#IRAKERE
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jazzplusplus · 4 months ago
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1991 - Jazz sur son 31 - Autour de Mingus - Toulouse (and surrounding towns)
Aldo Romano, Betty Carter, Irakere, Jack DeJohnette Special Edition, Mingus Epitaph, Big Band 31, Herbie Hancock & Wayne Shorter Quartet, Lou Bennett trio, Guy Lafitte Quartet, ...
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rkmblr · 7 months ago
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これ慹郹äșșé–“ăŒæŒ”ć„ă—ăŠă‚‹ă‚“ă ă‚ˆâ€Š70ćčŽä»ŁăŻă»ă‚“ずにすごい。
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cliffburton · 2 years ago
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rules: list 10 songs and tag 10 people
rock bottom blues - fanny
crossroad lightning - jess and the ancient ones
a. creature - psychedelic witchcraft
conspiraciĂłn - el ritual
aguanille - irakere ( specifically this vers )
dr. death - salem's pot
into starlit chambers - jess and the ancient ones
i just realized - fanny
samhain - jess and the ancient ones
blind alley - fanny
tagging: @freakspacecadet @davemustaine @mechanichronic @creekcorpse @loveize @zigmentality @zappafool @junkyardromeo @lapvona
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jpbjazz · 4 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
PAQUITO D’RIVERA, AMBASSADEUR DES MUSIQUES DU MONDE
‘’Music was in my soul and in my heart. I never had the idea to do anything else."
- Paquito D’Rivera
NĂ© le 4 juin 1948 Ă  La Havane, Ă  Cuba, Francisco de JesĂșs Rivera Figueras était le fils de Francisco ‘’Tito’’ D'Rivera, un saxophoniste classique et chef d’orchestre qui vendait Ă©galement des instruments de musique. C’est aussi le pĂšre de D’Rivera qui lui avait fait connaĂźtre les disques de Duke Ellington et de Benny Goodman. Le pĂšre de D‘Rivera l’emmenait aussi dans des clubs comme le Tropicana et Ă  des concerts.
Enfant prodige, D’Rivera avait commencĂ© Ă  suivre des cours de thĂ©orie et de saxophone avec son pĂšre Ă  partir de l’ñge de cinq ans. L’annĂ©e suivante, D’Rivera avait participĂ© Ă  son premier concert et avait interprĂ©tĂ© une composition Ă©crite par son pĂšre. À l’ñge de sept ans, D’Rivera Ă©tait devenu le plus jeune musicien de l’histoire Ă  endosser les cĂ©lĂšbres saxophones Selmer. D’Rivera avait seulement dix ans lorsqu’il s’était produit avec le National Theater Orchestra de La Havane en 1958. FormĂ© initialement pour jouer du saxophone soprano, D’Rivera Ă©tait par la suite tombĂ© en amour avec le saxophone alto et avait appris Ă  jouer de cet instrument en autodidacte avec l’aide d’un manuel.
À l’ñge de seulement douze ans en 1960, D’Rivera Ă©tait entrĂ© au Conservatoire de musique de La Havane, oĂč il avait suivi des cours de saxophone, de clarinette et de composition. C’est aussi durant ses Ă©tudes au conservatoire que D’Rivera avait rencontrĂ© le pianiste Chucho ValdĂ©s pour la premiĂšre fois. Cinq aprĂšs son entrĂ©e au conservatoire, D’Rivera avait Ă©tĂ© soliste invitĂ© avec le Cuban National Symphony Orchestra dans le cadre d’un concert qui avait Ă©tĂ© radiodiffusĂ© Ă  travers le pays en 1965. D’Rivera avait continuĂ© de jouer avec plusieurs groupes au cours de son adolescence, dont le Cuban Army Band, avant de co-fonder l’Orchestra Cubana de MĂșsica Moderna avec ValdĂ©s. D’Rivera avait d’ailleurs dirigĂ© l’orchestre pendant deux ans.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
En 1973, D’Rivera avait co-fondĂ© avec ValdĂ©s le groupe Irakere, qui fusionnait le jazz, le rock, la musique classique et les rythmes afro-cubains. ComposĂ© de trois membres de l’Orchestra Cubana de MĂșsica Moderna et de trois autres musiciens, le groupe Ă©tait devenu extrĂȘmement populaire aprĂšs s’ĂȘtre produit dans le cadre des festivals de jazz de Newport et de Montreux.
En 1979, le groupe avait remportĂ© un prix Grammy dans la catĂ©gorie du meilleur enregistrement de jazz latin pour son premier album Ă©ponyme. La mĂȘme annĂ©e, le groupe s’était produit aux cĂŽtĂ©s de musiciens de rock et de jazz dans un festival appelĂ© Havana Jam. Les performances du groupe avaient Ă©tĂ© enregistrĂ©es et avaient Ă©ventuellement donnĂ© lieu Ă  la publication des albums Havana Jam et Havana Jam II (1979), faisant ainsi du groupe le premier ensemble cubain de l’époque post-Catro Ă  signer un contrat avec une compagnie amĂ©ricaine.
De plus en plus insatisfait des contraintes imposĂ©es Ă  la pratique de la musique par les autoritĂ©s cubaines, D’Rivera avait expliquĂ© qu’aprĂšs avoir fait la rencontre de Che Guevara, son dĂ©sir de quitter Cuba s’était encore intensifiĂ©. Au dĂ©but de 1980, alors qu’il Ă©tait en tournĂ©e en Espagne, D’Rivera s’était rendu Ă  l’ambassade des États-Unis et avait demandĂ© l’asile politique. D’Rivera avait laissĂ© sa femme et son enfants Ă  Cuba, aprĂšs leur avoir promis de les faire venir aux États-Unis.
DĂšs son arrivĂ©e aux États-Unis, D’Rivera avait obtenu un grand soutien pour lui et sa famille. Sa mĂšre, Maura, et sa soeur, Rosario, se trouvaient dĂ©jĂ  aux États-Unis Ă  l’époque. Elles avaient quittĂ© Cuba en 1968 et Ă©taient devenus citoyennes amĂ©ricains. Sa mĂšre Maura avait travaillĂ© aux États-Unis dans l’industrie de la mode, et sa soeur Rosario Ă©tait devenue une artiste et femme d’affaires respectĂ©e. AprĂšs avoir obtenu sa rĂ©sidence permanente, D’Rivera avait jouĂ© avec Dizzy Gillespie, David Amram, Mario Bauza et d’autres musiciens amĂ©ricains bien connus.
D’Rivera s’était particuliĂšrement fait connaĂźtre aprĂšs la publication de ses deux premiers albums, Paquito Blowin' (juin 1981) et Mariel (juillet 1982). Il avait aussi Ă©tĂ© en vedette dans le Time Magazine et dans des Ă©missions de tĂ©lĂ©vision comme CBS Sunday Morning.
Avec Gillespie, D’Rivera avait participĂ© Ă  la fondation du United Nations Orchestra en 1988, un groupe de fusion de quinze musiciens qui faisait la synthĂšse entre le jazz et la musique latine. La mĂȘme annĂ©e, D’Rivera avait jouĂ© comme soliste avec le National Symphony Orchestra et le Brooklyn Philarmonic Orchestra.
En 1991, toujours comme membre du big band de Gillespie, D’Rivera avait participĂ© aux cĂŽtĂ©s de James Moody, Slide Hampton, Airto Moreira, Flora Purim, Arturo Sandoval et Steve Turre Ă  l’enregistrement de l’album Live at the Royal Festival Hall.
En plus de ses collaborations avec l’orchestre de Gillespie, D’Rivera s’était produit avec de nombreux autres groupes, dont Triangulo, qui jouait du calypso et de la salsa, et le Caribbean Jazz Project. D’Rivera avait Ă©galement formĂ© deux groupes qui combinaient sa passion pour le jazz et la musique classique, le Paquito D'Rivera Big Band et un groupe de musique de chambre appelĂ© le Paquito D'Rivera Quintet. D’Rivera avait aussi commencĂ© Ă  composer pour d’autres groupes, dont le Gerald Danovich Saxophone Quartet de MontrĂ©al (qui a enregistrĂ© sa cĂ©lĂšbre ‘’New York Suite’’), le Caracas Clarinet Quartet, le Cuarteto Latinoamericano, le Quinteto D’Elas et le Aspen Wind Quintet.
ÉVOLUTION RÉCENTE
D'Rivera avait continuĂ© d’enregistrer et de se produire en concert durant les annĂ©es 1990 et 2000. En 1999, D'Rivera s’était produit Ă  la Maison-Blanche et au Kennedy comme artiste invitĂ© dans le cadre du concert Americanos. En 2000, D’Rivera avait publiĂ© les albums Music From Two Worlds et Habanera. Brazilian Dreams avait suivi en 2002. En 2001, D’Rivera avait aussi Ă©tĂ© un des principaux solistes du film Calle 54 du rĂ©alisateur Fernando Trueba.
En 2003, D'Rivera avait remportĂ© ses cinquiĂšme et sixiĂšme prix Grammy, respectivement pour les albums Brazilian Dreams et Historia del Soldado. En 2017, D'Rivera avait publiĂ© l’album Paquito D’Rivera presents the Vitral String Quartet. L’album comprenait trois compositions de D’Rivera intitulĂ©es ‘’Afro’’, ‘’Wapango’’ et ‘’Kites Over Havana.’’ Dans son compte rendu de l’album, le New York City Jazz Record Ă©crivait:
“In the realm of chamber music, string and brass quartets are a well-established tradition, which allow the melodic colors of their instrumentation to weave a deeply satisfying harmonic tapestry
The Vitral Saxophone Quartet (Oscar Gongora: soprano; Roman Filiu: alto; Alejandro Rios: alto and tenor; Raul Cordies: baritone) is a prime example of the beauty that four saxophones can produce. Kites Over Havana is a gorgeous entry into the canon.” 
Reconnu pour son travail de musicien et de compositeur tant dans les domaines du jazz que de la musique classique, D'Rivera avait Ă©galement dĂ©crochĂ© plusieurs commandes, notamment pour sa composition "Gran Danzon (The Bel Air Concerto)’’, un concerto pour flĂ»te qui lui avait Ă©tĂ© commandĂ© par le Rotterdam Philharmonic et le National Symphony Orchestra, et qui avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© en grande premiĂšre au Kennedy Center for the Performing Arts de Washington, D.C., en 2002. Le critique Joe Banno avait Ă©crit au sujet de l’oeuvre dans le Washington Post en fĂ©vrier 2002: ‘’... Best that night was Paquito D’Rivera’s Grand Danzon (The Bel Air Concerto) in its world premiere. A spiky and imaginatively colored piece of Latin American orchestral writing.’’ L’oeuvre avait de nouveau Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e par le Baltimore Symphony Orchestra au Lincoln Center en avril 2006. En 2000, le Jazz at Lincoln Center avait Ă©galement commandĂ© Ă  D’Rivera une "Pan American Suite" dans le cadre de la sĂ©rie As of Now. L’oeuvre avait Ă©ventuellement Ă©tĂ© diffusĂ©e sur le rĂ©seau NPR.
D’Rivera est Ă©galement l’auteur d’une sonate pour clarinette intitulĂ©e ‘’The Cape Cod Files’’. L’oeuvre, qui avait Ă©tĂ© commandĂ©e Ă  D’Rivera par le Cape Cod Chamber Music Festival en 2009, a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e en grande premiĂšre par la Silicon Valley Symphony en mai 2011. D’Rivera avait Ă©galement composĂ© pour le Turtle Island String Quartet, le Ying Quartet et l’International Double Reed Society. En 2002, la BibliothĂšque nationale du CongrĂšs avait commandĂ© Ă  D’Rivera ‘’Fiddle Dreams’’, une fantaisie pour violon et piano qui avait Ă©tĂ© Ă©crite en hommage Ă  la violoniste Regina Carter.
La composition de D'Rivera, ‘’Lady in White’’ a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e sous forme de ballet par la JosĂ© LimĂłn Dance Company en 2012. En 2019, le concerto pour trompette de D’Rivera ‘’Concerto Venezolano’’ a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© en premiĂšre Ă  Mexico City par l’Orquesta de Mineria dirigĂ©e par Miguel Prieto. Le soliste Ă©tait Pacho Flores, pour qui l’oeuvre avait Ă©tĂ© composĂ©e. En juin 2022, le New Jersey Symphony Orchestra avait Ă©galement prĂ©sentĂ© un Concerto pour cor français qui comprenait des mouvements Ă©crits par quatre compositeurs, dont D’Rivera. L’orchestre Ă©tait dirigĂ© par Xian Zhang. Le soliste Ă©tait Chris Komer. Parmi les autres concertos de D’Rivera, on remarquait ‘’Conversations with Cachao’’. Concerto pour contrebasse et saxophone, l’oeuvre qui rendait hommage au lĂ©gendaire contrebassiste cubain IsraĂ«l ‘’Cachao’’ Lopez, avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e en grande premiĂšre Ă  Caramoor en juin 2007. Une autre composition rĂ©cente de D’Rivera Ă©tait intitulĂ©e "Three Poems from the New World", et s’inspirait des oeuvres de Fortunato Villarrondo, JosĂ© MartĂ­ et Dana Gioia. Les trois poĂšmes qui exploraient les thĂšmes de l’intolĂ©rance raciale, de la haine et de l’injustice, tentaient de leur substituer des valeurs comme l’amitiĂ©, l’amour et le respect de la vie.
D'Rivera avait aussi été artiste en résidence au New Jersey Performing Arts Center, et directeur artistique de la New Jersey Chamber Music Society. Il a également été compositeur en résidence au Caramoor Center for Music and the Arts en 2007. Depuis 1995, D'Rivera est aussi directeur artistique du Festival International de Jazz en el Tambo en Uruguay. Il est aussi directeur artistique du Duke Ellington Festival de Washington, D.C.
ParallĂšlement Ă  ses autres activitĂ©s, D'Rivera continue rĂ©guliĂšrement de se produire en tournĂ©e avec diffĂ©rents groupes Ă  travers le monde, dont le Paquito D'Rivera Big Band, the Paquito D'Rivera Quintet et le Chamber Jazz Ensemble. Le groupe rĂ©gulier de D'Rivera, le Paquito D'Rivera Quintet, est formĂ© du trompettiste argentin Diego Urcola, du pianiste Alex Brown, du contrebassiste pĂ©ruvien Oscar Stagnaro et du batteur Mark Walker. Le groupe s’est mĂ©ritĂ© un prix Grammy pour le meilleur album de jazz latin en 2001.
D'Rivera a aussi fait de frĂ©quentes apparitions comme soliste invitĂ© avec des orchestres comme le London Philharmonic et la Costa Rican National Symphony. Parmi les autres orchestres avec lesquels D'Rivera avait collaborĂ©, on remarquait le National Symphony Orchestra, le Warsaw Philharmonic Orchestra, le Florida Philharmonic Orchestra, le Baltimore Symphony, le Bronx Arts Ensemble, le Puerto Rico Symphony Orchestra, le YOA Orchestra of the Americas, l’American Youth Philharmonic et le SimĂłn BolĂ­var Symphony Orchestra.
D'Rivera a publiĂ© une autobiographie intitulĂ©e Mi Vida Saxual (My Sax Life) en 2005. Le prologue de l’ouvrage avait Ă©tĂ© Ă©crit par l’écrivain cubain Guillermo Cabrera Infante. Également auteur, D’Rivera a publiĂ© une nouvelle intitulĂ©e ‘’En tus brazos morenos.’’
D'Rivera vit actuellement Ă  North Bergen, New Jersey, avec son Ă©pouse, la chanteuse Brenda Feliciano. Le fils de D'Rivera, Franco, est Ă©galement compositeur et a collaborĂ© avec son pĂšre dans le cadre de compositions pour l’American Saxophone Quartet de New York. 
D'Rivera avait toujours rĂȘvĂ© de rĂ©aliser une sorte de symbiose entre ses deux passions: le jazz et la musique classique. Les prix qu’il avait remportĂ©s et le respect dont il avait bĂ©nĂ©ficiĂ© tant dans le domaine du jazz que de la musique classique semblent dĂ©montrer qu’il avait parfaitement atteint cet objectif. En fait, D’Rivera Ă©tait devenu si renommĂ© comme compositeur classique que le Kammer Orchester Schloss Werneck avait dĂ©veloppĂ© en 1999 une sĂ©rie intitulĂ©e ‘’Paquito & Mozart’’ dans laquelle ses compositions de musique de chambre avaient Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©es aux cĂŽtĂ©s de celles de Wolfgang Amadeus Mozart ! Le point culminant du concert Ă©tait un Adagio composĂ© par D’Rivera qui comportait des Ă©lĂ©ments du concerto pour clarinette en A Majeur de Mozart. Peter Linhart Ă©crivait dans le Main Echo Aschaffenburg de Montag en juin 1999: ‘’The orchestra as well as the soloist executed the work with perfect intonation and precise interpretation. At no time came the impression that two different musical worlds were colliding. The concert was an offering of excellence by virtue of the soloist and the orchestra, led by Ulf Klautsenitzer. With a focused tone and intonation, he effortlessly graced through the various registers unwavering...’’ En 2000, D’Rivera avait Ă©galement obtenu une nomination aux prix Grammy pour son album Music of Two Worlds, qui comprenait ses propres compositions aux cĂŽtĂ©s de celles de Schubert, Brahms, Guastavino et Villa Lobos.
Excellant également dans le domaine bebop, D'Rivera est le seul artiste à avoir remporté des prix Grammy dans les catégories de jazz latin et classique en 2003. D'Rivera a également été juge lors du 5e et du 8e gala des Independent Music Awards destinés à récompenser le travail des artistes indépendants.
Paquito D'Rivera a remportĂ© de nombreux honneurs au cours de sa carriĂšre. En 1991, dans le cadre d’une performance Ă  Carnegie Hall, la National Hispanic Academy of Media Arts and Sciences avait dĂ©cernĂ© Ă  D'Rivera un Lifetime Achievement Award pour sa contribution Ă  la musique latine. En 1999, Ă  l’occasion de son 500e anniversaire, la Universidad de Alcala de Henares avait accordĂ© Ă  D’Rivera un prix spĂ©cial afin de souligner sa contribution aux arts, son humanisme et sa dĂ©fense des droits et des libertĂ©s des artistes Ă  travers le monde.
D’Rivera a Ă©tĂ© Ă©lu ‘’Jazz Master’’ par la National Endowment for the Arts en 2005. D’Rivera avait acceptĂ© son prix en lisant la dĂ©claration suivante:
"Since I was a kid, my father, a classical tenor who loved jazz, introduced me to the music of Lionel Hampton, Count Basie, Benny Carter and Teddy Wilson. Later on I grew up listening to the likes of Dizzy Gillespie, Benny Golson, Max Roach, Ella, Sarah {Vaughan}, Carmen {McRae}, Dave Brubeck, The Heath Brothers, Gil Evans, Clark Terry and Jackie McLean.  Now, 50 years after my first public performance, it feels like an incredible dream, to share the NEA Jazz Masters distinction with these giants that gave my life meaning."
Toujours en 2005, le gouvernement amĂ©ricain avait dĂ©cernĂ© Ă  D’Rivera la National Medal of Arts. NommĂ© clarinettiste de l’annĂ©e par la Jazz Journalists Association en 2004 et 2006, D'Rivera a Ă©galement Ă©tĂ© nommĂ© Living Jazz Legend Award par le Kennedy Center de Washington, D.C., en 2007. D’Rivera est aussi rĂ©cipiendaire d’un President's Award de l’International Association for Jazz Educators en 2008. En 2009, D’Rivera avait Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©corĂ© de la mĂ©daille d’honneur du National Arts Club. L’annĂ©e suivante, le Spelman College avait dĂ©cernĂ© Ă  D’Rivera un African-American Classical Music Award.
En 2017, D’Rivera a aussi remportĂ© un Bogomolny National Service Award de la Chamber Music America en reconnaissance de ses efforts pour inspirer les nouvelles gĂ©nĂ©rations de musiciens. La National Hispanic Academy of Media Arts and Sciences a Ă©galement rendu hommage Ă  D'Rivera en lui dĂ©cernant un Achievement in Music Award. D’Rivera a remportĂ© huit prix Grammy au cours de sa carriĂšre.
LaurĂ©at d’une bourse de composition de la Fondation Guggenheim en 2007, D'Rivera s’est aussi mĂ©ritĂ© plusieurs doctorats honorifiques, provenant d’institutions aussi prestigieuses que le Berklee College of Music (2003), la State University of New York Ă  Old Westbury (2012), la Manhattan School of Music, l’Université de Pennsylvanie, la City University of New York (CUNY) et l’Universidad de AlcalĂĄ de Henares, en Espagne.
Toujours trĂšs attachĂ© Ă  son pays d’origine, D'Rivera  avait sĂ©vĂšrement critiquĂ© le guitariste Carlos Santana pour avoir portĂ© un T-shirt Ă  l’effigie de Che Guevara lors du gala des Academy Awards en 2005. Dans sa lettre, D'Rivera  avait rappelĂ© le rĂŽle jouĂ© par Guevara dans l’éxĂ©cution de contre-rĂ©volutionnaires cubains, dont celle d’un de ses cousins.
D’Rivera avait toujours rĂȘvĂ© de devenir musicien et n’avait jamais songĂ© Ă  faire autre chose. Comme il l’avait dĂ©clarĂ© en entrevue, ‘’Music was in my soul and in my heart. I never had the idea to do anything else." D’Rivera a enregistrĂ© plus de trente albums sous son nom au cours de sa carriĂšre. Sur son site internet, la National Endowment of the Arts avait Ă©crit au sujet de D’Rivera: ‘’He has become the consummate multinational ambassador, creating and promoting a cross-culture of music that moves effortlessly among jazz, Latin and Mozart.’’
©-2024, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de l’Imaginaire historique
 SOURCES:
‘’Paquito D’Rivera.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Paquito D’Rivera.’’ All About Jazz, 2023.
‘’Paquito D’Rivera.’’ National Endfowment for the Arts, 2023.
‘’Paquito D’Rivera Biography.’’ Net Industries, 2023.
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bamboomusiclist · 6 months ago
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5/30 ăŠăŻă‚ˆă†ă”ă–ă„ăŸă™ă€‚ Banda Black Rio / Gafieira Universal 1030268 ç­‰æ›Žæ–°ă—ăŸă—ăŸă€‚
Della Reese / The Story Of The Blues SAH-J6021 Denise Darcel / Banned In Boston LP1002 Curtis Counce / You Get More Bounce With Curtis Counce Vol2 C3539 Norman Panama Melvin Frank Michael Kidd / Li'l Abner Ol5150 Miles Davis / Miles Ahead 682013tl Ron Geesin / Right Through RON323 Sly & the Family Stone / Back on the Right Track bsk3303 Sly & the Family Stone / Small Talk bl32930 Chakachas / Jungle Fever PD5504 Johnny Bristol / Bristol's Creme SD18197 Tania Maria / Made in New York st53000 Joao Bosco / Joao Bosco 74321230121 Banda Black Rio / Gafieira Universal 1030268 Joyce / Feminina 422862 Emilio Santiago / Emilio Santiago lpcid8028 Irakere / Irakere LD-3726 Jorge Ben / Energia 445004 Antonio Carlos Jobim / O Prestigio De Antonio Carlos Jobim 81115912
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~bamboo music~
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boricuacherry-blog · 1 year ago
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Batacumbele [meaning "to kneel before the drum" in Yoruba] was founded in 1980 in San Juan, Puerto Rico by master percussionist Angel "Cachete' Maldonado and is one of the leading Afro-Caribbean ensembles in the world. It is to contemporary Puerto Rican music what Irakere is to Cuba.
When Angel wanted to become more serious about native Puerto Rican drumming, he sought out Julio 'Caesar' Maco Rivera. There were the traditional congas, bongos, timbales, and other hand drums, but he was also introduced to the bata drums and their Yoruban sacred ceremonial rituals of Orisha. At the time the bata drum was rarely played in Puerto Rico, this being a strong Cuban influence that would permeate later thanks to Angel's introduction of these drums to a greater audience.
Angel was soon good enough to join up with Johnny El Bravo, who fronted one of the most popular dance groups on the island. By 1970, salsa was very popular. This introduced Angel to other musicians, such as Julito Collazo and Carlos 'Patato' Valdes, the Cuban drum masters who brought awareness of the bata drums to New York, where Angel relocated in the early 70s to join the salsa explosion there.
Angel also played for salsa bands La Conspiracion, Conjunto Libre, and Tipica 73, and for salsa pianist Larry Harlow. He played with Gato Barbieri for four years after being asked to join his band. He even did some gigs with Dizzy Gillespie.
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lboogie1906 · 1 month ago
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JesĂșs ValdĂ©s RodrĂ­guez, known as Chucho ValdĂ©s (October 9, 1941) is a Cuban pianist, bandleader, composer, and arranger whose career spans over 50 years. An original member of the Orquesta Cubana de MĂșsica Moderna, in 1973 he founded the group Irakere, one of Cuba’s best-known Latin jazz bands. Both his father, Bebo ValdĂ©s, and his son, Chuchito, are pianists as well. As a solo artist, he has won four Grammy Awards and three Latin Grammy Awards.
In 1967, he and his bandmates became founding members of Orquesta Cubana de MĂșsica Moderna, together with many other well-known Cuban musicians. This all-star big band would back singers such as Elena Burke and Omara Portuondo. In 1973, he along with other members of the Orquesta Cubana de MĂșsica Moderna founded Irakere, an ensemble that bridged Songo and Afro-Cuban jazz. He would continue his solo career, signing with Blue Note Records, which allowed him to get international exposure. #africanhistory365 #africanexcellence
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glauconaryue · 4 months ago
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Irakere - Misa Negra (Album)
Rare Latin Jazz record with deep afro-cuban mysticism
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sheetmusiclibrarypdf · 5 months ago
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Paquito DÂŽRivera "Nocturno en la Celda" -Recoletos Jazz-
Paquito DÂŽRivera "Nocturno en la Celda" -Recoletos Jazz (LIVE)
https://www.youtube.com/watch?v=5V-8pjeLr_c Nocturno en La celda (F. Chopin) Paquito DÂŽRivera: Clarinete y Saxo Pepe Rivero: Piano Reinier Elizarde "El negrĂłn": Contrabajo Georvis Pico: Bateria Manuel Machado: Trompeta Sonido directo: Ferni Duhalde Video & Audio mix juan Laguna Ac Hotel Recoletos 2018
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Francisco de JesĂșs Rivera Figueras (born 4 June 1948), known as Paquito D'Rivera, is a Cuban-American alto saxophonist, clarinetist and composer. He was a member of the Cuban songo band Irakere and, since the 1980s, he has established himself as a bandleader in the United States. His smooth saxophone tone and his frequent combination of Latin jazz and classical music have become his trademarks. Read the full article
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neuronicimpulses · 6 months ago
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I have a few recs for jazz newcomers that might be less obvious, but I think could appeal to those coming with outside tastes
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Roy Hargrove - earfood [2008]
A modern classic by former new guard of the straight ahead revival in the 80s/ 90s (contemporaries include Christian McBride, Joshua Redman, et al) turned gone-too-soon legend Roy Hargrove. Strasbourg St. Denis at this point has entered the canon of Jazz standards. There's not as much swing on this record as there are other grooves that a modern audience might be more accustomed too, but every one of the musicians on here are deeply embedded in the history of the music. Also, did you know he was on D'Angelo's acclaimed 2nd Album Voodoo?
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Count Basie - Atomic Basie [1958;reissue 1994]
Basie sits on the Mt. Rushmore of bandleaders. Over decades his Orchestra has embodied the essence and red-hot excitement of big band Swing music. The Atomic Basie record is a lot of people's favorite from the catalogue for a reason. The band, with Neal Hefti's charts, bring some FIRE, and even when the tempo is brought down the rhythm feels too damn good. Essential listening.
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Irakere [Live 1979]
Founded and led by Pianist Chucho Valdez, Irakere represented a long-absent cultural bridge between Cuba and the U.S. Their fusion of Afro-Cuban rhythms, bebop vocabulary, jazz fusion/funk, and more was State-mandated, innovative, and captivating (also they play their absolute asses off). They represent an important, albeit less known these days, piece in the history of Afro-Cuban jazz. Many of it's core/founding members have become legends of mainstream jazz (Chucho, Paquito D'Rivera, Arturo Sandoval).
I'm all for people who wanna jump in with Kind of Blue or A Love Supreme, and there are lots of people who aren't necessarily jazz heads who love those albums, but if you find that often recommended classics are not clicking, there is definitely something out there that will.
it was international jazz day and all you guys listened to was a single album??
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jazzplusplus · 3 months ago
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Chucho Valdés Irakere 50 "Estela Va a Estallar" | Jazz in Marciac 2024
Osvaldo Fleites (tp), Eddy De Armas Jr. (tp), Carlos Averhoff Jr. (ts), Luis Beltran (as), Chucho Valdés (p), José A. Gola (b), Horacio Hernandez (dr), Roberto Jr. Vizcaino Torre (perc)
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trascapades · 11 months ago
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🙏🏿🕊@amp_fiddler 🕊🙏🏿
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(#AfroStrut 📾John Roe)
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Reposted from @gillespeterson 🎧A tribute to #AmpFiddler today on @worldwide.fm 
. And a beautiful session + interview from @bel.cobain in the Mezz

https://worldwidefm.net/collection/gilles-peterson
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tracks played:
The Detroit Experiment - Space Odyssey
Tribe - Vibes From the Tribe
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@amp_fiddler - Words & Music (2003]
Amp Fiddler - Love & War [live in session]
Amp Fiddler - Eye to Eye [live in session]
Amp Fiddler - I Believe In You [live in session]
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Sundown - Spaced Outta Place Pt. 1
Sundown - Spaced Outta Place Pt. 2
L.J. Reynolds - Key To The World
Trus’me - Can We Pretend
Visioneers - Runnin’ ) @oreh4 @marc4hero
@therealdavinamusic - I Can’t Help It
@thebrandnewheavies - Dream On Dreamer
@altonmiller and @amp_fiddler - When the Morning Comes (Phil Asher’s Restless Soul Mix)
Innerzone Orchestra - People Make The World Go Round (Kenny Dixon Jnr remix) @moodymann313
@recloose - Ain’t Changin’ ( @carlcraignet Dark Soul Mix)
@officialmeshell - Friends
@moodymann313 - Sloppy Cosmic [@werpfunk - Cosmic Slop (Moodymann Mix)]
@prince & @yolikegeorge - We Can Funk
@ladysmithblackmambazo60 - Scatter The Fire
@slyandrobbie & Amp Fiddler - I Believe In You
Amp Fiddler feat. @reddsnappa48, @dezandresmahogani & Bubz Fiddler - No Politics
@maxwell - Ascension (Don’t Ever Wonder)
Theo Parrish feat. Amp Fiddler - Usually Suspected / The Quest
Bel Cobain - Unlikely
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BEL COBAIN IN SESSION
Bel Cobain - Pressure To Exist [live]
Bel Cobain - Came Over Me [live]
Bel Cobain - Leader [live]
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@officialaugustuspablo - East of The River Nile
@ninasimone - Vous Etes Seuls, Mais Je DĂ©sire Etre Avec Vous
@outkast with @ceelogreen - Liberation
Bel Cobain - Unsafe House
Bel Cobain - Awakening
@olivernight feat. @suziwong23 - The Light
Irakere - Chekeré Son
@miguelatwoodferguson & Suite For Ma Dukes Orchestra feat. @therealdwele - Angel (live)
Rima feat. @georglevinmusic - Subdued (Amp Fiddler Future Remix)
@scubaofficial feat. Amp Fiddler - If I Dub
#ArtIsAWeapon #MusicIsLife #DetroitLegend
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jannnifer · 1 year ago
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What Kind of Music Do People Listen to in Cuba?
When it comes to the rich and diverse music scene of Cuba, one cannot overlook the significant contributions of its famous Cuban singers. These talented artists have not only shaped the auditory landscape of the country, but they have also left an indelible mark on the global music industry. From the soulful melodies of bolero to the infectious rhythms of salsa and the revolutionary sounds of nueva trova, Cuban singers have captured the hearts of audiences worldwide with their unique voices and captivating performances.
Exploring the Vibrant Music Scene of Cuba
Cuban singers, with their unique styles and powerful vocals, have played a pivotal role in shaping the diverse musical landscape of Cuba. In this article, we will explore the captivating world of Cuban music and delve into the genres that have been made famous by remarkable Cuban singers.
1.     Son - The Root of Cuban Music
Son is a genre that emerged in the early 20th century and continues to captivate audiences with its infectious rhythms and heartfelt lyrics. Blending Spanish guitar with Afro-Cuban percussion, Son represents the soul of Cuban music. Its syncopated beats and lively dance moves create an irresistible energy that permeates the air. Son tells stories of love, joy, and the struggles of everyday life, offering a glimpse into the heart and soul of the Cuban people. With its timeless melodies and enduring popularity, Son has become a cherished cultural treasure, embodying the rich musical heritage of Cuba and serving as a foundation for the diverse genres that have emerged from the island.
2.     Salsa - The Global Phenomenon
Salsa, which is born in Cuba, has transcended borders and captivated audiences worldwide. This vibrant genre, influenced by Cuban son and other Afro-Cuban rhythms, has been propelled to new heights by some of the most famous Cuban musicians. Celia Cruz, the beloved Queen of Salsa, with her electrifying voice and charismatic stage presence, became an icon of the genre and popularized salsa internationally. Another legendary figure is Issac Delgado, known for his soulful interpretations and innovative approach to salsa. These influential musicians, along with many others, have brought the infectious rhythms and passionate spirit of Cuban salsa to the forefront of the global music scene, making it a cherished genre enjoyed by millions worldwide.
3.     Afro-Cuban Jazz - A Melting Pot of Styles
Afro-Cuban jazz is a captivating genre that melds the improvisational nature of jazz with the vibrant rhythms and melodies of Afro-Cuban music. This fusion creates a unique and electrifying sound that mesmerizes listeners. With its pulsating percussion, complex harmonies, and soulful melodies, Afro-Cuban jazz takes audiences on a captivating musical journey filled with passion and energy. Pioneers like Chucho Valdés and Irakere have pushed the boundaries of the genre, infusing it with elements of funk and rock to create a dynamic and innovative musical experience. Afro-Cuban jazz not only showcases the immense talent of its musicians but also represents the cultural richness and diversity of Cuba.
4.     Timba - A Modern Cuban Sound
Timba is a dynamic and modern genre of music that emerged in Cuba during the 1990s. It is a fusion of various musical styles, including salsa, jazz, funk, and hip-hop, resulting in a high-energy and infectious sound. Timba is characterized by its complex arrangements, syncopated rhythms, and vibrant performances. It has gained immense popularity among younger generations in Cuba and beyond, with artists like Los Van Van and NG La Banda leading the way. Timba represents a new wave of Cuban music that pushes the boundaries and appeals to contemporary tastes, infusing traditional elements with modern influences. Its irresistible beats and catchy melodies make it impossible to resist moving to the rhythm and experiencing the sheer joy of this captivating genre.
5.     Bolero - The Soulful Serenade
Bolero, a genre of traditional Cuban music, holds a cherished place in the hearts of Cubans and music lovers worldwide. With its soulful melodies, heartfelt lyrics, and captivating rhythms, bolero evokes a sense of nostalgia and romance. Originating in the late 19th century, this genre has stood the test of time, becoming a timeless expression of love and longing. Bolero showcases the rich cultural heritage of Cuba, embodying the essence of traditional Cuban music. Artists like Benny Moré and Ibrahim Ferrer have left an indelible mark on the genre, enchanting listeners with their passionate interpretations. Whether performed in an intimate setting or enjoyed through recordings, bolero continues to captivate audiences, transcending borders and generations.
The music of Cuba is a captivating tapestry of genres that reflects the nation's vibrant cultural heritage and diverse influences. From the rhythmic beats of son and salsa to the soulful melodies of bolero and the socially conscious lyrics of nueva trova, Cuban music offers a rich and dynamic auditory experience. Whether it's the infectious energy of timba or the nostalgic serenades of bolero, the music of Cuba holds a special place in the hearts of its people. It is a powerful form of expression that unites communities, preserves traditions, and celebrates the indomitable spirit of the Cuban people.
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elialbert · 1 year ago
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irakere - ya ve! 3/24/2013, 5:38:56 PM
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bamboomusiclist · 1 year ago
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Mahalia Jackson / Newport 1958 Cl1244 Sarah Vaughan / Vaughan And Violins mg-20370 Dardanelle Trio / Gold Braid ap-32 Erroll Garner / Other Voices cs9820/cl1014 Art Farmer / Early Art PRST7665 Clifford Brown / Best Coast Jazz mg-36039 Red Allen Kid Ory Jack Teagarden / At Newport mgv8233 George Masso / A Swinging Case Of Masso-Ism HL138 Al Casey / Jumpin' With Al 33.056 Wojtka Groborza / After Action psj187 Les McCann Ltd / live at Shelly's Manne Hole ls86036 Lagrene Bireli Jaco Pastorius / Stuttgart Aria jp1019 Ecstasy, Passion & Pain / Ecstasy Passion & Pain sr-3013 Joey D Vieira / Drum Drops Volume Two dd-7778 Roy Ayers / Daddy Bug SD1538 Irakere / The Legendary Irakere In London jhr005 John Tanson / Traditional Drumming and Dances of Ghana Fw8858 Andrew Poppy / the Beating of Wings zttIq5 Elvis Costello & The Attractions / Trust XXLP11 Elvis Costello / This Year's Model slept2
~bamboo music~
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archivomusicalrumberos1 · 2 years ago
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Pare Cochero - Chucho Valdés; Irakere MAS MUSICA
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