#Jean D’Amérique
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#jean d’amérique#Soleil à Coudre#book#literature#Haiti#haitian#That was really hard to read#Poetry#Violence#Storytelling#French#personal
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Argentina's borders
« Atlas des peuples d’Amérique », Jean Sellier, La Découverte, 2006
by cartesdhistoire
In 1853, Argentina adopted a constitution modeled after that of the United States, which combined federalism with presidential governance. However, Buenos Aires did not ratify this constitution and seceded until 1862. It did not become the federal capital until 1880, following its separation from the province.
In the northern regions, territorial expansion was fueled by the War of the Triple Alliance (involving Brazil, Argentina, and Uruguay) against Paraguay between 1864 and 1870. Argentina occupied Misiones (located between the Paraná and Uruguay rivers) in 1868, as well as part of the Chaco (which is now the Argentine province of Formosa).
In the southern territories, expansion occurred at the expense of indigenous peoples who had never been subjugated by the Spaniards and who regularly raided the pampas (the provinces of Buenos Aires and Santa Fe). In 1878–1879, General Julio Roca decisively ended these raids by destroying both the summer camps and winter settlements of the indigenous peoples. This "conquest of the desert" led to the incorporation of 650,000 km² of arable land.
In Patagonia, resistance was not primarily from indigenous peoples, who were few in number, but rather from Chilean territorial ambitions. In 1884, Argentina established a foothold in Ushuaïa (Tierra del Fuego). A British arbitration took place in 1902, resulting in Argentina securing the Atlantic side and Chile obtaining control over the Pacific side.
In the South Atlantic, the Falkland Islands archipelago (which received its name from sailors from Saint-Malo) was uninhabited until 1764 when both the French and English undertook colonization efforts. The French departed the archipelago in 1770, followed by the English in 1774. However, after Argentina established a garrison there in 1820, the English protested, expelled the Argentines in 1832, and declared the islands a crown colony in 1833. By 1900, the archipelago had 2000 inhabitants of British origin. In April 1982, the Argentine armed forces attempted to seize the Falklands, but the English compelled them to surrender in June of the same year.
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"Il suffit alors de présenter comme "réactionnaire" ou "xénophobe" toute volonté de reconnaître la moindre valeur positive aux notions d’identité, d’appartenance ou d’être chez soi – à l’image de celle qui anime par exemple, les mouvements révolutionnaires d’Amérique latine – pour conférer aussitôt à ce processus de dépossession méthodique des paysans les plus pauvres par le capitalisme mondial – que ce soit en Inde, au Brésil ou au Mali – la noble allure d’une croisade "progressiste"."
Jean-Claude Michéa, Notre ennemi, le capital, 2018.
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Du vampire partout, tout le temps
Comme souvent en matière de mythes, les sources sont multiples. Impossible de dégager une origine unique, car la figure du “buveur de sang” est transversale à une myriade de cultures, traverse les âges et les territoires. L’empusa de la mythologie grecque suce le sang d’endormis, et le brahmaräkshasa du culte hindou se nourrit de l’hémoglobine d’innocentes victimes. Suivant le même modus operandi, la légendaire tribu Tagalog frappe aux Philippines, et la horde de navyï des croyances slaves déferle en Europe de l’Est. Ce tandis que le nukekuki, quant à lui, hante la péninsule nippone de ses crocs acérés…
Si les créatures maléfiques un peu trop enclines à la morsure sont légion dans les folklores depuis des millénaires, la popularisation de la figure du vampire telle que nous la connaissons remonte au XVIIe siècle. Pour être précis, le terme émerge en Serbie vers 1725. C’est d’ailleurs précisément du côté turc de ce royaume que, pour l’une des premières fois dans la littérature française, un auteur, Jean-Baptiste Boyer d’Argens, mentionne l’existence du monstre dans son roman, Les Lettres juives (1736). L’association du monstre à la chauve-souris, elle, est l’œuvre du célèbre naturaliste Buffon qui, dans son Histoire Naturelle (1761) lie le terme “vampire” à une espèce d’animal venue d’Amérique du Sud. Et suceuse de sang, bien sûr.
Dans le courant du siècle, le mythe, longtemps décliné sous des formes variables, s’uniformise autour de caractéristiques cardinales. Grosso modo, il se nourrit de sang à la faveur de la Lune pour rester jeune, crèche dans un cercueil et arbore des canines anormalement aiguisées. Cette figure alimente une véritable psychose populaire qui prend, en une certaine mesure, le relais de la chasse aux sorcières dont on estime qu’elle s’achève en Europe aux alentours de 1680. Le nouvel ennemi est donc trouvé.
On le soupçonne de nombreux maux. Partout on le craint, partout on croit le voir. À tel point que durant l’épidémie de peste qui ravage la Prusse orientale en 1710, les autorités mènent souvent des enquêtes sur les cas de “vampirisme” signalés. Jusqu’à ouvrir certains tombeaux. Histoire de vérifier si le défunt y sommeille bien. Sait-on jamais…
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no way in the skin without this bloody embrace — jean d’amérique, translated by conor bracken
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Vendredi 17 janvier 2025
Mariage, vous avez dit mariage !
Septembre 1975.
Je rentre d’Amérique recommandé par la directrice du bureau de Sygma à New York, Éliane Laffont. Après quelques petits reportages d’actualité sur Paris, je propose à l’agence d’aller en Yougoslavie. Que se passera-t-il à la mort du Maréchal Tito, qui tient d’une main de fer le pays. OK de Hubert Henrotte, le directeur et Jean-Pierre Farkas, un ancien de RTL et rédacteur en chef de l’agence.
Je partirais cinq semaines en voiture. L’agence m’avancera l’argent du voyage en espèces !
Au retour, HH, comme on appelait Hubert, récupère direct avant que je puisse les voir les planches contact développées au labo de l’agence, au sous-sol de l’immeuble, et contigu à la salle de projection du cinéma « Le Ranelagh ».
Ce reportage a été mon visa d’entrée dans ce qui était à l’époque l’une des trois agences en A, Gamma, Sipa et Sygma, le trio qui dominait le monde du photojournalisme.
Mariage au mont Avala, près de Belgrade.
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Coopération Burkina-Etats-Unis d’Amérique : Le Premier ministre décline ses priorités à l’ambassadeur Joann Lockard
Coopération Burkina-Etats-Unis d’Amérique : Le Premier ministre décline ses priorités à l’ambassadeur Joann Lockard Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé une audience à l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique au Burkina Faso, Joann Lockard, ce mardi 14 janvier 2025, à Ouagadougou. Les priorités dans le cadre des relations bilatérales entre les deux pays ont été au cœur…
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Interview. Mercosur : « Des copies exactes de nos fromages AOP produites à grande échelle au Brésil »
Alors que la signature du traité Mercosur continue de diviser l’Union européenne, l’ancien président de l'Institut national de l'origine et de la qualité (Inao), le Jurassien Jean-Charles Arnaud, émet de vives inquiétudes quant à la protection de nos fromages d’appellation d’origine, menacés par le géant d’Amérique du Sud.
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Les paquebots rêvent encore - Actu-Juridique
https://justifiable.fr/?p=121 https://justifiable.fr/?p=121 #ActuJuridique #encore #les #paquebots #rêvent Dans les coursives de ce qui fut la base des sous-marins allemands à Saint-Nazaire, le musée « Renversante » a installé un musée-paquebot tentant de faire revivre l’ambiance des transatlantiques. Cette Escale Atlantique est faite pour rêver. C’est en effet à partir de Saint-Nazaire que la Compagnie générale transatlantique exploitait les lignes régulières pour le Mexique et Panama, avec plusieurs escales aux Antilles et aux Caraïbes. La Cunard Line avait choisi Cherbourg comme port d’escale français de sa ligne Southampton-New York. Tandis que les paquebots français partaient du Havre pour New York. De Bordeaux, les Messageries maritimes convoyaient les voyageurs vers l’Amérique du Sud. Nous avons retrouvé une étiquette de bagage de la French Line de la Compagnie générale transatlantique pour un retour de New York à Paris. Nous nous sommes pris à rêver qu’elle aurait appartenu à Paul Morand (1888-1976). Celui-ci fut un globe-trotter infatigable. Ses récits publiés durant l’entre-deux-guerres sont « marqués par sa fascination pour la technologie, le voyage est une course effrénée autour de la planète », dit Halia Koo, auteur d’un essai consacré au Voyage, vitesse et altérité selon Paul Morand et Nicolas Bouvier (Honoré Champion, 2024). Paul Morand faisait partie de la génération des poètes itinérants, incarnant davantage l’excellence de l’écrivain transatlantique : « Nous nous mîmes à dévorer la terre, impatients de la lenteur des paquebots, excités par notre soudaine liberté. » Nous ignorons quelle serait la réaction de « L’homme pressé » face à ces immeubles sur mer qui ont succédé aux paquebots qu’il fréquentait. Il serait certainement horrifié, comme le plus grand nombre de ses contemporains. Nous l’entendons réciter son poème intitulé, Dépression sur l’Atlantique (1927) : « Quelle est douce la route d’Amérique, /même défoncée […] Le navire force la mer et s’avance et de partout dans la coque d’acier on vit au rythme de son titanesque système de propulsion. » Le musée de Nantes a ouvert ses portes sur Une esthétique transatlantique fondée sur l’objet-paquebot en observant son extérieur et son intérieur afin de goûter – ou comprendre – l’expérience du voyage. Si l’entre-deux-guerres a inventé le tourisme grâce aux développements technique et économique. Il fallait séduire un public choisi. Les affiches se succédèrent comme celle de Cassandre (Adolphe Jean-Marie Mouron, 1901-1968), décrivant en quelques traits la force du Normandie. Un exemplaire de cette affiche en premier tirage de 1935 a été adjugé 11 000 €, à Drouot, le 25 janvier 2012 par la maison Tajan. Le musée de Nantes présente une série d’affiches largement influencées par l’Art Déco, comme quelques objets – trop peu – et surtout des peintures. La vision des peintres face aux paquebots, se modifie avec des proues élancées comme avec Jules Lefranc et le Lancement de Normandie (1933), ou des accolements de cheminées et manches à air, comme Paquebot Paris (1921-1922), chez Charles Demuth. En réalité, le paquebot a également contribué à l’évolution de l’architecture et du design intérieur. Le luxe incarné, notamment par le Normandie, étant ici, facteur de progrès. Infos Paquebots, 1913-1942, une esthétique transatlantique Musée de Nantes 10 rue Georges Clemenceau 44000 Nantes Jusqu’au 23 février 2025
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Vendredi 15 novembre 2024
Mémoricide de Philippe de Villiers
C’est le livre politique qu’il faut lire en tête des ventes pendant plusieurs semaines. Car ce livre est un cri d’appel, un cri d’angoisse, un cri d’espérance parce que le diagnostic vital est engagé au sens propre comme au sens figuré. En le complétant par la lecture des déclarations de Philippe de Villiers dans le JDDNews du 23 octobre et sur CNews.
Il nous aura alerté lui aussi avec sa faconde son art oratoire et sa culture.
Le livre commence avec le trou noir de la cérémonie d’ouverture des JO, « un attentat à la mémoire » et le rappel d’un ouvrage précédent Lettre ouverte aux coupeurs de têtes et aux menteurs du bicentenaire.
Puis se poursuit avec la bascule annoncée par Jacquet Attali qui appelait Philippe de Villiers « Le dernier des Mohicans » et indiquait clairement notre avenir avec l’ère post morale, post nationale et post populaire.
On sait comment les États Unis ont traité les Indiens d’Amérique. Certains s’en indignent maintenant que le mal est fait.
Philippe de Villiers dans cette chronique d’un mémoricide, d’une ablation de la mémoire, d’une péremption de nos souvenirs n’attend pas l’issue fatale pour lancer ce cri.
À vous de l’entendre.
Jean-Loup ARNAUD *
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BABY BURGER : La Destination Parfaite à Clichy pour Smash Burgers, Chicken Burgers et Hotdogs
Pour savourer des classiques de la cuisine américaine en France, BABY BURGER à Clichy propose une sélection irrésistible de Smash burgers, Chicken burgers et Hotdogs. Situé au cœur de Clichy, BABY BURGER vous offre une expérience authentique de fast food américain, idéale pour tous les amateurs de burgers et hotdogs.
Smash Burgers : Un Incontournable Délicieux
Les Smash burgers de BABY BURGER sont une spécialité à ne pas manquer. En pressant le steak haché pendant la cuisson, on obtient une croûte croustillante et un cœur juteux, garni de fromage fondant, de laitue, de tomate et d’oignons. Une bouchée suffit pour ressentir l’authenticité d’un véritable restaurant de hamburger américain !
Chicken Burgers : Goût et Croustillant Garantis
Pour une alternative savoureuse, les Chicken burgers de BABY BURGER offrent une combinaison parfaite de croustillant et de tendreté. Avec des filets de poulet croustillants ou grillés et une sauce spéciale, chaque burger est une explosion de saveurs. Une expérience unique de restaurant de fast food au cœur de Clichy !
Hotdogs : Une Saveur Authentique de l’Amérique
Les Hotdogs sont un incontournable de la cuisine américaine, et BABY BURGER sait les préparer à la perfection. Servis avec des garnitures classiques, chaque hotdog est un délice rapide et satisfaisant, parfait pour les petites faims.
Pourquoi Choisir BABY BURGER ?
Avec son ambiance accueillante, son personnel attentif et ses plats savoureux, BABY BURGER se distingue par une expérience unique de restaurant américain en France. Le menu est soigneusement élaboré pour capturer le meilleur de la cuisine fast food américaine.
Résumé
BABY BURGER à Clichy est l’endroit idéal pour savourer de véritables smash burgers, chicken burgers et hotdogs. Si vous êtes en quête d’une expérience de restaurant de hamburger et de restaurant de fast food authentique, rendez-vous chez BABY BURGER pour découvrir un goût d’Amérique en France.
BABY BURGER 27 Bd Jean Jaurès, 92110 Clichy +33 1 55 90 12 67 Map:
Passez chez BABY BURGER et laissez-vous tenter par une expérience unique de restaurant de hamburger américain, au cœur de Clichy !
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Borders of Bolivia
« Atlas des peuples d’Amérique », Jean Sellier, La Découverte, 2006
by cartesdhistoire
In the Atacama Desert, which belongs to Bolivia, local rulers ("caudillos") granted concessions to foreigners. Around 1840–1850, Chileans exploited guano and then discovered nitrates. British and Chilean investors founded the port of Antofagasta in 1868, then established an Anglo-Chilean company in 1872 and constructed a railway. The Atacama effectively became a Chilean colony. When Bolivia threatened to confiscate the assets of the company that refused to pay a tax of 10 centimes per quintal of saltpeter exported, the Chilean navy landed in Antofagasta (February 14, 1879). Chile then declared war on Bolivia and its ally Peru: it was the War of the Pacific from which Chile emerged victorious; it ended on October 20, 1883, with the Treaty of Ancón, and Bolivia lost its maritime access. This loss was finalized in 1904 and 1929 when the Chileans ceded Tacna to Peru. In return, Chile constructed a railway from Arica to La Paz.
The liberals in power at the time attempted to retain Acre: situated in the north, this territory assigned to Bolivia in 1867 had attracted many Brazilians during the Rubber Fever. In 1899, Acre proclaimed its independence. When Bolivian troops dispatched there were defeated, Bolivia ceded the territory to Brazil (Treaty of Petropolis, 1903).
To the southeast, Bolivia claimed territory where, under nominal Paraguayan authority, Argentine companies exploited a wood called "quebracho". Incidents between Bolivia and Paraguay were frequent along the demarcation line in the 1920s. In 1931, President Salamanca broke off diplomatic relations with Paraguay. This led to the Chaco War and Bolivia's defeat; an armistice was negotiated in Buenos Aires in June 1935, and the peace treaty – simply initialed – allocated the coveted territory to Paraguay (1938). The final treaty was signed on April 27, 2009, in Buenos Aires.
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ÉQUITÉ ET JUSTICE
[LÉVITIQUE 19 :15-21]
En septembre 2018, à Dallas, au Texas (États-Unis), Amber Guyger, une blanche policière qui n’était pas en service mais portait encore son uniforme, est entrée dans un appartement qu’elle croyait être le sien mais qui appartenait en réalité à Botham Jean, un noir de 26 ans. Elle a abattu Jean, affirmant qu’elle l’avait pris pour un intrus dans son propre appartement. Au cours du procès, l’accusation a soutenu que les actes de Mme Guyger étaient déraisonnables et négligents et que son recours à la force meurtrière était injustifié. Mme Guyger a été tenue responsable de ses actes et a été condamnée pour meurtre en octobre 2019. L’affaire a retenu l’attention des médias du monde entier et a déclenché des discussions sur les préjugés raciaux, le recours à la force et la responsabilité des forces de l’ordre, en particulier aux États-Unis d’Amérique.
Compte tenu de l’enracinement et de la présence accrue du racisme dans le monde, malgré la prolifération des instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme, le jury qui a traité l’affaire citée plus haut, mérite d’être félicité pour son intrépidité et son impartialité. À l’inverse, les juges, magistrats, avocats et autres responsables occupant divers postes de décision, qui déforment les jugements en faveur des coupables en échange de gratifications matérielles ou autres, devraient se couvrir de honte. La Bible déclare sans équivoque : ‟Ce n’est pas pour une bonne action, c’est pour une mauvaise, que les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l’autorité ? Fais-le bien, et tu auras son approbation” (Romains 13 :3). Les personnes en position d’autorité, qu’elles soient séculières ou spirituelles, doivent donc se rendre compte qu’elles ont l’obligation de ‟ne pas commettre d’injustice dans le jugement”.
Dieu s’est servi d’Israël pour châtier Juda pour son égarement, mais le même Dieu a envoyé un prophète pour mettre en garde Israël contre le risque de dépasser les limites raisonnables en punissant ses frères. Cela signifie qu’il faut être prudent, même lorsque nous nous trouvons dans des positions de pouvoir et d’autorité pour décider du sort de ceux qui s’égarent contre le Seigneur ou qui contreviennent aux règles administratives de l’Église ou aux lois de la nation. Nous devons apprendre à tempérer la justice par la miséricorde. Sinon, nous risquons de nous attirer la réprimande divine.
L’équité et la justice doivent être notre mot d’ordre dans le service divin.
Que l'Éternel le Dieu Tout-Puissant nous protège et nous accorde la grâce de mener une vie de justice et de consécration dans Sa parole au nom puissant de Jésus-Christ 🙏🙏
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How to become a man when your mother and your closed circle have decided otherwise? This is the challenge Guillaume took up. The film recounts Guillaume’s tragicomic battle from the young age of eight, as he adopts the role of a girl then of a homosexual… until, aged 30, he meets the woman who, after his mother, will become the other woman in his life. Beyond this story of a heterosexual coming-out, the film tells the tale of an actor who never stopped loving women, maybe even a little too much. Credits: TheMovieDb. Film Cast: Guillaume: Guillaume Gallienne Babou: Françoise Fabian Le Père: André Marcon Ingeborg: Diane Kruger Paqui: Nanou Garcia Raymund: Götz Otto Tante d’Amérique: Brigitte Catillon Karim: Reda Kateb Tante Polyglote: Carole Brenner Jérémy: Charlie Anson Marc: Xavier Lemaître Appelé militaire (uncredited): Jonathan Louis Amandine: Clémence Thioly Film Crew: Producer: Guillaume Gallienne Director of Photography: Glynn Speeckaert Original Music Composer: Marie-Jeanne Serero Producer: Cyril Colbeau-Justin Screenplay: Claude Mathieu Screenplay: Nicolas Vassiliev Producer: Alice Girard Producer: Jean-Baptiste Dupont Editor: Valérie Deseine Producer: Édouard Weil Production Design: Sylvie Olivé Costume Design: Olivier Bériot Casting: Nathalie Chéron Executive Producer: David Giordano Producer: Sylvain Goldberg Producer: Adrian Politowski Producer: Gilles Waterkeyn Hairstylist: Nathalie Eudier Makeup Artist: Catherine George Makeup Artist: Yolanda Piña Hairstylist: Linda Schwach Sound: Marc-Antoine Beldent Sound Re-Recording Mixer: Olivier Dô Hùu Sound Editor: Loïc Prian Foley Artist: Marie-Jeanne Wyckmans Movie Reviews:
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Expos, jeux, parcs… Quelles activités à faire à Nancy pour moins de 10€ ?
Visites, balades et ateliers : que faire à Nancy et aux alentours pour dix euros maximum par personne ? Voici une liste non-exhaustive de 10 activités proposées dans Nancy et son agglomération.
Nancy regorge d'activités gratuites ou à moindre prix pour passer un bon moment. Photo DR.
Jeux et quiz
La Pépinière : en plus d’être un parc accueillant divers événements, elle possède un mini golf en extérieur. Le parcours de 18 trous est adapté pour les adultes et les enfants. Il est accessible de 13h30 à 17h les lundis, mardi, jeudi et vendredi et de 13h30 à 18h les mercredis, samedi et dimanche. La partie est au prix de 6,90€.
Le kinépolis est un centre qui regroupe un cinéma, des restaurants, une salle d’arcade, mais également un bowling. Avec 24 pistes pour jouer, le bowling peut accueillir un large public. Il est ouvert de 10h à 2h du matin. Les tarifs vont de 5€ à 10€.
En plus de ces nombreuses installations, le kinépolis a mis en place PopQuiz, un jeu de question et de rapidité. Trois à douze personnes, âgées de minimum 8 ans, s’affrontent sur divers thèmes durant 8 manches. Le PopQuiz est ouvert tous les jours. La partie est à partir de 10€.
Visites et balades
Le Jardin botanique Jean-Marie Pelt se situe à Villers-lès-Nancy. Ce sont près de 12 000 espèces réunies dans 25 hectares de jardin et 2500 mètres carrés de serres tropicales. La partie extérieure du parc est accessible gratuitement. La serre est quant à elle payante au prix de 6€ en tarif normal et 3,50€ en tarif réduit. Il est ouvert de 9h à 18h.
L’hôtel particulier Bergeret se situe près de l’hôpital central. Elle est un exemple abouti de l’architecture École de Nancy. De grands noms ont collaboré à sa création : Louis Majorelle, Eugène Vallin, Victor Prouvé, Joseph Janin et Jacques Grüber. La visite est gratuite jusqu’au 31 août 2024. L’hôtel particulier est accessible de 9h à 17h.
Des expositions diverses et variées
Le Musée de l’Aquarium met en place du 13 avril au 24 novembre l’exposition “Mort”. Le musée veut dédramatiser la mort en mettant en scène des animaux face à la mort. Ouverts à tous, les enfants doivent être accompagnés d’un adulte. L’exposition est visible tous les jours sauf le lundi de 9h à 12h et de 14h à 18h. L’entrée est à 6,90€ en tarif normal, 3,50€ en tarif réduit et gratuit pour les scolaires, les étudiants, les enfants et les demandeurs d’emploi.
Le restaurant Chez Henri, rue Saint-Julien, accueille American Pacotille, une exposition de photos de Pauline Corto. Les visiteurs pourront découvrir 26 photographies : “Une parodie d’Amérique aux portes de Nancy.” Elles seront visibles jusqu’au 15 juin de 11h30 à 14h30 et de 18h30 à 21h gratuitement.
L’exposition de peinture Sous l’hégémonie du chant de blé de Camille Tsevetoukhine est visible gratuitement à l’Openspace pop-up rue Stanislas. À travers ces œuvres, l’artiste raconte à la manière d’un conte, la période pré-capitaliste et questionne le réel. L’exposition est présente tous les jours sauf le lundi et le mardi de 14h à 19h jusqu’au 16 juin.
Camille Poirson
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La France en grand vrac (30 juin 2023). « L’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur veut que celui qui veut faire l’ange fait la bête. » Blaise Pascal vient de republier cette pensée sur son compte Twitter, répondant au capitaine de l’équipe de France de football qui avait attribué, la veille, des ailes à celui qui après avoir pris la poudre d’escampette prit une balle dans son bras, qui remonta vers son thorax et le tua. RIP. Nous saurons un jour la vérité, malgré tous ceux qui sont l’opposé des collaborateurs de la vérité, devise de Benoît XVI, citant une épître de Jean. Comme dans Guérilla, du romancier Laurent Obertone, le coup partit et la France s’embrasa, des bouts de France, au rythme des fausses notes déchiffrées par certains depuis longtemps. Peu importe la musique, c’est la partition qui compte. Les émeutiers insurrectionnels se mêlent à la racaille structurelle qui dévalise ses boutiques favorites et la déesse Athena nike rit de ces faux guerriers sur un air de Wagner. McDo brûle et c’est la douche écossaise pour les chantres du « très bien vivre ensemble ». Marseille pâlit d’envie devant Nanterre dont les sièges sociaux sont protégés du siège asocial. « Brigitte, fais les valises, on s’en va! » Roubaix se dévoile et le Conseil d’Etat, phare rallumé par surprise a éteint les ardeurs de son rapporteur public et renvoyé les hidjabeuses au vestiaire dont elles ne sortiront pas affublées de leur soumission à un autre livre que les règles de la FFF, dont l’acronyme sonne comme un code de la Résistance que le bègue de Pau, commissaire au Plan-plan, aurait écorché de stupeur: nous vivons face à face au lieu de vivre ensemble, pour reprendre la formule de notre oncle d’Amérique! Aujourd’hui, je prendrai les transports en commun d’où j’observerai mes concitoyens, point de vue et station d’écoute irremplaçables; car, voyez-vous, n’ayant jamais souhaité apprendre à conduire, je n’ai pas passé le permis, et on ne me trouvera donc pas au volant d’une voiture. Nutrisco et extinguo.
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