#La Nausée
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[Now that the baklava is done, we're going to top it with a finishing sauce, which is water, New Mexico honey, sugar, Baldick (Harmondsworth: Penguin, 1965) (La nausée, 1938.]
#s33e06 something sweet#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#new mexico honey#la nausée#finishing sauce#baklava#water#sugar#baldick#harmondsworth#penguin
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Nausea by Jean-Paul Sartre
The Outcasts
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BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH!
BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH! BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH! Belgian Groove/Sludge metal formation LA NAUSÉE just signed a record deal and will fly under the wings of GIO SMET RECORDS. Together with Gio Smet Records, the band, hailing from Ghent, will…
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#Album review#available now#Belgian band#Gio Smet Records#La Nausée#Metal#Music#Music news#New album#Out now
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point a, point b ...feeling vertigo, then la nausée...
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Quand je suis en PMS, non seulement je mange des trucs, que je ne mange pas en règle général. Limite ça me donne la nausée, où je suis indifférente, quand je passe devant.
Mais aussi, j'ai un odorat tellement développé, que j'ai la nausée juste à sentir certaines odeurs, que je n'aurais pas remarqué les trois autres semaines.
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Sylvain Josset - En sentant la mort venir revoir la mer
Revoir la merEn sentant la mort venir revoir la merJ’ai laissé la porte du cimetière ouverte, j’ai pris la place du haut près d’un soleil du matin et d’une vierge sans bras, je m’accommode d’un faux marbre qui ressemble à une richesse dévergondée, je prends l’écart dû à un rang marginal, devant moi un horizon qui sent les fleurs de pissenlits, devant moi une plaine dont quelques loups foulent…
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Alive and alone.
Rilke's Book of Hours: Love Poems to God, Rainer Maria Rilke / You're On Your Own Kid / i am a dog. i have blood all over my teeth, sciencedfiction / Saw (2004) original script, Leigh Whannell / La Nausée, Jean-Paul Sartre / Saw (2004) behind the scenes / unknown / Space Dog, Alan Shapiro / Saw (2004) original script, Leigh Whannell / Angels in America, Tony Kushner
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L'amica geniale S04E02 (La dispersione)
Book title: La nausea (La nausée in French; 1938) by Jean-Paul Sartre
#my brilliant friend#l'amica geniale#stefano dionisi#books in tv shows#la nausea#jean-paul sartre#french literature#la nausee#la dispersione#franco mari#my brilliant friend season 4#l'amica geniale season 4
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i'm sure i'm not the first one to notice this but i just identified an ldpdl book i don't remember seeing people talk about before so i had to share. in 1x06, louis seems to be reading jean-paul sartre's la nausée (1938)
i just stared at shots of the scene until i was pretty sure the last letters were -ausée and then i ctrl+f searched that on a bunch of wikipedia pages on french literature until i found a match. i can't believe this dumb shit actually worked—the cover immediately looked familiar. louis's edition isn't exactly the same one pictured here but it's very similar.
wikipedia has this to say about the novel:
Nausea (French: La Nausée) is a philosophical novel by the existentialist philosopher Jean-Paul Sartre, published in 1938. It is Sartre's first novel. The novel takes place in 'Bouville' (homophone of Boue-ville, literally, 'Mud town') a town similar to Le Havre. It comprises the thoughts and subjective experiences—in a personal diary format—of Antoine Roquentin, a melancholic and socially isolated intellectual who is residing in Bouville ostensibly for the purpose of completing a biography on a historical figure. Roquentin's growing alienation and disillusionment coincide with an increasingly intense experience of revulsion, which he calls "the nausea", in which the people and things around him seem to lose all their familiar and recognizable qualities. Sartre's original title for the novel before publication was Melancholia.
sounds like louis all right!
it also says the character "often resigns himself to eavesdropping on other people's conversations and examining their actions from a distance," which is pretty much what louis is doing in this scene.
la nausée being published in 1938 makes it brand new when louis picked it up (lestat's return to rue royale was in 1937.)
i haven't read this (yet) or any sartre at all but i'm sure some of you have so feel free to share anything that comes to mind about it :)
#iwtv#louis de pointe du lac#s#iwtv intertextuality#interview with the vampire#vampterview#vampyyrit
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Rien de spécial aujourd’hui. Juste fatigué. Et en train de penser au fait que mon corps me fait perdre la vue et me donne des nausées à chaque fois que je laisses la tablette et quitte le lit. Je dois vraiment lâcher cet appareil un jour ou deux.
D’un autre côté…je suis assez en retard sur mon projet d’école…bah. Je vais échanger mon temps de dessin sur digital avec celui de dessin sur papier. Hey papier ! Ça fait longtemps ^^
Bref. Petits croquis avant de dormir ^^
#my draws#digital art#sketch#just doodlin#lmk macaque#justdraw#lmk shadowpeach#digital doodle#art by me#justelaflemme mais envie de dessiner quand même#lmk sun wukong#oc
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things found in old books : the annotations and doodles in my (very well-read) copy of Sartre's La nausée.
I'm not an annotator as I find it distracting for re-reading. I've passed over a lot of secondhand books for having too many scribblings. But one of the perks of buying foreign language books in English speaking countries is that the annotations usually stop after the first ~20 pages.
#things found in old books#bookblr#books#livres#livres d'occasion#secondhand books#dark academia#dark acadamia aesthetic#grey academia#littérature française#jean paul sartre#ἐποίησα
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NOTE DE LECTURE : La chair est triste hélas. Ovidie. 2023
Un livre coup de poing pour continuer à découvrir la littérature féministe. Je ne connais pas Ovidie autrement que par sa réputation sulfureuse d'ancienne star du porno, mais surtout pour ses derniers travaux et engagements féministes. C'est donc avec curiosité que je me suis procurée ce bouquin témoignage d'années d'abstinence et de son analyse de comment en être arrivée là. Et puis il y a ce titre "La chair est triste hélas" tiré d'un poème de Mallarmé dont je me souviens encore des premiers vers.
Un livre coup de poing, disais-je, puisque la violence du propos est tout d'abord insupportable, jusqu'à la nausée. Et puis le souvenir de mon propre vécu dans mes relations de couple, de ce rapport de force inévitable entre amour et mort. Violence physique avec les rapports sexuels non consentis / viols ordinaires et objectification du corps féminin, violence psychologique avec les rapports humiliants de soumission / dépendance au regard de l'autre mâle et assujettissement de l'esprit féminin à son désir à lui.
Un livre coup de coeur, finalement, puisque nous sommes de la même génération et que je partage sa position quant au féminisme dont je ne me revendiquais pas jusqu'à présent, mais qui fait tellement écho à mon ressenti de femme, aux thèmes qui me travaillent depuis toujours : féminité, identité, sexualité, et à la paix que j'ai trouvée depuis que je suis seule et libre, autonome et indépendante.
Merci à Ovidie et toutes les autrices qui nous accompagnent dans la démarche et sur le chemin, puisque je n'ai pas encore lu tous les livres...
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Paralysée par l'angoisse, je suis incapable de faire autre chose que me réveiller, aller au travail, rentrer, me triturer la peau, attendre d'aller dormir, pas dormir. Le tout agrémenté d'innombrables clopes qui me donnent soit la nausée, soit un coup de barre, soit un dégoût de moi-même. J'aime pas le chemin que prend ma vie depuis assez longtemps pour que ça me soit douloureux d'y penser à chaque fois. Je sais que seul moi peut changer certaines choses mais la peur m'écrase les entrailles. J'ai peur de tout. De la douleur, des études, des repas, du sommeil, des relations sociales, de tout ce qui peut exister. Je me répète. Sans cesse. L'impression de ne plus évoluer me fait mal au cœur. J'enchaîne les petites douleurs psychosomatiques, les maux de tout genre, là pour me réveiller à la base, là pour me faire comprendre qu'il y a bien une chose qui cloche au minimum, mais je préfère attendre que ça passe. C'est juste une consécution. C'est bête d'attendre que ça passe quand on a aucune idée de ce qu'on attend. Ça ne partira jamais si je ne fais rien pour que ça parte. Les vacances sont passées en un clin d'oeil furtif. Je ne crois pas avoir eu le temps de rien. Mais si je l'avais eu, j'aurais rien fait pour autant. Donc j'ai peut-être eu du temps sans le savoir, j'en ai seulement tellement rien fait que ça m'a donné la sensation de ne pas en avoir eu. Ce ne sont que des impasses dans lesquelles je m'engouffre. Visiblement m'exprimer, écrire, réfléchir ne m'aident pas, peut-être que c'est parce que je me cache des choses, peut-être que je ne veux pas voir les choses en face. Je me suis connue tellement plus aventureuse et courageuse. J'ai l'impression d'être tombée mais de ne pas m'être relevée immédiatement me créant cette presque phobie de la prochaine chute. Comme si je pouvais y échapper. Le fait est que je crois qu'on n'échappe à rien dans la vie, on retarde uniquement et après on se plaint que c'est violent. Ça n'aurait pas pu en être autrement. Mon inaction est frustrante. J'attends que tout vienne de l'extérieur, que le monde me rejette pour ne pas avoir à rejeter, que le monde me blesse pour ne pas avoir à blesser, que le monde décide pour ne pas avoir à décider. L'urgence est pourtant précisément dans une prise de position. J'ai aussi peur de regretter ou peur de prendre une énergie monstrueuse à décider pour au final ne pas en voir la nuance, ni le changement, ni rien. Ce sont des excuses. Quand je me regarde j'éprouve une telle répugnance, ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps. J'aimerais pouvoir mettre un goût de gomme et tout retracer. J'aimerais vraiment.
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5h45 et ça fait 1h que je suis réveillée pcq Nougat s'est réveillé dans la pièce d'à côté, il en a marre d'être seul. Alors pour lui c'est suffisant de dire "chuuuttt nougat encore dodo" mais ça réveille les deux autres qui voient ça comme un "go la journée peut commencer", qui commencent à courir partout, se battre etc. et moi je ne sais pas me rendormir bien sûr. Et c'est comme ça que toutes les journées commencent depuis qu'il fait clair un peu plus tôt, j'en suis à espérer la fin de la saison.
Lundi il y a eu le briefing pour la semaine de stage de cirque en camping. Je me disais "une semaine sans chat whouhou" bah on se lève à 6h, un peu plus tôt si on veut une douche tranquille, et le feed back de la journée est à 23h. Alors moi je ne vais pas faire de cirque cette semaine là, j'y vais dans l'équipe d'intendance, qui est en fait l'équipe de profs dans l'école de cirque où je jongle. On va faire les courses et les repas pour les 130 jeunes et animateurs du camp. Ça va être une semaine de dingue et c'est assez bien payé. L'ado participe au stage chez les jongleurs mais on ne se croisera pas beaucoup en journée, et les nuits, il a une tente avec ses potes.
Les examens continuent, il en reste trois. Pour l'instant ça va mais on sent la fatigue et les erreurs d'inattention qui arrivent. Je continue de trouver cette période de l'année totalement inutile. Les remplir comme des seaux et les faire vomir le tout en fin d'année au lieu de fonctionner avec des bilans. Mon amie, qui est prof en supérieur, trouve que c'est important de pouvoir ingurgiter des grosses quantités comme ça. Ça les prépare aux études supérieures. Je trouve qu'il n'y a pas de rapport entre faire son boulot convenablement dans sa vie professionnelle et utiliser sa mémoire de manière aussi intensive et endurante, jusqu'à la nausée. Les études supérieures aussi pourraient segmenter la matière et leur éviter cette période de stress. Elle a utilisé comme argument "si je devais me faire opérer, j'aimerais que le chirurgien soit assez endurant au cas où" et je n'ai quand même pas vu le rapport avec la gestion d'une session d'examens du coup je trouve cet argument complètement claqué.
Il y a une psy de l'un des centres pluridisciplinaires où je bosse qui est partie récemment, il y a aussi l'animateur des ateliers BD et là c'est une logopède qui quitte bientôt l'équipe. A chaque fois c'est parce qu'iels ont trouvé une place comme salarié.e.s. Ce centre était déjà en questionnement, par rapport au fait que beaucoup d'indépendants partent (ça coûte très cher d'être indépendant en Belgique) et donc il n'y a pas suffisamment de loyers qui rentrent pour les bureaux et ça se pourrait que le centre ferme bientôt. Pour moi ça ne représente qu'une petite aprèm mais l'amie qui a ouvert ce centre et qui y met énormément d'énergie depuis des années est dévastée. On est en juin, les nouveaux professionnels sont diplômés et vont chercher une patientèle, j'essaie de la rassurer comme je peux mais on verra. Ce soir on a une réunion-barbec justement avec toute cette équipe, l'ambiance va être bizarre.
Je suis moi aussi dans une remise en question, une impression de ne pas être bonne dans mon job en ce moment. Les examens de l'ado me stressent et me font faire le taxi et j'ai l'impression que mon cerveau est totalement absorbé par ça , je n'ai pas de longue période "pour moi" dans la journée du coup mes factures ne sont pas envoyées, mes bilans ne sont pas faits, je n'ai pas harcelé les médecins pour avoir mes prescriptions signées. J'ai été absente 3 semaines en mai, j'ai l'impression d'avoir abandonné mes patients à un moment où ils avaient besoin de moi. Et il y a ce petit bonhomme dont le bégaiement revient alors que d'autres choses se règlent.
Et mon alarme sonne dans 2 minutes.
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Edmond se tournait et se retournait sur la pauvre paille qui lui servait de lit depuis les longues années qu’il habitait le cachot. Il avait perdu le compte des jours quelques temps après sa captivité, mais cela devait faire plusieurs années, n’est-ce-pas ?
Une nouvelle crampe lui crispa le dos, et il changea encore de position dans le vain espoir de dénouer le nœud qui s’y était formé. La douleur ne partait pas, et le sommeil ne vint pas, alors, abandonnant l’idée de dormir, Edmond se leva et se mit à marcher en cercle.
Depuis quelques jours, une sensation de brûlure pulsait entre ses omoplates. Au départ, le dérangement n’était que très faible, la sensation à peine plus perturbante qu’une piqûre de moustique. Mais la situation avait petit à petit empiré, et désormais sa peau le démangeait terriblement. Edmond se serait bien gratté d'avantage, mais il en avait déjà irrité la zone douloureuse jusqu’au sang, et la moindre touche aggravait le sentiment de brûlure qui grouillait sous sa peau.
Il se résolut d’en parler au porte clé qui venait lui apporter sa soupe.
Ce dernier, mis au courant de l’étrange maladie qui frappait le prisonnier et soucieux de ne pas voir sa mort prélevée à sa paye, s'empressa de signaler à Edmond de se déshabiller.
“Je ne vois rien,” dit le geôlier une fois qu’Edmond eut enlevé sa chemise pour révéler son dos nu.
“Regardez encore !” demanda Edmond, désespéré de trouver la source du mal qui le tourmentait tant.
Le geôlier se pencha, lorgnant le dos du prisonnier. Les repas frugales de la prison d’If avaient rendu le prisonnier maigre, les os saillants, mais l’on pouvait encore apercevoir la silhouette des solides muscles qu’on les marins.
“Non, vraiment. Je ne vois rien.”
“Merci.” soupira le prisonnier en s’écartant tristement.
Le geôlier n’avait aucune raison de se moquer de lui. Après tout, les portes-clés n’avaient que peu d’intérêt à le voir mort, emprisonné comme il était. C’était donc que l’homme disait la vérité, et que le mal qui déchirait le dos d’Edmond demeurait invisible.
Une fois son geôlier parti, promettant qu’il appellerait le docteur si les choses s’aggravaient, Edmond écarta sa soupe. Il n’avait pas faim. La douleur qui vrillait juste sous ses omoplates s'étendait maintenant sur toute la longueur de son torse, comme pour se moquer de sa faiblesse. Pis encore, une nausée montante rendait ses mains tremblantes et sa vue trouble. Même si son estomac avait été d’humeur, Edmond doutait qu’il eut pu porter la nourriture à sa bouche.
Le reste de la journée s'échappa dans un flou nauséeux. Edmond était trop fatigué pour bouger, mais trop agité pour rester allongé. Il alternait donc entre les deux, plongé dans une vague brume cauchemardesque. Son cœur battait la chamade et son corps était secoué de frisson, sans que cela n’empêche la brûlure annexant son échine de le tourmenter. La fraîcheur de la nuit, loin de le soulager, empira encore son malheur.
Des vagues de crampes successives mettaient son dos à l'agonie, le laissant pantelant sur le sol froid et humide. Le moindre frottement était décuplé. Bientôt, Edmond ne supporta plus le tissu rêche de ses haillons, et avec un de ces regains d’énergies que la fièvre donne parfois, il s’empressa de les jeter au sol.
Edmond ne savais combien de temps il passa dans cet état intemporel que donne la maladie. Quelque chose de froid et gluant s’était mis à lui couler sur le dos, mais il n’avait plus la force de vérifier si ce n’était que de la sueur, ou bien du sang. Une sensation de douleur bien plus pénétrante que les autres le traversa, et Edmond ne put réprimer un hurlement.
Puis un second.
Puis un troisième.
C’était comme si une valve fermée s’était soudainement ouverte, libérant l'expression de toute la souffrance qui le secouait et lui coupait le souffle. Edmond se recroquevilla sur le sol, front a terre, tirant désespérément sur ses cheveux pour échapper à la torture qui le dechirait de l’intérieur. Des pas accoururent, mais perdu dans la fièvre et la douleur, Edmond ne les entendit pas.
“Mais bon sang, que se passe t-il ?!”
On le secoua, sans pouvoir provoquer plus que des gémissements. Puis, les doigts charnus qui l'avaient malmené le quittèrent. Il y eut une pause, puis d’autres cris; qui cette fois ne venaient pas de lui; puis une main contre son épaule alors qu’il tentait de se retourner pour frotter la zone brûlante au sol délicieusement froid.
“Ne bougez pas.”
Edmond s’accorda très bien de cet ordre. Maintenant que la personne le disait, se retourner semblait en effet une bien mauvaise idée. Et puis, le sol était trop froid. Il préférait bien plus la main chaude qui était restée posée près de son cou. Une seconde vint se poser sur son front. Elle s’en éloigna presque aussitôt, et Edmond regretta la fraîcheur qui l’avait brièvement envahi à son contact.
“Mais c’est qu’il a de la fièvre, ce pauvre garçon.” Le geôlier leva la voix. “Appelez un médecin !”
Le cri, trop fort pour les sens surmené d’Edmond, lui fit l’impression d’un ballon qui éclatait dans son crâne. Ses gémissements reprirent de plus belle.
“Que se passe-t-il?” Une nouvelle voix lui transperça les tympans.
“Le prisonnier est souffrant.”
“Ça, je l’entend bien qu’il est souffrant. Cela fait une demi-heure qu’il nous casse les oreilles. Mais avez-vous une idée du mal?”
“Non. Ce matin, il parlait encore.”
Le flot de parole fut bientôt enseveli sous la vague de fièvre qui l'envahit comme un nouvel accès de crampe, tel une cruelle lance brûlante qui le perça de toute part. Sa gorge était rauque à force de crier, et le son ne sortait que par accoups étranglés.
“Allons, allons.”
Les porte-clés, bien embêtés, tentèrent tant bien que mal d’aider lorsque ce dernier se releva sur ses coudes pour tousser. Ils ne réussissent qu'à le perturber davantage.
Edmond voulait fuir toutes ces mains inconnues, bien trop moites, bien trop épaisses pour être celles qu’il cherchait. Il se languissait de la douceur du toucher de Mercedes contre sa peau. De lointains souvenirs remontaient le long de ses pensées confuses, prenant le pas sur les voix bien réelles qui l'entouraient.’
“C’est le milieu de la nuit. Ne peut-il pas tenir jusqu’au matin ?” l’une d’entre elle grommela. “C’est la prison, ici, pas l’hôpital.”
Une douleur, au moins dix fois plus terrible que toutes les autres, foudroya Edmond. Un cri final s’échappa de sa gorge desséchée. Il lui sembla, l’espace d’un instant, que sa peau se déchirait, mettant à nu la structure osseuse de ses omoplates et de sa colonne vertébrale. Que tout le sang de son corps se déversait le long de cette plaie sanglante, le laissant vide, sans vie.
Aussi vite qu’elle était apparue, la tortueuse agonie s’en alla, ne laissant derrière elle que les traces lancinantes d’un écho. Edmond était trop faible pour remarquer le silence qui pesa soudain entre les deux geôliers.
Le premier se tourna vers le second.
“Dites au médecin que c’est pour un ange. Il viendra.”
Le monde semblait bien lourd à présent, sans l’aiguille de la misère pour le garder éveillé. Les paupières d'Edmond se fermèrent au rythme des pas qui s’éloignent. Exténué, à bout de souffle, il ne réfléchit pas deux fois au répit qui s’offrait à lui et se laissa tomber dans le clément oubli de l’inconscience.
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jean-paul sartre, from ‘la nausée’
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