#JE PLEURE DE RIRE
Explore tagged Tumblr posts
randomoranges · 2 years ago
Text
Rewatching episode one and ?????
Did anyone else notice this mug???? With an R????? And it looks like the legs of the R have little?????? Boots????? On it????????
Tumblr media
Did Rei get this for himself???? Did Kazuki get it for him?????? As a joke????? For real???????
I'm crylaughing XD
260 notes · View notes
girafeduvexin · 1 month ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Le tract pour les enfants de la Comédie-Française sur Le Malade imaginaire.
13 notes · View notes
diari0deglierrori · 6 months ago
Text
Rien de tel qu’une bonne vieille crise politique pour refaire sortir l’humouriste qui est en nous, je me délecte de chaque nouveau post sur le french side de tumblr (dans l’ombre, comme à mon habitude, mais soit)
3 notes · View notes
demimoon · 1 year ago
Text
pourquoi personne ne parle du couplet de Deuklo dans l'album des Casseurs ?
genre il est HILARANT MDRRRRRRROAJRKRAJZJEHEHEJ
5 notes · View notes
randomoranges · 1 year ago
Text
BEST. THING. EVER.
I FUCKING ADORE THIS COMIC LAMAO
ALSO ED'S FACE AT THE END
ALL OF THIS. EVERYTHING WAS SCREEN-SHOTABLE.
I FUCKING LOVE THIS IN A VERY SERIOUS WAY XD
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
that's right MORE tales from Ed's Job :) Meet Marvin! and it's been a long time since I did a mayoral cameo i'msorrymr.sohi
won't someone come downtown and meet ed please
did we mention the GIANT SPACE WALL you can touch if you come downtown!?!?!?!?!
Tumblr media
OR THE PRETTY LIGHTS???
Tumblr media
BLEASE!
25 notes · View notes
prosedumonde · 11 months ago
Text
Chez moi, le rire est si proche des larmes ; je pleure souvent lorsque je suis heureuse, et je souris lorsque je suis triste. 
Anne Brontë, Le Manoir de Wildfell Hall (The Tenant of Wildfell Hall)
VO : But smiles and tears are so alike with me; they are neither of them confined to any particular feelings: I often cry when I am happy, and smile when I am sad.
119 notes · View notes
coovieilledentelle · 1 month ago
Text
Tumblr media
"Ce n'est pas n'importe quelle fille, une de celles qu'on rencontre dans un bar et que l'on ramène à la maison. Pas même une de celles qu'on rencontre à l'université, elle devient votre amie et vous finissez par l'épouser.C'est une fille avec un million de cadenas autour d'elle, et beaucoup d'entre eux dont elle ne connaît même pas la clé. Il faut s'asseoir là, avec toute la patience possible, et essayer des combinaisons. Certains n'ont que quelques chiffres et vous passez rapidement au niveau suivant, mais d'autres fois, il vous faut des mois pour déchiffrer un immense code, et juste au moment où vous étiez sur le point d'abandonner... « cliquez ». La serrure s'ouvre et vous vous retrouvez soudain dans une pièce plus grande.Avec elle, tout est une question de temps. Et pour ne pas gâcher les choses avec le temps, bien sûr. Il ne s’agit pas de se rapprocher de la perfection mais de s’éloigner des échecs. Créez la confiance et ne gâchez pas les choses. Démontrez les petites choses jour après jour et oubliez les grandes. Détestez de toute votre âme celui qui vous a rendu incapable de faire confiance à qui que ce soit, mais ne leur laissez pas voir que vous le faites. Gardez tout le bien, rangez le mal. Faites-la beaucoup rire. Écoutez-la quand elle pleure. Embrassez-la peu, mais longtemps. Embrassez-la seulement quand elle va partir. Et regarde-la souvent quand elle ne te voit pas. Travailler en silence sur un projet que personne ne comprend sauf vous. Et encore moins elle.C'est pourquoi il ne faut jamais abandonner, c'est pourquoi la clé est de se reposer. Parce que personne n��a jamais trouvé assez de patience pour s’asseoir et ouvrir la dernière serrure. Et que veux-tu que je te dise : je n'ai rien de mieux à faire et chaque jour j'aime davantage le son de tes clics."—Andrea Menéndez Faya ("Comment conquérir un chat", extrait).
33 notes · View notes
vague-abondage · 4 months ago
Text
Je donnerais la moitié de ma vie à celui qui fait rire un enfant en pleurs.
Et je donnerais l'autre moitié pour conserver la fraîcheur d’une fleur.
Je marcherais mille ans derrière une chanson.
Je traverserais mille vallées aux chemins épineux.
Je naviguerais sur chaque mer déchaînée,
Jusqu’à ce que je recueille le parfum du lilas.
Je suis l’humanité à la taille d'un homme.
Alors, puis-je me reposer
Tandis que le sang pur est versé!
Je chante pour la vie
Car à la vie j'ai dédié tous mes poèmes.
Et mes poèmes sont tout ce que je possède.
Tawfiq Zayyad (Palestine)
17 notes · View notes
aramielles · 2 years ago
Text
LE DERNIER LE DERNIER LE DERNIER
Some memes about La Comédie Française de 1979 à 1983
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
8 notes · View notes
ltalaynareor · 3 months ago
Text
Le poème
Tumblr media
Dans les jardins luxuriants du palais de Jérusalem, Baudouin contemplait tristement la magnifique Alix de Tripoli, l'amie de toujours et amour de sa vie. Ils avaient grandi ensemble, partageant des secrets, des rires et des larmes. Mais le temps était compté pour le jeune roi, sa maladie dévorait peu à peu son corps.
Son cœur lourd, il prit une plume et un parchemin, et commença à écrire un poème pour exprimer son amour pour Alix, l'héritière du comté de Tripoli. Les mots coulaient de sa plume avec une facilité étonnante, son amour pour elle lui donnant une force insoupçonnée. Il décrivait sa beauté, sa grâce, sa gentillesse, tout ce qui faisait d'elle la femme parfaite à ses yeux.
Au loin, Alix observait silencieusement Baudouin, le cœur serré par la peine de le voir souffrir. Elle avait toujours su qu'il était son âme sœur, mais le destin cruel les avait séparés par la maladie. Elle se souvenait de leurs jeux d'enfants, de leurs rires insouciants, de leurs rêves de jeunesse.
Puis, quand Baudouin eut fini son poème, il appela Alix à lui. Elle s'approcha lentement, le regard empli de tendresse et de tristesse. Il lui tendit le parchemin, les yeux brillants de larmes.
"Alix, ma douce Alix, je t'écris ces mots pour te dire combien je t'aime, combien tu as illuminé ma vie. Je sais que mon temps est compté, mais sache que mon amour pour toi ne mourra jamais. Peu importe où je serai, je veillerai sur toi."
Les larmes coulaient sur les joues d'Alix alors qu'elle lisait le poème, son cœur se serrant d'une douleur indicible. Elle savait que bientôt, Baudouin la quitterait pour toujours, emporté par la maladie. Mais elle était reconnaissante d'avoir partagé son existence, d'avoir connu un amour aussi pur et profond.
Baudouin prit alors la main d'Alix dans la sienne, lui offrant un faible sourire. "Ne pleure pas, ma chère Alix. Sois forte, et continue à briller comme tu l'as toujours fait. Je serai toujours à tes côtés, dans ton cœur et dans tes souvenirs."
Ils s'étreignirent alors, se perdant dans un moment de tendresse et de tristesse. Le destin avait peut-être été cruel avec eux, mais leur amour resterait éternel, gravé dans le marbre de l'histoire.
7 notes · View notes
girafeduvexin · 1 year ago
Text
5 notes · View notes
theoppositeofadults · 11 months ago
Text
il y a 3 semaines, je devais appeler mon grand-père pour lui raconter mes premiers jours dans mon nouveau travail mais je suis sortie le soir et je me suis dit que j'appellerais le lendemain au soir
il est mort le lendemain matin.
c'était mon 3ème jour au travail, dans un nouvel environnement où l'accueil avait été moyen et où j'avais du mal à comprendre mon rôle et trouver ma place, et j'étais à peine arrivée que je préparais déjà mon retour.
je devais me mordre la langue et pincer la main pour éviter de fondre en larmes devant chaque personne qui me parlait (heureusement, peu de monde me parlait!), mais j'ai pu rentrer plusieurs jours (avec 10h de trajet pour revenir en france)
l'enterrement était beau, et j'ai passé 4 jours à pleurer, mais aussi à rire et à partager des souvenirs en famille.
sauf que je suis maintenant rentrée et j'ai encore l'impression d'être à contre-courant.
j'ai ce nouveau boulot où j'avais peur d'être incompétente mais c'est presque pire : je n'ai RIEN à faire. je demande dix fois par jour aux gens s'ils veulent que je les aide parce que le boulot sur ma fiche de poste peut être fait en 5h par semaine
et c'est toujours un environnement un peu bizarre : il y a 50 cliques et les gens sont tous plus âgés que moi. même les stagiaires (certains sont à peine plus âgés). ce qui était déjà le cas dans mon ancien boulot mais là-bas, j'étais relativement junior. maintenant, je suis manager - ce qui fait une dynamique intéressante ( = peu de vie sociale)
donc j'ai tout ce temps libre, que j'essaie de meubler comme je peux - je cuisine beaucoup, je deviens une habituée de ma salle de sport, j'ai tout réorganisé mon appartement,....
mais je m'ENNUIE tellement. et je déteste m'ennuyer parce que c'est du temps où je n'ai rien d'autre à faire que de penser ce qui fait que je pleure 2 fois par jour
bref. j'en suis à un point où je me dis : vite, février.
48 notes · View notes
reveusedelanuit · 4 months ago
Text
Mon amour,
Tu es tout pour moi.
Je t'aime.
J'aime la personne que tu es.
J'aime qui je suis à tes côtés.
J'aime cette part de folie en toi qui réveille l'enfant en moi.
J'aime quand tu me prends dans tes bras et que j'ai l'impression d'être toute petite et protégé à l'intérieur de toi.
J'aime ton sourire.
J'aime ton rire, il m'emmène loin au-dessus des nuages, là où le soleil brille.
J'aime aussi tes pleurs, parce qu'ils me montrent à quel point tu me fais confiance pour ne pas avoir peur de me montrer tes faiblesses.
J'aime la personne que je devient à tes côtés.
J'aime ta peau et son odeur, il y a quelque chose de rassurant lorsque je te touche ou te sens.
J'aime entendre ton coeur battre, c'est un son mélodieux.
J'aime quand nous ne sommes pas d'accord, cela nous pousse chacun dans nos retranchements et nous montre que l'on est tout de même capable de s'aimer.
J'aime tout de toi. Et je veux pouvoir t'aimer encore longtemps mon amour.
Ton amoureuse éperdument amoureuse de toi.
11 notes · View notes
jeanchrisosme · 10 months ago
Text
Tout me touche, m'atteint, m'émeut, me submerge, me gonfle. J'ai mal pour moi, pour l'autre. Je ressens. Je pleure pour un rien, je ris facilement. Je sens les odeurs, la tristesse. Je n'ai aucune limite à ressentir. Je m'énerve plus facilement, Je suis à fleur de mots, de peaux, de beaux. Je suis différente. Remplie de poésie. Quelque chose danse en moi. Une lumière me rend bizzare, intouchable, indomptable. J'en demande toujours trop. Je parle pour ne rien dire, parce ce qu'il y a toujours quelque chose à en dire. Je suis empathe. Je décèle ce qu'on ne me dit pas, Je tire les vers du nez. Je respecte le silence, car je le parle couramment. Je suis ainsi. Un peu cabossée, tendre, et émotive. J'ai un orage qui gronde, et un arc en ciel qui brille. Je ressens plus fort, tout ce qui effleure l'autre. Je peux perdre pied. Plus vite, plus violemment que quelqu'un d'une sensibilité normale. La mienne n'est jamais banale. J'ai une petite boule qui bouge en moi. Qui se coince dans ma gorge, fait mal à mes yeux, ou fout le feu dans mon ventre. Je peux ressentir très fort, m'envoler très haut et redescendre brutalement. Je peux éclater en sanglots, et rire aux éclats pour quelque chose qui me fait peur, vibrer, ou vivre. Je vis toujours accrochée à ma boule d'émotion. Elle ne saute pas aux yeux des autres, mais prend toute la place en moi. C'ést ma fragilité. Mon cœur qui bat n'est pas un muscle chez moi, C'est un lieu d'immersion, de rendez vous, de petites morts et de profondeurs inégalées. Et celui qui peut me comprendre, alors seulement celui là, peut m'aimer... Je suis hypersensible.
Cyrielle Soares
16 notes · View notes
poetesse-verte · 6 months ago
Text
Résilience
Encore une nuit, avec corps et esprit en bataille, Une folie me ronge, une douleur sans faille. Réalité mordante, je suis bien réelle, Entre souffrir pour être et fuir ce ciel. Équilibre impossible, sans cesse je suis rongée, Je nage sans souffle, dans l'ombre abandonnée. Lutte infinie vers un horizon lointain, Comment lâcher prise, la peur dans mes mains ? Le cœur bat trop fort, cogne et se balance, Est-ce mal d'aimer jusqu'à l'errance ? Je cherche la paix dans l'acharnement, Sous l'enfer, le monde semble apaisé, pourtant. Seule le soir, le vide m'envahit, Un gouffre me dévore, translucide sans répit. Penses-tu à moi ? Je compte pour toi ? Fatigue hantée par des nuits blanches, je ne m'épargne pas. J'oublie de nourrir ce corps indifférent, Quelles conséquences aux pleurs incessants ? Rivières sur mes joues, suis-je désirable ? Vestige du passé, pitié palpable ? Comme une biche égarée, sans repère, Immobile, je m'enfonce dans la boue, sans lumière. Couple perdu, maison, travail envolés, Direction floue, aveugle, je suis égarée. Rire, sourire à la vie, paraître sereine, Haine cachée, ma vie sans chaînes. Je sombre lentement, mots pénibles à dire, À mes proches, comment m'ouvrir ? Émotions intenses, épuisement grandissant, Peur de moi-même, délire envahissant. Plans pour disparaître, doucement m'évaporer, Libération douce, vers le ciel m'envoler. Mes proches admirent ma résilience, Mais elle me tuera, sans clémence.
Tumblr media
11 notes · View notes
leschosesetlesfantomes · 1 year ago
Text
Jour 3 - Bleu lagon
Ton prénom vient du grec élektron et tu travailles dans un magasin de peinture. Tu me racontes le monde à travers tes nuanciers de couleurs. Le soir de notre rencontre, je porte un pull rose lipstick et une robe outremer. Je te regarde en catimini, tu me regardes en Bleu Lagon. Tout commence ici. Par ton regard qui me voit au-delà. Tu éclates d’un rire blond vénitien qui me fait tomber amoureuse de toi immédiatement et mes mains tremblent un peu quand tu me proposes de rentrer chez toi. Je dis non et je regrette à retardement. Je ne te reverrai plus avant longtemps – il me faudra passer par l’incendie, et il te faudra t’assagir.
5 ans plus tard, tu veux quitter le magasin de peinture pour faire de la comptabilité. Tu es pleine de colères. Tu marches à côté de moi sur des dizaines de kilomètres, tu t’assieds à côté de moi lorsque je travaille, tu m’embrasses devant la télé. Je pleure entre tes mains. Tu me demandes la raison de mes sanglots et je n’arrive pas à te dire que tes couleurs ont disparu.
33 notes · View notes