#Le jeton
Explore tagged Tumblr posts
lemondeabicyclette · 1 year ago
Text
Tumblr media
slow va qui vers la victoire ?
1 note · View note
hidekomoon · 3 months ago
Text
j'adore la façon dont la traduction française décrédibilise totalement la cryptomonnaie, les tokens c'est des JETONS. pour les cryptobros c'est l'équivalent de la poule aux oeufs d'or mais en fait t'as l'impression qu'ils te parlent du truc que tu mets dans le caddie chez carrefour
97 notes · View notes
empiredesimparte · 8 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°21 | Francesim, Paris, 29 Thermidor An 230
The Council of State finally approved the regency calendar, with the Empress's agreement. Napoleon V was to be more present than expected, particularly at weekends when he was not at sea with the crew. Charlotte remained bitter, but could no longer prevent the regency from taking place, given her husband's enthusiasm and the fact that the machine was already well under way.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Le conseil d'État approuve définitivement le calendrier de la régence, avec l'accord de l'impératrice. Napoléon V sera plus présent que prévu, notamment en fin de semaine, lorsqu'il ne sera pas en mer avec l'équipage. Charlotte reste amère, mais ne peut plus empêcher la régence de prendre place devant l'enthousiasme de son époux et la machine administrative échauffée.
(Napoléon) Messieurs, nous allons devoir revoir le calendrier de la régence.
(Napoléon) Il se trouve que l’Impératrice attend notre premier enfant.
(Philippe) Félicitations, Vos Majestés ! Une bonne nouvelle (Charlotte) Oui. Louis et moi sommes ravis
(Charlemagne) Mes félicitations Sire, Madame. Les Français se réjouiront de l’apprendre eux aussi (Henri) Avez-vous une idée de quand le bébé arrivera ?
(Casimir) Le docteur estime que ce sera pendant le mois de Ventôse
(Napoléon) Oui, nous aimerions l’annoncer aux Français d’ici une semaine
(Philippe) Entre la régence et le bébé, le peuple va être surpris (Charlotte) Effectivement mon cousin
(Charlotte) C’est pourquoi mon époux et moi-même pensons qu’il faut reconsidérer la régence
(Charlemagne) Je pense que nous pouvons réaménager quelque peu les études de Sa Majesté en conséquence
(Casimir) Oui, l’Empereur ne partira réellement que 6 mois en mer. Cela laisse 9 mois sur le sol français
(Casimir) Ainsi sa Majesté ne sera pas trop absente pour le bébé (Philippe) Il faudra médiatiser votre formation mon cousin, pour rassurer les Français
(Napoléon) Un reporter de la marine se chargera de cela
(Henri) Nous discuterons avec le contre-amiral pour aménager le temps libre de l’Empereur
(Henri) Il pourra assurer des devoirs et être de temps en temps à vos côtés, Charlotte
(Henri) Avec ce calcul, l’Empereur ne sera absent que pour les six premiers mois de l’enfant
(Napoléon) Est-ce que cela vous convient, ma chère ?
(Charlotte) Je n’ai d’autres choix que d’y consentir, il semblerait (Napoléon) Très bien messieurs, jetons un œil au calendrier en détail
43 notes · View notes
chicinsilk · 3 months ago
Text
Tumblr media
US Vogue January 1952
Suzy Parker wears a chalk blue linen dress with pearl poker chip buttons. The tabs at the collar give a bolero effect; the skirt, stiffly lined and turned down on each side, has an apron look. By Harvey Berin in Irish linen. Rosette Pennington.
Suzy Parker porte une robe en lin bleu craie avec boutons en forme de jeton de poker en perles. Les pattes au niveau du col donnent un effet boléro ; la jupe, doublée de manière rigide et rabattue de chaque côté, a un aspect tablier. Par Harvey Berin en lin irlandais. Rosette Pennington.
Photo Clifford Coffin vogue archive
21 notes · View notes
leschosesetlesfantomes · 6 months ago
Text
Parfois 11h c’est déjà trop tard Déjà trop tard pour marcher dans la rue Déjà trop tard pour sourire aux autres Déjà trop tard pour prendre le bus Déjà trop tard pour le calme que l’on cultivait soigneusement les jours d’avant.
Parfois 11h c’est déjà trop tard Déjà trop tard pour que rien ne déborde Pour que rien ne coule Pour que rien ne Dégringole.
Il reste pourtant une journée entière à parcourir Alors fermons le cœur au-dedans À double tour Jetons la clé
On offre déjà nos yeux humides On offre déjà nos mains tremblant de colère On n’offrira pas le cœur Car parfois, 11h, c'est déjà trop tard.
22 notes · View notes
camisoledadparis · 4 months ago
Text
saga: Soumission & Domination 363
L'effervescence règne à la villa. On se prépare pour la soirée. Epilation toute fraiche, massage respectifs de nos corps avec un hydratant qui nous laisse la peau soyeuse, rasage pour ceux qui en ont besoin, bref on se fait tous beaux.
Marc et Hervé nous regardent d'un oeil goguenard. Jusqu'à ce qu'on s'occupe de leurs cas !  Séparés en deux groupes, nous leur sautons dessus et les immobilisons. Là, ils ont droit à la même préparation que nous, pipe en plus (histoire de se faire pardonner). Au sortir du même régime, ils nous paraissent encore plus canon nos deux quadras. C'est tout juste s'ils font la 30aine dépassée.
Le plus dur, les vêtements. Paco qui connait bien la boite nous dit que nous serons en maillot de bain très vite surtout avec nos physiques de bogosses.
A lui aussi je demande de se préparer car y'a pas de raison qu'il ne nous accompagne pas lui aussi. Dans un premier temps il refuse, argumente qu'il aura plein de rangements à faire après le diner. J'envoie Jesus lui faire des yeux de chat malheureux pour avoir son acceptation. Donc retour au choix des maillots. Pour moi ce sera un Aussiebum un " Lowrider Flower Power ". L'élasthanne présent épouse bien la forme de mon paquet et il est très " court " sur les fesses ! PH et Ludovic optent pour  un ES " Barcelona marin " rouge pour l'un et bleu pour l'autre. Ernesto se prend un Addicted de la dernière collection un " sport sailor " pour être en accord avec mes deux autres amours, auquel il a enlevé le mécanisme pack up, ses 24x6 même au repos restent très " visibles " ! La triplette opte pour le même maillot Aussiebum le " League 15 " blanc. Les autres s'équipent aussi " cute ", même nos deux ainés qui enfilent un boxer.
Un jeans plus un marcel et nous descendons à pied. La station est plein de beaux mecs. Notre groupe se fait siffler plus d'une fois avant que nous arrivions à la boite. A la porte un des mecs qui nous avaient " racolés " sur la plage est au tri ! Il nous repère même si nous sommes plus nombreux. Il nous laisse entrer et fait un signe de tête à Paco quand ce dernier passe devant lui. Il me dira plus tard (le mec de la boite) que Paco était assez connu sur la place ! Nous laissons tomber très vite les t-shirt et torses nus, nous nous jetons dans la foule de mec en train de danser. La musique est forte, l'ambiance chaude. Je mate autour de moi. En dehors de la " villa ", il n'y a que du beau mec ! Physiquement pas plus de 30ans musclés bronzé, avec ou sans barbe mais tous baisables !! Les pantalons tombent des fesses même s'ils n'en cachaient pas grand-chose déjà. Les maillots sont pleins et certains ont du mal à tout retenir de ce que leurs propriétaires veulent cacher. Nos deux ibères sont dans cet état. Moi je me retiens encore malgré les nombreuses mains sur mes fesses qui essayent de baisser mon jeans ! Ludovic et Enguerrand sont quand même les plus canons et eux aussi sont collés et appréciés à leurs justes valeurs. Ernesto comme PH et nos deux ainés surveillent notre triplette. Pas question que leur " fraîcheur" ne soit exploitée.
Paco vient me voir alors que je suis en " surveillance " de mon petit monde pour me prévenir qu'il a fait ce qu'il fallait pour que nos jeunes soient en sécurité. Comme je ne comprends pas, il me dit qu'il a fait passer le mot aux mecs de la sécurité pour qu'ils ne leur arrivent rien de fâcheux. Il me désigne discrètement les types. A part les " officiels " reconnaissable, il m'en montre une demi-douzaine d'autre qu'on aurait pu prendre pour des usagers. Un qui me voit en train de parler avec Paco me fait un signe de tête.
Du coup je me lâche. Je rentre dans la mêlée joue des coudes pour m'installer et danse. Mes amours me rejoignent et dans l'ambiance nous n'hésitons pas à nous rouler des pelles. Quand je jette un coup d'oeil panoramique, je vois Marc coller un petit mec mimi tout comme Hervé. Les petits sont toujours ensemble et s'éclatent à l'autre bout de la piste. Alors que je vais pour repartir dans mon trip, j'aperçois un des " sécurités " en civil (càd en maillot de bain) choper un mec plus âgé qui collait un peu trop nos jeunes et le dégager.
En attendant moi je me fais draguer par un mec qu'on croirait sorti d'un film de BelAmi type Kris Evans. Grand, gueule carrée, musclé, imberbe avec un maillot déformé par un paquet volumineux et pesant. Tentant non ?! Ben oui, je suis humain et je me laisse tenter. Ernesto me voit partir avec le mec vers des fauteuils. Il tombe dessus et m'entraine avec lui. J'essaye de me retenir mais je glisse et lui tombe tout cru dans les bras. Pelle ! Langue encore fraîche, impérieuse dans sa façon de vouloir enrouler la mienne. Je ne me laisse pas faire, on est du même gabarit ! Mes mains palpent ses pecs qu'il contracte. Belles masses aux gros tétons sensibles. Comme je suis couché sur lui, mes abdos m'annoncent son érection et l'amplitude de cette dernière. A vue de " peau ", il doit faire dans les 21/22 bien larges au moins 6 ! Tout ce que j'aime chez un type avec qui baiser !! Mais c'est encore un peu tôt. On retourne sur la piste et nous dansons collés, très collés. De nos bouches grandes ouvertes afin de pouvoir gouter la langue de l'autre jusqu'à nos cuisses, on n'aurait pas pu glisser entre nous une feuille de papier à cigarette !! Caliente !! Il connait bien la boite et nous isole dans un recoin. Nos bites en profitent pour sortir de leurs écrins et c'est lui le premier à s'accroupir pour me la bouffer. Il devait être affamé, quoi qu'avec son physique je ne vois pas comment ça se pourrait, car il me l'avale jusqu'aux couilles. Il me donne l'effet d'un mort de faim tellement il met de l'entrain à me bouffer la queue. Mon gland ne sort de sa gorge que pour les respirations que je trouve très espacées ! Mes mains se posent naturellement sur ses épaules et massent ses trapèzes balèzes et descendent titiller ses tétons sûrement travaillé vu leurs tailles. En pinçant les deux " boutons ", je le tire vers le haut et on repart en pelle juste le temps que j'attrape sa bite et ses couilles. A la base ma main ne fait que la moitié du tour ! Et j'ai beau serrer, je ne progresse pas vu la raideur de l'engin.
A mon tour de lui gober le gland. Je lui démontre qu'il n'est pas le seul à savoir faire des gorges profondes !! Ç'est lui qui me redresse avec la même technique que moi. On se roule des pelles pendant que nos deux bites s'apprivoisent.
Nous sommes interrompus par l'arrivée d'Enguerrand. Il me parait tout chafouin !
Sans trop me décoller de ma trouvaille, (faudrait pas qu'il prenne la tangente), je lui demande ce qui se passe. Il me dit qu'ils sont tellement surveillés qu'ils vont rentrer bredouille de la soirée.
Je ne réfléchis pas, je le glisse entre nous deux, dos contre mon torse. Il ne s'y trompe pas et entreprend ma " conquête ".
L'autre se laisse faire. Le roulage de pelle qu'ils se font ne le fait pas débander et je descends avec son short le maillot d'Enguerrand qui commençait à être trop petit.
Je glisse sur le côté et nous pouvons nous lécher le museau à trois. Je garde une main sur le cul d'Enguerrand afin de prévenir toute velléité d'envahissement sauvage, l'autre est occupée à tester la rondelle de l'indigène.
Pas de réticence à la progression de mes doigts de fée vers puis dans le cul de mon " BelAmi ". De l'autre côté, je sens sa main rejoindre la mienne et me demander le passage. Je vérifie que c'est bien la sienne avant de le laisser passer.
Le doigt qu'il enfile dans mon petit beau-frère fait bander encore plus fort ce dernier.
On est bien chauds. J'attrape 2 kpotes dans mon jeans et en tends une à l'inconnu. J'enfile l'autre.
Debout, Enguerrand plaqué contre le mur se prend les 21x6 dûment recouverts alors que j'enfile ma bite dans son enculeur. Trop bon ! Je suis hyper serré et le mec en rajoute en comprimant sa rondelle. Je vois qu'Enguerrand aussi prend du plaisir. La joue écrasée contre le mur, les yeux fermés, il halète sous le labourage en règle de son intimité. Je m'accroche à ses épaules et bascule mon bassin violemment en avant pour prendre et lui faire prendre son pied. C'est chose faite 10mn plus tard. Lui mordant l'épaule pour éviter que je hurle, je rempli ma kpote dans un dernier coup de rein qui l'écrase sur Enguerrand. Aux spasmes qui agitent sa rondelle je conclu qu'il fait de même bien au fond du trou d'Enguerrand. Je récupère au creux de ma main le sperme de ce dernier pour qu'il ne marque pas son territoire avec ses gènes. Sans que je lui dise, il vient lécher sa production pour me nettoyer les doigts.
Notre inconnu le regarde puis me remercie d'avoir partagé ma " salope " avec lui. Quand je lui dis que c'est mon " Ermanastro ", il s'interloque avant d'éclater de rire et de me dire que j'avais trouvé la famille idéale. Il comprend d'autant mieux que Ludovic nous a, à ce moment-là, retrouvé.
Il ne s'éloigne pas alors que je me fais gentiment remonter les bretelles par Ludo qui me dit, en reluquant l'ibère de la tête aux pieds, que je ne pense qu'à moi.
Je me défends que j'aie partagé avec Enguerrand. La confirmation de ce dernier me sauve quelques instants. On se réajuste et j'entraine mes deux partenaires sexuels et mon mec vers le bar nous rafraichir.
Malgré la musique, on en apprend un peu plus sur le mec. Il se nomme Felipe, il est madrilène et en congés. Avec une demi-douzaine de potes, ils ont loués une villa un peu en extérieur avec piscine. 5 mn plus tard il nous invitait tous les trois à passer les voir. Ses potes étant comme lui, homos et pas trop mal foutus.
Dos contre le bar, il les cherche du regard et nous les montre. Je lui dis que nous c'est pareil sauf qu'on est un peu plus nombreux. J'arrive à retrouver la bande sauf Marc qui doit se faire plaisir avec un petit mec dans un coin. A mon tour je les montrer du doigt (je sais, c'est pas poli mais difficile de faire autrement !).
Avec amusement nous voyons nos amis respectifs opérer un mouvement vers nous et nous finissons ensemble. Présentations, amusement de la similitude de nos situations, surtout quand nous leur donnons notre adresse et qu'elle se situe à une rue de la leur ! Ses amis sont du même type que lui, sportifs et musclés imberbes et bien montés (vu les maillots bien remplis).
Quand Marc nous rejoint enfin, on décide que la nuit est assez avancée pour que nous rentrions.
Comme leur villa est sur notre chemin, nous nous y arrêtons.
Plus petite que la nôtre elle aussi est tout confort avec piscine et jacuzzi. Felipe sort les bouteilles du frigo. Vodka, gin, whisky... le choix est vaste et les doses servies conséquentes. Auraient-ils comme des envies d'abuser de nous ?? En attendant ils sont sympathiques et les maillots volent au moment de nous jeter dans l'eau. Quand nous y sommes tous, impossible de nager !! Mais je crois que c'était pas trop le but non plus ! Les corps se frottent les muscles gonflent et les bites entrent toutes en érection. Je laisse Felipe que je connais déjà pour ses potes. Notamment le plus jeune et aussi le plus " développé " coté musculature. Quand j'empoigne ses bijoux de famille, de ce côté là aussi il n'a pas été laissé pour compte. Bonne queue raide accompagnée d'une paire de couilles glabres d'un beau volume aussi. Nos tétons se collent alors que je lui roule un patin. Sa langue goûte encore la vodka qu'il s'est enfilée tout comme moi. Ouf ! On ne va pas faire de mélange d'alcool qui nous donnerait mal à la tête au réveil (lol) ! Sa bite passe sous mes couilles et dans l'eau je m'assois dessus. Elle me tente et j'ai envie de connaitre sa dextérité à s'en servir. Je sors de l'eau et d'un coup de rein, le tire du bassin. Il m'entraine dans la villa. Je n'avais pas fait attention mais plusieurs mecs étaient déjà partis sur des plans " particuliers ". Du coup, on a un peu de mal à trouver où nous poser. On finit par revenir sur la terrasse et on se met au " travail ". On doit avoir le même âge et son physique est nickel. Brun de poil mais totalement imberbe ou épilé sauf la touffe, il est bronzé avec marque de maillot. Ce qui me fait kiffer grave. Sa belle queue rose pâle arbore un gland bien violet et découvert. On passe un bon moment à se caresser, se lécher, s'embrasser (avec la langue évidemment), à se travailler les tétons aux doigts puis avec les dents. Nos bites et couilles ne sont pas de reste puisque souvent nous alternons le reste avec de bons pompages en profondeur. J'aime qu'il prenne mes 20cm sans haut-le-coeur lui non plus. J'aime sa langue inquisitrice. Elle se coule sous mon prépuce pour aller titiller mon gland, elle s'enfonce dans ma rondelle, poussant sa salive dans mes profondeurs pour préparer l'assaut prochain. De mon côté je pompe en fond de gorge ce gland qui va bientôt tester l'autre extrémité de mon tube digestif. Quand je me sens prêt, je lui enfile une kpote, le plaque dos sur la terrasse et enjambe son bassin pour venir m'assoir sur son mat.
Rhh ! Le bien que ça fait !! Il a l'air étonné que je m'enfonce en une seule fois la totalité de ses 21cm mais quand mes fesses touchent ses cuisses, il en ferme les yeux de plaisir ! Je savoure cet envahissement de mon corps avant de chevaucher mon nouvel ami. Ses mains venues se poser sur mes hanches modère ma fougue. Il en libère une pour venir la poser sur mon cou et attirer ma tête vers la sienne. Je lui roule un patin mais c'était pour me dire quelque que chose qu'il m'avait penché.
Il voulait juste me dire que j'avais un cul divin et une rondelle parfaite ! Pour ça il n'était pas obligé de chuchoter ! Je me redresse et fort, je crie à ceux qui veulent l'entendre que sa bite est une merveille et qu'elle me rend fou. Il me rattrape et me dis qu'ils ont des voisins !!
Je lui réponds que jusque-là c'était flatteur pour lui ! Il rit et me fait taire avec sa langue. Pour me laisser moins de choix, il se redresse me bascule sur le dos et tenant par les chevilles mes jambes écartées, s'ingénie à me limer la rondelle avec science. Il me fait décoller grave !
Il alterne quelques positions autres avant de remplir sa kpote au bout de sa résistance. Un petit coup de sa langue sur mon gland et je lui tapisse le visage de mon sperme. Juste la force de se trainer à l'intérieur pour trouver un coin de matelas et je tombe de sommeil. Il est midi quand j'émerge ! A peu près en même temps que tous les autres sauf Paco qui, en bon cuisinier, finissait de mettre en place le " petit déjeuner ".
Les invitants sont surpris mais apprécient l'attention. Comme ils s'étonnent de certains plats, Paco leur avoue avoir dû faire un saut chez nous.         On déjeune tous dans une bonne ambiance, les autres habitants de la maison ont trouvé eux aussi leur plaisir dans notre touze improvisée de la veille et matin. Felipe est collé de notre trio ce qui semble lui aller tout à fait. Quand j'éclairci les données, il me dit que ces trois jeunes lui ont asséché les couilles comme jamais encore ça lui était arrivé !!On rentre chez nous avec leur promesse de nous rejoindre à notre villa vers les 20h        
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
13 notes · View notes
game-of-kinks · 2 years ago
Text
Tumblr media
Ton sac de jetons Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte Bon jeu !
178 notes · View notes
ascle · 9 months ago
Text
Tumblr media
La lettre P
Pacane
Noix de pécan
Pain doré
Pain perdu
Palette
-> incisive
-> extrémité aplatie d’un bâton de hockey
-> visière
-> (de chocolat) tablette
-> (de bois) même définition que chez vous
Pantoute
Pas du tout, vraiment pas. (Habituez vous a celui-ci parce que vous allez l’entendre 24/7)
Paqueté
Ivre, saoul 🥴
Paqueter
Remplir
Exemples: j’ai paqueté mon char / la salle était paquetée.
Parenté
Groupe de personnes ayant un lien de parenté, famille élargie
Parlable
A qui on peut parler facilement. Facile d’approche, ouvert à la discussion.
Partisans
Supporteurs
Patente
Objet difficile à nommer ou à décrire. Un bidule. Un objet quelconque.
Patenter
Bricoler, réparer, fabriquer quelque chose avec des moyens limités
Patenteux
Bricoleur ingénieux
Patiner
Ne pas répondre aux questions, de trouver des excuses ou faire diversion.
Peinturer
Peindre un mur. (NDLR: peindre sera utilisé presque exclusivement pour décrire l’art de peindre une toile, une fresque…)
Perler
Parler avec l’accent français.
Petit bonhomme
-> terme affectueux pour s’adresser à un garçon
-> insulte s’il s’adresse à un adulte (peu utilisé)
-> (au pluriels) dessins animés
Exemple: Écoute moi ben mon p’tit bonhomme! Si mon p’tit bonhomme a envie de regarder ses p’tits bonhommes à 6h le matin c’est pas toi qui va l’empêcher s’tu clair!
Piasse / piastre
Dollars
Pichou
Personne au physique ingrat, très laid.
Picosser
Agacer, lancer des pointes
Picosseux
Quelqu’un de désagréable, qui picosse 🤣
Piler
-Poser pied, marcher sur
Pissant
Très drôle, amusant
Pissou
Peureux, craintif, lâche
Piton
Jeton, touche, bouton
Pitoune
-> (par un homme envers une femme) femme bien roulée. (Par une femme envers une femme) pétasse
-> (petite) affectueux pour une petite fille
-> tronc d’arbre qui flotte (googlez: drave. C’est super intéressant)
Placoter / placotage
-> Bavarder de choses sans importance
-> médisance, ragot, tenir des propos peu aimables
Planter
-> tomber tête première
-> cesser d’être fonctionner
Plaster
(Prononcer « plast-heure ») provient du terme anglais pour sparadrap, pansement
Plate
-> Monotone, ennuyant, barbant, désagréable
-> dommage, décevant
Exemple: Ah c’est ben plate qu’Edith a pas pu venir voir le dernier film de Gilles Lellouche. Mais bon, elle a pas manqué grand chose c’était vraiment plate. 😈
Pleumer
Perdre une couche superficielle de peau, généralement après un coup de soleil. Peler, desquamer.
Poche
-> nul, maladroit, incompétent
-> grand sac
-> scrotum
-> jeu
Tumblr media
Pogner
(Je viens de me rendre compte que ce mot a beaucoup trop de définitions🤣🤣. Attachez vot tuque avec d’la broche on part)
Attraper, avoir du succès, coller, comprendre, devoir, être obligé de, émouvoir, être populaire, être coincé, être timide, être victime de (contracter), prendre, recevoir, rester pris, séduire, se faire attraper, se quereller, surprendre.
(Ouf! J’pense que j’ai fait l’tour)
Poisson
Personne bernée, dupée, crédule, naïve.
Polyvalente
Lycée (cours secondaire qui dure 5 ans, entre 12 et 17 ans)
Poudrerie
Blizzard, neige emportée par le vent
Pourriel
Traduction de « spam » « Junk mail ». Il s’agit de la contraction de « pourriture électronique » et « courriel »
Présentement
Actuellement, aujourd’hui, maintenant.
Mot du jour : pied
Outre le fait de définir la partie du corps, le mot pied est utilisé dans plusieurs expressions. En voici quelques unes.
Être pied
Être maladroit, gauche, nul, mauvais.
Être bête comme ses pieds
Être brusque, impoli, grossier… Parisien quoi! 😬🤣
Se tirer dans l’pied
Se nuire
En pied de bas
Être en chaussette.
Avoir le pied pesant
Conduire vite
Se placer les pieds
Se mettre en position avantageuse
Expressions
Se paqueter la fraise
Boire (alcool) à l’excès.
Paqueter ses p’tits
Ramasser ses affaires et s’en aller
Partir comme un p’tit poulet
Mourir doucement (peu utilisé, mais trop mini)
Partir sur une balloune
-> s’enivrer, parfois durant plusieurs jours (se dit aussi: partie sur une brosse)
-> avoir une lubie soudaine
Pas de chicane dans ma cabane
On ne veut ni querelle ni engueulade dans la maison
Pas si pire
Pas si mal, pas trop mauvais
Passer dans l’beurre
Passer inaperçue, passer dans le vide, rater son coup
Pelleter dans cour du voisin
De débarrasser d’un problème en le refilant à quelqu’un d’autre.
Péter au frette
Mourir subitement
Péter d’la broue
Se vanter
Petit train va loin
C’est en prenant soin de faire les choses correctement qu’on l’assure du succès d’un projet.
Pleuvoir à boire debout
De fortes averses, pluies intenses
Prend ton gaz égal
Façon de dire à quelqu’un de se calmer.
11 notes · View notes
christian-dubuis-santini · 5 months ago
Text
Tumblr media
Les faux-jetons du Canard qui usaient sans sourciller des mots de la covidlangue antivax, complotistes, etc. commencent à retourner leur couette…
Est-ce seulement parce qu’ils ont appris que ces salopards d’algorithmés du bulbe avaient commencé à "vacciner" tous les canards en leur inoculant de force leur saloperie ARNm ?
4 notes · View notes
golden20s · 5 months ago
Text
Tumblr media
[ SILVER SHADOW ] 💰
Dans les rues brumeuses de Chicago, le gang Silver Shadow tisse sa toile. Sous la direction de Jooey “Big Joo” Ricca, ce groupe énigmatique excelle dans l’art du blanchiment d’argent, des jeux de hasard et des maisons closes. Leurs entreprises légitimes, telles que des laveries et des restaurants, servent de paravents à leurs activités illicites. L’argent sale se transforme en or pur, glissant entre les doigts des autorités comme du sable fin.
Les nuits de Chicago vibrent au rythme des parties de poker clandestines et des paris sportifs illégaux, orchestrés avec une précision chirurgicale. Les murmures des joueur·ses et le cliquetis des jetons résonnent dans des lieux secrets, où la chance et le destin se croisent.
La maison close du Silver Shadow, véritables palais de volupté, accueillent une clientèle triée sur le volet. Les femmes et hommes y sont traité·es avec respect et protection, mais leur loyauté envers Big Joe est absolue.
Le gang tisse également des alliances avec d’autres groupes et des politicien·nes corrompu·es, créant un réseau d’influence qui s’étend bien au-delà des ruelles sombres de la ville. Leur pouvoir est à la fois redouté et respecté. Malgré leur réputation de violence, le Silver Shadow se distingue par ses œuvres de charité dans les quartiers défavorisés, semant des graines de bienveillance parmi les habitant·es. Cette dualité entre ombre et lumière renforce leur emprise sur la ville.
Tumblr media
5 notes · View notes
ulisesbarreiro · 10 months ago
Text
Le Token Mithrandir de CARDANO a son café/blockchain dans la ville de Santiago del Estero (Argentine).
C'est le premier café-blockchain organisé dans la belle ville de Santiago del Estero, et nous pouvons dire avec plaisir que fait par la communauté de Token Mithrandir de CARDANO, et avec le soutien de tous les projets qui sont au sein de la Confédération Cardano, cela marque un modèle de travail de token Mithrandir, qui a fait l'événement pour plusieurs villes en Argentine.
C'est merveilleux, parce que nous pouvons organiser plusieurs personnes qui ont déjà accès aux actifs numériques de la blockchain CARDANO, et qui vivent actuellement dans des villes qui n'ont pas de point de rencontre CARDANO. En Argentine, 95 % des événements CARDANO ont lieu dans la ville autonome de Buenos Aires, et seuls les projets qui font actuellement partie de la Confédération CARDANO sont ceux qui organisent des événements dans différentes villes du pays, comme les villes de Rosario (province de Santa Fe), Bahía Blanca (province de Buenos Aires), Olivos (province de Buenos Aires), La Florida (province de Buenos Aires), Capilla del Monte (province de Córdoba), La Cumbre (province de Córdoba), et maintenant la ville de Santiago del Estero dans la province de Santiago del Estero s'ajoute à cette belle liste.
Cela montre le caractère inclusif de Token mithrandir qui veut vraiment proclamer cette connaissance de la blockchain et de la finance décentralisée. Pour cette raison, le 27 juin, nous vous attendons au café blockchain dans le bar de l'hôtel Centro. Un hôtel renommé dans la ville de Santiago del Estero.
Tumblr media
1 note · View note
letourdumondedesdufraigne · 7 months ago
Text
Tumblr media
Nous arrivons à Imsouane par les terres : un panorama à couper le souffle sur la baie s'offre à nous.
Nous avons testé le concept du "Dreamsea Surf Camp" : ce camp s'organise autour de lieux communs pour les repas et la toilette. Les hébergements sont composés de tentes berbères aménagées à l'européenne et de cabanes ouvertes sur l'océan.
Tumblr media Tumblr media
L'ambiance est très jeune et très sympa, nous sommes entourés exclusivement de surfeurs qui partagent leur activité avec la méditation et le yoga.
Tumblr media
A l'origine, Imsouane était un petit port de pêche actif.
Tumblr media
La notoriété des vagues locales et l'engouement mondial pour le surf ont fait que la cité s'est développée touristiquement avec beaucoup de chantiers d'immeubles en construction.
Nous sommes aussi allés saluer les anciens collègues de Marion au Travel Surf Marrocco, très sympas.
Tumblr media
Tumblr media
Nous avons profité de cette immenses plage dans une baie magnifique entourée de montagnes.
Tumblr media
Les chiens sont redevenus les copains d'Olivier!!
Après 2 jours, nous quittons Imsouane pour prendre la route vers Taghazout. Les paysages vallonnés sont désertiques. Nous traversons une ville animée avec de beaux étals de fruits et de légumes. Il y a une petite bananeraie locale. Au bord de la route, il y a plusieurs campements de fortune d'où partent des fumées : ce sont des vendeurs de moules décortiquées cuites au bois...
Nous arrivons à Taghazout, ville "rue" animée et très touristique. Ici aussi les chats et les chiens errants se taillent la part belle.
Tumblr media
Cette petite ville sur l'océan est aussi le royaume des surfeurs. Notre GPS localise difficilement notre AirBnb...les ruelles très pentues et non entretenues posent un réel problème pour circuler. Nous finissons par frotter l'aile de la voiture contre un muret. Aïe! aïe! Aïe!
Notre location est située sur les hauteurs, dans un quartier populaire. L'environnement est très pauvre et délabré. Ce logement nous a permis d'atteindre le niveau bas de l'hygiène, du confort de nos hébergements. Nous ne pouvons pas organiser de repas dans cet espace compte tenu de l'état de la kitchenette et de la vaisselle!!
Le bord de l'océan et la rue principale sont colonisés par de petites échoppes avec beaucoup de restaurants . On se balade au milieu des fumées des grillages de poissons.
Tumblr media Tumblr media
La première nuit est très agitée parce que la "tourista" a pointé son nez ...Nous passons quand même une belle journée sur l'une immense plage, Flo récupère sous le parasol..
Tumblr media
Nous faisons une grande balade, de nombreuses activités s'offrent à nous, balade à cheval, à dromadaire, surf, jetski et quad.
Tumblr media
La seconde nuit ayant été encore très inconfortable en raison du bruit et du manque d'hygiène, nous jetons l'éponge !! Nous réservons une chambre au Riad "Les Ch'tits du Maroc" à Agadir.
Tumblr media Tumblr media
3 notes · View notes
sh0esuke · 1 year ago
Text
" Oasis "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Desert King Sir Crocodile.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Crocodile était puissant dans tous les sens du terme, que ce soit de part le fruit du démon, le Suna Suna no Mi, qu'il avait mangé lui conférant ainsi les pouvoirs d'un homme sable ou son charisme et intelligence qui lui permirent de créer une organisation criminelle redoutée de tous, le Grand Corsaire s'en sortait à merveille. Il gérait son entreprise d'une main de fer, veillant à ce que son nom ne soit que rarement cité ainsi que ceux de ses employés. Certains ne furent même jamais découverts. Mister 1 n'était pas l'unique exemple, de même pour Mister 2, il existait tant d'autres agents qui agissaient dans l'ombre, et, sans surprise, Crocodile avait ses favoris. Ceux-ci se faisaient d'autant plus discrets. L'un d'entre eux n'avait jamais vraiment fait parler d'elle, si Crocodile aurait dû la décrire utiliser l'adjectif : agent fantôme aurait été le plus approprié. Et pour cause, grâce à ses attributs physiques, elle ne laissait jamais rien sur son passage, son efficacité n'avait aucun égal. Et, aux yeux du Grand Corsaire -qui n'étaient peut-être pas aussi objectifs qu'il l'aurait cru- sa présence lui était indispensable.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟓𝟖𝟗.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Tumblr media Tumblr media
Rain Dinners, comme à son habitude, prospérait. Malgré l'heure tardive, la lune brillant haut dans le ciel, les clients provenant des quatre coins du nouveau monde affluaient avec une vigueur consternante. Les temps n'étaient pas aux problèmes financiers et psychologiques mais plutôt à l'amusement et à l'argent, il était question de jouer à en avoir des ampoules au bout des doigts, à boire quitte à se mettre trembler et chuter, de draguer et de fanfaronner. Ça, les habitants et vacanciers de Rainbase l'avaient bien compris. Voilà pourquoi, au lieu de rester chez eux et de jouir de leurs biens déjà acquis, ils s'étaient tous réfugiés dans cette pyramide à l'aspect alléchante et perdus parmi des montagnes de jetons et de machines.
Le bruit incessants de ceux-ci brisait les tympans des employés, pourtant habitués à ce boucan infernal, beaucoup étaient étourdis, la vue trouble et le corps couvert de sueur. Ils restèrent professionnels. Le lieu était réputé non seulement pour ses divertissements inégalables, mais aussi son service irréprochable.
Malgré l'absence du patron dans la salle principale, les employés ne purent souffler, sentant les quatre coins du casino les écouter et épier leurs moindres mouvements. Ils se résolurent à afficher leur plus joli sourire et à obéir au doigt et à l'œil des consommateurs. Ils guidaient des clients perdus, rendaient services en en rafraichissant certain ou s'occupait de superviser des parties de poker.
Et si le Grand Corsaire manquait à l'appel, c'était tout simplement parce qu'il était occupé ailleurs, vagabondant dans les couloirs souterrains du QG de son organisation secrète. Crocodile était seul, livré à lui-même.
Pas de Nico Robin en vue, pas de membre de Baroque Works traînant dans les parages, l'endroit était désert. Seul le bruit des Banana-crocos flottant sur sa droite, sa gauche, sous ses pieds ainsi qu'au dessus de sa tête rythmait le bruit de ses pas. Crocodile ne les regardait pas. Leur taille était pourtant impressionnante, un seul coup d'œil aurait suffit à pétrifier une armée entière. Leur couleur verte marais contrastait avec le bleuté de l'eau dans lequel ils résidaient. Les Banana-crocos imitaient Crocodile, néanmoins, pas pour les mêmes raisons. Car tandis que le Grand Corsaire les ignorait par pure lassitude, les créatures marines, quant à elles, cherchaient à l'éviter le plus possible. Non pas en se reculant de lui et en le fuyant ⸺cela aurait attisé sa colère⸺ mais en détournant constamment le regard et en faisant mine de ne pas l'avoir remarqué.
Cet accord durait depuis déjà un an.
Crocodile les nourrissait, faisait nettoyer et leur eau quotidiennement, tout ça pour qu'en retour, ils lui servent de décoration. Et les créatures ⸺pourtant à la force physique monumentale et à l'appétit monstrueux⸺ s'en réjouissaient.
Crocodile continua donc d'avancer. Il ne regarda rien d'autre que le bout du couloir, accompagné par le son de ses mocassins encontrant le sol marbré. L'échos résonnait profondément contre le verre, il semblait sans fin, s'éloignant mais ne disparaissant point. Sa silhouette camouflée sous son épais manteau de fourrure paraissait immense. Son torse l'était tout autant. Crocodile n'était pas seulement imposant, il était aussi grand. À marcher ainsi dans le couloir souterrain, l'aura qui se dégageait de lui fut écrasante. Son expression dure n'aidait pas, elle accentuait le tout, formant un lot effrayant chassant quiconque aurait eu l'audace de s'approcher de lui.
Lorsque l'échos d'un rire cristallin parvint à ses oreilles cela changea du tout au tout. Crocodile fronça les sourcils. Il serra les dents et zieuta la grande porte boisée présentée devant lui.
Autour de lui, des plantes et tableaux servaient de décoration. Cette partie du couloir, c'est-à-dire sa fin, étaient composée de murs, d'un sol et d'un véritable toit. La séparation entre verre et construction solide n'était pas caché derrière de quelconques artifices, elle était bel et bien visible juste derrière lui. Crocodile ne s'y attarda point. Il zieutait les décorations le temps de se préparer mentalement, prenant compte de l'assèchement d'une quelques verdures, avant de poser sa main sur la poignée. Il l'abaissa et ouvrit la porte.
Un éclat de lumière l'aveugla. Puis, le même rire cristallin se fraya un chemin jusqu'à ses oreilles.
Le Grand Corsaire referma la porte derrière lui le temps d'habituer ses yeux meurtris. Il grogna dans sa barbe, les yeux plissés et le corps rigide.
« Je t'avais bien dit que tu n'allais pas aimer, Hector. Pourquoi tu ne m'écoutes donc jamais ? »
Le ton joueur de la voix résonnait dans la pièce immense et vide. En réponse, le grognement d'une bête s'éleva, et, un troisième rire survint.
« Tu es têtu ! Non, je t'en redonne pas ! »
Lorsque Crocodile rouvrit les yeux, il la vit. La langue pendue, les paupières fermées et la peau brillante. Ce fut la première chose qu'il remarqua.
La sirène se tenait devant un immense banana-croco, défiant la créature avec malice. Auprès de ses clavicules nues, elle serrait un panier d'algues odorantes et raffermit sa prise dessus en entendant la créature geindre. Le monstre était si gigantesque qu'il la surplombait et lui faisait de l'ombre. Cependant, elle ne semblait pas le moins du monde effrayée. Au contraire.
Le sourire gravé sur ses jolies lèvres pulpeuses en était le témoin.
La pièce était ronde. Au plafond, des plaques de lumière illuminaient l'endroit. Peut-être un peu trop d'ailleurs, en vue du temps de réaction qu'il fallut au Grand Corsaire pour s'y habituer. Les lumières n'étaient pas tamisées. Elles étaient d'un blanc pur, se mariant avec les murs de la même couleur, décorés par des éclats de dorure et des reliefs de style royal. Le sol en marbre clair reflétait les lumières qui rebondissaient déjà sur les murs. Le tout était parfaitement harmonieux, majestueux. La pièce était grande, avec au milieu, un bassin menant à la demeure des Banana-crocos, et, sur ses contours, quelques meubles, fauteuils, plantes et bibliothèques comblaient le vide. Il n'y avait ni salle de bain, ni cuisine ou chambre, l'endroit n'existait que pour la satisfaction personnelle du Grand Corsaire.
Et il n'y avait aussi pas d'autre porte.
La pièce était sans issue outre celle derrière le pirate, le bassin était effectivement une option, mais ne menant pas vraiment quelque part -outre l'aquarium des Banana-crocos-, la question ne se posait pas.
Satisfait par sa petite observation, Crocodile contourna le bassin pour rejoindre la sirène assise sur le bord à gauche. Sa queue était plongée sous l'eau, mais son bassin était assis. Elle posa son panier à côté d'elle et éclaboussa gentiment la créature devant elle.
Le banana-croco prenait presque toute la place dans le bassin, sans parler de son immense taille qui lui faisait entrer en contact avec le plafond. Sans sa peau d'écailles aussi dure que du métal, son épiderme aurait brûlé depuis longtemps. Aucun d'entre eux ne remarqua la présence du Grand Corsaire. Les deux amis continuèrent de chahuter ⸺l'un grognant et l'autre riant⸺ jusqu'à ce que le bruit des pas du pirate furent suffisamment proche pour se faire remarquer.
La sirène ne le comprit pas immédiatement, bien trop prise dans son fou-rire, cependant, le banana-croco, lui, ne fut pas aussi chanceux.
Croisant le regard las du Grand Corsaire, l'animal se pétrifia sur place. Ses yeux s'écarquillèrent. Sa gueule s'ouvrit, laissant un bruit mixé entre la terreur et l'appréhension lui échapper. Crocodile s'arrêta alors de marcher, à trois mètres d'eux, et fit un rapide geste de la main en direction du bassin. Le banana-croco fut incapable de réagir. Son cœur battait à la chamade. Malgré le fait que cela soit physiquement impossible, il suait même à grosses gouttes. Il fut incapable de comprendre ce que cherchait à dire le noiraud, soudain devenu comme sourd. Ses grosses pattes furent prises de secousses. Et, au moment où le Grand Corsaire prit la parole, son corps sursauta.
« Disparais. »
Le Banana-croco prit ses jambes à son cou. Il fuit, se cognant la tête contre le plafond de lumières au passage, et éclaboussant la jolie sirène. Le bassin fut pris de secousses, de l'eau atterrit sur ses contours et le bruit que cela provoque sortit la demoiselle de sa transe. Étourdie, elle regarda autour d'elle.
« Oh ! C'est vous ! »
Crocodile s'accroupit devant elle.
Il posa son crochet sur son genoux et la dévisagea avec intrigue.
« Qu'est-ce que tu fais à converser toute seule, hein ? »
La sirène arqua un sourcil. Elle se rapprocha de lui tandis qu'il levait sa main dans sa direction. Le Grand Corsaire replaça une mèche de ses cheveux trempé derrière son oreille, celle-ci ayant été secouée par le Banana-croco qui l'avait trempée. La sirène frissonna au contact de sa peau rugueuse et chaude. Elle poussa un doux soupir d'aise et ferma les yeux.
« Je n'étais pas seule. »
Sa contestation affirmée, elle les rouvrit.
« J'étais avec mon ami Herbert. »
« Et qu'est-ce qu'il te voulait ? »
« Mon repas.. » elle avoua dans une mine renfrognée.
« C'est fâcheux, ça. »
« N'est-ce pas ! Ce sont mes algues... »
La sirène argumenta ses propos en plongeant une de ses mains dans son panier posé au sol et en en saisissant une ferme poignée. Elle la fourra vigoureusement entre ses lèvres. Une fois sa bouchée avalée, elle plissa les yeux. Elle affirma un air déterminé sur les jolis traits de son visage, les sourcils froncés et la bouche tirée en une grimace.
Quelques gouttes provenant de son repas étaient coincées entre ses lèvres. Celles-ci perlèrent le long de son visage jusqu'à atterrir entre ses seins. Ceux-ci aucunement habillés ⸺outre les écailles gravées à la place de ses tétons⸺, se retrouvèrent trempés. Les perles salées roulèrent jusqu'à toucher sa queue et se mêler parmi ces mêmes écailles de couleur vert pâle.
Crocodile se chargea de passer son pouce sur son menton, récoltant le jus et l'apportant à ses propres lèvres. Il ignora son cigare fumant et grimaça.
« Infect.. » il maugréa.
La sirène apporta soudain ses poings sous son menton et questionna du regard le pirate. Elle lui fit plutôt les yeux doux, mais cela passa inaperçu.
« Qu'est-ce qui vous amène ici, monsieur Crocodile ? »
« J'aimerais que tu me rendes un service. »
La demoiselle hocha vigoureusement la tête.
« Entendu, tout ce que vous voudrez. » s'empressa-t-elle de répondre.
Crocodile relâcha le visage de la jolie créature pour extirper un bout de papier de son costume. Plié et coincé entre son index et majeur, il le lui tendit. La sirène le réceptionna et vérifia son contenu pendant que le pirate reprit la parole.
« Miss Father's Day et Mister six se chargeront de te fournir la bombe une fois arrivée à destination. »
Elle leva les yeux dans sa direction.
« Je dois faire sauter un navire ? »
« Tu comprends vite. »
La sirène rangea le morceau de papier auprès de ses algues, presque immédiatement, celui-ci se retrouva gorgé de jus. À présent, il était illisible. La demoiselle ne s'en préoccupa point, elle était bien trop intéressée par l'homme devant elle pour jeter son dévolu sur de simples écritures qu'elle avait déjà mémorisé dans son esprit. Depuis sa venue, son sourire n'avait pas fané, il était rêveur, enjôleur, transpirant l'amour et l'intérêt qu'elle lui portait. Crocodile n'y était pas immunisé, malgré son air indifférent, le fait qu'il reste aussi proche d'elle et qu'il se permette de la toucher en disait beaucoup.
« Le roi Cobra a demandé à un royaume voisin de les épauler, tu comprends bien qu'on peut pas se le permettre. » argumenta le Grand Corsaire. « Ça serait dommage que nos efforts soient réduits à néant après tout ce temps. »
« Oui, je comprends. »
« Je n'en attendais pas moins de toi. »
« Est-ce que.. »
D'un ton hésitant, la sirène frappa le bord de l'eau de sa nageoire. Ce geste nerveux fit arquer un sourcil au pirate. Elle chercha à le fuir du regard, mais elle se retrouva immédiatement tirée de nouveau dans sa direction. Elle n'était pas en mesure de lui résister. Elle serra les poings sur sa nageoire, plissa ses lèvres en une fine ligne et déglutit. La question lui brûlait les lèvres. Voilà des jours qu'elle y réfléchissait, voilà des mois qu'elle hésitait. Plus que tout au monde elle le désirait, néanmoins, face à lui, elle perdait tous ses moyens. Incapable de soutenir l'intensité de son regard, écrasée par son aura imposante, elle sentit son organe vital s'emballer. Des papillons se mirent à virevolter dans son bas ventre et en réponse, sa queue s'excita davantage. De l'eau éclaboussa la tempe de Crocodile, la sirène regretta immédiatement.
« Qu'est-ce que tu as ? » demanda-t-il.
« Je me demandais si... »
Sa main s'agrippa à son avant-bras. La sirène planta d'un geste désespérément ses ongles couvert d'un vert métallisé dans sa chemise et se rapprocha de lui.
« Si vous accepteriez de voir un coucher de soleil avec moi. »
Crocodile fronça les sourcils. Sa confusion se traduisit par de la contrariété aux yeux de la demoiselle. Celle-ci commença alors à paniquer.
« Pas aujourd'hui, bien évidemment ! Ma mission est de la plus haute importance, j'en suis consciente ! » affirma-t-elle. « Mais je me disais, pourquoi pas après ? Je sais que vous êtes un homme prit et demandé, mais ce serait juste pour un soir.. Un seul. »
« Tu veux.. »
Crocodile posa sa main sur la sienne.
« Tu me fais du rentre-dedans ? » s'étonna-t-il.
« Quoi ? »
La mine de ma sirène s'illumina sous la confusion. Elle contempla le Grand Corsaire avec pure intrigue, comme si ses paroles étaient dans une autre langue.
« Non. Je.. Juste... »
Elle inspira profondément, cherchant à ignorer le contact physique entre leur main. Ses efforts furent en vain. Il lui était impossible de passer outre son eau de cologne et de la chaleur provenant de sa main déposée sur la sienne. C'était bien trop divin. Ses pupilles perdues dans ses yeux, leur corps si proche, la sirène n'était pas en position de feindre l'indifférence.
« Je sais que c'est contre l'organisation, je sais que mes sentiments ne sont peut-être pas réciproques. Oh, il est tout autant possible que mon aveux causera ma perte, mais je mourrais sans regret. »
La sirène sandwicha la main du noiraud entre les siennes et l'apporta entre ses seins. Sa peau humide contrastait avec la sienne sèche. Elle était rugueuse et puissante, tout le contraire de la sienne. Ses doigts fins et délicats s'entremêlèrent aux siens. La sirène tentait le tout pour le tout, persuadée qu'après cet acte suicidaire, Crocodile ne lui offrirait pas une seconde fois la même opportunité.
« Mon cœur bat pour vous, monsieur. »
Crocodile grogna contre son cigare. De sa main libre, il le saisit et expira un nuage de fumée entre leur visage.
« Je doute que ce soit de l'amour. »
« Oh ? »
Face à l'air consterné de la sirène, il retroussa son nez et mordit l'extrémité de son cigare, le fourrant de nouveau entre ses dents.
« Tu es juste effrayée. » observa-t-il. « Tu confonds ces battements paniqués par de l'amour, mais, en vérité, tu me crains. »
Vigoureusement, la sirène contesta.
« Je sais faire la différence. » elle affirma.
« Peux-tu ? »
« Ne ressentez-vous donc pas la même chose ? Lorsque je vous aperçois, c'est un sentiment bien plus agréable que la terreur qui m'emporte. J'aime être auprès de vous. Je ferai n'importe quoi pour vous satisfaire. »
Sur ce point là, Crocodile fut incapable de la contredire.
Depuis qu'il l'avait recrutée, la sirène s'était montrée irréprochable. Elle n'avait pas hésité à trahir ses compagnons, punir les traîtres et les peureux qui, au bout de quelques jours, avaient cherché à fuir l'organisation. Elle exécutait ses missions avec un professionnalisme déconcertant, comme si sa propre vie en dépendait. Et peut-être que c'était le cas. Pas une seule fois ne l'avait-elle déçu ou avait-elle osé lui manquer de respect. Même en cet instant, alors qu'elle le contemplait avec amour et admiration, Crocodile se sentait incapable de trouver quoique ce soit à redire. Elle était d'ailleurs bien trop divine pour cela soit le cas. Un couteau à la main, tachée de sang, il l'aurait sûrement tout autant défendue. L'éclat pétillant dans son regard suffisait à l'innocenter, que ce soit auprès des autorités que de lui.
Crocodile reprit ses esprits en sentant la sirène presser sa main un peu plus profondément dans sa poitrine. Ce geste désespéré fut accompagnée par son expression du visage tiraillé par l'appréhension.
« Vous ai-je contrarié ? » elle chuchota.
Crocodile secoua la tête.
« Qu'est-ce que tu trouves de si intéressant dans un coucher de soleil ? » il marmonna, les sourcils froncés.
« Oh ! »
Presque immédiatement, son dos se redressa et son regard se mit à briller.
« Tout ! Absolument tout ! » s'exclama-t-elle. « Depuis que je suis enfant, ma mère m'a toujours interdit d'aller à la surface pour l'admirer. Elle me disait que de méchants humains risquaient de m'enlever et de me vendre. Alors, j'ai obéi et je suis restée cachée en bas, loin de votre monde. »
Plus elle parlait, et plus sa prise sur sa main se raffermit. Crocodile ne l'entendait pas que dans le ton de sa voix, mais aussi dans ses yeux, ce grain et éclat d'excitation lui faisaient beaucoup d'effet. Crocodile se sentait submergé par un flot de sentiments inconnus, une agréable chaleur s'empara de son organe vital, il ne put y échapper.
« Je l'ai déjà vu une centaine de fois. » avoua-t-elle. « Je ne m'en lasse jamais. »
« Alors pourquoi me demander de t'accompagner ? C'est une perte de temps. »
« Parce que... »
Elle se racla la gorge. La demoiselle détourna un petit instant le regard, fébrile et perplexe. Elle se reprit en sentant les doigts de Crocodile se crisper. Ils bougèrent finement, cela suffit à attirer son attention et à la faire le regarder de nouveau.
« Parce que j'aimerais passer ce moment à vos côtés. »
Son aveux fut accompagné par les battements affolés de son cœur. Sa peau en palpitait presque, notamment l'endroit où sa jugulaire se trouvait.
« Je suis consciente que c'est déplacé, mais⸺ Je... Je le veux. Du plus profond de mon cœur. »
Crocodile ne répondit point. Il retira sa main de son emprise et se redressa tranquillement. La sirène le dévisagea avec angoisse. Elle pressa ses mains contre sa poitrine et déglutit. Le pirate agissait avec une désinvolture terrifiante. Il semblait indifférent à sa confession, comme habitué. Comme si le fait qu'une femme se jette à ses pieds n'était pas nouveau. Cette pensée chagrina immensément la jolie créature.
« Monsieur..? »
Crocodile marcha en direction des deux grandes portes de la pièce. Dos à la sirène, il ne se retourna point.
La demoiselle baissa alors la tête.
Son cœur se brisa en mille morceaux, les éclats tombèrent dans son bas ventre, blessant les papillons qui s'y étaient précédemment tenus. Elle passa ses bras autour de son estomac, les yeux larmoyants, sa lèvre inférieure avait commencé à trembler. La sirène se laissa glisser dans le bassin, ravagée par un sentiment d'embarras profond qu'elle chercha désespérément à fuir à travers la noyade. Elle y tomba de manière à avoir la moitié de son corps englouti, jusqu'à son décolleté. Ses mains saisirent le panier à algues que l'ont lui avait servi, elle l'emporta avec elle le regard fuyant, incapable de regarder son employeur plus longtemps. Toutefois, lorsque celui-ci reprit la parole, toujours dos à elle, sa tête fit volte-face dans sa direction.
« Reviens me voir une fois ta mission terminée. »
Crocodile poussa les deux portes. Il les ouvrit avec nonchalance.
« Je connais un endroit où tu pourras admirer un lever de soleil qui en vaut la peine. »
La sirène hoqueta.
« Mon⸺ Monsieur ? »
Son cœur se gonfla d'amour. Ses yeux s'étaient ouvert en grand, et ses lèvres s'étaient séparées dans une grimace. La sirène ne sut trouver une réponse suffisamment convaincante à lui donner, elle était bien trop surprise par ses paroles. Le ton de sa voix grave paraissait toujours aussi lasse et détachée, mais ses propos l'avaient touché en pleine poitrine. C'était comme si une flèche l'avait transpercée. Elle en avait mal. Elle souffrait monstrueusement, ce nouveau sentiment logé au centre de son être l'avait propulsée haut dans les nuages, et à présent, elle se sentait incapable d'en redescendre. Elle ne le voulait pas.
Crocodile la rappela à l'ordre en prononçant son nom de code.
« Je me suis fais comprendre ? »
Immédiatement, la sirène plaqua sa main contre son front, à l'instar d'un salut militaire, et s'exclama :
« Oui, monsieur. Je ne vous décevrai pas ! »
Le pirate esquissa un sourire satisfait avant de quitter la pièce. Il ne dit rien de plus, laissant les portes se refermer derrière lui et ainsi plonger la pièce dans un lourd silence pesant. La sirène attendit une poignée de secondes. Elle eût serré le panier si fort contre sa poitrine qu'il s'était plié en d'eux, à peine sur le point de se briser, elle le lança dans les airs et plongea dans le bassin. Elle rejoignit l'immense aquarium du Rain Dinners, à la recherche de Banana-crocos.
« Herbert ! Mon Dieu, Herbert, tu ne vas jamais croire ce qu'il vient de se passer ! »
La demoiselle laissa le panier tomber à l'eau et sombrer dans les tréfonds de l'endroit. Elle ne lui jeta pas même un seul regard coupable. Celui-ci fut rapidement avalé par un banana-croco flottant aux alentours, les algues furent incapables de fuir, tout comme le petit morceau de papier avec. Toute trace de la culpabilité de la jeune femme disparut avec. Celle-ci n'était, en cet instant, pas un membre précieux de l'organisation de Baroque Works, mais plutôt une simple créature maritime amoureuse. Follement éprise d'un homme à l'allure bienveillante.
12 notes · View notes
kohohohala · 8 months ago
Text
2/2
Nous concluons l'Alhambra par le palais Généralife et ses jardins.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
De retour dans la Basse-Ville, nous errons notamment dans le quartier arabe. Nous voici presque revenus un an plus tôt...
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Enfin, nous jetons un œil à la cathédrale et surtout à la basilique San Juan de Dios et son atmosphère baroque, dorée et ultra-chargée.
Tumblr media Tumblr media
Tout ça mérite bien un dernier petit coucher de soleil, en direct de notre terrasse, sur les toits de la ville.
Tumblr media
Ce soir nous ressentons bien la fatigue dans nos jambes et vivement la rentrée qu'on puisse se reposer un peu...
Tumblr media
21/08
3 notes · View notes
culturefrancaise · 9 months ago
Text
Il y a des militaires armés devant la mairie de ma ville et ça me fout les jetons.
On est pas à Paris ici... Pourquoi ils ont été déployés ?
5 notes · View notes
bluecatsrage · 9 months ago
Text
Je reconnais la mouche dans du lait,
Je reconnais à son habit, tout homme,
Je reconnais le beau temps du mauvais,
Je reconnais au pommier chaque pomme,
Je reconnais l’arbre en voyant sa gomme,
Je reconnais lorsque tout est le même,
Je reconnais qui travaille et qui chôme,
Je connais tout, hormis moi-même.
Je reconnais le pourpoint au collet,
Je reconnais le moine à ces haillons,
Je reconnais le maître à son valet,
Je reconnais à son voile la nonne,
Je reconnais un jeune qui jargonne,
Je reconnais les fous nourris de crème,
Je reconnais le bon vin à la tonne,
Je connais tout, hormis moi-même.
Je reconnais un cheval d’un mulet,
Je reconnais leur charge de leur somme,
Je reconnais Béatrice et Belet,
Je reconnais le jeton à la somme,
Je reconnais le sommeil et le somme,
Je reconnais la faute des Bohèmes,
Je reconnais la puissance de Rome,
Je connais tout, hormis moi-même.
Oui, Prince, je reconnais tout en somme,
Je reconnais des colorés des blêmes,
Je reconnais la mort qui tout consomme,
Je connais tout, hormis moi-même.
- François villon
3 notes · View notes