#L'étude de la bible
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bebliafrench · 1 month ago
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Lis la Bible: beblia.com 🙏
Dis amen si tu es d'accord
Colossiens 3:14-15
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cielbleuazur59 · 14 days ago
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SONDEZ LES ÉCRITURES
Ô profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu! Que tes jugements sont insondables et tes voies incompréhensibles! (Romains 11:33)
Des milliers de joyaux enfouis dans les vérités des saintes Écritres demeurent cachés aux yeux du lecteur superficiel. On ne peut pas épuiser le fond de cette mine. Plus vous sondez les Écritures en toute humilité, plus vous vous intéressez à l'étude de la Bible et plus vous êtes portés à vous écrier avec saint Paul: « Ô profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu! [...] » Vous devriez apprendre tous les jours quelque chose de nouveau dans les Écritures. Il faut les sonder comme si on y cherchait des trésors cachés, car elles contiennent les paroles de la vie éternelle. Priez pour obtenir la sagesse et la connaissance nécessaires à la compréhension de ces saintes paroles. Si vous agissez ainsi vous découvrirez de nouveaux trésors de gloire dans la Parole de Dieu, vous sentirez que vous avez reçu une nouvelle et précieuse lumière pour comprendre les sujets relatifs à la vérité, et les Écritures prendront une valeur accrue à vos yeux. Les grandes vérités nécessaires au salut sont dans la Bible aussi claires que la lumière du jour. [...] Un simple texte des Écritures s'est révélé dans le passé et se révélera dans le futur comme une saveur donnant la vie à maintes âmes. Tandis que les hommes sondent avec diligence les richesses de la Bible, celles-ci leur révèlent de nouveaux trésors de vérité qui sont pour l'esprit comme des joyaux étincelants. Vous devez creuser profondément dans la mine de la vérité si vous voulez découvrir ses plus riches trésors. Comparez un texte avec l'autre afin de comprendre le vrai sens de la Parole de Dieu, mais sachez que, si vous ne faites pas des enseignements sacrés de cette parole la règle et le guide de votre vie, la vérité ne vous servira de rien. [...] Si un passage quelconque des Écritures condamne une habitude que vous chérissez, un sentiment que vous entretenez en vous, une tendance d'esprit que vous manifestez, ne vous détournez pas de la Parole de Dieu, mais éloignez-vous du mal que vous faites et laissez Jésus purifier et sanctifier votre coeur.
(Ellen G. White - Avec Dieu chaque jour)
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SEARCH THE SCRIPTURES
O the depth of the riches both of the wisdom and knowledge of God! how unsearchable are thy judgments, and thy ways past finding out! (Romans 11:33)
A thousand jewels buried in the truths of the holy Scriptures lie hidden from the superficial reader. The depth of this mine cannot be exhausted. The more you search the Scriptures in all humility, the more interested you become in the study of the Bible, the more inclined you are to cry with St. Paul, “O the depth of the riches both of the wisdom and knowledge of God! . . . ”
You should learn something new every day from the Scriptures. Search them as for hidden treasures, for they contain the words of eternal life.
Pray for wisdom and knowledge to understand these holy words. If you will do this you will discover new treasures of glory in the Word of God, you will feel that you have received a new and precious light to understand matters of truth, and the Scriptures will become of increased value to you.
The great truths necessary for salvation are in the Bible as clear as the light of day. […] A single text of Scripture has revealed itself in the past and will reveal itself in the future as a savor giving life to many souls. As men diligently search the riches of the Bible, they reveal to them new treasures of truth that are as sparkling jewels to the mind.
You must dig deep into the mine of truth if you would discover its richest treasures. Compare one text with another in order to understand the true meaning of the Word of God, but know that unless you make the sacred teachings of that word the rule and guide of your life, the truth will avail you nothing. […]
If any Scripture condemns a habit you cherish, a feeling you entertain, a tendency of mind you manifest, do not turn away from the Word of God, but turn away from the evil you are doing, and let Jesus cleanse and sanctify your heart.
(Ellen G. White - With God Daily)
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JÉSUS PAR SA VIE ET SON ENSEIGNEMENT NE NOUS A JAMAIS POUSSER VERS LES SAINTES ÉCRITURES.
JÉSUS PAR SA VIE ET SON ENSEIGNEMENT NOUS A UNIQUEMENT POUSSER À CONNAÎTRE LE CRÉATEUR LUI-MÊME ET À AVOIR UNE VÉRITABLE RELATION EXPÉRIMENTALE AVEC LUI.
"La vie éternelle signifie te connaître et t'expérimenter comme le seul vrai Dieu, et connaître et expérimenter Jésus-Christ comme le Fils que tu as envoyé."
"Il répondit : "Les Écritures disent : Le pain seul ne rassasie pas, mais la vraie vie se trouve dans toute parole qui sort constamment de la bouche de Dieu.""
"Jésus dit : "Je vous dis la vérité éternelle.
Le Fils ne peut rien faire de lui-même ni de sa propre initiative.
Je ne fais que les œuvres que je vois faire au Père, car le Fils fait les mêmes œuvres que son Père.""
JÉSUS NOUS DEMANDE DE CROIRE EN CE QU'IL DIT OU DE CROIRE QU'IL EST UNI AU CRÉATEUR, À CAUSE DES MIRACLES QU'IL FAIT.
"Si je ne fais pas les œuvres de mon Père [c'est-à-dire les miracles que Dieu seul peut accomplir], ne me croyez pas.
Mais si je les fais, même si vous ne me croyez pas ou si vous n'avez pas foi en moi, croyez au moins aux œuvres [que je fais - admettez que ce sont les œuvres de Dieu], afin que vous sachiez et continuiez à savoir [clairement - sans aucun doute] que le Père est en moi, et que je suis dans le Père [c'est-à-dire que je ne fais qu'un avec lui]."
"Croyez que je vis en harmonie avec mon Père et que mon Père vit en harmonie avec moi - ou du moins, croyez en raison des puissants miracles que j'ai accomplis."
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JÉSUS DÉCLARE AVOIR REÇU DIRECTEMENT DE DIEU TOUT CE QU'IL DIT.
"Car je n'ai point parlé de moi-même ; mais le Père, qui m'a envoyé, m'a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer."
"Ce n'est qu'à la moitié de la fête que Jésus apparaît enfin dans les parvis du temple et commence à enseigner.
Les chefs juifs, étonnés par son enseignement, dirent : "Comment cet homme a-t-il acquis un tel savoir, lui qui n’a point étudié ?"
Jésus répondit : "Je n'enseigne pas mes propres idées, mais la vérité qui m'a été révélée par celui qui m'a envoyé.
Si vous voulez vérifier mes enseignements et découvrir où je les ai reçus, soyez d'abord passionnés par la volonté de Dieu, et alors vous pourrez discerner si mes enseignements viennent du cœur de Dieu ou de mes propres opinions.
Les charlatans se louent eux-mêmes et recherchent les honneurs des hommes, mais mon Père m'a envoyé pour dire la vérité en son nom.
Et je n'ai pas de faux motifs, car je ne cherche que la gloire de Dieu.""
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"VOUS ÉTUDIEZ AVEC SOIN LES ÉCRITURES, PARCE QUE VOUS ÊTES CONVAINCUS D’EN OBTENIR LA VIE ÉTERNELLE. OR, PRÉCISÉMENT, CE SONT ELLES QUI TÉMOIGNENT DE MOI. MAIS VOILÀ : VOUS NE VOULEZ PAS VENIR À MOI POUR RECEVOIR LA VIE."
Jésus nous dit clairement ici que l'étude des saintes écritures ne signifie pas qu'on soit forcément venu à Dieu ou que l'on soit obligatoirement proche du Créateur.
Tu peux donc être un très grand lecteur ou un érudit des Livres Saints (la Bible ou autres) et continuer toujours loin de Dieu, sans jamais réellement le connaître profondément, personnellement.
La connaissance intellectuelle au sujet de Dieu, n'est en rien connaître le Créateur dans l'intimité de son propre cœur, comme un bon ami.
SEUL LE TOUT-PUISSANT PEUT DÉCIDER DE SE RÉVÉLER DANS LE CŒUR HUMAIN.
NUL NE PEUT ATTEINDRE DIEU PAR SES SIMPLES EFFORTS HUMAINS.
ET LE CRÉATEUR SE CONSIDÈRE UNIQUEMENT PROCHE DES PERSONNES SINCÈRES.
CAR DIEU SE TROUVE CETTE FAÇON :
"VOUS ME CHERCHEREZ, ET VOUS ME TROUVEREZ, SI VOUS ME CHERCHEZ DE TOUT VOTRE CŒUR. JE ME LAISSERAI TROUVER PAR VOUS, DIT L'ÉTERNEL."
Le Tout-Puissant regarde au cœur, et à rien d'autre.
Tant que tu ne voudras pas connaître Dieu de tout ton cœur, il ne se laissera jamais trouver par toi, cher ami(e).
COMMENT SAVOIR QUE TU VEUX QUELQUE CHOSE DE TOUT TON CŒUR ?
COMMENT SAVOIR QUE TU VEUX CONNAÎTRE LE CRÉATEUR DE TOUT TON CŒUR ?
Dieu nous répond en nous disant de l'aimer de toute notre pensée, de toute notre âme et de toutes nos forces.
Donc tant que le Créateur n'est pas plus important que tout autre sujet, à chaque instant, dans ta vie personnelle, tu n'es donc pas en train de vouloir le connaître réellement, en réalité.
PAR EXEMPLE, SI TU AS PEUR DE QUELQUE CHOSE, ALORS QUE TU NE DEVRAIS CRAINDRE QUE DIEU SEUL.
TU DÉMONTRES DÉJÀ PAR LÀ, QUE DIEU N'EST PAS SI IMPORTANT, À TES PROPRES YEUX.
VOULOIR CONNAÎTRE LE CRÉATEUR DEMANDE D'ABANDONNER TOUTES NOS PEURS ET DE FAIRE DE DIEU, LE SEUL SUJET QUI COMPTE À NOS YEUX, À CHAQUE INSTANT.
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SAIS-TU QUE SANS CONNAÎTRE VRAIMENT LE CRÉATEUR COMME UN AMI, TA FOI EST BASÉ SUR DU VENT OU SUR RIEN DU TOUT ?
Tout comme les disciples du Christ qui l'ont vendu, qui l'ont renié et qui l'ont abandonné lors de son arrestation, les épreuves de la vie, démontreront si tu aimes réellement Dieu ou pas, cher ami(e).
Donc te croire déjà sauvé de l'enfer aujourd'hui, alors que le salut se démontre, à chaque instant de sa vie, jusqu'au jour de notre mort.
Seul Dieu peut te rassurer.
Te rassurer par des versets des Livres Saints, alors que tu n'as pas la compréhension parfaite du Créateur est une erreur.
Ne l'as-tu toujours pas compris ?
ET SANS AVOIR UNE RELATION AVEC DIEU SIMILAIRE À CELLE DU CHRIST, TU RÉVÉLERAS ÊTRE UN FOU OU UNE FOLLE, QUI SUIT DES CHOSES SANS AVOIR AUCUNE PREUVE DIVINE PERSONNELLE.
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CAR JÉSUS, CONTRAIREMENT À BEAUCOUP D'ENTRE NOUS, AVAIT DES PREUVES CONCRÈTES RÉGULIÈRES, QUI ATTESTAIENT DE LA VÉRACITÉ DE CE QU'IL CROYAIT PERSONNELLEMENT.
DIEU DÉMONTRAIT CONSTAMMENT À JÉSUS QU'IL APPROUVAIT SA VIE HUMAINE.
Te rends-tu compte que Jésus a vu le Saint-Esprit, qui est Dieu lui-même, descendre sur lui sous la forme d'une colombe ?
Jésus a entendu Dieu lui-même parler du ciel et dans une nuée, lui dire qu'il est son fils et qu'il l'aimait.
Jésus a constaté qu'il était dans l'impossibilité de désobéir à Dieu, à cause de son amour infinie pour le Créateur.
Jésus a transpiré du sang en se battant contre lui-même, jusqu'à ce qu'il veuille de tout son être obéir à la volonté de Dieu, qui lui demandait d'aller à la croix.
Jésus a constaté qu'il avait réponse à tout problème et situation que Dieu avait prévu de résoudre par son intermédiaire.
Jésus a constaté qu'il a marché sur l'eau, changé l'eau en vin et a multiplié les pains et les poissons.
Jésus a constaté qu'il a guéri et délivré énormément de personnes de toute sorte de maux.
ET À LA FIN, IL Y A EU TELLEMENT DE MANIFESTATIONS DIVINES À CAUSE DU CHRIST, QUE SES PROPRES DISCIPLES TÉMOIGNENT ÊTRE DANS L'IMPOSSIBILITÉ DE TOUS LES RÉPERTORIER DANS LE DÉTAIL.
"Jésus a fait d'innombrables choses que je n'ai pas mentionnées ici.
Et si toutes ses œuvres étaient écrites et décrites une à une, je suppose que le monde lui-même n'aurait pas assez de place pour contenir les livres qu'il faudrait écrire !"
ET TOI CHER AMI(E), EST-CE QUE DIEU TE DÉMONTRE, COMME IL L'A FAIT AVEC LE CHRIST, QUE TU LE CONNAIS ET QUE TA VIE LUI EST AGRÉABLE ?
EST-CE QUE LE CRÉATEUR TE DÉMONTRE RÉGULIÈREMENT QUE TA VIE EST SUR LA BONNE VOIE, QUI CONDUIT AU CIEL ?
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ARRÊTONS DONC DE VIVRE DES VIES SANS RELATION RÉELLE ET CONCRÈTE AVEC LE CRÉATEUR, ET SANS PREUVE PALPABLE DE L'APPROBATION DIVINE, MES CHERS AMIS.
Sans cela, on démontre toujours marcher dans les ténèbres.
Et quelqu'un à qui Dieu lui-même ne se manifeste pas à lui régulièrement, démontre être sur le chemin de la perdition.
Car c'est soit on est véritablement comme Jésus, soit on ne l'est pas.
EST-CE QUE TU EN DOUTES ?
Crois-tu que Dieu peut te rendre surnaturellement comme le Christ ?
Tout est-il possible à celui qui croit ?
Si tu crois, verras-tu la gloire de Dieu ou verras-tu Dieu se manifester ou agir ?
À CHACUN DE VIVRE DANS SA PROPRE EXISTENCE SA PROPRE FOI ET DE DÉMONTRER AINSI, S'IL A L'APPROBATION DIVINE JUSQU'À LA FIN DE SA VIE SUR TERRE.
Car l'approbation humaine ou l'opinion terrestre est d'un ridicule aux yeux du Dieu parfait.
Tu es fou ou folle de t'appuyer sur l'approbation de tes semblables pour juger ta propre vie.
Dieu t'a donné son esprit, donc ta propre conscience, afin de te juger et te donner l'avis divin durant ton séjour terrestre.
Tiens-tu compte de ce que te dis ta propre conscience ou ce que Dieu te dit, à chaque instant, dans ton propre cœur ?
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"ALORS L'ÉTERNEL DIT : MON ESPRIT NE RESTERA PAS À TOUJOURS DANS L'HOMME, CAR L'HOMME N'EST QUE CHAIR, ET SES JOURS SERONT DE CENT VINGT ANS."
L'esprit de Dieu est en chacun de nous, mes chers amis.
C'est un mystère que notre propre conscience, est le témoignage divin en chacun de nous, durant notre séjour terrestre.
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JÉSUS EN S'APPELANT FILS DE DIEU, A SURTOUT VOULU NOUS MONTRER, COMMENT DIEU SE COMPORTE ENVERS CEUX QU'IL CONSIDÈRE COMME SES ENFANTS.
Ce n'est donc pas à toi de te considérer comme un enfant de Dieu.
Mais c'est au Créateur de te démontrer par son comportement envers toi, durant ta vie terrestre, si tu es son enfant ou pas.
Quand comprendras-tu que ton témoignage humain n'a aucune valeur ?
Seul le témoignage divin compte.
QUEL EST LE COMPORTEMENT DIVIN ENVERS TOI DURANT TA VIE SUR TERRE ?
EST-IL SEMBLABLE AU COMPORTEMENT QUE DIEU A EU ENVERS JÉSUS ?
Si tel n'est pas le cas, je tiens à te rappeler les paroles du Christ, à ce sujet, à ses propres disciples :
"Ne craignez donc pas ceux qui peuvent tuer le corps, mais qui n’ont pas le pouvoir de faire mourir l’âme. Craignez plutôt celui qui peut vous faire périr corps et âme dans l’enfer."
Libre à toi de réagir comme bon te semble à ses paroles, cher ami(e).
Car après la mort, on saura si c'est vrai ou pas.
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ES-TU DIEU POUR RÉELLEMENT SAVOIR À SA PLACE CE QU'IL PENSE À TON SUJET, À CHAQUE INSTANT ?
Trop de croyants approuvent ou valident eux-mêmes leur propre vie, au lieu d'attendre le jugement divin.
Alors que la seule personne dont le témoignage est véritable ou la seule personne dont le témoignage est le bon, est le Créateur.
Quand arrêteras-tu de te voir comme une bonne personne, s'il n'y a de bon que Dieu seul, cher ami(e) ?
TANT QUE TU CROIRAS QUE TON OPINION PERSONNELLE A DE LA VALEUR OU EST IMPORTANTE, TU DÉMONTRES TOUJOURS ÊTRE TON PROPRE DIEU.
LE SAVAIS-TU ?
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ET COMMENT PEUX-TU TE CONSIDÉRER DÉJÀ SAUVER DE L'ENFER AUJOURD'HUI, BASÉ SUR LES LIVRES SAINTS, ALORS QUE TU ES TOUJOURS EN VIE SUR TERRE ?
Crois-tu que tu comprends les Saintes Écritures parfaitement, comme le Créateur ?
Si Dieu a déjà jugé qu'il n'y a de bon que lui seul, sur quelle base te déclares-tu déjà sauvé de l'enfer aujourd'hui, s'il te plaît ?
Peux-tu réellement dire ce que Dieu pense à ton sujet, à chaque instant, sans aucune possibilité de faire erreur ?
Les pensées de Dieu ne sont pas nos pensées, a quelle signification, selon toi ?
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SAIS-TU QUE SEUL LE CRÉATEUR LUI-MÊME PEUX RASSURER QUELQU'UN ?
SE RASSURER SOI-MÊME EN SE BASANT SUR LES SAINTES ÉCRITURES EST UNE ERREUR, CAR TU N'AURAS JAMAIS LA MÊME COMPRÉHENSION QUE LE CRÉATEUR.
EN EFFET, COMPRENDRE COMME DIEU IMPLIQUE D'ÊTRE LE TOUT-PUISSANT LUI-MÊME.
TA COMPRÉHENSION EST-ELLE DIVINE ?
COMMENT LE SAIS-TU SI TU N'ES PAS LE CRÉATEUR ?
"Fais entièrement confiance au Seigneur, et ne te fie pas à tes propres opinions.
De tout ton cœur, compte sur lui pour te guider, et il te conduira dans toutes les décisions que tu prendras.
Devenez intime avec lui dans tout ce que vous faites, et il vous conduira partout où vous irez.
Ne pense pas un instant que tu sais tout, car la sagesse vient lorsque tu l'adores avec une dévotion sans faille et que tu évites tout ce qui est mauvais."
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christophe76460 · 2 days ago
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«Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,»
‭‭2 Timothée‬ ‭3‬:‭16‬ ‭LSG‬‬
2 Timothée 3:16-17 est un passage de la Bible qui souligne l'importance et l'utilité des Écritures.
Points clés:
* Inspiration divine:
"Toute Écriture est inspirée de Dieu" (2 Timothée 3:16). Cela signifie que la Bible n'est pas un simple recueil de pensées humaines, mais qu'elle a une origine divine. Elle a été communiquée par Dieu aux hommes.
* Utilité:
L'Écriture est "utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice" (2 Timothée 3:16). Cela met en évidence les nombreux bienfaits que l'on peut tirer de la lecture et de l'étude de la Bible.
* Croissance spirituelle:
Le but ultime de l'Écriture est de rendre "l'homme de Dieu [...] accompli et propre à toute bonne oeuvre" (2 Timothée 3:17). La Bible est un outil essentiel pour notre croissance spirituelle et notre préparation à servir Dieu.
Applications:
* Étudier la Bible:
Ce passage nous encourage à lire et à étudier régulièrement la Bible. C'est la Parole de Dieu et elle contient des enseignements et des vérités qui peuvent transformer notre vie.
* Mettre en pratique:
Il ne suffit pas de lire la Bible, il faut aussi la mettre en pratique dans notre vie quotidienne. C'est ainsi que nous pourrons réellement bénéficier de ses bienfaits.
* Se laisser transformer:
La Bible a le pouvoir de nous convaincre de nos erreurs, de nous corriger et de nous instruire dans la justice. Ouvrons notre cœur à son message et laissons-nous transformer par elle.
En conclusion, 2 Timothée 3:16-17 est un appel à reconnaître l'importance de la Bible dans notre vie. C'est un cadeau de Dieu pour nous enseigner, nous guider et nous aider à grandir spirituellement.
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yes-bernie-stuff · 18 days ago
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Dieu est à l'œuvre dans votre vie
Jeudi 16 Janvier Dieu est à l’œuvre !
« Je considère tout comme une perte à cause de l'excellence de la connaissance du Christ » Philippiens 3.8 Les expériences que l’on a vécues avant de confier sa vie au Christ, y compris les choses que l’on regrette, peuvent être rachetées et utilisées à bon escient. Avant que Paul ne rencontre Jésus sur le chemin de Damas, sa vie avait été consacrée à l'étude de la Torah : « Quant à la loi, Pharisien ; quant au zèle, persécuteur de l'Église ; quant à la justice légale, irréprochable » (v.5-6). Avec le recul, l’apôtre aurait pu considérer que ses années d'étude en tant que Pharisien avaient été complètement gâchées. Mais Dieu l'avait en fait préparé à montrer aux Juifs comment le Christ accomplissait les Écritures, celles qu'il connaissait si bien. Il est facile de croire que Dieu ne commence à travailler dans notre vie que le jour où l’on accepte Christ comme Sauveur. La Bible dit au contraire qu’il nous a « connus d'avance », ce qui signifie qu'il nous a choisis et préparés bien avant qu’on ne le rencontre (voir Ro 8.29-30). David disait que Dieu avait écrit tous les jours de sa vie avant même qu'ils ne se réalisent (voir Ps 139.16). Et c'est tout aussi vrai pour vous. Dieu est à l'œuvre dans votre vie, d'une manière dont vous n’avez même pas conscience. Même lorsque vous n'êtes pas en mesure de le voir agir, il est toujours actif en vous, pour son bon plaisir : « Car c'est Dieu qui opère en vous le vouloir et le faire selon son dessein bienveillant » (Ph 2.13). La foi transforme la question « Dieu est-il à l'œuvre ? » en une déclaration de foi : « Dieu est à l'œuvre ! »
B365 — Plan de lecture Amos 1-2
Prière du jour Merci Jésus car tu es à l’œuvre chaque jour.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2025 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2025
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satyam-das · 26 days ago
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theoriedelesthetique · 4 months ago
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shalomelohim · 10 months ago
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Bande-Annonce du documentaire “Animaux Médecins” (1 mn 30) - L'automédication chez les animaux ou la médecine animale
Documentaire entier : Ici (52 mn) - Animal self-medication by Michael Huffman
La nature (faune, flore) et la biodiversité jouent sur notre santé mentale et physique : un bain forestier est toujours bénéfique.
Loin d’être des complotistes ou adeptes des sectes, les animaux donnent raison à celles et ceux qui pratiquent la santé naturelle.
Synopsis : Des chimpanzés aux insectes... Cette passionnante enquête explore les comportements d'automédication chez les animaux. Le scientifique américain Michael Huffman raconte notamment comment il a découvert que les chimpanzés pouvaient soigner leurs maladies en utilisant les plantes médicinales de leur environnement.
Il y a seulement vingt-cinq ans, les premières preuves d'un comportement d'automédication chez un animal, en l'occurrence le chimpanzé, ont été apportées. Sur la base des recherches pionnières menées par Michael Huffman, une nouvelle science est alors fondée : la zoopharmacognosie ou l'étude de la pharmacopée animale.
Au carrefour de l'éthologie, de la médecine et de l'anthropologie, l'étude du comportement des “animaux médecins” explore la genèse de l'intelligence et de la culture. Où finit l'animalité, où commence l'humanité ? Elle donne de précieux éléments sur la nature possible de l'automédication chez les premiers hominidés, et sur l'évolution des comportements thérapeutiques jusqu'à notre médecine moderne.
Conduites thérapeutiques
Michael Huffman raconte comment il a découvert que les chimpanzés pouvaient soigner leurs maladies en utilisant les plantes médicinales. Puis, il commente d’autres cas très surprenants :
- des oiseaux qui désinfectent leur nid en le garnissant de plantes aromatiques aux vertus répulsives,
- un rongeur qui enduit son pelage d'une sève toxique agissant comme un poison chez ses prédateurs,
- des éléphants qui posent des emplâtres de boue sur leurs blessures…
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Pour terminer cette année spirituelle, voici un thème un peu plus léger que les actualités du monde et qui suscite l’émerveillement concernant la présence de Dieu parmi nous car Il est partout.
La faune et la flore sont une source d'inspiration inépuisable, un gigantesque laboratoire de recherches dans lequel puisent ingénieurs et industriels pour inventer des technologies futuristes et moins gourmandes en énergie.
Dans le livre de Job, nous lisons cette invitation assez curieuse : 
" Interroge les bêtes, elles t’instruiront ; les oiseaux du ciel, ils te l’apprendront ; … et les poissons de la mer te le raconteront…" (Job 12:7-9).
L’homme aurait-il quelque chose à apprendre de la part des bêtes ? Selon de nombreux scientifiques rejetant le créationnisme, l'homme est le plus évolué des êtres vivants ! Or, avec humour, Dieu nous invite à nous laisser instruire par les bêtes. Qui est le plus savant ? Le professeur ou l'élève ? Soyons humbles et acceptons, comme Dieu nous le recommande, d’aller à l’école de ces animaux mentionnés dans la Bible.
La bionique, le biomimétisme est une science assez récente puisqu’elle a été institutionnalisée en 1960. Or, cette science a pour objet d’étudier la nature (plantes, animaux…) pour en retirer diverses applications technologiques. 
Par exemple, le velcro fut inventé par George de Mestral. En revenant d'une promenade à la campagne, il remarqua qu'il était difficile d'enlever les fleurs de grande bardane accrochées à son pantalon et à la fourrure de son chien. Il les examina et découvrit la possibilité de faire adhérer deux matériaux de façon simple et réversible, le velcro était né. De même, bien avant l’invention du sonar par Paul Langevin et Constantin Chilowski, la chauve-souris et les cétacés se déplacent et capturent leurs proies grâce à ce principe de géo localisation. 
Cependant, si observer les animaux, étudier leurs comportements, est utile à la recherche scientifique, cela est aussi utile pour apprendre de profondes leçons spirituelles. C’est ce que nous indique ce texte du livre de Job.
Reprenant les paroles de Job, Jésus nous dit : 
"Regardez les oiseaux du ciel" (Matthieu 6:26). 
Pourquoi nous demanderait-il de le faire si ce n’est parce qu’ils ont des choses précieuses à nous apprendre ?
“ Où est Dieu, celui qui m’a fait, qui inspire des chants d’allégresse pendant la nuit, qui nous instruit par les bêtes de la terre et nous enseigne la sagesse par les oiseaux du ciel ? ” (Job 35:10-11)
Ils sont les premiers à louer Dieu au petit matin... et leur chant amplifie la croissance des végétaux qui réagissent à la musique et aux hautes tonalités. Leurs stomates s’ouvrent, ce qui augmente les échanges gazeux entre plantes et air. C’est une sorte d’engrais acoustique. Tout est lié et en interaction.
Dieu a créé les animaux pour nous accompagner et nous enseigner les 7 fruits de l’esprit :
“ Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance. “ (Galates 5:22)
Malheureusement, l’être humain n’a pas compris leur mission.
“ C'est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu'on voit n'a pas été fait de choses visibles. “ (Hébreux 11:3)
“ Or, nous savons que, jusqu'à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. “ (Romains 8:22)
Merci Père pour toute la beauté et les exemples que tu as mis autour de nous par Ton Fils bien-aimé Yahshua / Jésus.
- Documentaires à regarder en famille -
“Apprenez de la nature, vous y trouverez votre futur” - Léonard de Vinci
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Dans un autre registre, Les animaux nous enseignent les stratégies d’entraide et de solidarité quand il y a danger : Le collectif prime alors sur l’individualisme.
Organisés, rodés, ingénieux, efficaces, les animaux nous prouvent que chacun à un rôle à jouer, une place à tenir et la finalité profitera à tous.
De la vigilance et de la responsabilité de certains dépendra la qualité de la mission des autres. C’est ensemble qu’ils mènent à bien des opérations à hauts risques nécessitant courage et dépassement de soi, et dont ils seront tous bénéficiaires à la fin.
Coopérer entre espèces, c’est à la fois d’étonnantes rencontres et comprendre quand l’autre est prêt : C’est “gagnant / gagnant “, il y a toujours un échange de bons procédés dans la cohésion afin de trouver des ressources, motiver les troupes, pérenniser les espèces, chasser les ennemis.
Dans les épreuves, leurs destins sont liés. Mobilisés, ils sont tous complémentaires car aucun n’a les mêmes qualités : Certains ont une vue perçante, d’autres une ouïe fine, ou une voix qui porte loin, d’autres encore sont puissants ou rapides dans leurs déplacements. Ils connaissent leurs forces, leurs faiblesses et savent ce qu’ils doivent faire sans jamais dépasser certaines limites. Le sens aigu du partage sans esprit de concurrence et le sentiment d’appartenance à un clan (unité) cimentent et assurent leur survie.
Quand une communauté ne forme qu’un seul corps et que chaque membre interagit naturellement avec les autres… 
Merveilleux documentaire qui nous interroge sur notre comportement passé, présent et surtout à venir tout en nous faisant voyager !
Que toute la Gloire revienne à Dieu ! HalleluYAH !
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Kalahari, l'autre loi de la jungle - Première partie (49 mn) - Documentaire de 2021
Écrit par Émilie Dumond-Edel et Pierre Stine. Raconté par Virginie Efira. Musique composée par Nicolas Errèra.
. Deuxième partie : ici (50 mn) (A la tombée de la nuit, une matriarche éléphant fait des vocalises basses fréquences qui voyagent jusqu’à une autre harde d’éléphants éloignés pour leur demander où trouver de la nourriture et un point d’eau. Ils communiquent grâce aux “tympans” qui sont sous leurs pattes).
♥ ♥ ♥
Synopsis : Pour le monde animal et végétal qui y vit, le Kalahari est une région d’Afrique australe aussi grandiose qu’impitoyable. Ici, les pluies et les ressources sont si rares et les saisons sèches si longues que boire, se nourrir, se protéger, se reproduire sont un défi quotidien.
Et pourtant des centaines d’espèces le relèvent chaque jour depuis des millénaires. Longtemps on a pensé que seule la loi du plus fort permettait de survivre ici. Mais c’est une tout autre stratégie qui s’impose : la coopération. 
Pour surmonter tant d’adversité, les espèces ont appris à s’unir et à œuvrer ensemble, entre membres d’un même clan, mais aussi entre espèces différentes, entre minuscule et puissant, entre végétal et animal. 
Contre toute attente, partager son terrier avec d’autres, chercher ensemble sa nourriture, s’associer pour chasser, se rassembler pour protéger ses petits, diviser le travail pour s’économiser et même parfois se sacrifier pour son clan vaut bien mieux que l’individualisme.
Le premier épisode de cette formidable aventure raconte comment, à la fin d’une courte saison des pluies, la collaboration est déterminante pour tirer le maximum de cette période d’abondance fugace, et combien elle compte pour la survie des plus jeunes et des plus vulnérables.  
Le second épisode éprouve les duretés croissantes d’une interminable saison sèche. Il révèle plus que jamais la force des alliances et de l’entraide dans la quête quotidienne d’eau et de nourriture, et face à toutes les menaces que la faim et la soif attisent.
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mel-et-ses-histoires · 4 years ago
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Alors.
-0,05% de la population française (j'ai pris 65 millions) ça ferait 32 500 personnes.
Selon le centre ressource John's Hopkins, qui est notre référence mondiale pour nous on est au 20 juillet en France à 5 934 122 cas diagnostiqués et 111 682 morts confirmés. Je vois pas d'où le chiffre de 0,05% sort. Et la on parle que des malades, on peut pas dire que le reste de la population a pas été tres fortement impacté alors qu'il y a eu confinement.
Pour mettre en perspective la grippe espagnole en France c'était 240 000 mort en 4 ans. C'est complètement possible qu'on atteigne le même chiffre.
-Pour le fait "de pas vouloir choper une merde pour le plaisir des gens intéressé par l'argent et le pouvoir" il y a dans ce que tu dis clairement un soupson de dangerosité du vaccin et des intentions cachés dernière la vaccination, pour quelqu'un qui ne se dit pas anti vaccin c'est bizarre.
- vaccin en cours d'étude : non.
Il n'est pas possible de faire de la recherche sur quelqu'un sans son consentement. Il y a même des groupes de personnes (femme enceinte, enfants, sous protection, détenus) ou il n'est pas possible du tout de faire d'étude sauf cas très particulier.
Ici il y a une ambiguïté quand au terme "étude", ça ne veut pas dire du tout que le vaccin est en test.
Il y a 3 phases lorsqu'on fabrique un médoc :
Phase 1 : sur des volontaires sains, pour déterminer la dose maximal tolérable et la pharmacocinetique de la molécule.
Phase 2 : sur un petit groupe de patients malades volontaires dans le cadre de protocoles, pour déterminer la poso minimale efficace, la posologie optimale, la tolérance. On continu aussi parfois de regarder la pharmacocinetique.
Phase 3 : comparaison du traitement contre un placebo ou contre le médicaments de référence, étude faite sur des milliers ou des dizaines de milliers de patients.
Ce n'est que lorsque la phase 3 d'un médoc est terminé qu'il peut recevoir ou non son autorisation de mise sur le marché.
Lorsqu'on a des preuves solides d'une efficacité importante et / ou en l'absence d'alternative une autorisation de mise sur le marché temporaire peut être délivré, cela se fait surtout en cancérologie.
Enfin, et c'est la que ça nous intéresse c'est la phase 4 : les études sont terminés, le médicaments est commercialisé. On surveille et on collecte toutes les informations en conditions réelles sur la tolérance et l'efficacité. Ça permet nottament de détecter des effets secondaires très rare.
Ce n'est donc que la surveillance post mise sur le marché, ça concerne tout les médoc et c'est complètement normal, et cette phase là on peut la faire durer 30 ans si on veut. (surtout si on veut detecter les formes rares de complications et qu'on a pas beaucoup de patients).
-N'empêche pas de choper ou filler le covid: oui.
Absolument.
Le vaccin n'est pas une protection à 100% c'est tout à fait vrai. Tout comme la ceinture ne sauve pas tout le temps la vie.
Aucun médoc ne marche à 100%.
En infectiologie la "bible" s'appelle Le Pilly, c'est l'ouvrage de référence pour apprendre l'infectiologie et les traitement. Pour chaque maladie pour aurez un traitement ET le traitement en cas d'échec. Parce que ça marche jamais tout le temps.
Pour ce qui est du vaccin.
Selon une étude anglaise pas encore publiée par Stowe and all. Effectiveness of covid 19 vaccines against hospital admission with the delta (b. 1.617.2) variant, on est à 96% d'hospitalisation en moins (donc de forme grave) avec Pfizer et 92% de moins avec astrazeneca, 94% de moins tout vaccins confondu.
Pour la transmission, selon l'étude de l'insitut Pasteur de Paolo and all. Epidemiology and control of Sars cov 2 epidemics in partially vaccinated population : a modeling study applied in France, la transmission du virus est divisé par 12 lorsqu'on est vacciné par rapport à une personne non vacciné.
Alors oui 94% d'efficacité et diviser la contamination par 12 c'est pas du 100% efficace. Mais franchement il faut être de mauvaise fois pour refuser au prétexte que c'est pas 100%.
-au niveau médecine ils ne sont pas d'accord.
On a un putain de consensus scientifique. Les études sont sans ambiguïtées. Que Jean michmuche explique sur tf1 que ça va rendre les gens malade n'est pas une remise en question du consensus des chercheurs sur la questions.
- si dans 2, 5 ou 10 ans des problèmes de santé touchent la population.
Pour l'instant les effets indésirables, bénins ou grave, fréquents ou rares on eu lieux de manière très rapprochée avec la vaccination, ce qui est logique.
Il n'y a aucune raison de penser qu'il pourrait y avoir des effets indésirables à long terme. La vaccination est un phénomène bien connu et ancien (le dtp à eu 100 ans en juin).
Et l'argument du "mais on sait pas" c'est pas un argument très intéressant. .. On ne sais pas si en sortant de chez soi on va pas se faire agresser par un dindon sauvage, pourtant on ne reste pas chez soi "par précaution". Il faut plutôt se demander "à t'on des raisons de penser que", et la réponse est aucune.
Le soucis c'est que pour dire des choses qui ne se basent pas sur le réel ça prend une minute, pour écrire tout ça et mettre les sources ça m'en a pris 40.
Bref en deux mots : non il n'y a pas de volonté caché de gagner "du pouvoir" avec les vaccins, non ils ne sont pas en test, oui ils sont très efficaces, oui il n'y a rien qui laissent à penser à des effets indésirables à long terme et oui le covid ça touche pleins de monde.
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alicencieuse · 4 years ago
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Trois ans de prépa et beaucoup de joie
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TW : Cet article est LONG. Allumez votre bouilloire et prenez votre temps, ou prenez ce qui vous intéresse. Bonne lecture !
L'expérience
Février 2018. J'ai de bonnes notes en Terminale L, je suis passionnée par tout ce que j'apprends et encore bien indécise dans mes choix d'études supérieures. C'est simple : j'aime toutes les humanités que l'on me présente. La philosophie, l'histoire, les langues, la littérature. Quand je rentre chez moi je ne travaille pas, je me fais plaisir. Mais Parcoursup me presse et je dois me dépêcher de trouver une voie qui serait la plus à même de me correspondre. Je me destine au départ pour la LLCER Anglais - je viens de découvrir Jane Austen et les soeurs Brontë, et je m'oppose farouchement à l'idée de mes parents qui est de m'inscrire en prépa littéraire. Dans ma tête, je ne veux pas m'accabler de travail dans les années à venir, ni mettre en péril ma santé et ma vie sociale. Pourtant, quelques rencontres me font flancher, réfléchir. Je prends conscience que la pluridisciplinarité me plaît énormément et que je ne vois pas abandonner l'étude de la littérature française, ni celle de la philosophie. Un peu au hasard et peu confiante, je rentre donc mes voeux dans la prépa la plus proche...Et surprise, je suis acceptée du premier coup. Septembre 2018, je rentre en hypokhâgne.
L'hypokhâgne (première année de CPGE A/L. Langue ancienne choisie : Latin. Option : Histoire des Arts).
L'hypokhâgne, c'est un peu le coup de vent puissant que l'on prend face à l'océan. On est décoiffé, presque déshabillé devant la force de l'immensité qui nous fait face. Mais alors, quand le vent tombe, on est heureux, pleinement heureux. En quelques mois, j'ai l'impression que toutes les (maigres) connaissances que j'avais jusque là en littérature sont remises en cause. J'apprends de nouveau à écrire, à "vraiment écrire", comme dit mon professeur de français. Celui-ci exige de nous une quizaine de lignes quotidiennes, sur le sujet qui nous plaît. J'apprends à choisir les mots exacts, à prêter attention à ma syntaxe, à différencier les synonymes selon les nuances. L'exercice me plaît. Dans les autres matières, l'exigence est similaire : la philosophie me plonge directement dans Plotin dont je n'ai jamais entendu parler, en Histoire, le prof ne répète pas deux fois les dates d'écriture des livres apocryphes de la Bible dans le cours sur le Christianisme Antique, et je dois redoubler d'effort pour mémoriser déclinaisons et conjugaisons latines en peu de temps. Pourtant, tout m'étonne et tout me passionne. Chaque jour apporte son lot de découvertes et de surprises et je me dis "C'est bien là que je dois être". De petits détails me paraissent immensément beaux : mon professeur de français n'utilise jamais deux fois le même mot dans un cours, celle de latin nous déclame du Racine et du Camus dès que l'envie lui prend, et celui d'Allemand connaît aussi bien le grec que l'hébreu. En histoire des arts, je me réjouis à chaque colle passée. La prof nous laisse choisir nos oeuvres. Je lui parle des Nymphéas de Monet, de la Marquise de Pompadour de Delatour, et du travail de Robert Doisneau, le photographe. Nous partons chaque mois au musée. La prof de culture antique nous emmène au cinéma. Je rencontre des auteurs chaque semaine, toujours avec la même ardeur. Mes camarades de classe, eux, sont tout aussi fascinants. Nulle compétition dans cette prépa de province et pour cette première année. Chacun d'entre eux est pleinement engagé dans un loisir, une beauté qu'il aime plus que les autres : le cinéma, la photographie, certains font de la musique, d'autres apprennent la langue des signes en parallèle, certains sont sportifs, et d'autres engagés dans des associations caritatives. Au déjeuner, au self, nous parlons et échangeons beaucoup. Néanmoins, cette frénésie culturelle n'est pas vierge de toute douleur. De l'hypokhâgne, je retiens surtout de longues soirées passées en ma seule compagnie devant mes fiches d'histoire. Des invitations déclinées, des week-ends ensoleillés enfermée dans ma chambre, des passions qui peu à peu s'éloignent. La violence de la nécessité liée à la rigueur me frappe de plein fouet. Quelques uns de mes camarades partent dès le début, d'autres attendent la fin de l'année. Je pleure plusieurs fois en cours. D'autres fois encore à la fin de mes colles. Je m'épuise, je ne vois plus personne, et les mauvais résultats n'ajoutent rien de bon. Je tombe malade. La fin de l'année s'achève sur un doute. Je me suis fait si mal, cette année. Est-il bon de continuer ? La question se pose, je ne veux pas mettre ma santé en danger. Finalement, je me décide à poursuivre, mais en gardant en tête des principes simples : Je ne veux pas ce concours, je ne travaillerai donc pas d'acharnement pour lui. Je ne me refuserai rien et verrai du monde. Si je veux partir, à n'importe quel moment, je partirai.
La khâgne (deuxième année CPGE A/L. Langue ancienne : Latin. Spé : Lettres modernes).
Durant la khâgne, je reste attachée à cette mentalité. Et heureusement pour moi : avec le concours en vue, le rythme de travail demandé me cravache l'esprit. Les professeurs redoublent d'attentes. Plus de sortie au musée organisée ni de séances de cinéma. Chaque semaine, l'on répète le même slogan "Il faut avancer". La réduction des effectifs est aussi particulièrement pesante. De 37 élèves en début d'hypokhâgne, nous sommes une vingtaine le premier jour de septembre. Les mois suivants, je vois mes amis partir, et d'autres souffrir de graves dépressions, que, le plus souvent, les professeurs ignorent volontairement. Cette attitude me dégoûte au plus profond de moi-même. Je prends peu à peu conscience du microcosme dans lequel je suis enfermée, et des implicites sociaux dissimulés derrière la jolie étiquette de "CPGE". Je me refuse à reproduire ce schéma et me décide à ne tirer de cette année que ce que j'ai envie. Je ne travaille donc jamais le week-end et la semaine, je m'occupe du strict nécessaire. Je prends des verres, je ne lis que du hors-programme, je regarde des séries, je reprends le scoutisme que j'avais abandonné plus tôt et dont je me rends compte de la nécessité, je rencontre une flopée d'hypokhâgnes tout aussi drôles les uns que les autres. En Novembre, je pars à Berlin avec ma classe d'allemand. Je tombe amoureuse de la ville et me promet d'y retourner le plus rapidement possible. Je passe des moments incroyables avec ma coloc que j'aime de tout mon coeur. Nous riions de nos journées, nous nous soutenons mutuellement, regardons Netflix et écoutons les vidéos INA tous les soirs. En février, je tombe amoureuse. Pour de "vrai", cette fois. Le confinement est marqué par de multiples échanges de lettres, d'appels, et lorsque l'on se retrouve en mai, je comprends qu'il y a bien plus grand, bien plus beau, certainement bien plus important que ces études. Je me rends au concours sans trop de conviction, ma tête est ailleurs.
Cependant, alors que j'étais certaine de quitter cet enfer quelques mois plus tôt, la question se pose de nouveau. Que faire l'an prochain ? Ai-je vraiment choisi ma filière ? Avec le contexte sanitaire, je pressens une année de cours à distance pour les élèves d'université. Alors je me lance, encore une fois, dans une "L3 vécue en prépa".
La khûbe (redoublement de la deuxième année. Même langue ancienne, même spécialité).
Tout change cette année. Je suis acceptée à l'internat de mon lycée, avec des amis qui débordent de blagues et d'énergie. Des amis qui font de grands gestes quand ils parlent, rigolent sans prendre peur, et osent être eux-mêmes. Pendant l'année, certains ne manquent pas d'avoir de porter de faux et mauvais jugements à notre égard. Nous sommes le groupe que personne n'aime, et pourtant, nous nous aimons tellement, tellement. Ça court dans les couloirs, ça crie en-dessous des fenêtres, ça danse dans les chambres et la nuit, ça explore les caves du lycée. Je travaille de moins en moins et passe la majeure partie de mes week-ends à courir en forêt, à faire des feux de camps ou à faire de la randonnée. Mon amoureux me fait découvrir un nombre incalculable de films. Nous nous échangeons des livres, faisons du sport et du yoga ensemble. Il nous arrive aussi d'écrire à deux. Après les cours, je passe le plus souvent prendre un café chez une copine, un café qui s'étire, s'étire, pour rentrer avant que ne ferme l'internat. Bref, je vois de plus en plus de monde et mon coeur me remercie. Mes résultats ne sont pas si mauvais. Plus encore, j'arrive dans le premier tiers et rapidement, dans le "top 3" (cette idée de classement me RÉPUGNE, mais c'est peut-être plus significatif pour certain.e.s). Je m'entends bien avec mes professeurs et me retrouve souvent interrogée pour un exposé de plus, une colle supplémentaire, à cause de ce redoublement. En parallèle, je suis déléguée de classe, et fait tout mon possible pour apporter mon soutien à ceux qui se sentent fléchir en cette deuxième année. Je me répète : "Si tu ne vas pas bien, va t-en. Ne va pas mettre ta santé en danger pour eux". J'ai une chance immense à suivre l'ensemble de mes cours sur place, alors je persiste, et fais des choix. Je commence à distinguer les matières qui me plaisent le plus. Je me détache des personnes qui ne me font pas profondément du bien. Je passe le concours avec une once d'espoir. Une sous-admissibilité, peut-être, pour l'ego ? Mais rien, et cela me va très bien. Mes professeurs ont plus espéré en moi que je n'y ai cru, c'est ainsi. Je ne suis pas faite pour cette école, c'est tout ! À partir d'avril, le trop-plein se fait sentir. Il me devient insupportable de croiser certains visages ou d'entendre certaines réflexions. J'ai besoin de concret, d'autonomie, et surtout, de banal, de trivial. Je n'en peux plus de cette prise de sérieux générale et je suffoque. Cette prétendue supériorité intellectuelle me repousse de plus en plus. Heureusement que je suis bien entourée mais malgré tout, j'attends la fin de l'année avec impatience. Et quand elle arrive, je suis libre, enfin LIBRE !
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Les questions
L'organisation
Elle a considérablement changé durant trois ans ! Je suis une vrai girouette en manière de planification. Néanmoins, je gardais une certaine habitude. Adepte des to-do lists, je me faisais une liste par semaine dans un carnet, et des listes plus restreintes pour chaque jour où je répartissais en même temps les tâches de la semaine. Pour une dissertation, j'écrirai le I) le lundi, le II) le mardi, et ainsi de suite. J'y ajoutais des révisions de vocabulaire, quelques lectures de cours, des exercices plus concrets, des préparations de colle, et surtout, des temps de sport ! En hypokhâgne, cette liste quotidienne était hachée par heures. Cela marchait plutôt bien, mais plus je sortais les années suivantes, plus l'emploi du temps se voyait modifié. Je travaillais tout la semaine, et me reposais complètement le week-end. Je vidais mon esprit et dormais beaucoup, beaucoup. Pour maintenir ce rythme, je ne repoussais aucune échéance. Dès que l'on me donnait une dissertation à faire, je commençais à y réfléchir pendant la semaine, un peu chaque jour. En fin de semaine, j'avais mon plan, et dès le lundi suivant, je commençais à rédiger. J'essayais de calculer à chaque fois mon temps de travail. En temps réel, une dissertation n'excède pas les 6 heures. Je m'attelais donc à respecter cet horaire. Pas besoin de se fatiguer plus qu'il ne le faut. En général, chaque jour, je travaillais deux à trois heures par soir. Je privilégiais mon sommeil. Si non, je ne tenais pas la journée. Par exemple, si je terminais à 16h, je travaillais jusqu'à 19h sans trop de pauses et après, me relâchais complètement pour prendre du temps pour moi. Je sais que certains prennent une coupure en sortant des cours. Personnellement, j'aime bien continuer sur ma lancée.
En ce qui concerne l'organisation par matière :
Histoire : Je tapais mes cours à l'ordi. J'attendais la fin de la leçon pour faire une lecture complète et réduire au maximum mon cours pour ne retenir que les informations TRES importantes. J'enlevais plein de chiffres, ne gardais qu'un exemple. S'il fallait expliquer, reformuler ou faire des liens, je faisais quelques ajouts. Si la leçon faisait une trentaine de pages, mon but était de la réduire à 15, voire 10 si c'était possible. Sur mon document, je mettais beaucoup de couleurs et d'images. Ensuite, de l'apprentissage, par coeur par coeur. Pour moi, la récitation à haute voix marche parfaitement : je prends mes feuilles et les répète, les crie, les explique comme si je me parlais à moi-même. En parallèle, j'écoutais des podcasts, regardais des émissions. J'avais aussi une grande frise chronologique qui m'a beaucoup aidée en fin d'année, et si je faisais des fiches, celles-là étaient thématiques, afin de croiser les leçons. La religion, le commerce, le système scolaire...
Français : Le français, c'est un grand plongeon dans les oeuvres du programme il me semble. Je passais du temps dans les bouquins et dans les autres livres des auteurs choisis. Je relisais mes cours, apprenais des éléments plus théoriques, et mémorisais surtout des citations. Pour Bérénice, j'ai adoré réviser les vers à haute voix. En plus des oeuvres au programme, je fichais aussi d'autres exemples. Le thème de cette année était "Le lyrisme" : je ne me suis pas gênée pour étudier avec amour Louise Labé, Desnos ou Marceline Desbordes-Valmore. À mon sens, le français se travaille de manière très personnelle. Il s'agit surtout d'assimiler certains concepts et de retenir des références précises. La langue compte pour beaucoup aussi !
Philosophie : Peut-être la matière que j'ai le plus travaillé cette dernière année puisque j'étais une véritable BOUSE. Pour la philosophie, j'étais très méthodique, histoire de me donner envie d'apprendre. Je mettais en forme et réduisais mon cours, que je relisais de temps à autres, je tenais un carnet conceptuel (Pour "La Politique", une page pour la loi, une pour la démocratie, une pour le droit...), et remplissais des fiches de référence, c'est-à-dire de livres, avec des citations, des exemples... Tout au long de l'année, je complétais aussi des flash-cards, dont je me souviens encore très bien aujourd'hui.
Latin : "Sans le petit latin, point de salut", répétait formellement ma prof. Le latin, c'est du travail régulier et de l'application, malgré tout. Je me suis rendue compte que je ne m'améliorais que lorsque je bossais vraiment. Le latin est une langue très logique : il est impératif d'en connaître donc les fondements pour pouvoir ensuite mettre en place cette logique. Chaque jour, je faisais une dizaine de minutes de petit latin : j'empruntais un livre au CDI, tentais de traduire quelques phrases en faisant simplement la construction dans ma texte, et regardais ensuite la traduction. Après les cours, je m'appliquais également à retraduire l'extrait étudié et lorsque j'avais le temps (et la motivation), j'apprenais du vocabulaire. Mon professeure nous faisait retraduire au début de chaque cours, et ré-expliquer les points de grammaire vus. Parfois, nous récitions les conjugaisons ou déclinions des groupes nominaux à haute voix. On ne peut plus stressant, mais on ne peut plus efficace.
Allemand : Je n'ai jamais été excellente en allemand, et pourtant Dieu seul sait combien j'aime cette langue, sa culture et sa littérature. Pour l'allemand, je révisais les versions et les thèmes, et essayais, comme le latin, de retraduire. Je tenais aussi un carnet avec des photos, des images, où je mettais des couleurs et du joli scotch pour les éléments plus culturels, les mouvements littéraires, quelques biographies d'auteurs. Je remplissais ce carnet à l'année quand l'envie me prenait. Si non, Quizlet marchait vraiment pour moi. Nous nous échangions nos listes avec mes camarades et j'apprenais le vocabulaire de chaque jour. Quand je l'oubliais une à deux semaines après, je la reprenais. J'écoutais aussi beaucoup de musique (surtout du rap) allemande, la radio de temps en temps, je lisais des contes de Tieck ou de la littérature plus contemporaine et regardais des séries. Druck, la version germanique de Skam, est SACRÉMENT chouette pour ça. J'adore l'allemand. Vraiment.
Spé Lettres modernes : La plus passionnante de mes matières. En particulier cette année, avec Ronsard, Laclos et Aragon au programme. Les lettres modernes, c'est de la relecture, de la relecture, et encore de la relecture des oeuvres (ce que je n'ai pas vraiment fait, si ce n'est pour Aragon). Il faut connaître en profondeur les intrigues, les personnages, et le système d'écriture de chaque auteur. Après, c'est surtout la maîtrise de l'exercice qui fait la chose. En lettres modernes, c'est un commentaire de texte, mais les attentes sont très hautes. Même au concours je n'ai pas dépassé la moyenne (à ma plus grande tristesse, j'avoue).
2. Par rapport au lycée ?
Il y a bien-sûr quelques ressemblances. La prépa garde une structure très scolaire avec une classe, un corps enseignant défini, un système de notes et de bulletins, des conseils de classe...D'un côté, cette structure est un avantage. Certains des professeurs s'attachent à la personnalisation du parcours, et l'on créé facilement de belles amitiés, avec notre filière ou celle des autres. J'ai eu la chance de nouer également de fortes relations avec le personnel de mon lycée, surtout la dernière année en internat : les cantiniers, les pions, la documentaliste...Tout un tas de gens qui connaissent votre situation et qui restent disponibles pour vous. Après, selon moi, la prépa reste tout même radicalement différente du lycée. Parfois, on en vient même à se demander si l'on étudiait les mêmes matières...Plus revêches et vieilles écoles que d'autres, certains professeurs n'attendront pas si vous êtes en retard, ne répèteront pas deux fois et vous donneront une large part d'autonomie ; on reste dans un cadre d'étude supérieur. Rapidement, cela peut devenir "chacun pour soi" si des liens ne se créent pas entre élèves. Le rythme de travail est bien-sûr beaucoup plus soutenu, et même si une pause s'impose, vous savez pertinemment qu'elle ne peut durer éternellement. Ce n'est plus votre travail qui dépend de votre quotidien, mais l'inverse. (En tout cas, si vous tenez vraiment à suivre la rigueur type concours !). Il faut s'attendre également à de "mauvaises" notes par rapport au lycée, mais qui sont en réalité très bonnes en prépa. J'ai dit au revoir aux notes supérieures à 15/16 dès l'hypokhâgne et l'on s'y fait rapidement, je vous assure. De plus, acharnement dans le travail ne signifie pas nécessairement réussite. J'avais beau apprendre par coeur certains cours, mes notes restaient médiocres. On le dit assez peu, mais la prépa, c'est quand même une LARGE part de réflexion et de compréhension. Certains réussissent très bien sans être scolaires ! L'un de mes amis avait une moyenne de 11/20 au lycée. En prépa, il est devenu l'un des meilleurs de la classe car sa capacité à raisonner était exceptionnelle. Tout peut changer.
3. Et la compétition ?
Dans ma classe, durant trois ans, elle était quasi absente. Bien peu d'entre nous visaient l'ENS et comme chacun avait son projet dans sa tête, il n'y avait aucun besoin de se comparer aux autres. Néanmoins, il n'est pas rare que certains soient encore très attachés aux notes, le lycée nous formate de cette manière. Comme je n'avais pas envie que ces personnes influent sur mon moral, je ne regardais jamais mes notes en cours et ne les partageais à personne d'autre que moi. Après tout, j'avais mon parcours, ils avaient le leur, point barre. Si quelques uns vivaient en effet d'un esprit un peu plus compétitif (il y en a eu peut-être deux ou trois, dans toutes mes années), je préférais les ignorer, n'étant pas intéressée par l'ENS.
4. Réussir en prépa
À mes yeux, la plus grande réussite que l'on puisse avoir est de passer par la prépa. Il faut le dire : c'est une filière difficile, extrêmement rude pour la confiance en soi, impardonnable et violente. Bon nombre ne peuvent suivre car leur corps le refuse. Si vous êtes en prépa, ou que vous vous arrêtez, bravo. Et si vous n'y êtes pas, bravo aussi ! Il n'y a pas de parcours plus important que d'autre.
Cela dit, si vous voulez réussir, hé bien il me semble qu'il faille déterminer votre objectif. Pour ma part, je voulais simplement obtenir mes équivalences en licence de Lettres. Il me suffisait d'être présente tout au long de l'année et de me présenter au concours. Étrangement, c'est quand j'ai cerné cet objectif que mes résultats ont augmenté car j'ai évacué le stress et repris passion pour ce que j'étudiais. La réussite est déjà énorme si vous venez en cours, maintenez une moyenne honorable (oui, 9 de moyenne en prépa c'est BIEN, sérieusement) et rendez les devoirs demandés. On ne vous en demande pas plus si vous ne présentez pas de concours particulier.
Si votre but est d'obtenir l'ENS, je n'ai qu'un mot : accrochez-vous. C'est un travail de longue haleine. Je ne peux parler que maladroitement de ce cas, étant donné que je ne suis absolument pas concernée. Néanmoins, une amie qui a intégré l'an dernier m'a dit la chose suivante : "Je travaillais toute la journée, tous les jours de toutes les semaines. Même dans la pause entre midi et deux. À la fin de l'année, si un cours était moins intéressant que d'habitude, je séchais pour travailler autre chose. Et surtout, bosser toutes les matières en profondeur, sans en négliger une seule. Une mauvaise note au concours peut faire chuter toutes les autres car les coefficients sont les mêmes partout".
5. Du temps pour soi
Il en faut. En tout cas, je n'aurai pas pu continuer sans. Ma réflexion ne vaut rien si je ne suis pas apaisée et de bonne humeur. La prépa m'a permis de me rendre compte que j'ai besoin d'être entourée, et surtout d'être entourée de personnes joyeuses. J'ai besoin également de temps de solitude, j'ai besoin de camper de temps à autre dans la nature, de me dépenser dans le sport, de voir ma famille, de lire du YA sans culpabiliser, et d'avoir une vie spirituelle. J'ai besoin de toutes ces choses qui font du bien à mon coeur pour affronter la difficulté. Je me sens plus forte, et surtout, ce temps pour soi me permet de prendre du recul sur ce que je vis en prépa ! C'est tellement important de prendre de la distance avec cet univers : vous valez tellement plus que ce que disent vos bulletins. Je suis heureuse, aujourd'hui, d'être autant sortie cette année et d'avoir rencontré autant de monde. Car je me sens pleine : autant sur le point de vue social que mental et intellectuel. Alors on ne se refuse rien. On part courir, on regarde un film, un épisode, on va à un concert. Ne vous arrêtez pas de vivre pour quelque chose que vous ne voulez pas.
6. Le concours
Je l'ai beaucoup plus ressenti lors de ma khûbe. Ménageant une grande espérance dans mes capacités (que je n'avais pas du tout, perso), mes profs me rajoutaient des colles et me demandaient plus d'entretiens personnels. Évidemment, cette surcharge a légèrement augmenté ma dose de stress. Pourtant, comme l'an dernier, j'abordais les choses avec beaucoup de distance. La même évidence venait à moi : Je ne veux pas ce concours. Je n'ai que faire de réussir ou non ! À la limite, il m'était un peu plus important d'avoir de bonnes notes dans les matières qui comptaient vraiment pour moi et que je voulais approfondir par la suite, c'est-à-dire la littérature, le latin et un peu l'allemand. Les multiples DS et concours blancs préparent suffisamment à l'épreuve pour qu'il n'y ait pas de surprise lors du concours, je vous assure. Alors pas de stress. Pendant les semaines de révisions, je me suis autorisée quatre jours de marche en montagne avec mon copain pour prendre l'air : j'en avais besoin, et encore une fois, cette sortie m'a offert un élan et une motivation nécessaires aux dernières séances de travail. Ce concours, c'est un simple bulletin de notes, une fois dans votre vie, sur vos capacités lors de cette année A durant ce mois d'avril précisément. Entre autres, ce n'est pas VOUS entièrement.
7. Les débouchés
Alors là, étonnement. Je ne pensais pas qu'il était possible de faire tante de choses après une A/L. Évidemment, la PACES ou l'école d'ingénieur sont peut-être un peu plus éloignés, mais enfin. Si vous aimez les humanités de manière générale, vous trouverez votre compte. Je pense donc :
aux métiers de l'enseignement, évidemment (professeur des écoles, de collège, lycée, d'université) , et même l'enseignement à l'étranger !
aux métiers du livre (éditeur, libraire, auteur, illustrateur...)
au journalisme
aux écoles de commerce (oui oui, elle recrute des littéraires, sans passer les maths ou statistiques)
aux écoles d'art et de cinéma (Le Louvre par exemple)
aux écoles de management
aux écoles de mode, de marketing, de communication et d'information
aux Instituts d'Etudes Politiques
aux écoles de traduction
aux métiers relatifs aux ONG, à l'aide humanitaire
aux écoles militaires (Saint-Cyr par exemple)
8. Comment s'y préparer ?
En se reposant. L'année qui va suivre va être chargée. Si vous arrivez en hypokhâgne et encore plus si vous vous lancez dans la deuxième année, donc cet été, pensez à vous avant tout. S'il y a des livres nécessaires à lire pour la rentrée, lisez-les, et si un devoir est à rendre, faite-le. Si l'on vous demande des révisions précises et que vous souhaitez vous y mettre, prenez-le temps et assimilez en profondeur mais ne vous surchargez pas avant que l'année commence ! Vous aurez le temps de travailler dès le mois de septembre. Pour ma part, je ne lisais les oeuvres de français au programme que pendant l'année : les cours venaient éclaircir ma lecture et j'assimilais beaucoup mieux le contenu. Si vous tenez à être tout à fait prêt, faites ce que l'on vous demande mais REPOSEZ-VOUS. Lisez également des classiques, petits ou gros peu importe, auteur français ou étranger peu importe, mais lisez tant que cela vous donne du plaisir. J'ai relu mes déclinaisons et conjugaisons la vieille de ma rentrée de khâgne, et tout allait bien.
9. Le bilan personnel, le ressenti général et l'enrichissement
Quelles montagnes russes ! Quand je repense à mon entrée en hypokhâgne et à mon état actuel, je me dis que l'attraction fut longue et périlleuse, mais tellement enrichissante. Certainement que je ne m'attendais pas à autant changer en "si peu" de temps. La prépa m'a apporté beaucoup de choses, de différentes manières c'est certain, mais enfin, je ne regrette pas mes choix, et notamment celui d'avoir suivi une troisième année. J'insiste une fois encore : j'ai poursuivi parce que j'avais la force mentale de le faire, mais la santé est une priorité inaltérable sur tout le reste. Je termine ce parcours plus heureuse et épanouie que je ne l'ai rarement été. Je me suis découverte et je sais désormais exactement ce que je veux. Ce que je veux faire de ma vie, ce que je veux devenir et ce que je veux entreprendre.
L'enrichissement intellectuel/culturel : Une explosion de feux d'artifices ! J'ai énormément appris au cours de ces trois ans et la pluridisciplinarité fut une vraie aubaine. Croiser une notion que l'on retrouve en latin, plus en allemand et en littérature, c'est terriblement stimulante. La prépa m'a ouvert sur l'histoire et l'étude de l'histoire. Le travail de mémoire, le recul, et avec, l'ouverture au monde et aux civilisations. Je suis incollable sur la Chine du XIXème siècle et croyez-le ou non, cela m'est plus utile qu'on ne le pense. J'ai considérablement enrichi ma connaissance des cultures grecques et latines et de leurs mythologies, ma maîtrise de l'anglais et de l'allemand, et mon amour de l'art, sous toutes ses formes. Quel plaisir de pouvoir aller à Orsay, se mettre devant un tableau, et le décrire en pensant aux heures de cours. Ou encore d'aller au cinéma et d'apprécier un film, vraiment. La prépa m'a également ouvert à la géographie, à la sociologie, et même à la politique. Mes premiers cours de français en hypokhâgne me restent encore en mémoire et je reste assez rigoriste quant à l'utilisation de certains mots (c'est peut-être un défaut, oupsiiii). À l'oral, je suis passée de la plus grande timide de ma classe de terminale à la comédienne de théâtre de mes colles. J'ai acquis une assurance que je pensais absolument inatteignable et une large confiance malgré mes peurs et appréhensions, qui restent présentes.
L'enrichissement mental : La prépa, ça forge. Ça forge un moral de béton pour avoir le courage de se dire "Oui, ça fait la cinquième fois que j'ai 2/20 en français. Mais c'est pas grave. Je vaux tellement mieux que ça". C'est un gain de confiance, une prise de recul sur la réalité, et paradoxalement, une prise de recul sur ce qui vous paraît important et sur ce qui ne l'est pas. J'ai découvert, par exemple, que le jardinage était mille fois plus important à mes yeux que la philosophie. La prépa oblige également à faire des sacrifices et des choix qu'il faut assumer dans les moments les plus chargés, où les doses de travail se remplissent brutalement. C'est apprendre à prendre du temps pour soi et à s'aimer malgré les mauvais commentaires que l'on peut recevoir au quotidien.
L'enrichissement moral, relationnel : L'enrichissement est aussi passé par tous ces yeux, ces visages avec lesquels j'ai passé tant de temps. Ces soirées à se remonter mutuellement le moral, à pleurer dans les bras les uns des autres, à danser jusqu'à une fatigue extrême, ces journées à hurler de rire au CDI et à se tordre sur nos traductions en allemand. J'ai rencontré de multiples personnalités qui m'ont toutes apporté quelque chose de particulier, sans le vouloir. Le meilleur d'elle-même, le meilleur qu'elles avaient à donner. J'ai partagé des voyages et échangé de longues discussions, j'ai été à la plage et en maraude, j'ai sauté sur les toits du lycée et aie dîné au restaurant. J'ai rencontré des personnes en dehors de la prépa, avec lesquelles j'ai noué des liens très forts. J'ai rencontré mon copain, sans qui, au moment où j'écris cet article, je ne serais rien, tout à fait rien. (C'est niais mais vrai). J'ai osé assumer ma passion pour la littérature et celle du latin. Je n'ai désormais plus peur de dire que je fais des études de lettres, que je vais avoir un métier que j'aime, et que je me sens bien. J'ai appris à me séparer des personnes qui me faisaient du mal. J'ai réussi à me détacher d'un genre de soirée qui ne me correspondait plus, dans lequel je ne me reconnaissait pas. Je suis parvenue à m'habiller comme j'aime réellement : avec les longues jupes de mon arrière grand-mère et les casquettes/bretelles de mon oncle. J'ai retrouvé ma vie spirituelle, mes croyances, mes heures de méditation et ma pratique du yoga. Le sport est aussi devenu une activité beaucoup plus fréquente, comme l'écriture, dans laquelle je m'épanouis de jours en jours. Je redécouvre les mondes imaginaires de mon enfance avec mon copain, je dessine des sirènes et des elfes sans honte, on pense des aventures, des histoires et des personnages hauts en couleurs.
Cet été, je compte bien profiter du mieux que je le peux de la route. Partir seule ou à deux ou à trois et fouler les chemins qui se présentent à moi. Il y a tant de choses à voir en dehors des livres, et j'aime tout autant les lignes d'un poème que les lignes d'horizon.
J'espère que cet article vous aura été utile. Si vous avez des questions, je vous invite à me les poser en commentaires. Portez-vous bien.
Bien à vous,
Alice.
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sakrum1 · 5 years ago
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Dimanche 12 juillet 2020 : commentaire Pape François
Toute l'évangélisation est fondée sur la Parole de Dieu, écoutée, méditée, vécue, célébrée et témoignée. La Sainte Écriture est source de l'évangélisation. Par conséquent, il faut se former continuellement à l'écoute de la Parole. L'Église n'évangélise pas si elle ne se laisse pas continuellement ��vangéliser. Il est indispensable que la Parole de Dieu « devienne toujours plus le cœur de toute activité ecclésiale » (Benoît XVI). La Parole de Dieu écoutée et célébrée, surtout dans l'eucharistie, alimente et fortifie intérieurement les chrétiens et les rend capables d'un authentique témoignage évangélique dans la vie quotidienne. Nous avons désormais dépassé l'ancienne opposition entre Parole et sacrement. La Parole proclamée, vivante et efficace, prépare à la réception du sacrement et dans le sacrement cette Parole atteint son efficacité maximale. L'étude de la Sainte Écriture doit être une porte ouverte à tous les croyants. Il est fondamental que la Parole révélée féconde radicalement la catéchèse et tous les efforts pour transmettre la foi. L'évangélisation demande la familiarité avec la Parole de Dieu et cela exige que les diocèses, les paroisses et tous les groupements catholiques proposent une étude sérieuse et persévérante de la Bible, et aussi en encouragent la lecture priante personnelle et communautaire. Nous ne cherchons pas à tâtons dans l'obscurité, nous ne devons pas non plus attendre que Dieu nous adresse la parole, parce que réellement « Dieu a parlé, il n'est plus le grand inconnu mais il s'est montré lui-même » (Benoît XVI). Accueillons le trésor sublime de la Parole révélée.
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bebliafrench · 2 months ago
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Lis la Bible: beblia.com 🙏
Dis amen si tu es d'accord
Ecclésiaste 1:16-17
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parcours-sceptiques · 5 years ago
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la nausée, l'espace et les étagères….
Une histoire de Luca
J'ai commencé à me poser des questions existentielles très tôt, et entre proches catholiques ( mes grands-parents) musulmans (le meilleur ami de mes parents) et athées purs et durs (père, mère et une grand-mère communiste convaincue)… Il y avait peu de chances qui que ce soit me fasse avaler une réponse définitive au sens de la vie. Le point essentiel est que tout ce petit monde n'a eu de cesse de m'expliquer qu'il m'appartenait de me faire ma propre opinion.
Autant dire que les angoisses sont vite arrivées, comme chez beaucoup d'enfants un peu précoces.
À six ans, j'essayais de me représenter ce qu'était un univers infini. Un tel gâchis d'espace me confinait paradoxallement à une claustrophobie telle que j'en vomissais certaines nuits. Devant mon incapacité à supporter des concepts aussi insondables pour un enfant, la tentation aurait été très forte de me plonger dans les mysticisme et la bigoterie pour me rassurer. Et j'ai effectivement eu quelques épisodes un peu mystiques dans ma vie. Pour la question de l'univers, mon salut est venu pendant un temps de la conception biblique des choses. Un univers insondable certes mais taillé pour nous, une volonté divine à l'oeuvre… Simple, mignon et rassurant. Seulement voilà je n'en demeurais pas moins un enfant curieux de tout et les informations dont j'ai rapidement disposé sur l'espace et son exploration entraient en conflit total avec ce que la religion avait à nous raconter. Finalement, j'ai remédié à mes angoisses. Pas en le cachant et en oubliant le sujet mais en me passionnant pour lui. J'étais, je pense dès lors, sur la voie pour devenir un indécrottable sceptique.
Malgré tout, j'ai toujours eu une certaine inclination pour le fantastique, le mystérieux. Mon plus grand rêve aurait été d'avoir des pouvoirs télépathiques; bien entendu, ce que disait la science maintenait tout cela dans la fiction. Je ne m'en laissais pas moins séduire par les illusionnistes de tous poils qu'on voyait à la télé et je manquais de recul sur la tendance des médias à jouer la carte du doute pour mieux vendre les paillettes. Longtemps j'ai pris les débunkers et les experts en illusion qu'on prenait à témoin sans les respecter pour des rabats-joie.
Et un jour, jai écrit un début de fiction avec des personnages aux pouvoirs psi. Au fil de ma documentation, j'ai découvert le mot zététique, le nom de James Randi, les prétentions débunkées d'Uri Geller et le domaine finalement existant de l'étude scientifique et sérieuse des phénomènes prétendus paranormaux. J'ai finalement abandonné l'écriture de cette histoire et laissé le sujet du scepticisme de côté.
Jusqu'à ce que Vled Tapas et Acermendax me parlent de leur projet d'y consacrer une émission. On en a beaucoup parlé ensemble avant même que le premier épisode sorte et j'ai pris conscience de plein de choses; notamment que même s'efforcer de rester objectif n'est pas suffisant pour y parvenir, que j'étais un utilisateur assidû et particulièrement retors des arguments ad hoc, et que ma bienveillance somme toute neutre pour les médecines alternatives et les délires new-age prenaient parfois des allures de non-assistance à personnes en danger…
Et me voilà aujourd'hui un sceptique convaincu. Rassurez-vous, je rêve toujours que je vole et que je peux déplacer des objets par la pensée. Et les blockbusters à base de complot mondialisé me divertissent toujours autant. J'ai simplement acquis assez d'hygiène mentale pour les ranger dans l'étagère des fictions. Entre la Bible et le Silmarillion.
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christophe76460 · 23 days ago
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«Au contraire exhortez-vous les uns les autres, chaque jour, tant que dure ce temps appelé: "Aujourd'hui!" afin que personne d'entre vous "ne s'endurcisse" séduit par le péché.»
‭‭Hébreux‬ ‭3‬:‭13‬ ‭BCC1923‬‬
Ce verset de l'Épître aux Hébreux est une invitation puissante à la croissance spirituelle et à la vigilance.
Voici quelques réflexions possibles sur ce passage :
* Encouragement mutuel:
Le verset souligne l'importance de s'encourager les uns les autres dans notre marche avec Dieu. Les défis de la vie peuvent parfois nous amener à nous décourager, mais le soutien mutuel nous aide à persévérer.
* Le "aujourd'hui" :
L'expression "tant que dure ce temps appelé : "Aujourd'hui"" met l'accent sur l'importance de vivre pleinement le présent. Chaque jour est une nouvelle opportunité de grandir dans notre foi.
* Le danger de l'endurcissement du cœur:
Le péché peut progressivement endurcir notre cœur, nous rendant insensibles à la voix de Dieu. L'encouragement mutuel nous aide à rester vigilants et à résister à la tentation.
Comment appliquer ce verset dans notre vie quotidienne ?
* Prier les uns pour les autres:
La prière est un puissant moyen de soutenir nos frères et sœurs en Christ.
* Partager nos expériences:
Parler de notre foi avec les autres peut être une source d'encouragement mutuel.
* Servir les autres:
En servant les autres, nous manifestons notre amour pour Dieu et pour notre prochain.
* Étudier la Bible ensemble:
La lecture et l'étude de la Bible ensemble nous permettent de grandir dans notre compréhension de Dieu et de sa Parole.
En résumé, ce verset nous rappelle que notre croissance spirituelle est un voyage que nous ne faisons pas seuls. En nous encourageant mutuellement, nous pouvons surmonter les obstacles et grandir dans notre foi.
Amen
Soyez béni(e)s et n’oublions pas Jésus Christ reviens bientôt
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yes-bernie-stuff · 5 months ago
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Hébreux 11.6
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On doit faire confiance à Dieu Mardi 3 Septembr
Risquer par la foi (2)
« Personne ne peut plaire à Dieu s'il ne croit pas » Hébreux 11.6, PDV
Avant de prendre une décision importante, surtout si elle affecte la vie des autres, la Bible suggère deux choses : d’abord en calculer le prix (voir Lu 14.28). Il faut donc évaluer, enquêter, et surtout être guidé et conseillé. Salomon a dit : « L'imbécile estime toujours qu'il agit correctement, le sage accepte les conseils » (Pr 12.15, BFC). Quel degré de certitude faut-il pour aller de l’avant ? Andy Stanley écrit : « En général, nul n’est jamais sûr à plus de 80 %. En attendre davantage peut faire rater une occasion. » On attend quoi ? La garantie de ne pas faire d’erreur ? De ne pas être critiqué ? Dans ce cas, on n’arrivera nulle part. Quand on a fait tout ce que la sagesse exige, on doit faire confiance à Dieu et prendre un risque fondé sur la foi. Si on l’oublie, on finira par vivre avec des regrets. Deux psychologues de l’Université Cornell ont constaté que le temps est un facteur majeur dans la liste des regrets. On regrette généralement les actions à court terme. Mais à long terme, on a tendance à regretter de ne pas avoir agi. L'étude a révélé qu'en moyenne au cours d'une semaine, les regrets d'action étaient légèrement plus élevés que les regrets d'inaction, soit 53 % contre 47 %. Mais lorsque les gens réfléchissent à leur vie dans son ensemble, les regrets d’inaction passent à 84 %. En d’autres termes, vous ne regretterez pas autant les erreurs que vous avez commises que les opportunités offertes par Dieu que vous avez manquées. Alors, allez-y et prenez un risque fondé sur la foi.
B365 — Plan de lecture Psaumes 18
Prière du jour Aide-moi mon Dieu à prendre des risques fondés sur la foi.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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egliseherault · 2 years ago
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Être avec… Novembre 2022
Communauté catholique de Celleneuve- La Paillade.
Pleine confiance
Une fois de plus, je me permets de vous reparler de la prière silencieuse, que l'on peut aussi appeler « oraison » ou « méditation ». Et je vous encourage de nouveau à vous y mettre ou à persévérer, ne serait-ce que 20 ou 30 minutes chaque jour. Nous passons tellement de temps dans le bruit et en adoration devant notre portable ou notre télévision ! Vous le savez ; nous ne sommes que de passage sur cette terre et tout va très vite ; nous nous agitons beaucoup en voulant transformer le monde et la sainte Église ; nous nous dispersons au-dehors de nous-mêmes, alors que le Seigneur est vivant au plus profond de nos cœurs. Aujourd'hui, on parle beaucoup de « méditation de pleine conscience ». C'est dans l'air du temps. Pour nous autres, c'est de pleine confiance dont il s'agit. Le Seigneur nous aime à l'infini. Donnons-lui du temps dans le silence, gratuitement, fidèlement. Cela change notre vie !
Être bien assis sur une chaise ou par terre.
Éviter de bouger.
Implorer l'Esprit Saint.
Nous abandonner entre les mains du Père.
Être attentifs à notre propre souffle.
Répéter en silence et inlassablement le nom de Jésus.
JLouis
Les messes du mois de Novembre
Mardi 1er novembre : messe de la Toussaint à 10h à St Thomas.
Mercredi 2 novembre à 17h30 à St Paul : messe de la commémoration de tous les fidèles défunts.
Dimanche 6 novembre, messe à 10h à St Paul (Après la messe : partage sur l'évangile du jour. Portez votre Bible !).
Dimanche 13 novembre, messe à 10h à St Thomas ( Après la messe : lecture-partage avec Maurice Zundel).
Dimanche 20 novembre, messe à 10h à St Paul (Après la messe : poursuite de l'étude des Actes des Apôtres, chapitre 11, puis repas partagé tiré du sac. C'est l'occasion de ne pas rester seul un dimanche à midi !).
Dimanche 27 novembre, messe des familles à 10h à St Thomas. Après-messe pour tous de 11h20 à 12h30 avec le Pasteur Elian Cuvillier dans le cadre de « A l'écoute de la foi des autres ». A la même heure, rencontre du catéchisme.
Le dimanche, adoration silencieuse de 9h à 9h30 quand la messe est à St Paul.
Les messes en semaine
Mardi à 18h, messe à Ste Croix (suivie de 30 min. de méditation) sauf le 1er, le 15 et le 29.
Mercredi à 17h30 à St Paul (suivie d'une heure de méditation) sauf le 16, le 23 et le 30.
Messe à Mathilde Lartigue : lundi 7 novembre à 16h. Célébration à Bélorgeot : mercredi 9 novembre à 16h30 (messe le 23 novembre à 16h30).
Les rencontres
Samedi 19 novembre : randonnée paroissiale facile pour toutes et pour tous de 9h à 16h. On vous donnera des précisions !
Groupe de prière Souffle de vie : 4 et 18 novembre à 19h30 à St Paul. Contact : Havivy 06 50 76 83 50
Chorale : chaque jeudi à St Paul à 18h.
Samedis 5 et 19 novembre à 16h : ménage dans l'église St Paul.
EAP : merc. 2 novembre à 19h et 16 novembre à 19h15 à St Paul.
A pain et à bâtons rompus : vendredi 25 novembre à midi à La Margelle.
Prière à Ste Croix : 1ers et 3ièmes vendredis du mois à 15h.
Les dynamics se retrouvent chaque jeudi après-midi à St Paul !
Les rencontres en visio de la PPH ont lieu les lundis à 15h et les samedis à 17h.
Bienvenue à tous ! Contact : Colette : 0679554525.
Pour Noël
Samedi 24 décembre : Messe de la nuit de la Nativité à 19h à St Paul
Dimanche 25 décembre : Messe du jour de Noël à 17h à St Thomas.
Location et utilisation des églises et salles de la paroisse :
Pour Ste Croix : Merci de bien vouloir téléphoner au 0467753899. L'église Ste Croix est ouverte les jeudis après-midis et les dimanches après-midis de 15h à 17h.
Pour St Thomas : Merci de ne pas contacter le prêtre et de ne pas téléphoner, mais d'envoyer un mail avec votre demande à [email protected] (une précision : c'est bien « sainthomas » et non « saintthomas »).
Pour St Paul : merci de bien vouloir laisser un message vocal ou d'envoyer un sms au 0652260765. D'autre part, le bureau paroissial se trouve Pl. Mimi Azaïs en dessous de l'église à La Paillade (Tel : 0768043039). Permanences : merc de 15h à 17h et sam de 10h à 12h. L'église St Paul est ouverte du matin au soir tous les jours !
Téléphone paroissial : un seul numéro : 0768043039
Retrouvez les infos de notre communauté, avec des homélies et des textes, sur notre site : http://paroissesaintpaul-saintecroix.catholique.fr courriel : [email protected] J-L Cathala : 0652260765
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