#Huchet

[postcard-from-the-past]

Mademoiselle Huchet on a vintage postcard

[ilovegers32]

[cdchyld]

Just added to Etsy!

~ "The Five Chinese Brothers" by Claire Huchet Bishop and Kurt Wiese (1938)

[adelantecomunicacao]

Vistas da exposição coletiva "Espaços do Ainda", em cartaz no Centro Cultural São Paulo - CCSP até 15 de agosto de 2023. Curadoria Luiz Cláudio da Costa. Produção Frida Projetos Culturais.

📷 : Thays Bittar

[textualviolence]

taking breaks from reading my medieval french critical-linguistic corpus to read Susan Sontag essay paragraphs like taking a cigarette break.

[ptbf2002]

My Top 10 Favorite Australian Shows

Next Stop For My Top 10 Worldwide Shows Is In Australia. Here's My Top 10 Of Shows That Was Produced In Australia.

#10 Dennis the Menace and Gnasher (2009 TV series)

#9 The Strange Chores

#8 H2O: Just Add Water

#7 CJ The DJ

#6 Zeke's Pad

#5 Mako's Mermaids

#4 100% Wolf Legend Of Moonstone

#3 SMG4

#2 Nate Is Late

And #1 Space Chickens In Space

Original Template By @DemitriaMiriam

Templates: https://www.deviantart.com/demitriamiriam/art/My-Top-10-Favorite-Meme-207757812 & https://www.deviantart.com/demitriamiriam/art/My-Top-10-Favorite-Meme-Ver-2-306608634

Dennis the Menace and Gnasher (2009 TV series) Belongs To David Law, Jiang Toon Animation Co. Ltd. Morning Sun Animation Co., Ltd. Shanghai Morning Sun Animation Co., Ltd. Sichuan Top Animation Co., Ltd. Top Draw Animation Inc. Sticky Pictures, Red Kite Animation, Beano Productions, The Beano, DC Thomson & Company Limited, CBBC, BBC Television, BBC Worldwide Ltd. BBC Studios Ltd. British Broadcasting Corporation (BBC), Nine Network Australia Pty. Ltd. And Nine Entertainment Co. Holdings Limited.

The Strange Chores Belongs To Charlie Aspinwall, Daley Pearson, Ludo Studio, Media World Pictures, Succ Pictures, Screen Australia, Film Victoria, VicScreen, Screen Queensland Studios, ABC Me (Australia), ABC Television (Australian TV network) And Australian Broadcasting Corporation (ABC)

H2O: Just Add Water Belongs To Jonathan M. Shiff, Jonathan M. Shiff Productions, ZDF Enterprises GmbH, ZDF Studios GmbH, ZDF, Australian Film Commission, Film Finance Corporation Australia, Screen Australia, Film Victoria, VicScreen, Pacific Film and Television Commission, Screen Queensland Studios, Network 10, Ten Network Holdings Ltd. Paramount Networks UK & Australia, Paramount International Networks, And Paramount Global

CJ The DJ Belongs To Stu Connolly, Mark Gravas, Kapow Pictures, Vision Animation, Millimages, Screen NSW, ABC Me (Australia), ABC Television (Australian TV network) And Australian Broadcasting Corporation (ABC)

Zeke's Pad Belongs To Liz Scully, Flying Bark Productions Pty. Ltd. Studio 100 Media, Studio 100 N.V. Bardel Entertainment, Inc. Avrill Stark Entertainment, Leaping Lizard Productions, Seven Network, Seven West Media Ltd. YTV, YTV Canada, Inc. And Corus Entertainment Inc.

Mako's Mermaids Belongs To Belongs To Jonathan M. Shiff, Jonathan M. Shiff Productions, ZDF Enterprises GmbH, ZDF Studios GmbH, ZDF, Screen Australia, Screen Queensland Studios, Network 10, Ten Network Holdings Ltd. Paramount Networks UK & Australia, Paramount International Networks, Paramount Global, And Netflix, Inc.

Nate Is Late Belongs To Sylvain Huchet, Peter Saisselin, Watch Next Media, La Factorie Animation, Nate is Late Productions, KidsFirst Distribution, Super RTL, RTL Deutschland GmbH, RTL Group S.A. Pop, Pop Max, CSC Media Group Limited, Sony Pictures Television Inc. Sony Pictures Entertainment Inc. Sony Entertainment, Inc. Sony Corporation of America, Sony Group Corporation, Narrative Entertainment UK Limited, Nine Network Australia Pty. Ltd. Nine Entertainment Co. Holdings Limited, France 4, And France Télévisions S.A.

Space Chickens In Space Belongs To José C. García de Letona, Rita Street, Markus Vad Flaaten, Tommy Vad Flaaten, Alan Keane, Shane Perez, Scott Sonneborn, Ánima Estudios, S.A.P.I. de C.V. Studio Moshi, Gingerbread Animation, Ingenious Media, CAKE Entertainment Ltd. Walt Disney EMEA Productions, 9Go! Nine Network Australia Pty. Ltd. Nine Entertainment Co. Holdings Limited, Disney XD, Disney XD, Disney Branded Television, Disney–ABC Home Entertainment and Television Distribution, Disney General Entertainment Content, Disney Media and Entertainment Distribution, Disney Entertainment, And The Walt Disney Company

[paworn]

Jérémie Huchet Clos Les Montys- Muscadet Sèvre et Maine 2020 - Blue by Alain Ducasse presents Alain Ducasse x Wilfrid Hocquet - 25 November 2022 https://www.instagram.com/p/Cn_y2YsrV0f/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[actu-juridique]

Cassandre Huchet, future bâtonnière du barreau de l’Essonne

https://justifiable.fr/?p=554 https://justifiable.fr/?p=554 #barreau #bâtonnière #Cassandre #future #Huchet #lEssonne Élue en juin dernier, Maître Cassandre Huchet succédera à Maître Ibrahima Boye pour le mandat 2025-2026 du barreau de l’Essonne. Avocate associée au sein du cabinet CPH, elle est spécialiste en droit des sociétés, ainsi qu’en droit commercial des affaires et de la concurrence. Elle est également formatrice pour l’École nationale de droit et de procédure. Rencontre. Actu-Juridique : Pourquoi être devenue avocate ? Cassandre Huchet : Je suis devenue avocate un peu par hasard. Ce n’était pas une vocation d’enfant mais une découverte sur le tard. J’avais commencé le droit pour devenir profiler, profession très à la mode à l’époque, ou plus raisonnablement commissaire de police, après un cursus en criminologie. Mais je suis devenue maman durant mes études et partir à l’école de commissaire de police était exclu. Durant ma licence, j’ai par ailleurs découvert que je n’étais pas forcément douée dans les matières que j’aimais ou qui m’attiraient initialement, mais je découvrais d’autres matières qui me plaisaient. J’ai ensuite cherché les autres débouchés du droit, car ces études me plaisaient beaucoup, mais j’avais envie de pratiquer et intégrer le monde du travail. C’est ainsi que j’ai intégré le master juriste d’entreprise d’Évry. Dans ce cadre, j’avais un stage obligatoire, que j’ai réalisé dans un cabinet d’avocat. C’est le cabinet où je suis toujours aujourd’hui. C’était une rencontre avec la profession et avec mon mentor. Je suis restée pour apprendre tout ce que je pouvais apprendre auprès de lui. Par rapport à la carrière de juriste d’entreprise, je trouvais le métier d’avocat plus varié, avec une richesse dans la diversité des clients et des dossiers. C’était beaucoup plus riche humainement pour moi, et je ne regrette pas mon choix. AJ : Vous êtes restée dans le même cabinet, pourquoi ? Cassandre Huchet : J’ai évolué et je suis devenue avocate associée très rapidement. Je suis entrée en 2009, j’ai prêté serment en 2012 et suis passée associée en 2015. Je suis valorisée et accompagnée. Quand on est bien, on ne part pas. J’ai toujours eu conscience de la chance que j’avais, et que j’ai encore, d’être dans ce cabinet. AJ : Y a-t-il des dossiers qui vous marquent plus que d’autres ? Cassandre Huchet : Ils sont tous importants. Ils ont tous quelque chose : soit une histoire de vie, soit une opération unique, très intéressante techniquement. J’ai par exemple un dossier de droit des affaires qui a terminé au pénal. Quand un dossier de conflit d’associés finit en meurtre, ça marque. AJ : Vous êtes née en Essonne, vous y avez grandi et fait vos études. Aujourd’hui vous y travaillez. Comment décririez-vous le département ? Cassandre Huchet : Le territoire est riche dans le sens de la diversité. Nous avons des bassins économiques intéressants. Nous pouvons avoir une population aisée et au contraire une population très pauvre avec un besoin en aide juridictionnelle. Le barreau, lui, est dynamique, familial et convivial. En tant que bâtonnière, j’ai à cœur de conserver ces caractéristiques qui font que c’est un lieu d’exercice agréable, avec beaucoup de potentiel de développement pour les confrères. AJ : Vous avez un cabinet à Évry et un cabinet secondaire aux Ulis. Est-il important d’être présente à ces deux endroits du département ? Cassandre Huchet : C’était cohérent avec mon activité. Aux Ulis, il y a beaucoup d’entreprises et j’avais déjà plusieurs clients là-bas. C’est une zone économique intéressante. C’était aussi un choix de développement. Aux Ulis ou ailleurs, c’est important pour les avocats de l’Essonne d’occuper le territoire. Même si cela concerne moins mes spécialités, l’Essonne est un territoire vaste et il est important qu’il n’y ait pas de désert judiciaire et que les avocats soient proches des justiciables. Les tribunaux sont de plus en plus parsemés mais les cabinets d’avocats peuvent faire ce maillage territorial. AJ : Vous exercez exclusivement en droit des sociétés, droit commercial, des affaires et de la concurrence. Pourquoi ces matières ? Cassandre Huchet : C’étaient les matières de mon mentor et la clientèle était déjà là. Ce sont des matières techniques passionnantes, qui n’empêchent pas ce relationnel important avec les clients, que j’apprécie beaucoup. Surtout, j’aime accompagner les entrepreneurs dans la création, le développement et parfois la fin de leurs projets. AJ : Votre métier a-t-il changé depuis vos débuts ? Cassandre Huchet : Nous nous adaptons en permanence aux évolutions. Le droit est en constante évolution, et c’est toute la plus-value de l’avocat qui est spécialement formé pour y répondre. Dans mon domaine, ce sont vraiment les années de crise sanitaire qui ont transformé le métier. Toutes les entreprises se sont mises au télétravail et on n’envisage plus une signature de transmission d’entreprise, par exemple, en présentiel. Mon activité se prête également totalement au télétravail, ce qui n’est pas le cas de tous mes confrères et consœurs. AJ : Vous avez été élue bâtonnière pour la mandature 2025-2026. Qu’est-ce qui vous a motivée ? Cassandre Huchet : C’est un peu un concours de plusieurs choses. C’était l’aboutissement de plusieurs années d’investissement syndical, ordinal et à la CARPA. Je me retrouvais peut-être en bonne position pour la connaissance des dossiers en cours. J’ai aussi derrière moi les présidences de quatre ou cinq commissions. Ce sont beaucoup de travaux suivis et dirigés. Finalement, je me suis dit que je pouvais sauter le pas du bâtonnat, que ce serait plus lourd mais peut-être pas autant que si je n’avais pas eu ce parcours. C’est un cheminement de plusieurs années. AJ : Comment vous placez-vous par rapport à votre prédécesseur ? Dans la continuité ou dans la rupture ? Cassandre Huchet : On ne peut pas être dans la rupture totale. Le mandat est seulement de deux ans, donc il y a forcément de la continuité, et chacun apporte sa touche personnelle. Je pense avoir un brin de modernité et de jeunesse. Je suis mieux placée pour certaines révolutions numériques et des outils qui doivent changer. Je me sentais capable de relever les enjeux actuels du bâtonnat, avec la notion d’accompagnement du personnel et des outils numériques. Il faut être proche des équipes que je connais déjà. J’espère apporter quelque chose en plus, sans aucunement renier mes prédécesseurs. AJ : Quels sont les enjeux de votre mandat ? Cassandre Huchet : Je vais par exemple poursuivre le travail effectué auprès des partenariats. C’est un travail continuel de les entretenir. J’ai suivi ces travaux de près et je vais pouvoir les reprendre. Il y a d’autres enjeux que je maîtrise moins à l’avance et que je prendrai au fur et à mesure, comme les relations avec les juridictions ou l’accès au droit. Ce sont des sujets récurrents. Nous avons en ce moment aussi beaucoup de menaces au niveau de notre profession et cela fera partie des enjeux du bâtonnat avec une voix à porter parmi tous les barreaux de France. Il faut être capable de répondre unanimement et de faire bloc sur ces sujets-là. AJ : Quelles sont les actualités dans le monde judiciaire et juridique qui vous interpellent ? Cassandre Huchet : Il y a la réforme de procédure civile en préparation, qui est tantôt activée, tantôt mise sur pause, tantôt on nous consulte… Il y a aussi des avocats qui demandent de revenir en arrière sur la réforme de la procédure d’appel, qui n’arrange finalement pas le délai de sortie des décisions. Je crois que les juridictions finissent par le reconnaître. Il faudra être vigilant pour saisir les opportunités à ce sujet. Je suis évidemment interpellée par la situation des avocats dans le monde et en France. Notre consœur Sonia Dahmani a été condamnée à deux ans de prison sans procès (en Tunisie, NDLR). C’est assez terrible de voir que c’est encore possible en 2024. Il y a eu en France la publication de la liste « des avocats à éliminer », au sortir des élections législatives, accompagnée d’images extrêmement choquantes de mise à mort (par le site d’extrême droite Réseau libre, NDLR). Les avocats sont sur le devant de la scène en ce qui concerne les libertés publiques et sont des cibles à abattre. Il faut que l’on continue de faire corps pour montrer l’unité de la profession sur ces sujets-là.

[zehub]

En Moselle, une tour de la centrale électrique de Saint-Avold dynamitée

La plus haute tour de la centrale Emile Huchet de Saint-Avold a été dynamitée ce dimanche matin devant quelque 200 personnes qui ont été mobilisées pour assister à ce « foudroyage »

[entomoblog]

La mouche, le scarabée et le cadavre… Petites fables archéoentomologiques sur la Mort et les traitements funéraires

See on Scoop.it - Variétés entomologiques

Conférence animée par Jean-Bernard Huchet, archéoentomologiste, ingénieur de recherche CNRS – MNHN, laboratoire PACEA (Université de Bordeaux).

  Planète conférences - Vannes

  Le 06.02.2024 - Université Bretagne Sud, Vannes - 20h

[tourismesaintavoldrando]

Sortie pédestre du lundi 8 janvier 2024 :

35 participants pour la reprise ! Un peu de fraîcheur, mais surtout de la bonne humeur ont accompagné nos marcheurs sur un parcours de 10 km à Saint-Avold, en passant près du Cimetière Américain dans la cité Émile Huchet et pour apercevoir encore le sapin de Noël en forêt d'Oderfang décoré par le Club Vosgien.

Prochaine sortie le lundi 15 janvier à 14h au départ du parking derrière la pharmacie Patton à Saint-Avold.

Photo : Club Vosgien de Saint-Avold

[ilovegers32]

L’océan

[artesubjetividade]

Esdras Gonçalves

Uma série de fotografias selecionadas cuidadosamente em meio às tantas outra, emergem imagens escolhidas com primor, a princípio, da planta chamada “Cana-da-Ìndia”. As imagens se entrelaçaram para formar um seleto agrupamento de formas e cores, capturando o efêmero que ousamos denominar como "momentos que nos tocam" no cotidiano. A proposta aqui é explorar, com máxima objetividade e impacto, a essência desses registros imagéticos, buscando expressar com eloquência o que nos toca, o talvez indizível. Referenciados por obras como "Tal qual, a fotografia" de Stephane Huchet, "O “eu” é o Corpo" de Maria Rita Kehl, "Arte Contemporânea: Uma História Concisa" de Michael Archer, "Couraças” de Reich a Boiesen: um percurso biodinâmico" de Ana Cristina dos Santos Teixeira, entre outros, nutrindo e procurando aclarar da melhor forma possível o objeto subjetivo da composição visual.

Essas imagens nos oferecem uma oportunidade singular de contemplação da essência intrínseca ao processo natural de formação e transformação das coisas, instigando a materialização daquilo que nos toca enquanto seres, enquanto componentes corpóreos integrados a esse intrincado sistema construtivo denominado "vida".

A tangibilidade dessa realidade surge quando nos permitimos coexistir como elementos integrantes dessa complexa "engrenagem viva", esse processo organizacional criativo permeado por sentimentos simultaneamente contemplativo.

A natureza contemplativa aqui transcende a mera observação visual e vai além do contato físico; expande-se para a esfera do sentimento, sendo o ato gerador de vida e a corporeificação da essência do olhar contemplativo, o “punctum”, como sugere Stephane Huchet em "Tal qual, a fotografia" (2004) “é um ponto sublime em forma de haiku  visual”, a energia emocional. Neste contexto, a "engrenagem viva" em constante movimento responde às provocativas interações do corpo que a originou.

Em destaque, procuro promover o âmago da representação visual dos incipientes botões florais, extraindo meticulosamente toda a essência contemplativa que fertiliza seus pigmentos cromáticos e o verde exuberante de suas folhas resolutas. Estabelece-se, assim, um diálogo eloquente entre dois corpos coexistentes em um mesmo universo. Nas imagens que retratam tais botões, além de destilar mensagens que nos transportam ao âmago do processo construtivo, isto é, à fase em que todas as manifestações se metamorfoseiam-se, cedendo espaço ao surgimento do novo, inaugurando, por conseguinte, uma subsequente etapa evolutiva. Seja esse processo criativo ou não, natural ou imbuído de uma artificialidade inerente, tudo aquilo que se metamorfoseia ou instiga a metamorfose integra, em última instância, um PROCESSO TRANSFORMADOR. Este é um componente indissociável da engrenagem viva, perpetuamente imersa em um movimento incessante.

As flores, agora metamorfoseadas em botões de aparência esférica e tonalidades negras absolutas, desdobram-se em uma exibição de núcleos sólidos, simultaneamente marcantes e sublimes. Sustentados por conchas protetoras, compostas por finos filamentos entrelaçados na superfície externa. Esses elementos testemunham o encerramento de um ciclo natural, a conclusão do processo da "engrenagem viva".

Esse ciclo, que se replica nas diversas formas de existência que nos rodeiam, num contraste subjetivo agora em uma constante frequência da realidade existencial humana. Submetemo-nos constantemente a esse processo imperceptível, moldados pelos padrões naturais que esculpem corpos vivos, dando forma a características, personalidades, estereótipos e destinos meticulosamente delineados por escultores sistêmicos, sociais, políticos e coloniais, Maria Rita Kehl em "O “eu” é o Corpo", afirma que o corpo humano nunca será puramente “natural”, livre de qualquer influência externa, ou seja, estará sempre impregnado pela cultura onde está inserido.

Neste mesmo contexto reflexivo, desperta o sentimento resoluto de insatisfação, engendrando movimentos obstinados na conquista de nosso papel como indivíduos no seio do ambiente em que nos encontramos. As imagens de uma árvore que emerge e prospera junto ao alicerce da Biblioteca do Curso de Letras/UFRJ, personifica de maneira eloquente essa luta subjetiva do corpo em busca de sua própria inserção e sobrevivência no cenário circundante adverso.

Esta aparência transcende a mera manifestação do ciclo natural de crescimento de uma planta em solo propício e tropical, como retratado na imagem. Ele remete, de maneira mais profunda, ao impactante valor histórico associado ao extenso aterramento ocorrido na região, que unificou as nove ilhas ali outrora existentes, para dar lugar ao atual Campus da UFRJ na ilha do Fundão. As imagens capturadas ostensivamente, assim, com um significante intrínseco e audacioso, expressa um grito subjetivo e desbravado em prol da conquista de espaço, enquanto constroem pontes de significados entre os corpos dos indivíduos e os espaços sociais que ocupam.

A mensagem sugerida pelas imagens que retratam o crescimento de uma árvore “sufocada” pelo alicerce desta edificação, transcende a mera representação visual, evocando os valores intrínsecos da resiliência e superação. Essa luta, simbolizada pelo ímpeto de crescimento da árvore, manifesta-se em diversas facetas e nuances da existência, configurando-se como uma resposta vigorosa frente às injunções da injustiça, opressão e demais formas de desigualdade.

Trata-se, assim, de um elemento transformador que, de maneira inegável, se desdobra em um percurso desafiador, no qual as vicissitudes e obstáculos são transpostos com destemor, alcançando um estado mais profundo de compreensão e iluminação. Este processo de superação, além de se restringir ao âmbito físico, assume contornos metafóricos, subjetivos, transformando-se em um símbolo emblemático de crescimento pessoal.

A árvore, ao crescer de maneira resiliente junto ao alicerce, materializa-se como um arquétipo poderoso, representativo da busca incessante por significados mais profundos na teia complexa da existência. Esta imagem, combinada de simbolismo, delineia a jornada contínua em direção a um entendimento mais amplo e uma realização intrínseca, destacando a nobreza da persistência na trajetória da vida.

O fundamento em concreto, com sua estrutura robusta, fixa e visivelmente imponente, assentado sobre a raiz da árvore, a qual, por sua vez, inicialmente se submete aos seus contornos, pode ser interpretado, sob a ótica da subjetividade, como uma faceta opressora do sistema político hegemônico em que o corpo está imerso. Por um lado, temos o sistema macropolítico impondo códigos, estabelecendo formas e moldes hegemônico predefinidos sobre os corpos, imprimindo vestígios traumáticos. Enquanto por outro lado, a micropolítica se manifesta reagindo à hegemonia, onde o indivíduo, agitou nos interstícios da sobrecodificação, direcionando seus passos na busca libertária de seus próprios conceitos e formas.

A imagem desvela um cenário iluminado por mensagens impregnadas de resiliência, força e superação. Nesse palco da vida, representado pela composição de cores e formas das imagens, onde cada pigmento captado pela lente fotográfica confirma este cenário imaginário.

https://sites.usp.br/jardimdabotanicausprp/cana-da-india-canna-indica/

[adelantecomunicacao]

"Espaços do Ainda" no Centro Cultural São Paulo - CCSP. Jul2023

Exposição coletiva sobre arte e precariedade tem curadoria de Luiz Cláudio Costa. Exibição gratuita no CCSP de 1.jul. a 13 ago 2023

Abre dia 1. de julho de 2023, sábado, no Centro Cultural São Paulo, a exposição “Espaços do Ainda”, com curadoria de Luiz Cláudio da Costa. Exibida inicialmente no Paço Imperial (Rio de Janeiro) em 2022, a coletiva reúne oito artistas contemporâneos e propõe-se a debater se a precariedade pode ser uma imagem a fundamentar a arte política. "No contexto da crise da arte, da crise ecológica, da crise da democracia, da crise do humanismo, essa exposição busca “espaços do ainda”: ainda arte, ainda democracia, ainda humanos", indaga o curador.

[ 📷 Ana Emerich. Mapa (essa boca que falha com os invisíveis que rumina). 2020. Fotografias sobre papel algodão em moldura. 140 x 113 cm. Divulgação]

"Que gestos podem ser ainda ‘artísticos' se o contexto social , a dinâmica do mercado e diversos fatores externos atravessam e contaminam a arte?”, questiona o curador.  No contexto das crises que vivemos, a exposição busca reencontrar a precariedade existencial como experiência política da arte, fato ambicionado pela artista Lygia Clark ainda nos anos 1960. 

[📷Leila Danziger. Papéis de um Dia (Cinelândia). 2019-2022. Tinta gráfica sobre papel e fotolitografia sobre papel. Divulgação]

Artistas de linguagens diversas, atuando em regionalidades variadas – Rio de Janeiro, São Paulo, Paraíba, Brasília, Minas Gerais – conversam sobre o território da vulnerabilidade, que é, também, o da abertura do gesto artístico à diferença, à suspensão, à falha.

Os trabalhos reunidos pelo curador pesquisador Luiz Cláudio dialogam com questões éticas e políticas urgentes que tocam o campo da estética. Fazem parte da exposição obras dos artistas: Ana Emerich, Christus Nóbrega, Cristiana Miranda, Leila Danziger, Livia Flores, Patricia Franca-Huchet, Floriano Romano e Rosana Paulino.

[📷 Livia Flores. Eles riram. 2019-2022. Guache preto sobre folhas de jornal série de 80 desenhos]

“Espaços do Ainda” é resultado de um projeto de pesquisa sobre as relações entre arte e precariedade desenvolvido na Universidade do Estado do Rio de Janeiro (UERJ) em parceria com o Arquivo Nacional (RJ). Para a itinerância em São Paulo, o projeto contou com o apoio do Edital12/2022 do Proac - Secretaria de Estado de Cultura e Economia Criativa e o Centro Cultural São Paulo.

[📷 Rosana Paulino. A Ciência é a Luz da Verdade. 2016. Imagem transferida sobre papel, colagem e lápis conté e acrílica sobre papel. 56,0 x 42,0 cm. Foto: Cláudia Melo]

“Espaços do Ainda” encerra a pesquisa com a exibição das obras criadas em resposta aos questionamentos levantados ao longo de 2 anos pelo pesquisador e curador Luiz Cláudio da Costa. 

📷 em destaque: Christus Nóbrega. Gráfica Paraíba, Arte em Panfleto. 2021-2022. Instalação composta por cartazes, panfletagem, bandeiras e livros dimensões variadas. Divulgação 

📷 Imagens de divulgação: https://l1nq.com/Xxmv7

🔗 Texto de curadoria: https://l1nq.com/FTwIZ

Serviço:

Exposição: "Espaços do Ainda" Centro Cultural São Paulo – Rua Vergueiro, 1000 - Paraíso – São Paulo /SP Abertura: 01 de julho de 2023 – 11:00 horas Exibição: de 02 de julho a 13 de agosto de 2023

Horários: terça a sexta, das 10h às 20h; sábados, domingos e feriados, das 10h às 18h Não é necessária retirada de ingresso. Livre

📷 Imagens de divulgação: https://l1nq.com/Xxmv7

Mais informações para a imprensa:

Décio Hernandez Di Giorgi Adelante Comunicação Cultural 🔗 adelantecomunicacao.tumblr.com/ 📩 decio.di.giorgi@gmail.com 📱 (+ 55 11) 98255 3338

[arte-e-subjetividade-em-imagens]

Uma série de fotografias selecionadas cuidadosamente em meio às tantas outra, emergem imagens escolhidas com primor, a princípio, da planta chamada “Cana-da-Ìndia”. As imagens se entrelaçaram para formar um seleto agrupamento de formas e cores, capturando o efêmero que ousamos denominar como "momentos que nos tocam" no cotidiano. A proposta aqui é explorar, com máxima objetividade e impacto, a essência desses registros imagéticos, buscando expressar com eloquência o que nos toca, o indizível. Referenciados por obras como "Tal qual, a fotografia" de Stephane Huchet, "O “eu” é o Corpo" de Maria Rita Kehl, "Arte Contemporânea: Uma História Concisa" de Michael Archer, "Couraças” de Reich a Boiesen: um percurso biodinâmico" de Ana Cristina dos Santos Teixeira, entre outros, nutrindo esta narrativa textual, procurando aclarar da melhor forma possível o objeto subjetivo da composição visual.

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https://www.lasemaine.fr/saint-avold-la-centrale-a-charbon-emile-huchet-est-elle-definitivement-a-larret/