#Jean de Gonet
Explore tagged Tumblr posts
Text
Concours "Je filme le métier qui me plaît" : le palmarès 2023
Océane Charret-Godard, Vice-Présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté en charge des lycées, de l’offre de formation, de l’apprentissage et de l’orientation, a présidé la cérémonie de remise des prix régionaux du concours "Je filme le métier qui me plaît", jeudi 15 juin 2023 au cinéma Olympia à Dijon (21-Côte d'Or), aux côtés de Frédéric Poncet, Conseiller régional délégué à l’orientation, et en présence d’Anne Fournier, Présidente d’Euro-France et co-fondatrice du concours national. Le jury, composé de 15 membres, jeunes et experts du monde de l’éducation, de la jeunesse, de l’emploi, de l’insertion, de l’entreprise, des médias et de la communication, était présidé par Aurélie Gonet, voyageuse à vélo et biographe. À travers la déclinaison régionale de ce concours de production vidéo, la Région souhaite aider les jeunes et les moins jeunes à mieux connaître leur environnement économique, les secteurs d’activité, les métiers, permettre aux entrepreneurs de trouver les compétences dont ils auront besoin demain, valoriser le tissu économique local, les métiers qui y sont exercés et les savoir-faire des entreprises. Au niveau régional, 64 films, présentés par des jeunes issus d’établissements d’enseignement (collèges, lycées, CFA, MFR, écoles du supérieur), de structures associatives ou d’accompagnement (missions locales) de Bourgogne-Franche-Comté, étaient en compétition. Les six lauréats régionaux ont été récompensés. Rappelons, qu’au concours national, onze productions vidéo de Bourgogne-Franche-Comté ont été primées au Grand Rex, le 25 mai dernier à Paris. Les lauréats des prix régionaux (récompensés au cinéma Olympia à Dijon) : Clap de bronze : film « Franck, du sport… mais pas que » du collège Olympe de Gouges de Pont-deRoide (25) Clap d’argent : film « Un prof APA… c’est quoi ? » du Point Infos Jeunes de Bourbon-Lancy (71) Clap d’or : film « Au-delà des apparences » du collègue Roland Dorgelès de Longvic (21) Clap de platine : film « La mode change » du lycée professionnel Jean Rostand de Nevers (58) Clap de diamant : film « Des petites mains pour du bon raisin ! » de la mission locale de Tonnerre-Avallon (89) Coup de cœur du jury : film « Métier de Technicien forestier » de la mission locale de l’arrondissement de Dijon (21) Onze films régionaux primés à Paris au Grand Rex, le 25 mai 2023 : Clap d’or : « Tok-tok pour rebondir », par le lycée professionnel Montciel de Lons-le-Saunier (39) Claps d’argent : - « Un prof APA… c’est quoi ? » par le Point Info Jeunes de Bourbon-Lancy (71) - « Logisticien tramway » par le lycée Victor Hugo de Besançon (25) Claps de bronze : - « Le métier de neurologue » par le lycée Victor Hugo de Besançon (25) - « Halte aux idées reçues boulanger-boulangère », par le CFA de Montbéliard (25) - « Des petites mains pour du bon raisin », par la mission locale de Tonnerre-Avallon (89) - « Enseignant au-delà des apparences », par le collège Roland Dorgelès de Longvic (21) Mentions spéciales : - « Créateurs de décors » par l’APOR-Formation à Montceau-les-Mines (71) - « Dessinateur projeteur, un métier de demain », par l’IUT de Chalon-sur-Saône (71) - « Le métier d’horloger », par le lycée Victor Hugo de Besançon (25) - « Ingénieur sportif : la clé de tous les records ! », par l’IUT de Chalon-sur-Saône (71) infos > https://jefilmelemetierquimeplait.tv/region-bourgogne-franche-comte Read the full article
0 notes
Photo
HAPPY 2022!
It is once again, a brand new year. Amidst the insane happenings around the world, I must say, 2021 has been a rather challenging, fulfilling, enlightening and a year filled with immense personal growth. In this new day of the new year, I reflect upon the things that has happened in the past year that has made the future a far brighter and exciting one.
Firstly, my lack of posts on my website is because of a rather personal reason. I am currently in my first year in Graduate school, studying a Masters in Arts for the Conservation of Cultural Relics in the Tainan National University of the Arts. I am now currently based in Taiwan and therefore, will only accept commissions if they can be sent to me via post.
Secondly, the journal I have chosen for 2022, is a homework that was given to me by my dearest teacher and mentor, Mark Cockram. He tasked me (a long time ago) to explore the binding techniques of Jean de Gonet. I decided to use the fish skin parchment I made, paired with a soft plate printed rainbow prints of the fish I used for this parchment: the trout. This was bound sewn on cords, featuring the fish skin parchment on the spine as well as the corners. As fish skin is very translucent, I added coloured paper under the skin to brighten it and to give it variety.
In a Chinese new year greeting “年年有餘”, which translates to “Abundance Every Year”, I look forward to this new year with abundance of love, joy, happiness, opportunities, great health and new knowledge.
Here’s wishing the world, a better future, while I study hard, to become a bookbinder/conservator!
#dddots#dddots Fine Books#Bookbinding#Bookbinder#Singapore Bookbinder#Singapore Bookbinding#Singaporean in Taiwan#Bookbinding Taiwan#Bookbinding Tainan#Jean de Gonet#Jean de Gonet Style#Jean de Gonet Binding#Jean de Gonet Bookbinding#Adelene Koh#Adelene The Bookbinder#Adelene The Book Conservator#Adelene The Explorer#Fish Skin Parchment#Trout Skin Parchment#Parchment
16 notes
·
View notes
Photo
attention roman ci-dessous
1) Julien: l’idée que des hordes de gamines trouvent ce maxi branleur à leur goût me désespère, où va le monde franchement
2) Anisha: je ne sais pas l’encadrer non plus mais elle est un cas d’étude intéressant
avec sa petite voix fragile et son ahurissement permanent, elle se comporte comme une enfant de 8 ans, ce qui me met viscéralement mal à l’aise
d’ailleurs elle a des mimiques et remarques de personnage de dessin animé, comme les enfants qui copient tout ce qu’ils voient à la télé
alors on pourrait croire qu’elle passe juste ses journées à regarder Naruto et qu’elle a oublié d’évoluer
mais le truc c’est que se comporter comme une fillette est un mécanisme de défense, qui incite les autres à ne pas la traiter comme une adulte, sachant que c’est dur-dur d’être adulte
à quel point ce mécanisme (manipulateur) est-il conscientisé et intentionnel dans son fonctionnement?
elle me donne l’impression d’être normale quand elle est sur scène, puis de remettre un masque d’enfant timbrée dès qu’elle en sort, donc où est son authenticité?
—
3) Michael Goldman: ah intéressant que tu vois la similarité avec Jean-Jacques parce que je pense que sa vibe NJ est effectivement palpable
je demandais ton avis parce que moi je le vois INTJ depuis le début, et je me disais que ça ne doit pas être une opinion partagée, vu que son capital sympathie auprès du public et l’archétype du méchant INTJ sont incompatibles
quand je l’ai vu au dernier débrief du prime, alors qu’il faisait des remarques directes/“dures” mais pertinentes, contrairement à Laure qui ne sert à rien, je me suis dit que quelqu’un d’autre allait peut-être envisager TJ pour lui
ce qu’il a dit de la prestation de Léa sur Hot Stuff, comme quoi c’était parfait qu’elle rigole au lieu de jouer la femme fatale, vu que ça correspond à sa personnalité et sa “singularité”, c’était une remarque 1000% correcte, j’ai pensé exactement pareil
—
4) autres saisons recommandées: la saison 1 c’était du grand n’importe quoi, tout le monde était médiocre à part Olivia Ruiz
la Star Ac a été lancée dans la foulée de Loft Story, c’était le début de la télé réalité, et le casting était clairement axé sur cette dimension, d’où la présence de l’inoubliable Jean-Pascal qui se ferait cancelled en une seconde aujourd’hui
je pense que la saison 2 reste la plus culte pour beaucoup de monde, même si le niveau des élèves restait catastrophique
la production tentait désespérément de monter Nolwenn contre Emma alors qu’elles s’entendaient bien et que ça les saoulait qu’on les manipule ainsi
Nolwenn était aussi en drama avec Houcine et le fameux George Alain pour des raisons jamais élucidées (j’ai toujours pensé qu’elle les avait ~friendzonés~ et que la pilule était mal passée chez ces messieurs)
et je ne sais pas si quelqu’un d’autre s’en rappelle, mais la presse people prétendait à l’époque que Nolwenn avait carrément une liaison avec le répétiteur Matthieu Gonet dans le chateau (il a toujours nié mais ma chère mère y croyait)
que de potins, que de souvenirs!
j’ai trouvé la saison 3 sympa aussi, même si je n’ai jamais compris la victoire d’Elodie, qui chantait faux et chialait h24
TF1 la vendait comme une écervelée dévergondée (de façon misogyne bien sûr), donc je pense qu’ils étaient aussi surpris qu’elle gagne au final
le grand moment cette année-là c’est quand Pierre a choisi de ~quitter l’aventure~ en plein prime, après avoir chanté Bohemian Rhapsody, “je m’en vais comme un prince”, entré dans la légende
la saison 4 était courue d’avance, tout le monde savait que Grégory gagnerait dès le premier prime, ce qui me gavait parce que n’aimais pas sa personnalité, mais rip quand même
saisons 5-6-7: je regardais moins, très peu de souvenirs (années où j’ai dû me mettre à bosser un minimum après l’école donc il fallait choisir entre regarder la quotidienne ou réussir le test de math)
saisons 8 etc: rien vu du tout
1 note
·
View note
Photo
La collection Paul Destribats, une bibliothèque d’amateur
Paul Destribats, décédé en 2017, fut un bibliophile passionné par les avant-gardes artistiques du XXe siècle. Il a constitué une extraordinaire collection, en cours de dispersion, où l’on retrouve de grands noms comme Apollinaire, Michaux, Char, Breton, Duchamp, Picasso, Braque, Arp... Si les surréalistes s‘y taillent une part significative, Destribats fut sensible à l’art brut, aux livres des membres du mouvement lettriste, de Cobra ou encore du Pop Art. On y trouve des diamants rares de l’édition de livres d’art, comme ces très petits tirages de l’Alésois Pierre-André Benoît (alias P.A.B.), qui réunissent courts textes inédits - Proust, Satie, Éluard, Valéry - et gravures, dessins, gouaches ou aquarelles - Picasso, Ernst, Picabia - ainsi que des chefs d’œuvre de la reliure, sur lesquels ont travailé Rose Adler, Monique Mathieu, Pierre-Lucien Martin, Georges Leroux, Jean de Gonet ou Alain Lobstein.
Ici, de haut en bas :
Pierre André Benoit et James Guitet. Ce qui vient. [Alès, PAB], 1985. Reliure de Georges Leroux et Martin Mélin, 1993 ;
Marcel Proust. Trois poèmes et un dessin. [Alès], PAB, 1958. Reliure de Pierre-Lucien Martin, 1960 ;
René Char et Georges Braque. Jeanne qu’on brûla verte. [Alès], PAB, 1956. Reliure De Pierre-Lucien Martin, 1960 ;
Max Ernst et Guillaume Tempel. Maximiliana ou l’exercice illégal de l’astronomie. Paris, Le Degré Quarante et Un, 1964. Reliure de Georges Leroux, 1976 ;
André Breton et divers auteurs, EROS - Exposition InteRnatiOnale du Surréalisme 1959-1960. Reliure de Monique Mathieu,1984 ;
Blaise Cendrars et Fernand Léger, La Fin du monde filmée par l’ange N.-D., Paris, Édition de la Sirène, 1919.
#bibliotheque privee#art#paul destribats#bibliophilie#histoire du livre#reliure#andre breton#max ernst#marcel proust#blaise cendrars#fernand leger#rene char#georges braque#georges leroux#monique mathieu#pierre-lucien martin#martin mélin
18 notes
·
View notes
Text
THE DRAGON FISH by Lida Donker. (London) Binding by Jean de Gonet (1946)
#beautiful books#book blog#books books books#book cover#books#vintage books#book binding#art binding
0 notes
Text
MARINETTI, Filippo Tommaso (1876-1944). Zang Tumb Tuuum Adrianopoli Ottobre 1912. Parole in liberta. Milan: Edizioni Futuriste de "Poesia", 1914. In-8 (200 x 135 mm). Typographie de Cesare Cavanna. Un portrait de l'auteur et un tableau dépliant. (Quelques discrètes rousseurs.) RELIURE SIGNÉE J. DE GONET et datée 1989 au contreplat. Veau imprimé, premier plat rouge traversé par une bande rivetée de veau noir poli et gaufré à la façon de certaines tôles d'acier, en gouttière veau noir gaufré "petit carreau", second plat jaune, dos de veau noir gaufré "petit carreau", cousu sur deux lanières marquées de veau noir gaufré "petit carreau", doublure de nubuck rouge ou bleu, couverture (mention imprimée "22e migliceio" sur le second plat) et dos jaune, non rogné, boîte-étui à dos de box noir. ÉDITION ORIGINALE DE CE LIVRE PRÉCURSEUR. Dans l'histoire du XXe siècle, le futurisme, dont Marinetti fut le fondateur, marque la naissance même de l'avant-garde et de notre culture anti-traditionnelle. Fondé en 1909, le mouvement développa une activité internationale qui influença l'évolution des arts et des lettres. Initiateur et théoricien des mots en liberté, instrument adapté au tempérament impétueux et guerrier de Marinetti, très vite le précurseur dépasse le stade de la page poétique pour tenter de créer un livre entier de mots en liberté: Zang Tumb Tuuum. Publié en mars 1914, mais composé entre octobre 1912 et septembre 1913, ce premier livre motlibriste est un roman de montage, dépourvu d'éléments de liaison, utilisant des caractères de typographie différents et occupant la page suivant une nouvelle conception. Apollinaire ne commença ses recherches sur le calligramme que trois mois après la publication de l'ouvrage de Marinetti. INTÉRESSANTE RELIURE DE CRÉATION DE JEAN DE GONET à rapprocher de son Nadja daté de 1989, exposé sous le numéro 113 lors de la rétrospective que lui avait consacrée la Bibliotheca Wittockiana en 1989.
christies.com
1 note
·
View note
Text
Extractos de Buffo y Spalazanni de Rubem Fonseca
Como sabes, no consigo escribir a mano, como deberían escribir todos los escritores, según el idiota de Nabokov.
Sí, es verdad, apenas malgasto tiempo —lo de la esperma es otra cosa— con las mujeres, gasto también dinero, pues soy, como tú, generoso. Por otra parte, la necesidad de dinero es gran propiciadora de las artes.
Yo acababa de publicar Muerte y deporte (Agonía como esencia), atacando la glorificación del deporte competitivo, esa forma de preservación institucionalizada de los impulsos destructivos del hombre, ritual obsceno y belicista, abominable metáfora de la carrera armamentista y de la violencia entre pueblos e individuos.
Su matrimonio, como he dicho, había llegado a aquel punto en que la rutina había llevado al tedio y el tedio a la apatía y la apatía a la ansiedad, y luego a la incomprensión, a la aversión y todo lo demás.
Un suicidio no es un crimen; las discusiones filosóficas sobre el derecho a morir —a favor y en contra— eran, para Guedes, sólo un ejercicio académico. Era inútil amenazar con cualquier pena al suicida. Antiguamente, a los suicidas les cortaban la mano derecha, eran empalados, los arrastraban por la calle con el rostro contra el suelo, les privaban de honras fúnebres; si eran nobles, los declaraban plebeyos, eran degradados, les rompían el escudo, derrocaban sus castillos.
querer vivir es tan extraño como querer morir.
uando un tipo tiene mucho dinero, aún quiere tener más, pero no por lo que pueda comprar con él, pues el consumismo es manía de clase media para abajo. No estoy hablando del nuevo rico. El rico tiene un miedo horrible: empobrecerse súbitamente. Por eso quiere el dinero, no para comprar cosas, sino para atesorar, acumular. La tendencia de todo rico es volverse avaro. Ésa era mi tesis.
El valor de la poesía está en su paradoja; lo que la poesía dice es lo que no se dice.
Nosotros, los escritores, trabajamos con estereotipos verbales; la realidad sólo existe si hay una palabra que la defina.
es que, cuando alguien moría víctima de violencia, se tomaban las providencias oportunas, un muerto siempre es un lío, y algo hay que hacer con él.
Tampoco se denunciaban los hurtos, con excepción de los cometidos en tiendas y despachos, cuando las víctimas tenían interés en el seguro. Realmente, nadie confiaba en la acción de la policía, lo mínimo que se decía de ella es que era ineficaz, violenta y corrupta.
Había cometido el peor de todos los errores: subordinar (y circunscribir) la investigación a una conjetura cuajada de prejuicios.
Nosotros, los escritores, solemos usar seudónimos. Stendhal se llamaba Henry Beyle; el nombre verdadero de Mark Twain era Samuel Langhorne Clemens; Molière era el criptónimo de Jean-Baptiste Poquelin. George Eliot no era ni George ni Eliot ni hombre, era una mujer llamada Evans. ¿Sabe cuál era el nombre de Voltaire? François-Marie Arouet. William Sidney Porter se ocultaba bajo el nombre falso de O. Henry.
»Defoe, Swift, Balzac; puedo pasarme un tiempo inmenso hablando de escritores que fracasaron invirtiendo su dinero o especulando de una manera u otra, equivocadamente.
“Lisiados, tarados, contrahechos, no dan bien en una historia de amor”, dijo mi agente literario. “El último que funcionó fue el jorobado de Notre-Dame”.
las grandes historias de amor vividas por nosotros, los escritores, raramente se escriben. Las historias de amor que pueden ser contadas, son las mediocres
«No me gustó la voz que le pusieron a Burt Reynolds en la película del viernes. ¿Qué pasó con la voz de antes?
Debía de haber pasado una mala noche. Quien ve el rostro no ve las pesadillas.
A veces me gusta decir cosas que decía mi abuela, otras las invento, otras meto una frase del ministro de Hacienda. Mi especialidad es la polisemia.
como Flaubert, odiaba a las mujeres.
Como he dicho ya, había sufrido mucho en las garras de los guardianes de la ley y el orden, fueran guardias, jueces, procuradores, médicos o enfermeros, durante mi internamiento en el Manicomio Judicial. ¿Puede alguien subestimar el tétanos, por ejemplo? Pero me estoy anticipando y sacando las cosas de lugar, y los escritores detestamos la confusión y el desorden. Eso forma parte de nuestra incoherencia esquizoide intrínseca (véase W. Whitman). Rechazamos el caos, pero repudiamos aún más el orden. El escritor debe ser esencialmente un subversivo, y su lenguaje no puede ser ni el lenguaje mistificador del político (y del educador), ni el represivo del gobernante. Nuestro lenguaje debe ser el del no-conformismo, el de la no-falsedad, el de la no-opresión. No queremos poner orden en el caos, como suponen algunos teóricos. Ni siquiera hacer el caos comprensible. Dudamos de todo siempre, incluso de la lógica. El escritor tiene que ser escéptico. Tiene que estar contra la moral y las buenas costumbres. Propercio puede haber tenido el pudor de contar ciertas cosas que sus ojos vieron, pero sabía que la poesía busca su mejor materia en las «malas costumbres» (véase Veyne). La poesía, el arte en fin, trasciende los criterios de utilidad y nocividad, incluso los de comprensibilidad. Todo lenguaje muy inteligible es mentiroso.
—Componer música es más difícil que hacer literatura —dijo el maestro—. Hay
criadas que escriben libros, militares jubilados que escriben libros, mendigos, políticos, atletas, adolescentes perturbados, comerciantes...
—Ladrones y funcionarios del Cuerpo de Aduanas —dije, pensando en Gonet y en Kafka.
—Eso mismo. Biggs —dijo el maestro— publicó un libro.
Recordé una frase de Maugham: it requires intelligence to write a good novel, but not of a very high order. Realmente, bastantes de mis colegas de profesión tienen un nivel intelectual muy bajo, pero no iba a proporcionarle esa munición al maestro. También debe de haber maestros cretinos.
—Y Lo que el viento se llevó lo escribió un ama de casa, bastante vieja, y que en su vida hizo otra cosa —dijo Orion sin disfrazar su agresividad.
Hay gente que no puede oír un teléfono sin sentirse obligado a cogerlo inmediatamente, aunque no sea el suyo. Otra gente corre a abrir la puerta en cuanto oye el timbre. Yo era inmune a este tipo de urgencias. Sabía que la prisa de los otros nunca es la mía.
La cosa más fácil para el escritor es darle al lector lo que el lector quiere, por la simplicísima razón de que el lector no sabe lo que quiere: sabe lo que no quiere, como todo el mundo; y lo que no quiere son cosas muy nuevas, diferentes de lo que está acostumbrado a consumir. Se podría decir que, si el lector sabe que no quiere lo nuevo, sabe, contrario sensu, que quiere, sí, lo viejo, lo conocido, que le permite gozar, menos ansiosamente, del texto.
En Francia, pues el libro será editado en otros países, como ha ocurrido siempre con mis obras, dirán que el libro es una metáfora sobre la violencia del saber; en Alemania, que es una denuncia de los abusos perpetrados por el Homo sapiens contra la naturaleza, y no se olvidarán de decir que es en Brasil, entre todos los países del mundo, donde esos abusos se cometen en escala mayor y más estúpida (véase Selva Amazónica, Pantanal, etc.). En los Estados Unidos definirán el libro como una cruel reflexión sobre la utopía del progreso. La palabra hybris será usada como anatema. Seduciremos al comprador prospectivo agarrándolo por las orejas.
Por un motivo que no quise revelar a los otros huéspedes, acabé cambiando los personajes de la historia y, con ellos, la misma historia. Siempre, desde mis tiempos de colegial, me había interesado Spallanzani. Él fue quien hizo la primera inseminación artificial, en una perra.
Puede que me influyera el violín sonando en medio de la noche. ¿Se imagina qué bonito, pero al mismo tiempo qué siniestro, un violín sonando en la oscuridad? Tuve miedo, ¿sabe?
Escribir es una experiencia penosa, desgastadora, por eso existen entre nosotros, los escritores, tantos alcohólicos, drogadictos, suicidas, misántropos, fugitivos, locos, desgraciados, muertos-jóvenes y viejos gagá.
Las imaginé devorándome. Empezarían primero por la nariz, luego los labios, los labios son carne tierna; luego, una araña más astuta y menor, entraría por la pernera de los pantalones hasta llegarme a las ingles y me devoraría, por este orden, los cojones, los cojones son también carnes tiernas, al menos para las arañas, y el pene... ¡Basta!, pensé, con el pene y los colgajos no se juega.
Mi editor quería un libro gordo, el librero quería un libro gordo, el lector quería un libro gordo (un buen pretexto para comprarlo y no leerlo), las cosas grandes impresionan, la torre Eiffel es horrorosa, pero es grande, y las pirámides no pasan de ser un montón de piedras apiladas por la estupidez faraónica, pero son grandes.
Creo que había decidido que la vida del autor y lo que escribe tienen una relación tan superficial y falsa
TODA novela sufre de una maldición, una principal, entre otras: la de terminar siempre de mala manera. Si esto fuera una novela no podría escapar de la regla y tendría también un remate fallido. (Toda novela termina mal —véase Forster— «porque la trama exige una conclusión: debería existir una convención para la novela que permitiera al novelista dejar de escribir cuando se sintiera confuso o aburrido, terminar el libro antes de que los personajes pierdan vigor, mientras el escritor intenta dar un final satisfactorio a la trama».
El fin horrible del mundo estaba próximo, pero ni los científicos ni los poetas ni los santos hacían nada para evitarlo. La especie tenía sus días contados.
Gustav Janzen nació en Rusia, pero de niño vino al Brasil y se estableció en Santa Catarina. A los trece años construyó su primer violín, probablemente una cosa tosca. No lo sabemos. Trabajaba en ebanistería y, siendo aún muy joven, inició estudios de acústica. Conoció la historia del Stradivarius y decidió construir un violín, una audaz locura de muchacho, que fuese tan bueno como los del gran maestro de Cremona. Durante cincuenta años, Janzen estudió la construcción de los Stradivarius. Vivió durante un tiempo en Canadá, pero no se adaptó al clima frío, y volvió al Brasil y se estableció en Mato Grosso. Dicenque fue al Mato Grosso porque el clima le resultaba bueno para los pulmones, pero hay otra versión que dice que Janzen había descubierto que el suelo del Mato Grosso era el mejor del mundo para secar el barniz del violín; mejor incluso que el de Cremona. La cuestión es que fue en Mato Grosso donde al fin consiguió realizar esa hazaña que famosos constructores de instrumentos habían venido intentando a través de los siglos, sin lograrlo: construir un violín igual al Stradivarius.
Los maridos cornudos tienen un lado patético interesante; la ilusión y la confianza perdidas, la traición sufrida, debían merecer más atención, pero hasta los aficionados como usted los dejan a medio camino.
Uno sólo puede ser considerado un buen escritor cuando consigue: primero, escribir sin inspiración, y, segundo, escribir sólo con la imaginación.
—Tiene cara de rica —dice Minolta.
—¿Cómo es la cara de rica? —pregunté.
—Una mezcla de arrogancia y aburrimiento.
Como los médicos del Brasil confirman que es un esquizofrénico incurable, Roma no tiene más remedio que buscar ayuda en el mundo de la magia, de la macumba, de lo sobrenatural, en el que hay aún más estafadores que en el de los médicos.
Para volverse loco, basta estar sano. Cuanto más sano, mayor tendencia a la locura.
La muerte es siempre sucia, me dijo el médico cuando fui a hablar con él; puede no ser dolorosa, puede incluso no ser humillante, pero siempre es sucia...».
Tal vez sea ése el destino final de todos los papeles escritos: cartas, libros, testamentos, diarios, contratos, escrituras, testimonios... la basura...
Placer no es tal vez la palabra correcta. No era exacto que su muerte me proporcionara placer. Alivio, sí; era eso lo que ansiaba con su muerte. Alivio del miedo.
Súbitamente tuve la revelación melancólica de que aquélla había sido la única época feliz de mi vida. Con gran tristeza percibí toda la dimensión de mi infelicidad desde que me había convertido en adulto. No había hecho más que engañarme, evadirme, a través del sexo y la comida.
El inglés es el latín de los tiempos modernos.
No hablaba con rabia, pero era un tono seco e intimidatorio.
—La peor forma de autoridad —dijo Estrucho—, la más arrogante y disimulada, es la del artista: él juzga, de manera implacable, a quien piensa de manera distinta a él, siempre presentándose como justo e imparcial.
—¿De qué me sirve seguir viviendo si la pilila no me funciona?
—Hay otras cosas importantes —dijo Minolta.
—¿Lo ves? —dije desalentado—. También tú encuentras que me he convertido
en un eunuco.
—Deja de decir tonterías.
—Lo único que nosotros, los hombres, podemos ofrecerle al mundo, es un carajo
tieso. Vosotras en cambio, las mujeres, lo creasteis todo: el fuego, la rueda, la cerámica, la agricultura, la ciudad, el museo, la astronomía, la moda, la cocina, el placer, el arte (véase Mumford). La única cosa que los hombres tenemos, es este mango de escoba. Y yo, ni eso.
los ríos son más bonitos que las montañas porque se mueven, y los caballos más bonitos que los ríos porque se mueven hacia donde quieren, y los hombres, es decir las mujeres, más bonitas que los caballos porque inventan movimientos.
La Muerte eligió para mí una manera sucia, dolorosa y humillante de decir adiós”, dijo Delfina con una sonrisa triste. Pero quería despedirse a su modo y no como la Muerte había decidido.
0 notes
Photo
[ARAGON (LOUIS)]Le Con d'Irène. Sans lieu [Paris, René Bonnel], 1928. In-4 [248 x 198 mm] de 1 frontispice, 85 pp., (1) f. de justification de tirage, 4 planches: demi-veau rouge, lisse en tête et en pied, gaufré “petits carrés” au centre, coutures sur pièces de veau rouge, bords des mors recouverts de bois teinté de rouge rehaussé de picots rouges, sur les plats de veau rouge, quatre colonnes demi-rondes ton sur ton gaufrées “petits carrés”, prolongées en tête et en queue d'une barrette d'ébène, doublures de nubuck taupe, gardes de papier noir, entièrement non rogné, couverture conservée, étui en demi-veau rouge (Jean de Gonet, 1992). Édition originale, clandestine et anonyme, du chef-d'oeuvre érotique de Louis Aragon. Tirage à 150 exemplaires, celui-ci sur vergé d'Arches à la forme (nº 30). Exemplaire de seconde émission. Remarquable suite érotique de 5 eaux-fortes originales hors texte d'André Masson. “Aragon désavoua toujours ce volume clandestin, du moins publiquement, alors qu'en fait il en fut enchanté - «le livre est merveilleux», écrivait-il à Pascal Pia. Les cent cinquante exemplaires de cette édition originale [...] furent vendus en trois mois” (Eros au secret, nº 208). L'ouvrage est, avec Histoire de l'oeil, le plus célèbre de la production des deux compères Pascal Pia et René Bonnel. Superbe reliure décorée en relief de Jean de Gonet. (Dutel, Bibliographie des ouvrages érotiques publiés clandestinement en français entre 1920 et 1970, 1270.)
(via [ARAGON (Louis)])
0 notes
Text
MBTI Typing Index: Celebrities from France, Belgium, Quebec
Célébrités de France, Belgique, Québec
Isabelle ADJANI (INFP)
Chantal AKERMAN (ENFP)
Armande ALTAÏ (INFP)
Christine ANGOT (INTP)
Alexandre ASTIER (ENTP)
Roselyne BACHELOT (ENFJ)
Jean-Pierre BACRI (ENTJ)
Elisabeth BADINTER (ENTJ)
Edouard BAER (ENTP)
Daniel BALAVOINE (ENFP)
René BARJAVEL (INFJ)
Yoshua BENGIO (INTJ)
Michel BERGER (INFJ)
Juliette BINOCHE (ENFP)
Napoléon BONAPARTE (ENTJ)
Pierre BOURDIEU (INTJ)
André BRAHIC (ENTP)
Eric BRUNET (ESTJ)
Carla BRUNI (ISFP)
Albert CAMUS (INTJ)
Alain CHABAT (ENTP)
Coco CHANEL (ESTJ)
Christine and the Queens / Héloïse LETISSIER (INFP)
Hélène CIXOUS (INFJ)
Coeur de Pirate / Béatrice MARTIN (ENFP)
Daniel COHN-BENDIT (ENFP)
Marion COTILLARD (ISFP)
Damso / William KALUBI (ISTP)
Hugues DAYEZ (ENFJ)
Kevin DE BRUYNE (ISTP)
Pierre DE MAERE (ENFP)
Julie DELPY (ENFP)
Antoine DELTOUR (ISTJ)
Claire DENIS (INFP)
Alexandre DESPLAT (INFJ)
Céline DION (ESFJ)
Lou DOILLON (ENFP)
Xavier DOLAN (ENFP)
Arthur DREYFUS (INFP)
Julia DUCOURNAU (ENTJ)
Esther DUFLO (INTP)
Jean DUJARDIN (ESTP)
Eric DUPOND-MORETTI (ESTJ)
Francis DUPUIS-DÉRI (INTJ)
Jacques DUTRONC (ISTP)
Roméo ELVIS (ESTP)
Aurélien ENTHOVEN (INTP)
Sofia ESSAIDI (ESFJ)
Adèle EXARCHOPOULOS (ESFP)
Lara FABIAN (ENFJ)
François FILLON (ISTJ)
Charlotte GAINSBOURG (ISFP)
Serge GAINSBOURG (INTP)
Guillaume GALLIENNE (ENFP)
Carlos GHOSN (ESTJ)
Françoise GILOT (ENTJ)
Jean-Jacques GOLDMAN (INFJ)
Michael GOLDMAN (INTJ)
Michel GONDRY (INFP)
Matthieu GONET (ENFJ)
Eva GREEN (INFP)
Adèle HAENEL (ENFP)
Johnny HALLYDAY (ISTP)
Françoise HARDY (ISFP)
Eden HAZARD (ESTP)
Michel HOUELLEBECQ (INTP)
Victor HUGO (INFJ)
Jenifer / Jenifer BERTOLI (ESFP)
Camélia JORDANA (ENFP)
Étienne KLEIN (INTJ)
Vincent KOMPANY (ISFP)
Christine LAGARDE (ENTJ)
Maxime LE FORESTIER (INFJ)
Marine LE PEN (ESTP)
Rudy LEONET (ENTP)
Julien LEPERS (ESFJ)
Marie LOPEZ (ISFJ)
Fabrice LUCHINI (ENFP)
Romelu LUKAKU (ISTP)
Emmanuel MACRON (ESTJ)
Pio MARMAÏ (ENFP)
Yann MARTELL (INFJ)
Ina MOHALACHE (INTP)
Yann MOIX (ENTP)
Nekfeu / Ken SAMARAS (ISFP)
Amélie NOTHOMB (INFP)
Orelsan / Aurélien COTENTIN (INTP)
Vanessa PARADIS (ISFP)
Valérie PÉCRESSE (ESTJ)
Esther PEREL (ENFJ)
Benoît POELVOORDE (ENFP)
Michel POLNAREFF (INFP)
Barbara PRAVI (ENFP)
Christian QUESADA (ESTJ)
Raphaëlle RICCI (INTJ)
Michel ROCARD (ENTJ)
Michel SARDOU (ESTJ)
Nicolas SARKOZY (ESTJ)
Jean-Paul SARTRE (INTP)
Matthias SCHOENAERTS (ISTP)
Léa SEYDOUX (ISFP)
Leïla SLIMANI (INFJ)
Soko / Stéphanie SOKOLINSKI (ENFP)
Omar SY (ESFP)
Tamino / Tamino FOUAD (ISFP)
6 notes
·
View notes
Text
If you love books like i do there are two aspects that make a book special. First of all there is the design. The combination of Layout and typography making the book stand out from the rest of all other publications….and secondly there is the binding of the book. Here is an aspect in which Jean de Gonet shines. Gonet is considered worldwide as one of the true masters of book binding and this is the reason why there have been special exhibitions on his bookbindings all over Europe. Onme of the very best was at the Bibliotheca Wittockiana in Brussels in 1989. The exhibition showed over 120 special books by Gonet of which all have been published in the outstanding publications which published by the Bibliotheca Wittockiana. The Wittockiana publication is now available at www.ftn-books.com
Jean de Gonet…Relieur If you love books like i do there are two aspects that make a book special. First of all there is the design.
0 notes
Text
MBTI & Musicians
See also: SP and SJ musicians
INFP
Ryan ADAMS Armande ALTAÏ Tori AMOS Fiona APPLE AURORA Julien BAKER BAT FOR LASHES Rostam BATMANGLIJ (Vampire Weekend) Chester BENNINGTON (Linkin Park) BJÖRK James BLAKE Kate BUSH Anna CALVI Nick CAVE CHRISTINE AND THE QUEENS Kurt COBAIN (Nirvana) Jack CONTE Graham COXON (Blur) Ani DIFRANCO Peter DOHERTY (The Libertines) John FRUSCIANTE (Red Hot Chili Peppers) Laura Jane GRACE (Against Me) John GRANT Jonny GREENWOOD (Radiohead) Hildur GUÐNADÓTTIR Aldous HARDING PJ HARVEY Imogen HEAP Keaton HENSON Tyler JOSEPH (Twenty One Pilots) Adrianne LENKER (Big Thief) Lykke LI Tamara LINDEMAN (The Weather Station) LORDE Chris MARTIN (Coldplay) Sinéad O'CONNOR PERFUME GENIUS Michel POLNAREFF Trent REZNOR (Nine Inch Nails) Damien RICE Maggie ROGERS Paul SIMON (Simon & Garfunkel) Nina SIMONE Patti SMITH Salvador SOBRAL Regina SPEKTOR Michael STIPE (R.E.M.) Jeff TWEEDY (Wilco) Sharon VAN ETTEN Florence WELCH (Florence And The Machine) Brian WILSON (Beach Boys) Chelsea WOLFE Thom YORKE (Radiohead)
ENFP
Billie Joe ARMSTRONG (Green Day) Daniel BALAVOINE Emma BLACKERY COEUR DE PIRATE Pierre DE MAERE DODIE Lou DOILLON Girl in red / Marie ULVEN GRIMES Neil HANNON (The Divine Comedy) Matty HEALY (The 1975) Camélia JORDANA Jared LETO (Thirty Seconds To Mars) Patti LUPONE Freddie MERCURY (Queen) Lin-Manuel MIRANDA Tom MORELLO (Rage Against the Machine) Amanda PALMER Barbara PRAVI SIA Tupac SHAKUR SOKO Louis TOMLINSON (One Direction) Brandon URIE (Panic At The Disco) Gerard WAY (My Chemical Romance) Hayley WILLIAMS (Paramore)
INTP
Laurie ANDERSON David BYRNE (Talking Heads) Rivers CUOMO (Weezer) Serge GAINSBOURG José GONZÁLEZ MOBY ORELSAN Alex TURNER (Arctic Monkeys) Bill WURTZ
ENTP
Matthew BELLAMY (Muse) Jack BLACK (Tenacious D) David BOWIE Carrie BROWNSTEIN (Sleater Kinney) Jacob COLLIER Chilly GONZALES Josh HOMME (Queens Of The Stone Age) Ezra KOENIG (Vampire Weekend) John LENNON (The Beatles) Winston MARSHALL (Mumford & Sons) John MAYER Sara QUIN (Tegan and Sara) Tegan QUIN (Tegan and Sara) Frank ZAPPA (Mothers of Invention)
INFJ
Michel BERGER Joep BEVING Andrew BIRD Leonard COHEN Alexandre DESPLAT Brian ENO FEIST Jean-Jacques GOLDMAN Andrew HOZIER Byrne Jewel KILCHER Maxime LE FORESTIER Laura MARLING MORRISSEY (The Smiths) Tim RICE-OXLEY (Keane) ST VINCENT Sufjan STEVENS WEYES BLOOD
ENFJ
BONO (U2) Lara FABIAN Guy GARVEY (Elbow) Matthieu GONET (Star Academy) Josh GROBAN Alanis MORISSETTE Marcus MUMFORD (Mumford & Sons) Leslie ODOM
INTJ
Damon ALBARN (Blur, Gorillaz) Nils FRAHM Stephen SONDHEIM
ENTJ
Noel GALLAGHER (Oasis)
See also: SP and SJ musicians
53 notes
·
View notes
Link
First edition, limited to 111 copies, signed and numbered (12) by PAB. Bound in 1988 by Jean de Gonet, white calf decorated with a printed trellis pattern, large triangular onlays of pink and grey shagreen, multicoloured lettering on crossed onlays.
0 notes