#Jacques Dupin
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“Hiçbir şey söylememek, hiçbir şeyi açığa
vurmamak. Bunu yazmak. Düşmek.
Göktaşı gibi.
Gecenin nasıl yırtıldığını
unutacak tek insan olmak..”
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J’ai cru rejoindre par instants une réalité plus profonde comme un fleuve la mer, occuper un lieu, du moins y accéder de manière furtive, y laisser une empreinte, y voler un tison, un lieu où l’opacité du monde semblait s’ouvrir au ruissellement confondu de la parole, de la lumière et du sang. J’ai cru traverser vivant, les yeux ouverts, le noeud dont je naissais. Une souffrance morne et tolérable, un confort étouffant se trouvaient d’un coup abolis, et justifiés, par l’illumination fixe de quelques mots inespérément accordés. Nous coïncidions hors du temps mais le temps pliait les genoux et si je ne le maîtrisais pas dans sa course, du moins commandais-je alors à ses fulgurantes éclipses… Je l’ai cru. Le battement de l’abîme scandait abusivement l’offrande de rosée au soleil, dehors, sur chaque ronce.
Extrait de "l'embrasure" de Jaques Dupin
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Pour la rage obscène des prisons
d'un doigt trempé dans la merde il trace
sur le mur qui se rapproche
le signe de sa raison, la lettre nue
de sa souveraineté captive
/ Jacques Dupin
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The fire that speaks our language.
Jacques Dupin - 'Mineral Kingdom' (trans. Paul Auster)
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Mai 68 by Joan Miró
May 1968 is a painting by Joan Miró which he created between 1968 and 1973. It is part of the permanent collection of the Fundació Joan Miró in Barcelona. The painting was inspired by the unrest in France in 1968.
*** Jacques Dupin spoke of the circumstances under which the artist made this work:
"May 68, I arrived in Paris to prepare a statement of the Cathedral of Barcelona, I speak with Miró, I showed him my enthusiasm, my anxieties, the game and the challenge of an ambitious spring. He began painting but he did not end until five years later. The spots, scratches, fingerprints and black graphics are evidence of the activity that caused this work."
The paintings of this effervescent period were part of a retrospective exhibition for the seventy-fifth anniversary of the artist, which took place at the Maeght Foundation, the Miró Foundation and Cathedral of Barcelona and Haus der Kunst in Munich.
About May 68 In the spring of 1968 students from the universities of Sorbonne and Nanterre revolted in continuing demonstrations that lasted almost a month and a half. This revolt inspired the workers to strike. It was known as the French May and May 68. Joan Miró sympathized with the movement and made this work, a wall where the vitality and prints are ideal for those events.
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soit, je ne sais rien. je n'ai avancé que dans l'ignorance de tout. ce que je sais, je le dilapide en marchant et je suis au bout du chemin. je ne sais rien. il faut l'écrire...
JACQUES DUPIN
Échancré
P.O.L
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Like an intensification of light, Jacques Dupin, tr. Paul Auster
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The fire that speaks our language.
Jacques Dupin, from “Mineral Kingdom” (trans. Paul Auster)
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Surgir de l'effacement d'une trace illégitime
/ Jacques Dupin
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17 mai 22
478. Codicille au poinçon précédent. Lisant des pages de Ballast de Jacques Dupin, je tombe sur ceci : Ecrire en se gardant du spéculaire, du simulacre, de la déflagration. du glissement…autour des yeux, au fond de l’œil, hors de portée du regard…(“Fragmes“, in “Echancré”). Voilà : hors de portée du regard, pour empêcher le désastre de la disparition d’Eurydice. Le spectacle de l’organiste…
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Gran viento
No pertenecemos sino al sendero de la montaña Que serpentea al sol entre la salvia y el liquen Y se lanza hacia la noche, camino de cresta, Al encuentro de las constelaciones. Acercamos a las cimas La linde de las tierras arables. Las semillas revientan en nuestros puños. Las llamas penetran en nuestros huesos. ¡Que el estiércol venga hasta nosotros sobre espaldas de hombre! ¡Que la viña y el centeno refuten Del volcán su vejez! Los frutos del orgullo, los frutos del basalto Madurarán bajo los golpes Que nos vuelven visibles. La carne padecerá lo que sufrió el ojo, Lo que los lobos no soñaron Antes de bajar al mar.
– Jacques Dupin.
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« Ecrire comme si je n’étais pas moi. Les mots antérieurs : écroulés, dénudés, aspirés par le gouffre. Écrire sans les mots, comme si je naissais. » Jacques Dupin
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