#Jean Négroni

[ozu-teapot]

La Jetée | Chris Marker | 1962

Germano Facetti, Janine Klein, William Klein, Ligia Branice, Jean Négroni

[lobbycards]

Hunter Will Get You (L'Alpagueur), German lobby card. 1976

[cinematokgraph]

La Jetée

[sesiondemadrugada]

Les statues meurent aussi (Ghislain Cloquet, Chris Marker & Alain Resnais, 1953).

[silver-whistle]

Screen/stage representations of Max...

I’ve noticed that generally, when Maximilien has been portrayed on stage and screen, he’s generally played at least a decade too old, and/or usually not nearly handsome enough – usually for ideological reasons. In a visual medium, it’s easier to make viewers dislike a character by making him/her look less attractive than in reality, and vice versa. (In contrast, Danton has been played by Brandauer or Depardieu, and even – on stage – Toby Stephens!)

So under the cut is some picspam of the prettiest better incarnations, with some actual Max for comparison…

So far, I’ve been most impressed by Jean Négroni in La Terreur et la Vertu:

and Christophe Allwright in Robespierre 1789/1989 (bonus point for the specs!):

And although the musical 1789: Les Amants de la Bastille is hardly the most serious of representations, I do think that Sébastien Agius, while darker in colouring, has something of the delicate features.

[thebestbookrecommendations]

The First Fifteen Lives of Harry August - Claire North

Some stories cannot be told in just one lifetime. Harry August is on his deathbed. Again. No matter what he does or the decisions he makes, when death comes, Harry always returns to where he began, a child with all the knowledge of a life he has already lived a dozen times before. Nothing ever changes. Until now. As Harry nears the end of his eleventh life, a little girl appears at his bedside. "I nearly missed you, Doctor August," she says. "I need to send a message." This is the story of what Harry does next, and what he did before, and how he tries to save a past he cannot change and a future he cannot allow.

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3.5/5

[janellefeng]

Voice clip from Jean Négroni as Robespierre in La Terreur et la Vertu (1964).

[elcinelateleymickyandonie]

Odette Joyeux.

Filmografía

Autora

1950 : Le Château du carrefour, Théâtre des Mathurins

1953 : L'Enfant de Marie, Théâtre royal du Parc, Bruselas

Actriz

1933 : Intermezzo, de Jean Giraudoux, escenografía de Louis Jouvet, Teatro de los Campos Elíseos

1934 : Un roi, deux dames et un valet, de François Porché, Teatro de los Campos Elíseos

1935 : Grisou, de Pierre Brasseur, escenografía de René Rocher, Théâtre du Vieux-Colombier

1935 : Dame nature, de André Birabeau, escenografía de Paulette Pax, Théâtre de l'Œuvre

1936 : Le Pélican ou Une étrange famille, de Francis de Croisset a partir de Somerset Maugham, Théâtre des Ambassadeurs

1937 : Altitude 3200, de Julien Luchaire, escenografía de Raymond Rouleau, Théâtre de l'Étoile

1937 : L'Homme qui se donnait la comédie, de Emlyn Williams, escenografía de Pierre Brasseur, Théâtre Antoine

1942 : Sylvie et le Fant��me, de Alfred Adam, escenografía de André Barsacq, Théâtre de l'Atelier

1945 : Au petit bonheur, de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Fred Pasquali, con Jean Marchat, Sophie Desmarets y Gérard Philipe, Théâtre Gramont

1955 : L’Amour fou ou la première surprise, de André Roussin, escenografía del autor, Théâtre de la Madeleine

1959 : Mascarin, de José-André Lacour, escenografía de Jean Négroni, Théâtre Fontaine

1987 : Première Jeunesse, de Christian Giudicelli, escenografía de Jean-Marc Grangier, Théâtre La Bruyère

1930 : Une femme a menti, de Charles de Rochefort

1930 : Le Secret du docteur, de Charles de Rochefort

1931 : Jean de la Lune, de Jean Choux y Michel Simon

1932 : Le Chien jaune, de Jacques Tarride

1933 : Lac aux dames, de Marc Allégret

1935 : Le Chant de l'amour, de Gaston Roudès

1936 : Hélène, de Jean Benoît-Lévy y Marie Epstein

1936 : Valse éternelle, de Max Neufeld

1936 : Une femme qui se partage, de Maurice Cammage

1937 : Trois artilleurs au pensionnat, de René Pujol

1938 : La Glu, de Jean Choux

1938 : Entrée des artistes, de Marc Allégret

1938 : Grisou, de Maurice de Canonge

1938 : Altitude 3200, de Jean Benoît-Lévy y Marie Epstein

1941 : Notre-Dame de la Mouise, de Robert Péguy

1941 : Le Mariage de Chiffon, de Claude Autant-Lara

1942 : Le lit à colonnes, de Roland Tual.

1942 : Lettres d'amour, de Claude Autant-Lara

1943 : Le Baron fantôme, de Serge de Poligny

1943 : Douce, de Claude Autant-Lara

1943 : Échec au roy, de Jean-Paul Paulin

1944 : Les Petites du quai aux fleurs, de Marc Allégret

1945 : Leçon de conduite, de Gilles Grangier

1945 : Messieurs Ludovic, de Jean-Paul Le Chanois

1946 : Sylvie et le Fantôme, de Claude Autant-Lara

1946 : Pour une nuit d'amour, de Edmond T. Gréville

1948 : Scandale, de René Le Hénaff

1949 : Orage d'été, de Jean Gehret

1949 : Dernière heure, édition spéciale, de Maurice de Canonge

1949 : Vedettes en liberté, de Jacques Guillon

1950 : La Ronde, de Max Ophüls

1952 : Saint-Tropez, devoir de vacances, de Paul Paviot

1955 : Si Paris nous était conté, de Sacha Guitry

1956 : La mariée est trop belle, de Pierre Gaspard-Huit - (guionista)

1957 : L'amour est en jeu, de Marc Allégret - (guionista)

1957 : Le naïf aux quarante enfants, de Philippe Agostini - (también guionista)

1958 : Sois belle et tais-toi, de Marc Allégret - (solo adaptación)

1961 : Rencontres, de Philippe Agostini - (guionista)

1964 : Le vrai visage de Thérèse de Lisieux, de Philippe Agostini

1966 : L'Âge heureux (TV)

1967 : La Bonne Peinture (TV, también guionista)

1969 : Une veuve en or, de Michel Audiard - (coguionista)

1971 : La Petite Fille à la recherche du printemps, de Philippe Agostini.

Publicaciones

1941 : Agathe de Nieuil-l'Espoir. Éditions Gallimard. Novela. 292 páginas. Reedición en 1999, éditions du Pont-Neuf (Poitiers), 256 páginas, ISBN 978-2-910351-21-2.

1951 : Coté Jardin - Mémoires d'un rat. Éditions Gallimard. Novela. 217 páginas.

1951 : Le Château du carrefour. Éditions Gallimard. Novela.

1952 : À cœur ouvert. Éditions Gallimard. 234 páginas. Novela.

1954 : La Mariée est trop belle. Editor: Pierre Horay, Colección Pschitt. Novela. 250 páginas. Cubierta ilustrada por Françoise Estacky.

1956 : La Mariée ingénue. Editor: Pierre Horay, Colección Pschitt. Novela. 220 páginas.

1962 : La Porte interdite. Société Nouvelle des Éditions G. P., Colección Rouge et Or. Ilustraciones de Michel Gourlier. 186 páginas.

1964 : On demande secrétaire. Librairie académique Perrin. Novela. 311 páginas.

1966 : L'Âge heureux : le Journal de Delphine. Hachette, Nouvelle Bibliothèque rose.

1967 : Le Monde merveilleux de la danse. Hachette.

1969 : Le Trésor des Hollandais. Hachette, colección Les Grands livres Hachette. Ilustraciones de Philippe Daure.

1969 : Elle a tort Jacinthe de se pencher comme ça. Novela. Éditions Denoël.

1975 : Premiers Pas, Premier Amour. Ariane Éditeur. Novela. 183 páginas.

1977 : L’Âge en fleur, Hachette. 284 páginas.

1977 : Le Beau Monde. Editor: Éditions Albin Michel. Novela.

1990 : Niépce, le troisième Œil, Éditions Ramsay. Ensayo

1994 : Entrée d'une artiste. Éditions Payot, colección Documents. Novela autobiográfica. 401 páginas.

Bibliografía

Françoise Ducout, Séductrices du cinéma français : 1936-1956, Henri Veyrier éditeur, 1978 ISBN 2851991655

Yvan Foucart, Dictionnaire des comédiens français, Mormoiron, Éditions cinéma, 2008, 1185 p. ISBN 9782953113907.

Créditos: Tomado de Wikipedia

https://es.wikipedia.org/wiki/Odette_Joyeux

#HONDURASQUEDATEENCASA

#ELCINELATELEYMICKYANDONIE

[ohkryan]

Ch.Perriand ‘Kasumi-dana’ wall-mounted shelf circa 1958 Manufactured by Négroni and Métal Mueble for Galerie Steph Simon, Paris, France. Jean Prouvé 'Tout bois' chairs circa 1942 Manufactured by Les Etablissements Vauconsant, Saint-Nicolas-de-Port, France, for Les Ateliers Jean Prouvé, Nancy, France. Pierre Jeanneret Zinc-Covered Square Dinning table, model no. PJ-TA-04-A, designed for the cafeterias and administrative buildings, Chandigarh circa 1959

[cadwalladery]

Films seen in 2019

# 225 - La Jetée (Chris Marker, 1962)

[curtadasemana]

"La Jetée" é uma curta-metragem francesa dirigida por Chris Marker em 1962 onde todo o conteúdo visual é composto por imagens fixas, narradas pela suave voz de Jean Négroni. Esta curta é uma brilhante obra de de ficção ciêntifica e é exemplo de que este género pode ser concretizado sem utilizar qualquer tipo efeitos tecnológicos, dando ênfase à exploração de várias temáticas como a política, liberdade, sonhos, memórias, e em geral, a necessidade humana de escapar. Descobre mais no site do blog (link na descrição).

[angelariasdominguez]

§ 2.556. Hasta el último aliento (Jean-Pierre Melville, 1966)

Un puzzle, un rompecabezas, un caleidoscopio, un espejo, un juego de equívocos, un collage que se va completando a medida que se consume el metraje, que, a diferencia de otras cintas, se hace corto. Bien podría construirse una serie alrededor de esta trama, dadas sus derivaciones, aspectos secundarios y vericuetos. Tiene algo seminal, de comienzo, de principio, de empezar un proyecto que va más allá de una mera película. Algo gigantesco. La presentación de los personajes es, sencillamente, magistral. El cabecilla el primero, luego los asesinos, más tarde la chica. Todo ello antes de poner la trama en pie. Todavía, en ese momento, no sabes, ni qué ha ocurrido, ni por qué, ni quién es quién, ni cuáles son sus pretensiones o motivaciones. Obviamente sabes que están todos metidos en el mundo del hampa, y que el fugado de prisión parece ser el cabecilla de la trama.La policía tampoco parece tener escrúpulos, ni estómago.La música de Jazz rodea todo el ambiente, tanto en el club como en los momentos no dialogados. Buena música además.Un blanco y negro con sombras y luces proyectadas a diestro y siniestro.El reparto es extraordinario. Nunca vi a Lino Ventura en un papel tan sólido. Le acompaña Paul Meurisse en el rol del policía, junto con Christine Fabréga, una mujer muy 'francesa', guapa y fina, aunque con una carrera muy corta, no sé muy bien por qué. Les acompaña Raymond Pellegrin, Marcel Bozzuffi, Paul Frankeur, Denis Manuel, Jean Négroni, Jacques Léonard, Régis Outin, Jean-Claude Bercq, y Michel Constantin.Me ha parecido una obra superior, concentrada, cerrada, pétrea. Me ha encantado.

[lasalledesarchives]

Critique Ciné : La Jetée (1962)

Titre : La Jetée

Année : 1962

Réalisateur : Chris Marker

Casting : Davos Hanich et Hélène Châtelain

Format : Court-Métrage

Durée : 28 min

Genre : Drame, Romance, Science-fiction

La Jetée est un court-métrage français sorti en 1962 ou 17 ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale dont les heures les plus sombres hantent et inspirent son réalisateur, le français Chris Marker. Avec Davos Hanich et l’inoubliable Hélène Châtelain, également réalisatrice, cette œuvre cinématographique est considérée comme cultissime par de nombreux cinéphiles.

Qualifié de “roman-photo” par Marker lui-même, il prend la forme d’une succession de photographies en noir et blanc sur lesquelles Jean Négroni pose sa voix profonde pour narrer l’histoire d’un homme “marqué par une image d'enfance.”

Cette uchronie post-apocalyptique se déroule dans un réseau souterrain parcourant la ville de Paris, qui a été détruite par une bombe atomique, lors d’une Troisième Guerre mondiale gagnée par les allemands. D’effrayants scientifiques, qui rappellent les médecins nazis ayant mené d’atroces expérimentations médicales au temps de la Seconde Guerre, souhaitent étudier le voyage dans le temps en se servant de prisonniers comme de cobayes. Notre protagoniste, ou “l’homme dont on raconte l’histoire” comme l’appelle Negroni, a le malheur d’être l’un d’entre eux.

Il va donc se retrouver dans un passé d’avant-guerre aux côtés d’une femme dont le visage le hante depuis sa plus tendre enfance ou encore dans un futur lointain où il aura l’opportunité d’essayer de sauver l’humanité.

Il se retrouvera face à un dilemme : choisir de rester dans le passé, dont la douceur et la joie contrastent avec son présent ou choisir le futur, rempli d'espoir mais dans lequel une lourde responsabilité lui incomberait.

Le format du “photo-roman” se met complètement au service de l’ambiance et du rythme saccadé de l’intrigue dans laquelle l’homme alterne entre phases d’éveil et de songes.

La qualité des photos, tant celle des personnages dont toutes les émotions sont retranscrites à l’écran que celles d’un Paris en ruines sont accompagnées par une bande originale éclectique et d’effets sonores qui ne font qu’accentuer l’angoisse et la sensation d'étouffement du spectateur.

La voix et le ton, distant et descriptif, du narrateur ainsi que le noir et blanc donnent à La Jetée des airs d’archives de guerre, ce qui accentue son réalisme, prouesse particulièrement impressionnante pour une œuvre de science-fiction de cette époque.

L’anonymat des protagonistes qui pourraient être à la fois tout le monde et personne invite le spectateur à se confronter lui-même au dilemme auquel le personnage devra faire face.

L’intrigue courte nous montre par ailleurs, en grande partie grâce aux choix techniques méticuleux du réalisateur, qu’une œuvre de science-fiction peut tout à fait se délester de la commune multitude d’effets spéciaux et de personnages aux destins complexes auquel le genre nous a habitué dans les années qui suivront la sortie de ce classique du cinéma français.

[2fyjblli9]

La Jetée / ラ・ジュテ

france 1962

dir: Chris Marker /クリス・マルケル

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this work reminds me of Kamishibai…

sewing pieces of images and see the “move” in your brain…something like that.

it is easy to bring your memories or images into the world with little information such as Kamishibai.

if you can’t find abundant information, you may reliance on your memories to follow the situation.

it’s more enjoyable.

after watch this film, i felt like i had a dream.

and i lull into that dream.

like trance state as you let the disconnected images, sounds and narration wash over you.

summary of this movie :

ENG (https://www.imdb.com/title/tt0056119/)

J PN(https://ja.wikipedia.org/wiki/%E3%83%A9%E3%83%BB%E3%82%B8%E3%83%A5%E3%83%86)

[ilhankeskin]

La jetée by Chris Marker

The film we will examine this week is a 1962 science fiction movie La Jetee consisting of General photos. The film features actors such as Étienne Becker, Jean Négroni, Hélène Chatelain, and Chris Marker in the director's chair.

The film is about the world that experienced the Third World War. It can be mentioned that it is a dystopian concept in general. After this war with nuclear weapons, people are doomed to live underground. Humanity's only hope is now to invent the time machine. It is aimed to escape the devastating impact of war by going to the past or future.

Perhaps the most special point of the film is that it was created without using video, just by combining photos. The photos are used with such a neat technique that you don't break away from the effect of the film for a second. Even in some Holywood films made with Video, there are episodes in which the viewer can break away from the story. I was very impressed that a film taken in 1962 using black and white photos managed to keep the audience from the story.

In this film, where the Voice-over technique is used, it is necessary to give the narrator his due. He has supported the dystopian environment, which is also quite beautifully reflected in the photos, quite successfully with the way he describes it. In addition, the sounds used in the back also made it quite easy for the viewer to get into the story. The click-click sounds, which are sometimes used, moving along a certain course, disturb the audience within a few minutes and make it easier for them to experience the disturbing atmosphere found in the film.

The ruined, spilled photos of Paris used in the film also give the viewer an incredible experience of the atmosphere of war without showing the war. I think Director Chris Marker, who has been able to experience similar emotions with a few photos, million-dollar battle scenes, should be given the right. This is one of the reasons why the film has been so effective.

It seems that the theme of Love, which is a must for many films, is also processed here. Davis ' Love with the girl in his memory is one of the points that mark the film. Sent back in time, they roam around in ' 60s Paris like lovers. It is also necessary to consider that love scenes are not just love scenes, they contain important messages. Davis's time travel, so he's always going back and forth, makes the good moments they share worthless after a while. Davis has one, no. In the past, in the future, in the present. That makes moments worthless. Apart from that, it is not necessary to say that the atmosphere of the 60s is also beautifully reflected in the love scenes.

As a result, the film has a very high-quality production and is just as successful in communication. It is a work that has already marked the world of movies and pioneered many science fiction films. I couldn't mention it on behalf of not giving spoilers, but it's worth noting that the final scene is also quite sensational.

[thebestbookrecommendations]

Recursion - Blake Crouch

Memory makes reality. That's what NYC cop Barry Sutton is learning, as he investigates the devastating phenomenon the media has dubbed False Memory Syndrome—a mysterious affliction that drives its victims mad with memories of a life they never lived. That's what neuroscientist Helena Smith believes. It's why she's dedicated her life to creating a technology that will let us preserve our most precious memories. If she succeeds, anyone will be able to re-experience a first kiss, the birth of a child, the final moment with a dying parent. As Barry searches for the truth, he comes face to face with an opponent more terrifying than any disease—a force that attacks not just our minds, but the very fabric of the past. And as its effects begin to unmake the world as we know it, only he and Helena, working together, will stand a chance at defeating it. But how can they make a stand when reality itself is shifting and crumbling all around them?

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4/5