#Le Petit Trou
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digitalfountains · 2 days ago
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Geenah Philander by Talya Brockmann
- Le Petit Trou, 2023
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luegootravez · 10 months ago
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Léna Ballayre by © Lauren Spitznagel
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thefashionforwardfiles · 3 months ago
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Elle USA November 2024 issue||October 23 2024|Styled by Alex White|Photographed by Carin Backoff|
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Kylie Jenner wears Le Petit Trou tomate briefs
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olympia3000 · 2 years ago
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maitresse-des-tempetes · 5 months ago
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Ok donc pour une petite relance...
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Son cas m'intrigue vraiment parce que c'est difficile de dire avec une complète certitude d'où il vient. Il est dit qu'il est Frontalier mais curieusement la plupart des frontaliers ne sont pas dessinateurs où très mauvais, il est une anomalie qui amène à se poser des questions. On peut peut-être imaginer qu'il a eu un parcours similaire à celui d'Ewilan (passé dans notre monde dans sa jeunesse, puis reparti en Gwendalavir des années après peut-être pour sauver son peuple, lui même un prodige comme Ewilan ; ils se jouent tous deux des verrous mis par les Ts'liches sur l'imagination). S'il fait en effet partie de la huitième famille cela suggère qu'il n'est pas que frontalier (et encore c'est dur de savoir si les frontaliers existaient tels quels dans l'âge de mort durant lequel Merwyn est né). On peut imaginer (soyons fous) qu'il soit né de l'union improbable entre un habitant de notre monde et un frontalier de Gwendalavir (après tout les unions improbables donnant des rejetons particuliers c'est une mission implicite des Guides dans l'Autre, et Merlin dans les légendes est souvent une sorte de sang-mêlé) - compliqué à expliquer mais après tout il a bien fallu que les ancêtres des alaviriens et autres humans dans ce monde y débarquent d'une manière où d'une autre. Avec ce raisonnement on peut même se demander s'il ne vient pas à la base de notre monde, et qu'il s'est intégré dans la culture frontalière à un moment. Il n'a pas l'air d'être un guerrier de prime abord. En plus les alaviriens sont peut-être un peu nuls pour documenter clairement leur passé et certaines vérités sont peut-être cachées ou perdues (la guilde des rêveurs dont on dit qu'ils ont des savoirs particuliers...)
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homomilitia · 1 year ago
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I wish i had no tits so i could wear lacey bras
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sansaleira · 8 months ago
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Le Petit Trou
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camisoledadparis · 25 days ago
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saga: Soumission & Domination 372
Noël 2015-2, l'annexe 1
24 au soir.
Nous sommes tous invités chez Emma. Pablo (frère d'Ernesto et son cuisinier) a demandé l'aide de Nathan. Comme ce dernier a commencé sa journée chez Julien afin d'honorer toutes les commandes de la boutique, il est un peu fatigué quand nous arrivons vers les 18h.
Pour faire plaisir à Emma nous sommes tous " habillés " c'est-à-dire costume cravate. Pour nos trois invités, j'ai tapé dans les placards de mes escorts pour trouver leurs tailles adéquates.
Duke est un peu troublé, pour lui c'est la première fois qu'il porte ce type de vêtement, plus habitué au style décontracté de la côte Ouest. Quand il s'aperçoit qu'il peut quand même bouger et que le tissu suit ses mouvements, ça va mieux.
Emma est ravie de parler Anglais. Mes amis s'étaient fait une tout autre idée de ma " mère " même si je leur avais dit qu'elle faisait encore très jeune !!
Diner délicieux bien sûr, Pablo et Nathan s'étant surpassés comme toujours. Nous aidons tous au service afin qu'ils ne passent pas tout leur temps en cuisine mais puissent être avec nous tous.
Au moment de partir, je reste avec Ernesto, PH et Ludovic sur place. Nathan rentre au Blockhaus fêter Noël avec ses deux amis
Nous passons les 3 heures qui suivent à faire l'amour à Emma. L'intensité est d'autant plus forte que notre séparation a été longue (je compte par notre passage rapide de mi-novembre). Nous investissons sa chambre avant de faire de même avec son corps. Elle est bouillante ! Nous n'avons pas fini de la déshabiller que ses tétons sont durs comme de la pierre. Le premier je pose ma main sur son sexe et je sens son clitoris dans le même état. J'arrache sa culotte en dentelle et plonge ma tête sous sa jupe. Mes trois comparses se charge de lui faire garder l'équilibre que l'aspiration dans ma bouche de ce petit appendice compromet.
Le sol se jonche de nos différents vêtements jusqu'à ce que, nus, nous nous pressions contre elle. Sa bouche, sa chatte et son oignon reçoivent la visite de nos sexes turgescents. Bien que glissant avec facilité dans ses trois trous, nos bites se trouvent bien serrées par ses muscles internes hypertoniques. Aux doubles pipes s'enchainent les prises de chatte par deux queues tout comme les doubles sodo. L'optimum est atteint alors que je la sodomise avec Ernesto (tous les deux couchés sur le dos, elle nous chevauche en se couchant dos sur mon torse pour dégager sa chatte. PH s'agenouille au-dessus du nombril d'Ernesto pour enfiler le vagin Emma. Il ne reste plus à Ludovic devenir se faire pomper pour que chacun trouve sa place.
Les mains sur les haches d'Emma je donne le tempo de cet enchevêtrement de corps. Ses cris de plaisir doivent traverser les murs. Les nôtres ne sont pas moins retenus. Heureusement que Pablo loge au-dessus des garages sinon il n'aurait pu tenir de nous entendre baiser pareillement.
Je suis le premier à venir. J'englue le gland d'Ernesto mais bientôt ses spermatozoïdes rejoignent les miens. Puis c'ets au tour d'Emma de partir en vrille. PH jouit de se faire serrer la queue par ses muscles vaginaux alors que Ludovic, à nous entendre tous, part à l'autre extrémité du corps supplicié de plaisir.
Désemboitage lent, nos queues encore excitées ne débandent pas rapidement. Sur le dos, deux de ses hommes de chaque côté, Emma nous remercie. C'est à ce moment-là que je remarque un nouvel aménagement : le plafond tapissé de glaces, réfléchissant son corps alanguis.
C'est Ernesto qui lui demande si esthétiquement notre dernière position sortait du lot des positions " classiques ". Réponse : " je n'ai pas vu grand-chose avec Ludovic qui me tenais la tête pour me défoncer la gorge ". Excuses de ce dernier, vite acceptées.
25 décembre :
Réveil difficile quelques heures plus tard. Douche glacée pour achever de retrouver nos esprits, petit déjeuner léger en prévision du repas de Noël au Blockhaus. On dévalise ma garde-robe locale puisque le dresscode est " casual ".
On arrive à la maison en même temps que Côme avec ses parents. C'est la première fois qu'ils viennent. Ils sont impressionnés par l'extérieur. Cette façade aveugle, juste percée d'étroites " meurtrières " verticales explique le surnom de la maison. Le fait qu'à droite mon acquisition reprenne le même type d'ouverture ainsi que le bâtiment de notre voisin de gauche (ce que je n'apprécie pas particulièrement même si elles sont disposées horizontalement !), renforce encore l'effet.
Nous entrons. J'explique l'usage des différents niveaux sans épiloguer sur celui de ma société. Ce n'est qu'en ouvrant la porte du monte-charge à l'étage de vie que je pense aux projections des " déjeuner sur l'herbe " joués par mes amis. Trop tard !
Alors qu'Enguerrand embrasse ses parents, je m'avance et m'aperçois que quelqu'un y avait pensé aussi et le mur ne reflète qu'une vue du golden gate de San Francisco depuis Télégraph Hill.
Il ne reste pas moins les deux cariatides aux hanches pudiquement recouvert de serviettes très étroites pour une fois. Heureusement la lumière en provenance de la piscine surplombant la cuisine attire leurs premiers regards.
Comme je m'étonne de ne pas voir de grande table, Samir exceptionnellement vêtus pour l'occasion (tout comme Ammed) m'explique que tout est installé sur la terrasse. Nous restons donc à ce niveau le temps que les derniers invités arrivent. Ils font connaissance avec les autres habitants de la maison. Côme leur avait déjà expliqué qu'ils n'y auraient qu'Emma et la mère de Max comme éléments féminin en sus de sa mère et, j'ai su plus tard, qu'il leur avait aussi demandé de ne pas trop poser de question sur qui était avec qui, ce qui leur éviterait de se faire des idées déplacées !
Les parents de Max arrivent enfin. Leur fils va les accueillir au rez-de-chaussée. Le père, qui était déjà venu pour suivre ma convalescence s'était chargé d'avertir sa femme. Malgré ça, je l'ai vue tourner la tête dans tous les sens dès sa sortie du monte-charge.
Les bouchons de champagne sautent et les verres se remplissent comme les petits fours arrivent. Les jeunes aident mes Hommes de service le tout dans une ambiance assez bruyante.
Pour les cadeaux nous sommes priés d'accéder à la terrasse, enfin !!
Pas de sapin décoré, ils m'ont bien eu ! Par contre je découvre que le mur mitoyen avec notre nouveau voisin a été abattu et que l'espace des deux cours a été redistribué. Le grand tatami et les agrès de gymnastique ont migré de l'autre côté, laissant de nouveau un espace plus conséquent à la végétation.
Là, mes amours (Marc, PH, Ludovic et même Ernesto) me souhaitent un joyeux Noël et m'expliquent qu'ils avaient fait l'acquisition du bâtiment voisin pour y installer un parking + au premier étage une salle d'art martial plus conséquente que le petit espace du Blockhaus et au second un appartement communautaire destiné à remplacer la colocation que je louais et permettre à plus de mes escorts d'y loger.
Les fous !!
Emma sort du sac qu'elle avait amené avec elle, 13 boites étroites recouverte d'un papier glacé noir. Pablo fait la distribution. Les américains sont ravis mais un peu gênés d'avoir le leur. On ouvre pour y trouver une grosse montre Suisse. Le même modèle pour tous juste gravé d'un " 2015 ". Elles rejoignent toutes les poignets et chacun d'admirer l'effet qu'elle fait sur le sien.
Moi je distribue aux deux couples (parents de Max et ceux de la fratrie) des enveloppes. Dedans j'ai mis un bon pour un séjour à San Francisco voyage compris évidement. Pour les autres, mes amours un nouveau jonc en or, gris cette fois qui rejoignent aussitôt ceux précédemment offerts à leur bras droit. Mes deux escorts de maison (Joao et Romain) reçoivent un I-phone 6 tout comme Pablo. Pour les invités d'outre atlantique, j'avais demandé à PH d'aller chercher chez mon joailler de Paris trois anneaux en or, plats gravé du 25-12-15. En plus pour Duke qui avait dit à la triplette combien il kiffait trop le fait que j'ose porter des bracelets en plus des différents anneaux, chevalière et pendant d'oreille, un beau saphir à accrocher à son percing d'oreille. Dane me dit que j'ai fait une folie et que son garnement de frère ne valait pas ça. Quand je le lui accroche, sa couleur rehausse celle de ses yeux. Il me saute au cou et me dit qu'il y avait pensé mais n'avait pas osé faire le pas.
Mes trois " petits frères " sont ravis de sa surprise vu qu'ils étaient à l'origine de ce cadeau. Ils l'entourent et Côme doit aller leur dire de mettre un peu de discrétion à leurs effusions rapports aux parents. Leurs bisous avec la langue ça finirait par choquer.
Emma reçois de ma part des boucles d'oreilles de chez Tiffany.
Je reçois des parents de Max et des 3 frères une caisse de 6 bouteilles de Romanée-Conti. Une folie pour eux ! Je les engueule gentiment.
Je prends un peu de temps avec eux, heureusement qu'Emma les avait " coachés " à leurs arrivées. Après m'avoir remercié une nouvelle fois, surtout quand je leur ai dit qu'à San Francisco ils auraient un véhicule pour se promener, ils admirent ce que nous avons fait de cet ensemble d'entrepôts industriels. Pour les sculptures d'Alban, ils sont moins fans mais trouvent amusant que j'ai repris l'utilisation de cariatides pour le soutien de la piscine à l'étage en dessous.
Le déjeuner est merveilleux et je suspecte Pablo d'y avoir mis son grain de sel. C'est confirmé par l'intéressé quelques minutes plus tard.
 Dès le café avalé, avant la visite de mon " voisin ", j'ai juste le temps de sodomiser Enguerrand venu me retrouver alors que je faisais mes ablutions de sortie de table.
Ce petit obsédé m'avait collé aux basques et alors que je me lavais les mains, il m'a descendu pantalon et slip avant d'emboucher ma bite qui déjà se remplissait de sang. Raide en moins d'une minute, je le retourne et l'enfile coincé contre le lavabo. Il tend sa tête en arrière pour qu'on se roule un patin pendant l'action. Mes vas et vient sont rapide mais profond et il ne peut retenir, à chacun de mes coups de rein, un gémissement significatif. On va se faire griller si nous restons trop longtemps absents. J'accélère le rythme, ses gémissements suivent jusqu'à ne plus être entrecoupés de silence. Quand il jute dans le lavabo, sa rondelle me bloque et me fait éjaculer. Trop bon ce petit coup en douce !! Je pilonne encore deux trois fois son cul pour bien propulser mon sperme tout au fond et je ressors brutalement. Ça tire un dernier gémissement d'Enguerrand qui me dit que ça lui fait tout d'un coup froid. On se nettoie un brin, se réajuste l'un l'autre pour effacer les traces de nos turpitudes puis on rejoint le monde.
Je me fais direct grillé par PH et Ludovic qui voient dans mes yeux comme un reflet de satiété !! Tout bas ils me traitent d'obsédés et quand Enguerrand nous rejoint, ils savent qui en a bénéficié.
La nouvelle Annexe 2:
L'entrepôt fait 30m de façade sur 15 de profondeur. Le rez-de-chaussée est organisé en parking. Ici aussi le monte-charge existant a été rénové mais pas transformé en ascenseur comme au Blockhaus.
Le premier étage : un sas d'entrée pour isoler la salle de sport. Un seul plateau organisé en trois grands tatamis et au fond contre le mur mitoyen les sanitaires séparés de la grande salle par une paroi en verre juste sablée au niveau des hanches. On voit quand même 2 portes pleines cachant des WC et une série de douches (pommes zénithales) sans séparation couvrant le reste du mur soit pas loin de 11m avec devant un lavabo circulaire à 4 robinets.
Le mur côté rue est recouvert de glaces et celui de la cour est percé de grandes fenêtres du plafond à 50cm du sol, la partie basse servant de banc. Quelques barres d'assouplissement, sont réunies en faisceau à chacun des trois tatamis.
Le 2ème étage : on sort du monte-charge sur un palier occupé de grands placards pour mettre manteaux et chaussures. On entre directement dans un grand séjour avec cuisine ouverte sur la gauche. Toute équipée avec 3 blocs de cuisson et 4 frigos américains. La salle doit faire dans les 200m². Elle est séparées en  plusieurs coins salon/détente avec chacun leur grand écran plat (avec chacun 4 séries d'écouteurs) et une énorme table haute du côté de la cuisine pouvant accueillir une 15aine de convives.
Un sas contenant 4 WC sépare le côté jour du côté nuit. Puis viennent 8 chambres d'environ 25m² et au fond une salle d'eau commune sur le modèle de l'étage inférieur.
L'installation est encore vide, mes amours me laissant le choix des futurs " locataires/bénéficiaires ".
Alors que la triplette se verrait bien être les premiers occupants, levée de bouclier chez les parents. Déjà que quand ils sont chez eux (semaine chez Max et WE chez Enguerrand) ils se plaignent de ne pas les voir beaucoup, ici ils ne les verraient plus du tout.
Partie remise pour les jeunes !!
La cour, qui est couverte comme la nôtre, a récupérée toute la partie Gymnastique et les postes de musculations.
La soirée s'avance et c'est avec impatience que certains attendent le départ des invités (Emma et les parents).
Jardinier
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thezeninclan · 6 months ago
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“d-don’t stop.” you moaned. “please I c-can’t take it.” 
he chuckled lowly. “yeah?”
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from the moment you had answered the phone the sounds from the other end of the line had been obvious— the soft, slick noises, the breathy sounds, the barely suppressed moans. he was asking you to talk for him, nothing overtly sexual at first, just asking about your day, did you have dinner plans, how did your new shoes feel, how did you sleep last night . he just wanted, needed, to hear your voice. 
“you’ve been working too much.” you scolded. he laughed, the soft sound you had so long ago fallen in love with, and you knew he was rubbing his eyes with the back of his hand, a telltale sign of weariness. you wanted to be where he was, brush back his hair for him, kiss his tired eyes, undo his tight tie. 
“I always work too much.” he returned. 
“you don’t have to tell me that. my poor vibrator has run out of batteries faster these last few months than all its years combined.” 
“oh yeah?” he questioned. you could hear the grin in his voice. you smiled to yourself, mentally kicking your feet and giggling at the way his breathy voice came over the line. “poor baby. must be so hard when I’m not there to take care of you.”
“I think it’s the lack of hardness that has me reaching for your nightstand.” you returned. the slick sounds continued, obvious in the silence of conversation. 
“miss me that much, huh?”
“I can barely remember what you look like anymore. for all I know you’re just a robot talking to me over a computer speaker.” 
“I don’t think a robot could make you cum as hard as I do.” higuruma said. his breath was heavy, his voice as gruff and hollow as when he first woke up in the morning. “as often as I do.”
you reached for the blue vibrator you’d tossed aside earlier and pressed the power button, lifting it to the phone’s speaker so he could hear. “I dunno about that.” 
“don’t tease.” he said sternly, but you could hear the smile in his voice. 
now it was your turn to smile to yourself, putting your phone on speaker as you tapped into your photo gallery and scrolled through your hidden photos. you had ordered a few new pairs of lingerie and nightgowns, on higuruma’s card, as both a punishment and a reward for his many, many, many nights of hard work. “oh?” you said. “then I guess i’ll put away this new gift i got...”
“well now.” he said. you could hear the sound of fabric adjusting, the sound of metal jingling. “is that what those charges were? I was sure I didn’t buy anything at Le Petit Trou.”
you giggled. you knew he would like what you bought, the thigh high stockings he liked you to wear, liked to kiss your thighs wearing, liked you to leave on even after he had pulled off the rest of your clothes. the garters bit into your soft skin, leaving divots in the meat of your thighs, where he often laved his tongue across after. the panties themselves were pale white and creamy, near see through as they pulled taut across your hips and ass, the position you had taken the photo in just accentuating the tightness of the fit. “you look...incredible...” he breathed. “beautiful. I can’t believe you showed me.” every word was punctuated by a rough slapping sound, a rough groan. 
“I can’t wait to show you in person.” you said, feeling bold. “can’t wait for you to ruin them.” 
“oh I will.” he said. “that lace won’t survive the night. the hour. I’ll tear them off with my teeth.” you nodded, feeling the hazy pleasure in your belly swirl. at first you hadn’t expected to be so turned on by this, by just a simple vibrator and the baritone of his voice, but god you were. you felt like you could come soon, even though it had been barely a minute. 
“what would you do first?” you asked. “m-my bra or my panties?” 
“how could I choose?” he replied. the sounds on the other end of the phone were hot, wet, almost palpable despite the distance between you. “I love your tits and your pussy equally.” 
“oh, yeah?” you asked, circling your clit with the end of he vibrator, pressing and releasing the pressure every other moment. “aren’t you forgetting someone?” 
“how could I forget that juicy fuckin’ peach you have back there?” he laughed. “I can practically taste it now. first thing I’d do is sink my teeth into it and mark my territory.” 
“oh yeah?” you breathed, you could barely respond, barely think, of anything but pleasure. you moaned for him, breathy and sweet, and he groaned out in response, fist dragging up and down his cock. 
“maybe I won’t waste time with my teeth. maybe I’ll just give you my cock-” 
“please.” you sighed. “I w-want it so bad.” 
“fuck, you’re killing me here. I miss you so much.” he said. “I’d fuck you as hard as I did last new year’s, when we stayed at that hotel in the city. fuck, you were so hot with your tits pressed up against the glass, gagging on my cock where everyone in the city could see you. we should do that again, maybe go down to the restaurant this time. I’ll fuck you right on the dinner table so everyone can see how you take my cock.” 
he chuckled again, breath fanning out into the mic of the phone. you wanted to feel it against your skin as he kissed you, as he fucked you, your fingers automatically pressing down on your aching clit and feeling a jolt of overstimulation as a result.
“g-god hiromi-” you breathed, pleasure exploding behind your eyes like a cresting wave as you came. you moaned loud and unabashed, not caring if your neighbors heard you, not caring if anyone heard you. everyone knew your moans were his and his alone. 
“I love you, baby.” he breathed. “I’ll talk to you later-”  
everything came to a halt. “why didn’t you-” you began, confused. hadn’t he started all this? hadn’t he been the one to call you first? 
“isn’t it obvious?” hiromi asked. you tilted your head to the side, confused. had you cum so hard that you’d actually scrambled your brain this time?
“wha-”
the door creaked as it was pushed open and you gasped, jolted out of your post-orgasm bliss by a pang of fear. who could it be at this hour of night? was someone trying to break in? where was the switchblade you kept in your nightstand drawer?
“you didn’t think that was enough for me, did you?” higuruma asked, and you blinked, having forgotten for a moment that you had been speaking to him, had been so thoroughly seduced by him. the call dropped as fast as your stomach did, and the door flew open to reveal a familiar outline. 
“oh my god.” you breathed.
hiromi was already pulling off his tie, shoes and socks left at the door. his pants were undone and tight at the front, hanging off his slim hips as he walked closer. you practically melted into his touch as he caressed the side of your face with a big, warm palm, sinking your weight against him and knowing he’d be there to support it. 
he smiled at you, kissing you deeply and tossing away the phone that had still been hanging in your hand. “when I make you cry on my cock, I need to hear all those pretty little noises right from your mouth.”
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elodiecsu · 11 months ago
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Ce matin nous déjeunons après avoir déposer les enfants.
Puis canapé ou je m’allonge en mettant mes pieds sur tes jambes, tu es assis .
Tu masse pieds , jambes, cuisses, mes seins.
Te voilà sur moi , entre mes cuisses, ta bouche sur mon cou , une protubérance presse mon entrejambe.
Tu enlèves ton sweat-shirt, sors mes seins de mon soutif et les lèches.
Tes fesses sont précieuses dans mes mains et mon bassin gigote contre ton pantalon.
Tu sors ta verge par ta braguette, je n’ai pas le temp de la saisir que tu ecarte mon body et remonte ma robe .
Un missionnaire de père et mère s’en suit puis affaler , jambe sur tes épaules, ta verge est maintenant une queue large qui me fait couiner comme une amante .
Cette queue devient une bite affamée qui s’engouffre dans mon petit trou en me rappelant que tu dois te vider, telle est ton devoir de féconder.
Tu m’embrasse, referme ta braguette , ta verge et toi doivent aller en ville .
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digitalfountains · 3 months ago
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Geenah Philander by Talya Brockmann
- Le Petit Trou, 2023
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luegootravez · 10 months ago
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Léna Ballayre by © Lauren Spitznagel
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thefashionforwardfiles · 3 months ago
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Elle USA November 2024 issue||October 23 2024|Styled by Alex White|Photographed by Carin Backoff|
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Kylie Jenner wears a white tomate top by En Le Petit Trou
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olympia3000 · 2 years ago
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Fleur du Mal
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lacesconfidences · 5 months ago
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Plaisirs entre filles…
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Un après-midi, Christine nous a montré comment elle se servait du vibro de sa mère. C'était un vibro blanc, en plastique dur, un peu comme celui de la photo. Elle a commencé par ma sœur, en lui caressant les lèvres et le clito, sans la pénétrer car elle voulait 'rester neuve pour son mariage'. Ma sœur était bien humide au bout d'un moment, et moi je bandais à passer au travers de la culotte que j'avais gardé. Alors Christine s'est allongée sur le dos et a demandé à sa chérie de lui rentrer doucement le vibro dans la chatte en lui donnant son minou à lécher. Ma sœur s'est placée a califourchon sur le visage de Christine et a commencé les va et viens dans la chatte de sa chérie. Moi je m'étais mis face à cette petite chatte béante qui suçait ce gode vibrant. Quel merveilleux spectacle 💦💦💦😍 ! J'en ai déchargé presque instantanément dans ma culotte sans me branler 💦💦💦 A en croire leurs gémissements et leurs mouvements, je crois qu'elles m'ont suivi de peu 😉💦💦💦 Après ce premier plaisir, ma sœur a libéré le visage de Christine qui était rouge et tout mouillé et elles se sont embrassées💋💋💋. Puis Christine m'a regardé avec ma culotte trempée de foutre et m'a dit "Ma cochonne, tu as aimé le spectacle à ce que je vois ! Tu n'as pas envie d'essayer ? Pour toute réponse je me suis levée, j'ai laissé tomber ma culotte mouillée sur mes pieds et je lui ai tendu ma chatte en me cambrant et en prenant appui sur le fauteuil. Je ne voyais pas ce qu'elle faisait mais j'ai entendu le vibro redémarrer et je l'ai senti venir en douceur à l'entrée de mon petit trou. C'était une sensation nouvelle, très agréable. Je me suis contractée un peu par réflexe mais ma sœur m'a dit "Avec ce que Christine lui a mis comme mouille, il va glisser tout seul, laisse toi faire !" En effet, je l'ai senti rentrer bien au fond, avec les doigts de Christine qui butaient sur ma chatte. Et ces vibrations !💗💗💗💦 Et ces va et viens 💦💦 Je me sentais prise et c'était trop bon !!!! J'ai senti aussi montrer mon éjaculation alors j'ai dit à ma sœur de prendre de quoi absorber et elle m'a enveloppé le gland dans une serviette périodique, juste à temps encore une fois 💦💦💦💦 J'en ai redemandé souvent ensuite et je crois que nous avons consommé pas mal de piles électriques 😉😉
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Fun between girls…
One afternoon, Christine showed us how she used her mother's vibrator. It was a white, hard plastic vibrator, a bit like the one in the photo. She started with my sister, caressing her lips and clit, without penetrating her because she wanted to 'stay virgin for her wedding'. My sister was very wet after a while, and I was hard enough to pass through the panties I had kept. So Christine lay down on her back and asked her sweetheart to gently insert the vibrator into her pussy while giving her her pussy to lick. My sister straddled Christine's face and started going back and forth in her sweetheart's pussy. I had put myself in front of this gaping little pussy that was sucking this vibrating dildo. What a wonderful sight 💦💦💦😍! I unloaded almost instantly in my panties without jerking off 💦💦💦 Judging by their moans and movements, I think they followed me shortly 😉💦💦💦 After this first pleasure, my sister released Christine's face which was red and all wet and they kissed💋💋💋. Then Christine looked at me with my panties soaked with cum and said to me "My slut, you liked the show I see! Don't you want to try? For all answer I got up, I let my wet panties fall on my feet and I offered her my pussy by arching my back and leaning on the chair. I didn't see what she was doing but I heard the vibrator start up again and I felt it come gently to the entrance of my little hole. It was a new sensation, very pleasant. I contracted a little by reflex but my sister said to me "With what Christine put in it as wetness, it will slide all by itself, let yourself go!" Indeed, I felt it go deep inside, with Christine's fingers hitting my pussy. And those vibrations! 💗💗💗💦 And those back and forths 💦💦 I felt taken and it was so good!!!! I also felt my ejaculation showing so I told my sister to take something to absorb and she wrapped my glans in a sanitary towel, just in time again 💦💦💦💦 I asked for more often after that and I think we used up quite a few electric batteries 😉😉
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francaistoutsimplement · 3 months ago
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Le dormeur du Val - Arthur Rimbaud
C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
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