#Le 8ième passager
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On est pétrifié par la peur avec *ALIEN, LE HUITIÈME PASSAGER*
Aujourd'hui, on affronte l'épouvante de l'espace avec le film ALIEN, LE HUITIÈME PASSAGER. Un québécois regarde le doublage français du film américain ALIEN (1979). ≡ Passes au Niveau Supérieur sur mon Patreon: https://www.patreon.com/cinecois
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28 NAKSHATRAS, UN AN DE 360 JOURS DIVISÉ EN 12 Je rappelle que dans toutes les civilisations sérieuses, Lune est de sexe masculin et Soleil de sexe féminin. Voyez le livre du révérend Robert Brown Junior, The Unicorn, sur ce point. M. Howard D. Jones vient de publier un article que j'estime déterminant et même "seminal" sur le sujet du comput du temps et donc sur le temps des Dieux à l'âge du Bronze et sans doute bien au-delà. Chacun sait qu'il existe un fâcheux décalage entre année solaire et année lunaire, qui nous oblige à d'infinies acrobaties pour les faire coïncider. La solution la plus ordinaire consiste à poser l'existence de douze cycles lunaires, et d'un certain nombre de jours épagomènes, variable selon le type de cycle lunaire adopté. Cette solution a abouti dans nos koinès indoeuropéennes Centum à un comput du temps de 12 lunaisons augmentées de 12 NUITS épagomènes, dont la conséquence est l'omniprésence dans nos religions et systèmes mythiques, des 12 Nuits Sacrées, et d'un nombre presque infini de cycles mythiques comportant le nombre 12, à la différence de la Civilisation Atlantique antérieure à l'Âge du Bronze, laquelle avait pour nombre majeur le nombre 7, comme on en trouve des traces infimes dans le Táin Bó Cuailnge. Toutefois, il semble selon M. Jones que cette détermination du temps serait datable des environs des 8ième- 7ième siècles BCE, date à laquelle apparaissent d'importants changements dans l'espèce humaine. Auparavant, au moins à l'Âge du Bronze et peut-être bien avant, M. Jones rappelle qu'un comput du temps d'une étonnante simplicité était utilisé, une année de 360 jours divisés en 12 séquences que l'on peut nommer "mois", selon le nom du dieu Lune, Moon, Mond, Man, Chandra, Sîn. Ce calendrier paraît à premier vue inepte, puisqu'il néglige 5 jours de l'an solaire, et qu'on se demande comment s'en sortir sans ajouter 5 jours épagomènes? Pourtant cela est tout à fait possible et même admirable, si l'on suit M. Jones. Tout part d'un problème qui constitue notre héritage ancien, les nakshatras du groupe Satem védique. Selon les textes anciens datant de l'Âge du Bronze, comme l'Atharva Veda, il aurait existé 28 divisions de l'écliptique, et non 27, à date actuelle. J'ai d'abord commis en ce point une bévue énorme, qui, comme toutes les bêtises, est porteuse de solutions inespérées. En effet, la trajectoire LUNAIRE coupe l'écliptique en deux points diamétraux, les points draconitiques, Rahu et Ketu. Brise-t-on la symétrie 2 x 14, que l'on ne comprend plus rien aux cycles lunisolaires! Les 28 nakshatras s'imposent donc, à première vue, du moins aux védiques de l'Âge du Bronze. C'est alors que, sous ma douche, comme Archimède, m'est venue le lendemain la remarque suivante: Si Lunus semble décrire un cercle sur la sphère des fixes des Anciens, nous ne devons pas oublier que la trajectoire de Lunus autour de la Terre est, en négligeant tous les autres facteurs, une ellipse dont la Terre occupe un foyer. Ainsi, Rahu et Ketu ne définissent pas une équipartition de l'ellipse dans les temps de trajet sur le cercle projeté sur la sphère des fixes du trajet lunaire, et il est nécessaire de compenser cette différence dans les temps de parcours des deux secteurs de l'ellipse. De plus, selon les lois de Kepler, des aires égales de l'observateur terrestre définies par le rayon vecteur de visée de la planète sur l'orbite d'une planète donnée, sont balayées en des temps égaux, en sorte que, frappés d'un coup de génie, les Anciens virent que des angles égaux décrits par une planète donnée sont décrits en des temps inégaux, en sorte que la mesure angulaire de l'orbite devait avoir le pas sur la durée de son parcours si l'on voulait trouver une fonction stable. Il semble que le passage aux 27 nakshatras a pour origine ce facteur de correction, qui oblige les védiques des environs de 800 BCE à abandonner l'une des mansions et à introduire une symétrie d'ordre 9 = 27/3 dans comput. Comment dans ces conditions, définir une horloge dans une civilisation qui ne connaît pas la mécanique galiléenne? La réponse est
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Les Hortillonnages : impression sauvage, expression urbaine
De passage à Amiens, en attendant le prochain train, le temps de vagabonder dans le centre-ville, l'idée évidente est de visiter la cathédrale Notre-Dame. Une fois le pèlerinage terminé, nous descendons la rue de la Barette, remontons les berges de la Somme, le soleil d'automne nous pousse à traverser le fleuve pour rejoindre le parc qui le longe. Notre marche hasardeuse se complique: des cours d'eau de plus plus nombreux nous barrent la route, la nature se densifie et nous impose l'assistance d'un plan. Sous nos yeux, une étendue immense, un archipel d’îlots entrecoupés de minuscules cours d'eau. Nous imaginons une formation naturelle: ruisseaux, îles et mangroves découlant des eaux du fleuve qui abreuvent et inondent ces terres. Au loin, des barques accostent, déchargent et chargent ce qui semble être badauds et touristes. Nous en sommes.
La Maison des Hortillonnages
Le lieu appartient à l'Association pour la protection et la sauvegarde du site de l'environnement des hortillonnages. Notre sentiment se précise: l'endroit n'est pas un quelconque espace vert mais une particularité amiénoise. Impatients d'embarquer, nous sommes munis de tickets et d'un plan détaillant chaque nom des canaux qui découpent les lieux. Mais du cheminement naturel qui nous a conduit en ce port, s'est éveillé en nous une curiosité inattendue : la signification de ce mot bien étrange: Hortillonnage. Une salle est prévue pour répondre à nos questions. Le décor rustique tient d'une cabane de chasse. Films d'archives et photos anciennes nous permettent de nous fondre et comprendre l'histoire du site, son utilité, sa faune, sa flore et le plus intriguant: ses habitants.
Une nature façonnée par l'homme
Le sentiment d'être au centre-ville de la capitale picarde s'est évanoui, mais la brève exposition d'introduction vient nous le rappeler. C'est l'homme qui a comblé, creusé, défriché, détourné et enfin cultivé ce qui étaient d'anciens marais et tourbières. Non par plaisir mais par nécessité. Les hortillonnages, ces terres fertiles au cœur d'Amiens, ont permis de nourrir sa population durant des siècles. Les maraîchers transportaient leurs récoltes via des barques et approvisionnaient les étals des marchés des quais de la Somme. On estime la naissance des hortillonnages à l'ère Gallo-romaine mais le premier document qui en atteste date de 1492. 1500 hectares au XVème siècle et un millier de maraîchers pour les exploiter. L'avènement du chemin de fer entame le ralentissement de ce mode d'agriculture. En 1900, 500 hectares de terre. 300 hectares aujourd'hui, 7 exploitants pour les cultiver, 99% des îlots sont devenus des jardins d'agrément.
Nous sommes appelés à embarquer, accompagnés de 10 autres personnes. Le Gouverneur, nom de notre navire, s'approche silencieusement. Une barque à cornet, bateau à fond plat aux allures de gondole, dont la rame est remplacée par un moteur électrique qui n'émet aucun bruit si ce n'est les clapotis de l'eau. Le moyen de propulsion permettra d'apprécier le calme qui habite le site et possède un atout écologique évident. A la barre Jean-Claude, enfant du pays est trahit par son léger accent bien picard. Il aura la double casquette de capitaine et médiateur. Une fois les amarres larguées, le chef à bord nous décrit les 3 km de croisière à venir, demandant aux passagers d'étudier leurs cartes et de cerner le parcours.
45 minutes soit 3 km de croisière sur les 65 km de rieux. La visite ne couvre pas l'ensemble des hortillonnages et n'est pas improvisé. Depuis le port nous nous rendons au rieu d'Orange, le numéro 13 sur la carte. La vocation du circuit est de présenter la diversité des parcelles. Il est établi en communion avec les propriétaires des îlots, ces derniers ayants émis de nombreuses plaintes à l'encontre des visiteurs qui naviguent sans encadrements et qui n'hésitent pas à emprunter des canaux privés, peu scrupuleux de l'environnement et de la quiétude des hortillonnages.
Un musée à ciel ouvert
Au fil de l'eau nous avons la preuve que les hortillonnages ont perdu leur vocation initiale de nourrir les Amiénois. Jadis ventre de la ville, ils sont désormais le poumon vert. Les nouveaux habitants, surnommés par notre capitaine "les Robinsons" y viennent pour camper, pêcher, cultiver leur potager, se baigner l'été tant l'eau y est propre... Nombreux se plaisent à mettre en scène leur parcelle tels de véritables scénographes. Nous attendions un endroit exclusivement dédié à la nature, l'expression de l'homme y est finalement foisonnante. Le visiteur est autant intrigué par l'ouvrage titanesque réalisé depuis des siècles, les hortillonnages, que l'inventivité des gens qui le font vivre. Les parcelles se succèdent mais ne se ressemblent pas: ruches, houblonnière et cabane encerclée de sculptures représentants un orchestre de jazz qui évoquent les quartiers de la Nouvelle-Orléans... L'architecture parfois audacieuse des cabanes incite à la rêverie. Les Robinsons se plaisent à afficher leurs talents d'horticulteurs, jardiniers, bricoleurs. En témoigne ce vélo posé à proximité du canal, qui pompe l'eau une fois le pédalier mis en route.
Aux ambiances poétiques et colorées se succèdent des œuvres artistiques. Le 15 octobre se terminait le 8ième festival Arts, villes et paysages, organisé par la Maison de la culture d'Amiens. De jeunes paysagistes, plasticiens, architectes et designers étaient invités dans les hortillonnages pour produire des œuvres qui tiennent compte des contraintes naturelles et des spécificités du lieu. Plusieurs installations n'ont toujours pas été démontées comme l’œuvre Arcane de la plasticienne chinoise Yuhsin U Chang. Ce fragile entrelacs de branches qui semble léviter surprend sans détonner des mangroves qui l'entourent si ce n'est grâce à sa blancheur immaculée. Ici l'artiste, en évoquant la fragilité des écosystèmes, se joue une fois de plus de la nature et s'en inspire pour la mettre en scène.
Des mécènes financent la préservation du site, et s'affichent en bienfaiteur sur des pancartes installées sur des îlots. Mécénat, médiateur, mise en scène, expositions et œuvres d'art, les hortillonnages sont devenus un véritable musée à ciel ouvert.
Des hortillonnages nous mesurons l'abnégation du genre humain, son évolution au fil de l'histoire. Prêt à détourner des fleuves pour subvenir à des besoins élémentaires, également capable d'un raffinement, d'une créativité sans limite pour conserver un lieu qui avait perdu sa vocation d'exister. Si les Amiénois n'avaient pas investi ces terres maraîchères en déclin, l'endroit ne serait plus que tourbière, marais ou béton. Au-delà du caractère unique des hortillonnages, d'avoir ramené puis conservé une nature si diverse au cœur de la ville, nous trouvons en ces lieux un formidable terrain d'expression. Mesurons également les capacités de destruction de l'homme. Aux 130 000 visiteurs annuels qui embarquent chaque année grâce à la Maison des Hortillonnages dans un cadre strict, s'ajoutent 50 000 visiteurs indépendants. Les Robinsons, pour préserver leur terre ont de nouvelles questions à se poser.
Texte : Valentin Dohin
Photos et vidéos de Clotilde Villain
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Alien, le 8ième passager de Ridley Scott
En 2122, un vaisseau spatial, le Nostromo avec à son bord deux femmes et cinq hommes ont capté un signal sonore sur un planète inconnue.
L’officier Kane remarque des oeufs gigantesques, en voulant s’en approcher, une créature provenant de ces oeufs lui saute au visage, transperçant alors son casque et s’agrippant à son visage.
Plus tard, Kane se réveillera puis au cours du repas, il sera pris de convulsions et son thorax sera perforé pour qu’une créature d’une trentaine de centimètre en sorte puis s’échappe.
L’équipage décide de partir à la recherche de la créature, qui après avoir mué devient une créature de plus de 2 mètre de haut n’ayant qu’un seul but:
tuer tous les occupants du Nostromo.
Zlors qu’il n’était encore qu’un étudiant, Dan O’Bannon écrivit avec John
Carpenter, un scénario pour un film de fin d’étude qui s’appellera DARK STAR. Quelques années plus tard, il reprit l’intrigue principal:
“des astronautes sont enfermés à bord d’un vaisseau spatial avec une entité extraterrestre”
C’est alors que Dan O’Bannon, eut l’idée du scénario d’”Alien, le 8ième passager.”
C’est le 1er film d’horreur/science fiction où le personnage pricnicipal est une femme, Ripley interptétée par Sigourney Weaver.
Gros succès commercial lors de sa sortie, “Alien, le 8ième passager” réalisa 102 944 891$ au box office mondial pour un budget initial de 11 millions de $. Distribué dans 91 salles, il est numéro 1 du box office la 1ère semaine avec 3 527 881$de bénéfice. En France, le film rapporta 4 727 920$ pour 2 809 875 entrées.
En 2003, le Director’s cut sortait sur nos écran puis remporta 1 986 910$ supplémentaires.
Alien fait partie des classiques du cinéma et donna naissance à une saga:
Aliens, le retour (1986) de James Cameron
Alien 3 (1992) de David Fincher
Alien, la résurrection (1997) de Jean Pierre Jeunet
Puis Ridley Scoot réalisera en 2012 une préquelle:
Prométheus, avec Noomi Rapase et Michael Fassebender.
Puis en 2017, Ridley Scott redonna naissance à “sa créature” dans
“Alien:Covenant”
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