#L'Été dernier (2023)
Explore tagged Tumblr posts
Text
3 notes
·
View notes
Text
L'Été dernier (2023)
Last Summer
Director: Catherine Breillat
The scenes with the little girls made my heart melt. But that creates a sharp contrast. At center stage, a forbidden relationship. Watching the actors get emotional and deliver was great. While the topic is absolutely alienating, there is room to consider that these people are totally broken.
0 notes
Text
Last Summer / L'Été dernier 2023 | Catherine Breillat
#last summer#l'ete dernier#filmedit#catherine breillat#lea drucker#samuel kircher#olivier rabourdin#clotilde courau#cinematography#films#movies#faceless
510 notes
·
View notes
Text
L'été dernier (2023) // dir. Catherine Breillat
#Samuel Kircher#Léa Drucker#L'été dernier#Last Summer#Catherine Breillat#my caps#my edits#*lastsummer
54 notes
·
View notes
Text
L'été dernier (2023) dir. Catherine Breillat
21 notes
·
View notes
Text
'' … le plus chaud, depuis...''
Cette phrase, vous l'avez lue et relue, entendue et ré-entendue des dizaines, des centaines de fois depuis... le début de l'été, où nos politiciens et nos journalistes ont été surpris : ''il faisait chaud !''. Cependant, elle a besoin de compléments de temps pour avoir un sens, qui varie du tout au tout avec ou selon les mots choisis. Le premier mot manquant doit désigner un moment récent ('hier'', ''la semaine dernière'' ou ''le mois dernier'' font fort bien l'affaire). La fin de le phrase, en revanche, est plus difficile à inventer, car c'est d'elle que dépendra sa capacité à causer des ravages..
Ce second ''complément circonstanciel de temps'' mérite que l'on passe un instant avec lui, car il doit impérativement sonner le tocsin chez tout lecteur réputé ''normalement constitué'' (NB : en novlangue macrono-progressiste, cela veut dire : gober tout les bobards présentés comme des vérités par les médias et la doxa gauchiste officielle –c'est la même chose !). Ce second ''volet'' du truisme doit donc conjuguer ''être proche pour avoir l'air vérifiable'' –ce que personne ne fait jamais, exemple : le covid !-- et ''être impressionnant tout en faisant plus vrai que vrai'' . On a donc le choix entre ''l'an dernier'', ''les 10 ou les 100 dernières années'', voire, comme en ce moment ''depuis qu'existent des relevés'', ce qui devrait vraiment faire taire toute opposition... à ceci près que ces relevés météo remontent au mieux –ou au pire-- aux années 1855, et que 170 petites années –qui sont longues pour l'expérience humaine-- sont ''même pas rien'' à l'échelle cosmique où se mesurent et se commentent les phénomènes climatiques.
Résumons-nous : la phrase la plus rabâchée ces temps derniers n'a pas la moindre signification à l'échelle du phénomène météorologique –et a fortiori climatique--dont elle voudrait rendre compte de manière à forcer des décisions radicales et définitives... mais absurdes puisque sans aucun lien avec le sujet dont ils croient parler : à partir du constat d'un réchauffement climatique qui semble incontestable en l'état actuel de nos connaissances, ils ont réussi à faire croire à une majorité de leurs semblables que c'est eux, hommes blancs, qui étaient les seuls responsables du désastre dont ils annoncent la survenue imminente depuis des décennies prédiction jamais réalisée mais dont ils maintiennent néanmoins l'occurrence prochaine ('Le Printemps silencieux'' de Rachel Carson, bible de la soi-disant religion prétendue écologique, date de 1962).
Or, s'il est une chose que l'été 2023 nous aura démontré comme à plaisir, c'est la fausseté –déjà bien connue par beaucoup-- de toutes les théories émises par le Giec et reprises en chœur pas ses thuriféraires : l'été et même l'automne, furent parfois caniculaires en Europe, mais cette chaude réalité ressentie ne permet en aucun cas de généraliser des impressions soit disant ''expliquées'' (sic !) par des faux statisticiens en mal de fin du monde, qui se servent des chiffres pour démontrer des mensonges, en ayant recours à des traitements dilatoires des ''outils'' statistiques dont nous disposons... et qui mériteraient un autre usage !
Car il est une chose dont personne ne peut douter : la succession de vagues caniculaires qui a frappé la France (et quelques autres pays d'Europe) depuis fin juin sont dues, exclusivement, à des remontées aléatoires (puisque dues à ''El Niño'') de gigantesques ''bulles'' de chaleur venues du Sahara, ce qui appelle deux commentaires : (1)- le Sahara n'est pas connu comme un pourvoyeur majeur de CO² d'origine humaine : zéro embouteillage, zéro diesel, zéro ''SUV'', zéro de ces monstrueux transatlantiques qui polluent plus qu'un million de voitures thermiques chacun… et par voie de conséquence, (2)- aucune possibilité d'établir (de bonne foi, s'entend) le moindre lien entre leur présence et nos émissions de ''gaz à effet de serre'', à l'opposé de tous les commentaires de nos cuistres radio-télé qui se concluent, de manière pavlovienne, par une accusation du CO², devenu le fantasme n°1 qui agit comme une drogue ! C'est pitoyable !
De manière plus générale, l'étude des couches géologiques révèle que le climat a varié tout au long de l'existence de la Terre, alternant les phases froides et chaudes de manière naturelle. Le dernier Petit Age Glaciaire s'est terminé vers 1850, et la période de réchauffement actuelle n'a donc rien de surprenant. En fait, ce réchauffement est bien plus lent que prévu... mais le fossé entre le monde réel et le monde tel que nos savants sans savoir l'ont modélisé montre que nous sommes loin de comprendre le changement climatique : l'édifice de ''la politique climatique'' est bâti sur des modèles inadéquats qui présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas fiables en tant qu'outils politiques : non seulement ils exagèrent l'effet des gaz à effet de serre, mais ils ignorent complètement les bienfaits de l'enrichissement de l'atmosphère en CO²...
Contrairement à tout ce qui nous est raconté à longueur de ''JT'', le réchauffement climatique n'a pas augmenté de manière scientifiquement démontrable le nombre ou l'intensité des catastrophes naturelles : aucune statistique ne prouve qu'il intensifie peu ou prou les ouragans, les inondations, les sécheresses et tous les autres types de catastrophes naturelles, ou qu'ils les rend plus fréquents. En revanche, les preuves existent que les mesures pour tenter (en vain, c'est une autre certitude : ce n'est pas possible !) de réduire le CO² sont aussi dommageables et liberticides que coûteuses.
'' Il n'y a pas d'urgence climatique, et donc aucune raison de paniquer ou de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO² net proposée pour 2050. L'adaptation vaut mieux que pour la réduction, car avec elle, on peut espérer atteindre un résultat réel'', affirme le professeur Steven Koonin, pourtant ancien sous-secrétaire aux sciences du ministère de l'Énergie d'Obama (pas un modèle, à mes yeux, par ailleurs !), professeur à l'Université de New York, membre de la Hoover Institution, et auteur du best-seller ''Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Doesn't, and Why It Matters'' (= L'indémontré : ce que dit la science du climat, ce qu'elle ne dit pas et pourquoi c'est important-- 2021)., qui considère immoral de demander aux pays en développement de réduire leurs émissions alors qu'une grande partie de leur population n'a pas accès à l'électricité, et qui ose affirmer qu'il est du dernier pervers d'effrayer les jeunes générations (Rappel : en janvier 2022, 84 % des adolescents américains croient que ''si rien n'est fait, il sera trop tard pour les générations futures, car une partie de la planète sera devenue invivable'', ce qu'aucune preuve scientifique n'a, évidemment, jamais démontré..
Tout se passe comme si personne ne voulait admettre qu'une grande partie du changement climatique est causée par des éruptions solaires contre lesquelles nous ne pouvons rien … sans parler des grands incendies de forêt dont le risque est exacerbé parce que les faux écologistes refusent de débroussailler les sous-bois de crainte que telle ou telle créatures qui pourrait s'y trouver ne soit dérangée (par autre chose qu'un incendie de forêt qui va les tuer).
De plus en plus nombreux sont les citoyens qui trouvent que les milliards d'Euros annuellement consacrés à une lutte sans espoir contre un changement climatique dont les forces obscures nous échappent pourraient être mieux utilisés... Combien de temps faudra-t-il pour que ceux qui les dirigent (vers des catastrophes en série, annoncées depuis longtemps mais toujours niées par les aveugles-par-système) sortent de leur torpeur addictive, et voient la réalité comme elle se présente ?
H-Cl.
22 notes
·
View notes
Text
Last Summer (L'été dernier), Catherine Breillat (2023)
#Catherine Breillat#Pascal Bonitzer#Léa Drucker#Samuel Kircher#Olivier Rabourdin#Clotilde Courau#Serena Hu#Angela Chen#Romain Maricau#Jeanne Lapoirie#Kim Gordon#François Quiqueré#2023#woman director
14 notes
·
View notes
Text
-Alors, j'ai un double-expresso. -C'est pour moi ! -Et un noisette pour vous, je suppose. -C'est ça, merci ! -Je vous en prie, bonne dégustation.
Elle s'éloigne et on reprend notre conversation :
-Donc j'ai l'impression avec l'âge de confondre les années, c'est triste, je trouve. Depuis, j'essaie de leur donner une couleur spécifique à chacun. Et je me suis rendu compte, si tu donnes une couleur, un prénom, un lieu, à chaque été, tu peux pas confondre les années. -Ouais ? Par exemple ? -Par exemple, bon là c'est l'été 2023, là où on s'est rencontrés. -Ouais. -L'été 2022, c'est là où j'ai rencontré Carlo. -Ouais ok. -L'été 2021, j'ai tendance à le confondre avec l'été 2020. -Beh non, t'as déménagé à l'été 2020. -Oui, mais je veux quand même donner une couleur à celui de 2021. -Mais tu pars pas en vacances ? -Pas tellement. Et avant, je pouvais partir toujours un peu au même endroit. Mais il y a une période où je partais à des endroits différents tous les étés, mais attends, on en est à 21. -Ouais ouais ok. -Donc l'été 2021, c'est quand la mère de ma coloc est morte. -Mais genre c'est le seul truc dont tu te souviennes ? -Non, mais je le connecte à une émotion, et après tout vient avec : ma coloc a été à Roanne pour l'enterrement, elle m'a ramené de la confiture de sureau, et ça a été le goût de ton mon automne (y avait au moins 4 pots), j'ai des potes qui sont venu·es passer une semaine à la maison, y avait des fêtes de ouf à la ferme d'à côté tous les jeudis. -Ouais ouais je vois. Et comme ça, t'arrives à pas confondre ? -Voilà. -Et les étés d'avant, alors ?
Il a fini son café, il a posé sa tasse, et il a commencé à utiliser ses doigts : un été, un doigt.
-2019 : les visites de maisons. 2018 : le voyage de Milan à Berlin. 2017 : Lisbonne. 2016 : la rupture avec Alma. 2015 : La Loire à vélo avec Alma. 2014 : on est resté·es à Paris, faire du bénévolat, réparer des vélos, distribuer des sandwichs, pleins de trucs comme ça, et puis visiter des musées et lire dehors. 2013 : Lisbonne avec Alma. 2012 : la rencontre avec Alma. 2011 : le bac et le kayak. 2010 :
Il continue, et c'est trop bien de remonter sa vie comme un CV sensible. Mais le mec de la table d'à côté parle un peu fort. Je peux pas m'empêcher de l'entendre. J'entends des bribes, des mots. Mais à un moment j'entends une phrase complète qui me trouble : "et des fois, je suis sur mon canapé comme ça, et ça vient, c'est des volutes de tristesse, et je sais que ça vient et que je vais me sentir très triste dans 10 secondes, tu vois ?"
Des volutes de tristesse, je vois tout à fait ce qu'il veut dire. J'en ai raté l'été 2004.
Et il fait :
-Bref, t'as compris. Un été, une couleur, et ça offre des points d'appui pour l'année complète. C'est con mais ça marche pas pareil avec les automne ou une autre saison. Les étés successifs viennent comme des… comme des… je sais pas, des… des volutes d'émotions, en fait. C'est comme …
Lui aussi, il a entendu la conversation d'à côté.
-C'est comme la fumée du café, tu vois ? -Ouais, je vois. -T'as le café, c'est l'émotion de ton été. Et la fumée, c'est les volute de l'été, qui peuvent parcourir des années si tu t'en souviens, et que tu y fais bien attention. -Ouais, je vois. -Et c'est des volutes successives. Genre, tu mets ton attention sur 2017, puis 2016, etc. Et y a tout qui vient avec. -Ouais, je vois.
Je sais pas s'il a entendu qu'on avait repris son mot. J'ai regardé un peu son visage, discrètement en diagonale. Il était beau et marqué par la tristesse. Il était pas triste maintenant. Mais on sentait qu'il avait beaucoup pleuré ces derniers jours.
J'ai connu Jed.
9 notes
·
View notes
Text
🎞 mars 2024
l'été dernier (2023) 2.5⭐ lisa frankenstein (2024) 3.5⭐ daaaaaali ! (2023) 4⭐ sage-homme (2023) 4⭐ le livre des solutions (2023) 2.5⭐ das lehrerzimmer (2023) 3.5⭐ rien à perdre (2023) 3.5⭐ dune (1984) 1.5⭐ mean girls (2024) 3.5⭐ le roi et l'oiseau (1980) 3.5⭐ all of us strangers (2023) 3.5⭐ シン・ゴジラ / shin godzilla (2016) 3.5⭐ irish wish (2024) 2⭐ the brood (1979) 3⭐ the slumber party massacre (1982) 3.5⭐ loverboy (1989) 3⭐ pride & prejudice (2005) 3.5⭐
5 notes
·
View notes
Text
Le Covid-19 est bel et bien de retour. En trois ans, les symptômes n'ont pas cessé d'évoluer. En plus des traditionnels toux, fièvre et migraine, s’ajoutent à présent de nouveaux symptômes.
Avec la fin de l'été, reviennent les maladies virales... et le Covid-19. La campagne de vaccination a été avancée au 2 octobre par le ministère de la Santé, face à la recrudescence des cas. D'autant que depuis l'année dernière, le virus a développé sa gamme de symptômes, liée à la contamination des variants d’Omicron, Eric ou Pirola (le nouveau sous-variant d’Omicron). Après la toux, les maux de tête ou la perte de goût, l’infection se traduit pour certains patients par des réactions exceptionnelles.
En trois ans et demi de circulation, les médecins ont observé des symptômes plus insoupçonnés les uns que les autres. “Le Covid est un peu un mouton à cinq pattes avec son triple tropisme (respiratoire, entérique, et neurologique), il présente des signes de plus en plus atypiques, même s’ils restent exceptionnels”.
Chez certains patients, des engelures sont apparues au niveau des orteils qui ont alors gonflé et tourné au violet. Si les extrémités sont les points les plus touchés par ces bleuissements, une étude de l’université britannique de Leeds décrivait en août dernier le cas d’un patient âgé de 33 ans, atteint du Covid-19, dont les jambes sont devenues bleues sans que les basses températures en soient la cause. Des éruptions cutanées apparaissaient sur la plante de ses pieds lorsqu’il se tenait debout, et disparaissaient lorsqu’il s’allongeait. Il se plaignait également d’une sensation de lourdeur des jambes, accompagnée de démangeaisons et de picotements. Selon l’étude, cette manifestation serait due à un dysfonctionnement du système nerveux autonome, initié par le virus.
La perte d’odorat et celle du goût sont déjà connues et largement observées, mais certains malades ont également signalé une perte… de l’ouïe ! C’est le cas d’une patiente au Royaume-Uni qui a perdu l’audition soudainement alors qu’elle était atteinte du coronavirus.
Plus étonnant encore, un cas de “hoquet persistant” a été observé aux États-Unis chez un patient de 62 ans qui a hoqueté sans interruption pendant quatre jours. Pour les médecins et la revue spécialisée “The American journal of emergency”, ce signe serait une conséquence de l’infection respiratoire provoquée par le virus.
En 2023, après différentes mutations du virus, les symptômes ont changé devenant moins sévères qu’en 2020. La perte d’odorat ou de goût, ainsi que la fièvre ou l'essoufflement, disparaissent peu à peu, laissant place à des manifestations plus inattendues : diarrhées, courbatures, conjonctivites, plaques rouges sur la peau… Certains patients se plaignent également de symptômes neurologiques, notamment des difficultés d’élocution, de concentration ou des pertes de mémoires rapportées par des patients atteints de Covid long.
“Les manifestations restent encore en majorité ORL/respiratoires, mais on observe de plus en plus de formes qui se rapprochent de la grippe : maux de têtes, fièvre… avec moins de fatigue qu’initialement”
4 notes
·
View notes
Text
Treizième partie | 28 août 2023
Avec la rentrée automnale qui absente plusieurs d'entre nous aux derniers matchs d'une saison traversée par l'incertitude de l'air et des précipitations, je me retrouve à devoir préparer un cours de français 101 from scratch dans lequel je dois initier les élèves à l'analyse littéraire. Le motif que je me donne est celui de la « reconnaissance » : on aime un texte, je crois, car on s'y reconnaît ; et aimer, se reconnaître, c'est le plaisir de comprendre et d'être compris à la fois.
L'été partagé avec le RMR m'inspire dans l'élan, la lancée, la course et le sable qu'il faut manger pour savoir avoir bien fait. L'été partagé avec le RMR me fait comprendre le sens de cette reconnaissance.
Ce qu'on vit sur un terrain de balle ne se décrit pas. Comme le dit Roland Barthes, on échoue toujours à parler de ce qu'on aime. Que ce soient les bons coups, les déceptions ou les blessures, ce qu'on donne de soi sur un terrain de balle ne se partage que là. C'est un mélange de poussière et de soleil plein les yeux qui nous unit dans l'élan de vouloir courir les buts et le champ pour servir la bonne cause.
J'ai fait de ma cause celle de l'œil-bon : celle de la patience et de la gaieté. J'ai attendu chaque lundi soir comme on attend une rencontre. J'ai attendu chaque lancer comme la promesse d'une chance d'avancer. Encore une fois, c'est une forme d'amour qui a créé cette attente.
Cet amour, nous le partageons, pour la balle et pour le plaisir. Nous le manifestons dans les gestes du prochain retrait ou du point produit. Le baseball est avant tout un don de soi.
Je suis reconnaissant pour les heures, les lundis et l'été que nous avons partagés. Manche par manche, c'est une histoire que nous avons racontée. Ce qui est beau, c'est que cette histoire est encore à recommencer.
Aux Martres et aux NSDB : que les meilleur-es l'emportent. Partager ce temps et cet espace a été un grand plaisir pour moi, et c'est par ce plaisir que je veux vous remercier.
– Charland
--
--
--
--
2 notes
·
View notes
Text
Des moustiques-tigres infectés par le virus de la dengue détectés pour la première fois en France hexagonale | INRAE
See on Scoop.it - EntomoNews
COMMUNIQUÉ DE PRESSE - La dengue – ou grippe tropicale – est la principale maladie virale liée aux moustiques et contre laquelle il n’existe pas de traitement spécifique. La prévention est donc essentielle. Bien qu’historiquement restreintes à la zone intertropicale, des infections humaines par le virus de la dengue sont détectées en France hexagonale depuis 2010. Des scientifiques INRAE, en collaboration avec l’université Claude Bernard Lyon 1, l’EPHE-PSL et le réseau MASCARA sont intervenus sur un foyer de cas de dengue détecté dans la Drôme en 2023.
Pour la première fois en France hexagonale, les chercheurs ont trouvé des moustiques infectés par le virus. Cette découverte est majeure car non seulement elle permet de confirmer l’espèce vectrice (ici le moustique-tigre), mais elle propose aussi un moyen innovant pour tracer le virus et suivre l’épidémiologie de la maladie facilement, rapidement et à moindre coût, par l’analyse des contenus des pièges à moustiques chez des citoyens vivant autour des cas détectés de la maladie.
Publié le 16 septembre 2024
"Le virus responsable de la dengue appartient au genre des Orthoflavivirus comme le virus zika ou le virus West-Nile. Alors que des infections humaines par le virus de la dengue sont détectées en France hexagonale depuis 2010, les données permettant d'identifier les espèces de moustiques impliquées et de tracer le virus font défaut. Soutenus par le réseau local MASCARA[1] regroupant notamment des agences de santé publique et des laboratoires de recherche, les chercheurs INRAE et leurs collègues ont analysé, à la fin de l'été 2023, des moustiques provenant de pièges privés au sein d'un quartier urbain français touché par un foyer de dengue.
Le foyer, dans la Drôme, comprenait 3 cas, dont 2 autochtones confirmés (par sérologie ou détection du virus), c’est-à-dire que les malades n’avaient pas voyagé dans une zone où la maladie est présente au cours des 15 derniers jours et avaient donc été contaminés sur le territoire français. Un 3e cas, identifié à proximité des deux premiers suite à l’enquête épidémiologique, a été classé comme importé. L’individu était revenu d'un récent séjour dans les îles françaises des Caraïbes avec des symptômes compatibles avec la dengue, mais celle-ci n'avait pas été diagnostiquée.
Des moustiques Aedes albopictus (moustique-tigre) piégés à moins de 100 m de la zone de résidence des personnes infectées contenaient le virus. Les données génétiques du virus provenant des moustiques collectés ont permis de relier cette souche virale aux souches responsables de l'épidémie de dengue de 2023-2024 ayant sévi dans les îles françaises des Caraïbes. Ceci suggère que les moustiques auraient transmis le virus à partir du cas importé vers les cas autochtones, provoquant le foyer d’infection.
Cette étude indique que le virus circule en France métropolitaine via les populations locales de moustique-tigre. Elle montre l'importance de mettre en place des plans de lutte individuelle et collective vis-à-vis de cette espèce[2], mais aussi de sensibiliser les professionnels de la santé aux maladies transmises par les moustiques. Enfin, elle souligne l'intérêt de la surveillance entomo-virologique, en particulier à travers l’utilisation des pièges à moustiques privés."
Référence
Viginier B., Klitting R., Galon C. et al. (2024).
Peri-domestic entomological surveillance using private traps allows detection of dengue virus in Aedes albopictus during an autochthonous transmission event in mainland France, late summer 2023. Euro Surveill. 29(36):pii=2400195. https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2024.29.36.2400195
Barbara Viginier1 , Raphaëlle Klitting2,3 , Clémence Galon4 , Violaine Bonnefoux5 , Christophe Bellet5 , Albin Fontaine3,6 , Élise Brottet7 , Marie-Claire Paty8 , Armelle Mercurol9 , Nathalie Ragozin9 , Sara Moutailler4 , Gilda Grard2,3 , Xavier de Lamballerie2,3 , Frédérick Arnaud1 , Maxime Ratinier1 , Vincent Raquin1
0 notes
Text
Jota débarque au Stade Rennais
Le Stade Rennais poursuit son mercato estival avec une dynamique très ambitieuse. L'objectif visé est de se reconstruire après une saison décevante. L'un des derniers développements marquants de cette période de transferts est l'accord trouvé avec le club saoudien d'Al-Ittihad pour le prêt de Jota. À seulement 25 ans, l'ailier portugais pourrait apporter un nouvel élan à l'équipe de Julien Stéphan, à condition de réussir sa visite médicale. Jota au Stade Rennais L'officialisation de l'arrivée de Jota au Stade Rennais dépendra donc de son examen médical, mais l'enthousiasme est palpable au sein du club breton. Rennes aspire à retrouver sa place au sommet du championnat cette saison, particulièrement après une année 2022-2023 marquée par des performances en demi-teinte sous la direction de Bruno Genesio. La direction a conscience de l'importance de renforcer l'effectif pour espérer rivaliser avec les meilleures équipes de Ligue 1. Lire aussi : On vous fait la liste des joueurs de foot partis en Arabie Saoudite Un renouveau après des séparations Le club a pris des décisions difficiles cet été, se séparant de plusieurs joueurs clés, dont Benjamin Bourigeaud. Cette démarche fait partie d'une stratégie plus large de restructuration, pilotée par le nouveau directeur sportif, Frédéric Massara. Sa vision inclut un remaniement complet de l’effectif afin de corriger les erreurs du passé et de redynamiser le club. Jota : Une chance de relance Pour Jota, ce prêt à Rennes représente une opportunité cruciale de relancer sa carrière. L’ancien joueur du Celtic, transféré pour 30 millions d'euros l'été dernier, a connu une période difficile en Arabie Saoudite. Écarté de l'équipe principale d'Al-Ittihad après quelques semaines, il a été contraint de se contenter de quelques apparitions, principalement en Ligue des champions asiatique et lors du Mondial des Clubs. Sa volonté de se réaffirmer dans un championnat européen pourrait être un atout précieux pour Rennes. Vers une nouvelle équipe compétitive Rennes ne participe pas cette année aux compétitions européennes, ce qui pourrait constituer un avantage pour se concentrer sur la Ligue 1. L'absence de pression liée aux matchs européens pourrait permettre aux joueurs de se focaliser sur le championnat national et d'améliorer leur classement. L'intégration de Jota, si elle se concrétise, pourrait s'inscrire dans une dynamique de renouveau, permettant à l’équipe de développer un jeu plus incisif et créatif. Voir également : Mohamed Ali Gueddar débarque au Football Club Swift Hesperange Une belle opération en perspective En somme, le prêt de Jota est perçu comme une belle opération pour le Stade Rennais. Le club breton s'engage dans un processus de transformation, et l'arrivée de nouveaux talents est essentielle pour espérer retrouver le chemin de la réussite. Sous la houlette de Frédéric Massara, Rennes se fixe des objectifs ambitieux et entend bien corriger les faux pas de la saison précédente. L'avenir s'annonce prometteur pour les Rouge et Noir, qui espèrent retrouver rapidement leur standing dans le paysage du football français. Read the full article
0 notes
Text
L'été dernier (2023) // dir. Catherine Breillat
#Léa Drucker#Samuel Kircher#Olivier Rabourdin#L'été dernier#Last Summer#Catherine Breillat#my caps#my edits#*lastsummer
52 notes
·
View notes
Text
L'été dernier (2023) dir. Catherine Breillat
21 notes
·
View notes
Link
0 notes