#Je suis un autarcique
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~Deux cœurs, Deux mondes~
En 2141, la terre est ravagée par un gaz toxique nommé, "Le gaz mortel" qui a transformé à jamais le monde que tel qu'on connait. Ce gaz est omniprésent dans des zones extérieures des anciennes villes, rendant l'air mortel pour les humains. Invisible à l'œil nu, le gaz tue rapidement ceux qui n'ont pas de masques respiratoires. Il est à l'origine d'une nouvelle race, les géants.
Les humains vivent sous la protection des dômes, coupés du monde extérieur et ses dangers. Les dômes sont autarciques, avec des systèmes complexes pour recycler l'air, l'eau et les autres ressources vitales. Ils vivent sous un contrôle social étouffant.
Ceux qui ont survécu au gaz toxique, ils subissent soit une mort certaine ou une transformation terrible. Leur corps grandit de façon spectaculaire, ils mesurent environ 9 mètres de haut et leurs yeux sont vert émeraude, signe distinctif des géants. Dotés d'une force surhumaine, les géants vivent loin des humains en plein nature. Ils sont perçus, par les humains restants, comme des êtres dangereux et sauvages. Les humains croient que ces géants ne sont que des monstres.
Ou peut-être pas pour certains des humains ?
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Les histoires seront en plusieurs parties, il y aura des plein de personnages en situation.
Les paroles des humains seront en écriture -> Je suis....
Les paroles des géants seront en écriture -> Je suis....
Les genres
Science/Fiction, Romantique, Famille et Amitié
Les histoires peuvent contenir des insultes et un langage grossier.
🍋Les scènes + 18 ans 🍋
Il y aura des passages qui seront présent donc je vous demande de ne pas lire les passages +18 ans ou même si vous êtes gêné par ce genre de lecture.
J'annonce l'alerte au moment de la lecture avec cet émoji 🍋
Je ne suis pas une écrivaine renommée, donc c'est possible qu'il y a des fautes d'orthographe, de grammaire, de conjugaison. Je vous remercie de bien prendre en compte.
L'outil qui m'a beaucoup aidé est ChatGPT, il m'a beaucoup aidé à écrire et bien sûr que j'ai écris car ce IA n'est pas parfait.
Les personnages et l'univers m'appartiennent.
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Polyamour Solitaire
Pour te dire je t’aime, En espérant de ne pas se perdre soi-même, c’est pénible On ne sait pas pourquoi, les êtres s'aiment, Refoulant nos émotions par peur de l’engagement, c’est oppressant L'amour s'en va comme cette eau courante, Impossible de le retenir, c’est laborieux Y a un oiseau dans mon cœur qui veut chanter Au nom de l’amour, c’est yoyoté Avec le temps va, tout s'en va, Tous ses amours d’enfance sauf mon amour pour toi, c’est ardu Moi, je suis comme je suis Impossible de te retenir ni de te laisser, c’est malaisé Or nous promenions notre amour, L’amour égoiste que j’ai, que je ne veux changer, c’est obstiné Un amour éternel pour une heure, Oubliant tout le mal qu’on a causé l’un l’autre ,c’est ubuesque Rien n’est si beau qu’un rêve avant de le réaliser, Sautant par soi-même de cette falaise et tomber dans la réalité, c’est rude Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole, Recommence donc ce cycle d’espoir à trouver la perle rare, c’est stressant On a crié sur les routes Un faux mensonge pour ne pas être seul, c’est odieux La fleur qui ressemble à ton nom Offre des parfums qui m’envoûtent, je faiblis, c’est lamentable Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville, Mes larmes me rendent aveugle, aveugle d’amour, c’est incommode Toujours, toujours tu fuis, Après toi je poursuit, j’arpente, je rampe, c’est torturant Aimer, c'est n'avoir plus droit au soleil, Y compris la lueur d’espoir pour un nous irréalisable, c’est abstrus Il y a dans le cœur de tous les hommes Le besoin de se sentir aimé, convoité, désiré, c’est inflexible Rien ne pourra jamais t'arracher à moi Ontologie personnelle, cher orgueil qui jamais me quittera, c’est rassérénant Et tout ce que vous dites de l'amour, Pour quelqu’un autarcique comme moi, c’est énergisant
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Je suis un autarcique / Sans pectoraux, pas d’avant-garde, s’exclame un metteur en scène.
#Cinéma#Je suis un autarcique#Io sono un autarchico#Nanni Moretti#Fabio Sposini#1976#Luciano Agati#Lorenza Codignola#Simona Frosi#Beniamino Placido
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Alors, comme j’avais tant aimé De Pierre et d’Os, de la même auteure, j’ai lu son premier, Né contente à Oraibi.
Cette fois-ci, on est en Arizona, dans une tribu amérindienne autarcique, celle des Hopis. A priori rien à voir avec les inuits, et pourtant. On voit que ce qui passionne l’auteure, c’est cette dimension intemporelle des peuples qui vivent en marge, avec leurs croyances, leurs rites, leurs vision du monde et du cosmos.
Ici encore, on suit une toute jeune fille depuis le jour de sa naissance, jusqu’à son émancipation.
A dire vrai, je me suis parfois ennuyée. Mais j’ai quand même aimé ce livre, moins que l’autre donc, mais tout de même, j’ai aimé retrouver ce monde clos sur lui même, et pourtant ouvert au ciel, au vent, aux esprits, le soir, après une journée de boulot très réelle et douloureuse de réel, de mille contrariétés modernes. L’ennui même était apaisant. Une paix (propre aux Hopis dit-on) s’est installée en moi à la lecture des pérégrinations de l’héroïne aux prises avec son histoire familiale, la perte de son père, la recherche de sa place dans ce monde codifié.
C’est moins spectaculaire que le récit dense de la jeune inuit, mais c’est tout aussi riche en dépaysement sage et réflexif.
Cette auteure a une curiosité pour l’Autre qui l’honore et qui est totalement réjouissante.
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L'Interdépendance est un empire humain, éparpillé sur des dizaines de systèmes stellaires et relié par un "Flux" (Flow en anglais), des courants substellaires qui permettent de voyager plus vite que la lumière. C'est l'univers dans lequel se déroule The Collapsing Empire, nouvelle série de science-fiction signée John Scalzi et, au titre, on devine qu'il y a un problème.
Ce problème, c'est que le Flux est en passe de se tarir, rendant impossible tout voyage interstellaire à l'horizon de la décennie en cours. Ce qui est un GROS problème quand on considère le nom de l'empire. En effet, aucun des systèmes stellaires n'est autarcique; qui plus est, il ne compte qu'une seule planète habitable: End.
Et, pour ne rien arranger, vu que c'est un empire qui est en place depuis un bon millénaire, personne ne veut croire que la catastrophe arrive. Parce que personne n'y a intérêt, vu que ça signifie à terme la fin de toute civilisation humaine.
The Collapsing Empire suit plusieurs personnages. Il y a d'abord Marce Claremont, physicien et fils d'un des premiers scientifiques à avoir identifié le danger, qui part d'End pour Hub, le monde central, afin de prévenir l'Emperox de ce qui arrive. Puisqu'on en parle, Cardenia Wu, fille illégitime du précédent Emperox, se retrouve sur le trône un peu par hasard, suite à la mort accidentelle du fils de ce dernier.
Et puis il y a Kiva Lagos, fille de la matriarche d'une des grandes guildes, qui se retrouve embringuée dans l'histoire un peu par hasard, mais qui en fait une affaire personnelle (avec moult gros mots) quand un des rejetons de l'ambitieuse Maison Nohamapethan prend son vaisseau pour cible.
Je vous passe les détails des plans tordus, des trahisons et des tentatives d'assassinat multiples et répétées. Disons que c'est assez remuant et que John Scalzi semble beaucoup s'amuser dans cet univers. Les personnages sont hauts en couleur et les situations souvent bien épiques. Au-delà des enjeux (sur lesquels je reviens tout de suite), j'ai souvent beaucoup ri (ou ricané) à la lecture de ce roman.
Ce que j'ai trouvé surtout intéressant dans cet ouvrage, c'est le parallèle que l'on peut faire entre l'histoire de cet empire confronté à une menace naturelle qui pourrait sonner son glas, et notre monde confronté au changement climatique et à l'effondrement de notre biosphère.
On y retrouve les mêmes tentatives pour profiter éhontément du bazar, les mêmes tendances à adopter des théories tordues et scientifiquement infondées, parce qu'elles sont politiquement plus acceptables, et le même déni généralisé. Accompagné par la grande question: que faire pour tenter de sauver ce qui peut l’être, même et surtout si ça signifie abandonner du monde en chemin.
(Après, il semblerait que l'auteur n'avait pas cette idée en tête. Il faut croire que c'est quand même un peu dans l'air.)
Après, on pourrait chouiner sur le fait que l'univers dépeint par Scalzi est quelque peu caricatural, avec son aristocratie impériale accolée à des guildes marchandes toutes-puissantes et un système parlementaire à la complexité byzantine, mais je soupçonne que c'est aussi un peu le but.
L'important, dans cette histoire, n'est pas tant le contexte que les dynamiques de pouvoirs. Il lui manque peut-être une composante réellement "populaire" (ou prolétarienne); on retrouve ici une tendance chez pas mal d'auteurs de ne s'intéresser qu'aux élites.
The Collapsing Empire semble être une trilogie, puisqu'un deuxième tome (The Consuming Fire) est déjà sorti et que le troisième, The Last Emperox, est prévu pour 2020. Pour ma part, ça va etre dur d'attendre: j'ai vraiment beaucoup aimé The Collapsing Empire et il me tarde de lire la suite.
Si vous aimez le space-opera géopolitique à grand spectacle, je vous le recommande fortement.
D'autres avis, plus ou moins enthousiastes, chez Albédo, Blog-O-Livres, Gromovar, Hassan's Stories, entre autres.
L’article <span class='p-name'>“The Collapsing Empire”, de John Scalzi</span> est apparu en premier sur Blog à part.
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