#La Nausée
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cosmonautroger · 3 days ago
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Jean Paul Sartre, La Nausée, 1938
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tilbageidanmark · 2 days ago
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fieriframes · 2 months ago
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[Now that the baklava is done, we're going to top it with a finishing sauce, which is water, New Mexico honey, sugar, Baldick (Harmondsworth: Penguin, 1965) (La nausée, 1938.]
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veryslowreader · 6 months ago
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Nausea by Jean-Paul Sartre
The Outcasts
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saintdandy · 10 days ago
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"La racine du marronnier s'enfonçait dans la terre, juste au-dessous de mon banc. Je ne me rappelais plus que c'était une racine. Les mots s'étaient évanouis et, avec eux, la signification des choses, leurs modes d'emploi, les faibles repères que les hommes ont tracés à leur surface. J'étais assis, un peu voûté, la tête basse, seul en face de cette masse noire et noueuse, entièrement brute et qui me faisait peur. Et puis j'ai eu cette illumination.
Ça m'a coupé le souffle. Jamais, avant ces dernier jours, je n'avais pressenti ce que voulait dire « exister». J'étais comme les autres, comme ceux qui se promènent au bord de la mer dans leurs habits de printemps. Je disais comme eux « la mer est verte ; ce point blanc là-haut, c'est une mouette », mais je ne sentais pas que ça existait, que la mouette était une « mouette-existante » ; à l'ordinaire, l'existence se cache. Elle est là, autour de nous, en nous, elle est nous, on ne peut pas dire deux mots sans parler d'elle et, finalement, on ne la touche pas. Quand je croyais y penser, il faut croire que je ne pensais rien, j'avais la tête vide, ou tout juste un mot dans la tête, le mot « être ». Ou alors, je pensais... comment dire? Je pensais l'appartenance, je me disais que la mer appartenait à la classe des objets verts ou que le vert faisait partie des qualités de la mer. Même quand je regardais les choses, j'étais à cent lieues de songer qu'elles existaient : elles m'apparaissaient comme un décor. Je les prenais dans mes mains, elles me servaient d'outils, je prévoyais leurs résistances. Mais tout ça se passait à la surface. Si l'on m'avait demandé ce que c'était que l'existence, j'aurais répondu de bonne foi que ça n'était rien, tout juste une forme vide qui venait s'ajouter aux choses du dehors, sans rien changer à leur nature."
la nausée, sartre
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andysmuse · 1 year ago
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BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH!
BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH! BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH! Belgian Groove/Sludge metal formation LA NAUSÉE just signed a record deal and will fly under the wings of GIO SMET RECORDS. Together with Gio Smet Records, the band, hailing from Ghent, will…
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ravenvix · 1 year ago
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point a, point b ...feeling vertigo, then la nausée...
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cestmoiquand · 1 year ago
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Quand je suis en PMS, non seulement je mange des trucs, que je ne mange pas en règle général. Limite ça me donne la nausée, où je suis indifférente, quand je passe devant.
Mais aussi, j'ai un odorat tellement développé, que j'ai la nausée juste à sentir certaines odeurs, que je n'aurais pas remarqué les trois autres semaines.
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dixvinsblog · 8 months ago
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Sylvain Josset - En sentant la mort venir revoir la mer
Revoir la merEn sentant la mort venir revoir la merJ’ai laissé la porte du cimetière ouverte, j’ai pris la place du haut près d’un soleil du matin et d’une vierge sans bras, je m’accommode d’un faux marbre qui ressemble à une richesse dévergondée, je prends l’écart dû à un rang marginal, devant moi un horizon qui sent les fleurs de pissenlits, devant moi une plaine dont quelques loups foulent…
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agentperezbian · 7 months ago
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Alive and alone.
Rilke's Book of Hours: Love Poems to God, Rainer Maria Rilke / You're On Your Own Kid / i am a dog. i have blood all over my teeth, sciencedfiction / Saw (2004) original script, Leigh Whannell / La Nausée, Jean-Paul Sartre / Saw (2004) behind the scenes / unknown / Space Dog, Alan Shapiro / Saw (2004) original script, Leigh Whannell / Angels in America, Tony Kushner
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cinematic-literature · 2 months ago
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L'amica geniale S04E02 (La dispersione)
Book title: La nausea (La nausée in French; 1938) by Jean-Paul Sartre
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saintarmand · 1 year ago
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i'm sure i'm not the first one to notice this but i just identified an ldpdl book i don't remember seeing people talk about before so i had to share. in 1x06, louis seems to be reading jean-paul sartre's la nausée (1938)
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i just stared at shots of the scene until i was pretty sure the last letters were -ausée and then i ctrl+f searched that on a bunch of wikipedia pages on french literature until i found a match. i can't believe this dumb shit actually worked—the cover immediately looked familiar. louis's edition isn't exactly the same one pictured here but it's very similar.
wikipedia has this to say about the novel:
Nausea (French: La Nausée) is a philosophical novel by the existentialist philosopher Jean-Paul Sartre, published in 1938. It is Sartre's first novel. The novel takes place in 'Bouville' (homophone of Boue-ville, literally, 'Mud town') a town similar to Le Havre. It comprises the thoughts and subjective experiences—in a personal diary format—of Antoine Roquentin, a melancholic and socially isolated intellectual who is residing in Bouville ostensibly for the purpose of completing a biography on a historical figure. Roquentin's growing alienation and disillusionment coincide with an increasingly intense experience of revulsion, which he calls "the nausea", in which the people and things around him seem to lose all their familiar and recognizable qualities. Sartre's original title for the novel before publication was Melancholia.
sounds like louis all right!
it also says the character "often resigns himself to eavesdropping on other people's conversations and examining their actions from a distance," which is pretty much what louis is doing in this scene.
la nausée being published in 1938 makes it brand new when louis picked it up (lestat's return to rue royale was in 1937.)
i haven't read this (yet) or any sartre at all but i'm sure some of you have so feel free to share anything that comes to mind about it :)
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alicedusstuff · 1 year ago
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Rien de spécial aujourd’hui. Juste fatigué. Et en train de penser au fait que mon corps me fait perdre la vue et me donne des nausées à chaque fois que je laisses la tablette et quitte le lit. Je dois vraiment lâcher cet appareil un jour ou deux.
D’un autre côté…je suis assez en retard sur mon projet d’école…bah. Je vais échanger mon temps de dessin sur digital avec celui de dessin sur papier. Hey papier ! Ça fait longtemps ^^
Bref. Petits croquis avant de dormir ^^
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beluosus · 17 days ago
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things found in old books : the annotations and doodles in my (very well-read) copy of Sartre's La nausée.
I'm not an annotator as I find it distracting for re-reading. I've passed over a lot of secondhand books for having too many scribblings. But one of the perks of buying foreign language books in English speaking countries is that the annotations usually stop after the first ~20 pages.
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petit-atelier-de-poesie · 4 months ago
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NOTE DE LECTURE : La chair est triste hélas. Ovidie. 2023
Un livre coup de poing pour continuer à découvrir la littérature féministe. Je ne connais pas Ovidie autrement que par sa réputation sulfureuse d'ancienne star du porno, mais surtout pour ses derniers travaux et engagements féministes. C'est donc avec curiosité que je me suis procurée ce bouquin témoignage d'années d'abstinence et de son analyse de comment en être arrivée là. Et puis il y a ce titre "La chair est triste hélas" tiré d'un poème de Mallarmé dont je me souviens encore des premiers vers. 
Un livre coup de poing, disais-je, puisque la violence du propos est tout d'abord insupportable, jusqu'à la nausée. Et puis le souvenir de mon propre vécu dans mes relations de couple, de ce rapport de force inévitable entre amour et mort.  Violence physique avec les rapports sexuels non consentis / viols ordinaires et objectification du corps féminin, violence psychologique avec les rapports humiliants de soumission / dépendance au regard de l'autre mâle et assujettissement de l'esprit féminin à son désir à lui. 
Un livre coup de coeur, finalement, puisque nous sommes de la même génération et que je partage sa position quant au féminisme dont je ne me revendiquais pas jusqu'à présent, mais qui fait tellement écho à mon ressenti de femme, aux thèmes qui me travaillent depuis toujours : féminité, identité, sexualité, et à la paix que j'ai trouvée depuis que je suis seule et libre, autonome et indépendante. 
Merci à Ovidie et toutes les autrices qui nous accompagnent dans la démarche et sur le chemin, puisque je n'ai pas encore lu tous les livres...
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e642 · 3 months ago
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Paralysée par l'angoisse, je suis incapable de faire autre chose que me réveiller, aller au travail, rentrer, me triturer la peau, attendre d'aller dormir, pas dormir. Le tout agrémenté d'innombrables clopes qui me donnent soit la nausée, soit un coup de barre, soit un dégoût de moi-même. J'aime pas le chemin que prend ma vie depuis assez longtemps pour que ça me soit douloureux d'y penser à chaque fois. Je sais que seul moi peut changer certaines choses mais la peur m'écrase les entrailles. J'ai peur de tout. De la douleur, des études, des repas, du sommeil, des relations sociales, de tout ce qui peut exister. Je me répète. Sans cesse. L'impression de ne plus évoluer me fait mal au cœur. J'enchaîne les petites douleurs psychosomatiques, les maux de tout genre, là pour me réveiller à la base, là pour me faire comprendre qu'il y a bien une chose qui cloche au minimum, mais je préfère attendre que ça passe. C'est juste une consécution. C'est bête d'attendre que ça passe quand on a aucune idée de ce qu'on attend. Ça ne partira jamais si je ne fais rien pour que ça parte. Les vacances sont passées en un clin d'oeil furtif. Je ne crois pas avoir eu le temps de rien. Mais si je l'avais eu, j'aurais rien fait pour autant. Donc j'ai peut-être eu du temps sans le savoir, j'en ai seulement tellement rien fait que ça m'a donné la sensation de ne pas en avoir eu. Ce ne sont que des impasses dans lesquelles je m'engouffre. Visiblement m'exprimer, écrire, réfléchir ne m'aident pas, peut-être que c'est parce que je me cache des choses, peut-être que je ne veux pas voir les choses en face. Je me suis connue tellement plus aventureuse et courageuse. J'ai l'impression d'être tombée mais de ne pas m'être relevée immédiatement me créant cette presque phobie de la prochaine chute. Comme si je pouvais y échapper. Le fait est que je crois qu'on n'échappe à rien dans la vie, on retarde uniquement et après on se plaint que c'est violent. Ça n'aurait pas pu en être autrement. Mon inaction est frustrante. J'attends que tout vienne de l'extérieur, que le monde me rejette pour ne pas avoir à rejeter, que le monde me blesse pour ne pas avoir à blesser, que le monde décide pour ne pas avoir à décider. L'urgence est pourtant précisément dans une prise de position. J'ai aussi peur de regretter ou peur de prendre une énergie monstrueuse à décider pour au final ne pas en voir la nuance, ni le changement, ni rien. Ce sont des excuses. Quand je me regarde j'éprouve une telle répugnance, ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps. J'aimerais pouvoir mettre un goût de gomme et tout retracer. J'aimerais vraiment.
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