#Le dernier métro
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theconstantnymph · 1 year ago
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Le Dernier Métro, 1980
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lobbycards · 3 months ago
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The Last Metro (Le dernier métro), French lobby card. 1980
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nicoooooooon · 6 months ago
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The Last Metro (Le dernier métro), 1980, movie poster featuring Catherine Deneuve and Gérard Depardieu
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shiningwizard · 1 year ago
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The Last Metro (Francois Truffaut, 1980)
of all the movies that are just fine and good, here's one. Frequently falls to that annoying thing in period work of overstating historical signifiers and their significance, whereas something made closer to the occupation would have let them rest as granted. A lot of wasted promise also, in terms of what it felt could have been done with this story, the relationships and what creativity could have been put into melding narrative, character, tolerance and intolerance and this history together in some elevated way. But it all feels as is, crowd pleasing. Were French crowds in 1980 pleased? Ticket sales and Cesar awards indicate yes.
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ekman · 6 months ago
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Il existe encore quelques Français qui sont français comme il ne faudrait déjà plus l’être. À ces êtres en souffrance pour qui la France n’est plus qu’une sorte de Thoiry mental, je dis “courage” ! Face à eux, cachés derrière la grande digue du nombre, les progressistes, les gauchistes, la bourgeoisie rentière, les barons du capital, les écolos, les wokistes et toute l’engeance produite par la pourriture révolutionnaire, prospère plus et mieux que jamais. Comme l’exigeaient Rousseau et Robespierre, ils ont fait fi du legs de leurs aïeux, ils se sont imaginés en hommes nouveaux : nouveau peuple, nouvel ordre, nouveaux bourreaux. Leur descendance, les lointains arrières petits enfants de ces crapules arrivistes et de ces cocus braillards, militent sans conviction, cultivent l’ignorance, demeurent volontairement aveugle et odieusement complice des crimes infinis de ce qui est finalement devenu un marxisme global.
Leur armée se compose de millions de fantassins débarqués de chaloupes incertaines, à l’assaut d’un monde sans foi seulement guidé par le profit et la jouissance. Ils ont un coran dans la poche gauche, un schlass dans la droite, et une carte téléphonique dans leur famélique portefeuille. Ils sont comme des spermatozoïdes en route par le Grand Ovule, au mépris des marigots acides et des douchettes cataclysmiques. Ils tortillent de la flagelle frénétiquement, sont prêts à tout pour gagner leur journée et souvent, livrent leur repas caricatural aux indigènes crétins. Les plus naïfs parmi ces derniers leur lâchent un billet de 5 en pourliche, joignent les mains et baissent la tête en signe de déférence, de confraternité ou de pure soumission – c’est selon. Ainsi ces tristes sires sont-ils contents et soulagés à la fois. Leur conscience est propre comme l’entrecuisse d’une communiante d’antan.
Français qui souffrez, dans votre chair et votre esprit, du spectacle de ce suicide non seulement consenti, mais savamment organisé, méticuleusement planifié et brillamment réalisé, abandonnez tout espoir de révolte collective et solidaire. Aucun de vos contemporains, ceux que vous croisez sur votre palier, dans votre rue, sur le quai de la gare, celui du métro ou l’escalator d’un aérogare, au bureau, chez le boulanger, au supermarché, à la station-service... aucun d’entre eux ne souhaite se sacrifier pour faire cesser tout cela. Votre sort, qui est aussi le leur, les indiffère. C’est ainsi, il suffit de les observer pour le constater. Ce peuple est prêt à disparaître en tant que tel. Ne subsisteront que les vrais résistants, ceux que la conviction d’être des héritiers maintiendra en alerte haute et permanente, ceux qui éduqueront leurs enfants, ceux qui prendront soin de la terre qui les nourrira, au propre comme au figuré. Inutile de verser dans la caricature du crâne rasé et du regard bleu... quelle que soit l’allure de votre gueule, ce qui compte, c’est votre détermination à survivre, coûte que coûte. Et il vous en coûtera, soyez-en convaincus.
J.-M. M.
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schizophrenic-writer · 7 hours ago
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Le dernier arrêt|Ni-ki
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✦ Fandom : Enhypen ✦ Personnages : Ni-ki et narratrice ✦ Genres : Horreur, surnaturel, thriller psychologique ✦ Nombre de mots : 2k ✦ TW : Angoisse, isolement, réalité altérée, perte d’un être cher ✦ Résumé : Une jeune femme prend le métro comme à son habitude lorsque soudain, un arrêt brutal plonge le wagon dans le noir. Lorsqu’elle retrouve la lumière, tous les passagers ont disparu. En sortant, elle découvre une ville étrange, floue et irréelle. Elle y retrouve Ni-ki, un ami proche, mais quelque chose en lui semble différent, mélancolique. ✦ Note de l'autrice : L'idée de cette histoire m'est venue un jour où le métro que je prends habituellement a eu un arrêt d'urgence, plongeant les passagers dans l'obscurité totale pendant quelques instants. Ce moment suspendu, à la fois angoissant et fascinant, m'a rappelé une légende urbaine japonaise autour d’une station de métro fantôme : Kisaragi Station.
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Le métro gronde sous terre, ses vibrations secouant doucement les passagers qui s’accrochent aux barres métalliques. J’ai mes écouteurs sur les oreilles, la musique couvrant le son mécanique du train. C’est mon quotidien, une routine invariable, où chaque station est un point fixe, une habitude rassurante. Les lumières artificielles défilent à travers les fenêtres, projetant leur lueur blafarde sur les visages fatigués. Une autre journée qui commence, sans surprise, sans éclat. Mais soudain, tout bascule. Un choc brutal me projette presque en avant. Le métro s’arrête, si brusquement que les passagers autour de moi émettent des exclamations de surprise, certains tombent, s’accrochent aux sièges. Puis, sans prévenir, les lumières se mettent à clignoter furieusement avant de s’éteindre complètement. Le noir m’enveloppe. J’entends des cris, des murmures paniqués. Une voix étouffée quelque part appelle quelqu’un, mais le son est comme aspiré par l’obscurité. Le silence tombe, lourd, oppressant, et mon cœur s’accélère, battant la chamade dans ce néant.
Quand les lumières se rallument, tout est différent. Autour de moi, il n’y a plus personne. Le wagon est vide. Je me redresse lentement, mes mains tremblantes agrippées à la barre devant moi. Les sièges désertés, les fenêtres plongées dans un noir d’encre... Je me sens soudain très petite dans cet espace immense et déshumanisé. Je fais quelques pas, mes chaussures crissant légèrement sur le sol.
— Est-ce qu’il y a quelqu’un ?
Mais aucune réponse ne vient, juste le bourdonnement léger des lampes au-dessus de ma tête. Je me dirige vers les portes, poussée par une curiosité irrésistible et une peur que je ne peux pas ignorer. Celle-ci s’ouvre automatiquement devant moi et je me retrouve dans une station qui m’est inconnue.
L’autre côté est un monde que je ne connais pas. Ou du moins, pas tout à fait. La ville est là, mais elle semble floue, comme une peinture à moitié effacée. Les rues sont vides, les bâtiments s’élèvent, grandioses et menaçants, leurs contours ondulant légèrement, comme dans un rêve. Le ciel est d’un gris étrange, un mélange d’aube et de crépuscule, sans soleil, sans lune. Une lumière diffuse éclaire tout, sans jamais vraiment chasser les ombres. Les murs des bâtiments sont ornés de motifs étranges, et l’écho de mes pas résonne comme une mélodie oubliée. L’atmosphère est chargée d’une énergie singulière, une sensation à la fois familière et terrifiante. Je scrute l’horizon, espérant voir un signe, quelque chose qui m’expliquerait où je suis. Je devrais avoir peur. Tout dans ce moment me crie de faire demi-tour, d’attendre que la réalité se réinstalle. Mais il y a quelque chose d’irrésistible dans cette lumière, une curiosité qui me pousse à avancer. Je marche, le cœur battant, cherchant un signe, quelque chose de familier. Et puis, je le vois. Assis sur un banc, au bout d’une ruelle étroite. Il semble tellement réel, et pourtant, il y a quelque chose d’étrange en lui. Ses yeux, d’habitude pétillants de vie, sont maintenant sombres, presque insondables.
— Ni-ki ! j’appelle, en courant vers lui.
Il tourne la tête, et son regard se pose sur moi, mais je ne vois pas la chaleur et l’amitié que j’ai toujours connues. Il y a une distance, une sorte de mélancolie dans son expression. Je m’arrête devant lui, haletante, et il me regarde de ses grands yeux sombres, une expression douce, mais indéchiffrable sur le visage.
— Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Est-ce que je suis en train de rêver ? je demande, tentant
de reprendre mon souffle.
Il hausse les épaules, un léger sourire aux lèvres. Il s’avance, et je sens mon cœur se serrer. Il a toujours été celui qui m’apportait du réconfort, celui qui me faisait rire. Mais maintenant, il semble comme un étranger, perdu dans une réalité qui m’échappe.
— Viens, suis-moi.
Sa main se tend dans ma direction et j’hésite, quelques secondes, avant de lier nos doigts entre eux.
Nous marchons ensemble, et le monde autour de nous change au gré de nos pas. Des scènes de notre vie se dessinent, flottant comme des souvenirs projetés. Je vois la forêt où nous avons marché, un jour d’été, le soleil perçant à travers les branches, sa main tendue vers moi pour m’aider à franchir un ruisseau. Je revois cette soirée dans mon appartement, des pizzas sur la table, nos rires résonnant contre les murs alors que nous nous moquions des personnages d’une série stupide. Des simples moments de bonheur.
—Tu te souviens de ça ? je demande, pointant du doigt l’image de nous deux, assis sur le
canapé, riant aux éclats.
Il acquiesce, ses yeux rivés sur le souvenir, une amertume que je ne comprends pas dans son regard.
— Oui, murmure-t-il, c’était une excellente soirée.
Sa voix est douce, mais il y a quelque chose de triste, une profondeur qui me fait frissonner. Les souvenirs continuent de se matérialiser autour de nous, flous mais si vivants, et je suis happée par cette sensation étrange, cette nostalgie qui m’envahit de plus en plus. Pourquoi tout me donne l’impression que chaque seconde peut être la dernière ? Je lève les yeux vers lui, le cherchant du regard comme pour trouver un sens à tout ça, mais il l’évite soigneusement. Une certaine peur commence à naître dans mon esprit, comme si je sentais au fond de moi qu’il y a quelque chose que je devrais comprendre, une vérité enfouie derrière ce calme irréel.
— Pourquoi est-ce que tout semble si…
Je cherche le mot, mais il m’échappe.
— Pourquoi suis-je ici, Ni-ki ?
Il détourne les yeux, et le décor change à nouveau. Nous sommes sur un toit, le vent soufflant et emportant avec lui les feuilles mortes qui virevoltent autour de nous. Je me souviens de ce jour – nous avions passé l’après-midi sur ce toit, à parler de nos rêves, de nos secrets, à regarder la ville s’étendre à nos pieds. Mais ici, dans ce monde étrange, tout semble amplifié. Les couleurs sont plus vives, les émotions plus intenses, presque douloureuses.
— Parfois, dit-il, sa voix portée par le vent, il y a des choses qu’il faut accepter, même si
on ne les comprend pas tout de suite.
Je fronce les sourcils, cherchant à saisir ce qu’il essaie de me dire. Il me regarde alors, ses yeux brillants d’une tristesse indéchiffrable, et il tend la main.
— Viens.
Je la saisis, et une chaleur douce m’envahit. Nous dansons, là, au milieu de ce toit fantomatique, sans musique, juste le bruissement des feuilles dans les arbres et le battement irrégulier de mon cœur. Ses bras m’entourent, et je ferme les yeux, laissant la chaleur de sa présence m’envelopper, un instant hors du temps. Ses doigts finissent par se resserrer un peu autour des miens, sa main froide pressant contre la mienne. C’est si étrange, ce contraste. Lui qui, habituellement, est toujours plein d’énergie, là, il semble s’effacer, comme une ombre. Il relève la tête, son visage prenant une expression douce mais empreinte de ce trouble insaisissable.
— Je suis content que tu sois là.
Ses paroles me troublent profondément. Il y a quelque chose dans sa voix, une forme de résignation qui me fait comprendre qu’il y a plus que ce qu’il laisse paraître. Nous reprenons notre route, et je remarque que nos souvenirs s’estompent peu à peu, remplacés par des fragments de paysages incertains, de ruelles silencieuses et de lieux inconnus. À chaque pas, l’atmosphère semble se faire plus lourde, plus oppressante, comme si le temps lui-même ralentissait. Il me regarde cette fois avec une intensité qui me fige, avant de murmurer, presque trop bas pour que je l’entende :
— Il est temps.
Mes doigts se serrent instinctivement autour de sa main, refusant de lâcher prise, refusant de croire qu’il puisse y avoir quelque chose d’inéluctable ici. Puis, je le sens se détacher, doucement, comme un rêve qui s’évanouit au réveil. J’ouvre les yeux en sursaut dans le métro, la lumière crue des néons m'aveuglant un instant. Le brouhaha du train, les grincements des rails, tout semble étrangement familier. Je prends une grande inspiration et réalise que ma main est posée sur celle de Ni-ki, assis à côté de moi, un sourire tranquille sur le visage. Je me tourne pour l’observer alors qu’il me semble perdu dans ses pensées, sa tête se balançant au rythme de la musique qu’il écoute. Sa présence devrait me rassurer, mais pourtant, un sentiment, pesant, continue de courir dans mon esprit. Je sais que ce n’était qu’un rêve, mais il reste en moi comme une brume tenace, une sensation qui refuse de disparaître. Ses doigts, sous ma main, sont tièdes, bien réels cette fois, mais je n’arrive pas à chasser la trace de cette froideur qui s’était imprimée dans ma mémoire. Il pivote enfin la tête dans ma direction, son casque dorénavant autour de son cou, et m’adresse un sourire amusé.
— Ça va ? me demande-t-il sans doute à cause de mon regard insistant, on dirait que t’as
vu un fantôme.
— Oui… enfin, non. Ce n’est rien. J’ai juste fait un rêve étrange. je termine en secouant la tête, tentant de rire pour dissiper le malaise qui commence à s’installer.
Ni-ki se penche vers moi, et je peux lire l’amusement dans ses iris foncés.
— Du genre ? T’as rêvé de moi, c’est ça ?
Sa voix prend une intonation malicieuse, et je vois son sourire s’étirer.
— Allez, avoue. Tu te languis de moi jusque dans tes rêves maintenant ?
Je sens mes joues s’échauffer et je secoue vivement la tête pour le faire cesser.
— Ce… n’est pas ce que tu crois, je balbutie, tentant de minimiser. C’était différent.
Il écarquille légèrement les yeux, feignant une expression d’incrédulité exagérée.
— Oh, différent comment ? Genre, romantique ? Tragique ?
Son visage s’approche du mien, l’air faussement sérieux.
— Ou bien, était-ce un rêve où tu me déclares ton amour éternel avant de t’enfuir dans le
coucher de soleil ?
Je me mordille la lèvre, cherchant quoi répondre, mes mains moites de gêne.
— Rien de tout ça, d’accord ? C’était…
Je cherche à détourner la conversation, mais il éclate de rire, ravi de ma réaction, et me pince gentiment l’épaule.
— Relax, dit-il en riant, ses doigts toujours entremêlés aux miens. Je te taquine.
Un sourire naît malgré moi, même si je détourne un peu les yeux pour échapper à son regard perçant. Sa main serre la mienne avec chaleur, et je sens mon cœur se calmer, même si quelque chose continue de me hanter.
La voix du conducteur annonce notre prochaine station, puis soudain, un flash de lumière intense envahit le wagon. Un bruit assourdissant secoue le métro, un grondement puissant qui résonne dans mes os. Le train tremble, et tout se passe en une fraction de seconde. J’entends des cris, je sens le sol se dérober sous mes pieds, et tout autour de moi se transforme en un chaos terrifiant. Le souffle d’une explosion ébranle la rame, le monde autour de nous devenant un tourbillon de poussière et de débris, et je perds pied, me sentant aspirée par un vide abyssal. Dans le tumulte, je m’accroche désespérément à la main de Ni-ki, le seul repère, le seul ancrage que j’ai dans ce monde qui s’effondre autour de moi. Je tente de murmurer son nom, mais ma voix se brise dans le bruit assourdissant. Alors que le train s’immobilise enfin, le silence s’installe progressivement, lourd et oppressant. Autour de nous, des débris jonchent le sol, et la lumière faiblit. Dans ce calme étrange, je ressens la chaleur de sa main… ou plutôt, je sens cette chaleur s’éteindre. Je tourne lentement la tête vers lui, mon cœur s’arrêtant presque en voyant son visage, calme, paisible. Il me regarde sans me regarder, ses yeux empreints de cette même mélancolie qui m’avait troublée plus tôt. Et là, je comprends. Ma gorge se serre alors que je ressens l’absence de chaleur à travers son épiderme, cette sensation glaciale qui remonte le long de mon bras.
— Ni-ki… je murmure, une larme roulant sur ma joue.
Mais il ne répond pas. Ses yeux restant fixés sur moi, empreints d'une tendresse infinie, comme un dernier adieu silencieux.
❥ Les histoires ne s’achèvent jamais vraiment, elles restent suspendues entre les pages et les cœurs qui les lisent… Merci d’avoir voyagé avec moi ღ © schizophrenic-writer 2025.
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swgzl · 8 months ago
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MIDNIGHT RAIN
Mon dernier projet que j'ai codé pour Midnight Rain et son staff bordeldedebo & ebm1994. Les images sont de ebm1994.
contexte :
8h48. Ses yeux se ferment alors qu’elle lutte contre le sommeil. Nuit difficile, rêves agités. Elle sait qu’elle n’arrivera pas poser son badge sur cette maudite machine à 9 heures pile, lorsqu’elle passera les portes de son travail. Son manager va lui faire remarquer. Elle va s’excuser, s’installer à son bureau, allumer son ordinateur, répondre aux demandes des clients. Tout ça, elle le fera en faisant semblant d’en avoir quelque chose à faire puis elle restera quelques minutes supplémentaires pour se faire bien voir. Enfin, elle décidera par rentrer chez elle, se posera devant la télévision à la recherche d’une série capable de lui faire oublier son quotidien en se demandant comment a-t-elle réussi à se coincer dans cette vie si monotone.
8h49. Il y a lui, coincé debout entre deux inconnu⸱e⸱s habillé⸱e⸱s en tailleurs, alors qu’il tente tant bien que mal de tenir debout grâce à la barre du métro. Il a promis à son petit-ami qu’il ne rentrera pas trop tard, avant 23h à tout casser. Et le voilà à se mélanger à la population aux regards bien trop sérieux, alors qu’il veut continuer à se déchaîner sur les musiques de Dua Lipa. Qu’est-ce qu’il ne les envie pas, celleux-là autour de lui. Pourtant, sa famille lui dit souvent qu’il devrait songer à se poser, trouver un emploi stable au lieu de vagabonder, de festoyer. Lui aussi, il aime parfois s’imaginer une autre vie, à la place des personnes, ces personnes en tailleurs, qui l’entourent dans ce métro. Est-ce qu’un jour il s’ennuiera, comme elleux dans sa vie ?
Mais les deux n’ont pas le temps d’y réfléchir alors que la trame de métro s’arrête brutalement. Il se retrouve projeter contre la barre, elle se cogne la tête contre la vitre. Une panne, paraît-il. Lui souffle, car il n’a pas besoin de cela maintenant. Elle, presque amusée, esquisse un sourire. Au moins, elle aura quelque chose d'inhabituel à raconter à ses collègues. Et si c’était le karma… ou le destin tout simplement ?
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genevieveetguy · 1 year ago
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. It takes two to love, as it takes two to hate. And I will keep loving you, in spite of yourself. My heart beats faster when I think of you. Nothing else matters.
The Last Metro (Le dernier métro), François Truffaut (1980)
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philoursmars · 28 days ago
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Marseille. Un saut en métro pour aller dans le quartier, plutôt sympa, de Saint-Barnabé.
Ici, un monument aux Morts vaguement Art Déco qui cache un calvaire, le "Château" et Invader qui le dit : He was here !
PS : désolé pour l'interruption mais j'avais atteint mon quota de photos puis j'ai eu la visite d'un ami ces derniers jours !
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auboutdespages · 1 year ago
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AU BOUT DES PAGES
Hey les papivores 2.0, aujourd’hui nous allons plonger dans un univers mélancolique. Katherine PANCOL célèbre romancière française, est une écrivaine dont le style se caractérise à l’américaine marqué par de nombreux dialogues et ses récits qui décrivent souvent des destins chaotiques de femmes indépendantes.
ROMAN
« Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi », Katherine PANCOL.
Le PITCH, d’abord !
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
Mon AVIS, humblement !
Belles tranches de vies que nous livre ici, en grand chef, Katherine Pancol, tartinées tantôt de miel, tantôt de pâte à tartiner bon marché, mais toujours accompagnées de son fameux tea time dont elle seule à le secret.
On lui pardonnera sans problème cette éternelle histoire d'amour manquée entre Philippe et Joséphine (mais où va-t-elle chercher les prénoms de ses héroïnes ??), mais on l'attend au détour des traits de cet étonnant Junior, surdoué improbable qui casse quelque peu la véracité des propos.
Bien moins malin celui qui trouvera dans ces pages le fil rouge qui a fait le succès de l'opus précédent (La Valse lente des tortues)... on le cherche mais on ne le trouve point, perdu qu'il est peut-être entre les tourments de cette croqueuse d'Hortence (décidément, les prénoms sont un mystère pour Madame Pancol... ) et les pérégrinations de cette bonne vieille Henriette.
Toujours est-il qu'une unité de ton se propage dans les méandres de cette saga familiale à l'américaine, digne des meilleurs Dallas, un questionnement uniforme sur le rapport étroit entre hommes, à l'image du Petit Jeune Homme, vers de terre amoureux d'une étoile filante, de Gary poursuivant un père fantoche ou de Junior devenant un homme au contact du paternel.
Pancol nous en met plein la vue cette fois, en nous faisant entrer dans de nombreux mondes qui nous sont contemporains : celui des affaires internationales, évocant cette "crise financière" si proche de nous ; celui du "gratin" parisien, celui de l'écriture et de sa longue introspection ; une belle galerie de personnages, connus ou nouveaux, nous est alors donnée en pâture, donnant au livre un beau relief qui explique ses presque 1000 pages. Le lecteur en a pour son argent, il est content, content également de refermer ce troisième opus, dernier d'une longue saga qui menace de tourner en rond s'il propose un quatrième volet.
Bref, un écrin brillant et divertissant comme on les aime aujourd'hui, même s'il souffre de quelques incongruités.
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lepartidelamort · 1 year ago
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« Au début de l’année 1934, éclatait encore une fois un gros scandale financier de la Troisième République, l’escroquerie des Crédits municipaux, ayant, comme par hasard, pour principal auteur un Juif russe naturalisé, Stavisky. La complicité dans cette filouterie d’une justice putréfiée – ses personnages n’ont point changé – de la plupart des politiciens radicaux et maçons, n’avait jamais été plus flagrante. La presse et les organisations de droite s’en emparèrent, firent une campagne énorme. L’opinion suivit. Camille Chautemps, président du Conseil, le plus lourdement compromis parmi les protecteurs avérés du coquin juif, dut se démettre le 27 janvier. Son remplaçant, Daladier, apparut dès ses premiers actes comme le radical réputé "dur", chargé de sauver le parti et ses loges. Les manifestations de rues conduites par les troupes d’Action française se multipliaient et s’amplifiaient de jour en jour au chant du Ça ira.
L’extrême-gauche communiste amorçait une campagne parallèle. Le limogeage du préfet de police Chiappe, d’un arbitraire grossier, acheva de mettre le feu aux poudres. Le 6 février au soir, le rassemblement de plusieurs centaines de milliers de Parisiens, sur la place de la Concorde, prit rapidement l’aspect d’une insurrection populaire, ayant pour but immédiat l’Assemblée du Palais Bourbon. La police, fidèle en majorité au préfet éconduit réagissait mollement. La garde mobile créée par un ministère de droite contre les "rouges", défendait le pont. Le premier barrage fut forcé. La garde tira. Le premier mort tomba vers sept heures et demie. La manifestation, plus ou moins disloquée, devenue sporadique et qui, jusque-là, avait compris de nombreux curieux, se regroupa beaucoup plus serrée, et redoubla de violence à partir de dix heures. Les assauts des Parisiens, les fusillades de la garde se prolongèrent jusqu’à plus de minuit. La journée s’acheva avec le dernier métro…
La vieille République maçonnique demeurait maîtresse du terrain. Daladier, pourtant, était démissionnaire quelques heures plus tard. Paris vécut la journée du 7 pratiquement sans État, sous le contrôle des pelotons de la garde, dont on ne savait plus à qui ils obéissaient. Le soir, enfin, on apprenait l’arrivée au pouvoir d’un "conciliateur", Doumergue, dit par Léon Daudet "Gastounet le Brandadair". La démocratie était définitivement sauvée. Les vingt patriotes militants tombés dans la nuit du Six Février – exceptions les quelques curieux tués en dehors de la bagarre – ont leurs noms inscrits en tête du livre d’or de notre Révolution. (…)
Rien ne fut plus abject que la contre-offensive des Juifs, des Maçons, de la Ligue des Droits de l’Homme, des démocrates-chrétiens, de tous les humanitaires professionnels, tombant en transes pour l’exécution de quelque terroriste chinois, pour une touffe de cheveux arrachée dans le ghetto, et n’ayant que sarcasmes et rictus joviaux devant les morts français, les morts naïfs et purs de la Concorde. Jamais le bourreau ne fut plus cyniquement érigé en victime, et martyr désarmé mué en égorgeur. (…)
Nous avons longtemps traité avec beaucoup trop de pudeur et de réserve l’un des aspects pourtant essentiels de 1934. Nous avons porté rituellement de pieuses gerbes sur les tombes de nos camarades morts. Nous avons qualifié comme il convenait – nul ne l’a fait avec plus de puissance qu’Henri Béraud – les infectes et stupides canailles parlementaires qui les firent massacrer. Nous n’avons pas assez dit que nos morts furent aussi les victimes de leurs chefs. (…)
Le Six Février 1934, les chefs nationaux n’étaient pas sur la Concorde. J’y étais, aux minutes les plus meurtrières. Je ne les y ai pas vus, personne ne les y a vus. Ils étaient donc dans leurs postes de commandement. Ce pouvait être leur place. Je les y ai vus aussi, entre deux fusillades. Ils s’y tournaient les pouces, il s’y faisaient des mots d’esprit, ils se refusaient à croire qu’il y eût tant de morts que ça ! Ils n’avaient pas une consigne à distribuer, pas une idée en tête, pas un but devant eux. Les uns et les autres étaient moralement les obligés de la démocratie. Hors d’elle, ils n’avaient aucune raison d’exister. Sur ses tréteaux, ils assumaient le rôle obligatoire de l’opposant. Sautant sur une occasion assez considérable en effet, mécontents aussi du limogeage d’un policier indulgent à leurs frasques, ils venaient de se livrer au jeu classique de l’émeute, en forme de menace tartarinesque : "Retenez-moi ou je vais faire un malheur."
Mais pour ce petit jeu-là, ils avaient mobilisé des dizaines de milliers de jeunes hommes, de croyants ingénus, d’anciens soldats. Ils les avaient excités, fanatisés, chauffés à blanc. Au moment de l’action, la foule réapprit les gestes du combat et de la barricade, avec des morceaux de plâtre, des poignées de gravier et quelques lames Gillette fichées au bout d’un bâton. Les chefs, qui les avaient jetés poings nus contre les armes automatiques, s’étaient volatilisés, les uns sans doute par calcul (je pense à l’abject La Rocque), les autres saisis peut-être de vagues et tardifs remords, n’ayant plus guère qu’un souci : nier la gravité de l’événement qu’ils avaient criminellement engendré. Cette nuit-là, j’entendis Maurras dans son auto, parmi les rues désertes, déclarer avec une expression de soulagement : "En somme, Paris est très calme !" Oui, mais c’était le calme d’une chambre mortuaire.
La suite de l’histoire ne fut pas moins déshonorante. Les "chefs" de la droite firent un concert de clameurs. Certes, les "fusilleurs" étaient ignobles. Mais que leur reprochaient les "chefs" des ligues ? Ils leur reprochaient d’avoir triché en faisant tirer. Admirable politique de ces vieillards ! Incomparable symbole de cette bourgeoisie dégénérée, qui, pour n’avoir jamais eu la virilité de prendre les armes librement, de mettre sur sa conscience quelques cadavres nécessaires, aura été le complice de ses hallucinantes et imbéciles hécatombes, après desquelles le Six Février n’est même plus un fait divers en deux lignes ! Il eût fallu, en somme, que la République laissât aimablement bafouer et reconduire à coups de canne ses gendarmes, déculotter ses députés, envahir, saccager et brûler son Parlement, le tout représentant du reste, en l’occurrence, le chef d’œuvre de l’acte gratuit. Les ministres du Six Février, inutile de le cacher, avaient le droit de tirer. C’était même un devoir. (…)
Les chefs communistes, autres tireurs de ficelles, mais ceux-là, fort avisés, avaient lancé leurs fidèles sur le pavé pour profiter à toutes fins utiles du hourvari. Mais la majorité de ses fidèles ne s’en doutait pas. Pour la première fois depuis fort longtemps, les étudiants de Paris et les prolétaires rouges, armée traditionnelle de nos révolutions, manifestaient côte à côte contre la même corruption, avec la même sincérité, au même cri : "À bas les voleurs !" Les chefs de droite n’y comprirent rien, ils n’avaient rien prévu, ils ne savaient rien voir. (…)
Le Six Février (...) engendra certainement le Front populaire, favorisa en tout cas singulièrement sa naissance, en faisant figure d’une provocation énorme, passant de loin l’idéal de ce que l’adversaire le plus machiavélique pouvait rêver dans le genre. (…) Le Six Février démontra que l’armée d’une révolution nationaliste existait en France, mais que son erreur principale avait été de ne point faire d’abord sa révolution contre de pseudo-chefs.
Cette armée n’a pas pu s’anéantir en deux lustres. Éparse, elle existe toujours. Mais le "fascisme" français à la mode de 1934 n’était pas viable parce qu’il conservait trop d’attaches avec la vieille bourgeoisie de droite. Cette bourgeoisie accumula, dans ces heures fiévreuses de la dernière insurrection du type romantique, c’est-à-dire anachronique, les preuves définitives de sa caducité, de son aboulie, de son incapacité politique, de sa désunion, de sa légèreté cocardière. »
Lucien Rebatet, Les crimes du 6 février 1934, Je suis partout, 4 février 1944
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theconstantnymph · 1 year ago
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Le Dernier Métro, 1980
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lobbycards · 3 months ago
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The Last Metro (Le dernier métro), French lobby card. 1980
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alain-keler · 2 months ago
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Letanovce, Slovaquie.
Janvier 2012. Le village des irréductibles roms.
Je voyage depuis Prague avec Lenka, une tchèque rencontrée lors d'une manifestation d'extrême droite contre les roms. Lenka était de leur côté.
L'osada est le quartier village où vivent les roms, à quelques kilomètres du village, le vrai, celui où se trouve la mairie, l'église et les maisons d'habitation en dur. 
Il a neigé, les enfants s'amusent, je photographie.    
  Aujourd'hui, jeudi 28 novembre 2024, presque treize ans plus tard à Paris.
Je vais à la galerie Polka, dont je suis un nouveau membre. Derniers réglages avec Adélie, Inès. On parle photos, formats. C’est agréable et détendu. Une nouvelle aventure qui commence.
 Début d'après-midi, dentiste à Boulogne Billancourt. Fauteuil dentaire, pinces dentaires, écarteur, seringue air-eau, pompe à salive, seringue d'anesthésie, écarteur de bouche. La totale, heureusement que le dentiste est sympa. Je sors de son cabinet épuisé.
 Métro, je suis un peu au radar. Deux jeunes hommes s'assoient en face et à côté de moi. Je pense qu'ils sont sri-lankais. Celui en face de moi est costaud. Il me fait un sourire. Je suis touché. Je le vois s'assoupir, se réveiller, se réassoupir. Leur vie ne doit pas être facile.
J'ai encore un lit et un toit.
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course-poursuite · 3 months ago
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Pensée 5 24min
Ma soeur me dit depuis un certain temps qu'elle n'arrête pas de voir des couples. Dans la rue, dans le métro, dans sa classe, partout ! Cependant si vous voulez mon avis (vous n'avez pas réellement le choix de m'écouter ou non mais c'est mignon de le penser), elle les voit surtout dans sa tête. Encore une fois aujourd'hui, elle a essayé de me démontrer qu'elle avait raison (elle adore avoir raison) en me montrant un jeune couple très mal habillé (ce n'est pas la question mais ce détail rend la scène plus imaginable à vos yeux). Cette psychose frappante m'inquiète sur son état émotionnel. En effet ce n'est pas la grande gloire en amour en ce moment pour elle (ni pour moi mais nous en parlerons plus tard). Ses dernières tentatives, pour les résumer, s'illustrent par un ami des plantes, un psychopathe et le dernier en date : M. Couple-Libre. Donc ce n'est pas fameux tout ça. Vient maintenant ma théorie à son sujet. Due à un manque d'affection compréhensible par vous et moi, son cerveau a besoin de sécréter de l'ocytocine (l'hormone de l'amour). Ce cerveau ne trouvant pas à sa disposition assez de matière personnelle pour la produire, il lui fait voir des mirages amoureux qui augmentent l'hormone citée ci-dessus. C'est la fin de mon diagnostic médical. Je suggère de prendre une à deux séances de discussion avec Marc Molk, alias Docteur love.
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yaminahsaini · 5 months ago
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Jeudi 5 septembre 2024: J’ai été à l’avant première du film Beetlejuice au grand rex. C’est sympa d’aller aux avant-premières car on est plus en immersion dans l’ambiance du film étant donné qu’il n’y a quasiment que des personnes réellement intéressé qui y vont (du coup beaucoup de personnes en cosplays etc..) Mais surtout, ce cinéma est vraiment magnifique! Il y’avait des décos dans le thème, ils donnaient des cannettes fanta à l’effigie du film etc… Il y’avait également un événement Beetlejuice mais qui était sur invitation pour les influenceurs/journalistes, j’aurais bien voulue y être invité… En tout cas c’était une soirée sympa qui m’a rappelé celle d’Halloween dernier où j’avais à l’avant première du film FNAF (pour ceux qui s’en rappellent). Mis à part ça, durant le trajet du retour, j’ai loupée une marche en descendant les escaliers du métro. Résultats: mon pied s’est tordu violemment, mettant donc tout mon poids sur ma cheville. Sur l’instant je ne pouvais plus bouger tellement que la douleurs fut intense mais ensuite ça allait difficilement car je boitais en marchant. C’était devenu supportable durant la soirée mais la nuit la douleur fut toujours présente, puis ce matin (6 septembre), à mon réveil, douleurs extrême à la cheville et impossible de marcher avec ce pied. Il doit s’agir d’une grosse entorse. J’avais mis une crème antidouleurs, de la glace et maintenant de quoi serrer. J’espère que ça se calmera. Je me souviens qu’à l’époque où je faisais du judo (2013?) je m’étais fais une douleurs similaire et ça avait finit par difficilement se calmer seul au bout de quelques jours. Par contre je ne pense pas que ce fut aussi intense que maintenant..
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