#La Barbe Bleue

[majestativa]

Bluebeard’s Castle – dark, haunting […] – tells a lot about women, always wanting to look behind the next door, driven by desire and a need to know, mostly to their detriment.

— Karina M. Szczurek, The Fifth Mrs Brink: A Memoir, (2017)

[thefugitivesaint]

Joseph Hémard (1880-1961), 'Le Testament de la Barbe Bleue', “Le Petit Chaperon Vert” by André Lichtenberger, 1922 Source

[alittleplaytime]

Bluebeard Fairytale Stimboard!!

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🌼 media: 'la barbe bleue' from de ma mère l’oye by charles perrault

🐝 age appropriate? yes. bluebeard was written as a childrens fairytale and is usually rated at 8+ with the interest age being around 9-11. there is violence in this story!

🍯 rqd by: anon! <3

🌻 note: i remember reading a translated version of this book in yr6 (my school had a translated foreign literature section) but didn't remember much from the bluebeard tale specifically so i had to do some quick research!!

[adarkrainbow]

Fairytales in French cinema:

Pictures from the 1986 "La Barbe bleue", a TV-movie by Alain Ferrari adapting the Bluebeard fairytale

[juke-box67]

Discographie France Gall 1963-1964

En octobre 1963 , France Gall sort son premier 45 tour EP avec «  Ne sois pas si bête » (PMD: 7,18€) , qui correspond à l’adaptation par Pierre Delanoë de « Stand a little Closer » des américains Jack Wolf et Maurice « Bugs » Bower. Ce vinyle sera vendu à moins de 50000 exemplaires en France . Il sera 24eme au hits parade en Belgique francophone et 34eme en France.

En 1964, c’est grâce aux paroles et à la musique de Serge Gainsbourg qu’elle chante « N’écoute pas les idoles » (PMD: 5,€) et « Laisse tomber les filles » (PMD: 10,00€). «  N’écoute pas les idoles est vendu à 75000 exemplaires alors que « Laisse tomber les filles » atteint les 100000 exemplaires. Ces deux morceaux approchent la 10ème place des hits parade français et belge.

La même année, elle collabore avec Robert Gall (son père) pour les paroles et Alain Goraguer pour la musique, et sort l’EP : « La cloche/Jazz à gogo » (PMD : 8€). C’est une adaptation française de la chanson «  My boyfriend got a beatle haircut », interprétée la même année par Donna Lynn.

Toujours avec son père pour les paroles mais grâce a la musique de Georges Lifeman, elle chante un tube à l’époque «  Sacré Charlemagne » (PMD: 4,00€). C’est son premier vrai succès avec 300000 exemplaires vendus et une 7eme place au hit-parade belge et une troisième au hit-parade français. L’histoire raconte que son papa aurait écrit cette chanson en repensant au jour où il avait grondé sa fille car elle avait écrit « Vive Charlemagne » dans l’ascenseur de leur immeuble. Cette chanson assortie de quelques erreurs historiques ( la barbe bleue de Charlemagne qui est finalement blanche et l’invention de l’école par Charlemagne qui est né bien après la création de celle-ci) ce qui ne l’a cependant pas empêché d’être la musique générique de plusieurs émissions télévisées telles que : « Le pensionnat de Chavagnes », « le pensionnat de Sarlat », « Retour au pensionnat » ou encore plus récemment « le club Dorothée ».

Toujours en 1964, France Gall sort trois albums :

-« N’écoute pas les idoles » premier 33 tours de 25 cm, paru en Mars 1964, reprenant les chansons de ses deux premiers super 45 tours ( « Ne sois pas si bête » et « N’écoute pas les idoles» ).

-« Mes premières vraies vacances » qui est son premier album studio 30 cm qui reprend les chansons de son premier album 25 cm en y ajoutant les morceaux de son troisième EP : « La cloche ». Cet album, sorti en Août 1964, est réalisé avec la participation d’Alain Goraguer et son orchestre.

- « Sacré Charlemagne, qui est un album 25 cm, reprenant des chansons déjà sortie sur EP ou 45 tours . Elle réalise de nouveau cette album avec l’orchestre d’Alain Goraguer. Les paroliers sont soit son père (Robert Gall), soit Serge Gainsbourg. Maurice Tézé rédige les paroles de « Nounours » et Maurice Vidalin celles de « Christiansen ».

En 1964, France Gall participe à l’album de Serge Gainsbourg dénommé « Gainsbourg percussions » dont le titre est « Pauvre Lola » . France Gall interprète le rire de Lola.

(PMD = Prix Moyen Discogs)

[patatedestenebres]

Ce soir, session découverte du jeu de rôle avec un ovni; Bluebeard's bride! En incarnant les différentes facettes de la personnalité de la dernière épouse de Barbe bleue, il va falloir explorer un lieu labyrinthique et parvenir à s'échapper, avant de connaître un destin quelque peu moyen! Un article pour en savoir plus : https://bit.ly/3MCWadk #jeuderole #ttrpg #bluebeardsbride

[francepittoresque]

26 octobre 1440 : exécution de Gilles de Rais ➽ https://cutt.ly/Gilles-Rais Devant hélas davantage sa célébrité aux extravagances, vices et crimes le menant à la potence qu’à ses exploits militaires durant la guerre de Cent Ans aux côtés de Jeanne d’Arc, Gilles de Rais, fréquemment confondu avec le personnage de « Barbe Bleue » du conte de Perrault, ne laisse pas, aujourd’hui encore, de susciter les controverses quant à sa culpabilité

[fairytalemovies]

Sami Frey as Bluebeard in La Barbe-bleue (1986).

[gellavonhamster]

monthly media recap: september 2024

who forgot? me? I don't know what you're talking about

read:

Weaveworld by Clive Barker - despite being an adult dark fantasy novel with sex and horror, spiritually this is every children's book about kids in a magical land. Be warned about some poorly aged descriptions, but overall, it's a wonderful love letter to the power of imagination.

The Lighthouse Witches by C.J. Cooke - my friend lent it to me (unprompted - "I'm bringing you a book I liked very much, I think you'll like it too), and I can see why she loved it. Very gripping despite the answer to the main mystery being very easy to guess. Or probably because of that - you know but the characters don't, which increases the tragedy of it all

Sailing by Gemini’s Star by Katie Crabb - a great conclusion to a great trilogy <3 I cried more than once. Wrote more about it here

watched:

The Phantom (1996) - a fun silly adventure romp. They really don't make them like that anymore, which is both for the better and for the worse. Catherine Zeta-Jones is breathtakingly beautiful, but what else is new

One Piece Film: Gold (2016) - actually a lot of fun, didn't expect it to be a proper heist movie. Nami and Carina... I know what you are

One Piece: Baron Omatsuri and the Secret Island (2005) - oh this one is insanely good. The high stakes, the funny moments, the HORROR (I won't be surprised if I see that flower thing in my nightmares at some point). The animation is also very cool.

Barbe Bleue (2009) - I expected it to go the way of the girl being somewhat as monstrous as Bluebeard, but I did not expect that framing narrative about two little girls reading the tale to end like that. Much to think about.

La belle et la bête (1946) - cinema!!! Art!!!! Panna a netvor (1979) stays unmatched to me, but this one is also amazing, and I adore how the living statues/invisible servants were done.

The Cursed (2021) - I'm always torn between "having people of oppressed ethnicity curse their oppressors perpetuates harmful stereotypes" and "yeah they deserve to curse them actually". This issue aside, it's a solid werewolf-but-not-quite-werewolf horror movie.

[lolibraryentryoftheday]

La Barbe Bleue JSK II

Brand: Krad Lanrete

Release Year: 2018

[majestativa]

Edmund Dulac, Bluebeard, 1910

[c-etait-ailleurs]

Baptiste Vandaele - Mélusine

  TROIS VIES, BARBE-BLEUE & MÉLUSINE

Gabriel Garcia Marquez a dit un jour à son biographe Gerald Martin (Gabriel García Márquez, Une vie, éd. Grasset) que "tout le monde a trois vies : une vie publique, une vie privée et une vie secrète". Cette troisième vie est cachée dans un labyrinthe, commente G. Martin. Illustrations : — L’histoire de Barbe-Bleue. Un jour, Barbe-Bleue annonce à son épouse (vie privée) qu'il doit partir en voyage (vie publique d’un personnage inspiré d’une histoire vraie, celle de Gilles de Rais). Il lui confie un trousseau de clefs ouvrant toutes les portes du château, mais il y a un cabinet où il lui interdit d’entrer (vie secrète). Curieuse, elle entre dans la pièce (dont il a pris soin de lui remettre la clef !) et y découvre les corps des précédentes épouses, accrochés au mur. Terrifiée, elle laisse tomber la clef, qui se tache de sang. Elle essaye d'effacer la tache, mais le sang ne disparaît pas car la clef est magique. Barbe-Bleue revient à l'improviste et découvre que son épouse est entrée dans la chambre secrète… Dès lors, le secret connu, ce n’est pas lui, mais elle (on la comprend !) qui cherche à s'éloigner… — Version féminine et moins sanglante, l’histoire de la fée Mélusine : Mélusine avait été condamnée à devenir serpent au-dessous du nombril chaque samedi. Elle pourrait se marier et mener une vie normale (vie privée), à condition que son mari ne la voie jamais le samedi. Ayant épousé Raymond de Lusignan (vie publique — il a vraiment existé !), elle lui fait donc jurer de ne jamais chercher à la voir le samedi (vie secrète). Mais un jour, le frère de Raymond lui affirme que sa femme le trompe tous les samedis. Raymond, ayant décidé de regarder par le trou de la serrure, voit sa femme dans son bain, femme au-dessus du nombril, serpent en dessous. Un jour il s'emporte et traite Mélusine de serpente... Et Mélusine disparaît, se jetant par une fenêtre aussi légèrement que si elle avait eu des ailes. Cela comme effet de ce qu’elle a déjà compris : son secret connu, c’est Raymond, pas Mélusine, qui a commencé insensiblement à s'éloigner d’elle… Elle ne pouvait pas ne pas l’avoir perçu… NB : dans le monde virtuel, c’est la vie secrète qui se donne à connaître, les deux autres vies, publique et privée, devenant le secret ignoré du monde virtuel…

CT Ailleurs

[forsvinne]

my grandmother used to bless me before tucking me into bed & made me crepes in the morning and saved all of her money from working as a librarian to afford taking me to France and told me stories like La Barbe bleue and sang Frere Jacques to me while bouncing me on her knees and I don't have anything to say about it other than I love her

[mollymijh]

Rating: Mature

Archive Warning: Creator Chose Not To Use Archive Warnings

Category: M/M

Fandoms: SK8 the Infinity (Anime), La Barbe bleue | Bluebeard - Charles Perrault

Relationship: Kikuchi Tadashi/Shindo Ainosuke | Adam

Characters: Kikuchi Tadashi, Shindo Ainosuke | Adam

Additional Tags: bluebeard au, alternative universe, serial killer au, Ainosuke is a serial killer, or rather was, Tadashi is surprisingly ok with that, Childhood Friends to Lovers, unspecified time period, Mentions of Prostitution, Mentions Of Infidelity, not between tadaai though, Tadashi slut shames himself, Mild Sexual Content, Mild Smut, Bottom Kikuchi Tadashi/Top Shindo Ainosuke | Adam, I really have no explanation for this, Not Beta Read, Original Character Death(s), Jealousy, Don't Examine This Too Closely

‘Do you love him?’ That was what his parents asked. ‘I don't know’ is what he would reply now if he could.

In all the ways that Tadashi thought his life would turn out, this wasn’t one of them. It had been sixteen years since he had last stepped foot in the Shindo manor, he never once thought he would be back here, and definitely not as Ainosuke’s husband. He isn’t his first husband either, as all the rest had seemingly disappeared under suspicious circumstances.

Will he uncover his husband’s dark past, or is he doomed to become just another in his long line of dead spouses?

Tadaai Bluebeard au

[mxdam]

fairy tales and the female gothic

"gothic" is a bit played out as a term. what is the gothic? is it Dark Macadamia? is it crimson peak? is it ebony dark'ness dementia raven way?

the gothic as a genre is generally agreed to have begun with the novel the castle of otranto by horace walpole, one of the worst pieces of crap ever composed in the english language. i'm so serious, don't read it. walpole (1717-97) was an antiquarian, sort of a hobbyist historian whose particular interest was in the medieval period (this was pretty hot shit in england at the time, but we can talk more about 18th century foundations of horror and ghost stories later). by talking about otranto we can identify certain hallmarks of the gothic genre:

an illusion of historicity. walpole pretended that the novel was actually derived from a medieval italian manuscript which he'd "discovered" and translated for a modern audience.

a focus on the family unit, lineage, inheritance: conrad, the sickly heir to otranto, dies horribly at the beginning of the story and this is seen as heralding the downfall of the family line.

an interest in corruption, violence, unequal power dynamics: manfred, the lord of otranto and conrad's father, wields the power of life and death over peasants under his rule and the inhabitants of the castle cower under his whims.

the appearance of unusual and/or supernatural occurrences that undermine ordinary reality and emphasize the themes of the story

an almost taken-for-granted exploration of patriarchal power and control, in the literal sense of rule of the father, with commensurate interests in sex, control, and incest: after conrad's death, manfred decides to divorce his own wife, conrad's mother, and marry isabella, his dead son's fiancee. both women are helpless to do much but run away.

what does this have to do with fairy tales? in our previous installment, we talked about the ways in which fairy tales reflect and reinforce patriarchal realities for women; that's one connection. another connection hinted at by marie mulvey-roberts in her essay, "from bluebeard's bloody chamber to demonic stigmatic," is that the prototypical gothic story is a fairy tale: the tale of bluebeard.

in bluebeard and its variations across cultures, we see a story that reflects "a time when women were deprived of legal rights within marriage," such that "the ‘Bluebeard’ fable is a test of wifely obedience and subjugation to the will of her husband" (mulvey). perhaps not for nothing, the most famous rendition of this story, la barbe bleue, was written by charles perrault, the same guy who gave us cendrillon, or "cinderella," upon which the disney cartoon and countless other renditions were based. in it, a young woman is married to a man whose knowingly-impossible demand of absolute obedience from his many wives inevitably results in their slaughter. the protagonist barely escapes with her life.

there are numerous parallels between the gothic and this story: a fascination with violence, corruption, and evil, a focus on lineage and the family unit (the male-female couple being the basis for all nuclear family and for all structures of biological inheritance), and above all an exploration of patriarchy. bluebeard can almost be considered the ur-text for what has come to be called the "female gothic," gothic stories written primarily by women (ann radcliffe, the bronte sisters, jane austen, octavia butler, angela carter, shirley jackson, toni morrison, jean rhys, daphne du maurier, etc) which explore the complex webs of interpersonal relationships and power structures that shape and control the lives of women, and how those women react to, challenge, or submit under the force of those structures.

in the next installment, i will talk about the wicked stepmother and the female gothic. stay tuned 🥸