours, Powell avait été soumis à une nouvelle thérapie par électro-chocs avant d’être finalement transféré à Creedmoor en août 1952.
Jugé incapable de gérer ses propres finances, Powell avait été placé sous la garde d’Oscar Goodstein, le propriétaire du Birdland, avec qui il avait signé un contrat de vingt semaines. Lorsque Powell ne jouait pas au Birdland, il avait des engagements à Philadelphie, à Washington ou à St. Louis. Jamais Powell n’avait été aussi occupé.
Le 9 mars 1953, Powell avait épousé Audrey Hill, une Californienne. Le mariage avait été arrangé par Goodstein, qui croyait sans doute que le fait d’être marié permettrait de rendre Powell plus stable et prévisible. Le couple ne s’était pas revu depuis que Powell avait été obtenu son congé de l’hôpital. Le mariage avait finalement été annulé en juillet.
En 1953, Powell avait enregistré pour Blue Note dans le cadre d’un trio avec George Duvivier et Art Taylor. La session comprenait l’enregistrement d’une composition de Powell intitulée ‘’Glass Enclosure’’, dont le titre était possiblement inspiré de son quasi-emprisonnement dans l’appartement de Goodstein. Le 15 mai de la même année, Powell avait participé au concert historique de Massey Hall à Toronto avec un quintet formé de Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Charles Mingus et Max Roach. Le concert avait été enregistré par Mingus qui l’avats mis en marché grâce à sa propre maison d’enregistrement, Debut Records, sous le titre de ‘’Jazz at Massey Hall.’’
De nouveau été arrêté le 14 juin 1954, Powell avait été accusé de possession d’héroïne. Le procès avait finalement eu lieu au début de 1955.
Bien que Powell ait obtenu son congé de l’hôpital, la qualité de son jeu avait été affectée par l’ingestion de Largactil, un médicament qu’il prenait pour soigner sa schizophrénie. Le 26 juin 1956, la vie de Powell avait été encore plus assombrie lorsque son frère Richie et le trompettiste Clifford Brown avaient été tués dans un accident automobile. Après avoir passé plusieurs mois à l’hôpital, Powell s’était installé à Paris en 1959 avec sa nouvelle compagne Altevia ‘’Buttercup’’ Edwards et son fils John. Powell avait rencontré Edwards, une femme mariée, après son emprisonnement en 1954. Le couple s’était installé avec l’enfant à l’Hôtel La Louisiane. C’est Altevia qui gérait les finances de Powell et s’assurait qu’il prenne ses médicaments. C’est donc en grande partie grâce à elle que Powell avait pu continuer de jouer et d’enregistrer.
En juin 1960, Powell avait été l’invité de Charles Mingus au Festival de jazz de Juan-les-Pins. En avril 1961, Powell avait participé à une brève tournée en Europe avec Thelonious Monk, notamment à Marseille, Milan, Bologne et Rome. Powell, qui n’avait pas encore enregistré pour une compagnie de disques européenne, avait collaboré avec le saxophoniste Cannonball Adderley pour une série de deux albums en décembre 1961. En février 1962, Powell avait décroché un contrat au Café Montmartre de Paris, qui venait de réouvrir ses portes. Prévu initialement pour deux semaines, le contrat de Powell avait été prolongé de cinq semaines supplémentaires à la demande du pianiste.  
En avril 1962, Powell, qui était de retour à Copenhague, avait reçu une offre d’une compagnie danoise qui lui avait fait enregistrer des classiques qu’il avait rarement joué en studio, notamment ‘’Straight No Chaser’’de Monk et ‘’Hot House’’, une pièce traditionnellement associée à Charlie Parker.
En décembre 1962, Powell, qui avait trop bu, avait été retrouvé complètement saoul dans les rues de Paris et avait été admis dans un hôpital local. Powell avait finalement été transféré dans l’aile psychiatrique de l’hôpital, avant d’être libéré grâce à l’intervention de son ami Francis Paudras.
En quatre mois, de février à juin 1963, Powell avait participé à plus de sessions d’enregistrements qu’il n’en avait fait en quatre ans. Powell avait fait des apparitions comme artiste invité dans deux de ces sessions. La première était dirigée par Dexter Gordon et la seconde par Dizzy Gillespie. DERNIÈRES ANNÉES En 1963, après avoir contracté la tuberculose, Powell avait été admis à l’hôpital de Paris. Powell ayant obtenu un contrat pour jouer au Birdland, il était de retour à New York le 16 août 1964. Neuf jours plus tard, il avait partagé la scène avec Horace Silver, John Coltrane, Charles Mingus et Thelonious Monk.
À l’époque, la qualité du jeu de Powell avait nettement décliné en raison de son alcoolisme. Lorsque Powell avait négligé de ses présenter le 11 octobre à un de ses concerts au Birdland, Goodstein avait décidé de le congédier.
Après des mois de découragement et de comportement erratique, Bud Powell avait été hospitalisé à New York à la suite de complications pulmonaires. Powell avait présenté son dernier concert le 1er mai 1965. Il avait été admis dans un hôpital psychiatrique à l’automne suivant.
Bud Powell est décédé le 31 mars 1966. Sa mort avait été attribuée aux effets conjugués de la tuberculose, de la malnutrition et de l’alcoolisme.
Plusieurs musiciens de jazz avaient rendu hommage à Powell. Dans son autobiographie, le trompettiste Miles Davis, qui avait un jour dit de Powell qu’il ne l’engagerait jamais dans son groupe parce qu’il était encore plus cinglé que lui, avait déclaré: "[He] was one of the few musicians I knew who could play, write, and read all kinds of music. Bud was a genius piano player – the best there was of all the bebop piano players." Le pianiste Bill Evans, qui avait toujours considéré Powell comme sa principale influence, lui avait rendu hommage en 1979 en déclarant: "If I had to choose one single musician for his artistic integrity, for the incomparable originality of his creation and the grandeur of his work, it would be Bud Powell. He was in a class by himself". De son côté, Herbie Hancock avait affirmé dans une entrevue au magazine DownBeat en 1966: "He was the foundation out of which stemmed the whole edifice of modern jazz piano". Le saxophoniste ténor Sonny Rollins avait également eu de bons mots pour Powell et avait commenté: ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.” Quant au pianiste Bill Cunliffe, il considérait Powell comme "the first pianist to take Charlie Parker's language and adapt it successfully to the piano."
En 1986, l’artiste Francis Paudras avait écrit un livre à propos de son amitié avec Powell. L’ouvrage a été traduit en 1997 sous le titre de ‘’Dance of the Infidels: A Portrait of Bud Powell.’’ Les souvenirs de Paudras avaient servi de base au film de Bertrand Tavernier, ‘’Round Midnight’’, qui était inspiré de la carrière de Powell et de Lester Young, et dans lequel le saxophoniste Dexter Gordon jouait le rôle d’un musicien en exil à Paris.
Bud Powell a influencé plusieurs jeunes pianistes au cours de sa carrière, plus particulièrement Horace Silver, Wynton Kelly, Andre Previn, McCoy Tyner, Cedar Walton et Chick Corea. Ce dernier avait d’ailleurs enregistré en 1997 un album entier consacré à Powell intitulé ‘’Remembering Bud Powell.’’ Grand innovateur, Powell avait été le premier pianiste à jouer des parties qui étaient initialement conçues pour des cuivres. Powell avait été mis en nomination à sept reprises pour un prix Grammy dans la catégorie de la meilleure performance instrumentale en solo. c-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique.
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projazznet · 7 months ago
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Max Roach & Connie Crothers – Swish
“Pianist Connie Crothers and drummer Max Roach are heard on the initial release by the New Artists label performing six duets. The music is generally pretty free, and Crothers shows that she had shed much of her original Lennie Tristano influence while remaining true to his musical principles. As for Roach, he sounds quite enthusiastic in this adventurous setting” – Scott Yanow/AllMusic.
Max Roach – drums Connie Crothers – piano
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newloverofbeauty · 2 years ago
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Lennie Tristano - Requiem
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theloniousbach · 13 days ago
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LIVESTREAM: MICHAEL KANAN with Greg Ruggerio and Neal Miner, MEZZROW’S, 19 NOVEMBER 2024, 9 pm set
I’ve passed on MICHAEL KANAN as “just another NYC jazz pianist” even though a) I very much like NYC jazz pianists and b) the “just” actually reflects being a member of an elite club, just as the last player on the bench of a W/NBA team relegated to garbage minutes is so much better than 99.several decimal places better than just about anybody. Now, that this is his standard band with Greg Ruggerio on guitar probably, I confess, prejudiced me against him/them. Sure, the original Oscar Peterson Trio had Herb Ellis in it, but having Ed Thigpen on drums instead suited me just fine.
I am almost certain that KANAN was sitting upfront that night at Mezzrow’s five weeks ago when I/we saw Bill Charlap/Noriko Ueda. I read further that he is a second generation Lennie Tristano-ite via his mentorship by Harvey Diamond and Sal Mosca. He has a nice touch, a deep repertoire born of working with Jane Monheit and other singers, and a great good humor with these old friends. I think of those left hand arpeggios when I think of Tristano, but he often defers to Miner to the point where he just plays with his right hand.
He has an album with Jorge Rossy called Tadd and Thad. They didn’t play Dameron’s glorious On a Misty Night which opened the album, instead it was Jones’ Three in One which was sprightly and collectively intricate (maybe that’s a Tristano influence). I liked the group sound, even Ruggerio’s guitar. He plays without a pick but fluid single notes. His chords are neither Freddie Green nor Jim Hall/Joe Pass intricate voicings, but he/they interact well. Without a drummer, they trade fours in every possible permutation. Additionally, the guitar opens up a different dynamic for all of them. It’s an intriguing ensemble.
Brother Can You Spare a Dime was next and then I didn’t recognize anything until a KANAN only All the Things You Are, an announced Neal Miner tune with a luscious bass line of course, and A Nightingale Sang in Berkeley Square before a quick closer. But all the tunes were fun romps showcasing their collective virtues. It was just the kind of set I was looking for anyway. I am glad to have another just another NYC jazz pianist and I will continue to think of the piano/guitar/bass trio. More early Peterson and some Nat King Cole before they realized just how well he could sing are in order.
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cdbrainrecords · 13 days ago
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Dizzy Gillespie And His Orchestra, Lennie Tristano Sextet - Jazz Of The Forties / Hot Vs Cool (LP, Comp)
Vinyl(VG++) Picture Cover(VG+) Obi(VG+) / with Obi 帯つき / / Vinyl is more than VG+ condition, in great shape / コンディション 盤 : Very Good Plus (VG+) コンディション ジャケット : Very Good Plus (VG+) コンディションの表記について   [ M > M- > VG+ > VG > G+ > G > F > P ] レーベル : Capitol Records – CR-8084 フォーマット : Vinyl, LP, Compilation 生産国 : Japan 発売年 :  Dizzy Gillespie And His Orchestra : A1, A2, A5, A6 : November 21, 1949 A3, A4,…
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bamboomusiclist · 2 months ago
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10/2 おはようございます。Joy Bryan / Make The Man Love Me S7604 等更新しました。
Joy Bryan / Make The Man Love Me S7604 Benny Carter / Cosmopolite mgn1070 Stanley Turrentine / New Time Shuffle LT-993 Pedro Iturralde / Pedro Iturralde Quartet Featuring Hampton Hawes FSR-546 Kenny Dorham Septet Featuring Cannonball Adderley / Blue Spring OJC-134 Kenny Dorham / Jazz Contrasts OJC-028 Lennie Tristano / New Tristano 1357 Ornette Coleman / Science Fiction c31061 Les Paul / The Les Paul Trio gl6014 Bill Keith / Something Bluegrass Rb1 渡辺貞夫 / Mbali Africa 28AH 1571/2 Breakwater / Splashdown ab426 Booker T & MG's / Melting Pot Sts2035 Dynamics / What a Shame bg5001 Watts 103rd Street Rhythm Band / in the Jungle Babe ws1801
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jazzdailyblog · 23 days ago
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The Art of Nuance and Clarity: Mark Turner's Impact on Modern Jazz Saxophone
Introduction: Mark Turner is one of the most innovative and respected jazz saxophonists of his generation. Known for his intricate melodic ideas, rich tone, and seamless blend of technical precision with emotive depth, Turner’s influence extends through contemporary jazz saxophone and beyond. From his early days as a student to his celebrated status as a leader and collaborator, Turner’s…
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jazzandother-blog · 17 days ago
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An unrepeatable generation coming to an end. RIP Roy Haynes (1925-2024).
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Roy Haynes en una actuación en 2015 (Jack Vartoogian/Getty Images)
(English / Español / Italiano)
The jazz drummer Roy Haynes, who played with other jazz greats such as Louis Armstrong, Charlie Parker, Chick Corea, Sarah Vaughan, Thelonius Monk, Miles Davis, Bud Powell and Pat Metheny, died on Tuesday 12 November at the age of 99.
His daughter, Leslie Haynes-Gilmore, told The New York Times that her father, born in Roxbury, now part of Boston, on 13 March 1925, died after a brief illness.
Haynes was considered one of the most remarkable jazz drummers of all time, with an extensive career during which he collaborated with the most prominent jazz musicians in his country. Haynes was still a teenager when he made his professional debut in the 1940s in the big bands of Frankie Newton and Louis Russell (1945-1947).
He then went on to play with tenor sax master Lester Young (1947-1949) and between 1949 and 1952 was part of Charlie Parker's quintet. He accompanied the singer Sarah Vaughan on the jazz circuits in the United States between 1953 and 1958 and when he finished that job he recorded with Thelonious Monk, George Shearing and Lennie Tristano among others and occasionally replaced Elvin Jones in John Coltrane's quartet.
He was involved in the direction of the original soundtrack for the film Bird, directed by Clint Eastwood in 1988, and was awarded the 1994 Danish Jazzpar Prize.
In the late 1990s, Haynesformed a trio with pianist Danilo Pérez and bassist John Pattitucci, and they recorded an album: The Roy Haynes Trio featuring Danilo Pérez & John Pattitucci (2000). In 2001 he released Birds of a Feather: A Tribute to Charlie Parker, followed by Love Letters (2003), and Quite Fires and Fountain of Youth, both from 2004, the year he was inducted into the Down Beat Jazz Hall of Fame.
His last album was Whereas, released in 2006.
In 2011 he received the Grammy Award for his artistic career.
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El baterista de jazz Roy Haynes, que tocó con otros grandes de ese género musical, como Louis Armstrong, Charlie Parker, Chick Corea, Sarah Vaughan, Thelonius Monk, Miles Davis, Bud Powell o Pat Metheny, ha fallecido este martes 12 de noviembre, a los 99 años.
Su hija, Leslie Haynes-Gilmore, dijo al diario The New York Times que su padre, nacido en Roxbury, hoy parte de Boston, el 13 de marzo de 1925, murió después de una breve enfermedad.
Haynes era considerado uno de los más notables bateristas de jazz de todos los tiempos, con una extensa carrera durante la cual colaboró con los más destacados músicos del género en su país. Haynes todavía era un adolescente cuando hizo su debut profesional en los años 40 en las "big bands" de Frankie Newton y Louis Russell (1945-1947).
Luego pasó a tocar con el maestro del saxo tenor Lester Young (1947-1949) y entre 1949 y 1952 formó parte del quinteto de Charlie Parker. Acompañó a la cantante Sarah Vaughan, por los circuitos del jazz en los Estados Unidos entre 1953 y 1958 y cuando finalizó ese trabajo grabó con Thelonious Monk, George Shearing y Lennie Tristano entre otros y ocasionalmente sustituía a Elvin Jones en el cuarteto de John Coltrane.
Participó en la dirección de la banda sonora original de la película Bird, dirigida por Clint Eastwood en 1988, y fue premiado en 1994 con el premio Danish Jazzpar.
A finales de los años 90, Haynes formó un trío con el pianista Danilo Pérez y el bajista John Pattitucci, y grabaron un disco: The Roy Haynes Trío featuring Danilo Pérez & John Pattitucci (2000). En el año 2001 publicó Birds of a Feather: A Tribute to Charlie Parker, al que siguieron Love Letters (2003), y Quite Fires y Fountain of Youth, ambos de 2004, año en el que entró en el Down Beat Jazz Hall of Fame.
Su último disco publicado fue Whereas, de 2006.
En 2011 recibió el Premio Grammy a la carrera artística.
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Il batterista Roy Haynes, che ha suonato con altri grandi del jazz come Louis Armstrong, Charlie Parker, Chick Corea, Sarah Vaughan, Thelonius Monk, Miles Davis, Bud Powell e Pat Metheny, è morto martedì 12 novembre all'età di 99 anni.
Sua figlia, Leslie Haynes-Gilmore, ha dichiarato al New York Times che suo padre, nato a Roxbury, ora parte di Boston, il 13 marzo 1925, è morto dopo una breve malattia.
Haynes è stato considerato uno dei più notevoli batteristi jazz di tutti i tempi, con una lunga carriera durante la quale ha collaborato con i più importanti musicisti jazz del suo Paese. Haynes era ancora un adolescente quando fece il suo debutto professionale negli anni '40 nelle big band di Frankie Newton e Louis Russell (1945-1947).
Ha poi suonato con il maestro del sax tenore Lester Young (1947-1949) e tra il 1949 e il 1952 ha fatto parte del quintetto di Charlie Parker. Accompagnò la cantante Sarah Vaughan nei circuiti jazz degli Stati Uniti tra il 1953 e il 1958 e, una volta terminato questo lavoro, registrò tra gli altri con Thelonious Monk, George Shearing e Lennie Tristano e occasionalmente sostituì Elvin Jones nel quartetto di John Coltrane.
Ha partecipato alla direzione della colonna sonora originale del film Bird, diretto da Clint Eastwood nel 1988, ed è stato premiato con il Danish Jazzpar Prize del 1994.
Alla fine degli anni Novanta Haynes haformato un trio con il pianista Danilo Pérez e il bassista John Pattitucci, con cui ha registrato un album: The Roy Haynes Trio featuring Danilo Pérez & John Pattitucci (2000). Nel 2001 ha pubblicato Birds of a Feather: A Tribute to Charlie Parker, seguito da Love Letters (2003) e da Quite Fires e Fountain of Youth, entrambi del 2004, anno in cui è stato inserito nella Down Beat Jazz Hall of Fame.
Il suo ultimo album è stato Whereas, pubblicato nel 2006.
Nel 2011 ha ricevuto il Grammy Award per la sua carriera artistica.
Source: RTVE.es/EFE
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messagestomegan · 7 months ago
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Intuition § Lennie Tristano Sextet
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arterrorist · 1 year ago
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Now spinning: Lennie Tristano. Recorded in 1955, released in 1956. On this album Lennie used controversial (at the time) studio techniques, many years before Miles Davis/Teo Macero studio trickery. He changed the speed of the tape and used some overdubs. Nothing schocking by today standards, and it’s the music, not studio magic, that comes to the fore, nevertheless it was enough to accuse Lennie of ‚cheeting’. Now we should see him as one of the pioneers of using studio as an instrument. Plus, he also used unusual tempos several years before Brubeck, who often gets all the credit. Tristano used times like 7/8-7/4 in one track, 5/8 & 5/4 in the other, plus 3/8 before switching to 4/4 in another one.
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So a pioneering record on several levels but, what is the most important, also a very enjoyable album. Several first tracks contain abovementioned experiments while the rest of the album (recorded live) is a very pleasant small combo nightclub jazz.
Tristano is accompanied by Lee Konitz. Rhythm section consists of Gene Ramey/Art Taylor, who were replaced on two tracks by Peter Ind/Jeff Morton.
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