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Ingénieur Support Android N2
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
#article copié en entier car réservé aux abonnés#rien ne me surprend dans cet article mais ça m'attriste...#racism#upthebaguette#whatthefrance#french side of tumblr#french#en français#maghreb#mena#arabe#islam#muslims
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Avec Hölderlin au XXIe siècle)
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Le foil est une aile positionnée sous un support une coque de bateau ou planche, qui vise à réduire les frottements avec l’eau pour agir sur la vitesse et la stabilité du support grâce à la force de portance. Pour le sport on utilise les termes de Kitefoil, Windfoil, Wingfoil, SUPfoil, Surf-foil et Wakefoil. Une nouveauté pour vous certainement cependant il fut inventé en 1868
L’historique du foil, depuis plus d’un siècle les ingénieurs et architectes navals ont voulu trouver une nouvelle technologie qui permette à un bateau d’augmenter sa vitesse en surélevant la coque au dessus de l’eau. En 1869, Emmanuel Farcot dépose un brevet d’un bateau hérissé de nombreux petits foils le long de la coque afin de diminuer la trainée. A partir de 1894, l’américain William E. Meacham pousse plus loin le concept des foils. Il invente le bateau de 14 pieds détenant le plus vieux record dans ce domaine. En 1960, Thomas Moy adapte trois plans sur un bateau qu’il fera naviguer sur « Grand Surrey Canal », au sud de Londres. En 1976, Eric Tabarly élabore un prototype qui est la genèse du trimaran, après les années 2000, le concept du foil a été créé grâce à l’invention de matériaux plus résistants comme le carbone. De nos jours la notion de foil est très peu connue, mais c’est un concept impressionnant et très convoité par le monde de la navigation. Une nouvelle génération de bateau a été construit comme « l’hydroptère ». Dernièrement, les foils se sont modernisés dans le but de gagner de plus en plus de vitesse
The history of the foil, for more than a century naval engineers and architects have wanted to find a new technology that allows a boat to increase its speed by raising the hull above the water. In 1869, Emmanuel Farcot filed a patent for a boat bristling with numerous small foils along the hull in order to reduce drag. From 1894, the American William E. Meacham pushed the concept of foils further. He invented the 14-foot boat holding the oldest record in this field. In 1960, Thomas Moy adapted three plans for a boat that he would sail on the "Grand Surrey Canal", south of London. In 1976, Eric Tabarly developed a prototype which was the genesis of the trimaran, after the 2000s, the concept of the foil was created thanks to the invention of more resistant materials such as carbon. Nowadays the concept of foil is very little known, but it is an impressive concept and very coveted by the world of navigation. A new generation of boat was built as the “hydrofoil”. Lately, foils have been modernized in order to gain more and more speed
Le projet de Tanguy le Bihan sur l'hybride foiling. Dès lors une découverte et peut-être un essai sur le Lac d'Annecy
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Décembre 2012 mon aventure commence sur Gw2, je crée un rodeuse humaine du nom de Dystopiä.
11 ans plus tard, mon personnage a bien changé
Aujourd'hui, j'ai 33 personnages, 16 explorations de la tyrie (carte du jeu de base). Une 10 aines de légendaire.
Puis un Nécro asura du nom de Grëns qui deviendra mon main.
11 ans plus tard il a la coupe Punk ^^
Puis une élémentaliste humaine du nm de Dizzy witch
Mais qui a entre temps changé de nom, elle s'appelle Dizzy Jólakotturin mon perso spécial Noël, je vous laisse deviner pourquoi.
Mon envout asura du nom de Noïsiä, comme les dj Neerlandais
OMG avec la vieille arche du lion en fond ^^
Un ingénieur sylvari qui me servira de banque ^^ avec un objectif avoir un DK dans son nom Daïchiro Kazama très influencé par Tekken.
Ensuite y a eut la rencontre de celui qui est mon mari aujourd'hui motard qui inspirera mon envoût' humaine, Kawa Zaki
Elle a changé +10 fois de couleur de cheveux ! (sachant que c'est au moins 10-15€ le kit)
Blonde
BLUE
Puis rouge sang
Puis PINK avec sa première légendaire Crépuscule
de nouveau blonde !
Elle sera mon main en Raid.
Sans oublier Ilda de Polaris influencé par Saint Seya, qui reste à l'arche du lion une ville dans laquelle on peut faire des métiers pour y craft des items.
Très rôle play en blanc !
Ensuite j'ai voulu test voleur j'ai detesté mais gardé pour l'explo.
La rose à des épines sentait les qu'il disait
Boblard, tu m'as tellement fait chier avec ça que je voulais créer une sylvari guard
Personnage créer en duo avec mon mari Kaitlyn Clockwork et sa soeur Melissa Clockwork
Aujourd'hui, elle est mon Main support en Mcm (désolé pour les termes geek)
J'ai créé Jónsi mon Guard magnifique
et Arya Stark de Game Of Thrones en mode revenenante
Hryggjarsulana qui ressemble fortement à Lorena Krasiki dans true blood
Pour finir mes deux mains Elementaliste
Hinrinika Vatnajökulll
et Majiraru Sæglópur
Ma largos avec ses congénères !
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“[…] nous commençons à avoir une vague idée du type de guerre non militaire qui pourrait être menée par un autre type de combattant non professionnel. Cet individu n’est ni un hacker au sens général du terme ni un membre d’une organisation quasi-militaire. C’est peut-être un analyste système ou un ingénieur informaticien, ou un spéculateur en Bourse, ou encore un financier disposant d’une grande quantité de capitaux flottants. C’est peut-être même un magnat des médias contrôlant une grande variété de supports, un éditorialiste célèbre ou l’animateur d’une émission télévisée. Contrairement aux terroristes aveugles et inhumains, il est fermement attaché à une certaine philosophie de la vie et sa foi ne le cède en rien à celle de Ben Laden en terme de fanatisme. De plus, il ne manque pas de motivation ou de courage pour engager le combat quand c’est nécessaire. Selon ces critères, qui pourrait dire que Georges Soros n’est pas un terroriste financier ?”
Qiao Liang, Wang Xiangsui, La guerre hors limites, trad. Hervé Denès, 2006.
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Le RPF applaudit le retour de Trump
Trump est revenu, avec parmi ses supports le plus impressionnant homme d’affaire / ingénieur / innovateur / « disrupteur » du monde : Elon Musk. Donald Trump est élu 47ème Président des USA dans un « Come Back » qui tient de l’exploit. Le vote conservateur pro-Trump est stupéfiant d’intensité, le candidat gagnant même le vote populaire, une première depuis 2004 pour le Parti républicain. Continue…
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Photo: Gilles Simon C’est un moment d’exception pour les mélomanes de la région : Stéphanie Geiser, alias Eyna, l’artiste au parcours musical riche et varié, annonce la sortie de son premier album solo "Ose" prévu pour Noël 2024. Originaire de Val-de-Travers, Eyna a dédié les trois dernières décennies de sa vie à la musique, faisant vibrer les scènes locales avec sa voix puissante et son amour pour le rock français. Une passion dévorante pour la musique Maman de trois enfants, Stéphanie a su jongler entre sa vie familiale et sa passion pour la musique. Dès 1994, elle a fait ses débuts en tant que chanteuse du groupe Naphtaline, dans la mythique usine Stoppani1 à Travers, berceau de nombreux artistes vallonniers. En 1995, elle a intégré le groupe Britannicus System (BS), suivi de son adhésion en 1996 au groupe 2 Pièces Cuisine, où elle a exploré la musique française à textes. De 1997 à 2007, Eyna a su se faire une place en animant diverses manifestations privées et publiques, de mariages aux fêtes villageoises, souvent accompagnée d’amis au clavier sous le nom de "Un gars, une fille". En 1999, elle a accepté le premier rôle de la comédie musicale "Dégénération", un défi qu’elle a relevé avec brio. De plus, entre 1995 et 2003, elle a fait partie d’Alambic Production, une branche bénévole du Centre culturel du Val-de-Travers dédiée à l’organisation de concerts. Tout au long de sa carrière, Eyna a eu l’opportunité de se produire lors de plus d’une centaine de représentations et de participer à l’enregistrement de six albums, ce qui fait de "Ose" son septième opus. Un album né d'une quête personnelle À 40 ans, Eyna a décidé de réaliser son rêve : créer son propre album solo. "Ose" est le fruit de neuf années de travail acharné, où elle a mis à profit son expérience en tant qu’auteure, compositrice et interprète. Cet album de 11 titres, riche en émotions et en diversité musicale, mêle funk, rock, ballades et tango, tout en intégrant des sons modernes grâce à des instruments virtuels. Ose – entre états d’âme et émotions Écrit à différents moments de sa vie, "Ose" reflète véritablement ses états d’âme, son ressenti, son vécu, ses amitiés et amours, ainsi que ses opinions et ses coups de gueule. L’écrivaine a trouvé une évidence à écrire ses propres textes, rendant cet album personnel et sincère. Un processus créatif collaboratif La création de "Ose" a été un véritable voyage musical. Eyna a commencé chez elle, avec un équipement modeste : un zoom 16 pistes, un clavier, un micro et un enregistreur multipiste. Elle a composé, écrit et chanté, allant au feeling pour donner vie à ses idées. Après avoir finalisé ses ébauches, son ami Thierry Jaccard, batteur du groupe BS, a réorganisé et structuré les chansons dans un programme de musique assistée par ordinateur (MAO). Trois titres ont même eu l’opportunité de passer par le studio parisien de Quentin Seewer, un ex-vallonnier, pour sublimer les arrangements et les lignes de guitares. D’autres morceaux ont été composés par des membres de Britannicus System, avec des enregistrements finaux gérés par David Morard et des collaborations avec Hélène Franceschi et Damien Phillot. Renaud de Montmollin, ingénieur du son et ancien guitariste du groupe BS, a également contribué au mixage et au mastering de l’album, un travail titanesque qui assure une qualité sonore exceptionnelle. Un support physique et digital Fidèle à la tradition musicale de sa génération, Eyna souhaite que son album soit matérialisé sous la forme d’un CD avec une pochette mettant en valeur les paroles. Bien sûr, l'album sera également disponible sur les plateformes de streaming comme Spotify. Pour la pochette, les photos ont été prises par le photographe vallonnier Gilles Simon, reconnu pour ses clichés du groupe Europe et Elmer Food Beat, dans un lieu emblématique du Val-de-Travers, "Le séchoir à Absinthe" à Boveresse. Le graphisme a été élaboré par sa sœur, Caroline Karakash, qui a su donner une identité qui lui ressemble.
Comment soutenir ce projet ? Pour donner vie à cet album de qualité, un budget de CHF 17’000.- est nécessaire, couvrant les frais de production, d'enregistrement et de communication. Une campagne de financement participatif a été lancée le 4 octobre, permettant à chacun de contribuer à ce projet musical ambitieux. Un vernissage festif pour célébrer "Ose" Les fans et curieux sont invités à un vernissage le vendredi 30 novembre 2024 (lieu à confirmer), une occasion parfaite pour découvrir l’univers d’Eyna. En attendant, l’album "Ose" sera une belle idée de cadeau pour les amateurs de musique lors des fêtes de fin d’année. Ne manquez pas l’occasion de soutenir une artiste locale qui mérite d’être célébrée !
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NOUVELLE DACIA SANDERO : L’ÉCRAN SORT DE LA POCHE
Innovation & technologie
Le smartphone nous accompagne partout. Et s’il remplaçait l’écran multimédia de nos voitures ? Ce serait malin ! Pour Dacia, c’était une évidence, à condition qu’il soit pleinement intégré à l’expérience de conduite.
C’est dans cet esprit qu’est né le Media Control. Nicolas Legros, Directeur Opérationnel Cross Car Line de Dacia, nous explique la philosophie et les bénéfices de ce système qui fait ses débuts avec la Nouvelle Dacia Sandero.
Sortir son smartphone de sa poche et en faire notre compagnon de route sans s’encombrer d’un support malin sur une grille de climatisation ? Si seulement c’était aussi simple ! Chez Dacia, on a compris cette problématique.
Les ingénieurs et designers de la marque ont uni leurs talents pour relever le défi et proposer une solution à la fois astucieuse, économique et dans l’air du temps. Notre mission chez Dacia est de redéfinir l’essentiel de la voiture. Il fallait donc trouver une solution astucieuse, simple et attractive pour le multimédia.
Les enquêtes clients montrent que les acheteurs Dacia privilégient la simplicité dans ce domaine. Un point important qui est également repris par les membres de la communauté Dacia. Nos ingénieurs et designers ont donc travaillé ensemble pour créer Media Control, un système qui place l'écran préféré de nos clients - leur téléphone - au centre de l'expérience multimédia embarquée.
QU'EST-CE QUE MEDIA CONTROL ?
Media Control est un système qui, en plus de la radio, associe un logement spécifique pour le smartphone et une application gratuite, personnalisable et simple d'utilisation.
Nicolas Legros explique : "Media Control est un système multimédia complet. Il comprend une radio, deux haut-parleurs, un port USB, une connectivité Bluetooth, des commandes au volant et surtout une station d'accueil pour smartphone intégrée à la planche de bord.
Dès le début du projet, cette station d'accueil a été véritablement intégrée au design de la planche de bord. Un gage de confort et d'ergonomie pour nos clients." Lire aussi“ Tout ce qu’il faut savoir sur l’installation d’un autoradio Dacia
Ecran d'accueil media control de dacia ecran
tableau de bord, et fermement maintenu en place, le smartphone est en effet parfaitement intégré à l'expérience de conduite. Le placement stratégique, en hauteur et légèrement face au conducteur, offre une parfaite visibilité des informations délivrées, gage de sécurité.
Il suffit de télécharger l’application Dacia Media Control sur le smartphone et, grâce à une simple connexion Bluetooth, le téléphone devient une véritable extension de la planche de bord, remplaçant un système multimédia intégré.
Navigation, radio, musique, téléphone et même accès aux informations du véhicule : toutes les fonctions essentielles sont à portée de main et activables à la voix, grâce à la reconnaissance vocale du smartphone.
Et lorsque le téléphone n’est pas en place, le boîtier disparaît dans la planche de bord.
SYSTÈME INTELLIGENT, FONCTIONS INTELLIGENTES
Mais tout cela ne suffit pas à faire de Media Control un système multimédia 100% intelligent. Grâce à l’application personnalisable, le système s’adapte également aux besoins de chaque utilisateur et se connecte même à l’ordinateur de bord du véhicule.
Il est ainsi possible de créer des raccourcis vers les widgets favoris, les applications favorites et même les contacts fréquents. Pour la navigation, un large choix de fournisseurs de cartes et de guidage est disponible. Côté multimédia, c'est à la carte : radio, playlists du téléphone, abonnements à des plateformes musicales, clés USB ou lecteurs MP3.
Côté téléphone, outre les appels, toutes les fonctions essentielles sont là : mode mains libres pour retrouver un contact dans le répertoire, consulter l'historique ou accéder aux événements prévus dans le calendrier. Sur Android, et bientôt sur iOS, la fonction SMS lit même les messages à voix haute.
Côté véhicule, la fonction Driving ECO donne accès à la consommation de carburant en temps réel et à des conseils de conduite personnalisés à la fin de chaque trajet. Une fois arrivés à destination, les étourdis apprécieront l'alerte téléphone oublié et la fonction 'Go To My Car' qui permet de retrouver facilement sa place de parking.
Nicolas Legros qui résume le mieux "Media Control apporte le meilleur de la technologie smartphone à l'expérience de conduite."
ÇA NE PEUT PAS ÊTRE PLUS SIMPLE
La simplicité du système réside dans son ergonomie. Grâce au positionnement optimal de la station d'accueil pour le smartphone, tout est facilement accessible en quelques clics. L'application est intuitive, avec une interface utilisateur qui permet une navigation efficace et fluide dans les menus.
La réplication des actions effectuées sur le smartphone dans l’écran central du tableau de bord facilite encore davantage la prise en main du système.
Enfin, les commandes au volant permettent de piloter facilement l’application pour changer de piste, de station de radio, varier le volume ou encore répondre ou raccrocher des appels. Et pour plus de confort et de sécurité, la commande vocale du smartphone est là.
En bref, le système Media Control est bien pensé ! Une fonctionnalité essentielle. Une interface personnalisable. Intuitive à utiliser. Et le tout avec le meilleur rapport qualité/prix du marché. « L’incarnation de l’ADN de la marque appliqué au multimédia », pour reprendre les mots de Nicolas Legros, cochant toutes les cases de l’esprit Dacia. C’est simple, pratique et astucieux. C’est Dacia.
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Alfa Romeo Stelvio Quadrifoglio et Kia Sorento
Le 11 juillet 2024
Comme je vous l’ai suggéré la semaine dernière, je reprends ici le compte-rendu d’une semaine au volant du spectaculaire VUS (ou VUM, c’est selon) Stelvio Quadrifoglio d’Alfa Romeo. En fait, ce n’est pas la première fois que je publie mes impressions et mes remarques concernant ce véhicule dans mon blogue mais c’est, si mes souvenirs sont bons, la première fois que je réussis à mettre la main sur cette version spécifique Quadrifoglio de performance. Et je me compte chanceux car c’est la dernière année que le constructeur italien (maintenant dans le giron du super constructeur Stellantis) le propose à sa clientèle. En effet, il n’y aura pas de Quadrifoglio l’an prochain au catalogue du Stelvio, du moins pas avec cette configuration mécanique car on chuchote dans le milieu qu’une version électrique ou hybride devrait la remplacer.
La version Quadrifoglio du VUS Stelvio d’Alfa Romeo ne reviendra pas l’an prochain. (Photo Éric Descarries)
Au départ, j’ai l’habitude de donner mon opinion sur le style du véhicule. En fait, vous aurez constaté que le Stelvio n’a pas changé depuis son lancement sauf pour des détails de finition ou l’adoption d’illumination au DEL. C’en est le cas pour 2024 alors que l’on voit des phares aux DEL à l’avant et des feux arrière avec lentille claire aussi aux DEL à l’arrière. Le pare-chocs avant a aussi été légèrement révisé.
Le plus important changement sur le Stelvio de cette année se voit dans les feux arrière avec lentille claire. (Photo éric Descarries)
L’intérieur n’a pas changé non plus quoique celui de la version Quadrafoglio soit plus élaboré que celui des Stelvio « ordinaires ». De plus, il est visible que la confection et la qualité sont plus soignées alors que les sièges d’avant offrent un meilleur support latéral (il le faut bien vu l’approche plus sportive du véhicule). Dans le cas du tableau de bord (typiquement italien, si vous voulez mon avis) peu a changé sauf l’adoption d’un écran central plus grand et plus poussé et une instrumentation plus complexe. En vérité, j’ai trouvé qu’Alfa Romeo a trop « perfectionné » l’affichage électronique de son instrumentation au point où c’en était devenu difficile de découvrir certaines fonctions. Je n’en ai même pas trouvé des explications sur Internet! Des fois…qui trop embrasse mal étreint! Curiosité intéressante, le bouton du démarreur se trouve sur le volant lui-même! Et ce volant est trop chargé. Incidemment, le passage des vitesses de la boîte automatique et le rétrogradage flanquent le grand volant mais les manettes des clignotants et des commandes de phares peuvent nuire à leur manipulation.
Le tableau de bord mimique celui des Alfa sportives du passé mais son instrumentation est trop élaborée à mon goût. (Photo Éric Descarries)
Les places arrière ne sont pas des plus généreuses mais elles demeurent relativement confortables. Le coffre m’a paru beaucoup plus généreux. Mais tout cela a déjà été discuté dans mon blogue sur la version Veloce du 26 octobre 2022.
Les places arrière pourraient être plus généreuses. (Photo Éric Descarries)
Le coffre est quand même relativement spacieux. (Photo Éric Descarries)
Une belle mécanique
Contrairement à la version courante du Stelvio, le Quadrifoglio n’est pas propulsé par un moteur à quatre cylindres mais plutôt par un V6 DACT biturbo à 90 degrés de 2,9 litres. Ce dit moteur a été développé par des ingénieurs normalement affectés aux moteurs de Ferrari. Ce n’est pas un moteur Ferrari mais…pas loin! Il développe quelque 505 chevaux et 443 li-pi de couple. Il vient combiné à une boîte automatique à huit rapports (de ZF) et à la traction intégrale (notez que le moteur est en position nord-sud dans le compartiment moteur ce qui indique que, d’entrée, le Stelvio est à propulsion. Évidemment, la direction à crémaillère est très précise alors que freinage Brembo à disques est très puissant! Les pneus équipant cette voiture étaient, vous l’aurez deviné, de Pirelli PZero 255/40R-21 à l’avant et 285/35R-21 à l’arrière sur jantes spéciales. Le véhicule pèse environ 4300 livres.
Mon ami et mécano expérimenté Giovanni a pris plaisir à examiner en profondeur le compartiment moteur du Stelvio Quadrifoglio… une rencontre à l’italienne ! (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Malgré que le Stelvio Quadrifoglio soit un VUS (ou, encore une fois, un VUM) à traction intégrale, il n’est pas question d’aller hors-route avec ce véhicule. Mais il est possible de rouler sur une piste de course si vous voulez pousser la machine. Quant à moi, je me suis contenté de nos (bonnes) vieilles routes provinciales.
On presse donc sur le bouton rouge au volant pour le démarrage. Un merveilleux vrombissement sort des échappements. Une fois en place derrière le volant, il ne s’agit que de choisir son mode de conduite (qu’Alfa identifie sous le sigle DNA). La majorité des conducteurs choisiront la position normale D mais moi, j’ai vite découvert la position A qui « ouvre » légèrement les échappements et qui rend la suspension un peu plus ferme. Toutefois, on peut la « ramollir » en pressant au centre de la commande ce qui éteindra l’illumination en forme d’amortisseur. Si vous voulez pousser encore plus la machine, passez à la fonction RACE (il faut tenir la commande quelques secondes). À ce moment, les diverses aides à la conduite seront neutralisées…mais ceci est plus utile sur une piste de courses…
Les imposants pneus Pirelli aident vraiment à la tenue de route de ce Stelvio. (Photo Éric Descarries)
De retour en A et ce que l’on apprécie le plus, au départ, c’est le son mélodieux du V6. Les accélérations sont assez impressionnantes avec des 0 à 100 km/h départ arrêté en moins de cinq secondes (il n’y a pas de Launch Control mais en utilisant la fonction RACE, on peut supposer que l’on obtient toute la puissance sans rétention anti-patinage) et des reprises (de 90 à 120 km/h) toutes aussi rapides. Heureusement que la traction intégrale vient équilibrer toute cette puissance (surtout sur pavé mouillé).
La visibilité au volant y est très bonne sauf vers l’arrière où la lunette couchée vient modifier l’image. Il faut faire attention de ne pas trop pousser l’accélérateur par engouement… Sachez que cette Alfa est capable d’une vitesse maximale approchant les 285 km/h ! Non, je ne l’ai pas fait! Mais j’ai eu beaucoup de plaisir à conduire « sportivement » sur plusieurs routes secondaires. Oui, la suspension est ferme (et elle l’est encore plus en mode de performance) mais on s’y habitue (sauf sur certaines rues de Montréal très mal en point!).
En ce qui a trait à la consommation, j’ai obtenu, durant ma semaine d’essai, une moyenne de 15,1 l./100 km ! Mais souvenez-vous que c’est un véhicule de performance…et que j’en ai profité un peu! Le guide Energuide canadien estime la consommation de ce véhicule à 12,3 l./100 km de moyenne avec 13,9 en ville et 10,3 sur route. Oh! L’essence Super y est recommandée!
Malheureusement, toute cette performance, tout ce plaisir, et même l’orgueil de rouler en voiture italienne de performance, ça se paie! Le prix de base d’un Alfa Romeo Stelvio Quadrafoglio AWD est de 103 295 $. Les options ajoutées à mon véhicule d’essai incluaient la peinture gris métallisé de 900 $, les superbes jantes originales avec pneus spéciaux de 1600 $, les étriers de freins peints en rouge avec inscription blanche de 750 $ en plus de la taxe d’accise de 100 $ pour la climatisation et les 2 795 $ de frais de transport. Le prix final? 109 440 $ ! Ouf!
Kia Sorento
Si j’ai inclus le VUS Sorento de Kia à ce blogue cette semaine, c’est que je n’aurais pas grand-chose à dire sur cette camionnette sauf discuter de son style. En effet, non pas que le Sorento soit ennuyant au point de ne pas en parler. C’est tout simplement qu’il soit un jumeau presque identique du Hyundai Santa Fe dont il a été question…il y a deux semaines dans ce blogue!
Le Kia Sorento affiche un avant redessiné. (Photo Éric Descarries)
En effet, Kia et Hyundai font partie de la même compagnie et seul le design différencie les deux VUS. Alors que pour Hyundai, les designers de la marque ont choisi un look plus agressif et surtout plus « cubique » ressemblant à celui d’un Land Rover, ceux de Kia ont préféré retenir l’allure générale du modèle précédent tout en lui apportant quelques retouches plus esthétiques. En discuter ne concernerait que le goût de chacun! Par conséquent, le Kia Sorento 2024 affiche une calandre différente, des phares révisés et des feux arrière redessinés.
L’arrière est presque reconduit sauf pour des détails comme les feux arrière révisés. (Photo Éric Descarries)
Quant à l’intérieur, il affiche, lui, une capacité presque identique à celle du Santa Fe avec la possibilité de sept occupants et même si la courbure du toit vers l’arrière diminue un peu le volume de charge du Sorento comparativement au design cubique du Santa Fe cela ne fera pas une différence notable. Oui, la sellerie est légèrement différente mais les sièges sont aussi confortables les uns que les autres. Quand au tableau de bord, il est presque pareil sauf pour les différences que l’électronique peut apporter à l’affichage vidéo.
Enfin, vu que la mécanique était identique aux deux véhicules, les performances, vous vous en doutez, sont presque identiques pour les deux VUS. Il en va de même pour la consommation voire même pour le prix. En fait, un simple retour au texte de ce blogue sur le Santa Fe d’il y a deux semaines vous donnera des informations identiques. Que peut-on y ajouter? Que des photos du nouveau Sorento!
Encore et toujours à Laval
Voilà plusieurs fois que je critique les rues et les routes de la ville où j’habite, Laval! Enfin, les équipes s’acharnent à repeindre les lignes blanches ou jaunes (dont certaines peuvent porter à confusion) mais d’autres sont plutôt affectés à la construction de dos d’âne près des écoles et des parcs. Laval devrait changer son nom pour Speed Bump Ville!
Je n’ai rien contre cette pratique (qui ralentit l’ardeur de certains conducteurs « sportifs ») mais je me demande comment il se fait que l’on ait le budget pour tant d’asphalte alors que certaines rues ont cruellement besoin d’être repavées, ce qui tarde!
D’autre part, a-t-on vraiment besoin de toutes ces stations de Bixi? Dans la plupart des quartiers de Laval on verra des vélos en grande quantité dans les entrées de garage ou sur les terrains! C’est pourquoi les Bixis (et les trottinettes électriques) sont, pour ainsi dire, presque inutiles à Laval. Pourquoi tente-t-on d’imiter Montréal? La situation n’est nettement pas la même! Qui plus est, beaucoup d’espace a été conquis sur les artères majeures de la ville pour les pistes cyclables qui ne sont, en général, pas utilisées! Et dire que nous devrons payer une centaine de dollars de plus pour les enregistrements pour financer le transport en commun de…Montréal! Ici, à Laval, l’auto est presque indispensable. Jamais nous ne pourrons en arriver à du transport en commun pour desservir des quartiers où il n’y a qu’une dizaine de maison par coin de rue! Et où l’on verra des vélos traîner! N’allons surtout pas ajouter des centaines de bornes de recharge pour autos électriques, on en voit de plus en plus aux maisons privées! Ce n’est pas Montréal ici!
Les Bixi sont, à mes yeux, inutiles dans la plupart des quartiers de Laval. D’ailleurs, en voici une station en plein dimanche après-midi. Pas un de sorti! Tout le monde est parti faire du vélo…du vélo personnel! (Photo Éric Descarries)
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Ingénieur support (H/F)
Job title: Ingénieur support (H/F) Company: Orange Job description: activement à l’amélioration de fonctionnements internes et transverses pour offrir à nos clients un parcours de qualité… Expected salary: Location: Maroc Job date: Wed, 16 Oct 2024 22:10:36 GMT Apply for the job now!
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La construction en acier est cruciale dans l'architecture contemporaine.
Ils sont essentiels à l’architecture contemporaine, offrant un niveau inégalé de puissance et d’adaptabilité pour une sélection diversifiée de projets. Dans la construction de certaines des structures les plus emblématiques du monde, cette méthode de construction est devenue la pierre angulaire, offrant à la fois attrait esthétique et durabilité.
Avantages de la construction en acier
Un rapport résistance/poids élevé constitue un avantage majeur de la construction en acier. L'acier est plus résistant que le bois et le béton, ce qui permet de construire des structures plus grandes et plus hautes sans support supplémentaire. Cette caractéristique facilite le choix optimal pour les gratte-ciel, les ponts et les grands bâtiments commerciaux.
De plus, la construction du cadre en acier est extrêmement adaptable. Grâce à leur polyvalence, les architectes et les ingénieurs peuvent créer des conceptions complexes. L'acier peut répondre à de nombreuses exigences architecturales et être utilisé avec d'autres matériaux pour augmenter la fonctionnalité et l'apparence du bâtiment.
Construction métallique : le rôle des ouvriers du fer
Les initiatives de construction en acier échouent sans l'aide des ouvriers du fer qui travaillent. La charpente d’acier, qui sert de fondation à toute structure, est installée et assemblée par des professionnels possédant des compétences exceptionnelles. Leurs responsabilités incluent la mesure, la découpe et le soudage avec précision pour garantir que chaque pièce d’acier est parfaitement ajustée.
Le maintien de l’intégrité structurelle et de la sécurité des bâtiments nécessite les compétences exceptionnelles des ouvriers du fer. Ces personnes démontrent leur dévouement et leur résilience en travaillant dans des conditions difficiles et à de grandes hauteurs. Grâce à leur attention méticuleuse aux détails, la structure est garantie de la solidité et de la stabilité requises, car chaque joint et connexion est solidement fixé.
Alexandre est soudeur généraliste depuis 2013, avec une spécialisation en structures d'acier. Cette étude de cas concerne ses projets importants. Son œuvre comprend l'Amphithéâtre de Trois-Rivières, le Centre Vidéotron de Québec et le nouveau pont Champlain. L'habileté et l'assurance d'Alexandre dans la gestion de tâches complexes de construction à ossature d'acier ont été illustrées par le haut niveau de précision et de compétence requis pour chacun de ces projets.
Excellent exemple d'ingénierie contemporaine, le nouveau pont Champlain témoigne du rôle essentiel joué par la construction à charpente d'acier. Une charpente durable et robuste était nécessaire pour la conception du pont, qu'Alexandre et son équipe de ferronniers ont exécuté avec succès. Dans le même ordre d'idées, le Centre Vidéotron et l'Amphithéâtre de Trois-Rivières ont nécessité une planification et une réalisation minutieuses pour satisfaire à leurs spécifications structurelles et esthétiques.
L'avenir de la construction métallique
La technologie et les matériaux amélioreront probablement les applications de construction à charpente en acier, offrant ainsi un avenir radieux. Les technologies de soudage avancées, telles que le soudage automatisé et robotisé, devraient améliorer l’assemblage des structures en acier. Ces avancées technologiques accéléreront la construction et augmenteront la sécurité et la longévité des bâtiments.
La durabilité se développe également dans la production de bâtiments et d’acier. L'industrie sidérurgique promeut le recyclage et la réduction des émissions de carbone pour réduire son impact environnemental. La campagne mondiale visant à promouvoir des méthodes de construction plus écologiques soutient ces efforts.
Sa durabilité, sa polyvalence et sa durabilité inégalées en font un élément essentiel des bâtiments modernes. Des ouvriers du fer talentueux sont nécessaires pour assurer le succès et la sécurité du projet. Les progrès technologiques et l’accent mis sur les pratiques durables devraient améliorer encore l’efficacité et l’innovation de la construction à ossature d’acier à l’avenir. Pour plus d’informations concernant la construction à charpente d’acier et les services associés, veuillez visiter souduredumais-tal.com.
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Les champs de colza.
Bien-sur qu’il est dur d’être autrement. D’être different de la formule écrite sur nos corps et cerveaux par ceux qui nous veulent moutons suiveurs.
Bien sur qu’on me prend pour la fille chiante, qui prend les gens de haut et qui croit tout savoir sur tout. Qui est naive et qui finalement ne connait rien à la vie. Une fille de la ville qui veut se la jouer écolo. Une fille triste, qui s’interdit tout et dont la vie a donc un gout amère.
Ce qu’ils ignorent c’est que je suis une fille qui n’arrêtera jamais de parler, combien même ma parole ne leurs plais pas. Je suis une fille qui veut laisser une empreinte positive sur cette planète. Une fille qui veut faire quelque chose, ne serait-ce que par des actes individuels et personnels et puis la parole.
Mais ma tristesse ils ne la connaissent pas et ne la connaitrons jamais. La tristesse que je peux éprouver parfois est celle de pas en faire assez. C’est une tristesse qui nourrit l’âme.
Je serais toujours celle qui ne se mêle pas que de ces affaires, oui, mon nez est grand et je le fourre partout ou il faut corriger. Je le fourre partout ou le mal est fait directement ou indirectement à cette planète qui nous porte, qui nous supporte.
Je serais celle qui répète sans se lasser. Si, en se lassant, mais en reprenant son souffle et en répétant encore la parole qui est dur à entendre et à comprendre puis à accepter et assimiler.
La route est longue et je ne suis pas une spécialiste, je ne suis pas une scientifique, je ne suis pas une fermière, je ne suis pas une ingénieur agricole, mais je suis humaine, terrienne et cela suffit.
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Comment gagner jusqu'à 1million de Fcfa par mois en travaillant pour Google, Amazon, Microsoft, et cela depuis chez vous ??? Si il y'a une chose qui me fait énormément de la peine en Afrique francophone, c'est le manque d'informations. On a l'impression que l'Afrique francophone est un autre continent. Certaines informations qui sont connues partout dans les pays anglophones sont les quasiment inexistantes chez les francophones. 2 événements majeurs se sont déroulés, il y'a quelques années. Le 1er événement majeur est le confinement : Des milliers d'entreprises avaient été fermées causant des milliards de dollars de pertes pour les entreprises . Beaucoup d'entreprises dans le monde, et surtout des entreprises technologiques ont donc décidé de permettre à leurs employés de travailler désormais depuis leurs domiciles. De cette façon, en cas de nouveau confinement, les activités de l'entreprise ne seraient pas interrompues. Le 2e événement majeur, fut l'annonce du directeur de Google lors d'une conférence annuelle. Le CEO de google avait constaté que les nouveaux diplômés en informatique ne comprenaient pas grand chose dans la pratique. Ils étaient entièrement formés par google et leurs diplômes ne servaient finalement à rien. Ainsi, afin de permettre aux jeunes de partout dans le monde d'acquérir des compétences réelles, Google a créé une série de plusieurs formations en ligne pour former eux-mêmes leurs ingénieurs directement. Le message du CEO avait bousculé le monde universitaire, car il avait dit : " je préfère recruter quelqu'un qui suit nos formations et qui comprend nos procédures, plutôt qu'un bac + 5". Ce n'est pas tout, afin d'aider les jeunes africains à participer à ce programme, une plate-forme destinée aux africains avait même été créée : Google digital skills for Africa. Grâce à cette plate-forme des centaines de jeunes du Nigeria , Ghana, Kenya, Afrique du Sud, travaillent aujourd'hui pour Google depuis l'Afrique . Le plus étonnant est que ces formations peuvent être complétées en seulement 3 ou 6mois. Pourquoi personne ne parle de cela en Afrique francophone ?????? L'autre bonne nouvelle est que voyant comment Google arrivait à intégrer de nouveaux ingénieurs passionnés, plusieurs autres grandes entreprises de la technology ont décidé de créer aussi des formations pour directement former leurs ingénieurs. Vous avez donc des formations de IBM, Méta ( Facebook), Google, Amazon etc..... L'autre avantage est qu'ils ont tout fait pour que ces formations soient beginner friendly : Ça signifie que même si vous ne connaissez rien de l'informatique, la formation commence par la base, c'est à dire le niveau 0. Et ce n'est pas tout : Dans les sociétés de technologie, il n'ya pas que le côté informatique : Il y'a aussi les fonctions support et ils vous forment aussi dans ça : Marketing, Gestion de projet, Brand manager etc..... Tu as donc des grandes entreprises qui te forment pour directement travailler chez elles. Que fais tu sur ton téléphone mon ami ????? Avec le certificat de Google, tu peux travailler partout : Ce certificat de 6mois de formation a plus de valeur qu'un Bac+5 en informatique, ce n'est pas moi qui le dit, c'est le directeur de Google lui même. Que fais tu sur ton téléphone mon ami ??? Actuellement les métiers technologiques les plus demandés par les sociétés technologiques sont : Data analyst Data Engineer Cloud architect Cloud Engineer Brand management Front/back end developer Digital marketing. Tu peux chercher ces formations sur "Google Digital skills for Africa" Et sur Coursera La seule difficulté avec la majorité de ces formations est la langue : La majorité des formations se font en anglais et je sais que l'anglais technique peut faire peur. J'ai donc décidé de mettre mon équipe à disposition afin d'aider 100 jeunes Africains à intégrer des grandes entreprises de la technologie. J'ai mis des tuteurs bilingues diplômés en Informatique pour chaque formation en ligne .
ILS vont vous aider à bien comprendre chaque chapitre, à réussir vos tests et aussi à vous suivre dans votre évolution. De cette façon, vous pourrez avoir des interlocuteurs à qui poser des questions et ne pas rester sans réponses sur les sujets que vous ne comprenez pas. Cet accompagnement est au prix de 150.000 Fcfa pour les 6mois de Formation. À la fin de cette formation, si vous n'obtenez pas d'offre en rapport avec votre certification, la totalité de vos frais seront remboursés. Je fais cela pour motiver les jeunes africains francophones à ne pas manquer cette opportunité. Vous n'avez donc rien à perdre. https://savoirentreprendre.net/?p=12732&feed_id=6775
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Fwd: Job: ISYEB_Paris.ResearchTech.Haplotagging
Begin forwarded message: > From: [email protected] > Subject: Job: ISYEB_Paris.ResearchTech.Haplotagging > Date: 18 April 2024 at 05:44:17 BST > To: [email protected] > > > We offer a 4.5 years (54 months) position, working as Ingénieur⋅e > d’Études (roughly equivalent to a Lead Research Technician position) > to manage and implement the EvoGenArch ERC research project, especially > aspects related to molecular ecology (molecular and bioinformatics > aspects of the haplotagging approach, participating to field work, > data management). > > The job provides the opportunity to explore a wide area of molecular > ecology, from bench work to field work, with support from a lab technician > and a bioinformatician for the most technical aspects of the job. The > bench work (notably developing the new haplotagging approach in the lab) > will compose most of the work load, followed by sequences analysis and > data management, while field work will be the lightest part (two months > each year). > > The candidate will work for the École Pratique des Hautes Études (PSL > University), joining Pierre de Villemereuil’s team, at the Institute > for Systematics, Evolution, Biodiversity (ISYEB), located within the > Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN) in Paris. This position > is funded as part of the EvoGenArch ERC Starting Grant. The position > starts on 2024-09-16. > > More informations and instructions to apply here: > https://ift.tt/WPGlRUw > > Pierre de Villemereuil
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