#La maman et la putain
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La maman et la putain (1973)
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La maman et la putain, Jean Eustache, 1973
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Jean-Pierre Lèaud, La Maman Et La Putain, Jean Eustache, 1973
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C'è chi inizia il film a un'ora decente, e poi ci sono io! @vpervaffanculo
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Je suis dans une sorte de réflexion, où j'écoute le passé de ma mère, décédée. Elle m'a dit, peu avant sa mort 'là, il y a mes carnets'. Elle désignait un petit meuble en bois a tiroir, 'tu les liras hein', semblait-elle dire, surtout.
J'ai pas bien compris pourquoi elle voulait que je le sache, pourquoi c'était important. Je me disais qu'il y avait un truc sur moi.
Je ne voulais pas. Lire. Ses pensées.
Puis un jour j'ai lu. Il n'y avait pas grand-chose. Peu de pages écrites. Je me suis demandé si j'avais bien gardé ses carnets. Et depuis ce jour, je me demande... Jusqu'à tout à l'heure. Je faisais la cuisine. Les pensées ont dérivées vers ces souvenirs. Ses souvenirs. Ses carnets.
En même temps est passée une chanson que je pensais être tirée des valseuses, les paroles... Putain, l'étais porté ! Comme par ce qu'avait pu ressentir ma mère, qui me communiquait une terrible vérité en me confiant 'je ne voulais pas de ça pour ma fille, pas ça, non'.
[En fait c'est Diabologum]
youtube
Je me suis dit très étrange, comme connexion. Je me suis dit que j'aurais en fait dû être une fille. Qu'elle avait changé ça, m'avait d'une manière ou d'une autre transformé en garçon. Pour ne pas que je vive ce qu'elle avait ressenti, elle, à son époque ('femme libre", m'a dit mon père plus tard dans le vent).
J'aurais un psy, je lui confierais, que je me crois très différent de ce que je suis. Ca explique beaucoup de choses. Comme si ma mère avait tenu la main de sa fille sans lui dévoiler qu'elle n'aurait pas du être garçon, et qu'il allait falloir vivre avec.
Une femme peut-elle, dans son ventre, désigner son embryon et en changer le genre ? C'est tellement explicatif... Ca résonne avec tellement d'indices. Messages un peu cachés, voix des anges et des oiseaux qui attirent l'attention sur 'dis, tu dirais pas que ça, quand même c'est...' et de pointer sans doigt, sans mot, un petit truc...
J'ai entendu ma mère dire à sa mère "un jour tu m'as traitée de putain !" Ma mère était surement bien autre chose que ce ça mère ce jour là lui disait.
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"LA MAMAN ET LA PUTAIN" (Jean Eustache, 1973), par Pierre Pigot
Le blog du Feu Sacré tenait à revenir sur l'un des événements cinématographiques marquants de cette année : la parution en vidéo de la quasi-intégralité de l'œuvre de Jean Eustache. Avec trônant au centre, ce film proustien qu'est "La Maman et la Putain".
Alexandre lit Proust.
« Longtemps, je me suis réveillé fort tard », telle est la note proustienne parodique sur laquelle s’ouvre le magnum opus de Jean Eustache, explicitement conçu en miroir du grand œuvre du petit Marcel. Alexandre émerge d’un lit qui n’est même pas le sien, et qui reviendra régulièrement comme une matrice dont il est difficile de s’extraire : lieu-refuge, et surtout lieu des femmes, de celles qui obsèdent et qui tourmentent, parce qu’elles se refusent avec obstination à la complète transparence qui devrait, selon leur supposé maître, accompagner leur possession jalouse. La passion d’Eustache pour la Recherche devait inévitablement rencontrer le problème qui se pose à tout créateur confronté à cette cathédrale de mots, d’art et de passion : être brutalement possédé par le désir de la reproduire, pour soi-même, pour en atténuer la force presque transperçante – et s’acharner à ne pas se satisfaire d’une simple reproduction. Tout dépendait du matériau qui était à disposition du fanatique. Proust avait sa propre vie, mais qu’il avait enrichie de sucs fictionnels vénéneux pour tout exégète. Eustache, moins protégé par l’art, n’était capable de mettre au mont-de-piété du cinéma que les parts les plus sacrifiables et les plus précieuses de son existence tourmentée. Moins d’une décennie plus tard, cette transparence s’avérerait fatale – et l’on reverrait, encore et encore, Alexandre assis, torse nu, lisant la Recherche dans sa vieille édition NRF, et plus particulièrement La Prisonnière, ce catafalque du malheur amoureux qui débouche ensuite sur son volume gémellaire, hanté par le deuil – et l’on songerait qu’ici, les photogrammes exhalaient, à défaut du plus beau, du moins le monument funéraire le plus juste qui soit. « Dans quel roman te crois-tu ? », lance Gilberte (la bien nommée) à Alexandre, au début du film, alors que la volubilité irréelle de ce dernier fonctionne déjà à plein régime. Alexandre, en effet, parle comme coule la prose, artificielle, syntaxiquement cassante, généreuse uniquement en feux d’artifices blessants. Le cinéma lui offre la voix de Jean-Pierre Léaud, ses tonalités d’innocence perverse, de naïveté étudiée, de détachement anxieux, de sociabilité paranoïaque. Ses paroles sont la véritable trame de sa personnalité – à côté desquelles son apparence physique ou vestimentaire (le profil d’oiseau mélancolique et obtus, les cheveux longs, les lunettes teintées, les foulards interminables) n’est qu’une concession faite à la réalité des corps, comme le snobisme (qui adore rôder dans l’ombre mouvante du dandy) aime à en circonscrire dans la matière, ici baignée dans un noir et blanc qui se défie de son époque. Ce sont ces paroles qui auraient dû convaincre Gilberte, mais n’ont fait que la confirmer dans sa part d’univers, d’un stérile doucereux, dont elle ne resurgira plus que comme fantôme de supermarché – avec à son coté, un mari incarné par Eustache lui-même, spectre silencieux, trop conscient d’avoir placé son autoportrait dans le seul recoin dont il se sentait digne face à ce que ses propres mots parvenaient à bâtir comme beauté noire : le rayon des fruits et légumes.
Ce n’est pas un film bavard (reproche habituel), mais un film prolixe, profus, où parmi les bruits de la ville (Paris, encore capable de faire sourdre de ses entrailles pompidoliennes un parfum balzacien), bruits enregistrés comme jamais, ne cessent de défiler comme à la parade leurs adversaires de toujours, les mots. Et que ceux-ci soient employés le plus souvent comme des armes impropres, fait justement partie du jeu misérable qu’Eustache feint de célébrer pour mieux le dénoncer. Alexandre utilise le vouvoiement : c’est à la fois une marque de distanciation, une flèche de séduction, et une moquerie du langage à double-fond – de manière totalement française, son discours fleuve, son discours marathon, a moins pour but d’exprimer une opinion, que d’exciser un peu de « réalité » du monde des humains, à l’aide des tenailles du langage, pour en obtenir la maîtrise passagère. Sur ce point, Alexandre est fidèle à l’adage védique, qui affirme que « les mètres sont le bétail des dieux », autrement dit, que chaque syllabe poétique est une armure vivante et divine en soi, une protection changeante et complexe, contre ce qui dans le processus sacrificiel peut blesser celui qui s’en approche. De la même manière, les mots sont pour Alexandre un double de ses foulards imposants qu’il transporte autour de son cou comme des gonfalons prétentieux : mètre gayatri ou trishtub, peu importe, il lui importe avant tout de découvrir, parmi les mots qui s’enchaînent, celui qui sera capable d’enfermer, de blesser, de retenir l’autre dans un cercle invisible, qui serait celui d’un microscopique gothul où quelques femmes, de son point de vue ses femmes, danseraient sa propre solitude. Ainsi l’histoire du tampax, qui doit aussitôt devenir un récit entré à son répertoire (comme celui de la Comédie-Française) – exhibé, digéré, poli telle une pépite d’or du Yukon, exploitable ensuite en société. Ainsi ces vieilles chansons de Frehel ou d’autres chansonniers du tournant du dernier siècle, dinosaures archaïques transportés dans les loges de la modernité cinématographique, mais qui au-delà de leur mélancolie intrinsèque, sont avant tout des transports de mots surarticulés, scandés, nourris d’une émotion que l’homme contemporain souhaiterait faire renaître sincère en soi (et bien sûr, il n’y parvient pas). Sans le savoir, Alexandre prouve que le divin réside désormais dans la chansonnette pour bal des pompiers. Une fois que le pouvoir des femmes unies l’aura défait, que le maquillage l’aura fait rejoindre leur camp dévirilisé, ce ne sera plus l’heure de la démonstration séductrice, mais celle du repliement mélancolique – et le classique, funèbre, sans mots, aura eu raison du populaire.
S’il l’avait connue, Alexandre aurait longuement rêvassé sur la légende de Krisna et des gopi, les seize mille gardiennes de troupeaux qui le vénéraient et tissaient autour de lui des jeux érotiques sans fin. Tout l’équilibre de la relation entre Krisna et ces jeunes filles résidait dans la balance infinie qui régit le svakiya (lien légitime, conjugal) et le parakiya (lien illégitime, adultérin). Alexandre crache d’emblée sur le svakiya parce qu’il l’associe au retour à l’ordre bourgeois qui suit la remise au pas de la société après mai 68. La complicité mentale avec son meilleur ami (qui est en réalité son parfait double dandy hautain, son frère jumeau, mais privé, lui, de toute déchirure psychique) repose sur la croyance hypocrite que le parakiya, la recherche inassouvie de l’unique parmi l’infinie multiplicité féminine, est le seul contrepoids du svakiya auquel en vérité il aspire (car sinon, pourquoi encore et toujours Gilberte, pourquoi, au-delà des questions d’argent, encore et toujours Marie ?). Mais l’écueil majeur du svakiya, autour duquel le film navigue comme s’il s’agissait d’un vaste et sanglant récit de corails ne faisant qu’affleurer la surface, demeure bel et bien la procréation, l’engendrement, le renouvellement des générations au-delà du plaisir égoïste. Quand Alexandre confesse face caméra une histoire qui finit par parler d’avortement, il s’empresse de remettre ses lunettes teintées, qui sont l’équivalent d’un masque : la faille, à charge pour nous de le comprendre, n’est pas celle d’un deuil, mais d’une mauvaise conscience, qui se hâte d’aller se blotir derrière les dandy paraphernalia. Les mots sont cette fois érigés en muraille de Chine, mais avec la mystérieuse Veronika, ils ont rencontré un adversaire de taille, maniant exactement la même arme, mais avec une précision bien différente. « Baiser » : Veronika aime les mots crus, c’est sa philosophie à coups de marteaux – déchirer les bandelettes ductiles du langage avec des lames aiguisées sur le fer de la vie, la vraie, dépouillée de son fantasme, ramenée à l’essentiel d’une humanité qui frôle, dans l’exaltation du sexe, l’animalité. Elle ne cesse de réclamer une promenade au « bord de l’eau » : c’est une créature liquide, plus Mélusine foudroyante que nymphe désirable, jouant de ses cheveux coiffés en bandeaux lisses et inflexibles, puis une fois défaits, tentaculaires et gorgonesques. Ses propres blessures ramènent celles d’Alexandre au stade de l’enfantillage : une puérilité ivre d’elle-même, qui se croyait le dieu de sa parole, et qui se découvre une rivale, à la mentalité aussi acérée qu’Athéna et aussi imprévisible qu’une ménade. Le grand exploit de Veronika est l’instant suprême où elle obtient, enfin, le silence. Ses propres mots ont pris leur victime, le jeune homme trop sûr de ses dégoûts et de ses névroses, à la gorge, et lorsqu’elle démolit sa grandiloquence et sa vanité, elle ne laisse plus, derrière elle, qu’un petit animal piteux et blessé, auquel ont été retirés ses jouets syllabiques, et qui se découvre nu dans une obscurité psychique sordide. Le grand monologue de Veronika, si justement célèbre, qui réussit à unir dans sa confession à la fois le gloria de l’amour et le sanctus des larmes, est un chant profondément personnel, arc-bouté contre toutes les dissimulations, qui réduit à néant tout le vaste échafaudage néoromantique qu’Alexandre avait disposé autour de sa personne. C’est une tempête de désir et de désespoir qui, dans la stase d’un plan unique, ravage tout et s’octroie ainsi la royauté de tout le récit. Et la révélation que Veronika est enceinte, détruira ainsi chez Alexandre les dernières illusions, le rendra à son caractère d’infamie, d’infériorité, de mendicité amoureuse qui était véritablement le sien. Impuissance face à la divinité qui l’a terrassé – qui a obtenu, comme dans tant de hyérogamies grecques, un peu de sperme pour générer du futur – et qui, comme premier acte de serviteur, lui fait recueillir son vomi.
C’est sur cette note de souillure, de chaos et d’humiliation qu’Eustache conclut les quatre heures de son roman, pardon, de son film. Peu auparavant, on avait pu voir Alexandre, soudain muet, se mettre à écrire quelque chose, sur un coin de table, sur un bout de papier. Et c’était la première fois qu’on le voyait, depuis le début de cette longue histoire, réaliser quelque chose qui soit de l’ordre de l’esprit. Ce quelque chose, malgré une moquerie de femme, il restera à jamais invisible, on ne saura jamais ce qu’il contenait, ce qu’il parvenait soudain à exprimer, en mots cette fois non parlés, mais écrits. C’est le résidu irréductible de cette expérience – son mystère d’Eleusis, le seul auquel nous ne pouvions pas être conviés.
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Alexandre : « Vous qui opérez des cancers, qui guérissez les douleurs les plus invraisemblables... Vous n'avez jamais cherché un remède pour arrêter cette souffrance. Elle n'est pourtant pas nouvelle... Depuis le premier amour. Alors, il n'y a pas un remède? Des piqûres, une opération... Souffrir comme ça...»
Veronika: « Il faut prendre de la vitamine "M" »,
La Maman et la putain, Jean Eustache, 1973
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An Underrated Gem: Jean Eustache's The Mother and the Whore (1973), A Review of the Film and A Rant About the ''Man-child'' Trope in French Cinema
Blog Post #7
Youtube is a great place to watch old and long foreign films with subtitles, even if they are of the worst quality. In 2020, when we all had to stay at home, I was watching all the films I could find from La Nouvelle Vague, when all the films by Godard, Truffaut and Rohmer were finished, I came across a relatively unknown director whose name is Jean Eustache, best known for his film ''La Maman et la Putain''. The title of the film sounded wild to me, so I went for it, ignoring the quality and length. The film begins with a young man, Alexandre, who wakes up in a woman's bed and decides to declare his love to another woman. Alex is a dreamer, he likes to talk about politics, art and philosophy; he thinks he is a hopeless romantic and a naive man, maybe a bit lost in the modern world. But outwardly, Alex is an unemployed young man who is a burden to everyone he meets because he is open about his needs and is not ashamed to get a little 'help' from the women in his life. He lives with an older woman with whom he sometimes sleeps, and he is fine with the fact that this woman sometimes brings another man to have sex with, to the bed where Alexandre sleeps. Alex spends his life looking at girls on the streets of Paris or sitting in cafés chatting with his "enlightened" friend because he has nothing else to do. On the day he learns that his ex-lover, whom he wants to marry, is engaged, he meets Verinoka, an open-minded nurse, in a café. Alex is unfamiliar with Veronika's unconventional honesty, and she will shake the young man's views on sexuality and relationships.
Veronika and Alexandre, La Maman et La Putain
The film is about disappointed youth after the events of '68, about bohemian life, about people who try to be nihilistic, but when confronted with real emotions they mess everything up and seem "reckless". The director wrote long monologues for Alexandre's character. The two women and we listen to Alexandre's ideas over and over again. Alex is an egoist, someone who, thanks to his devil's feather, is able to get out of situations in which he is helpless. He has a blunt attitude to relationships and women, thinking he knows everything. Because of his relaxed attitude, women had to play the "cool, uncaring" girl in their relationships with him. Whenever Marie, the character he lives with at home, gets frustrated, she shuts up and looks at her own life because of Alex's nonchalance, but underneath there is an undercurrent of ugliness and defiance. In fact, the film shows that people who appear to be very open do not express their true feelings and thoughts just to keep their image intact. While the character of Veronika at the beginning of the film presents the image of an uncaring woman who sleeps with everyone, who is not afraid to tell Alexandre that she desires him, who expresses her sexual desires, we see that she does not reveal a side of herself.
Her "putain" side is a defence mechanism against the men around her, it is the easiest way for her to communicate with them and live her sexuality, but she expects love, honesty (not indiscretion under this bohemian guise) and understanding from a relationship. She even expresses that she wants to be a "maman". Although the director has chosen Alex as the childish protagonist, the character he really wants to draw our attention to is Veronika. He shows the overwhelming difference between the emotional and social capacities of young men and women, and how the term "sexual freedom" affects women and men differently and what this term means to them. It also shows how most men don't know shit about a woman's psyche, which has been given so many rights in a society that is still not sure how to adapt to the new order. The confusion caused by this "excessive" freedom and the state of women in the modern world, torn between being a "woman of the house", a "mother of their children" and having a career and being able to live their sexuality freely, is portrayed through the character of Veronika. At a time when women are so confused and overwhelmed by this dilemma, men like Alex, who is literally a man-child (which can be seen in almost every film of Godard's early career and in Rohmer's Six Moral Tales and Tales of Seasons), become the most insufferable character of all. Eustache doesn't "punish" or "change" his character Alex because of the women in his presence, but Rohmer and Godard certainly do.
I think Rohmer's whole career is about human interactions and relationships, he's one of the most successful directors when it comes to portraying women in the modern world and male characters who don't understand a thing about the psyche of the women around them, but pretend to be the expert on relationships and how to deal with a woman. Rohmer's films become satires on this man-child who thinks he knows everything about women, sex and life, meets a woman or several women, tries to manipulate his way out of every situation he encounters, and Rohmer destroys this man's ego throughout the film. His most famous films, Love in the Afternoon (1972), My Night at Maud's (1967), Claire's Knee (1970), La Collectionneuse (1967), are about a man who has very strong opinions about how a woman should look and behave, who starts to lust after the woman he seems to hate and criticise. In La Collectionneuse, the main character, Adrien, was forced to live in a villa with a woman, Haidee, who was a friend of a friend of his. He had a very low opinion of her because she had many sexual partners and was very open about it. At the end of the film, he was desperate to sleep with her, to "show her" that he was the best in bed among all the other men, but later the girl was indifferent to him and he was humiliated.
Adrien and Haidee, La Collectionneuse
For Godard, the most important of his films to have a male child protagonist is Masculin-Feminin - the main character, Paul the, is so preoccupied with himself and his surveys that he doesn't notice his girlfriend is having a lesbian affair. At the end of the film, Godard punishes his ''ignorance'' by having the girls push him out of a window.
Paul, Masculin Feminin
Although these man-child characters are at times insufferable, they are such fun to watch, and their ego's are silenced in the New Wave movies. It is a great trope to deal with the issue of modernity and so-called sexual freedom, which is still not so free for women, and the clash between the social-emotional capacity of a male and the modern woman's.
#la maman et la putain#masculin feminin#la collectionneuse#eric rohmer#jean luc godard#francois truffaut
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La maman et la putain (1973)
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La maman et la putain, Jean Eustache, 1973
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list of men in dick roles but i still wanna you know:
1. john cassavetes in mikey and nicky and husbands (god no ion want rosemary baby john even tho he is so...)
2. jean pierre leaud in la maman et la putain
3. tony leung in lust, caution
#i'd gladly bend over for all of them#that's not all the men but three's the rule#anw i just watched lust caution and my fucking god#tony leung#lust caution#jean pierre leaud#la maman et la putain#john cassavetes#mikey and nicky#it's hornee hour im sorry
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"hüznüm bir sitem değil, biliyorsun."
#film alıntıları#filmisnotdead#film repliği#film#la maman et la putain#gecenin sözü#geceye not#geceyebirnotbırak#geceyebirsozbirak#not#alıntı#alıntılar#türkçe alıntılar#türkçe sözler#türkçe şiirler
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EUSTACHE – LA MAMAN ET LA PUTAIN" - AL CINEMA DAL 13 MARZO
Con la classificazione + 14 arriva nelle sale italiane in versione restaurata in 4k il capolavoro di Jean Eustache, campione d’incassi del cinema classico Finalmente, dopo 50 anni ma con la classificazione +14 da parte del MIC arriva anche nelle sale italiane La Maman et la Putain di Jean Eustache, il nuovo titolo di I WONDER CLASSICS, la divisione di I Wonder Pictures dedicata alla riscoperta…
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