#Le mois du raisin
Explore tagged Tumblr posts
Text
Regardez "Masterclass identité visuelle avec Cabaroc 1/3 : la recherche | Adobe France" sur YouTube
View On WordPress
0 notes
Text
Je sais pas si les histoires de mon ancienne coloc vous manquent mais elle était chez moi ce week-end avec son mec et voici quelques anecdotes :
on avait fait des pâtes maison et elle a demandé du fromage pour mettre dessus sauf qu'on avait plus qu'un petit morceau de morbier, elle l'a pris et elle a coupé en laissant que la croûte
le lendemain matin j'allais au travail donc j'ai ramené des viennoiseries et du pain pour leur petit dej dont un pain au raisin pour mon mec, le mec de ma coloc a mangé le pain au raisin et quand il s'est fait une tartine de pain il a coupé à 1cm du bout du pain et il a laissé le croûton
ils sont partis avec mon dentifrice
28 notes
·
View notes
Text
"Le mois de Septembre, c'est le mois du troisième tiers des impôts et aussi des vendanges. C'est donc un mois mi-fisc, mi-raisin"
Damien Caillaud
15 notes
·
View notes
Text
En ce moment même, il n'est même pas aux soins palliatifs mais plutôt aux soins intensifs. Son cœur fonctionnait à 50% à son arrivée à l'hôpital précédent. Ils l'ont transféré dans un autre hôpital mieux équipé pour le prendre en charge. Maintenant son cœur est à 15%. Ils devaient remplacer deux valves dans son cœur. Ils l'ont opéré pour une seule afin d'éviter que ce soit trop exigeant pour son corps. Après l'opération, il y a eu une hémorragie interne et ils ont dû le réouvrir pour s'en occuper. Aussi son rein a lâché alors il a eu besoin de dialyse. Son corps est également en manque de calcium. Ses jambes sont gonflées après son opération pour ses genoux qu'il a dû faire il y a quelques semaines puisque ses os étaient directement en contact depuis des années. Il souffrait atrocement au début, alors ils ont dû le droguer à fond pour atténuer sa douleur. Maintenant il est à peine conscient et a à peine assez de force pour bouger. Il a réussi à ouvrir les yeux une fois et à serrer la main de sa femme lorsqu'elle était à ses côtés une autre fois. Il a perdu tellement de poids. Il est livide et branché à des tonnes de fils, la salle est remplie de machines. L'infirmière est obligée de vérifier son état toutes les 5 minutes. Il ne veut même pas qu'on le sache. Encore moins qu'on vienne le voir. Je ne sais pas s'il a honte de son état ou s'il cherche à nous protéger. Mais je l'aime et j'aimerais qu'il sache qu'on pense à lui si fort.
C'est un bon gars, le genre d'homme qui a un peu de difficulté à montrer ses émotions, mais qui te montre de toutes les façons possibles que t'es important pour lui à travers ses actions et toutes ses petites attentions. C'était un pompier avant qu'il prenne sa "retraite" en devenant déneigeur. Je crois qu'il n'a jamais pu arrêter de travailler, de se garder occupé, d'offrir ses services aux gens parce que c'est ce qui donnait un sens à ses yeux. Il faisait pousser tous les fruits et légumes imaginables dans son jardin, il trouvait toujours des choses à réparer, il avait toujours deux à trois chiens et chats dont il prenait soin par lui-même. Quand j'étais petite, même s'il était toujours occupé par son travail, il trouvait le temps de me faire faire des tours de tracteur, de m'emmener skier au cimetière l'hiver, de jouer aux legos avec moi. À chaque fois que j'allais là-bas, il achetait tous les aliments que j'adore et à chaque matin, il se levait vers 4 heures du matin pour sa journée de travail ou par habitude. Et je me souviens qu'à chaque fois que je restais dormir là-bas, je me levais tôt aussi pour être avec lui le matin. Dès que j'entendais des pas ou que je percevais une lumière tamisée, je m'extirpais hors du sommeil. À chaque fois, il me préparait deux toasts aux raisins beurrées, recouvertes de sirop et coupées en quatre avec un verre de lait. On déjeunait ensemble, puis avant de partir travailler, il préparait du café filtre pour qu'il soit prêt pour sa femme lorsqu'elle se réveillerait. J'adorais la façon dont il fredonnait constamment une mélodie. Tous ses habits étaient de la même couleur, un bleu foncé, et je ne l'ai jamais vu porter quoi que ce soit d'autre en 21 ans. À mes yeux, tout de lui était caractéristique de lui seul, c'était mon grand-père même si je l'ai toujours appelé par son prénom étant donné que toute la famille le faisait. L'année passée, dans une lettre pour Noël, je lui ai écrit que j'adorais passer du temps avec lui, je l'ai appelé grand-papa et je lui ai écrit que je l'aime. C'est des mots que je n'ai jamais vraiment pu lui dire à voix haute, mais j'aurais tellement aimé que ce soit suffisamment naturel pour en être capable. J'ai plus tard appris qu'il a relu ma lettre plusieurs fois et qu'il a tellement été touché qu'il a versé des larmes. Je suis si heureuse d'avoir pu lui communiquer cela avant qu'il se retrouve dans son état actuel. Il ne mérite tellement pas tout ce qu'il a dû traverser. La première femme qu'il a mariée est morte d'un cancer. Son fils est mort aussi lorsque j'étais jeune. Et à chaque année, il dépose une douzaine de fleurs sur les tombes de sa mère, sa première femme et son fils. Leurs fleurs préférées, des roses pour sa femme et des fleurs jeunes pour son fils. Les gens qu'il aime gardent une place dans son cœur, dans sa vie et c'est important pour lui, il continue de penser à eux, de les aimer. C'est quelqu'un de fidèle à ses principes, c'est quelqu'un de bien et je l'aime si fort. J'espère qu'il va s'en sortir ou alors qu'il ne souffrira pas trop et partira en paix. J'espère qu'il sait que je l'aime et que je pense à lui.
6 notes
·
View notes
Text
Février MMXXIV
Films
Maigret voit rouge (1963) de Gilles Grangier avec Jean Gabin, Michel Constantin, Vittorio Sanipoli, Paul Frankeur, Guy Decomble, Françoise Fabian, Paulette Dubost, Laurence Badie, Roland Armontel et Jacques Dynam
L’Étau (Topaz) (1969) d'Alfred Hitchcock avec Frederick Stafford, Dany Robin, Claude Jade, Michel Subor, Karin Dor, John Vernon, Michel Piccoli, Philippe Noiret et John Forsythe
Flic Story (1975) de Jacques Deray avec Alain Delon, Jean-Louis Trintignant, Renato Salvatori, Claudine Auger, Maurice Biraud, André Pousse, Mario David et Paul Crauchet
Poupoupidou (2011) de Gérald Hustache-Mathieu avec Jean-Paul Rouve, Sophie Quinton, Guillaume Gouix, Olivier Rabourdin, Joséphine de Meaux, Arsinée Khanjian, Clara Ponsot et Éric Ruf
Air Force One (1997) de Wolfgang Petersen avec Harrison Ford, Gary Oldman, Glenn Close, Wendy Crewson, Liesel Matthews, Paul Guilfoyle, William H. Macy et Dean Stockwell
Bob Marley: One Love (2024) de Reinaldo Marcus Green avec Kingsley Ben-Adir, Lashana Lynch, James Norton, Henry Douthwaite, Sevana, Hector Lewis et Tosin Cole
Sister Act (1992) d'Emile Ardolino avec Whoopi Goldberg, Maggie Smith, Kathy Najimy, Wendy Makkena, Mary Wickes, Harvey Keitel, Bill Nunn et Robert Miranda
Astérix : Le Domaine des dieux (2014) d'Alexandre Astier et Louis Clichy avec Roger Carel, Lorànt Deutsch, Guillaume Briat, Alexandre Astier, Alain Chabat, Élie Semoun, Géraldine Nakache, Artus de Penguern, Lionnel Astier et François Morel
Race for Glory: Audi vs. Lancia (2024) de Stefano Mordini avec Riccardo Scamarcio, Daniel Brühl, Volker Bruch, Katie Clarkson-Hill, Esther Garrel, Gianmaria Martini : Hannu Mikkola et Haley Bennett
Buster (1988) de David Green avec Phil Collins, Julie Walters, Larry Lamb, Stephanie Lawrence, Ellie Beaven, Michael Attwell, Ralph Brown et Anthony Quayle
Laura (1944) d'Otto Preminger avec Gene Tierney, Dana Andrews, Clifton Webb, Vincent Price, Judith Anderson, Dorothy Adams et Lane Chandler
Séries
Affaires sensibles
Présidentielle de 1995 : un scandale d'Etat - Michèle Mouton, le Groupe B et les Finlandais volants - Les Ecoutes de la République - La secte du temple solaire, le drame d’une société secrète - Munich 1972 : destin tragique d'un rêve olympique - Les révoltés des Jeux olympiques - Le crash de la Germanwings - Alexandre Litvinenko, victime d’un permis de tuer - Martin Luther King : la naissance d’une icône - Martin Luther King : du rêve au cauchemar - Dans l'ombre de Gérard Lebovici - Macron 2017, le traitre méthodique - Kurt Cobain, portrait d’une génération - Crash au mont Saint Odile
Maguy Saison 1
Rose et Marguerite, c'est le bouquet - Babar et Bécassine se mènent en bateau - Docteur j'abuse - L'union fait le divorce - L'annonce faite à Maguy - Le coupe-Georges - Amoral, morale et demie - Cinquante bougies, ça vous éteint ! - A visage redécouvert'' - Le serment d'hypocrite - Tu me trompes ou je me trompe ? - Comment boire sans déboires - Un veuf brouillé - Le père Noël dans ses petits souliers - L'emprunt ruse - Tous les couples sont permis - L'amant de la famille - Travail, famille, pas triste - Blague de fiançailles - Macho, boulot, dodo - Mi-flic, mi-raisin - Trop polyvalent pour être honnête - La traîtresse de maison - Les trois font la paire - Un grain peut en cacher un autre - La quittance déloyale - Belle-mère, tel fils - Manège à quatre - Comme un neveu sur la soupe - Toutou, mais pas ça ! - A corde et à cri - Jamais deux sans quatre - L'amant comme il respire - Le chômage, ça vous travaille ? - La faillite nous voilà ! - Le divin divan - Toubib or not toubib - L'écolo est fini - Loto, route du bonheur
La croisière s'amuse Saison 2
Un contrat en or - Le Magicien - Copie confuse - Un travail d'équipe - Accrochez-vous au bastingage - Le Célèbre Triangle - Joyeux Anniversaire : première partie - Il y a si longtemps déjà - Passion - Un coup de roulis - Docteur, vous êtes fou - La Petite Illusion - Donne moi ma chance - Qui vivra verra - Réunion de travail : deuxième partie - Méfiez vous de votre meilleure amie - Vague à l'âme - L'amour est aveugle - Chassé croisé
Downton Abbey Saison 6
À l'aube d'un nouveau monde - Le Piège des émotions - En pleine effervescence - Une histoire moderne - Plus de peur que de mal - En toute franchise - Aller de l'avant - Les Sœurs ennemies - Le Plus Beau des cadeaux
Kaamelott Livre IV
Le Jeu de la guerre - Le Rêve d’Ygerne - Les Chaperons - L’Habitué - Le Camp romain - L’Usurpateur - Loth et le Graal - Le Paladin - Perceval fait ritournelle - La Dame et le Lac - Beaucoup de bruit pour rien - L’Ultimatum - Le Oud II - La Répétition - Le Discours - Le Choix de Gauvain - Fluctuat nec mergitur - Le Face-à-face : première partie - Le Face-à-face : deuxième partie - L’Entente cordiale - L’Approbation - Alone in the Dark II - La Blessure d’Yvain - Corpore sano II - L’Enchanteur - Les Bien Nommés - La Prisonnière - Les Paris III - Les Plaques de dissimulation - Le Vice de forme - Le Renoncement première partie - Le Renoncement deuxième partie - L’Inspiration - Les Endettés - Double Dragon - Le Sauvetage - Le Désordre et la Nuit
Coffre à Catch
#153 : Finlay, le retour ! - #154 : Gloire aux Heels ! - #155 : Les débuts historiques de Sheamus ! - #156 : Les Bella Twins arrivent à la ECW ! - #18 ; CM Punk continue d'impressionner & quelqu'un fait du vélo ! - #12 : Le Push de CM Punk + Bsahtek le Bikini !
Castle Saison 4
Sexpionnage - Jeux de pouvoir - Une vie de chien - Le Papillon Blue - Pandore, première partie - Pandore, deuxième partie - Il était une fois un crime - Danse avec la mort - 47 secondes - Au service de sa majesté - Chasseurs de têtes - Mort vivant - Jusqu'à la mort s'il le faut
Les Brigades du Tigre Saison 1
Ce siècle avait sept ans… - Nez de chien - Les Vautours - Visite incognito - La Confrérie des loups - La Main noire
Alfred Hitchcock présente Saison 2, 6
Incident de parcours - Pièce de musée - Reconnaissance
The Grand Tour Saison 5
Trop de sable
La ville Noire
Première partie - Deuxième partie
Les Petits Meurtres d'Agatha Christie Saison 3
Mortel Karma
Spectacles
Monsieur chasse (1978) de Alain Feydeau avec Michel Roux, William Sabatier, Françoise Fleury, Yvonne Gaudeau, Pierre Mirat, Xavier Vanderberghe, Michel Mayou, Bernard Durand et Roland Oberlin
La Bagatelle (1977) de Jean Meyer avec Amarande, Patrick Préjean, Jacques Balutin, Brigitte Chamarande Bel, René Lefevre, Pierre Aufrey et Didier Roussel
Femmes en colère (2023) de Stéphane Hillel avec Lisa Martino, Gilles Kneusé, Hugo Lebreton, Nathalie Boutefeu, Fabrice de la Villehervé, Sophie Artur, Clément Koch, Magali Lange, Aude Thirion et Béatrice Michel
La Pélerine écossaise (1972) de Sacha Guitry avec Jean Piat, Geneviève Casile, Philippe Etesse, Robert Manuel, Raymond Baillet, Françoise Petit, Alain Souchères, Janine Roux et Ly Sary
Livres
Piège de chaleur de Richard Castle
Spirou et Fantasio, tome 15 : Z comme Zorglub de André Franquin, Jidéhem et Greg
Kaamelott, tome 1 : L'Armée du Nécromant d'Alexandre Astier, Benoît Bekaert et Steven Dupré
OSS 117 : Tactique Arctique de Jean Bruce
Astérix, tome 17 : Le Domaine des dieux de René Goscinny et Albert Uderzo
4 notes
·
View notes
Text
Les étoiles de mer se déhanchaient sur le dance-floor.
Amélia ne savait pas ce qui l’énervait le plus : qu’elle trouve le concept d’une soirée déguisée autour de la faune aquatique ridicule, ou bien qu’elle n’ait pas pu trouver une idée de costume à temps. Résultat, elle faisait tâche. Gina, la reine du lycée, était éclatante dans sa robe bleue nuit aux paillettes scintillantes. Ses manches se transformaient en vaguelettes de tissus avec des dégradés de couleurs oscillant du bleu turquoise au doré. Jamais Amélia n’aurait pu penser qu’une méduse soit aussi sexy. Elle se mordit la lèvre. C’était la fatigue, ça ne pouvait être que ça. Gina l’avait toujours exaspérée. Mademoiselle la star était toujours là, à se mettre en avant, à rire de son rire cristallin en rejetant la tête en arrière, faisant voler ses boucles blondes. Elle était énervante, toujours trop, toujours là. Amélia ne pouvait passer une seconde de sa vie paisible de lycéenne sans que Gina ne vienne l’éblouir dans sa vision périphérique. Et cette année, elles avaient le malheur d’être dans la même classe de première. Ça lui tapait sur le système, elle ne pouvait pas lui échapper. Et ce soir, c’était le soir de trop.
Amélia avança jusqu’à la première table du buffet pour essayer de se changer les idées. Des cookies en étoile, des muffins avec des coquillages en sucre. Rien que du sucré, évidemment. Avec un thème autour de la mer, personne n’avait pensé à mettre à disposition un peu de salé ? Elle soupira, vaincue et se servit un verre de jus de raisin avant de se mettre en route vers le fond de la salle, à l’abri des regards plein de jugement de ses camarades. Alors qu’elle se demandait quelle mouche l’avait piquée de venir à cette fête et avant d’avoir pu regretter sa décision, elle percuta un danseur habillé en homard qui, visiblement, ne regardait pas où il mettait les pieds.
L’intégralité du contenu de son verre venait d’être dispersé sur le haut de sa petite robe blanche. Sa seule robe potable, qui avait déjà de la peine à la convaincre. Ruinée. Le homard, très embêté, n’eut même pas le temps de balbutier des excuses qu’elle s’élançait hors de la salle de sport reconvertie en dance-floor. Amélia couru dans les vestiaires des filles et se rua dans les toilettes, ne prenant même pas la peine de fermer le verrou de son cabinet.
Elle s’écroula par terre et se lâcha enfin.
Sa soirée était foutue, ruinée, pourrie. Elle était misérable, immonde. Elle n’avait même pas pu trouver quoi que ce soit qui lui allait et qui était dans ce stupide thème marin. Elle n’avait pas la classe de Gina. Elle n’était rien. Elle était juste une pauvre fille pathétique qui n’arrivait même pas à contenir ses larmes et maintenant elle allait être défigurée par les pleurs et la morve. Merde.
Amélia ne savait pas depuis combien de temps elle s’était abandonnée à ses sanglots, mais elle commençait à avoir mal à la tête. Elle s’arrêta pour reprendre son souffle et déglutir quand un timide Toc Toc se fit entendre à la porte des toilettes où elle s’était réfugiée.
“Amélia ? C’est toi ? Je t’ai vue partir de la salle et je te cherchais… Est ce que tout va bien ?” Gina, c’était Gina. Si Amélia avait pensé que la soirée ne pouvait pas être pire, elle s’était trompée. Qu’est ce qu’elle venait faire là ? La jeune femme avait toujours fait attention à ne jamais engager la conversation avec celle qu’elle redoutait. Pourquoi elle, pourquoi maintenant ? “L…laisse moi tranquille” hésita–t-elle en reniflant. “Non.” Amélia n’eut même pas le temps de répondre que Gina avait franchi la porte des WC et s’était agenouillée près d’elle. Beaucoup trop près. Amélia recula sa tête et baissa le regard, gênée.
“Si tu voulais être seule, il fallait fermer la porte, ou pleurer moins fort. Maintenant, qu’est ce qu’il se passe ? Tu es blessée, le garçon qui t’a percutée t’as dit quelque chose ? Tu veux que j’aille lui faire un croche patte ?” Amélia resta abasourdie. Elle s’était toujours imaginé que Gina n’attendait qu’une faute, un faux pas, pour se payer sa tête, l’humilier. C’était ce genre de fille… enfin du moins, Amélia le croyait. Elle ne sut pas quoi répondre et se contenta de secouer la tête. Gina souffla, rassurée et arracha plusieurs feuilles de papier toilette pour essuyer le visage d’Amélia. Cette dernière, rougissant, lui prit doucement des mains. “Je… je peux le faire moi même, t’embête pas”. Gina la regardait sans rien dire, un petit sourire gêné aux lèvres. Amélia tenta de se moucher discrètement pour dégager son nez mais c’était peine perdue. En entendant le bruit digne d’un éléphant, Gina laissa échapper un petit rire mélodieux. “C…C’est bon, te moque pas” lâcha Amélia, dépitée, mais Gina l’arrêta “Je ne me moque pas ! Tu devrais m’entendre quand je me mouche, c’est bien pire !”. Le nez rouge et les yeux humides, Amélia ne savait plus où se mettre, embêtée de ses réactions et de sa propre personne.
“Déso…” commença-t-elle avant de s’interrompre. Gina venait de prendre ses mains dans les siennes. Elle la regarda droit dans les yeux, et lui demanda avec douceur : “Qu’est ce qu’il se passe Amélia, dis moi tout...”.
Elle connaissait son nom. Amélia eut l’impression que son cœur s’était trompé dans son rythme. Elle était déjà rouge d’avoir pleuré, mais là elle devait battre des records de couleur. En tremblant, elle éloigna les mains de sa poitrine pour révéler à Gina l’ampleur des dégâts du jus de raisin sur le haut de sa robe. “Oh” lacha Gina “Quel dommage, elle t’allait vraiment bien.”Qu’est ce qu’elle était censée répondre à ça ?
- “Non…non, elle n’était même pas dans le thème de toute manière, j’ai cherché les embrouilles…
- Comment ça ? On s’en fiche du thème ! Tu t’habilles comme tu veux ! C’était si important que ça pour toi ?
- Je voulais pas faire tâche...”
Amélia s’arrêta. Gina baissa les yeux vers la grande tâche de jus de raisin sur son torse, puis releva la tête, contenant à peine un sourire malicieux. “Et bien, c’est raté on dirait.” Les deux jeunes filles éclatèrent de rire en même temps. Gina n’avait pas lâché ses mains. Sa peau était douce et réconfortante. “Tu ne vas pas rester éternellement ici, à hanter les toilettes, non ?” lui demanda-t-elle, pensive. “Si tu regrettes de ne pas être rentrée dans le thème alors… j’ai une idée !” Gina retira ses mains de celles d’Amélia et lui effleura le visage pour ramener une mèche de cheveux sauvage derrière ses oreilles. La jeune femme se releva d’un bond et épousseta sa magnifique robe bleue, puis tendit la main à Amélia pour l’aider à se relever, avant de la tirer hors des toilettes vers le miroir commun du vestiaire.
“Reste là et recoiffe toi un peu, je reviens tout de suite !” Lui annonça-t-elle d’une voix chantante en sortant en courant.
Amélia restait seule dans le vestiaire. Sans la présence de Gina, tout lui semblait vide, silencieux. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine et elle avait chaud aux joues. Mais plus à cause des pleurs.
Alors qu’elle tentait de retrouver son flegme habituel, elle entendit Gina revenir en courant dans les vestiaires. La reine de la promo avait ramené son sac, qu’elle lança sur l’évier sans perdre une seconde. La jeune femme s’affaira en sortant une brosse à cheveux, un kit de maquillage et plusieurs écharpes de tissus chatoyant, aux reflets dorés.
-“Mais c’est… on dirait le tissu de tes manches.
- C’est le même genre ! J’en avais fait trop ! J’allais pas accrocher tout ça à mes manches alors je ne savais pas quoi en faire, je l’ai ramené avec moi ! Je me suis dit que ça pourrait servir et … ça va servir, allez viens par là !”
Entraînée par l'enthousiasme de Gina, Amélia la laissa faire et la regarda accrocher avec des épingles à nourrice les bras de méduse brillants aux manches de sa robe.
-”Il faut encore masquer les tâches… hmm. Ah ! Je sais, attends deux secondes !”
Gina s’écarta et souleva sa robe. Amélia détourna le regard, gênée, tout en se demandant ce qu’elle faisait.
-”J’ai un jupon jaune d’or, avec des paillettes ! Mais il ne sert à rien, il est caché sous la robe et les musiques ne sont pas assez… rythmées pour que je saute partout ! Il est un peu bouffant… alors si je le coupe ici… et que je l’attache là…
- N…n’abime pas tes vêtements pour moi !
- Ah, ne t’en fais pas, j’adore retoucher et bidouiller les fringues ! Je change toujours ce que je couds selon mes envies. Et j’aime le challenge !
- Je ne savais pas que tu cousais des vêtements…
- Oui, c’est une de mes passions, mais je n’ose pas forcément porter mes créations au lycée, elles sont parfois un peu fantaisistes !
- Tu as fait ta robe toi-même ?
- Hm hm !
- Je la trouve magnifique…” Souffla Amélia, en admiration devant l'œuvre et sa créatrice, pendant que Gina était entièrement concentrée sur la reconstruction de son jupon.
“Et… voilà ! Enfile ça par-dessus ta robe ! Et je l’attache en dessous des bras… parfait !”
Amélia était incrédule, en deux temps trois mouvements, Gina avait créé un haut de secours qui masquait le haut de sa robe blanche, et ajouté des pans de tissus pour l’habiller et lui donner du volume. Le tout était adorné de petites étoiles de mer en pins décoratifs, qui venaient habiller et soutenir sa tenue.
Elle aussi était devenue une méduse, tout en jaune d’or et paillettes.
Après avoir apposé la touche finale sur le visage d’Amélia avec du maquillage brillant doré et bleuté, Gina jubila :
-“On est accordées ! C’est génial ! Allez viens ! Avec un style pareil, tu as intérêt à venir danser avec moi !
- Je… je.. merci beaucoup, je ne sais pas comment te repayer ça je…
- Non, nonononon ! Tu ne me dois rien, c’était un plaisir de te rendre service et puis… ça fait longtemps que j’ai envie de te parler et de faire ta connaissance alors… C’est le homard que je dois remercier !
- C’est vrai ? Je suis désolée je ne pensais pas que…tu aurais envie de me connaître.” rougit Amélia.
-”Ah bon ? Pourquoi donc ! Tu avais vraiment l’air cool, je n’avais juste jamais trouvé la bonne occasion de t’aborder.
- Je n’ai pas été la plus accessible alors…désolée.
- Stop ! Arrête de t’excuser ! Tout le plaisir est pour moi ! Et puis… si tu veux vraiment me repayer… j’ai une idée ! Si tu aimes tant que ça mes créations vestimentaires… tu pourrais m’aider, j’ai justement besoin d’un modèle et …. tu… tu es une super source d’inspiration !” lui avoue Gina, en la regardant droit dans les yeux, un peu gênée.
-”C’est vrai ?” Amélia avait l’impression d’être légère comme une plume. Elle n’en revenait pas. Ce soir, toutes ses impressions sur Gina avaient éclaté en morceau, dispersées par le caractère enjoué et le magnifique sourire de la jeune fille.
-”Oui ! Allez viens danser, je cherche une méduse partenaire de danse, et vous êtes la plus jolie méduse de ces eaux !” Plaisanta la reine du lycée.
Elle attrapa sa main et l'entraîna dans la salle de danse, à son contact doux et chaud, Amélia espéra qu’elle ne la lâcherait plus jamais.
#short story#writing prompt#french#écriture#writting#prompt#short#romance#crush#prom#high school prom
3 notes
·
View notes
Note
✨Pour l'askgame ✨
Quels sont tes headcanon sur Donatien ? 👀
Ohohohoho he 🫴 Beaucoup de choses à dire sur lui mais je vais essayer de ne pas trop répéter ce que j'ai déjà pu dire~
Sexuality Headcanon : Aroace <3 Parce que franchement. Franchement. Oui j'HC qu'il s'intéresse en rien à la romance et aux relations. Oui je le shippe avec plusieurs autres persos. Je suis une personne flexible aux multiples facettes <3
Gender Headcanon : Homme cis, se pose pas vraiment plus de questions ?
A ship I have with said character : Hmm, je suis sûre que nos MPs ne révèlent rien de particulier à ce sujet... Par Talos–
Sans surprise, le Donalenny dans mon cœur <3 Je peux pas croire que j'ai lu ta fic sur eux et qu'il m'a fallu plusieurs mois pour réaliser à quel point je l'aimais,, le ship, je veux dire, parce que la fic j'ai réalisé très vite 😭 Mais ugh, y a tellement de choses à dire sur ces deux-là et tellement de choses déjà dites sur ces deux-là, tousse tousse <3
Mais j'ai beaucoup d'affection pour le Donamaison aussi !! En tant que QPR, entre deux aros qui se comprennent mieux que quiconque, la tendresse, la complicité, vraiment <;3 D'ailleurs fun fact, c'est à cause d'eux que j'ai rejoint le serveur, parce que j'avais VRAIMENT envie de parler d'eux avec quelqu'un et j'en ai au final très peu parlé mais shhh
Et puis,, le Dona/Gérard sur un ton semi-blagueur ? X') Disons que j'ai une certaine... affection pour le trope enemies to lovers, ce qui joue 😔 Après tout, quoi de plus érotique romantique qu'une élection municipale, les flirts/insultes en plein débat, tout ça /hj
Sinon j'aime bien le Donacox mais uniquement poussé à l'un des extrêmes sur l'échelle du fucked up-comique. Genre, au hasard, Les Raisins de la Passion me fait hurler, et à côté j'ai un jour envisagé de faire un animatic ou une fic basés sur la chanson Amnesia was her name et un hypothétique enlèvement et séquestration de Dona par Cox. Par contre en relation normale ? Non merci <3
Oh, et je considère parfois le concept d'un Dona/Roy à sens unique de la part de Roy, qui struggle avec des sentiments très contradictoires envers son boss,,
Bref, beaucoup de paragraphes sur des ships pour un perso que je ne vois pas autrement qu'aroace 😭
A BROTP I have with said character : Fab le sang~ Mais j'aime aussi beaucoup la relation Dona-Michael ! Ça se sent qu'AD et Rivenzi aiment jouer ensemble, et là encore un ptit crush à sens unique de Michael... ?
A NOTP I have with said character : Err,, Dona-Guy, pour des raisons. Évidentes. À part ça, Dona-Kiddy, parce que je vois Dona en figure paternelle/mentor de Kiddy ? Et, euh, toutes les femmes de RPZ. Je le vois pas avec une seule d'entre elles, désolé Joséphine X)
A random headcanon : Je suis très fan de ton headcanon de la canne, et du coup, à ça, j'aimerais ajouter : post-RPZ, au début, Dona ne se sert pas bien de sa canne, surtout qu'il a insisté pour sortir de l'hôpital trop tôt et n'a pas écouté les conseils de Maison. Il galère avec, trouve qu'il marche presque mieux sans, il aime pas ça. Et puis un jour, Bernard le contacte, se rend au Domaine pour lui acheter des boissons pour le Unicorn, faute d'autres fournisseurs à Los Santos ; or, il se trouve que Bernard, lui aussi, a une canne, depuis l'accident Lucy. Bernard remarque que Dona galère, essaie de lui donner des conseils, et certes, Dona aime pas recevoir des conseils d'un Pichon, mais il lui faut bien admettre que c'est mieux comme ça. C'est cet événement qui marquera le début d'une lente réconciliation Pichon (enfin, ce qu'il en reste...)-Domaine :) (Moi ? Recycler mes idées de fics en headcanons ? Jamais.....)
General Opinion over said character : Mon premier fav de RPZ, et toujours probablement dans mon top 10, si ce n'est 5 <3 Il tape pile dans ce trope très précis du "businessman sournois, avide et un peu connard, mais qui cache peut-être un bon fond, si on cherche bien" que j'aime de tout mon cœur et il a un haut-de-forme, que demander de plus 🥰
#si tu m'envoies un perso par jour on peut avoir fait tout le cast d'ici fin mai 🤔 /j#rpz#donatien de montazac#ask game#thanks for the ask <3#lb originals
12 notes
·
View notes
Text
🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, Connaissez-vous l'appellation Pacherenc du Vic-Bilh ❓❓🇫🇷
🍇🍷AOP Pacherenc du Vic-Bilh 2016 cuvée Soum avec les @vinsdemadiran et la @cavedecrouseilles🍇🍷:
🍇 :
Petit Manseng
Gros Manseng
Petit Courbu
🏺:
Les raisins passerillés sont vendangés par tries successives manuelles de fin octobre à mi-novembre, Fermentation alcoolique en barriques de chêne (40% neuves, 30% de 1 vin et 30% de 2 vins) pendant de longues semaines. Puis, l'élevage se déroule dans la barrique de vinification, sur lies fines avec batonnage (8 à 10 mois). Savoir-faire artisanal pour obtenir l'ouverture aromatique des Manseng et l' intégration optimale de la liqueur dans le vin.
👁️ :
Une robe de couleur or paille soutenu
👃 :
Un nez expressif sur des notes de fruits confits, épices.
💋 :
En bouche, on a un vin doux, ample, avec une belle complexité aromatique. Sur des arômes de fruits confits (pamplemousses, pêches, nectarines), coings, poivre blanc, un élevage équilibré avec des notes de fruits secs torréfiés. Une belle longueur en bouche avec une finale sur de magnifiques notes acidulées.
📜En résumé📜 :
Une appellation que j'adore qui allie complexités, explosion de fruits confits en bouches. Idéal pour passer une soirée gourmande en amoureux.
🧆Dégusté sur un fromage Ossau Iraty et une tarte aux pommes juste sortie du four.🧆
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : apéritif, foie gras, dessert, Comté fruité, Filets mignons de porc à l'ananas,....
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du domaine pour voir toutes les cuvées et promotions du moment��.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des
vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
___________________________________________
🇫🇷🗣️Description du Domaine 🇫🇷🗣️
Notre village de Crouseilles est situé à quelques kilomètres au sud de Madiran, dans le Sud-Ouest de la France, en pays du Vie-Bith. La Seigneurie de Crouseilles, delimitée au 16e siècle par des murailles dont Il reste quelques vestiges, est aujourd'hui un vignoble travaillé à la main par une poignée de vignerons passionnés qui ont à cœur de sublimer leurs cépages autochtones.
L'appellation: AOC PACHERENC DU VIC-BILH
Rattachée au piémont pyrénéen, l'appellation Pacherenc du Vic-Bilh ne produit que des vins blancs.Elle est située à 40kms de Pau, sur la même aire d'appellation que les rouges de Madiran. L'Adour rivière capricieuse toute proche confère un microclimat unique. La forte pluviométrie se combine à vents locaux sous l'influence des Pyrénées, de l'Océan Atlantique. Les coteaux sont soumis à d'important variations géologiques dues à la formation de la chaîne des Pyrénées.
___________________________________________
⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓Hello corkscrew lovers. And you, do you know the Pacherenc du Vic-Bilh appellation ❓❓🇬🇧
🍇🍷AOP Pacherenc du Vic-Bilh 2016 vintage Soum with the @vinsdemadiran and the @cavedecrouseilles🍇🍷:
🍇:
Little Manseng
Gros Manseng
Petit Courbu
🏺:
The raisined grapes are harvested by successive manual sorting from the end of October to mid-November. Alcoholic fermentation in oak barrels (40% new, 30% from 1 wine and 30% from 2 wines) for long weeks. Then, the aging takes place in the vinification barrel, on fine lees with batonnage (8 to 10 months). Artisanal know-how to obtain the aromatic opening of Manseng and the optimal integration of the liqueur into the wine.
👁️:
A deep straw gold colored dress
👃:
An expressive nose with notes of candied fruits and spices.
💋:
On the palate, we have a soft, ample wine, with a beautiful aromatic complexity. With aromas of candied fruits (grapefruit, peaches, nectarines), quince, white pepper, balanced aging with notes of roasted dried fruits. A beautiful length on the palate with a finish of magnificent tangy notes.
📜In summary📜:
An appellation that I love which combines complexities and an explosion of candied fruit on the palate. Ideal for spending a gourmet evening with your partner.
🧆Tasted with Ossau Iraty cheese and an apple pie just out of the oven.🧆
🍷Some food and wine pairings possible with this vintage🍷: aperitif, foie gras, dessert, fruity Comté, pork tenderloins with pineapple,....
📌Don't forget, drinking a barrel is saving a winemaker. Go to the estate's website to see all the current vintages and promotions📌.
🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation”🔞Most wines were tasted and spat out. Unpaid tasting.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
_____________________________________
🇬🇧🗣️Domain Description 🇬🇧🗣️
Our village of Crouseilles is located a few kilometers south of Madiran, in the South-West of France, in Vie-Bith country. The Seigneurie de Crouseilles, delimited in the 16th century by walls of which some vestiges remain, is today a vineyard worked by hand by a handful of passionate winegrowers who are keen to sublimate their native grape varieties.
The appellation: AOC PACHERENC DU VIC-BILH
Attached to the Pyrenean foothills, the Pacherenc du Vic-Bilh appellation only produces white wines. It is located 40km from Pau, in the same appellation area as the Madiran reds. The nearby capricious Adour River provides a unique microclimate. The high rainfall combines with local winds under the influence of the Pyrenees and the Atlantic Ocean. The hillsides are subject to significant geological variations due to the formation of the Pyrenees chain.
___________________________________________
🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi. E tu, conosci la denominazione Pacherenc du Vic-Bilh ❓❓🇮🇹
🍇🍷AOP Pacherenc du Vic-Bilh 2016 Soum vintage con il @vinsdemadiran e il @cavedecrouseilles🍇🍷:
🍇:
Piccolo Manseng
Gros Manseng
Petit Courbu
🏺:
Le uve appassite vengono raccolte mediante successive cernite manuali da fine ottobre a metà novembre.Fermentazione alcolica in botti di rovere (40% nuove, 30% da 1 vino e 30% da 2 vini) per lunghe settimane. Successivamente, l'affinamento avviene in botte di vinificazione, su fecce fini con batonnage (da 8 a 10 mesi). Know-how artigianale per ottenere l'apertura aromatica del Manseng e l'integrazione ottimale del liquore nel vino.
👁️:
Un abito color oro paglierino intenso
👃:
Un naso espressivo con note di frutta candita e spezie.
💋:
Al palato abbiamo un vino morbido, ampio, con una bella complessità aromatica. Con aromi di frutta candita (pompelmo, pesche, nettarine), mela cotogna, pepe bianco, invecchiamento equilibrato con note di frutta secca tostata. Una bella persistenza al palato con un finale di magnifiche note sapide.
📜In sintesi📜:
Una denominazione che adoro che unisce complessità e un'esplosione di frutta candita al palato. Ideale per trascorrere una serata gourmet con il proprio partner.
🧆Degustato con formaggio Ossau Iraty e una torta di mele appena sfornata.🧆
🍷Alcuni abbinamenti enogastronomici possibili con questa annata🍷: aperitivo, foie gras, dessert, Comté fruttato, filetto di maiale con ananas,....
📌Non dimenticare, bere una botte fa risparmiare
un enologo. Vai al sito dell'azienda per vedere tutte le annate e le promozioni del momento📌.
🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞Most i vini venivano degustati e sputati. Degustazione non retribuita.
___________________________________________
🗣️🇮🇹Descrizione i Dominio 🗣️🇮🇹
Il nostro villaggio di Crouseilles si trova a pochi chilometri a sud di Madiran, nel sud-ovest della Francia, nel paese dei Vie-Bith. La Seigneurie de Crouseilles, delimitata nel XVI secolo da mura di cui rimangono alcune vestigia, è oggi un vigneto lavorato a mano da un pugno di viticoltori appassionati desiderosi di sublimare i loro vitigni autoctoni.
La denominazione: AOC PACHERENC DU VIC-BILH
Situata ai piedi dei Pirenei, la denominazione Pacherenc du Vic-Bilh produce esclusivamente vini bianchi e si trova a 40 km da Pau, nella stessa zona di denominazione dei rossi Madiran. Il vicino e capriccioso fiume Adour offre un microclima unico. Le forti precipitazioni si combinano con i venti locali sotto l'influenza dei Pirenei e dell'Oceano Atlantico. I pendii sono soggetti a notevoli variazioni geologiche dovute alla formazione della catena dei Pirenei.
2 notes
·
View notes
Text
Anniversaire de Madame Coquette
Madame Bonheur se réveilla et regarda le calendrier. Savez-vous quel jour nous sommes ? Eh bien, nous ne savons pas parce que vous n'avez pas encore entendu parler de l'anniversaire de quelqu'un...
...jusqu'ici,
"Aujourd'hui c'est l'anniversaire de madame coquette !" Souriait madame Bonheur, et elle est allée se brosser les dents, et s'est regardée dans le miroir en pensant à comment ça allait se passer.
Elle se leva et alla à la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Elle fit des crêpes, les saupoudrage de sucre en poudre et les servit avec du sirop d'érable. Madame Bonheur était une excellente cuisinière et elle aimait faire plaisir à ses amis.
En chemin vers chez madame Coquette, elle est tombée sur madame Range-tout portant une pile de coffrets cadeaux parfaitement emballés.
BOUM!
"Oh! là! là!" Cria madame Range-tout. "Ma pile de cadeaux est tombée !"
C'était un désordré épouvantable.
"Oh je suis désolé!" dit madame Bonheur. "Je ne t'avais pas vu."
Pauvre madame Range-tout. Elle a dû rentrer chez elle et emballer à nouveau les cartons.
"C'est bon Mme. Range-tout, madame coquette est déjà fière de ce qu'elle a. Vous pouvez venir avec moi chez elle !"
M. Tatillon était chez lui en train de faire un gros gâteau pour madame Coquette. Il a soigneusement mesuré et pesé la bonne quantité d'ingrédients, comme d'habitude, avec beaucoup de verres à mesurer, de cuillères à mesurer et de balances.
Il se retrouve généralement avec un gâteau petit mais parfait. Cette fois, il prépare un gros gâteau en couches, mais toujours parfait.
Madame Bonheur alla voir madame Coquette chez elle. Aujourd'hui, madame Coquette a enfilé des vêtements aux vermicelles colorés, et changé les rideaux, tapis et nappes en vermicelles colorés.
"Bonjour Mme. Bonheur" dit madame Coquette, vêtue de paillettes colorées
Et elle la laissa entrer.
Pendant que madame Coquette et madame bonheur restaient un moment à table, on entendit du bruit à la porte.
"Bonjour madame Coquette" dit madame Catastrophe.
"Nous avons entendu dire que c'est ton anniversaire aujourd'hui, et nous avons une pompe à air pour mettre des ballons !"
Madame Prudente a sorti un sachet de ballons.
"Non madame Prudente, j'ai le bon type de ballons pour la fête." Dit madame Coquette
et elle a obtenu des ballons avec des pépites colorées dessus.
Madame Catastrophe plaça le ballon dans le bec et madame Prudente poussa la pompe à air.
Madame Catastrophe a sorti le ballon de la buse et le ballon a libéré tout l'air, l'envoyant hors de la maison.
La pauvre Madame Catastrophe était assise sur l'herbe avec un ballon dégonflé à la main.
Madame Prudente et madame Bonheur sortirent de la maison pour trouver madame Catastrophe.
"Ça va madame Catastrophe ?" demanda madame prudente.
Lorsqu'ils eurent fini de mettre les ballons en place, on frappa de nouveau à la porte.
C'était M. Chatouille, M. Joyeux et madame Boute-en-train. Ils ont apporté toutes sortes de jeux à jouer.
"Je parie qu'ils aiment passer le colis." Dit M. Joyeux.
"Non, les chaises musicales seront mieux !" Dit M. Chatouille.
C'est enfin l'heure de la fête et tout le monde était là. Madame Risette et M. Grand et madame Bavarde et M. Silence, M. Rigolo et madame Petite et M. Malchance et madame Tout-va-bien.
Il y avait beaucoup de délicieuses friandises sur la table à manger. Pâte à choux, éclairs, plateaux de raisins, et fromages, et caviar !
Madame Dodue avait une assiette bien garnie.
M. Maigre, cependant, n'avait qu'une toute petite olive du plateau.
Madame Timide s'est cachée sous la table à manger surmontée de la nappe saupoudrée.
Madame Sage n'a pris qu'une fraise et en a mis un peu dans la fontaine à chocolat.
Madame Collet-monte n'a pris qu'une guimauve et en a également mis un peu dans la fontaine à chocolat.
Mais, M. Glouton prit beaucoup de fraises et les recouvrit toutes entièrement de chocolat,
et M. Sale attrapa un biscuit avec sa main et le trempa dans la fontaine. Il a aspergé du chocolat madame Proprette.
Madame Canaille enroula une serviette autour de madame Chance et la fit tourner trois fois avant de lui donner la queue.
"D'accord madame Chance, épinglez la queue à l'âne !" Madame Canaille instruit,
et puis elle laissa échapper un ricanement.
"Elle se dirige vers l'âne !" s'écria M. Heureux
"Elle ne s'appelle pas madame chance pour rien." S'est moqué de M. Malpoli.
Madame Chance a épinglé la queue exactement sur l'âne.
Elle souleva la serviette et jeta un coup d'œil.
"Je l'ai fait!" Elle a souri.
"Bah ! Bien sûr que tu l'as fait." grogne M. Goognon. "Tu ne changeras jamais."
Madame Tête-en-l'air a tenté d'épingler la queue de l'âne.
Elle a la queue et...
...mettez-le sur le nez de M. Curieux.
"Aie." Dit madame Tête-en-l'air.
Il n'y a pas de meilleur fêtard que M. Grincheux, qui n'est pas trop excité pour les fêtes. Il fit épingler la queue à l'âne par M. Bagarreur.
M. Bagarreur s'est approché de l'âne, et a mis la queue sur l'âne...
...et a percé un trou dans le mur.
"Mon mur!" S'écria madame Coquette.
"Je peux réparer cela!" Dit madame Catastrophe, et elle est passée à l'action.
Madame Catastrophe fixé le mur avec...
...papier maché.
Oh! Madame Catastrophe !
Dans les chaises musicales, M. Malchance trébuchait sur une chaise et renversait toutes les autres.
Madame Boute-en-train a joué son ancien rôle de clown dans la fête. Elle s'est attaché le nez rouge sur le visage, a sauté sur la table à manger recouverte de la nappe saupoudrée et a dansé.
Madame Range-tout n'a apporté qu'une seule boîte à la maison. Madame Coquette l'a ouvert et à l'intérieur se trouve...
"...un diadème !" s'écria madame Coquette.
Elle l'a mis avant que quiconque puisse cligner des yeux.
Madame Bonheur avait son cadeau emballé dans du papier et un noeud collé dessus, sans boîte. Madame Coquette a déballé le cadeau et à l'intérieur se trouve...
"Un ours en peluche !" Elle haleta. Madame Coquette alla dans sa chambre avec l'ours et revint avec un noeud assorti sur l'ours.
Les hommes et les dames ont passé une soirée amusante, mais il ne faut pas oublier le gâteau. M. Tatillon entrèrent avec le gâteau.
Il est recouvert d'un glaçage bleu clair et blanc et surmonté de roses à la crème au beurre et d'une bougie. Le gâteau s'arrêta devant madame Coquette et elle pétilla de joie.
"Madame Coquette, Bon Anniversaire !" Ils ont tous crié alors qu'elle soufflait la bougie.
4 notes
·
View notes
Text
Regardez "Masterclass Identité visuelle avec Cabaroc 3/3 : identité | Adobe France" sur YouTube
View On WordPress
0 notes
Text
26 juin
j’ai répondu à ses messages et l’orage a éclaté, il pleut averse. je me suis assise sur le rebord de la fenêtre pour regarder la pluie tomber dans la cour. le ciel s’est assombri d’un coup et des plastiques se sont mis à voler en l’air et la voisine d’en face est sortie sur son balcon dans sa robe jaune pour mettre les fauteuils à l’abri. elle a la lumière allumée chez elle, il a l’air d’y faire très sombre. hier j’ai dit à n. que ça me rappelait mon dernier appart à paris et la dépression et elle a fait une grimace de compassion et je me suis de nouveau dit que j’étais too much dans ma misère.
ça va un peu mieux maintenant que je lui ai écrit, j’ai l’impression d’être sur la bonne voie. dans ses messages il dit que c’est pas la première fois que ça lui arrive, que quelqu’un développe des sentiments amoureux pour lui suite à une relation épistolaire, et qu’il commence à se poser des questions parce que ça le fait flipper de causer de la souffrance. il dit que c’est pour ça qu’il a mis autant de temps à me répondre et qu’il s’excusait si ç’avait été angoissant pour moi. je suis qu’à moitié convaincue par son excuse mais samedi soir ses longues réflexions et ses questionnements et ses excuses n’ont fait qu’empirer mon désespoir parce que je trouvais ça tellement gentil qu’il ait mis autant de soin et d’attention dans sa réponse. même si ça lui a pris quatre jours.
hier soir dans la cour ombragée de la pizzeria avec des grosses tables en bois on discutait d’écriture et je lui racontais comment avec le journal, la vie se transformait en fiction et comment les deux se nourrissaient l’un l’autre et comment c’était à double tranchant parce que 1. écrire est cathartique et permet de mettre de la clarté dans ses pensées/ne pas devenir folle, et puis ça donne de la forme aux choses, ça leur donne un sens, et donc c’est rassurant, mais 2. ça nourrit la bête du drame et ça monte les choses en épingle, et elle était tout à fait d’accord avec moi et c’est tellement cool de pouvoir discuter de ça avec quelqu’un qui sait de quoi je parle. elle m’a dit qu’elle m’enverrait le pdf de son roman d’autofiction. ça parle d’une fille de 27 ans qui se cherche à berlin. on a dit qu’on allait faire une performance pour le 48h neukölln de l’année prochaine, elle va essayer de devenir amie avec le collectif queer féministe qui a fait l’installation qu’on a vue ce matin avec les projections et le papier mâché et les phrases écrites au mur tout droit sorties de staying with the trouble de donna haraway, vocabulaire compris, et puis moi j’ai dit que je savais où gratter des soutiens financiers au luxembourg et c’est parti mon kiki. peut être que je devrais vraiment venir ici au lieu d’aller à bruxelles. mais berlin a trop de gens qui m’agacent. trop de gens tout court.
27 juin
bon j’allais plus ou moins bien et voilà que r. a répondu à mes messages de hier par yeah et merci de tes réponses et ç’a suffit à me faire retomber dans la spirale de l’angoisse, l’angoisse qu’il veuille plus rien avoir affaire avec moi, que j’aie tout fait foirer avec mes réponses, que c’était pas les bonnes, que j’aie pas répondu ce qu’il fallait, qu’il veuille même plus être mon ami maintenant, que je l’aie totalement perdu. comme a. everyone is always leaving. j’en ai marre qu’il monopolise toutes mes pensées. mais le pire c’est qu’il monopolise 85% de ce journal aussi. dans ses messages vocaux il se demandait s’il avait fait ou dit des trucs équivoques qui auraient pu me faire penser qu’il flirtait, et je lui ai dit non à posteriori non, et puis j’ai pensé à mon journal, où toute notre relation est documentée depuis le début et où on voit mon illusion se mettre en place, on voit mon cerveau dysfonctionnel à l’oeuvre, mon cerveau rempli de vers tout troué comme un vieux volcan.
30 juin
dernier jour de ce mois de juin très citadin mi figue mi raisin, le seul truc figue étant r. qui m’aime pas et le truc le plus raisin ma perf à la bellone évidemment. je mets quand même ma rencontre avec r. dans les trucs raisin aussi, malgré la nature différente de notre intérêt l’un pour l’autre, j’ai bien aimé le rencontrer. n. me disait qu’elle avait commencé à faire des demandes claires à l’univers et que les deux dernières fois ç’avait marché. mais peut être que le pouvoir de l’univers n’est pas assez grand pour faire tomber quelqu’un amoureux.se de moi. qu’est-ce qui est plus grand que l’univers alors? rien? on parlait de ses histoires d’amour malheureuses et elle disait qu’une histoire d’amour n’avait pas besoin de bien se terminer pour être belle et j’ai dit ohlala j’en demande pas tant, déjà un début ce serait bien, et elle m’a regardée avec un air de grande commisération. samedi soir je lui ai raconté que j’avais essayé de sentir l’amour de jésus à la messe polonaise mais que ç’avait pas marché et puis je lui ai raconté la fois où paule s. m’avait envoyée chez un prêtre parce qu’elle savait plus comment m’aider et qu’elle pensait que tout ce dont j’avais besoin pour guérir c’était peut être de l’amour. n. était morte de rire mais moi ça continue à m’angoisser cette histoire. je lui ai dit que j’avais peur de finir par mourir de manque d’amour et je lui demandais comment on en mourrait, concrètement? en développant un cancer? elle m’a dit qu’on pouvait mourir d’un coeur brisé aussi mais j’ai pas l’impression que c’est ça mon problème, ou alors c’est plutôt une histoire d’usure, à force de pas être aimée en retour. mais concrètement, comment on en meurt? à part le suicide?
sous la photo où je mange une glace menthe chocolat que j’ai postée sur ig j’ai mis: lara mange une glace menthe chocolat à berlin 2 euros la boule le soleil vient de se coucher je suis en vie. c’était samedi soir, avant d’avoir écouté les messages de r., je sais plus pourquoi je me sentais vivante et j’étais un peu déçue qu’on rentre avant minuit, mais j’ose jamais proposer aux gens de sortir si ça vient pas d’eux parce que, comme je bois pas et je danse pas et je suis pas fun, j’ai toujours peur que la personne me dise mais tu veux faire quoi alors? on s’est assises sur le bord du trottoir de la admiralbrücke pour discuter, quand j’avais vingt ans c’était mon deuxième pont préféré de berlin (après la oberbaumbrücke) parce que j’étais fascinée par tous les gens assis par terre au milieu de la route et y avait toujours quelqu’un qui lisait ou qui jouait de la guitare perché sur un des piliers et je trouvais ça très cool parce que j’étais jeune et impressionnable. samedi j’ai trouvé ça un peu bof et j’en avais un peu marre d’être assise par terre. n. m’a demandé what kind of guys do you like? et j’ai dit tall and skinny with curly hair comme quand j’avais seize ans et puis je lui ai montré une photo de r. et elle a dit oh wow he’s so pretty! i thought you didn’t like pretty boys! et comme à ce moment-là j’avais encore un petit espoir, j’ai senti une petite pointe de fierté et j’ai dit well he’s cute, mais maintenant que j’y repense, je me sens complètement ridicule et tellement naïve d’avoir pu penser un instant qu’un mec comme lui puisse être attiré par une fille comme moi. même si je sais que c’est pas comme ça qu’il faut penser. mais est-ce que c’est pas comme ça que marche le monde? est-ce que je ne suis qu’une énième victime de la longue liste de filles qu’il a fait chavirer avec ses points d’exclamation et ses tiktok débiles?
et puis elle m’a demandé quel genre de filles j’aimais et j’ai dit toutes. je lui ai montré rebeka w. et elle a dit she looks old! et j’arrivais pas à croire que ce soit ça sa première réaction. old?? j’ai dit i like older women. lol. un jour je lui ai demandé comment elle pouvait pas aimer les filles et elle a dit i like the unknown. mais les filles c’est pas autant l’inconnu que les garçons? si ce n’est plus, puisqu’il existe à peu près un milliard de fois plus de représentations de sexe hétéro que lesbien. même si on a biologiquement le même corps, pour moi y a pas de territoire plus lointain et exotique que le sexe lesbien. c’est la jungle amazonienne, c’est les tropiques et l’hémisphère sud et l’arctique et l’antarctique en même temps, des endroits qui me semblent totalement inaccessibles mais je sais qu’ils existent et peut être qu’un jour j’irai, qui sait. peut être que le prochain date sera le bon. déjà si c’est un vrai, je serai contente. god is change. j’ai parlé d’ocatvia butler à n. et elle disait for me god is love et j’ai dit ok mais alors l’amour des arbres et des fleurs et de la mer et de la terre et tout ça et elle a dit yes of course.
6 notes
·
View notes
Photo
On peut lui préférer citrouilles et sorcières à verrues sur le pif et balais entre les jambes. En novembre, passé les chrysanthèmes et l'heure d'hiver, pour la distraction, faut de l'imagination. On peut bouder ce troisième jeudi du mois qui ouvre les vannes du beaujolais nouveau.
On a parfaitement le droit de considérer, sans le goûter, que ce n'est pas du vin, qu'il sent le fabriqué et l'éprouvette. Chacun est libre de considérer que rien n'a changé depuis l'époque où, il est vrai, la mode, la demande, la facilité ont travesti ce moment festif en un rendez-vous marketing. C'est juste dommage. Le beaujolais dans son ensemble a traversé une terrible crise à cause de cela, de croire que la renommée est éternelle. Il l'a payé très cher.
Faute de clientèle, une grande partie du vignoble a été arrachée, près de la moitié. Ceux qui sont restés, ceux qui ont repris derrière les parents ou qui se sont installés en ont bavé. Vente difficile et amateurs qui tournent la tête dans les salons. Ils ont bien intégré qu'il fallait se souvenir des erreurs du passé pour ne pas recommencer. D'ailleurs, ici on ne dit plus le beaujolais nouveau mais les beaujolais nouveaux. C'est pour bien montrer la diversité.
Le beaujolais nouveau n'est pas une invention du XXe siècle, c'est avant tout une tradition de convivialité : faire découvrir à ses amis, ses voisins, ses clients le vin à peine terminé quand le pressoir goutte encore. L'idée a fait son chemin, les bistrots parisiens (entre autres) furent demandeurs. Tous ces vins avaient à la fois une trame commune, le fruit, mais des expressions différentes et plus ou moins de tanins ; granite ou calcaire, ils racontaient le savoir-faire et le terroir.
Le moment beaujolais nouveau ne durait pas une soirée ou une semaine, mais souvent jusqu'à Noël. C'est l'uniformisation qui l'a occis. Ceux que nous dégustons aujourd'hui ont retrouvé cette nécessaire diversité. Ils bénéficient en plus, en 2022, d'une année à météo particulière. Un été très chaud, dont on a redouté les effets, mais qui à l'arrivée a donné des raisins très mûrs, donc riches en fruits, avec une extraction de tanins assez aisée.
Des petits tanins à point, pas verts et asséchants, qui confèrent au vin fraîcheur et tension. Sans doute fallait-il se montrer très prudent sur les dates de vendanges, ne pas attendre trop longtemps pour éviter de se retrouver avec des saveurs trop évoluées, mais le résultat est surprenant. Beaucoup de ces « nouveaux » parmi ceux que nous avons retenus donneront du plaisir dès maintenant mais pourront se conserver sans problème bien au-delà de Pâques. On prend même le pari que cet été sur les grillades, ils feront merveille.
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
10 notes
·
View notes
Text
Prends de pain, bois ce vin - Arnaud Mattei
Vers un destin meilleur, un jour je partirai Là où l’eau ruisselle sur les routes pitances Là où la terre offre ses plantes d’abondances En ce pays j'irai. . Tu cherches les demains d'été aux moissons d'or, Là où l'aube sourit aux aurores parures, Là où la joie danse sur les plaines verdures, Naissent les épis d'or. Ils portent paisibles la richesse du grain La rosée des plaisirs, le charme de l'envie Germe d'opulence, par une main pétrie Tu m'offriras le pain A flanc de collines, à l'automne raisin Voici venu le temps des cueillettes vendanges, Voici venu le temps de la couleur des anges D'une grappe carmin Par la serpe coupée, de la vigne au pressoir, Voici venu le temps des gestes ancestraux, Voici venu le temps des clos et des châteaux, Ose la vie ce soir. A table mon ami ! Assieds-toi près de moi Ton cœur sera léger et mon ciel sans nuage Prends ce pain, bois ce vin ! Mon peu je le partage, Sans crainte invite toi. Arnaud Mattei, le 21 Avril 2023 ©2023 tous droits réservés Read the full article
2 notes
·
View notes
Text
It’s just not enough. Savoir mais sans savoir. Ce qu’on voit qu’on veut pas voir, qu’on voudrait savoir avant de pouvoir pis le pouvoir de juste croire in our savior. C’est facile de croire que parce que le coeur la tete le en dedans. C’est grisant de vouloir croire que le noir sera peut etre jamais blanc. Que se draper c’est peut etre trop pour voguer sur l’eau sans penser qu’on se fera pas attaquer. Ou pas assez. Am I?
Is he? You know l’impact que ca a de voir le reflet sur l’eau, des plis du drapeau, du bleu du ciel qui reflete sur ta peau. Des rayons qui font dorer ton ih que tes blanche. Du vent qui glace la glace pour pas qu’on tombe, pour qu’on se passe la puck coast to coast drette su’l tape meme aux loisirs meme quand le plan de match est pas sur le bon tableau. Tu le sais. Mais tu mets ton tape blanc ta froque de camp, pis tu pars au vent comme si y’avait pas de filet dans le temps du blanc. C’est un one timer. Tu vas l’avoir ton snap, c’est écrit dans le ciel. Qui fait briller ta peau. Qui reflète sur l’eau. Qui se tranforme en glace. Si tu l’as pas ca change rien, tu feras une crossbar en break away. Pis tu vas voir. Je serai pas là mais le banc va se lever pareille. It just wont be enough.
Tu mettras le 13 pis moi le 31. On s’enverra des liens juste pour garder le notre qui tient à rien, qui tend nos miens qui font des tiens. T’auras des step back j’aurai des tear drop, tu le sauras pas je le saurai pu on ira pas. On sera allés. C’était pas assez. Ca sera un maner. On se demandera pourquoi c’était pas easy. The one?
J’ai pas l’année, j’ai pas passé. Le banc s’est levé. Le temps a gelé. On a manqué les opportunités, on a avancé sans regarder on a regardé sans s’avancer. On a crié on a figé. C’était pas ca qui était supposé. On est allé le chercher à coté pis ca a merdé. C’est 4-3. On mène pas mais on est pas pressé. Faut juste s’en faire moins mais je sais que tu veux en faire plus. Avec pas. Par en arrière. Vire toi pas. Tu t’en vas pas. Je le sais que c’est toi. Faique là?
Maybe its not. T’es tu malade? Je te tannerai pas. Non? Non.
J’ai l’impression de rapper, j’ai l’impression de ramer. Dans le its not a river. Its a fleuve. Dans le its not my fault dans le je suis pogné la dedans. Rame dans le fleuve debarque dans le sand c’est moi qui guide regardez la bas. À 3 on lève. Encore dépose faut l’avancer pis oh hisse y faut se timer. Tu feras un tendeur pis on y mettra nos peurs, on y tendra des peurs sans qui comprenne pourquoi y’est encore porteur de cette paleur. Finalement y’a un drumeur mais je te le dis, y sent que t’es scared meme quand tu te regarde pensant que te replacant va faire en sorte que you’ll look greater. You’re not better. T’es mon meilleur. Ca m’en prend fort pour vouloir faire des efforts, je dirais pas que t’es mon fort mais quand c’est pas ca c’est pas mon fort. C’est tu pas ca? Is it not? Can you make it can I make me believe qu’on va se revenir? Pis tu me fais quand meme rire. C’est pas pour te faire sentir raisin. Even if.
If you are then pour? Pour tout ca? T’sais. J’tattends tu?
6 notes
·
View notes
Text
Hasdrubal revient de Sicile
La lourde chaine qui barre l’entrée du port est levée. La trière qui me ramène de Sicile s’engage doucement dans le port marchand. Flop, flop, flop, font les rames, comme un gong qui sonne le glas. Cinq ans déjà que je suis parti guerroyer, cinq ans de tensions et de souffrances vaines, cinq ans sans revoir ma ville tant chérie.
Je m’étais juré, pendant tout le silence de la traversée, de rester froid, insensible à sa beauté, comme à celle d’une courtisane qui vous aurait trahi. Et pourtant, malgré tout, mes yeux se mouillent devant cet étourdissant mélange de couleurs, d’odeurs et de sons. Surtout, tout garder en mémoire, jusqu’à la fin.
À gauche, on décharge avec d’infinies précautions des blocs de marbre de Numidie. J’aurais tant aimé qu’ils soient pour moi, pour ma belle maison du quartier de Marsa. À droite, des corbeilles de figues, d’amandes, de raisins et de grenade s’empilent sur le quai : un festin se prépare, mais je n’y serai pas convié. On fait bien des mystères un peu loin, sans doute une cargaison de cuivre ou d’étain, tout droit venue d’Hispanie : Carthage pourra-t-elle payer ses mercenaires ? Rien n’est moins sûr. Ces lourdes amphores que l’on embarque, je les reconnais, ce sont des salaisons de poisson, délicieuses avec du garum.
Ah, voilà un éléphant que l’on fait descendre d’un gaulos. Parlons-en, des éléphants ! Ces maudites bêtes, criblées par les Romains de traits dans l’arrière-train alors qu’on traversait l’Oreto, se sont retournées contre nous et ont semé le chaos dans nos rangs. Ce sont eux qui ont causé notre défaite, alors que mon plan de bataille était parfait. Et le suffète qui ose dire que tout est de ma faute.Voilà, c’est fini, la trière accoste, tout près de la haute porte qui mène à la ville. Il faudra que l’on construise dans l’avenir un beau port militaire tout arrondi pour accueillir dignement les soldats vainqueurs. Hélas, pour moi Hasdrubal, fils de Hanno, vaincu devant Panormos (Palerme) par le proconsul Lucius Caecilius Metellus, c’est la croix qui m’attend : « Vae victis », disent les Romains. Un dernier regard vers le port, un dernier regard vers la vie. Adieu, ma belle Carthage, j’ai rendez-vous avec Baâl-Hammon.
0 notes
Text
Abba
Boire le calice jusqu’à la lie 25/10/2024
Il disait : Abba, Père, tout est possible pour toi ; éloigne de moi cette coupe. Toutefois, non pas ce que, moi, je veux, mais ce que, toi, tu veux. Marc 14.36
Cela signifie communément aller jusqu’au bout de la souffrance, supporter le mal jusqu’à son terme. Cette expression trouve son origine dans la Bible. La coupe (ou le calice) devant être bue jusqu’au fond (la lie, c’est-à-dire le résidu du raisin) représente la colère de Dieu sur ceux qui lui désobéissent1.
Seulement, Christ est venu et a pris sur lui la colère divine envers le péché. Par son sacrifice, il a bu la coupe jusqu’au bout, pour le salut du monde. Christ étant devenu péché pour nous, pour satisfaire la justice divine, nous sommes maintenant au bénéfice de son sacrifice. Justifiés par la foi, nous sommes déclarés justes et nous échappons au châtiment éternel.
Cependant, la colère de Dieu demeure sur ceux qui lui restent rebelles. Malheureusement, au jour du jugement, ils devront « boire » cette coupe amère2.
Il est encore temps de recevoir le message de la grâce divine pour éviter de boire le calice jusqu’à la lie, puisque Christ l’a déjà fait au calvaire pour vous sauver de la colère de Dieu.
Jean-Michel Guerche
1 Esaïe 51.17 ; Apocalypse 14.9-10 et 15.7 2 Jean 3.36 ; Romains 1.18 et 2.8
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Marc, chapitre 14, versets 22 à 25 et 32 à 36.
22 Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant: Prenez, ceci est mon corps.
23 Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, et ils en burent tous.
24 Et il leur dit: Ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui est répandu pour plusieurs.
25 Je vous le dis en vérité, je ne boirai plus jamais du fruit de la vigne, jusqu'au jour où je le boirai nouveau dans le royaume de Dieu.
32 Ils allèrent ensuite dans un lieu appelé Gethsémané, et Jésus dit à ses disciples: Asseyez-vous ici, pendant que je prierai.
33 Il prit avec lui Pierre, Jacques et Jean, et il commença à éprouver de la frayeur et des angoisses.
34 Il leur dit: Mon âme est triste jusqu'à la mort; restez ici, et veillez.
35 Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta contre terre, et pria que, s'il était possible, cette heure s'éloignât de lui.
36 Il disait: Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.
0 notes