#Le Livre De La Jungle
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The Jungle Book by Rudyard Kipling
1919
Artist : Paul Jouve
#the jungle book#le livre de la jungle#rudyard kipling#paul jouve#1919#tiger#tigre#rare books#jungle
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Yann Gross | Le Livre de la Jungle (Jungle Book)
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Flashback Friday to Disneyland Paris twelve years ago today.
Mon voyage collège à Disneyland Paris il y a douze ans aujourd’hui.
🎢🏰🐻👨🦧
#FBF#Flashback Friday#Disneyland Paris#Paris#France#January#Janvier#2012#College#Collège#Trip#Voyage#Me#Moi#The Jungle Book#Le Livre De La Jungle
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Le livre de la jungle - Rudyard Kipling; Paul Jouve, ill. - 1919 - via e-rara
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Je commence l'année en beauté avec ce petit joyau qu'est "Le vieux qui lisait des romans d'amour", de Luis Sepulveda.
Ça se passe dans la jungle de l'Amazonie. Un homme blanc est retrouvé mort, la population indigène est mise en cause par le maire du village mais l'hypothèse est vite balayée par le vieux sage. C'est un félin qui a tué l'homme. Une traque se prépare, menée contre son gré par le vieux.
C'est un récit d'amour, d'empathie, de résilience, de douleurs et de rencontres qui façonnent une vie.
⭐⭐⭐⭐⭐
Pas d'objectif cette année. J'aimerais lire deux livres par mois mais j'en ai prévu quelques gros dans la PAL et j'ai beaucoup de boulot en perspective donc on verra le temps, la fatigue... J'ai par contre un besoin fréquent de me laisser envahir par la bulle de calme dans laquelle me plonge la lecture.
Comme d'hab, la recap est en billet épinglé. C'est quoi votre premier livre de l'année ?
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岡虎尾[Okatoranoo] Lysimachia clethroides
岡[Oka] : Hill
虎(-の-)尾[Toranoo] : Tiger's tail
This is the appearance of the spike as the flowers come to an end. It begins blooming at the base of the spike and finishes its flowering period without leaving behind to the tip.
Speaking of tiger, the following caption appears at the beginning of the old French film Le Samouraï(The Samurai).
IL N’Y A PAS DE PLUS PROFONDE SOLITUDE QUE CELLE DU SAMOURAÏ SI CE N’EST CELLE D'UN TIGRE DANS LA JUNGLE... PEUT-ÊTRE... LE BUSHIDO (LE LIVRE DES SAMOURAÏ)
There is no deeper solitude than that of the samurai Except that of a tiger in the jungle... Maybe... The Bushidō (The book of Samurai) Source: https://archive.org/details/le-samourai-1967 https://en.wikipedia.org/wiki/Le_Samouraï
These words are not found in either Bushido by Nitobe Inazō or Hagakure by Yamamoto Tsunetomo. I checked several other books, but still could not find any. No wonder, they were apparently created by Jean-Pierre Melville, the director. https://en.wikipedia.org/wiki/Bushido:_The_Soul_of_Japan https://en.wikipedia.org/wiki/Hagakure
As an aside, the first time I saw this film I was in my early twenties. I remember watching it many times back then. Even after that, I watched it several times. Naturally, although different in flavor from the Japanese way of Bushidō, I felt a somewhat compatible sense of tension that wafted through the entire film.
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An absolute ripper, (especially 1. the seal lullaby) by -
Charles Koechlin (1867-1950) : Le Livre de la Jungle, Poèmes symphonique d'après Rydyard Kipling (1899-1940).
I. Trois Poèmes, Op.18 (1899-1901) 1. Berceuse phoque 2. Chanson de la nuit dans la Jungle
Iris Vermillion, mezzo-soprano
Johan Botha, tenore
Ralf Lukas, baritono
RIAS Kammerchor Radio-Symphonie-Orchester Berlin diretti da David Zinman.
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Le Livre de la Jungle (The Jungle Book)
1993 France theatrical re-release poster
#Disney#The Jungle Book#France#Illustration#Baloo#Mowgli#Bagheera#Kaa#King Louie#Colonel Hathi#poster#1993#1990s
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13. Le livre de la jungle, 101 dalmatiens
14. Daddy qui s’asperge de trop de parfums cheaps
15. 2. Anglais et français. Mais un peu de gallois, d’italien et d’espagnol aussi.
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Avant d'envisager les caravelles intergalactiques, ce qui ne manquera pas d'arriver, les civilisations diverses et multiples vont disparaitre. Les couleurs humaines se diluent dans un vaste métissage généralisé. Les pensées s'uniformisent grâce aux réseaux sociaux, et bientôt, comme un terrible accélérateur, grâce au puçage des cerveaux humains auxquels Elon Musk travail actuellement - le gouvernement américain vient de lui en donner l'autorisation. Les épidémies ne manqueront pas d'arriver avec la fonte du permafrost, la généralisation des perturbateurs endocriniens, l'hypermédicalisation et la résistance aux antibiotiques et, quand elles seront mortelles à coup sûr, les derniers hommes retrouveront les instincts de leurs temps primitifs : le cannibalisme cohabitera avec l'embarquement dans les vaisseaux interplanétaires ... L'inculture transformera l'homme surnuméraire en sauvage. Les émeutes de Juin 2023 ont montré des bandes débarrassés de surmoi sont capables. Cris de bêtes et dances sauvages autour des butins, des voitures incendiées, des magasins pillés.
Nous allons vers un état total, un état unique planétaire. Cet état induira une civilisation totale. Le Divers aura disparu. Si l'on veut une idée de ce à quoi tout cela ressemblera, il faut lire 1984 d'Orwell ou Le Meilleur des Mondes D'Huxley, deux livres dits de science fiction qui relèvent bien plutôt de la science politique - du jour et de l'avenir. Notre planète redevenue la planète des singes, les élus seront choisis par les GAFAM pour quitter cette jungle et vivre une vie où le virtuel prendra la place majeur. L'odeur de haie d'aubépines ne sera plus qu'une sollicitation neuronale dans une vie dématérialisée.
issue du Front Populaire N°14 Le Transhumanisme Le Nouveau Meilleur des Mondes
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Idrissa - semaine 2
Vendredi 28 juillet 2023
Deuxième semaine à Aga birame , la journée a débuté par une réunion des points de vue des lauréats et staffs . La réunion est terminée par un cercle de vérité entre nous même.
À l'après-midi, on est retourné à la boutique communautaire pour continuer la peinture des murs des façades.
Ce soir nous sommes invités chez le chef du village pour une veillée de jeux de société et une dîner trop bien .
👉 Samedi 29 juillet 2023
Ce matin on a fait le forum et on a avancé sur les travaux.
L'après-midi , on part à la boutique communautaire pour terminer les derniers éléments de la façade,on gère les derniers préparatifs et on fait les derniers entraînements de la chorale avant l'inauguration.
Nous avons rangé les marchandises de la boutique.
Le soir , il y avait de la pluie c'est pour cela que j'étais chez moi et faire le Dodo.
👉 Dimanche 30 juillet 2023
Le jour de l'inauguration de la boutique communautaire du village.
Le matin était un moment plutôt tranquille nous avons fait des jeux de cartes et nous avons eu aussi un point médical pour savoir si tout allait bien .
Vers 16h, nous avons rangé les dernières courses dans le boutique et les derniers coups de pinceaux sur la façade.
L'après-midi vers 17h c'était la fête .
La boutique est ouverte ! Le chef du village a ouvert la cérémonie par un discours , il y a aussi une chorégraphie des petites filles qui est la danse sérère, la présentation des associations (YAKA et SAMAANE) présentée par Youry et keenz et pour finir la chorale des lauréats.
👉 Lundi 31 juillet 2023
Ce matin était encore la préparation du forum sur lequel nous avons bien avancé.
L'après-midi Vaisnavi et kany ont dirigé un atelier de sportif au terrain.
Et pour terminer la journée nous sommes allés chez Noémi qui était un peu malade .
Le soir, il n'y avait pas de veiller parce qu'on devait partir à Joal vers 6h.
👉 Mardi 01 août 2023
Le jour de la sortie à Joal.
Nous sommes quittés le village 6h pour aller à Sandiara pour prendre le bus qui ne peux pas entrer dans le village.
Vers 9h Nous sommes arrivés à Joal, notre première visite était la maison du Papa de Léopold sedar Senghor qui se nomme Diogoy Basile Senghor.
Après cette visite intéressant nous sommes allés sur l'île de Foudhioune d'autre appellation l'île au coquillages, c'était magnifique des coquillages sur le sol entier et même les murs sont faits des coquillages.
On est retourné au village vers 19h et on avait passé une excellente journée de sortie.
👉 mercredi 02 août 2023
Journée de repos
Je me suis réveillé vers 6h pour aller dans un village situé à 4 km du village accompagné par mon jumeau et Tafsir.
On est retourné vers 11h et j'étais tellement fatigué à cause qu'on était allé à pied .
C'est 17h30 on s'est regroupé pour faire la première séance d'atelier du micro développement et le business battle dirigé par les staffs.
👉 Jeudi 03 août 2023
Une matinée très tranquille, une journée de référent-référé pour échange de quelques points.
Avant d'aller prendre nos repas les staffs nous ont donné 20 minutes de connexion. Je suis profité de discuter avec ma famille et mes amis.
L'après midi il y avait un atelier de debat dirigé par Youry qui a pour thème l'arcélement dans le milieu scolaire.
Le soir, nous étions chez Léo pour une veillée et nous avons regardé un film des livres de la jungle.
Merci à tou!! Ndiokodial
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Mes lectures : Se jeter à l'eau
Titre livre/saga : Se jeter à l'eau
Autrices : Gwénola Morizur, Elléa Bird
Numéro : One-shot
Édition : Jungle
Genre : Bande dessinée
Illustration : Elléa Bird
Parution : 2022
Note : 4/5
CW/TW : Mort animale, sang
💗 : Coup de cœur
Résumé : Leïla vit une vie tranquille et lisse, un ronron quotidien dans lequel elle se sent un peu à l'étroit. Cette vie, qu'elle a l'impression d'avoir choisi, semble l'étouffer, sans qu'elle sache vraiment pourquoi. C'est une succession de signes qui l'amènent à prendre la route, partir en Bretagne sur les traces de sa vie, de ses envies et de son histoire pour se bâtir le futur qu'elle désire et le tourner vers le monde, la mer et les baleines.
Avis
"Se jeter à l'eau" est une bande dessinée toute douce qui ferait presque sentir l'air marin. La vie de Leïla est dépeinte de manière très poétique et ses émotions prennent forme dans des dessins aquatiques qui peuvent faire vibrer les lecteurices, pour celleux qui ont un attrait particulier pour les éléments visuels. La nostalgie devient océan, et ses souvenirs la guident peu à peu vers sa véritable identité et son activisme qui anime ses choix. Elle reprend en main sa vie de manière progressive tout en écoutant les flots internes qui la plongent dans ses pensées, mêlant ses sentiments et ses convictions. Une lecture très touchante que je recommande fortement.
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Qu’est-ce qui, selon vous, aura le plus compté dans l’oeuvre de Pierre Schoendoerffer?
Je crois qu’il y a une phrase qu’il utilise dans le Crabe-Tambour: « Qu’as-tu fait de ton talent ? ». Et c’était l’interrogation qu’il avait devant tous les gens. Il a connu des périodes exceptionnelles pendant la guerre. Il a pu observer ses camarades, ceux qui sont allés au bout d’eux-mêmes. Et les autres qui ont flanché, mais dont il parlait très peu. Ce qui était important pour lui, c’était ce talent de correspondre à la promesse donnée, aux engagements pris, sans y déroger. En choisissant d’aller en Indo, puis d’être reporter de guerre (en Algérie), il était devenu comme un peintre de l’expression et de la douleur. Raison pour laquelle ses films sont si forts. Il disait une chose : vous pouvez filmer la guerre de n’importe quelle façon, sous n’importe quel angle, peu importe, le document sera toujours formidable. Parce que l’authenticité est devant vous. Peut-être que vous ne verrez pas tout, en tout cas ce sera vrai. Il était en quête permanente d’être devant la vérité. Que ce soit dans la 317e Section, l’Adieu au roi ou dans le Crabe-Tambour, il aura été dans cette recherche constante. Celle de l’homme capable de se dépasser, quel qu’il soit. Il faut se rappeler l’un des derniers dialogues de la 317e Section entre le lieutenant et l’adjudant :
– C’est dégueulasse.
– Pourquoi dégueulasse ? C’est la guerre. Et ils savent la faire. Chapeau !
Voilà Schoendoerffer. Il célébrait la valeur du combattant. Y compris l’adversaire. Tous ceux qui avaient fait le choix de l’engagement. Quand on se combat, on se respecte, aussi. Cette approche, il l’avait dans la vie de tous les jours. Il était attentif à tout et à tous, et il ne voulait surtout pas se tromper. Il voulait dire la chose juste. Vous savez, il était très lié à Bodard et à Kessel. Ce n’était pas par hasard. C’étaient des gens qui observaient. Comme eux, Pierre était en quête permanente afin de comprendre le destin et ne pas le refuser. Quand on se voyait, il pouvait rire de l’horreur, parce que cela fait simplement partie de la vie et qu’il n’en avait pas peur.
Quel Schoendoerffer vous attire le plus : l’écrivain ou le cinéaste ?
L’Adieu au roi est un livre magnifique. Dans Là- Haut, quand l’aventure de la vie rencontre le mythe et que cela se perd dans les brumes de la haute région, c’est sublime. Comme lecteur, j’ai été conquis. Quant à ses films, je crois qu’il nous a toujours étonnés. A chaque fois, on lui a dit que c’était ce qu’il avait fait de mieux, et chaque fois c’était mieux encore. Ses livres comme ses films ont cette qualité extraordinaire de toujours toucher juste. Que ce soit la réalité ou le rêve. Pareil avec le milieu, la nature. Il l’a magistralement décrite. Sa manière de raconter la jungle, les ombres de ces arbres gigantesques qui accompagnent le pas des combattants…
Quel rapport entretenait-il avec l’Histoire ?
Il était nourri de Kipling, de London, de Conrad, du siècle des Lumières et des découvreurs. Il aimait les traces. Le sillage des choses. Et de temps en temps, parce qu’il était un grand littéraire, il faisait des phrases. Je me rappelle l’une d’elle : « Hormis la défaite, rien n’est plus triste que la victoire. » Je crois que, quand il a moins voyagé, et qu’il a cessé d’aller sur les terrains de guerre, il poursuivait encore sa réflexion sur la condition humaine depuis les plages de Bretagne. Il était hanté par les personnages rencontrés autrefois, et qui devenaient des fantômes. Il a toujours été fidèle à la présence de ses amis disparus au cours des combats, et en parlait toujours comme si c’était hier. Comme si, lui, avait eu la malchance de survivre. Il ne se le pardonnait pas. J’ai été surpris quand il a fait son film sur Diên Biên Phu. Je connaissais son projet, mais je savais que cela lui posait presque un cas de conscience. Retourner là où ses camarades étaient tombés, aller fraterniser avec l’ennemi d’hier… Et puis, le rêve de reconstituer ce qu’il avait vécu a été plus fort.
Pierre Schoendoerffer était-il vraiment la voix de l’armée française, ou d’une certaine idée de la France ?
De l’armée française ? Je ne le pense absolument pas. Mais d’une certaine France, oui. Parce qu’il s’était engagé pour la France. Je me souviens du jour où il avait reçu la croix de Commandeur de la Légion d’honneur. On ne pouvait pas rigoler de la France, ce jour-là. Avant d’être décoré par Jacques Chirac, il a fait le tour des Invalides et là, j’ai vu Pierre qui avait de nouveau vingt ans. La façon dont il marchait, la tête au vent. Mais surtout, la tête dans les souvenirs, dans les rizières, dans la jungle. C’était formidable. Eh bien, c’était une idée de la France qu’il portait avec lui ce jour-là. Celle d’un rêve évanoui qui se poursuivait.
Mais qu’est-ce qu’on n’a pas entendu à propos de la 317e section, par exemple! Un épouvantable film de droite! Pendant des années. Puis, y a-t-il eu réconciliation entre le citoyen et les aventures coloniales ? Ces critiques ont un jour cessé, comme si la barrière des vieilles idéologies tombait enfin. Mais ça n’a pas été simple non plus avec l’armée elle-même. Quand il a réalisé l’Honneur d’un capitaine, certains responsables militaires lui ont carrément reproché d’avoir commis une « erreur » – pour dire gentiment les choses.
Quels sont vos meilleurs souvenirs avec lui ?
Indiscutablement pendant la 317e Section. La chance qu’il m’a offert de partager un peu cette partie de sa vie. Et le plaisir que j’avais après le tournage de le retrouver avec ses compagnons de route évoquer ce qu’était cette terre qu’ils aimaient tant. Ce Vietnam qui leur tenait aux tripes. Son Indo: les rivières, les cascades, les rizières, les singes hurleurs. Vous croyez qu’il parlait de la guerre avec les anciens? Qu’il refaisait la colo? Mais pas du tout. Les grands souvenirs de guerre de ces types, c’était la nature exubérante de ces pays de sortilèges qui les avaient envoûtés, et dont Pierre me transmettait son amour.
Avec la disparition de Schoendoerffer, n’est-ce pas un peu de la mémoire du pays qui se fige ?
Oui. Je crois que le manque que l’on ressent aujourd’hui, au plan individuel, avec la disparition de quelqu’un aussi estimable que lui, se prolonge dans la nation entière. L’hommage qui lui a été rendu par le Premier ministre aux Invalides était admirable. Admirable et mérité. Il y avait les deux choses : son passage dans notre histoire, en sachant que notre histoire n’est belle que parce que de magnifiques témoins comme lui la révèlent, et en même temps cette interrogation terrible : Pierre, où es-tu ? Pierre aura été un modèle pour beaucoup. C’était une sorte de statue vivante. Je pense à Jean Rochefort que j’ai vu aux Invalides. Il était comme moi, ému, marqué, c’est peu de le dire. C’est le difficile apprentissage de la solitude qui commence.
Le Spectacle Du Monde
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Le livre de la jungle - Rudyard Kipling; Paul Jouve, ill. - 1919 - via e-rara
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La nécromancie dans Chroniques Oubliées
Difficile de donner des explications, car elles sont toutes dans les livres de règles (et oui, pas de page Wiki dédiée à ce jeu de rôle).
La nécromancie est globalement mal vue dans les Terres d'Osgild. En effet, cette magie est basée sur des forces obscures et le pouvoir de la mort, et ceux qui en usent sont mal-aimés, réputés pour êtres maléfiques... A raison, comme peuvent en attester les habitants de Clairval, parmi lesquels Ivveltiel, l'amie de @hellwen-ward. En effet, un nécromancien avait enlevé des enfants du village (en résumé, je n'ai pas joué ce scénario personnellement). D'autres régions du monde sont elles réputées pour leur magie noire, telles que Kothang dans le Sud lointain, ou les jungles de Luir-An-Doral.
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Et voici une série tout autant magnifique que presque insupportable.
C’est de Niccolò Ammaniti, celui-là même qui avait fait Il miracolo, qui m’avait déjà tant plu.
Il s’agit de l’œuvre d’un romancier et d’un vrai cinéaste, ce qui fait que c’est complètement non calibré, hors norme, dérangeant, et d’une grande puissance visuelle.
Un mystérieux virus s’abat sur l’humanité, il tue les adultes, qui toussent et ont des plaques rouges (le virus s’appelle donc La Rouge, du moins il est ainsi appelé par les enfants), mais il est dormant chez les enfants ; à la puberté, le virus s’éveille, et les tue aussi. En résulte rapidement sur l’île (l’histoire se situe en Sicile), un chaos total où les enfants ou adolescents règnent, au milieu des cadavres, des ordures et de la beauté des paysages. C’est la loi de la jungle, on s’écharpe pour des boites de conserves périmées ; les enfants se liguent en factions, telle celle des « Bleus » qui se peignent ainsi selon un rite d’intronisation parfaitement terrifiant ; à leur tête, une ado en sursis, Angelica, très inquiétante. Les enfants jouent au milieu des décombres, et acceptent des règles, même folles, puisqu’ils sont enfants, qu’ils ont perdu leurs parents. C’est un peu « Sa Majesté des Mouches » version pandémie.
Anna, la jeune héroïne à peine pré pubère, qui a déjà enduré la mort de sa mère, et élevé son petit frère Astor, est obligée de se confronter aux Bleus quand celui-ci est enlevé. Certaines scènes sont vraiment très dures à regarder et à supporter. Mais on ne peut s’empêcher d’admirer la beauté monstrueuse des tableaux qui nous sont montrés. Les Bleus habitent un palais sublimement décati, ont une statue qui surmonte un tas d’os, une reine cruelle qui invente des rituels qui mêlent imaginaire et vestiges de jeux télévisés. Le chaos, la foule d’enfants, le décorum onirique (déguisements et têtes faites en crânes d’animaux) et macabre sont affreux et magnifiques.
Anna a bien retenu la leçon de sa mère, qui, se sachant mourante, a rédigé un livre de conseils et règles à suivre pour survivre : elle a du bon sens, du courage, et un sacrée dose d’imagination. Pour son frère, elle invente des solutions, même quand elle n’en a plus. Elle-même sait qu’elle grandit, et que le mal va la rattraper… et elle sait mieux que personne ce que la mort fait de vous, elle l’a bien observé sur sa mère (scène difficile).
C’est une œuvre profonde et marquante. Grâce à la beauté de l’île, de sa lumière, des lieux si finement choisis, palais décatis, supérettes rouillées, routes bétonnées encadrées de mer indigo, des accessoiristes qui ont su créer ce chaos, des acteurs, tous formidables. L’œuvre raconte notre besoin profond d’espoir, d’histoires, de liens et comment histoires et espoir sont précisément liés, comment ils se nourrissent réciproquement.
A ne regarder que si vous avez un moral d’acier.
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