#La Colère du Marsupilami
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tomoleary · 10 months ago
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Yoann Chivard “La Colère du Marsupilami” (The Wrath of the Marsupilami) Spirou et Fantasio (2016)
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bdslab · 2 years ago
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kimjimagery · 2 years ago
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I still can't believe how chill these two are in this one panel! Before things go right to eleven at the end of the page.
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bulles-de-bd · 2 years ago
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Spirou et Fantasio - T55 - La Colère du Marsupilami
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skopostheorie · 2 years ago
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gayfantasio · 2 years ago
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Okay Hear me out
I don’t really care about zantafios canon characterization like I’m literally just so normal about him but I AM crazy about the zantafio in my head where his relationship with Fantasio actually has WEIGHT TO IT and he is much more 3 dimensional
Like when franquin first introduced him (les héritiers album spoilers incoming) and made them cousins u could see it as just a plot point to show that fantasio would have to compete with someone for the inheritance and so. Hijinks occur which is FINE but at the end zantafio becomes apologetic and shows remorse for his actions which I think is really cool bc it shows that he’s human and bc of that it feels like he and fantasio being cousins might have weight to it and there might be an interesting relationship there that we can dive deeper into (this is less about the speculation of Fantasio motivating him to be a better person or whatever and more about how they set up Zanta’s character). But then after that he becomes a recurring villain but u don’t see that type of nuance in him anymore and now he’s a one dimensional character bc his motivation for showing up each time is bc of his greed and desire for power which is cool I like that but YOU DONT LEARN MORE ABOUT HIM OR HIS RELATIONSHIP WITH FANTASIO SO THEY MIGHT AS WELL NOT EVEN BE COUSINS AT THIS POINT and even though they acknowledge that he and fantasio are cousins they never DO ANYTHING WITH IT!! he just gets defeated and they call it a day until he comes back just to get defeated again. It’s disappointing bc u set him up to be a human and a character that should be taken seriously but then he’s reduced to a villain of the week…spirou 06 doesn’t fare any better imo
I think there are a few exceptions like la colère du marsupilami (where he’s more chill and they reveal that he has some personal Issues that could have been further looked into in future albums but now that they switched authors i doubt they’ll go back to that,,also some zanta fanta cousin momence if u look hard enough) and maybe l’homme qui ne voulait pas mourir but just barely?? (plot wise he and Fantasio’s relationship holds weight bc of the inheritance and that drives the story however character wise zantafio is too one dimensional lol)
TLDR My issue with zantafio isn’t that he’s this super messed up villain who does super messed up things I’m all for that it’s just that 1) the drastic change from the end of les héritiers to the dictator album and then on makes the les héritiers set up pointless and 2) if zantafio and fantasio weren’t cousins it literally wouldn’t change anything (their status as cousins is needed as a plot device for some albums but other than that it’s pointless). And honestly it doesn’t affect me much (that may or may not be a lie) but i would be happier with zantafios behavior if they offered an explanation for it and tied it back to him being a human being that’s just gone through some shit (trauma, relationships etc etc)
then again if zantafio wasn’t so one dimensional we wouldn’t be having these big brain headcanons and conversations so that’s a plus I guess?? Keeping us unsatisfied makes us a lot more creative and insane I gotta say and I’m loving it. So go dupuis keep giving us nothing girl /hj
Anyway Thanks for coming to my TED talk
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cariseca · 3 years ago
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Article in french about the often exhausting and unrecognised job colorist have done and still do for comic and the connection to the artists they work with. It's behind a paywall so what you absolutely shouldn't do is click under the read more, do NOT click the read more and go get a subscription with a currency you don't have!!
Que serait Tintin sans sa houpette rousse ? Lucky Luke sans son foulard rouge ? Bref, que serait la bande dessinée sans le travail minutieux et discret des coloristes ? Essentiel, leur rôle est pourtant très peu reconnu, en tout cas de ce côté de l’Atlantique. Mais la colère gronde.
Un métier de chien. Quand ils évoquent leur quotidien, les coloristes ont rarement les yeux qui brillent. Il est plutôt question de cadences infernales, de délais de fou, de journées interminables passées devant l’écran de son ordinateur à mettre en couleurs les planches en noir et blanc qu’ils reçoivent des dessinateurs de bande dessinée. Un travail minutieux, chronophage, souvent fait dans l’urgence, qui « bouffe les yeux », provoque lombalgies et tendinites. Ils sont une grosse cinquantaine en France à en vivre à plein temps, et sans doute le double à l’exercer de façon provisoire ou complémentaire d’une autre activité. « Personne n’a vocation à faire ce métier, c’est trop spécialisé, explique Clémence Sapin, on y entre toujours par hasard, presque par accident. » Au début des années 2000, pendant ses études de psychologie, la jeune femme accepte pour s’amuser et gagner un peu d’argent de donner un coup de main à Mathieu, son frère dessinateur… Depuis, elle n’a pas arrêté et collabore aussi à de nombreuses publications jeunesse.
Un parcours qui, curieusement, n’a rien de singulier. Derrière chaque coloriste se tient souvent un copain, ou une petite amie qui un jour a voulu rendre service. La tradition remonte aux origines de la bande dessinée franco-belge, quand les dessinateurs, déjà sous pression, confiaient le lettrage (la transcription de leurs textes) et les couleurs de leurs planches à leur épouse — ou, lorsqu’il existait des studios, à des équipes de petites mains. À l’époque, les couleurs étaient directement peintes sur des tirages papier, confiés ensuite aux imprimeurs. Si l’avènement de l’informatique et de Photoshop, au milieu des années 1990, a révolutionné le métier, l’anonymat, lui, est resté. Tout au bout de la chaîne de création, les coloristes demeurent les invisibles de la BD.
Des rapports subtils avec les dessinateurs
Leur rôle est pourtant crucial. Difficile d’imaginer Tintin sans sa houppette rousse, Obélix sans ses braies bleu et blanc, Lucky Luke sans son foulard écarlate. Et, sans son pelage canari, le Marsupilami serait bien fade… Des madeleines certes, mais pas seulement. Comme l’observait avec justesse le peintre Eugène Delacroix dans son journal, « la couleur est la partie de l’art qui détient le don magique. Alors que le sujet, la forme, la ligne s’adressent d’abord à la pensée, la couleur n’a aucun sens pour l’intelligence, mais elle a tous les pouvoirs sur la sensibilité ». Que seraient les grandes séries BD brutalement privées de couleurs ? Une suite de vignettes qui, telles quelles, auraient du mal à s’enchaîner, à fonctionner ensemble.
Que les mangas et les romans graphiques, en noir et blanc, soient plus denses et plus longs ne doit rien au hasard : il leur faut souvent plus de cases pour fluidifier le récit, faire passer des émotions, installer un climat. La couleur, elle, apporte aux images la lumière, l’heure du jour, le sens de la profondeur et de l’espace, mais renseigne aussi sur la psyché des personnages, l’ambiance d’une scène, le climat général de l’histoire. « C’est le premier contact avec l’album, estime le dessinateur Matthieu Bonhomme (Le Voyage d’Esteban, Charlotte impératrice, L’Homme qui tua Lucky Luke). Ce qui dans la librairie attire l’œil, donne envie de le feuilleter, de l’acheter ou non. Le lecteur découvre toujours les BD à rebours. D’abord la couleur, puis le dessin, et ensuite l’histoire. La séduction est une subtile affaire de tons, d’harmonies et de nuances. Mieux vaut ne pas se louper ! » Un enjeu qui pèse sur les relations entre dessinateurs et coloristes.
« Rares sont ceux qui viennent me trouver en sachant exactement ce qu’ils veulent, et heureusement , sourit Delphine Chédru, sinon mon travail n’aurait guère d’intérêt. » Illustratrice de livres pour enfants, la Parisienne, qui a notamment travaillé avec Émile Bravo, Matthieu Bonhomme et Joann Sfar, fonctionne à l’admiration. « Je ne dessine pas, mais je suis fascinée par le trait, les planches en noir et blanc que je découvre. Certains dessinateurs sont d’authentiques grands artistes qui imaginent non seulement les histoires, mais aussi les personnages, les décors, la mise en scène. Pour passer autant de temps sur l’œuvre d’un autre, il faut être motivé. » Reste à entamer le dialogue, à trouver des références et un langage communs, chose peu aisée, car, en matière de couleur, le vocabulaire courant s’avère vite limité. « Les dessinateurs ont souvent une perception floue et intuitive de ce qu’ils veulent et ont beaucoup de mal à l’exprimer. Le plus difficile est de capter, de deviner cette petite musique, et de leur proposer quelque chose qui s’y accorde, même si c’est inattendu. Il faut beaucoup écouter l’autre sans s’oublier ni manquer de personnalité. »
Un art de “l’accouchement des âmes”
Cet art de la maïeutique, de « l’accouchement des âmes », Isabelle Merlet le pratique en experte. À 52 ans, la coloriste, installée en Gironde dans une petite maison qui domine les vignes, est devenue une référence, l’une des rares à se battre pour sortir la profession de l’ombre. Très sollicitée, elle choisit ses collaborations (Blutch, Catherine Meurisse, Jean-Marc Rochette), les enchaîne à son rythme (deux à cinq albums par an) et tient un blog où elle explique et montre le cœur de son travail. À ses yeux, le rôle du coloriste s’apparente à celui du chef opérateur, le responsable des lumières sur un tournage, voire à celui d’un compositeur de musiques de film. « Même si le dessinateur reste le seul maître à bord, nous partageons un idéal commun, porter au plus haut le potentiel de son œuvre. Les planches en noir et blanc que je reçois sont comme une partition de musique, à moi, tout en restant au service du récit, de l’interpréter, de jouer les solistes. » Une vision qui ne cadre pas forcément avec celle de l’auteur, ayant souvent du mal à confier son « bébé » à des bras étrangers et multipliant les recommandations.
« Je passe beaucoup de temps à discuter avec eux, à éplucher les références qu’ils m’envoient, des images glanées dans des films ou d’autres albums. Évidemment je m’en imprègne, mais la vraie création ne peut pas reposer uniquement sur la mémoire ou la répétition de quelque chose d’existant, il n’y a pas de recette. Il faut chercher, travailler, essayer, et soudain la couleur jaillit et s’impose comme une évidence. » Quitte à violer parfois quelques tabous, en remplaçant par exemple le noir du trait d’origine par du mauve comme sur Lune l’envers, de Blutch. Des choix audacieux qui expliquent donc qu’un grand auteur comme Taiyô Matsumoto ait tenu à ce qu’elle mette en couleur son manga Les Chats du Louvre. Ou qu’un Français comme Jean Harambat (Opération Copperhead, Le Detection Club) vante la créativité d’Isabelle Merlet, « son regard artistique, sa capacité à comprendre au-delà des mots et à traduire l’ironie en gamme Pantone ». D’autres en revanche s’en agacent. Sa collaboration longtemps étincelante avec Blutch s’est achevée avec perte et fracas sur le dernier album du virtuose, Mais où est Kiki ? L’ego et les couleurs, parfois
« L’Europe nourrit encore cette illusion que la bande dessinée est le fait d’une seule personne, sans aide extérieure », affirme José Villarrubia. Coloriste vedette des plus grands éditeurs de comics américains, collaborateur attitré de Richard Corben, le maestro espagnol, qui vit depuis des lustres aux États-Unis, s’étonne qu’on puisse « encore laisser croire que le travail n’est pas divisé entre dessinateur, encreur, coloriste et calligraphe » — en France particulièrement, où depuis le XIXe siècle on a mis l’auteur sur un piédestal, en oubliant que tout objet imprimé est le fruit d’un travail collectif.
Un certain mépris cultivé par les éditeurs
Du côté des éditeurs, un grand flou entoure les coloristes. Si en privé ils reconnaissent volontiers qu’un bon coloriste peut sublimer un trait ou nourrir un dessin un peu pauvre, rares sont ceux (excepté Guy Delcourt) qui mettent leurs noms sur la couverture des albums. Pas question non plus de les créditer comme coauteurs, car ce statut, expliquent-ils, leur donnerait un droit de regard sur l’œuvre et, en cas de désaccord, la possibilité de bloquer une série en cours. « Foutaises ! C’est juste une question de gros sous », s’indigne Christian Lerolle. Pilier de l’Atelier 510 TTC, à Reims, et très actif au sein du Syndicat national des auteurs et compositeurs (Snac), le coloriste a depuis vingt-cinq ans travaillé pour la plupart des éditeurs de BD. « Les éditeurs brandissent ce genre d’argument pour ne pas avoir à nous verser de droits d’auteur. Ils nous paient à la page ou au forfait selon des barèmes très variables (de 50 à 120 euros la page). Pour le reste, c’est au bon vouloir des dessinateurs, qui peuvent, s’ils le désirent, nous reverser une partie de leurs royalties, sous forme de rétrocession. Ce qui évidemment ne les arrange pas, tant aujourd’hui les contrats sont serrés. L’éditeur, lui, s’en bat l’œil du moment qu’il n’a pas à mettre la main au porte-monnaie ! »
Des usages un brin cyniques que l’invisibilité des coloristes rend possibles. Alors que les prix les plus prestigieux de la BD américaine (Eisner, Harvey) leur sont depuis longtemps accordés, rien de semblable n’existe de ce côté de l’Atlantique. Pas de récompenses, d’expositions, ni de mise en valeur au festival d’Angoulême ou dans d’autres institutions ou manifestations nationales. Idem du côté des écoles de BD, qui ne proposent aucune formation spécifique. Bref, il reste bien du chemin à parcourir, et le ministre de la Culture, qui a voulu placer 2020 sous le signe du neuvième art, serait bien inspiré de saisir l’occasion. Il est grand temps que la BD défende enfin ses couleurs.
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sienineva · 6 years ago
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is La Colère du Marsupilami any good (i mean by Y&V standards anyways) im curious about the whole Zantafio being a drug addict thing. that was in that album right
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sharky857 · 6 years ago
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Last night I got to read what’s supposed to be the last comic where Zantafio appears (#55, “La colère du Marsupilami”, aka: “The wrath of Marsupilami(lit.)”)
I think I can now safely note down a short list of trivias I knew prior to reading that comic, along with another with stuff I didn’t know until I read that same comic:
Stuff I already knew about Zantafio, in no specific order:
1. He’s the @$$hole of the whole family; 2. While his “baby cousin” (Fantasio) is the “looks like a cinnamon roll, but might kill you” kind of guy, Zantafio is the “Sinnamon Roll who will definitely kill you”; 3. He tried to be dictator of one specific country (Palombia/Palombie); 4. He really, really wanted that inheritance;
Stuff I didn’t know yet about Zantafio, in no specific order:
1. Sometimes he acts like a demi-good guy and save people’s lives (very rare occurences and if he considers the person as still useful to his own plans, but still!); 2. Apparently he didn’t try to rule Palombia, but he actually succeeded at first? And for some years straight too?? (Issue #55 has him saying that those were the best years of his life, sooo...) 3. He also tried to be in charge in Russia, at some point in some late issues??? (Still have to read this specific one, but it’s en route to be delivered at any time now) 4. Besides being (impliedly) hella broke at the current time, he’s now constantly chased down by some “Red Mafia” dudes (aka: Russian Mob) who really, really want him deadass dead. I take a wild guess and say that trying to be Tsar (or something) in Moscow didn’t exactly go as Zantafio planned and pissed off quite a lot of people in the process. :°)
And on top of that, reading that comic issue last night left me with my brain inwardly howling with one single question:
Exactly when did he turn into a mf drug addict?!
And no, it’s not a metaphor nor a joke. He can be seen at least twice jamming a syringe needle into his arm, and -when busted the first time- he simply says that it’s just his “fortifiant” and can’t basically live without it. And the end of the comic he is seen kinda losing his mind, all alone in the middle of the rainforest while mumbling incoherently to himself.
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vincentdelaplage · 3 years ago
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AIME DE MESMAEKER Monsieur De Mesmaeker, est un personnage de la bande dessinée Gaston d'André Franquin qui y fait également quelques apparitions dans la bande dessinée Spirou et Fantasio. Il s'agit d'un riche homme d'affaires qui doit signer d'importants contrats avec le Journal de Spirou, sans jamais y parvenir. Regardez "Katerine - Moustache" https://youtu.be/6JMCgVFYAqQ De Mesmaeker apparaît à deux reprises dans la série Spirou et Fantasio : dans l'histoire Bravo les Brothers (album Panade à Champignac), par Franquin, puis, beaucoup plus tard, dans La Colère du Marsupilami, de Yoann et Vehlmann. Auparavant, De Mesmaeker avait fait un caméo muet dans l'album Dans les griffes de la Vipère. La réapparition du personnage depuis les années 2010 dans la série Spirou et Fantasio est possible depuis le rachat de Marsu Production par Dupuis et récupère également les droits d'utilisations des personnages. On le voit également dans l'album Tonton Placide de la série Benoit Brisefer, créée par Peyo et Walthéry. Une drogue absorbée à leur insu par les voyageurs d'un train les contraint à jeter leurs valises par la fenêtre et, parmi ces derniers, figure De Mesmaeker, furieux car les contrats signés se trouvent dans sa valise #culturejaiflash https://www.instagram.com/p/CcAR6KgslJd/?utm_medium=tumblr
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belphegor1982 · 6 years ago
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poppiesandappletrees reblogged your post: poppiesandappletrees replied to your post: ...
Pour être honnête je n’ai lu que “la colère du Marsupilami” de Yoann et Vehlmann pour l’instant (ouh, la mauvaise fan !) que j’ai beaucoup aimé, je pense en partie grâce à la présence de Zantafio que j’ai trouvé bien représenté et dont certains aspects laissent la porte ouverte à plein d’interprétations (et donc plein de futures aventures) possibles. Puis les clins d’oeil à Gaston Lagaffe et l’équipe des Éditions Spirou (Prunelle, Lebrac…), j’avoue que j’ai plutôt apprécié. Et le dessin me plaît beaucoup aussi.
Pour le reste je ne peux pas trop juger comme je n’ai pas encore lu les autres albums de Y&V ; ceci dit, je crois qu’on a le même avis sur ce genre de choses (S&F c’est bromance absolue pour moi, et Secco elle serait super avec Fanfan. Après s’il doit se développer autre chose entre Spirou et Fantasio, faites-le clairement mais comme tu l’as dit, le queer-baiting c’est franchement lourd).
Oui… ça aurait été bien, ou même de faire un audio-book avec des aventures inédites de Spirou, il aurait au moins fait la voix du Comte comme ça. Ou un film comme le Tintin de Spielberg, avec motion capture sur monsieur Jean Rochefort, ça aurait été top !
Vous savez, je ne crois pas qu’il y ait de bons ou de mauvais fans... ;o) Ça me donne franchement envie de tout relire d’un coup, tout ça !! J’aime beaucoup les petits moments “tranches de vie”, ou où voit S&F bosser, la rédac tourner, etc. - et ce que j’aimais bien chez Tome & Janry c’est les fois où on voyait clairement que des fois S&F (et Spip) bouffaient de la vache enragée. Et puis être constamment par monts et par vaux ça doit pas aider à garder le frigo à jour :P
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bdslab · 2 years ago
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terre1218 · 7 years ago
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Spirou et Fantasia, vol.55: La colère du Marsupilami
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bulles-de-bd · 2 years ago
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Spirou et Fantasio - T55 - La Colère du Marsupilami
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alexlacquemanne · 4 years ago
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Janvier MMXX
Films
Gatsby le Magnifique (The Great Gatsby) (1974) de Jack Clayton avec Robert Redford et Mia Farrow
Le Quatrième Protocole (The Fourth Protocol) (1989) de John Mackenzie avec Michael Caine, Pierce Brosnan et Ned Beatty
Le Tailleur de Panama (The Tailor of Panama) (2001) de John Boorman avec Pierce Brosnan, Geoffrey Rush et Jamie Lee Curtis
Chicago (2002) de Rob Marshall avec Renée Zellweger, Catherine Zeta-Jones et Richard Gere
Le Dernier Vermouth (2019) de Germain Aguesse avec Serge Papagalli, Gilles Graveleau et Gilles Arbona
Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner avec Lino Ventura, Bernard Blier et Jean Lefebvre
Soleil levant (Rising Sun) (1993) de Philip Kaufman avec Sean Connery et Wesley Snipes
Monuments Men (The Monuments Men) (2014) de George Clooney avec George Clooney, Matt Damon et Cate Blanchett
Bons Baisers de Russie (From Russia with Love) (1963) de Terence Young avec Sean Connery, Daniela Bianchi et Pedro Armendáriz
Nouveau Départ (We Bought a Zoo) (2011) de Cameron Crowe avec Scarlett Johansson et Matt Damon
Furia à Bahia pour OSS 117 (1965) de André Hunebelle avec Pierre Foucaud, André Hunebelle et Jean Halain
Gorilles dans la brume (Gorillas in the Mist: The Story of Dian Fossey) (1988) de Michael Apted avec Sigourney Weaver, Bryan Brown et Julie Harris
Le Magnifique (1973) de Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo et Jacqueline Bisset
Banco à Bangkok pour OSS 117 (1964) de André Hunebelle avec Kerwin Mathews, Pier Angeli et Robert Hossein
Les Blues Brothers (The Blues Brothers) (1980) de John Landis avec John Belushi et Dan Aykroyd
L'or se barre (The Italian Job) (1969) de Peter Collinson avec Michael Caine, Noel Coward et Benny Hill
Spectacle
Deux mensonges et une vérité (2019) de Sébastien Blanc et Nicolas Poiret avec Lionnel Astier, Frédéric Bouraly, Raphaëline Goupilleau, Julien Kirsche, Philippe Maymat et Esther Moreau
Séries
Doctor Who Séries 12
Spyfall, Part 1 - Spyfall, Part 2 - Orphan 55 - Nikola Tesla's Night of Terror - Fugitive of the Judoon
Starsky et Hutch Saison 1, 2, 3
Terreur sur les docks - Poker - Avis de mort - Le paria - L'appât - Folie furieuse - La randonnée de la mort - Tant va la cruche à l'eau - L'étrangleur de Las Vegas 1ère partie - L'étrangleur de Las Vegas 2ème partie - Une croisière mouvementée 1ère partie - Une croisière mouvementée 2ème partie - La call-girl - Chaud devant - Vampirisme - Le professionnel - Laisse-la suivre le chemin de ton cœur - La petite fille perdue - La vendetta - Bras de fer - Où est Starsky ? - Esprit, es-tu là ? - Jungle, vous avez dit jungle ? - Que la route est longue - Starsky Et Hutch - Le clown - Coupables ? - Créatures de rêve 1re partie - Créatures de rêve 2e partie - Quel charme ! - Le Grand Amour - Enquêtes en tous genres - Les Jours se ressemblent - Un Gros Chagrin - Les Héros - Collection - Les rues sont à tout le monde - La Folie du jeu - Le Poids lourd - Garde d'un corps - Ah, les beaux dimanches ! - Le Piège - Sorcellerie - Le Professeur - Un visage d'ange
Castle Saison 3, 4
Dans la peau de Nikki - Abracadabra ! - Une nouvelle piste - Grosses Infortunes - Avis contraire - Piégés - Menace sur New York - Cruel comme un soap - Un homme en colère - Tranches de mort - Eau trouble - En quête de justice - Mort d'une miss - La traque - Renaissance - Lame solitaire - Casse-tête - L'Empreinte d'une arme - L'Art de voler - Démons - Otages
Papa a un plan Saison 1
Le Papa le plus marrant au monde - Les Lasagnes de la déception - Trop dur d'être délégué - La Robe de mariée - Thanksgiving - La Guerre des nerfs - La Génétique de Noël - Grande première - Pas du tout jaloux ! - Le Dîner de la discorde
Magnum Saison 3, 1
Sain d'esprit - Une vie de chien
Brooklyn Nine Nine Saison 3, 1
Cheddar - Le Nouveau Capitaine - Halloween III - Le Nouveau Capitaine - Le Tagueur
Benny Hill
Caïn Saison 1, 3
Jalousie - Justices - Juge et partie - Bijoux de famille
Kaamelott Livre I
Livres
Requiem pour un flic de Victor B. Miller
OSS 117 s'en occupe de Jean Bruce
Remouille-moi la compresse de Frédéric Dard
Fantômette et le mystère de la tour de Georges Chaulet
Nota Bene T2 : A la rescousse de l'Histoire de Benjamin Brillaud
Marsupilami T4 : Le Pollen du Monte Urticando de André Franquin
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nunopds · 7 years ago
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Apresentamos a nossa rubrica Melhores LeR (Leituras e Releituras) referente ao mês de outubro de 2017. Como é habitual, sublinha-se que, se por um lado, as obras de/sobre banda desenhada e demais livros ilustrados (re)lidos em outubro podem não ter tido data de lançamento neste mês ou sequer neste ano, por outro lado não foi obviamente realizada a leitura da totalidade das publicações lançadas no mês supramencionado.
A equipa do site Bandas Desenhadas continua a listar as suas melhores LeR, tendo contado com a participação de quatro elementos, o que certamente contribui para um conjunto de sugestões ecléticas. Não contabilizando as repetições, no total, são 55 propostas diferentes, desde as que geraram prazer na leitura até às intelectualmente estimulantes, passando pelos mais variados géneros literários, faixas etárias dos principais públicos-alvo e países de origem (Portugal, Espanha, França, Bélgica, Itália, Reino Unido, Dinamarca, Holanda, EUA, Brasil e Argentina).
Espera-se que outubro tenha sido mais generoso com os leitores deste espaço, pois isso certamente providenciará muitas partilhas, indicando outros trilhos a seguir e mundos a explorar. Utilizem o espaço dos comentários para nos desvendarem as vossas melhores leituras e releituras de outubro de 2017.
Melhores LeR de Nuno Pereira de Sousa em outubro de 2017
– Os Trilhos do Acaso (Parte 1) – Paco Roca (Levoir, 2017) – Os Trilhos do Acaso (Parte 2) – Paco Roca (Levoir, 2017) – A Ilha do Avô – Benji Davies (Orfeu Negro, 2017) – O Idiota – André Diniz (Levoir, 2017) – Julia Kendall, Aventuras de uma Criminóloga 67: A Morte de Betsy Blue – Giancarlo Berardi, Lorenzo Calza & Thomas Campi (Mythos, 2010) – Julia Kendall, Aventuras de uma Criminóloga 68: Quem Matou Norma Jean? – Giancarlo Berardi, Lorenzo Calza & Claudio Piccoli (Mythos, 2010) – Julia Kendall, Aventuras de uma Criminóloga 69: Atentando no Texas – Giancarlo Berardi, Maurizio Mantero & Laura Zuccheri (Mythos, 2010) – Julia Kendall, Aventuras de uma Criminóloga 70: O Grande Mar de Relva – Giancarlo Berardi, Maurizio Mantero & Laura Zuccheri (Mythos, 2010) – Bruxas – Scott Snyder & Jock (G. Floy, 2017) – O Imortal Punho de Ferro vol. 1: A Última Saga do Punho de Ferro – vários autores (G. Floy, 2017) – Star Wars: Chewbacca – Gerry Duggan & Phil Noto (Planeta, 2017) – Star Wars: Lando – Charles Soule & Alex Maleev (Planeta, 2017) – Cage – Brian Azzarello & Richard Corben (G. Floy, 2017) – Kingsman: Serviço Secreto – Mark Millar, Mattew Vaughn & Dave Gibbons (G. Floy, 2017) – A Vida de Che – Héctor Germán Oesterheld, Alberto Breccia & Enrique Breccia (Levoir, 2017) – Hanuram, O Dourado: A Fúria – Ricardo Venâncio (G. Floy / ComicHeart, 2017) – Mickey 2 – vários autores (Goody, 2017) – Mickey 3 – vários autores (Goody, 2017) – Tio Patinhas 3 – vários autores (Goody, 2017) – Donald 3 – vários autores (Goody, 2017) – Les Aventures de Spirou et Fantasio T. 55: La Colère du Marsupilami – Fabien Vehlmann & Yoann (Dupuis, 2016) – Uncanny X-Force vol. 1: A Solução Apocalipse – vários autores (G. Floy, 2017) – Astérix e a Transitálica – Jean-Yves Ferri & Didier Conrad (Asa, 2017) – Uma Aldeia Branca: O Bar do Barbudo – Tomeu Pinya (Levoir, 2017) – Boulouloum et Guiliguili T.1: Le Grand Safari – Raoul Cauvin e Mazel (Dupuis, 1979)
Melhores LeR de Susana Figueiredo em outubro de 2017
– Os Livros da Magia – vários autores (Levoir, 2017) ��� Papa-Capim: Noite Branca – Marcela Godoy & Renato Guedes (Panini Brasil, 2016) – Batman: Uma História Verdadeira – Paul Dini & Eduardo Risso (Levoir, 2017) – Astérix e a Transitálica – Jean-Yves Ferri & Didier Conrad (Asa, 2017) – Hanuram, O Dourado: A Fúria – Ricardo Venâncio (G. Floy / ComicHeart, 2017) – Julia Kendall, Aventuras de uma Criminóloga 68: Quem Matou Norma Jean? – Giancarlo Berardi, Lorenzo Calza & Claudio Piccoli (Mythos, 2010) – Julia Kendall, Aventuras de uma Criminóloga 69: Atentando no Texas – Giancarlo Berardi, Maurizio Mantero & Laura Zuccheri (Mythos, 2010) – Julia Kendall, Aventuras de uma Criminóloga 70: O Grande Mar de Relva – Giancarlo Berardi, Maurizio Mantero & Laura Zuccheri (Mythos, 2010) – Tio Patinhas 1 – vários autores (Goody, 2017) – Tio Patinhas 2 – vários autores (Goody, 2017) – Tio Patinhas 3 – vários autores (Goody, 2017) – Donald 1 – vários autores (Goody, 2017) – Donald 2 – vários autores (Goody, 2017) – Donald 3 – vários autores (Goody, 2017) – Mickey 1 – vários autores (Goody, 2017) – Mickey 2 – vários autores (Goody, 2017) – Mickey 3 – vários autores (Goody, 2017) – Disney Comix 188 – vários autores (Goody, 2016) – Disney Comix 189 – vários autores (Goody, 2016) – Disney Comix 192 – vários autores (Goody, 2017) – Disney Comix 193 – vários autores (Goody, 2017) – Disney Comix 194 – vários autores (Goody, 2017) – Disney Comix 195 – vários autores (Goody, 2017) – Disney Comix 196 – vários autores (Goody, 2017) – Disney Comix 197 – vários autores (Goody, 2017) – Disney Comix 198 – vários autores (Goody, 2017) – Disney Comix 200 – vários autores (Goody, 2017) – História do Sexo: História da Sexualidade Ocidental em BD – Philippe Brenot & Laetitia Coryn (Gradiva, 2017) – Vapor – Max (Levoir, 2017)
Melhores LeR de Rodrigo Ramos em outubro de 2017
– Valerian – Vol.6 – Pierre Christin & Jean-Claude Mézières (Asa/Público, 2017) – Valerian – Vol.7 – Pierre Christin & Jean-Claude Mézières (Asa/Público, 2017) – Valerian – Vol.8 – Pierre Christin & Jean-Claude Mézières (Asa/Público, 2017) – Valerian – Vol.9 – Pierre Christin & Jean-Claude Mézières (Asa/Público, 2017) – Valerian – Vol.10 – Pierre Christin & Jean-Claude Mézières (Asa/Público, 2017) – Valerian – Vol.11 – Pierre Christin & Jean-Claude Mézières (Asa/Público, 2017) – Valerian – Vol.12 – Pierre Christin & Jean-Claude Mézières (Asa/Público, 2017) – Frida – Sébastien Perez & Benjamin Lacombe (Kalandraka, 2017)
Melhores LeR de Pedro Afonso em outubro de 2017
– Generations: Wolverine & All-New Wolverine #1 – Tom Taylor & Ramon Rosanas (Marvel, 2017) – Quarteto Fantástico: Ação Decisiva – Mark Waid, Howard Porter & Mike Wieringo (Salvat, 2017)
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As melhores LeR em outubro #bandasdesenhasas Apresentamos a nossa rubrica Melhores LeR (Leituras e Releituras) referente ao mês de outubro de 2017. Como é habitual, sublinha-se que, se por um lado, as obras de/sobre banda desenhada e demais livros ilustrados (re)lidos em outubro podem não ter tido data de lançamento neste mês ou sequer neste ano, por outro lado não foi obviamente realizada a leitura da totalidade das publicações lançadas no mês supramencionado.
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