#Jean-Pierre Jaubert
Explore tagged Tumblr posts
Text
Arnold et Willy
Arnolad et Willy, série madelaine de Proust qui nous replonge dans les années 80 Diff'rent Strokes
Titre: Arnold et Willy Interpréte : Jean-Pierre Jaubert Auteur / Compositeur : Alan Thicke, Jean-Pierre Jaubert, Gloria Loring, Al Burdon Émission : Youpi! L’école est finie / Le Club Dorothée Référence : 2056997 Type de support : Disque vinyle Vitesse : 45 tours Taille : 7’’ Label : Polydor / TF1 / Année : 1982 Face 1 : Générique Arnold et Willy, Interprète: Jean-Pierre JaubertFace 2 :…
View On WordPress
#1982#1986#1991#2014#AB1#Gulli#Jean-Pierre Jaubert#La 5#Le Club Dorothée#Polydor#TF1#Youpi ! L&039;école est finie
0 notes
Photo
Bernard Blier and Arletty in Hõtel du Nord (Marcel Carné, 1938) Cast: Arletty, Louis Jouvet, Annabella, Jean-Pierre Aumont, Jane Marken, André Brunot. René Bergeron, Paulette Dubost, François Périer, Andrex, Henri Bosc, Marcel André, Bernard Blier, Jacques Louvigny, Armand Lurville, Génia Vaury. Screenplay: Henri Jeanson, Jean Aurenche, based on a novel by Eugène Dabit. Cinematography: Louis Née, Armand Thirard. Production design: Alexandre Trauner. Film editing: Marthe Gottié, René Le Hénaff. Music: Maurice Jaubert. Arletty's performance as the raucous streetwalker Raymonde in Hôtel du Nord is quite unlike her most famous role, the fascinating, enigmatic Garance in Marcel Carné's Children of Paradise (1945). Raymonde shares a room in the hotel with Edmond (Louis Jouvet), a photographer who is hiding out from his old cronies in the Parisian underworld. The film begins with a traveling shot along the canal that flanks the hotel, where we first see a young pair of lovers, Pierre (Jean-Pierre Aumont) and Renée (Annabella), walking arm in arm. Inside the hotel, the residents are celebrating the first communion of the daughter of Maltaverne (René Bergeron), a policeman who lives at the hotel. (It's a diverse household.) Pierre and Renée enter and request a room for the night, but instead of making love, they have decided on a suicide pact: He will shoot her, then kill himself. He holds up the first part of the bargain, but then chickens out. Edmond, who has been in his darkroom, hears the shot and breaks down the door, finding Renée apparently dead and Pierre cowering indecisively. Taking the gun from Pierre, Edmond urges him to flee. (The gun becomes a Chekhov's gun when Edmond first tosses it away and then recovers it and stashes it in a drawer.) Renée recovers from the gunshot, and Pierre, torn with guilt, turns himself in to the police as an attempted murderer and is sent to prison. After she recuperates, Renée returns to the hotel to collect her things, and is offered a job there by Madame Lecouvreur (Jane Marken), the wife of the proprietor (André Brunot). And so the story of the suicidal lovers begins to intertwine with that of Edmond and Raymonde. It's all neatly done, with a great deal of atmosphere (a word that Raymonde will give a particular spin to), much of it created by Alexandre Trauner's set, a re-creation in the studios at Billancourt of the actual hotel and the Canal St. Martin. The film's melodrama is alleviated by the ensemble work and the performances of Jouvet, who can switch from menacing to vulnerable in an instant, and Arletty, who makes the tough, worldly wise Raymonde often very funny. The film concludes with Carné's skillful staging of an elaborate Bastille Day sequence that anticipates the crowd scenes in Children of Paradise.
6 notes
·
View notes
Text
"Françoise Hardy - La Discrète" documentaire d'Emilie Valentin et Matthieu Jaubert (2016) avec les participations de Jacques Dutronc, Jean-Marie Périer, Élodie Frégé, La Grande Sophie et Pierre Mikaïloff, juin 2024.
#films#hommage#Valentin#Jaubert#Hardy#Dutronc#Frege#Perier#LaGrandeSophie#Mikailoff#Daho#Gainsbourg#Albarn#Berger
1 note
·
View note
Video
youtube
L'ex-chanteuse yéyé et idole des jeunes à la voix sensuelle s'est muée en élégante icône de la pop, dont l'influence demeure vivace chez nombre de créateurs. Portrait sensible de Françoise Hardy. Françoise Hardy n’en finit plus d’être en vogue. Propulsée idole des jeunes en un seul tube, "Tous les garçons et les filles", "la discrète", comme la surnommait Jean Gabin, conserve avec classe, un demi-siècle plus tard, son statut d’icône de la pop, dont la mélancolie a su charmer l'Europe entière. "Anomalie" dans le paysage musical hexagonal, élue autrefois "femme idéale" par Mick Jagger, objet d'un poème de Bob Dylan, couverte d'or par Paco Rabanne, Françoise Hardy tient de la référence absolue, tant en matière de style qu'en matière de musique. Comment, avec un tel départ dans la vie, est-elle parvenue à se renouveler, à durer sans se faner ?
Mystère
À travers le témoignage de la chanteuse, mais aussi de ceux qu'elle a influencés, sans oublier une savoureuse séquence de prise de bec par interviews interposées avec Jacques Dutronc, son compagnon de toujours, ce film dresse un portrait sensible de la femme et de son mystère. Musiciens, producteurs, couturiers, chanteurs : partout en Europe, des artistes qu'elle a côtoyés et inspirés, comme Élodie Frégé, La Grande Sophie ou l'écrivain Pierre Mikaïloff, nous livrent leur vision de Françoise Hardy, de son apport à la musique, de sa singularité. Un hommage d'une élégance rêveuse à une grande artiste, qui comme tout ce qui la touche, lui va comme un gant.
Françoise Hardy - La discrète Documentaire d'Émilie Valentin et Matthieu Jaubert (France, 2016, 54mn)
Disponible jusqu'au 07/05/2021
1 note
·
View note
Text
Gratitude
Mon mois de décembre 2021 fut en grande partie brouillé car je m'étais retrouvé dans une situation exceptionnelle qui m'avait empêché littéralement de faire toute une série de belles choses que je m'étais données l'obligation de faire. Je n'ai pas du tout l'envie de m'en plaindre non seulement cela tombe dans le passé mais cela ne servirait absolument à rien. Pendant trois bonnes semaines je m'étais éloigné des réseaux sociaux et de tout car j'étais cloué au lit . J'ai quand même pu apprendre des choses positives à travers ce moment difficile que je considère comme une épreuve dans ma vie. J'ai compris une fois de plus l'importance de la famille car les premières personnes qui furent autour de moi sont ma femme et mes enfants . Quelques membres de ma famille rapprochée comme ma belle soeur Marie Carmel R. Hilaire et ma belle mère ont été aussi très sensibles à ma situation sans oublier quelques bons amis et de bonnes amies qui même à distance se sont faits sentir de façon considérable. Ma femme ,mes enfants , mes belles soeurs et ma belle mère ont tout donné en offrant leur amour , leur affection et leur vibrante attention.
Je n'oublierai pas Verline Legagneur qui fut un ange en m'expédiant en urgence des produits naturels pour m'aider à me récupérer. Je n'oublierai pas Carmelle Coqmar , Gertie Jean Edouard , Anie Rameau , Roseline Auguste et Alexandra Regalado pour leur attention bienveillante par des mots d'encouragement et d'espoir . Je n'oublierai pas non plus Julie England et Mel-Any Lessard qui m'ont aidé par leurs judicieux conseils de santé. Des amis de vielle date Werner Joseph , Keller Delouis , Pierrpaul Fitho , Robert Pierre-Paul , Jean-Edouard Casamé, Pierre Martin-Jaubert et Fritz Barthelemy m'ont sincèrement touché même à distance par leur bienveillance.
Je remercie tous ceux et toutes celles qui ont pris le temps de m'appeler pour avoir de mes nouvelles .
Je suis dans la gratitude pour tous les soins que ma femme m'a prodigués et la présence soutenue de mes enfants .
Je suis dans la gratitude pour tous les actes de bonté, de bienveillance de la part de mes belles soeurs et de ma belle mère.
Je suis dans la gratitude pour chaque mot d'espoir et d'encouragement de la part de mes amies et de mes amis .
Je crois davantage dans la bonté humaine et dans l'amitié.
Merci infiniment à la vie :)
0 notes
Text
Filmografía
Cine
1943: La Boîte aux rêves de Yves Allégret: una silueta en la película"
1943: Les Petites du quai aux fleurs de Marc Allégret : Jérôme Hardy
1945: Le Pays sans étoiles de Georges Lacombe : Simon Le Gouge y Frédéric Talacayud
1945: El idiota de Georges Lampin : El príncipe Muychkine, inocente de espíritu
1945: Schéma d'une identification, cortometraje inédito de Alain Resnais
1946: Ouvert pour cause d'inventaire, cortometraje inédito de Alain Resnais
1947: Le Diable au corps de Claude Autant-Lara: François Jaubert
1947: La cartuja de Parma de Christian-Jaque: El marqués Fabrice Del Dongo
1947: Les Drames du bois de Boulogne, cortometraje de Jacques Loew: comentario
1948: Une si jolie petite plage de Yves Allégret: Pierre Monet, el viajero
1948: Tous les chemins mènent à Rome de Jean Boyer: Gabriel Pégase, geómetra
1949: La Beauté du diable de René Clair: Enrique y Fausto joven
1949: Visite à Picasso, cortometraje documental de Paul Haesaerts: récitant du film
1950: Souvenirs perdus de Christian-Jaque : Gérard de Narcay, el loco evadido del asilo
1950: Juliette ou la Clé des songes de Marcel Carné: Michel, el soñador que busca a Juliette
1950: La Ronde de Max Ophüls: El Conde
1950: Saint-Louis, ou L'Ange de la paix, cortometraje, documental de Robert Darène: comentario
1950: La paix vaincra, documental polaca de Joris Ivens: comentario de la versión francesa
1950: Avec André Gide, documental de Marc Allégret: comentario
1951: Avignon, bastion de la provence, cortometraje de James Guenet: él mismo
1951: Vedettes sans maquillage, cortometraje de Jacques Guillon: él mismo
1951: Fanfan la Tulipe de Christian-Jaque: Fanfan la Tulipe
1951: Los siete pecados capitales, sketch El octavo pecado de Georges Lacombe
1951: Fêtes galantes : Le peintre Watteau, cortometraje, documental de Jean Aurel : comentario
1952 : Les Belles de nuit de René Clair: Claude, compositor oscuro de música
1952: Les Amants de la villa Borghèse, sketch La Rupture de Gianni Franciolini: El joven en el banco
1953: Les Orgueilleux de Yves Allégret: Georges, ex médico alcohólico
1953: Monsieur Ripois de René Clément: Mr André Ripois, marido de Catherine.
Teatro
1942: Une grande fille toute simple de André Roussin, casino de Nice: Mick
1943: Une jeune fille savait de André Haguet, tournée Rasimi.
1942: Sodome et Gomorrhe de Jean Giraudoux, Georges Douking, Théâtre Hébertot: l'Ange
1944: Au petit bonheur de Marc-Gilbert Sauvajon, Pasquali, Théâtre Gramont
1945: Fédérigo de René Laporte, Théâtre des Mathurins: prince blanc
1945: Calígula de Albert Camus, Paul Œttly, Théâtre Hébertot: Caligula
1947: Les Épiphanies d'Henri Pichette, Georges Vitaly, Théâtre des Noctambules: le Poète
1948: K.M.X , Jacques Deval, Théâtre de la Michodière: Harold Britton.
1949: Le Figurant de la gaité de Alfred Savoir, Théâtre Montparnasse.
1951: Le Cid de Pierre Corneille, mise en scène Jean Vilar, Festival de Aviñón: Rodrigue
1951: Le Prince de Hombourg d'Heinrich von Kleist, Jean Vilar, Festival de Aviñón: Prince Frédéric
1951: Mère courage de Bertolt Brecht, Suresnes: Eilif, l'un des fils.
1951: La Calandria de Bernardo da Bibbiena, René Dupuy, Festival de Aviñón: Artemona.
HONDURASQUEDATEENCASA
#ELCINELATELEYMICKYANDONIE
0 notes
Text
January 03 in Music History
1738 FP of Handel's opera Faramondo at King's Theater in London. Runs for eight performances.
1785 Death of Italian composer Baldassare Galuppi, in Venice.
1797 Birth of contralto Lucia Elizabeth Vestris in London.
1806 Birth of German soprano Henrietta Sontag in Coblenz.
1823 Birth of Belgian organist and composer Nicolas Jaques Lemmens in Antwerp.
1843 FP of Donizetti's Don Pasquale, in Paris.
1850 Death of Italian mezzo-soprano Giuseppina Grassini.
1868 Death of German composer and teacher Moritz Hauptmann in Leipzig.
1869 Birth of musicologist Paul Charles Landormy
1870 Birth of violinist and composer Henry Eichheim.
1877 Birth of Dutch baritone Thomas Denijs in Hague.
1878 FP in US of Johaness Brahms' First Symphony, in Boston.
1879 Birth of German soprano Lina Abarbanell in Berlin.
1887 Birth of tenor Manuel Salazar.
1892 Birth of English mezzo-soprano Gladys Parr in Bury.
1895 Birth of Ukrainian composer, conductor and teacher Borys Lyatoshynsky.
1897 FP of Paul Dukas' Symphony in C, in Paris.
1900 Birth of French composer Maurice Jaubert in Nice.
1905 Birth of English bass-baritone Manfred Huebner in London.
1909 Birth of Danish pianist and musical humorist Victor Borge.
1914 Birth of Belgian composer Jean Louël in Oostende.
1914 Death of French composer, pianist and teacher Stephane Raoul Pugnois in Moscow.
1916 Birth of cellist Bernard Greenhouse.
1917 Birth of French conductor Pierre Dervaux.
1922 Birth of English pianist Ronald Smith.
1925 American debut of German conductor and composer Wilhelm Furtwängler, conducting the New York Philharmonic at Carnegie Hall, in NYC.
1926 Birth of American mezzo-soprano Nell Rankin in Montgomery, Alabama.
1936 Birth of Dutch composer Jos Kunst in Roermond.
1941 FP of Rachmaninoff's Symphonic Dances. Philadelphia Orchestra under Ormandy.
1942 Death of Russian composer and violinist Julius Conus, in Malinski.
1943 Birth of British soprano Esther Hinds in Barbados.
1943 Birth of Austrian composer and double bassist H. K. Gruber in Vienna.
1944 Birth of English conductor David Atherton in Blackpool.
1944 Death of Swedish mezzo-soprano Julia Jahnke-Mandahl.
1950 Birth of American composer Beth Anderson.
1953 Birth of American composer-pianist Martin Hennessy.
1953 Birth of American composer Zae Munn.
1956 Death of Russian composer Alexander Tikhonovitch Gretchaninov in NYC.
1965 Death of Italian baritone Mario Basiola.
1965 Death of American tenor George Rasely.
1967 Death of Scottish soprano Mary Garden.
1972 Birth of American composer Kevin Puts.
1974 Birth of English composer Ian Vine.1983 Death of American soprano Marion Talley.
1985 Soprano Leontyne Price's final performance with the Metropolitan Opera in New York. As Aida.
1994 Death of German tenor and singing coach Joseph Witt.
1997 Death of Dutch composer Cor Kee in Zaandam.
1 note
·
View note
Text
Types Of Fine Wine
Some freestanding wine coolers may also be actually built-in. Many of the online reviews for red wine have been the best I have seen. The Petrus vineyards are replanted at a rate that allows work to be actually administered on a part of one hectare every 7 to 9 years. In 1969, Jean-Franois Moueix, the oldest son of Jean-Pierre, purchased the staying portions from Mme Lily Lacoste. Wine Insiders Review [5] In the 1868 version of Cocks & Fret, under directory Crus bourgeois et 1ers craftsmens Chteau Ptrus was placed responsible for Vieux Chteau Certan as well as together with Chteau Trotanoy. Each of the Route's communities is effortlessly pinpointed through its own color so you can quickly locate your way to your next tasting adventure. [5] [9] Ptrus' popularity in the U. You're able to find red wine just about anywhere. The normal grow older of the vines goes beyond 45 years. For aficionados, this implies that they will definitely have the ability to arrange with a collection of alternatives, including the location of origin, the score of the vintage, and also the procedure and process of grape option. welcomes a warehouse-style design, along with deep discount rates and also merely 400 SKUs. The resort-like city has actually been actually house to celebs like Oprah Winfrey, Danny Elfman and also Jeff Bridges. Type is mostly a matter of individual flavor yet might be essential in suitable along with various other components of your decor. . The variety of temperature-zones (single-zone, dual-zone, multi-zone),. The sizable tasting space gets crowded on the weekends, however they consistently are actually properly staffed and despite the crowds the service is superb. When Jean-Claude Berrouet retired as specialized director after 45 olds in 2008 he was actually substituted by his son Olivier Berrouet, who now handles the winery and the white wine production. By the end of this particular page, satisfy pertain to our red or white wine cooler acquiring quick guide for a full variety check list to aid you with your acquiring selection. - Assortment procedure. - Bridlewood Winery bridlewood. - Subscription expenses. I was much more than honored that a resemblance of Hercules was included in the Petrus menagerie through Olivier Berrouet as well as Elisabeth Jaubert, with James Suckling as the official witness for the induction event. Get In Robert Parker. Our company encourage a bottle of their highly acclaimed Pinot Noir or Syrah. Membership charges, alternatively, can easily vary commonly from $37 to $70 each month, or even extra, depending on the subscription alternative as well as the white wine club. Brilhouet and also Courolle Brilhouet. The goal style winery stays up on a little mountain and is fronted through a vast grass.
0 notes
Text
Not Known Facts About Rose All Day
Petrus The Modern Grow Older. They organize concerts and also there is a participant just type tasting location. When Jean-Pierre Moueix passed away in 2003, he was simply shy of his 90th special day. In the 1950s and also 1960s, the Kennedys came to be enthusiasts. While Petrus possessed popularity before the increase of Robert Parker, most of that prominence was actually focused in London, Belgium, France as well as a few other markets that possessed a rate of interest in obtaining the red wine of Petrus. Petrus is absolute best served at 15. It is actually the locations to begin with AVA, (set up in 1981) and also the very first area that settled Chardonnay as well as Pinot Noir in Santa Barbara. - Rusack Vineyards. - Bridlewood Vineyard bridlewood. - Provide at 46. - Los Alamos Valley. - No. They had 2 tiny Pomerol residential properties at the conclusion of the nineteenth century, Jeanlade and also Chante-Caille, which morphed in to Chateau Estate Latour a' Pomerol. So, you're preparing a journey to Santa Barbara and need to recognize what the best Santa Barbara wineries are to go to. Loubat in 1961, the estate was separated in between a daughter and also nephew, Mme. This blend made along with the finest grapes of our vineyard in Pays d'Oc stretches around 4 departments of Languedoc Roussillon. Foxen Vineyard (Save at Foxen Vineyard with the Priority White wine Pass) foxen a glass of wine sampling. Unique to this location are actually the high magnesium mineral content in the dirts and scorching daytime temperature levels (reaching the top in the 90 F). Presqu'ile has some distinct advantages for white wine charter member. In around 2016, Petrus sold a twenty% share in the vineyard for 200 Million Euros to Alejandro Santo Domingo, a well-off Colombian client. So do your purchasing, take your hike, see the views and also function on your tan, however do not miss out on the chance to drink your means with the wineries of midtown Santa Barbara. [1] [2] [7] [8] In the adhering to years the effective relationship along with Moueix ended up being thriving. Large diurnal shifts along with daytime temperatures reaching the top 90 F and also nighttime getting down to 40 F mixed with fog in the south that clears later than the higher altitudes in the north, turnouts completely enriched blackberry and blueberry flavorful Syrah with saucy acidity degrees and also a sleek appearance. Market prices for really good vintages will definitely vary between 1100 and 3500 europeans ($ 1470--$ 4670) a bottle. [6] For a time frame the level was embodied through the relative, [1] [5] however in 1964, JP Moueix got the Lignac portions, [12] and the oenologist Jean-Claude Berrouet became totally associated to Ptrus. When Madame Loubat ended up being the proprietor of Ptrus in the 1940s, she commissioned a brand-new tag for her red or white wine, revealing St. I was actually greater than recognized that a similarity of Hercules was contributed to the Petrus menagerie through Olivier Berrouet as well as Elisabeth Jaubert, along with James Suckling as the official witness for the induction ceremony. wine coolers [9] Located on top of a 20-hectare (49-acre) isle mound, the Ptrus boutonnire or buttonhole, Ptrus' authentic winery possesses top soil and also subsoil high in iron-rich clay-based that contrasts from neighbouring vineyards, where the ground is a combination of gravel-sand or even clay-sand. There are huge grass and beautiful patios where you can sip wine enjoy your surroundings. We recommend a container of their highly well-known Pinot Noir or Syrah. Concerning 35 to 40 percent of development is actually marketed in France, regardless of the sudden decrease in regional usage that has actually steered other developers right into export markets, notably Asia. What occurred next altered the history of Petrus, Pomerol and Bordeaux.
0 notes
Text
Spectreman
Le générique interprété par Richard Dewitte (chanteur du groupe il était une fois, connu pour le titre "J'ai encore révé d'elle") pour la diffusion de la série dans Récré A2 en 1982. mais il existe un 1er générique que l'on retrouve sur les VHS de 1981
Titre: SpectremanInterpréte : Richard DewitteAuteur / Compositeur : Jerry Winn, Jean-Pierre Jaubert ,Bob Todd, Grégory SillÉmission : Récré A2 / Référence : 2 C 008-72537Type de support : Disque vinyleVitesse : 45 toursTaille : 7’’Label : EMI / Antenne 2Année : 1982 Face 1 : Générique Spectreman, Interprète: Richard DewitteFace 2 : Spectreman contre docteur Gori, Interprète: Richard Dewitte En…
View On WordPress
0 notes
Text
Not Known Details About Wine Fridge
Herky Petrus Zoo 2013 300x198 Petrus Pomerol Bordeaux White Wine, The Total Manual. In the greatest olds, the texture is actually various other worldly. I was actually even more than honored that a similarity of Hercules was actually included in the Petrus menagerie by Olivier Berrouet and Elisabeth Jaubert, along with James Suckling as the main witness for the induction service. Due to the shut of the 19th century, Petrus had actually strengthened its own wine as well as their level of popularity remained to expand. chamberswines. Enter Robert Parker. Pinot Noirs are very fragrant (violets, flowers, flavors) with a trace of tasty meat product and a strong construct. Mediterranean climate, warm and pleasant, identified through moderate wintertimes, warm as well as dry out summers months as well as an exceptional sunlight price. Santa Ynez Lowland. This turn of occasions took area along with the 1982 old. Walking in to Saarloos and also Sons experiences like you've been invited over to the next-door neighbor's home. Before ultimately deciding on a red wine club registration, check out the alright print. This premier list is sorted by capabilities, kinds and also budget plan. Dimensions of red or white wine coolers. Shelving. Clearly you prefer your red or white wine cooler to become huge good enough to keep your assortment of red or white wines. Bridlewood is what much of our company presume when our company think of wine sampling. The Fess Parker company is obvious throughout Santa clam Barbara a glass of wine nation. Wine Insiders Review This top-rated checklist is actually sorted through capabilities, kinds and also budget plan. A Listing of the Top 10 Wine Dealers in Los Angeles. We understand that keeping in Santa clam Barbara could be costly. Being actually a sharp consumer, you can use our finest top 10 a glass of wine cooler reviews to know which greatest matches your demands. And indeed, where the declassified extract of Petrus winds up is just one of the most ideal concealed in every of Bordeaux. In 1969, Jean-Franois Moueix, the oldest child of Jean-Pierre, obtained the remaining shares from Mme Lily Lacoste.
0 notes
Text
Pépé le Moko compte quatre cent quarante-neuf plans. Au quatre cent quarante-cinquième, Pépé-Jean Gabin, cadré à travers la grille de fer qui le sépare du bateau qu’il n’a pas pris, sort un couteau de sa poche, l’ouvre et se le plante dans le ventre. Son visage se plisse sous l’effet de la douleur et glisse lentement vers le bas. Il est mort. Le suicide de Jean Gabin sur l’écran du Marivaux, où le film de Duvivier est sorti à la fin de janvier 1937, fait basculer un réalisme qui se cherchait depuis plusieurs années dans une dimension morbide, désespérée, dont le succès jusqu’à la guerre renvoie de la société, de son inconscient collectif une image qui est l’envers, le négatif à la fois de l’optimisme du printemps 1936 et du triomphalisme nationaliste de l’hiver 1938–1939. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
Il était normal que ce soit Duvivier le pessimiste, le Duvivier déjà désenchanté de la vraie fin de La Belle Équipe, qui ouvre la voie. C’est aussi le Duvivier supérieurement habile de La Tête d’un homme. Pépé le Moko est un film noir, au sens où Scarface était un film noir, fondé sur une liturgie de la violence et de la trahison qui n’exprime pas une haute idée de la conscience universelle. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Par la qualité des comédiens et leur direction, par leur mise en place dans l’espace – par la transpiration de Charpin et le bilboquet de Gaston Modot -, le typage des protagonistes et des seconds rôles dépasse la convention d’un genre pour atteindre la poésie des légendes populaires. Une chanson de Fréhel (Ou sont-ils, les amis, les copains ? – ç’aurait pu être une musique de fin pour quelque Belle Équipe, encore) fait éclater l’espace dans le temps dans une grosse bulle de nostalgie. La caméra de Jules Kruger glisse dans les méandres d’un décor chaud et souple, et sombre comme on imagine l’intérieur d’un intestin. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Que la fiction du “détective Ashelbé” dont s’inspire le scénario ait situé l’action de Pépé le Moko dans la casbah d’Alger ne fait pas pour autant du film de Duvivier un moment de ce cinéma colonial. C’est Barthélemy Amengual qui le remarquait : “l’Afrique coloniale” n’y est guère plus historique, plus réaliste, que ne l’est la Grèce de Phèdre ou la Castille du Cid. La casbah reconstruite par Jacques Krauss a la réalité du mythe, pas celle de la géographie. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
On a beaucoup écrit depuis une quarantaine d’années sur le réalisme fantastique de cet avant-guerre. On en a répertorié les figures : la thématique “chienne de vie”, on n’échappe pas à son destin, et l’esthétique : les rues sombres, les ports, les pavés mouillés, la musique triste et belle de Maurice Jaubert, et les mugissements embrumés des sirènes… Ce sont les sirènes des bateaux qu’on ne prend pas, à Alger ou au Havre, puis, après la guerre (car le genre vivra longtemps, de plus en plus convenu, jusqu’à s’épuiser dans les “série noire” des années 1950), à Anvers ou à Hambourg – ou bien les sirènes des usines où on ne travaille plus. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LA BANDERA – Julien Duvivier (1935) – Jean Gabin, Annabella, Robert Le Vigan, Raymond Aimos, Viviane Romance et Pierre Renoir
Le syndrome du réalisme Fantastique relève d’une exégèse clinique. La France déprime. Elle s’angoisse, elle se cogne à une réalité de plus en plus pressante : la guerre, la guerre encore. Elle ne veut pas la voir en face. Elle tente d’exorciser les menaces par un sacrifice. Elle tue Jean Gabin. Plusieurs fois. Et elle trouve une jouissance morbide à ces morts qui sont chaque fois un peu plus la sienne. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LA BANDERA – Julien Duvivier (1935) – Jean Gabin, Annabella, Robert Le Vigan, Raymond Aimos, Viviane Romance et Pierre Renoir
Quai des brumes, Gueule d’amour, Hôtel du Nord, La Bête humaine, Le Jour se lève... Ce n’est certes pas chaque fois le même film. Mais c’est la même désespérance, la même conscience de l’inutilité tragique de la volonté. L’amour est un leurre : il prolonge l’agonie et rend la mort – l’arrachement, l’exclusion – encore plus difficile. Derrière un destin souvent bavard, sinon sentencieux, c’est déjà l’absurde existentialiste qui embrume les pavés du Havre. Roquentin, de La Nausée, y a peut-être croisé Jean Gabin et Michèle Morgan. «T’as de beaux yeux, tu sais », mais les beaux yeux ne sont plus une promesse de bonheur. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LE JOUR SE LÈVE – Marcel Carné (1939) avec Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline Laurent, Arletty
Quai des brumes, tourné dans les premières semaines de 1938, sort le 18 mai. Jacques Prévert en a écrit le scénario et les dialogues à partir d’un roman de Pierre Mac Orlan, dont il transpose l’action dans le temps et dans l’espace : il la situe au Havre (le roman évoquait Montmartre) et dans un contemporain accrédité par l’uniforme de “griffeton” de Jean Gabin, qui apparaît aux premiers plans du film dans le faisceau des phares d’un camion. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
GUEULE D’AMOUR – Jean Grémillon (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, René Lefèvre
C’est dans la France de 1938 que Jean le déserteur aime Nelly qui a de beaux yeux, qu’il essaie de l’arracher à son infâme tuteur Zabel, et qu’il se fait tuer bêtement par un demi-sel humilié. Tout est pourri, il n’y a pas d’amour heureux. Les personnages chaleureux : Panama, le bistrot avec ses rêves de bourlingueur enfermés dans une bouteille, Quart-Vittel, qui ne vit que pour une nuit entre deux draps propres, Michel, le peintre, qui peint les choses derrière les choses, le noyé derrière le nageur, sont des perdants, des morts en sursis. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LE QUAI DES BRUMES – Marcel Carné (1938) – Jean Gabin, Michèle Morgan, Michel Simon, Pierre Brasseur
Prévert n’en est plus à l’utopie coopérative de Lange ni au funambulesque tueur de bouchers de Drôle de drame. La réalité est terrifiante. Son anarchisme noir débouche sur la mort, fatale. Pépé le Moko, protégé par son exotisme et la convention de sa démarche policière, par son concentré de casbah et son détective Ashelbé, avait été bien accueilli dans tous les secteurs de l’opinion. Quai des brumes ne fait pas la même unanimité. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LE QUAI DES BRUMES – Marcel Carné (1938) – Jean Gabin, Michèle Morgan, Michel Simon, Pierre Brasseur
Le 7 juillet 1938, le film de Carné est à l’affiche depuis six semaines, Jean Renoir dialogue avec le public de la Maison de la culture de la rue d’Anjou Le Front populaire est rompu, la Maison de la culture, dont le secrétaire général est Louis Aragon, est sous le contrôle des intellectuels du parti communiste. L’auteur de La Marseillaise, qui est aussi le chroniqueur hebdomadaire de Ce soir (ce même 7 juillet y paraît la première livraison de son “Voyage en auto de Paris à Nice”) fait encore partie de la famille. Marcel Lapierre raconte : « Renoir a dit beaucoup de choses justes touchant les producteurs de films ; les metteurs en scène, les artistes et même les critiques. Un épisode pourtant ne m’a pas plu. C’est quand il a été question de Quai des brumes de Carné. Renoir a dit que ce film était de bonne propagande fasciste. Pourquoi ? Parce qu’il montre des individus tarés, immoraux, malhonnêtes et que, lorsqu’on voit de tels types, on pense immédiatement qu’il faudrait un maître, un dictateur à trique pour remettre de l’ordre là-dedans ». [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LE QUAI DES BRUMES – Marcel Carné (1938) – Jean Gabin, Michèle Morgan, Michel Simon, Pierre Brasseur
Un mois plus tard, Henri Jeanson, qui en juillet 1936 avait publié avec Renoir, dans Commune, le texte à deux voix “Comment on fait un film”, revient sur l’épisode dans un article de La Flèche de Paris (du 12 août 1938), où il oppose un “vrai Renoir”, “compagnon plein de bonne humeur, de franchise et de simplicité”, au “faux Renoir”, “celui de La Marseillaise et du parti à cellules et à oubliettes” . « Pour le faux Renoir du parti communiste, Quai des brumes est un film de propagande fasciste. (…) Le faux Renoir se joint à L’Herbier et à Poirier pour défendre les films roses sur pellicule à la vanille. Quai des brumes, a-t-il proclamé, est un film de propagande fasciste parce que les étrangers qui le verront auront le droit de penser qu’un pays qui produit des types de l’espèce de Gabin ou de Pierre Brasseur est un pays mûr pour la dictature. Et voilà ! Ce raisonnement vaut son pesant de roubles. Le faux Renoir n’oublie jamais qu’il est, avant tout, un agent politique du parti communiste, maquillé en cinéaste. Or le P.C. tient, je ne sais pourquoi, Marcel Carné et Jacques Prévert pour de dangereux trotskistes. Donc Quai des brumes est un crime de haute trahison et il importe de discréditer et Carné et Prévert, en employant les méthodes dégradantes du stalinisme intégral.» [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LA BÊTE HUMAINE de Jean Renoir (1938) avec Jean Gabin, Simone Simon, Fernand Ledoux, Julien Carette.
En 1972, interrogé sur cette controverse, Marcel Carné rappellera que son film avait été méchamment appelé “Le Cul des brèmes”. Carné : « Il a failli y avoir une bagarre entre Prévert et Renoir parce que Renoir avait surnommé de cette façon pas très drôle Quai des brumes et en avait dit que c’était un film fasciste. Prévert lui avait dit : «Si tu recommences à dire que c’est un film fasciste, je te casse la gueule.» Ce à quoi Renoir rétorqua : « Tu sais comment je suis, je voulais seulement dire que les personnages avaient la tripe fasciste.» [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LA BÊTE HUMAINE de Jean Renoir (1938) avec Jean Gabin, Simone Simon, Fernand Ledoux, Julien Carette.
Renoir avait tort. Les personnages de Quai des brumes, comme ceux de La Bête humaine qu’il prépare au moment même où cette polémique un peu vaine – significative aussi des tensions d’une époque où les procès de Moscou partagent la une des journaux avec le procès et l’exécution d’Eugène Weidmann – exaspère la rive gauche, sont simplement défaits. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
GUEULE D’AMOUR – Jean Grémillon (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, René Lefèvre
Renoir adapte Zola. Il transpose un épisode des Rougon-Macquart du second Empire au présent de 1938, mais respecte « le désir de Zola de produire une œuvre qui ait quelque chose à voir avec la fatalité ». Il confie à Jean Gabin le rôle du cheminot miné par une hérédité qui fait de lui un aliéné, à Simone Simon celui de la belle et douce Séverine, « chargée de cette épouvantable enfance de petite fille violée par le riche et odieux Grand-morin ». Ses personnages sont aussi peu libres, aussi agis par des forces qu’ils ne comprennent pas, qu’ils soupçonnent à peine, que ceux de Quai des brumes. L’écriture même de son film, accentuée par les éclairages expressionnistes réglés par Curt Courant, le tire vers cette appréhension morbide de la réalité qu’il condamnait quelques mois plus tôt. La Bête humaine sort à Paris le 23 décembre 1938. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
GUEULE D’AMOUR – Jean Grémillon (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, René Lefèvre
Jean Grémillon, dans des films tournés dans les studios de la U.F.A. berlinoise, fait aussi dans le pessimisme et le “démoralisant”. Gueule d’amour (scénario de Charles Spaak d’après un roman d’André Beucler) est encore, ou déjà (le film est sorti le 15 septembre 1937), l’histoire de la déchéance de Jean Gabin. Fringant sous-officier de spahis au début du film, lentement détruit par une passion pour une femme qui le piétine, écrasé par une fatalité qui remet cette même femme sur son chemin, c’est lui qui tue à la dernière bobine. Mais ce meurtre est aussi un suicide. Quand il a étranglé Madeleine (Mireille Balin), Lucien Bourrache dit “Gueule d’amour” était déjà démoli moralement. C’est un déclassé, une épave, qui disparaît alors vers quelque Légion étrangère. Le gâchis, la chienne de vie. Un an plus tard, L’Étrange Monsieur Victor est l’approche ambiguë d’un salaud, d’une sorte de Zabel toulonnais que l’interprétation de Raimu rend fascinant. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
L’ETRANGE MONSIEUR VICTOR – Jean Grémillon (1938) avec Raimu, Madeleine Renaud, Pierre Blanchar, Viviane Romance et Andrex
Monsieur Victor cache sous son apparence de commerçant respectable une activité de receleur et de chef de bande. C’est aussi un assassin. Monsieur Victor abrite chez lui, à la fois pour le neutraliser et parce qu’il se sent vaguement coupable, un pauvre type qu’il a laissé condamner à sa place et qui revient, évadé, après quelques années de bagne. Tout est noir dans ce film méditerranéen tourné au bord de la Spree… [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
UN CARNET DE BAL (Julien Duvivier, 1937) – Pierre Blanchar, Sylvie
Même déprime dans Carnet de bal de Duvivier (sorti en septembre 1937), suite de sketches construite comme une quête (une jeune femme, veuve, tente de retrouver les galants de son premier bal), qui tourne au procès de toute une génération. Comme l’écrit Raymond Chirat, le « pessimisme du metteur en scène est à son affaire : une mort naturelle en coulisse, deux suicides qu’on évoque, une démente, un épileptique, un père qu’on bafoue, un petit commerçant embourgeoisé et sans espoir, un guide voué aux avalanches, un assassinat, un dominicain, la mesure est comble ». Si on précise que Louis Jouvet, dans ce film qui dut l’essentiel de son durable succès à une interprétation anthologique, est un avocat marron qui a viré au gangstérisme et Pierre Blanchar, halluciné dans le vertige des cadrages obliques, un médecin avorteur en un temps où l��avortement pouvait encore conduire à l’échafaud, en un temps aussi où le natalisme était le dogme de tous les pouvoirs, on mesure la noirceur provocante du discours. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LA FIN DU JOUR – Julien Duvivier (1939) avec Michel Simon, Louis Jouvet, Victor Francen, Madeleine Ozeray et Gabrielle Dorziat
Entrée des artistes de Marc Allégret, en 1938, puis La Fin du jour de Duvivier piétinent le rêve populaire, la fascination du spectacle, le romanesque de la comédie. Dans le petit univers de la bohème parisienne, les apprentis comédiens du cours de Louis Jouvet se déchirent jusqu’au meurtre, ou au suicide. Le cadavre est un vrai cadavre, qui s’écroule sur un plateau de théâtre, la passion de l’une et la folie meurtrière d’un autre ont cassé le jeu. La jeunesse ni la beauté (celle d’Odette Joyeux) ne garantissent plus le succès. La machine à illusions s’est déréglée. De toute façon, ça n’est pas drôle d’être acteur, ça finit mal. Louis Jouvet, Victor Francen, Michel Simon sont les cabots dérisoires de La Fin du jour, échoués dans une maison de retraite où ils dévorent avec une méchanceté construite patiemment de toutes les aigreurs, les humiliations, les bassesses de leurs carrières besogneuses. Jouvet devient fou, Michel Simon meurt en coulisse, Francen, toujours noble, prononce sur sa tombe une oraison funèbre outrageusement flatteuse. Au passage, la vanité sénile de Jouvet a brisé les illusions et la fraîcheur de la jeune serveuse incarnée par Madeleine Ozeray. La malignité gâteuse des vieux comédiens ne laisse rien derrière elle. La Fin du jour sort en avril 1939. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
HÔTEL DU NORD – Marcel Carné (1938) – principaux Annabella, Arletty, Louis Jouvet, Jean-Pierre Aumont, Bernard Blier
Après Quai des brumes, Carné (sans la collaboration de Prévert, remplacé par Henri Jeanson qui venait d’écrire les dialogues de Pépé le Moko, de Carnet de bal et d’Entrée des artistes, dirige Hôtel du Nord, dans un décor de Trauner qui donne une sorte de réalité seconde au quartier du canal Saint-Martin. Le scénario, emprunté à un roman populiste d’Eugène Dabit, est retravaillé par Jean Aurenche et par Henri Jeanson. Il est construit sur le parallèle entre deux couples, Arletty-Louis Jouvet, voués au mal, et Annabella-Jean-Pierre Aumont, dont l’amour vrai ne trouve son sens que dans le suicide : « Notre pauvre bonheur! Nous n’y avons même pas eu droit, ni pour toi ni pour moi. Les inquiétudes, c’est fini pour nous, maintenant. Nous allons trouver le repos, le magnifique repos que nous ne connaîtrions jamais dans la vie.» La désespérance de la situation, la vilenie manipulatrice de Jouvet ne sont pas équilibrées par la bonhomie populaire du petit peuple de l’hôtel. Hôtel du Nord, derrière les mots trop familiers de Jeanson, derrière les numéros trop apprêtés de comédiens gourmands, est encore le film de la fin d’un monde. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
HÔTEL DU NORD – Marcel Carné (1938) – principaux Annabella, Arletty, Louis Jouvet, Jean-Pierre Aumont, Bernard Blier
Pour Le Jour se lève, qui sort le 17 juin 1939 �� il reste tout juste dix semaines de paix anxieuse -, l’équipe Carné-Prévert s’est reconstituée. Avec Trauner, Curt Courant, Maurice Jaubert, avec Jean Gabin, Jules Berry, Arletty, elle donne au genre et au cinéma français un de ses chefs-d’œuvre les moins contestables. Le scénariste Jacques Viot leur a proposé une histoire tout entière construite sur des retours en arrière. Certes le flash-back avait déjà été employé au cinéma, introduit par un carton, par un fondu, par un regard chaviré ou par une musique placés là comme des poteaux indicateurs, mais c’est la première fois en France que ce qui n’était qu’un procédé, qu’un simple artifice de découpage, devient la matière même d’un film. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LE JOUR SE LÈVE – Marcel Carné (1939) avec Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline Laurent, Arletty
Raconté (montré) chronologiquement, Le Jour se lève, serait banalisé, perdrait la dimension tragique qui en a fait l’originalité bouleversante. Le Jour se lève, raconte la destruction d’un homme, d’un homme simple pris au piège, humilié, condamné à mort par un salaud. Il fallait cette architecture rigoureuse, du coup de feu initial du meurtre au coup de feu final du suicide, pour que se mettent en place les mâchoires du piège qui broie Jean Gabin. On ne lui laisse pas une chance. Le combat est inégal, il n’y a pas de justice. Un pouvoir aveugle et brutal vient parachever ce que le cynisme de Valentin-Jules Berry avait commencé : le peloton anonyme des gardes mobiles repousse les ouvriers solidaires et piétine la fragile Jacqueline Laurent. L’ignominie triomphe sur toute la ligne, le mal métaphysique (Valentin) est relayé par le mal historique (les gendarmes casqués). La désespérance de Prévert est aussi une désespérance politique. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
LE JOUR SE LÈVE – Marcel Carné (1939) avec Jean Gabin, Jules Berry, Jacqueline Laurent, Arletty
Dans Le Crime de M. Lange, quand Prévert et Renoir avançaient ensemble, Jules Berry, déjà cauteleux, déjà infâme, était tué d’une balle qui libérait les ouvriers, sauvait la coopérative, et le jury improvisé du bistrot frontalier absolvait l’assassin : René Lefèvre et Florelle pouvaient vivre leur amour. Dans Le Jour se lève, le même meurtre de la même crapule condamne l’assassin à un suicide qui est à la mesure de sa solitude et de son échec, les ouvriers sont exclus du champ par la brutalité d’une charge policière, laissant symboliquement l’espace vidé à un aveugle qui bat le pavé de sa canne blanche en criant qu’il ne comprend pas ce qui se passe. [Jean Pierre Jeancolas – Le Cinéma des français (15 ans d’années trente : 1929 /1944) – Ed. Nouveau Monde (2005)]
Les publications Cliquez sur les images pour accéder aux publications
A voir également…
L’ÂGE D’OR DU CINÉMA FRANÇAIS
LE CINÉMA FRANÇAIS ET LE RÉALISME POÉTIQUE
On a beaucoup écrit depuis une quarantaine d'années sur le réalisme fantastique de cet avant-guerre. On en a répertorié les figures : la thématique "chienne de vie", on n'échappe pas à son destin, et l'esthétique : les rues sombres, les ports, les pavés mouillés, la musique triste et belle de Maurice Jaubert, et les mugissements embrumés des sirènes... Ce sont les sirènes des bateaux qu'on ne prend pas, à Alger ou au Havre, puis, après la guerre (car le genre vivra longtemps, de plus en plus convenu, jusqu'à s'épuiser dans les "série noire" des années 1950), à Anvers ou à Hambourg - ou bien les sirènes des usines où on ne travaille plus. Quai des brumes, Gueule d'amour, Hôtel du Nord, La Bête humaine, Le Jour se lève... Ce n'est certes pas chaque fois le même film. Mais c'est la même désespérance, la même conscience de l'inutilité tragique de la volonté. L’amour est un leurre : il prolonge l'agonie et rend la mort - l'arrachement, l'exclusion - encore plus difficile. [Jean Pierre Jeancolas - Le Cinéma des français (15 ans d'années trente : 1929 /1944) - Ed. Nouveau Monde (2005)] Pépé le Moko compte quatre cent quarante-neuf plans. Au quatre cent quarante-cinquième, Pépé-Jean Gabin, cadré à travers la grille de fer qui le sépare du bateau qu'il n'a pas pris, sort un couteau de sa poche, l'ouvre et se le plante dans le ventre.
#annabella#arletty#jean gabin#Jean Grémillon#jean renoir#jules berry#julien duvivier#louis jouvet#marcel carné#michèle morgan#michel simon#mireille balin#pierre blanchar
0 notes
Text
Dit is pas echt een beest (en daarom houdt het Westen van hem). Ontsnapte prinses ontmaskert haar vader, emir van Dubai, in emotionele video
Mijn vader is de belichaming van het kwaad. Hij is verantwoordelijk voor de dood van zo veel mensen. Zijn imago van familieman is slechts een pr-stunt. Dat zegt prinses Latifa Bint Mohammed Bin Rashid Al Maktoem over haar vader, de emir van Dubai en huidige minister-president van de Verenigde Arabische Emiraten.
En daarom houdt het Westen van hem. De Britse Queen is bijvoorbeeld goed bevriend met de vijfde rijkste man ter wereld, die haar elk jaar ontmoet tijdens de Royal Ascot, het beroemdste paardenrace-evenement ter wereld.
In maart verdween Latifa plotseling van de radar. Ze plaatste een emotionele video waarin ze haar vader ontmaskert.
Urenlang gemarteld
Ze vertelt dat ze niks mag en eigenlijk als gevangene in haar eigen huis leeft. Ze mag al sinds 2000 het land niet uit en wordt continu in de gaten gehouden.
Toen ze in 2002 probeerde te ontsnappen werd ze in opdracht van haar eigen vader jarenlang opgesloten in een gevangenis en vaak urenlang gemarteld.
“Hij wilde mij dood hebben, maar dat is hem niet gelukt,” zegt ze.
Latifa zegt dat ze vaak dagenlang in het donker werd opgesloten, geen schone kleren kreeg en moest slapen op een dun matras dat was doordrenkt met bloed en uitwerpselen.
Bevestigen
“Wij hebben haar identiteit kunnen bevestigen,” zei advocate Radha Stirling tegen de Spaanse krant El Pais.
De organisatie van Stirling, Detained in Dubai, kreeg eerder een dringend verzoek om hulp van een voormalige agent van de Franse geheime dienst, Jean-Pierre Hervé Jaubert.
Hij zei dat hij de prinses hielp om uit het emiraat te ontsnappen. Ze gingen samen met een Finse vriendin aan boord van een jacht met Amerikaanse vlag voor de kust van India.
Ze waren van plan om via Mumbai naar de VS te vluchten, maar daar zijn ze nooit aangekomen. Het jacht werd geënterd door soldaten.
Vijf oorlogsschepen
Jaubert claimt dat ze werden ‘geblinddoekt, geboeid en geslagen’ door soldaten voordat ze werden teruggebracht naar de Verenigde Arabische Emiraten.
Bij de operatie waren maar liefst vijf oorlogsschepen, twee gevechtstoestellen en een helikopter betrokken, aldus Jaubert.
De Fransman werd uiteindelijk weer vrijgelaten, maar hij vermoedt dat Latifa nog altijd vastzit.
Volgestopt met pillen
De Finse vriendin, Tiina Jauhiainem, zei dat de emir ervoor zal zorgen dat de prinses niet zal kunnen communiceren met de buitenwereld.
“Ze wordt volgestopt met pillen, iets wat normaal is in Dubai als ze niet willen dat mensen zich uitspreken,” zei ze.
Bekijk de video hieronder:
youtube
0 notes
Photo
Salle comble pour le lancement du hors-série Les Pyrénées béarnaises en 101 sites et monuments à la villa du pays d’art et d’histoire des Pyrénées béarnaises à Oloron-Sainte-Marie !
0 notes
Text
Proyección: Un viaje a través del cine francés
Proyección: Un viaje a través del cine francés
La tradición cinematográfica en Francia es vasta. Hablamos de todo un siglo de historia que debe ser narrada con detenimiento, y, en Un viaje a través del cine francés (Voyage à travers le cinéma Français, 2016), el cineasta Bertrand Tavernier tomó el tiempo necesario —poco más de tres horas— para llevar a cabo esta retrospectiva del cine de su país, en un documental que será exhibido para concluir la 61 Muestra Internacional de Cine de la Cineteca, este martes 14 de febrero a las 16:00 y 19:30 horas. Tal como lo declaró el también guionista y productor en una entrevista para el diario El País, el filme es "un trabajo de ciudadano y de espía, de explorador y de pintor, de cronista y de aventurero" en el que repasa, de manera sinuosa y con criterios personales, la obra de un grupo selecto de realizadores que han influido en él. No estamos ante un documental convencional, no es un estudio ni un ensayo académico, sino la mirada de un artista que desde siempre ha vivido con el cine. Jean Renoir, Robert Bresson y Jean-Pierre Melville —con quien Tavernier trabajó como asistente— son solo algunos de los autores que tienen un espacio en este homenaje, que el realizador calificó prácticamente como una autobiografía: "Lo que quise hacer es una película que hable de lo que yo siento frente a ciertas películas y además confrontar eso con ciertos recuerdos de adolescencia y juventud". Es tanta la experiencia de Tavernier en la materia que aquí es capaz de narrar, desde su invención, los capítulos más importantes de un cine que abarca todos los estilos, pasando por el melodrama, la comedia y la época cumbre del film noir; además de los momentos más críticos de la industria francesa. La recapitulación que logra es tan personal como extensa: con 582 extractos de 94 películas y más de 750 notas de prensa y documentos consultados, fueron necesarios seis años de investigación y 80 semanas de montaje para finalizar el largometraje. La mayor parte del material fue reunido gracias a la coproducción de las dos compañías más antiguas en Francia: Gaumont y Pathé. Por si fuera poco, una serie de televisión complementaria está en proceso de producción; con 10 episodios de una hora cada uno, el cineasta buscará reivindicar aquellos momentos y autores que no fueron incluidos en el documental. Con este homenaje, el francés pretende ir más allá de los cineastas y darle un lugar a todos aquellos que han contribuido al desarrollo fílmico en su país. Personalidades como el actor Jean Gabin, los músicos Maurice Jaubert y Joseph Kosma o el decorador Alexandre Trauner son también dignos de su admiración. Críticos como Jordan Mintzer de The Hollywood Reporter alaban el filme recopilatorio, señalando que desmiente la idea que popularmente se tiene del cine francés, visto como un arte individualista y autoritario por parte de sus directores. Bertrand Tavernier es tanto cineasta como cinéfilo y no es ajeno a realizar documentales, pues a través de éstos ha tocado temas tan variados como la guerra entre Francia y Argelia en los años cincuenta o el movimiento migratorio en la ciudad de Lyon. Con seis décadas de trayectoria como crítico, guionista y director, un Premio BAFTA y cuatro Palmas de Oro, pocos están calificados como ��l para realizar Un viaje a través del cine francés. FICHA TÉCNICA Un viaje a través del cine francés Francia |2016 |190 min. Título Original: Voyage à travers le cinéma français Director: Bertrand Tavernier Guión: Bertrand Tavernier, con la colaboración de Jean Olle-Laprune y Stéphane Lerouge Fotografía: Color Dir. Fotografía: Jérôme Almeras, Simon Beaufils, Julien Pamart, Camille Clement y Garance Garnier Edición: Guy Lecorne y Marie Deroudille Productor: Frédéric Bourboulon Compañía distribuidora: Cinépolis Distribución Compañía productora: Little Bear, Gaumont, Pathé Production SINOPSIS En la línea de documentales como Un viaje personal con Martin Scorsese a través del cine americano (1995), el realizador francés Bertrand Tavernier nos presenta una aguda y personal aproximación al cine francés a través de las películas, directores, compositores y diálogos que para él se definen como joyas del cine de su país. Los trabajos de Jean Renoir, Claude Sautet, Jean Vigo y Jacques Becker, o de los precursores de la Nueva Ola Francesa como François Truffaut, Jean-Luc Godard y Louis Malle entre otros cineastas famosos, son recopilados con gratitud y afecto en este proyecto en el cual Tavernier inserta una especie de autobiografía fílmica en la cual revela su amor por el cine. Premios y festivales (2016)
Selección Oficial de la sección Cannes Classics. Festival de Cannes. Francia.
Proyección de apertura de la sección Zabaltegi-Tabakalera. Festival de Cine de Donostia-San Sebastián. España.
-
0 notes