#Le jeton
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ulisesbarreiro · 6 months ago
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Le Token Mithrandir de CARDANO a son café/blockchain dans la ville de Santiago del Estero (Argentine).
C'est le premier café-blockchain organisé dans la belle ville de Santiago del Estero, et nous pouvons dire avec plaisir que fait par la communauté de Token Mithrandir de CARDANO, et avec le soutien de tous les projets qui sont au sein de la Confédération Cardano, cela marque un modèle de travail de token Mithrandir, qui a fait l'événement pour plusieurs villes en Argentine.
C'est merveilleux, parce que nous pouvons organiser plusieurs personnes qui ont déjà accès aux actifs numériques de la blockchain CARDANO, et qui vivent actuellement dans des villes qui n'ont pas de point de rencontre CARDANO. En Argentine, 95 % des événements CARDANO ont lieu dans la ville autonome de Buenos Aires, et seuls les projets qui font actuellement partie de la Confédération CARDANO sont ceux qui organisent des événements dans différentes villes du pays, comme les villes de Rosario (province de Santa Fe), Bahía Blanca (province de Buenos Aires), Olivos (province de Buenos Aires), La Florida (province de Buenos Aires), Capilla del Monte (province de Córdoba), La Cumbre (province de Córdoba), et maintenant la ville de Santiago del Estero dans la province de Santiago del Estero s'ajoute à cette belle liste.
Cela montre le caractère inclusif de Token mithrandir qui veut vraiment proclamer cette connaissance de la blockchain et de la finance décentralisée. Pour cette raison, le 27 juin, nous vous attendons au café blockchain dans le bar de l'hôtel Centro. Un hôtel renommé dans la ville de Santiago del Estero.
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lemondeabicyclette · 1 year ago
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slow va qui vers la victoire ?
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elmaxlys · 22 days ago
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Verlan et conjugaison
Suite à un débat houleux au sein de ma famille, je me permets de me tourner vers la communauté francophone de tumblr.
Prenons le verbe "tej", aussi orthographié "tèj", de "jeter". Maintenant prenons la 1ere personne du pluriel, "nous".
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empiredesimparte · 5 months ago
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°21 | Francesim, Paris, 29 Thermidor An 230
The Council of State finally approved the regency calendar, with the Empress's agreement. Napoleon V was to be more present than expected, particularly at weekends when he was not at sea with the crew. Charlotte remained bitter, but could no longer prevent the regency from taking place, given her husband's enthusiasm and the fact that the machine was already well under way.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Le conseil d'État approuve définitivement le calendrier de la régence, avec l'accord de l'impératrice. Napoléon V sera plus présent que prévu, notamment en fin de semaine, lorsqu'il ne sera pas en mer avec l'équipage. Charlotte reste amère, mais ne peut plus empêcher la régence de prendre place devant l'enthousiasme de son époux et la machine administrative échauffée.
(Napoléon) Messieurs, nous allons devoir revoir le calendrier de la régence.
(Napoléon) Il se trouve que l’Impératrice attend notre premier enfant.
(Philippe) Félicitations, Vos Majestés ! Une bonne nouvelle (Charlotte) Oui. Louis et moi sommes ravis
(Charlemagne) Mes félicitations Sire, Madame. Les Français se réjouiront de l’apprendre eux aussi (Henri) Avez-vous une idée de quand le bébé arrivera ?
(Casimir) Le docteur estime que ce sera pendant le mois de Ventôse
(Napoléon) Oui, nous aimerions l’annoncer aux Français d’ici une semaine
(Philippe) Entre la régence et le bébé, le peuple va être surpris (Charlotte) Effectivement mon cousin
(Charlotte) C’est pourquoi mon époux et moi-même pensons qu’il faut reconsidérer la régence
(Charlemagne) Je pense que nous pouvons réaménager quelque peu les études de Sa Majesté en conséquence
(Casimir) Oui, l’Empereur ne partira réellement que 6 mois en mer. Cela laisse 9 mois sur le sol français
(Casimir) Ainsi sa Majesté ne sera pas trop absente pour le bébé (Philippe) Il faudra médiatiser votre formation mon cousin, pour rassurer les Français
(Napoléon) Un reporter de la marine se chargera de cela
(Henri) Nous discuterons avec le contre-amiral pour aménager le temps libre de l’Empereur
(Henri) Il pourra assurer des devoirs et être de temps en temps à vos côtés, Charlotte
(Henri) Avec ce calcul, l’Empereur ne sera absent que pour les six premiers mois de l’enfant
(Napoléon) Est-ce que cela vous convient, ma chère ?
(Charlotte) Je n’ai d’autres choix que d’y consentir, il semblerait (Napoléon) Très bien messieurs, jetons un œil au calendrier en détail
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leschosesetlesfantomes · 2 months ago
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Parfois 11h c’est déjà trop tard
Déjà trop tard pour marcher dans la rue
Déjà trop tard pour sourire aux autres
Déjà trop tard pour prendre le bus
Déjà trop tard pour le calme que l’on cultivait soigneusement les jours d’avant.
Parfois 11h c’est déjà trop tard
Déjà trop tard pour que rien ne déborde
Pour que rien ne coule
Pour que rien ne
Dégringole.
Il reste pourtant une journée entière à parcourir
Alors fermons le cœur au-dedans
À double tour
Jetons la clé
On offre déjà nos yeux humides
On offre déjà nos mains tremblant de colère
On n’offrira pas le cœur
Car parfois, 11h, c'est déjà trop tard.
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game-of-kinks · 1 year ago
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Ton sac de jetons Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte Bon jeu !
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ascle · 5 months ago
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La lettre P
Pacane
Noix de pécan
Pain doré
Pain perdu
Palette
-> incisive
-> extrémité aplatie d’un bâton de hockey
-> visière
-> (de chocolat) tablette
-> (de bois) même définition que chez vous
Pantoute
Pas du tout, vraiment pas. (Habituez vous a celui-ci parce que vous allez l’entendre 24/7)
Paqueté
Ivre, saoul 🥴
Paqueter
Remplir
Exemples: j’ai paqueté mon char / la salle était paquetée.
Parenté
Groupe de personnes ayant un lien de parenté, famille élargie
Parlable
A qui on peut parler facilement. Facile d’approche, ouvert à la discussion.
Partisans
Supporteurs
Patente
Objet difficile à nommer ou à décrire. Un bidule. Un objet quelconque.
Patenter
Bricoler, réparer, fabriquer quelque chose avec des moyens limités
Patenteux
Bricoleur ingénieux
Patiner
Ne pas répondre aux questions, de trouver des excuses ou faire diversion.
Peinturer
Peindre un mur. (NDLR: peindre sera utilisé presque exclusivement pour décrire l’art de peindre une toile, une fresque…)
Perler
Parler avec l’accent français.
Petit bonhomme
-> terme affectueux pour s’adresser à un garçon
-> insulte s’il s’adresse à un adulte (peu utilisé)
-> (au pluriels) dessins animés
Exemple: Écoute moi ben mon p’tit bonhomme! Si mon p’tit bonhomme a envie de regarder ses p’tits bonhommes à 6h le matin c’est pas toi qui va l’empêcher s’tu clair!
Piasse / piastre
Dollars
Pichou
Personne au physique ingrat, très laid.
Picosser
Agacer, lancer des pointes
Picosseux
Quelqu’un de désagréable, qui picosse 🤣
Piler
-Poser pied, marcher sur
Pissant
Très drôle, amusant
Pissou
Peureux, craintif, lâche
Piton
Jeton, touche, bouton
Pitoune
-> (par un homme envers une femme) femme bien roulée. (Par une femme envers une femme) pétasse
-> (petite) affectueux pour une petite fille
-> tronc d’arbre qui flotte (googlez: drave. C’est super intéressant)
Placoter / placotage
-> Bavarder de choses sans importance
-> médisance, ragot, tenir des propos peu aimables
Planter
-> tomber tête première
-> cesser d’être fonctionner
Plaster
(Prononcer « plast-heure ») provient du terme anglais pour sparadrap, pansement
Plate
-> Monotone, ennuyant, barbant, désagréable
-> dommage, décevant
Exemple: Ah c’est ben plate qu’Edith a pas pu venir voir le dernier film de Gilles Lellouche. Mais bon, elle a pas manqué grand chose c’était vraiment plate. 😈
Pleumer
Perdre une couche superficielle de peau, généralement après un coup de soleil. Peler, desquamer.
Poche
-> nul, maladroit, incompétent
-> grand sac
-> scrotum
-> jeu
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Pogner
(Je viens de me rendre compte que ce mot a beaucoup trop de définitions🤣🤣. Attachez vot tuque avec d’la broche on part)
Attraper, avoir du succès, coller, comprendre, devoir, être obligé de, émouvoir, être populaire, être coincé, être timide, être victime de (contracter), prendre, recevoir, rester pris, séduire, se faire attraper, se quereller, surprendre.
(Ouf! J’pense que j’ai fait l’tour)
Poisson
Personne bernée, dupée, crédule, naïve.
Polyvalente
Lycée (cours secondaire qui dure 5 ans, entre 12 et 17 ans)
Poudrerie
Blizzard, neige emportée par le vent
Pourriel
Traduction de « spam » « Junk mail ». Il s’agit de la contraction de « pourriture électronique » et « courriel »
Présentement
Actuellement, aujourd’hui, maintenant.
Mot du jour : pied
Outre le fait de définir la partie du corps, le mot pied est utilisé dans plusieurs expressions. En voici quelques unes.
Être pied
Être maladroit, gauche, nul, mauvais.
Être bête comme ses pieds
Être brusque, impoli, grossier… Parisien quoi! 😬🤣
Se tirer dans l’pied
Se nuire
En pied de bas
Être en chaussette.
Avoir le pied pesant
Conduire vite
Se placer les pieds
Se mettre en position avantageuse
Expressions
Se paqueter la fraise
Boire (alcool) à l’excès.
Paqueter ses p’tits
Ramasser ses affaires et s’en aller
Partir comme un p’tit poulet
Mourir doucement (peu utilisé, mais trop mini)
Partir sur une balloune
-> s’enivrer, parfois durant plusieurs jours (se dit aussi: partie sur une brosse)
-> avoir une lubie soudaine
Pas de chicane dans ma cabane
On ne veut ni querelle ni engueulade dans la maison
Pas si pire
Pas si mal, pas trop mauvais
Passer dans l’beurre
Passer inaperçue, passer dans le vide, rater son coup
Pelleter dans cour du voisin
De débarrasser d’un problème en le refilant à quelqu’un d’autre.
Péter au frette
Mourir subitement
Péter d’la broue
Se vanter
Petit train va loin
C’est en prenant soin de faire les choses correctement qu’on l’assure du succès d’un projet.
Pleuvoir à boire debout
De fortes averses, pluies intenses
Prend ton gaz égal
Façon de dire à quelqu’un de se calmer.
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christian-dubuis-santini · 1 month ago
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Les faux-jetons du Canard qui usaient sans sourciller des mots de la covidlangue antivax, complotistes, etc. commencent à retourner leur couette…
Est-ce seulement parce qu’ils ont appris que ces salopards d’algorithmés du bulbe avaient commencé à "vacciner" tous les canards en leur inoculant de force leur saloperie ARNm ?
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golden20s · 2 months ago
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[ SILVER SHADOW ] 💰
Dans les rues brumeuses de Chicago, le gang Silver Shadow tisse sa toile. Sous la direction de Jooey “Big Joo” Ricca, ce groupe énigmatique excelle dans l’art du blanchiment d’argent, des jeux de hasard et des maisons closes. Leurs entreprises légitimes, telles que des laveries et des restaurants, servent de paravents à leurs activités illicites. L’argent sale se transforme en or pur, glissant entre les doigts des autorités comme du sable fin.
Les nuits de Chicago vibrent au rythme des parties de poker clandestines et des paris sportifs illégaux, orchestrés avec une précision chirurgicale. Les murmures des joueur·ses et le cliquetis des jetons résonnent dans des lieux secrets, où la chance et le destin se croisent.
La maison close du Silver Shadow, véritables palais de volupté, accueillent une clientèle triée sur le volet. Les femmes et hommes y sont traité·es avec respect et protection, mais leur loyauté envers Big Joe est absolue.
Le gang tisse également des alliances avec d’autres groupes et des politicien·nes corrompu·es, créant un réseau d’influence qui s’étend bien au-delà des ruelles sombres de la ville. Leur pouvoir est à la fois redouté et respecté. Malgré leur réputation de violence, le Silver Shadow se distingue par ses œuvres de charité dans les quartiers défavorisés, semant des graines de bienveillance parmi les habitant·es. Cette dualité entre ombre et lumière renforce leur emprise sur la ville.
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letourdumondedesdufraigne · 3 months ago
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Nous arrivons à Imsouane par les terres : un panorama à couper le souffle sur la baie s'offre à nous.
Nous avons testé le concept du "Dreamsea Surf Camp" : ce camp s'organise autour de lieux communs pour les repas et la toilette. Les hébergements sont composés de tentes berbères aménagées à l'européenne et de cabanes ouvertes sur l'océan.
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L'ambiance est très jeune et très sympa, nous sommes entourés exclusivement de surfeurs qui partagent leur activité avec la méditation et le yoga.
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A l'origine, Imsouane était un petit port de pêche actif.
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La notoriété des vagues locales et l'engouement mondial pour le surf ont fait que la cité s'est développée touristiquement avec beaucoup de chantiers d'immeubles en construction.
Nous sommes aussi allés saluer les anciens collègues de Marion au Travel Surf Marrocco, très sympas.
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Nous avons profité de cette immenses plage dans une baie magnifique entourée de montagnes.
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Les chiens sont redevenus les copains d'Olivier!!
Après 2 jours, nous quittons Imsouane pour prendre la route vers Taghazout. Les paysages vallonnés sont désertiques. Nous traversons une ville animée avec de beaux étals de fruits et de légumes. Il y a une petite bananeraie locale. Au bord de la route, il y a plusieurs campements de fortune d'où partent des fumées : ce sont des vendeurs de moules décortiquées cuites au bois...
Nous arrivons à Taghazout, ville "rue" animée et très touristique. Ici aussi les chats et les chiens errants se taillent la part belle.
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Cette petite ville sur l'océan est aussi le royaume des surfeurs. Notre GPS localise difficilement notre AirBnb...les ruelles très pentues et non entretenues posent un réel problème pour circuler. Nous finissons par frotter l'aile de la voiture contre un muret. Aïe! aïe! Aïe!
Notre location est située sur les hauteurs, dans un quartier populaire. L'environnement est très pauvre et délabré. Ce logement nous a permis d'atteindre le niveau bas de l'hygiène, du confort de nos hébergements. Nous ne pouvons pas organiser de repas dans cet espace compte tenu de l'état de la kitchenette et de la vaisselle!!
Le bord de l'océan et la rue principale sont colonisés par de petites échoppes avec beaucoup de restaurants . On se balade au milieu des fumées des grillages de poissons.
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La première nuit est très agitée parce que la "tourista" a pointé son nez ...Nous passons quand même une belle journée sur l'une immense plage, Flo récupère sous le parasol..
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Nous faisons une grande balade, de nombreuses activités s'offrent à nous, balade à cheval, à dromadaire, surf, jetski et quad.
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La seconde nuit ayant été encore très inconfortable en raison du bruit et du manque d'hygiène, nous jetons l'éponge !! Nous réservons une chambre au Riad "Les Ch'tits du Maroc" à Agadir.
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ulisesbarreiro · 11 months ago
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Token Mithrandir currency reserves strengthen
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The sound financial and logistical decisions that have been taken by the Token Mithrandir Finance team since our birth are bearing fruit, thanks to these actions we can see our Treasury grow, that is, our capital as a project and as a company in the crypto world. In this case, a debt has been cancelled, it was a credit taken at the time of the release of our MITHR token, in April 2023. The Umbriel CNFT project had then granted us a loan of 1,000 ADAs to put up as collateral, and to reinforce the birth of our MITHR token. This was a very good attitude on the part of Umbriel CNFT, since it helped the growth of this project in the MITHR Token department. 10 months later, we can return these 1000 ADAs and this LP of Collateral, which currently has a value of 2500 ADAs. Token Mithr should therefore return 2500 ADAs for this loan, but the Umbriel CNFT team donated 1500 ADAs to our Treasury, and only accepted the initial 1000 ADAs of the loan. We appreciate this gesture, because like all start-up projects in the crypto world, from the bottom up, finances are limited.
This attitude of Umbriel CNFT is very noble, and it is worthy of the CARDANO community, since in this case Umbriel CNFT is in the ethical values that not all crypto projects have. Many thanks to the Umbriel CNFT team for this help.
Ulises Barreiro CEO of Token Mithrandir
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sh0esuke · 11 months ago
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" Oasis "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Desert King Sir Crocodile.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Crocodile était puissant dans tous les sens du terme, que ce soit de part le fruit du démon, le Suna Suna no Mi, qu'il avait mangé lui conférant ainsi les pouvoirs d'un homme sable ou son charisme et intelligence qui lui permirent de créer une organisation criminelle redoutée de tous, le Grand Corsaire s'en sortait à merveille. Il gérait son entreprise d'une main de fer, veillant à ce que son nom ne soit que rarement cité ainsi que ceux de ses employés. Certains ne furent même jamais découverts. Mister 1 n'était pas l'unique exemple, de même pour Mister 2, il existait tant d'autres agents qui agissaient dans l'ombre, et, sans surprise, Crocodile avait ses favoris. Ceux-ci se faisaient d'autant plus discrets. L'un d'entre eux n'avait jamais vraiment fait parler d'elle, si Crocodile aurait dû la décrire utiliser l'adjectif : agent fantôme aurait été le plus approprié. Et pour cause, grâce à ses attributs physiques, elle ne laissait jamais rien sur son passage, son efficacité n'avait aucun égal. Et, aux yeux du Grand Corsaire -qui n'étaient peut-être pas aussi objectifs qu'il l'aurait cru- sa présence lui était indispensable.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟓𝟖𝟗.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Rain Dinners, comme à son habitude, prospérait. Malgré l'heure tardive, la lune brillant haut dans le ciel, les clients provenant des quatre coins du nouveau monde affluaient avec une vigueur consternante. Les temps n'étaient pas aux problèmes financiers et psychologiques mais plutôt à l'amusement et à l'argent, il était question de jouer à en avoir des ampoules au bout des doigts, à boire quitte à se mettre trembler et chuter, de draguer et de fanfaronner. Ça, les habitants et vacanciers de Rainbase l'avaient bien compris. Voilà pourquoi, au lieu de rester chez eux et de jouir de leurs biens déjà acquis, ils s'étaient tous réfugiés dans cette pyramide à l'aspect alléchante et perdus parmi des montagnes de jetons et de machines.
Le bruit incessants de ceux-ci brisait les tympans des employés, pourtant habitués à ce boucan infernal, beaucoup étaient étourdis, la vue trouble et le corps couvert de sueur. Ils restèrent professionnels. Le lieu était réputé non seulement pour ses divertissements inégalables, mais aussi son service irréprochable.
Malgré l'absence du patron dans la salle principale, les employés ne purent souffler, sentant les quatre coins du casino les écouter et épier leurs moindres mouvements. Ils se résolurent à afficher leur plus joli sourire et à obéir au doigt et à l'œil des consommateurs. Ils guidaient des clients perdus, rendaient services en en rafraichissant certain ou s'occupait de superviser des parties de poker.
Et si le Grand Corsaire manquait à l'appel, c'était tout simplement parce qu'il était occupé ailleurs, vagabondant dans les couloirs souterrains du QG de son organisation secrète. Crocodile était seul, livré à lui-même.
Pas de Nico Robin en vue, pas de membre de Baroque Works traînant dans les parages, l'endroit était désert. Seul le bruit des Banana-crocos flottant sur sa droite, sa gauche, sous ses pieds ainsi qu'au dessus de sa tête rythmait le bruit de ses pas. Crocodile ne les regardait pas. Leur taille était pourtant impressionnante, un seul coup d'œil aurait suffit à pétrifier une armée entière. Leur couleur verte marais contrastait avec le bleuté de l'eau dans lequel ils résidaient. Les Banana-crocos imitaient Crocodile, néanmoins, pas pour les mêmes raisons. Car tandis que le Grand Corsaire les ignorait par pure lassitude, les créatures marines, quant à elles, cherchaient à l'éviter le plus possible. Non pas en se reculant de lui et en le fuyant ⸺cela aurait attisé sa colère⸺ mais en détournant constamment le regard et en faisant mine de ne pas l'avoir remarqué.
Cet accord durait depuis déjà un an.
Crocodile les nourrissait, faisait nettoyer et leur eau quotidiennement, tout ça pour qu'en retour, ils lui servent de décoration. Et les créatures ⸺pourtant à la force physique monumentale et à l'appétit monstrueux⸺ s'en réjouissaient.
Crocodile continua donc d'avancer. Il ne regarda rien d'autre que le bout du couloir, accompagné par le son de ses mocassins encontrant le sol marbré. L'échos résonnait profondément contre le verre, il semblait sans fin, s'éloignant mais ne disparaissant point. Sa silhouette camouflée sous son épais manteau de fourrure paraissait immense. Son torse l'était tout autant. Crocodile n'était pas seulement imposant, il était aussi grand. À marcher ainsi dans le couloir souterrain, l'aura qui se dégageait de lui fut écrasante. Son expression dure n'aidait pas, elle accentuait le tout, formant un lot effrayant chassant quiconque aurait eu l'audace de s'approcher de lui.
Lorsque l'échos d'un rire cristallin parvint à ses oreilles cela changea du tout au tout. Crocodile fronça les sourcils. Il serra les dents et zieuta la grande porte boisée présentée devant lui.
Autour de lui, des plantes et tableaux servaient de décoration. Cette partie du couloir, c'est-à-dire sa fin, étaient composée de murs, d'un sol et d'un véritable toit. La séparation entre verre et construction solide n'était pas caché derrière de quelconques artifices, elle était bel et bien visible juste derrière lui. Crocodile ne s'y attarda point. Il zieutait les décorations le temps de se préparer mentalement, prenant compte de l'assèchement d'une quelques verdures, avant de poser sa main sur la poignée. Il l'abaissa et ouvrit la porte.
Un éclat de lumière l'aveugla. Puis, le même rire cristallin se fraya un chemin jusqu'à ses oreilles.
Le Grand Corsaire referma la porte derrière lui le temps d'habituer ses yeux meurtris. Il grogna dans sa barbe, les yeux plissés et le corps rigide.
« Je t'avais bien dit que tu n'allais pas aimer, Hector. Pourquoi tu ne m'écoutes donc jamais ? »
Le ton joueur de la voix résonnait dans la pièce immense et vide. En réponse, le grognement d'une bête s'éleva, et, un troisième rire survint.
« Tu es têtu ! Non, je t'en redonne pas ! »
Lorsque Crocodile rouvrit les yeux, il la vit. La langue pendue, les paupières fermées et la peau brillante. Ce fut la première chose qu'il remarqua.
La sirène se tenait devant un immense banana-croco, défiant la créature avec malice. Auprès de ses clavicules nues, elle serrait un panier d'algues odorantes et raffermit sa prise dessus en entendant la créature geindre. Le monstre était si gigantesque qu'il la surplombait et lui faisait de l'ombre. Cependant, elle ne semblait pas le moins du monde effrayée. Au contraire.
Le sourire gravé sur ses jolies lèvres pulpeuses en était le témoin.
La pièce était ronde. Au plafond, des plaques de lumière illuminaient l'endroit. Peut-être un peu trop d'ailleurs, en vue du temps de réaction qu'il fallut au Grand Corsaire pour s'y habituer. Les lumières n'étaient pas tamisées. Elles étaient d'un blanc pur, se mariant avec les murs de la même couleur, décorés par des éclats de dorure et des reliefs de style royal. Le sol en marbre clair reflétait les lumières qui rebondissaient déjà sur les murs. Le tout était parfaitement harmonieux, majestueux. La pièce était grande, avec au milieu, un bassin menant à la demeure des Banana-crocos, et, sur ses contours, quelques meubles, fauteuils, plantes et bibliothèques comblaient le vide. Il n'y avait ni salle de bain, ni cuisine ou chambre, l'endroit n'existait que pour la satisfaction personnelle du Grand Corsaire.
Et il n'y avait aussi pas d'autre porte.
La pièce était sans issue outre celle derrière le pirate, le bassin était effectivement une option, mais ne menant pas vraiment quelque part -outre l'aquarium des Banana-crocos-, la question ne se posait pas.
Satisfait par sa petite observation, Crocodile contourna le bassin pour rejoindre la sirène assise sur le bord à gauche. Sa queue était plongée sous l'eau, mais son bassin était assis. Elle posa son panier à côté d'elle et éclaboussa gentiment la créature devant elle.
Le banana-croco prenait presque toute la place dans le bassin, sans parler de son immense taille qui lui faisait entrer en contact avec le plafond. Sans sa peau d'écailles aussi dure que du métal, son épiderme aurait brûlé depuis longtemps. Aucun d'entre eux ne remarqua la présence du Grand Corsaire. Les deux amis continuèrent de chahuter ⸺l'un grognant et l'autre riant⸺ jusqu'à ce que le bruit des pas du pirate furent suffisamment proche pour se faire remarquer.
La sirène ne le comprit pas immédiatement, bien trop prise dans son fou-rire, cependant, le banana-croco, lui, ne fut pas aussi chanceux.
Croisant le regard las du Grand Corsaire, l'animal se pétrifia sur place. Ses yeux s'écarquillèrent. Sa gueule s'ouvrit, laissant un bruit mixé entre la terreur et l'appréhension lui échapper. Crocodile s'arrêta alors de marcher, à trois mètres d'eux, et fit un rapide geste de la main en direction du bassin. Le banana-croco fut incapable de réagir. Son cœur battait à la chamade. Malgré le fait que cela soit physiquement impossible, il suait même à grosses gouttes. Il fut incapable de comprendre ce que cherchait à dire le noiraud, soudain devenu comme sourd. Ses grosses pattes furent prises de secousses. Et, au moment où le Grand Corsaire prit la parole, son corps sursauta.
« Disparais. »
Le Banana-croco prit ses jambes à son cou. Il fuit, se cognant la tête contre le plafond de lumières au passage, et éclaboussant la jolie sirène. Le bassin fut pris de secousses, de l'eau atterrit sur ses contours et le bruit que cela provoque sortit la demoiselle de sa transe. Étourdie, elle regarda autour d'elle.
« Oh ! C'est vous ! »
Crocodile s'accroupit devant elle.
Il posa son crochet sur son genoux et la dévisagea avec intrigue.
« Qu'est-ce que tu fais à converser toute seule, hein ? »
La sirène arqua un sourcil. Elle se rapprocha de lui tandis qu'il levait sa main dans sa direction. Le Grand Corsaire replaça une mèche de ses cheveux trempé derrière son oreille, celle-ci ayant été secouée par le Banana-croco qui l'avait trempée. La sirène frissonna au contact de sa peau rugueuse et chaude. Elle poussa un doux soupir d'aise et ferma les yeux.
« Je n'étais pas seule. »
Sa contestation affirmée, elle les rouvrit.
« J'étais avec mon ami Herbert. »
« Et qu'est-ce qu'il te voulait ? »
« Mon repas.. » elle avoua dans une mine renfrognée.
« C'est fâcheux, ça. »
« N'est-ce pas ! Ce sont mes algues... »
La sirène argumenta ses propos en plongeant une de ses mains dans son panier posé au sol et en en saisissant une ferme poignée. Elle la fourra vigoureusement entre ses lèvres. Une fois sa bouchée avalée, elle plissa les yeux. Elle affirma un air déterminé sur les jolis traits de son visage, les sourcils froncés et la bouche tirée en une grimace.
Quelques gouttes provenant de son repas étaient coincées entre ses lèvres. Celles-ci perlèrent le long de son visage jusqu'à atterrir entre ses seins. Ceux-ci aucunement habillés ⸺outre les écailles gravées à la place de ses tétons⸺, se retrouvèrent trempés. Les perles salées roulèrent jusqu'à toucher sa queue et se mêler parmi ces mêmes écailles de couleur vert pâle.
Crocodile se chargea de passer son pouce sur son menton, récoltant le jus et l'apportant à ses propres lèvres. Il ignora son cigare fumant et grimaça.
« Infect.. » il maugréa.
La sirène apporta soudain ses poings sous son menton et questionna du regard le pirate. Elle lui fit plutôt les yeux doux, mais cela passa inaperçu.
« Qu'est-ce qui vous amène ici, monsieur Crocodile ? »
« J'aimerais que tu me rendes un service. »
La demoiselle hocha vigoureusement la tête.
« Entendu, tout ce que vous voudrez. » s'empressa-t-elle de répondre.
Crocodile relâcha le visage de la jolie créature pour extirper un bout de papier de son costume. Plié et coincé entre son index et majeur, il le lui tendit. La sirène le réceptionna et vérifia son contenu pendant que le pirate reprit la parole.
« Miss Father's Day et Mister six se chargeront de te fournir la bombe une fois arrivée à destination. »
Elle leva les yeux dans sa direction.
« Je dois faire sauter un navire ? »
« Tu comprends vite. »
La sirène rangea le morceau de papier auprès de ses algues, presque immédiatement, celui-ci se retrouva gorgé de jus. À présent, il était illisible. La demoiselle ne s'en préoccupa point, elle était bien trop intéressée par l'homme devant elle pour jeter son dévolu sur de simples écritures qu'elle avait déjà mémorisé dans son esprit. Depuis sa venue, son sourire n'avait pas fané, il était rêveur, enjôleur, transpirant l'amour et l'intérêt qu'elle lui portait. Crocodile n'y était pas immunisé, malgré son air indifférent, le fait qu'il reste aussi proche d'elle et qu'il se permette de la toucher en disait beaucoup.
« Le roi Cobra a demandé à un royaume voisin de les épauler, tu comprends bien qu'on peut pas se le permettre. » argumenta le Grand Corsaire. « Ça serait dommage que nos efforts soient réduits à néant après tout ce temps. »
« Oui, je comprends. »
« Je n'en attendais pas moins de toi. »
« Est-ce que.. »
D'un ton hésitant, la sirène frappa le bord de l'eau de sa nageoire. Ce geste nerveux fit arquer un sourcil au pirate. Elle chercha à le fuir du regard, mais elle se retrouva immédiatement tirée de nouveau dans sa direction. Elle n'était pas en mesure de lui résister. Elle serra les poings sur sa nageoire, plissa ses lèvres en une fine ligne et déglutit. La question lui brûlait les lèvres. Voilà des jours qu'elle y réfléchissait, voilà des mois qu'elle hésitait. Plus que tout au monde elle le désirait, néanmoins, face à lui, elle perdait tous ses moyens. Incapable de soutenir l'intensité de son regard, écrasée par son aura imposante, elle sentit son organe vital s'emballer. Des papillons se mirent à virevolter dans son bas ventre et en réponse, sa queue s'excita davantage. De l'eau éclaboussa la tempe de Crocodile, la sirène regretta immédiatement.
« Qu'est-ce que tu as ? » demanda-t-il.
« Je me demandais si... »
Sa main s'agrippa à son avant-bras. La sirène planta d'un geste désespérément ses ongles couvert d'un vert métallisé dans sa chemise et se rapprocha de lui.
« Si vous accepteriez de voir un coucher de soleil avec moi. »
Crocodile fronça les sourcils. Sa confusion se traduisit par de la contrariété aux yeux de la demoiselle. Celle-ci commença alors à paniquer.
« Pas aujourd'hui, bien évidemment ! Ma mission est de la plus haute importance, j'en suis consciente ! » affirma-t-elle. « Mais je me disais, pourquoi pas après ? Je sais que vous êtes un homme prit et demandé, mais ce serait juste pour un soir.. Un seul. »
« Tu veux.. »
Crocodile posa sa main sur la sienne.
« Tu me fais du rentre-dedans ? » s'étonna-t-il.
« Quoi ? »
La mine de ma sirène s'illumina sous la confusion. Elle contempla le Grand Corsaire avec pure intrigue, comme si ses paroles étaient dans une autre langue.
« Non. Je.. Juste... »
Elle inspira profondément, cherchant à ignorer le contact physique entre leur main. Ses efforts furent en vain. Il lui était impossible de passer outre son eau de cologne et de la chaleur provenant de sa main déposée sur la sienne. C'était bien trop divin. Ses pupilles perdues dans ses yeux, leur corps si proche, la sirène n'était pas en position de feindre l'indifférence.
« Je sais que c'est contre l'organisation, je sais que mes sentiments ne sont peut-être pas réciproques. Oh, il est tout autant possible que mon aveux causera ma perte, mais je mourrais sans regret. »
La sirène sandwicha la main du noiraud entre les siennes et l'apporta entre ses seins. Sa peau humide contrastait avec la sienne sèche. Elle était rugueuse et puissante, tout le contraire de la sienne. Ses doigts fins et délicats s'entremêlèrent aux siens. La sirène tentait le tout pour le tout, persuadée qu'après cet acte suicidaire, Crocodile ne lui offrirait pas une seconde fois la même opportunité.
« Mon cœur bat pour vous, monsieur. »
Crocodile grogna contre son cigare. De sa main libre, il le saisit et expira un nuage de fumée entre leur visage.
« Je doute que ce soit de l'amour. »
« Oh ? »
Face à l'air consterné de la sirène, il retroussa son nez et mordit l'extrémité de son cigare, le fourrant de nouveau entre ses dents.
« Tu es juste effrayée. » observa-t-il. « Tu confonds ces battements paniqués par de l'amour, mais, en vérité, tu me crains. »
Vigoureusement, la sirène contesta.
« Je sais faire la différence. » elle affirma.
« Peux-tu ? »
« Ne ressentez-vous donc pas la même chose ? Lorsque je vous aperçois, c'est un sentiment bien plus agréable que la terreur qui m'emporte. J'aime être auprès de vous. Je ferai n'importe quoi pour vous satisfaire. »
Sur ce point là, Crocodile fut incapable de la contredire.
Depuis qu'il l'avait recrutée, la sirène s'était montrée irréprochable. Elle n'avait pas hésité à trahir ses compagnons, punir les traîtres et les peureux qui, au bout de quelques jours, avaient cherché à fuir l'organisation. Elle exécutait ses missions avec un professionnalisme déconcertant, comme si sa propre vie en dépendait. Et peut-être que c'était le cas. Pas une seule fois ne l'avait-elle déçu ou avait-elle osé lui manquer de respect. Même en cet instant, alors qu'elle le contemplait avec amour et admiration, Crocodile se sentait incapable de trouver quoique ce soit à redire. Elle était d'ailleurs bien trop divine pour cela soit le cas. Un couteau à la main, tachée de sang, il l'aurait sûrement tout autant défendue. L'éclat pétillant dans son regard suffisait à l'innocenter, que ce soit auprès des autorités que de lui.
Crocodile reprit ses esprits en sentant la sirène presser sa main un peu plus profondément dans sa poitrine. Ce geste désespéré fut accompagnée par son expression du visage tiraillé par l'appréhension.
« Vous ai-je contrarié ? » elle chuchota.
Crocodile secoua la tête.
« Qu'est-ce que tu trouves de si intéressant dans un coucher de soleil ? » il marmonna, les sourcils froncés.
« Oh ! »
Presque immédiatement, son dos se redressa et son regard se mit à briller.
« Tout ! Absolument tout ! » s'exclama-t-elle. « Depuis que je suis enfant, ma mère m'a toujours interdit d'aller à la surface pour l'admirer. Elle me disait que de méchants humains risquaient de m'enlever et de me vendre. Alors, j'ai obéi et je suis restée cachée en bas, loin de votre monde. »
Plus elle parlait, et plus sa prise sur sa main se raffermit. Crocodile ne l'entendait pas que dans le ton de sa voix, mais aussi dans ses yeux, ce grain et éclat d'excitation lui faisaient beaucoup d'effet. Crocodile se sentait submergé par un flot de sentiments inconnus, une agréable chaleur s'empara de son organe vital, il ne put y échapper.
« Je l'ai déjà vu une centaine de fois. » avoua-t-elle. « Je ne m'en lasse jamais. »
« Alors pourquoi me demander de t'accompagner ? C'est une perte de temps. »
« Parce que... »
Elle se racla la gorge. La demoiselle détourna un petit instant le regard, fébrile et perplexe. Elle se reprit en sentant les doigts de Crocodile se crisper. Ils bougèrent finement, cela suffit à attirer son attention et à la faire le regarder de nouveau.
« Parce que j'aimerais passer ce moment à vos côtés. »
Son aveux fut accompagné par les battements affolés de son cœur. Sa peau en palpitait presque, notamment l'endroit où sa jugulaire se trouvait.
« Je suis consciente que c'est déplacé, mais⸺ Je... Je le veux. Du plus profond de mon cœur. »
Crocodile ne répondit point. Il retira sa main de son emprise et se redressa tranquillement. La sirène le dévisagea avec angoisse. Elle pressa ses mains contre sa poitrine et déglutit. Le pirate agissait avec une désinvolture terrifiante. Il semblait indifférent à sa confession, comme habitué. Comme si le fait qu'une femme se jette à ses pieds n'était pas nouveau. Cette pensée chagrina immensément la jolie créature.
« Monsieur..? »
Crocodile marcha en direction des deux grandes portes de la pièce. Dos à la sirène, il ne se retourna point.
La demoiselle baissa alors la tête.
Son cœur se brisa en mille morceaux, les éclats tombèrent dans son bas ventre, blessant les papillons qui s'y étaient précédemment tenus. Elle passa ses bras autour de son estomac, les yeux larmoyants, sa lèvre inférieure avait commencé à trembler. La sirène se laissa glisser dans le bassin, ravagée par un sentiment d'embarras profond qu'elle chercha désespérément à fuir à travers la noyade. Elle y tomba de manière à avoir la moitié de son corps englouti, jusqu'à son décolleté. Ses mains saisirent le panier à algues que l'ont lui avait servi, elle l'emporta avec elle le regard fuyant, incapable de regarder son employeur plus longtemps. Toutefois, lorsque celui-ci reprit la parole, toujours dos à elle, sa tête fit volte-face dans sa direction.
« Reviens me voir une fois ta mission terminée. »
Crocodile poussa les deux portes. Il les ouvrit avec nonchalance.
« Je connais un endroit où tu pourras admirer un lever de soleil qui en vaut la peine. »
La sirène hoqueta.
« Mon⸺ Monsieur ? »
Son cœur se gonfla d'amour. Ses yeux s'étaient ouvert en grand, et ses lèvres s'étaient séparées dans une grimace. La sirène ne sut trouver une réponse suffisamment convaincante à lui donner, elle était bien trop surprise par ses paroles. Le ton de sa voix grave paraissait toujours aussi lasse et détachée, mais ses propos l'avaient touché en pleine poitrine. C'était comme si une flèche l'avait transpercée. Elle en avait mal. Elle souffrait monstrueusement, ce nouveau sentiment logé au centre de son être l'avait propulsée haut dans les nuages, et à présent, elle se sentait incapable d'en redescendre. Elle ne le voulait pas.
Crocodile la rappela à l'ordre en prononçant son nom de code.
« Je me suis fais comprendre ? »
Immédiatement, la sirène plaqua sa main contre son front, à l'instar d'un salut militaire, et s'exclama :
« Oui, monsieur. Je ne vous décevrai pas ! »
Le pirate esquissa un sourire satisfait avant de quitter la pièce. Il ne dit rien de plus, laissant les portes se refermer derrière lui et ainsi plonger la pièce dans un lourd silence pesant. La sirène attendit une poignée de secondes. Elle eût serré le panier si fort contre sa poitrine qu'il s'était plié en d'eux, à peine sur le point de se briser, elle le lança dans les airs et plongea dans le bassin. Elle rejoignit l'immense aquarium du Rain Dinners, à la recherche de Banana-crocos.
« Herbert ! Mon Dieu, Herbert, tu ne vas jamais croire ce qu'il vient de se passer ! »
La demoiselle laissa le panier tomber à l'eau et sombrer dans les tréfonds de l'endroit. Elle ne lui jeta pas même un seul regard coupable. Celui-ci fut rapidement avalé par un banana-croco flottant aux alentours, les algues furent incapables de fuir, tout comme le petit morceau de papier avec. Toute trace de la culpabilité de la jeune femme disparut avec. Celle-ci n'était, en cet instant, pas un membre précieux de l'organisation de Baroque Works, mais plutôt une simple créature maritime amoureuse. Follement éprise d'un homme à l'allure bienveillante.
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kohohohala · 4 months ago
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2/2
Nous concluons l'Alhambra par le palais Généralife et ses jardins.
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De retour dans la Basse-Ville, nous errons notamment dans le quartier arabe. Nous voici presque revenus un an plus tôt...
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Enfin, nous jetons un œil à la cathédrale et surtout à la basilique San Juan de Dios et son atmosphère baroque, dorée et ultra-chargée.
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Tout ça mérite bien un dernier petit coucher de soleil, en direct de notre terrasse, sur les toits de la ville.
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Ce soir nous ressentons bien la fatigue dans nos jambes et vivement la rentrée qu'on puisse se reposer un peu...
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21/08
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culturefrancaise · 5 months ago
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Il y a des militaires armés devant la mairie de ma ville et ça me fout les jetons.
On est pas à Paris ici... Pourquoi ils ont été déployés ?
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bluecatsrage · 5 months ago
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Je reconnais la mouche dans du lait,
Je reconnais à son habit, tout homme,
Je reconnais le beau temps du mauvais,
Je reconnais au pommier chaque pomme,
Je reconnais l’arbre en voyant sa gomme,
Je reconnais lorsque tout est le même,
Je reconnais qui travaille et qui chôme,
Je connais tout, hormis moi-même.
Je reconnais le pourpoint au collet,
Je reconnais le moine à ces haillons,
Je reconnais le maître à son valet,
Je reconnais à son voile la nonne,
Je reconnais un jeune qui jargonne,
Je reconnais les fous nourris de crème,
Je reconnais le bon vin à la tonne,
Je connais tout, hormis moi-même.
Je reconnais un cheval d’un mulet,
Je reconnais leur charge de leur somme,
Je reconnais Béatrice et Belet,
Je reconnais le jeton à la somme,
Je reconnais le sommeil et le somme,
Je reconnais la faute des Bohèmes,
Je reconnais la puissance de Rome,
Je connais tout, hormis moi-même.
Oui, Prince, je reconnais tout en somme,
Je reconnais des colorés des blêmes,
Je reconnais la mort qui tout consomme,
Je connais tout, hormis moi-même.
- François villon
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uhadpromisedd · 3 months ago
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j'ai le droit à un jeton si ça fait 1 jour que j'ai pas bu d'alcool ?
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