#La Nausée
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Jean Paul Sartre, La Nausée, 1938
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#sartre#jean paul sartre#novel#french novel#literature#existentialism#philosophy#1938#Nausea#La Nausée#alienation#revultion#le havre#camus#simone de beauvoir#modernism#andré malraux#kafka#william faulkner#detachment
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[Now that the baklava is done, we're going to top it with a finishing sauce, which is water, New Mexico honey, sugar, Baldick (Harmondsworth: Penguin, 1965) (La nausée, 1938.]
#s33e06 something sweet#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#new mexico honey#la nausée#finishing sauce#baklava#water#sugar#baldick#harmondsworth#penguin
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Nausea by Jean-Paul Sartre
The Outcasts
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"La racine du marronnier s'enfonçait dans la terre, juste au-dessous de mon banc. Je ne me rappelais plus que c'était une racine. Les mots s'étaient évanouis et, avec eux, la signification des choses, leurs modes d'emploi, les faibles repères que les hommes ont tracés à leur surface. J'étais assis, un peu voûté, la tête basse, seul en face de cette masse noire et noueuse, entièrement brute et qui me faisait peur. Et puis j'ai eu cette illumination.
Ça m'a coupé le souffle. Jamais, avant ces dernier jours, je n'avais pressenti ce que voulait dire « exister». J'étais comme les autres, comme ceux qui se promènent au bord de la mer dans leurs habits de printemps. Je disais comme eux « la mer est verte ; ce point blanc là-haut, c'est une mouette », mais je ne sentais pas que ça existait, que la mouette était une « mouette-existante » ; à l'ordinaire, l'existence se cache. Elle est là, autour de nous, en nous, elle est nous, on ne peut pas dire deux mots sans parler d'elle et, finalement, on ne la touche pas. Quand je croyais y penser, il faut croire que je ne pensais rien, j'avais la tête vide, ou tout juste un mot dans la tête, le mot « être ». Ou alors, je pensais... comment dire? Je pensais l'appartenance, je me disais que la mer appartenait à la classe des objets verts ou que le vert faisait partie des qualités de la mer. Même quand je regardais les choses, j'étais à cent lieues de songer qu'elles existaient : elles m'apparaissaient comme un décor. Je les prenais dans mes mains, elles me servaient d'outils, je prévoyais leurs résistances. Mais tout ça se passait à la surface. Si l'on m'avait demandé ce que c'était que l'existence, j'aurais répondu de bonne foi que ça n'était rien, tout juste une forme vide qui venait s'ajouter aux choses du dehors, sans rien changer à leur nature."
la nausée, sartre
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BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH!
BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH! BELGIAN GROOVE/SLUDGE METAL BAND LA NAUSÉE RELEASES NEW ALBUM “THEY PREY – DISORDER” ON AUGUST 18TH! Belgian Groove/Sludge metal formation LA NAUSÉE just signed a record deal and will fly under the wings of GIO SMET RECORDS. Together with Gio Smet Records, the band, hailing from Ghent, will…
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#Album review#available now#Belgian band#Gio Smet Records#La Nausée#Metal#Music#Music news#New album#Out now
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point a, point b ...feeling vertigo, then la nausée...
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Quand je suis en PMS, non seulement je mange des trucs, que je ne mange pas en règle général. Limite ça me donne la nausée, où je suis indifférente, quand je passe devant.
Mais aussi, j'ai un odorat tellement développé, que j'ai la nausée juste à sentir certaines odeurs, que je n'aurais pas remarqué les trois autres semaines.
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Sylvain Josset - En sentant la mort venir revoir la mer
Revoir la merEn sentant la mort venir revoir la merJ’ai laissé la porte du cimetière ouverte, j’ai pris la place du haut près d’un soleil du matin et d’une vierge sans bras, je m’accommode d’un faux marbre qui ressemble à une richesse dévergondée, je prends l’écart dû à un rang marginal, devant moi un horizon qui sent les fleurs de pissenlits, devant moi une plaine dont quelques loups foulent…
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Alive and alone.
Rilke's Book of Hours: Love Poems to God, Rainer Maria Rilke / You're On Your Own Kid / i am a dog. i have blood all over my teeth, sciencedfiction / Saw (2004) original script, Leigh Whannell / La Nausée, Jean-Paul Sartre / Saw (2004) behind the scenes / unknown / Space Dog, Alan Shapiro / Saw (2004) original script, Leigh Whannell / Angels in America, Tony Kushner
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L'amica geniale S04E02 (La dispersione)
Book title: La nausea (La nausée in French; 1938) by Jean-Paul Sartre
#my brilliant friend#l'amica geniale#stefano dionisi#books in tv shows#la nausea#jean-paul sartre#french literature#la nausee#la dispersione#franco mari#my brilliant friend season 4#l'amica geniale season 4
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Évidemment, nous n'apprenons jamais rien. Le ciel se ferme et les yeux. La pluie coule - mais les caniveaux de mon cœur...
Au milieu de Celetná - et les passants - je ne heurte pas - mais je m'abîme - les larmes sous mes talons et les pavés trébuchant - dans ma bouche inaudible... Nul sanglot n'aura chassé les nues.
La rosée n'émeut plus ce bleu qui délave. Attendre... à n'en pouvoir plus - rougie jusqu'au bout des cils. Et les tuiles se détachant une à une. A vive allure, je marche - vers quel azur. Vers quelle échappatoire.
Passage bouché - de mon âme - envolée d'oiseaux. Je perds ma voix - quand mon cœur, de mes lèvres, coule. Nausée, à fendre l'âme des rues.
Ils passent. Sans savoir quel précipice - aimer. Quel danger. Les mains humides - à force de sécher mes joues. Glacées par le vent et le froid qui rôdent - de place en place. J'ai marché.
J'ai lutté. En vain - paroles d'amour - et mes pleurs - à défoncer l'asphalte de leurs cris - j'aurais voulu pouvoir pousser entre les pavés, sur ma poitrine, que les germes percent ma peau - que de leurs yeux, les feuilles te regardent -
J'aurais voulu pouvoir éclore mille tendresses. Que le béton de mon ventre - meurt. Tout ce qui sourd de mon corps - émotions confuses - les églises ont perdu leurs vitraux. Et les tessons, dans mes mains.
J'ai beau hurler. J'ai beau jouir. J'ai beau écrire. Je disparais. Au milieu des foules - mes bras levés - pour chercher l'espace - où te retrouver. Avalée par les vagues.
Mes yeux mouillés - ne connaissent plus la pitié ni la joie. Et j'avale, avec difficulté. Des pierres. Et j'avale, avec difficulté, tes mots. Et je trouverai - effrontée - la percée de ciel
- je trouverai le soleil ascendant - qui fait pour moi raison, définitive, de te rester. Et de demeurer là, étendue, à l'ombre de tes yeux, sous un astre inflexible qui, tous les deux, nous étreint d'une même lumière - sans jamais savoir ce qui nous déparie - sans trouver fermeté à nous départir - l'un de l'autre
- non. Je ne trouve pas sens, ni conscience à aller seule - lointaine. Ni impératif, ni volupté - ni estrangement - ne sauraient avoir raison de moi. De mes entêtements. À nous colluder. À renaître la joie - dans ton cœur et le mien - à n'avoir d'autre croyance que d'aimer et de jouir
- et de savoir le bonheur réalisé, ici-bas et maintenant. Si sous ta main, tu perçois le sang qui bat - avec fureur - dans mes veines. Pour crier d'aimer, vivre - et aimer vivre - encore, ne serait-ce qu'un instant - plutôt que cette mort qui nous fait solitude
- je mordrai encore (sans pitié) à ta peau pour qu'à mes dents le sang gicle - et que je te sache, là. Plein d'envie - et de vie. Les yeux humectés - de peur - de ne plus te connaître - je te rassemble. Sur ma poitrine.
Et du pied, je chasse les feuilles. Les bâtiments ni la nuit n'encombreront la clarté de mon ciel. Je piétinerai tout ce qui m'empêche et ferai de grands signes - dissiper les ombres.
Que mes larmes encore tressautent. Pour écumer l'horreur. Furieuses. Acharnées. Mes forces. À te renaître encore - et braver...
L'incendie qui m'éclaire et me nuit.
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Turno di giorno
Non provo più gusto a lavorare, non posso più far altro che attendere la notte.
J. P. Sartre, [La nausée, 1938], La nausea, Torino, Einaudi, 1999 [Trad. B. Fonzi]
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Rien de spécial aujourd’hui. Juste fatigué. Et en train de penser au fait que mon corps me fait perdre la vue et me donne des nausées à chaque fois que je laisses la tablette et quitte le lit. Je dois vraiment lâcher cet appareil un jour ou deux.
D’un autre côté…je suis assez en retard sur mon projet d’école…bah. Je vais échanger mon temps de dessin sur digital avec celui de dessin sur papier. Hey papier ! Ça fait longtemps ^^
Bref. Petits croquis avant de dormir ^^
#my draws#digital art#sketch#just doodlin#lmk macaque#justdraw#lmk shadowpeach#digital doodle#art by me#justelaflemme mais envie de dessiner quand même#lmk sun wukong#oc
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L’agonie du macronisme prend un tour de plus en plus péniblement ridicule, ce dévalement qui n’en finit plus provoque l’écœurement jusqu’à la nausée. Il est grand temps que les pathétiques pantins au service exclusif de capitaux privés débarrassent définitivement le plancher…
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