#La Peau de chagrin
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haveyoureadthisfantasybook · 8 months ago
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jaimelire-france · 1 year ago
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La Peau de chagrin est un roman fantastique de l'écrivain français Honoré de Balzac.
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jeanhuguesanglade · 2 years ago
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Jean-Hugues Anglade in La Peau de Chagrin (1980)
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antoinejeanne · 8 months ago
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lafcadiosadventures · 2 years ago
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This is where I blog from
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coovieilledentelle · 5 months ago
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"Aime-moi aussi quand je suis faible, cassante, quand je suis en colère, irritable, quand je ne réponds pas aux questions, quand la peur me gagne, quand j’angoisse.
Aime-moi, juste parce que j'aimerai être comprise, acceptée et déchiffrée dans mes intervalles, mes respirations, mes ponctuations,mes silences.
Aime-moi quand je ne souris pas, quand je ne me sens pas belle, quand je regarde mon reflet avec une grimace de dégoût.
Aime-moi quand j'ai mal, quand j'ai du chagrin et que coulent des larmes sur mes joues. Protèges moi quand c'est le bordel dans ma tête. Une grande pagaille qui me submerge et met le foutoir dans mon âme.
Aime-moi douce et tolérante. Aime-moi juste humaine, changeante comme la lune et complexe comme le temps. A fleur de peau, imprévisible et audacieuse, sauvage et poétique.
Aime-moi entière, en additionnant tout mes chapitres, ces paragraphes qui me composent et s'additionnent, se cumulent, s'accumulent... et je promets que je saurai accepter chacune de tes facettes, ton allure et ta prestance.
Juste parce que tu ne me verras pas toujours heureuse comme aujourd'hui. Je ne serai pas toujours avec tant d'aspiration, de désir. Parfois mon âme a besoin de se reposer, mon âme n'est pas toujours dansante..."
De l'autre coté - Juste un instant
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jacquesdor-poesie · 7 months ago
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Ecrire avec l’ombre des mots
la solitude invisible
des cœurs aimants
Sentiment endormi
La pluie aussi
Et à l'intérieur de chaque larme
Le petit incendie d'un chagrin
Qui aimerait sécher au soleil
"Je vous aime"
Mots si douloureusement épique
Quand ils restent lettres mortes
Ou deviennent champ de tournesols calcinés
Écrire avec de la cendre
Un amour impossible-mais-vrai
Son comique vague à l'âme
Ses rivages de paradis sans issue
Seuls les rêves
Soie de sa peau
dans le miel de ses gestes
Seuls les rêves
Dire alors "je vous rêve"
Pour ne déranger aucune pénombre
N'émerveiller ni ne décevoir
La moindre attente
Le moindre cauchemar
Du silence garder le trésor
Sa cachette est sous l'escalier
Votre beau visage à la fenêtre
Que fixe l'étoile polaire
Belle transparence de ses paupières
Qu'on imagine
Que dire de ses lèvres
Quand elle observe le ciel
On dirait le murmuré des pensées
Un mystérieux insecte serti dans un sourire
Sans ailes la neige
Partition blanche et nue
Vole aussi bien que la lumière
Bras grands ouverts
J'aimerais être le fil
Du funambule et vous y voir arpenter
Le durable périmètre de ma mélancolie
Celle que j'ai aujourd'hui
Car demain elle aura fondue en totalité
Avec les glaciers
Les déserts
Les vies rêvées et le sentiment profond
D'une absence abyssale
Imaginaire peut-être
Mais avec laquelle je suis né
jacques dor
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lounesdarbois · 11 months ago
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Salut Lounès ! Voyons tes réactions à ces quelques citations… taquines ! 
Première citation :
Je suis de ces auteurs qu’ont du souffle, du répondant, du biscoto. J’emmerde le genre entier humain à cause de mon répondant terrible, de ma paire de burnes fantastiques (et bordel de dieu je le prouve !). Je jute, je conclus, je triomphe, je trempe la page de plein génie… De vous à moi, entre copains, c’est ce qu’on me pardonne pas du tout, à la ronde, ce qu’on me pardonnera jamais, jamais, la façon que je termine, que j’achève les entreprises, que je vais au pied comme une reine, à tous les coups. Ils voudraient bien me faire mourir, mes émules, même mes petits élèves, par chagrins, par méchants propos, me faire périr sous les morsures d’une foison de cancrelats, sous les venins d’une pullulation atroce d’aspics effroyablement voyous, martyrivores. Mais ma peau de vache me protège, jusqu’ici j’ai réchappé. Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres (1938) 
Lounès Darbois : Eh oui ! Dans une confrontation, se coucher excite rarement la pitié de l’adversaire mais plutôt son sadisme. Les cruels sont souvent des lâches et vice-versa. C’est pourquoi il faut être « terrible et fantastique » pour durer et endurer. J’ai une photo de Raymond Poulidor grimpant une côte. Tout est résumé dans l’expression de son visage, le genre qui ne plaisante pas, sourd à la douleur, tendu vers son idéal. Parfois je la regarde. 
Deuxième citation :
(…) il ne s’agit plus de comprendre et d’aider son prochain mais de le fasciner et de l’enculer. Philippe de Vulpillières, L’homme tue et la femme rend fou (2017) 
Lounès Darbois : Brutal mais exact vu les mœurs actuelles ! La fascination, la « possession » sont des caractéristiques du diable. Tendance fatale quand on veut bien croire à tout sauf au bon sens ! Auteur au parcours intéressant soit dit en passant. 
Troisième citation :
Les hommes sont devenus avides, mesquins, menteurs, […] ils ont perdu la foi et le sens du vrai, il n’y a plus de rois, il n’y a plus de bonheur. Ils chercheront la mort sans la trouver ; ils désireront mourir, mais la mort les fuira. Roman von Ungern-Sternberg cité par Léonid Youzéfovitch, Le Baron Ungern (2001) 
Lounès Darbois : Terrible lorsqu’on sait le destin de cet homme. Lui et sa troupe se battaient à 1 contre 100 dans la steppe, dans une guerre sans espoir. La chanson sur les Russes blancs finit bien par « et leur agonie cruelle, la honte de l’Occident ». 
Quatrième citation :
La vie de l’homme oscille, comme un pendule, entre la douleur et l’ennui. Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation (1819) 
Lounès Darbois : Qu’est-ce qui est le plus agaçant : est-ce le poison de la philosophie du soupçon que Schopenhauer et Nietzsche, en suivant les pas de La Rochefoucauld, ont répandu sur les meilleures générations d’Européens qu’ils avaient au contraire pour mission de galvaniser ? Ou est-ce la complaisance dans la déprime où aiment se morfondre les jeunes Blancs intelligents pour justifier leur inertie ? Difficile à dire ! Enfin tout cela mérite une bonne douche froide et deux jours de diète. Il y a plus de sagesse dans la vie sans parole de François d’Assises que dans les 10 000 pages de l’oncle Arthur et j’ai le droit de le dire car je les ai toutes lues ! Flaubert plus laconique disait à Maupassant : « Méfiez vous de la tristesse, c’est un vice. » 
Cinquième citation :
Ainsi devient raciste celui qui ne veut pas voir son pays envahi par l’étranger, réactionnaire celui qui regrette le temps passé, révisionniste celui qui n’adhère pas à la doxa nationale, fondamentaliste celui qui se réclame de la religion de ses pères. Jean de Pingon, préface à Laurent Gruaz, Et si la Savoie redevenait indépendante ? Projet pour un état souverain, catholique et royal (2020) 
Lounès Darbois : La xénophobie que l’on essaie toujours de faire passer pour une agression active est un réflexe de défense à une agression. Au plan des instincts, elle procède de la pulsion de vie ; au plan politique elle est une résistance à la colonisation ; au plan moral elle est morale ; et au plan chrétien… elle est justifiée par la parabole du bon Samaritain : seul l’étranger qui vous sauve est votre prochain, pas les étrangers en général. 
Sixième citation :
Ah la sale gueule des honnêtes gens… Pierre-Antoine Cousteau, pensées et aphorismes (2021) 
Lounès Darbois : Se vérifie souvent chez des gens très fiers d’avoir étudié en école de commerce. 
Septième citation :
La conversation d’une femme : 95 % de reproches. Paul Morand, Journal inutile (1968-1972 et 1973-1976) 
Lounès Darbois : Vrai sauf… sauf si vous l’« honorez », comme on disait jadis. Alors elle vous fiche la paix. 
Huitième citation :
À vingt ans on a déjà plus que du passé. Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932) 
Lounès Darbois : Avez-vous déjà eu cette impression malgré tous les voyages que vous avez entrepris, malgré toutes les réalisations que vous avez accomplies, que tout pendant l’enfance et l’adolescence étaient encore plus intense, plus beau, plus spontané, en somme plus vrai ? Il me semble que la vraie vie, c’est l’enfance, et que le reste est accessoire. 
Retrouvez Lounès Darbois chez Kontre Kulture
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claudehenrion · 5 months ago
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Des escouades de pieds nickelés lancés à l'assaut de ruines
J'ai eu la chance, ces jours derniers, en lisant un de mes ''quotidiens-du-matin'', de tomber sur deux textes que j'ai trouvés excellents, au point de m'en inspirer plus que largement et de soumettre des parties de leur contenu à votre curiosité, comme nous le faisons de temps en temps. L'un d'entre eux est signé par Vincent Trémollet de Villers et l'autre par Arnaud Benedetti, tous deux chroniqueurs au Figaro : la finesse de leurs analyses comme les mots choisis m'ont semblé fournir une description particulièrement juste du drame potentiel que traverse notre France.
Non seulement, affirme le premier, la politique n'est pas un jeu, mais c'est une matière sensible et dangereuse, qui peut parfois exploser dans des violences imprévisibles et inattendues. Une décision impulsive peut déchaîner des dégâts en chaîne, sans que personne ne puisse arrêter la mécanique de destruction lancée. Nous y sommes. Des ministres ''zombifiés'', des députés dépités, des conseillers désemparés : la majorité avance, exsangue, vers une bataille qu'elle ne s'attendait pas à mener, pour laquelle elle n'est pas prête, et qu'elle a de fortes chances de perdre.
A Gauche, l'esprit manœuvrier des trotskystes l'emporte sur la morale la plus élémentaire : oubliées les déclarations assassines des Insoumis sur Israël et sur Gaza, et oublié aussi l'antisémitisme d'atmosphère qui entache la Gauche radicale... Le nouveau ''Front populaire'' ne s'encombre pas de principes, il veut un maximum de circonscriptions. C'est le génie de la soi-disant ''Gauche morale'' : faire des remontrances à la terre entière, en piétinant allègrement les pseudo-vertus qu'elle professe. Mais il y a longtemps qu'il est de notoriété publique que la Gauche sait, toute honte bue, se regrouper pour se présenter ''unie'' (que ne fait-on dire aux mots !) lors des ''distribution des sièges''...
A Droite, à l'inverse, ce sont les retrouvailles avec les grandes déclarations et les querelles microscopiques, les accords signés sur un coin de table et les manifestes des caciques-à-plumes... Après des années de silence, Laurent Wauquiez s'auto-extrait de sa tanière pour se précipiter dans une bataille partisane d'arrière garde, qui est de toute façon perdue d'avance, Après des mois de présidence, Eric Ciotti scelle une alliance dans la logique des choses et de son histoire personnelle, que rejettent les galonnés mais qui enchante une majorité des électeurs et des militants... qui l'espéraient depuis longtemps. LR n'est plus qu'un petit groupe de notables déconnectés du réel. Ce mouvement, analyse Arnaud Benedetti, s'est fracturé de l'intérieur, s'encalminant dans une indécision prudente et s'immobilisant dans le vain espoir d'un rebond. Il agonise sous nos yeux, faute d'avoir choisi.
Au gouvernement, les ministres vont chercher des insultes hors sujet au plus profond d d'analogies paresseuses et absurdes : ''collaboration'' (sic ! Il faut ne pas savoir de quoi on parle, pour oser !) ''Munich'' ou ''fascisme'' (mêmes commentaires) pour dénoncer une clarification qu'Emmanuel Macron appelle depuis longtemps de ses vœux et que nous voyons se mettre en place ''en direct''. Les ''demi-habiles'' qui prétendent conseiller le chef de l'Etat se frottent les mains devant les premiers effets de cette folle décision (Raphaël Glucksmann humilié par une Gauche qui perd son honneur, et une Droite qui s'entre-déchire...), en refusant de voir que c'est eux qui sont les vraies victimes de cette partie de ''à qui perd, perd''. Il faut remonter à 1968 et à toutes ses folies pour trouver une crise d'une violence comparable, où le pire ne fait plus partie des ''impossibles''.
Le très problématique et encore plus improbable ''dépassement'' (ça veut dire quoi ?) soi-disant souhaité par Emmanuel Macron (qui ne voit là qu'un gadget pour affaiblir ses opposants !) rétrécit comme peau de chagrin, et le clivage ''Gauche-Droite'', dont il avait annoncé la fin puis proclamé le Requiem, renaît de ses cendres, mais sous une forme plus radicale et infiniment plus violente. La France, à cause de cette faute majeure, est en passe de se retrouver réduite à deux blocs solides et sauvagement hostiles l'un à l'autre, l'un sous la tutelle ombrageuse de Marine le Pen et l'autre, ballotté entre les ''plus-disants'', selon les impressions de vote plus ou moins utile ici ou là... entre lesquels coule sans direction le magma informe et ratatiné de ce qui ose encore se prétendre ''une majorité''... de plus en plus minoritaire !
En résumé, nous assistons à un face à face dans le grand bordel créé par cette décision absurde, entre, écrit Benedetti, le dernier des Mohicans (LR) qui continue à s'astreindre servilement à la ruse mitterrandienne (ruse en forme de piège vicelard, comme il l'était lui-même) du ''cordon sanitaire''... et une Gauche qui continue à se prétendre ''de gouvernement'' mais qui n'hésite pas, pour quelques sièges de plus, à s'allier avec des formations dont le degré de diabolisation (réelle, elle) est beaucoup plus nocif que celui –à peu près inexistant-- du Rassemblement national.
Le tout, au milieu d'un peuple français dont les quatre cinquièmes refusent d'écouter un seul mot de ce que tente de lui raconter un Président que plus de 80 % des électeurs rejettent, mais qui, confisquant la parole publique (pendant des heures d'ennui profond pour ceux qui n'ont pas tout de suite éteint leur récepteur), est le seul à n'avoir pas compris que, loin d'être une solution, c'est lui qui est ''LE'' problème......
H-Cl.
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lisaalmeida · 1 year ago
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"Aime-moi aussi quand je suis faible, cassante, quand je suis en colère, irritable, quand je ne réponds pas aux questions, quand la peur me gagne, quand j’angoisse.
Aime-moi, juste parce que j'aimerai être comprise, acceptée et déchiffrée dans mes intervalles, mes respirations, mes ponctuations,
mes silences.
Aime-moi quand je ne souris pas, quand je ne me sens pas belle, quand je regarde mon reflet avec une grimace de dégoût.
Aime-moi quand j'ai mal, quand j'ai du chagrin et que coulent des larmes sur mes joues. Protèges moi quand c'est le bordel dans ma tête. Une grande pagaille qui me submerge et met le foutoir dans mon âme.
Aime-moi douce et tolérante.
Aime-moi juste humaine, changeante comme la lune et complexe comme le temps. A fleur de peau, imprévisible et audacieuse, sauvage et poétique.
Aime-moi entière, en additionnant tout mes chapitres, ces paragraphes qui me composent et s'additionnent, se cumulent, s'accumulent...
et je promets que je saurai accepter chacune de tes facettes, ton allure et ta prestance.
Juste parce que tu ne me verras pas toujours heureuse comme aujourd'hui. Je ne serai pas toujours avec tant d'aspiration, de désir. Parfois mon âme a besoin de se reposer, mon âme n'est pas toujours dansante..."
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aurevoirmonty · 1 month ago
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"Qu'importe que les frontières du pays soient intactes, si les frontières de la race se rétrécissent et si la peau de chagrin française est le Français ! […] Le pays ne sera sauvé que provisoirement par les seules frontières armées : il ne peut l'être définitivement que par la race française, et nous sommes pleinement d'accord avec Hitler pour proclamer qu'une politique n'atteint sa forme supérieure que si elle est raciale, car c'était aussi la pensée de Colbert et de Richelieu."
Jean Giraudoux, Pleins pouvoirs (1939)
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lestroiscorbeaux · 2 months ago
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Et c'est ce qui change son esprit, à la fin.
« Parmi les souvenirs qui le hanteraient toujours, se trouvait, entre les sourires de Tyelpe et son corps brisé cloué au pilori, la vision déchirée de lui-même (C.) le pourfendant. Chaque pleur sous chaque assaut, chaque cri, chaque gémissement sous chaque déchirure. Son surnom glissait de ses lèvres alors que ses yeux s'éteignaient pour toujours. [...] Il pensait rarement Célébrimbor, mais ces derniers temps, quand il s'enfonçait dans la contemplation de son Anneau et qu'il se laissait porter par ses pensées, celle-ci lui revenait toujours. Une illusion. Une chose incongrue qui le laissait généralement indifférent, mais plus le temps passa, plus il s'enfonçait dans l'Anneau et rêvait de la (sa) grandeur passée. Et se trouvant là, ce fantasme d'un autre qui devient le sien : Célébrimbor de plus en plus volontaire sous les toucher de Sauron, il devenait fébrile sous ses soins, nécessiteux sous le traitement de sa bouche et Sauron obligerait. Sauron obligerait toujours. Au fur et à mesure, il était plus doux, il était plus gourmand. [...] Il (le fantasme) finissait éternellement sur le regard de Tyelpe qui s'attarde. » ...
« La volupté cessa pour des caresses et des baisers tendres. Sauron fondait sous la chaleur de Tyelpe. [...] Il n'a pas su quand le sexe violent est devenu doux, quand Sauron a fini de le violer pour lui faire l'amour. Quand il passait la plus grande partie à toucher Célébrimbor, à le tenir, à le caresser. À l'embrasser. Quand Célébrimbor est (re)devenu Tyelpe et quand ses visions se sont emplies de chagrin(la tristesse). Car plus jamais Sauron ne pourrait tenir Tyelpe près de lui (et tout cela était faux) [...] Elles commencèrent toujours en cours de route, l'acte en partie consommé. Célébrimbor était d'or à la lumière des bougies, les cuisses invitantes et Sauron s'enfonçait jusqu'à se perdre en lui. Tyelpe gémissait ce nom intime qu'il n'a eu que pour lui et Sauron y répondait avec la même ferveur que s'il prononçait son véritable nom. Il chantait ainsi plus fort et c'était la plus belle chanson que Sauron n'avait jamais entendue. Tout n'était que volupté, de corps qui s'unissaient en un seul et de bouches où fleurissaient de tendres baisers. Et Sauron était toujours perdu, toujours affamé, réclamant cet endroit secret dans ce corps féerique qui faisait voir à Tyelpe les étoiles. Les premières fois, Sauron avait été brutal, dominant Célébrimbor, ses jambes sur ses fortes épaules et ses mains lui déchirant le dos sous la force de ses assauts. Plus les années passaient, plus les visions devinrent douces. Le côté bestiale et mécanique se délaissa pour quelque chose de plus passionné, d'incarné, pour finir sur des touches fragiles. Sauron cessa de faire l'amour à Tyelpe, de le pénétrer et de se déverser en lui. Il avait fini par lui prodiguer des touches de tendresse. Cela finirait toujours par Sauron embrassant Tyelpe, pleurant sur cette peau dorée pour un amour impossible et entaché à jamais. »
...
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Illustration Kakashi x Iruka mais c'est ma vision où Célébrimbor est de plus en plus tangible et réceptif à cette tendresse à mesure que la culpabilité de Sauron et la réalisation de sa perte augmente. Ce n'est qu'un mirage au début, une fumée au semblant d'apparence à Célébrimbor. Il n'est que réel et le véritable Célébrimbor qu'à la fin quand Sauron accepte son erreur et pleure sa perte.
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2manyfandoms2count · 1 year ago
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hi elle! may i ask if you can transcribe and translate the chat noir vs griffe noire cat pun fight? thank you!
Hi Zue! Here you go!
I did my best to keep the puns, or move them slightly, but some are pretty hard to translate without it sounding too weird, or staying on the cat theme 🥲 (ngl, they weren't very creative haha, you'll see that a lot of the puns are based on words that have the word "cha" in it, since we don't pronounce the "t" sound of "chat")
Chat Noir: Could it be that... it's actually just an illusion?! Monarque: Voyage! Griffe Noire: See *you around, my beloved sovereign. Monarque: Nooroo, Kaalki, Mullo, Pollen, Orikko, Amalgamate! Multiplication! Griffe Noire: I hope that you like taking paw-nches, cutie-pie! ["J'espère que tu aimes te prendre des châtaignes, mon mignon" - "se prendre une châtaigne" = take a punch, châtaigne = chestnut, has "chat" in it] Chat Noir: That's funny! The only thing I fear are joke thieves, you don't stand a chance! ["Laisse-moi rire, la seule chose que je crains, ce sont les chapardeurs de blagues, tu fais pas le poids!" - pun on chat + chapardeur = thief] Griffe Noire: We'll see about that, do you fear tickles? ["On va vérifier, est-ce que tu crains les chatouilles?" - pun on chat + chatouilles = tickles] Chat Noir: It pains me to know we're paw-lders of the same Miraculous. ["Ca me chagrine de me dire qu'on est les porteurs du même Miraculous." - pun on chat + chagriner = to pain] Griffe Noire: You look upset... ["Tu as l'air chafouin..." - pun on chat + chafouin = upset] Chat Noir: Ladybug? --- Griffe Noire: You're clearly not the coolest of the litter! Chat Noir: You shouldn't count your kittens too soon! ["Tu ne devrais pas vendre la peau du Chat trop tôt!" - pun on "ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué" (lit. don't sell the bear's fur before killing it) = don't count your chickens before they've hatched, adapted to cats) Monarque: Merge! Where is their superpower coming from?! Ah... I can't feel any trace of Akumatisation! Huh? It's a trap! Voyage! --- Chat Noir: You know it's a legend? Griffe Noire: Yes, I know, I'm a living legend! Chat Noir: I was talking about cats not liking water. Griffe Noire: Cats don't like water! Chat Noir: I don't agree! Some cats are actually excellent swimmers! I even have an aquatic version of my costume. Don't you? Griffe Noire: I hate water and swimming pools! And bragging cats! [Bragging cats = chats vantards] Chat Noir: Bragging cats, bragging cats, hm, let me think, nope! It's not a pun! I didn't expect cat from you! Hehehe ["Chats vantards, chats vantards, hm, laisse-moi réfléchir... ah mais non! Il n'y a pas de jeu de mots! Je ne m'attendais pas à chat de ta part! Hehehe" - pun on chat + ça = that] Griffe Noire: You want a pun? Then hang on tight because as long as I don't have your Miraculous, I promise you I'll be relentless! ["Tu veux un jeu de mots? Alors accroche-toi parce que tant que je n'aurais pas ton Miraculous, je te promets de m'acharner!" - pun on chat + s'acharner = be relentless]
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(continuation of the scene between these two here)
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lafcadiosadventures · 2 years ago
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La peau de chagrin 1980
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tournevole · 1 year ago
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Extrait de La Peau de chagrin
J'ai adoré ce livre comme beaucoup de livre de Balzac ( la recherche de l'absolu, Les illusions perdues )
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jeanchrisosme · 11 months ago
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Il y a des êtres qui vous comblent. Non pas de leur présence,mais de leur simple existence. Il y a des gens qui dorment avec vous, sans jamais toucher vos draps. Juste par leur pensées qui vous accompagne. Il y a des hommes merveilleux. Des femmes enchanteresses. Des êtres absolus. Il existe des personnes dont la facilité de vous pénétrer est de l'ordre de la magie. Ils tapent vos rêves comme on composerait une mélodie au piano. Ils écrivent des mots sortis tout droit d'un autre monde. Comme si le monde des vivants n'avaient pas accès à ces mots magnifiés. Ils parfument vos larmes de sens et de pardon. Ils habitent vos étages, vos greniers, vos caves et vos combles, et les éclairent à la lueur de leur cœur. Il voyagent sous votre peau en faisant des frissons et des sursauts. Ils bercent vos envies comme des matins qui se réveillent doucement. Il existe des gens qui prosent avec la vie. Qui dessinent des mots sur les esprits. Qui apaisent tout mal. De ceux qui guérissent, ressentent et caressent. De ceux qui nous bouleversent l'équilibre fragile. Parce qu'ils sont libres. Parce qu'ils aiment sans attendre. Parce qu'ils sont rares. Magiques ou terrifiants. Comme des labyrinthes où l'on se perd irrémédiablement. Où on ne cherche pas la sortie. Où les certitudes volent toujours en éclat. Où l'abysse répare nos côtés abîmés. Ces êtres dépourvus d'attentes qui offrent leur absence comme une tombe qu'on fleurit de nos chagrins imaginaires. Ils sont beaux. Vivants et morts. Ils sont éternels. Sous forme d'amis, d'amour ou d'âme sœur. Appelez les comme vous voulez. Ils tapissent nos vies de baumes et de miel. Je le sais. Je l'ai vécu.
Cyrielle Soares
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