#Grande Tortue
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Nymphalis polychloros | Les Papillons dans la Nature (1934) | Paul-André Robert (1901-1977)
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Robert Kime, la maison-monde
"Les trésors d'au-delà des mers afflueront vers toi"
Robert Kime exerçait le métier d'antiquaire. Son travail consistait à parcourir le monde à la recherche d'objets de mobilier artisanal rare pour revenir les installer dans l'écrin de la rigueur londonienne qui lui était familier. Monsieur Kime avait trouvé la sprezzatura du logement en le rendant chaleureux sans qu'il ait l'air professionnellement décoré. Son style est le plus abouti de la catégorie "foyer colonial", un genre qui évoque les vies romanesques antérieures au tourisme, où le doux foyer du voyageur ancien s'enrichissait de trouvailles durement acquises au fur et à mesure des retours de pays lointains. Chaque salle exprime ici en miniature quelque chose d'impérial, chaque élément décoratif est la strate d'une sédimentation patiente, chaque objet concourt à former un vaste cabinet de curiosités. Lorsqu'un coin de salon abrite plusieurs continents et plusieurs époques, le terme de musée vient à l'esprit. Plutôt que d'être statufié, le passé est ici habité. Installé dans une demeure il peuple l'arrière-plan de la vie quotidienne d'une famille, il accompagne un foyer tourné vers l'avenir, il est témoin du passage des jeunes de l'enfance à l'âge adulte, des allées et venues, des éclats de rire, des grands départs et des réconfortants retours. Les intérieurs Robert Kime ont une âme.
Le style d'habitat fixé par Robert Kime était courant chez la bourgeoisie du 20ème siècle. La peau de panthère au milieu des boiseries victoriennes, nous voyons cela dans Tintin, Blake & Mortimer, c'est une image d'Épinal. Ralph Lauren Home a puisé tardivement mais abondamment à cette source. Les appartements meublés dans ce goût éclectique étaient courants chez les diplomates, médecins coloniaux, antiquaires, marchands au long cours, collectionneurs, officiers de marine, anciens expatriés et autres catégories sociales baroques qui faisaient le charme des beaux-quartiers. La maison selon Kime est une maison coloniale placée en Europe pour qu'elle raconte le monde entier. Accomplissement des promesses messianiques, elle est la salle du trône où les richesses du monde ont afflué : tapis iraniens, carapaces de tortue des Maldives, vases chinois, instruments de musique indonésiens, estampes japonaises, table de changeur byzantin, bas-reliefs moghols, fragment d'ostrakon athénien. Jalonnées de mobilier occidental plus sobre, ces raretés rassemblées en un même lieu offrent un panorama de provenances et d'époques. Kime est l'assembleur d'une beauté composite comme les parties juxtaposées d'un vitrail, il est le découvreur de l'harmonie entre des tons, des volumes, des grammages que tout séparait.
Transportés en navire de fort tonnage à travers les tempêtes, débarqués par les dockers, les exigences du plaisir esthétique supposent une rude logistique. À Mayfair, Chelsea, Marylebone, à Jasmin, Trocadéro, Saint-Germain-des-Prés, l'honnête homme faisait de son foyer un résumé du monde où chaque mètre carré chantait la légende coloniale. "Saïgon", "Macassar" ou "Singapour", sont des mots teintés d'une telle force évocatrice que, prononcés pour qualifier la provenances des objets dans un appartement donnant sur un boulevard venteux, ils suffisaient à rappeler la position heureuse où la Providence avait placé votre petite nation capable d'en administrer d'autres situées à cinq semaines de bateau.
La maison de famille est elle aussi devenue universelle. Le monde est venu à elle, tandis que son génie local, occidental, s'est étendu au monde. La maisonnée en a rapporté les nectars les plus purs, chacun d'entre eux exprimant l'intégralité des sucs d'une cité étrangère, d'une histoire, d'un peuple. Toute cosmopolite qu'elle soit, la maison Robert Kime est une maison européenne d'abord, universelle ensuite.
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Ne pas se fier aux apparences. Des richesses autrement précieuses que de menus chiffons gisent en ces demeures. Chaque motif de chaque étoffe provient de traditions anciennes, de savoirs-faire délaissés, de palais sauvés des orages d'acier du 20ème siècle. Le damas, le Jouy, l'arabesque, le point d'Alençon, ont chacun leur signification profonde. Le paisley par exemple ne figure-t-il pas la larme du Boudha dans une tradition antérieure de 800 ans à notre ère, et transmise par des générations d'artisans indo-aryens ? La maison Robert Kime c'est la petite Europe maintenue au sommet de sa forme, si haut qu'elle peut voir l'intégralité du monde, et le donner à voir.
Monsieur Kime a eu des goûts sûrs et des dégoûts encore plus sûrs, il était connu pour exprimer en public des opinions tranchées (il n'était donc pas un gentleman). En un temps de désastreux designers Monsieur Kime persistait disait-il, à "faire des intérieurs pour qu'ils soient habités, non pour qu'ils soient regardés". La dualité radicale de l'ergonomie et du design est ancienne or il existe une ergonomie de l'habitat qui la réconcilie c'est cet ameublement smart, terme jailli des fontaines de l'intuition qui se traduit chez nous par "intelligent", mais encore par "joli", "élégant", et "fonctionnel". L'accord gracieux du fond et de la forme, du principe et de l'exécution, tient en un mot.
À l'origine de cette passion pour la beauté on trouve dans l'enfance de cet homme un modèle familial menacé, puis l'équilibre trouvé à l'adolescence dans la stabilité du foyer de son beau-père, un lieu embelli de fournitures curieuses rapportées de l'Inde à l'époque de sa grandeur. "J'essaie de créer une atmosphère dont j'ai été privé enfant. Tout est là, c'est une histoire d'atmosphère". Il fut un jeune homme précoce mais inadapté, connut Oxford, les années 1960, la charnière entre une Europe productrice, religieuse, éduquée, et le monde moderne passif, consommateur, avide de loisirs.
Au terme de l'université, Sotheby's lui offre un emploi mais Kime se retrouve à la tête de sa propre boutique par la rencontre fortuite d'une héritière qui cherchait un antiquaire pour l'aider à vendre sa collection de famille. En 1970, il épouse Helen Nicoll, auteur de livres pour enfants, et le couple s'installe dans une ancienne école gothique. La propriété est si vaste que Robert Kime y ouvre un commerce d'antiquités spécialisé dans les objets antérieurs à 1700. "Chaque salle doit commencer par un tapis" sera sa devise, ainsi commenceront les premiers voyages en Egypte et en Turquie pour y trouver des textiles anciens.
En pleine dégringolade libérale-libertaire 1970, alors que la transmission s'effondrait, quelques rares passionnés remontaient la source. Ce parcours eut pour Kime deux étapes. Sa première période antiquaire lui enseigna les étoffes, objets et motifs issus des colonies qui venaient de fermer. Dans sa seconde période, la plus hardie et la plus belle, il devint en 1988 fabricant de ces objets, aussi la production d'ornements tombés en désuétude trouva par cette initiative une résurrection.
Les créateurs compétents sont en général formés d'une base de culture classique à laquelle ils ajoutent peu à peu des apports exogènes. Peu nombreux, ils sont des hommes ordonnés, configurés à un ordre supérieur, à un Surmoi qui leur enseigne le bon usage en toutes choses, et s'ils extravaguent parfois ils ne transgressent jamais. Chez les hommes de goût la seule faute grave est la faute de goût.
Le grand désarroi des gens riches: comment dépenser l'argent. How to spend it est d'ailleurs le titre d'un mensuel catalogue à snobismes hors de prix. L'éducation du goût permet des économies, et une conduite de vie où s'enrichir et dépenser concernent l'esprit aussi. Les hommes seront davantage portés à l'héllenisme s'ils ont côtoyé enfant chez leur parent un buste d'Athéna.
L'offre d'ameublement pour la bourgeoisie a versé depuis la fin des année 1980 dans l'asepsie de loft Patrick Bateman, dans la cuisine et salle d'eau de style "bloc opératoire", dans l'armoire en métal, dans le noir et blanc. L'épure était chez les mondains une aubaine pour fuir dans l'abstrait, une transposition concrète d'un rapport au monde imposé. Le lissage des textures, la granulométrie faible, visaient à présenter un visage objectif, glissant, neutre. Les européens avaient soudain honte de tout charme qui leur soit spécifique et c'étaient les débuts de l'art-robot, anti-local, anti-artiste. Certains historiens avaient compris que 1945 serait une épuration non pas ponctuelle mais le prélude à une épuration continuelle. Épurer les lignes du mobilier était une manière d'offrir des surfaces où un coup ne peut que ricocher. Passion nouvelle, il fallait ne laisser nulle prise à la critique, n'être jamais soupçonné pour ses goûts de quelque intention condamnable. Qu'est-ce que nos intérieurs sinon les lapsus de nos intentions profondes? Un chez-soi, c'est soi-même rendu lisible par les autres. Une époque de toute-puissance du second degré dans les invitations à dîner commençait, langage de l'équivoque et du compromis, grammaire de toutes les servitudes. Ne pas nommer, ne pas assumer, ne pas penser. Patrick Bateman est l'archétype du mondain lisse, au point qu'il est contraint de chercher une soupape dans la violence, au point d'épurer L'Épuration elle-même pour pouvoir la supporter.
Robert Kime s'est consacré au parti-pris, au subjectif, au palpable qui se donne tel qu'en soi-même, il a pris le risque du ridicule et a triomphé par la beauté. Ne dit-on pas d'un travail très réussi qu'il est "désarmant"? Ainsi de ces arrangements mobiliers qui tombent sous le sens au point qu'ils renvoient même le second degré dans son repaire, complètement battu. En une époque de showroom publicitaire Robert Kime a osé la ligne courbe, le matériau noble, la texture granuleuse présente au toucher. En une époque de grisaille et de conformisme Robert Kime reste la solution idéale pour colorer son intérieur en lui conservant un goût parfait.
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#Robert Kime#home decor#antiques#Fabric#Craft#Paisley#London#Style#Paris#Éclectique#home interior#interior design#interior decorating#Chelsea
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Meubles de Pietro Piffetti (1700 - 1777).
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Pietro Piffetti, ébéniste en chef du royaume sarde, était considéré comme le maître italien le plus sophistiqué du XVIIIe siècle. Il est devenu célèbre pour ses meubles formels. Le travail de Piffetti était célèbre pour sa finition extrêmement soignée des détails et sa qualité, rivalisant avec les réalisations des grands maîtres français. Les meubles Piffetti se caractérisent par des motifs de marqueterie complexes faits de bois exotiques et de matériaux précieux : plaques d'écaille de tortue, nacre et ivoire gravé.
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Happy birthday to my little baby ꒰♡ˊ͈ ु꒳ ूˋ͈꒱.⑅*♡
It's a bit short, but there's no angst, miracle. One day I'll publish some stuff about him ♪♪(o*゜∇゜)o~♪♪
Aim and Post Dark Cream belong to @zu-is-here
⊰✧⊱
Les deux enfants rentrèrent dans la boulangerie, accompagnés de Killer et saluant le vendeur, une tortue plutôt âgé. Ils se dirigèrent vers les vitrines, regardant les nombreuses tapisseries et viennoiseries disposés : des forêt noires, des gâteaux fruités remplis de crème, des milles-feuilles, des chou à la crème, des tartes au citron meringuée, des macarons, des éclairs au chocolat et au café, des pains au chocolat et des croissants.
— Ça a l'air trop bon, s'extasia Aim devant la vitrine, les étoiles dans les yeux.
Après avoir choisi deux gâteaux, une forêt noire et un gâteau au fruit, Killer demanda le plus naturellement du monde :
— Lequel vous voulez ?
— Mais Papa a dit que on devait juste chercher deux gâteaux, et qu'on devait pas prendre autre chose au sinon on allait pas finir de manger.
Nuisance avait dit ça en regardant le plus grand, comme s'il essayait de déceler si cela était un simple test ou oubli de sa part. En voyant son sourire confiant, il comprit qu'il n'avait pas oublier ça ou quoi que se soit d'autre, il n'avait juste pas envi d'écouter cet ordre qui lui avait initialement été donné.
— Night sais bien que quand on rentre dans une boulangerie avec des enfants il faut aussi prendre une petite pâtisserie pour le gouter. Et si on les mange sur le chemin du retour, il n'en saura rien. Alors, vous voulez quoi ?
— Celui au chocolat là-bas, répondit rapidement le plus petit.
— On appelle ça un éclair au chocolat... Mais j'aurais pensé que tu aurais pris le chou à la crème.
Tout en disant cela, il désigna la fameuse pâtisserie, sachant que Aim ne pouvait pas lire les petites pancartes devant la nourriture.
— C'est vrai que ça a l'air bon, mais il n'y a pas de chocolat.
Le plus grand sourit avant de demander la fameuse pâtisserie, ainsi qu'un mille-feuille au vendeur. Pendant que ce dernier commencer à prendre la nourriture pour les mettre dans une des petites boites en carton fins, il redemanda la même question à l'enfant aux yeux vairons, ne voulant pas qu'il soit le seul à ne rien avoir. Ce dernier regarda de nouveau le plus grand dans les yeux, avant de retourner son attention sur son cousin qui lui souriait comme pour l'encourager à prendre quelque chose. Finalement il bredouilla d'une petite voix :
— Des macarons.
Le squelette à l'âme bicolore lui frotta la tête, pas surpris le moins du monde par ce choix. Puis lorsqu'ils partirent de la boulangerie, remerciant la tortue, il donna les petits gâteaux aux deux enfants, qui s'empressèrent d'en prendre un morceau. Nuisance tendit un macaron marron à Aim avant de rajouter :
— C'est au chocolat si tu veux gouter... Kills, Papa va être en colère contre nous s'il découvre qu'on lui a désobéit.
— Ne t'inquiète pas, il ne saura pas. Et puis, s'il le découvre, ce ne sera pas contre vous qu'il sera en colère, mais contre moi.
⊰✧⊱
The two children entered the bakery, accompanied by Killer and greeting the shop assistant, a rather elderly turtle. They walked towards the shop windows, looking at the many tapestries and pastries on display: black forest, fruity cakes filled with cream, mille-feuilles, cream puffs, lemon meringue tarts, macaroons, chocolate and coffee eclairs, pains au chocolat and croissants.
"It looks so good", Aim exclaimed in front of the window with stars in his eyes.
After choosing two cakes, a black forest and a fruit cake, Killer asked most naturally:
"Which one do you want?"
"But Papa said we should just get two cakes, and that we shouldn't get anything else or we wouldn't finish eating."
Nuisance had said this while looking at the taller boy, as if trying to detect whether this was a simple test or an oversight on his part. Seeing his confident smile, he knew he hadn't forgotten that or anything else, he just didn't feel like listening to the order that had originally been given to him.
"Night knows that when you go into a bakery with children you have to take a little pastry for a snack. And if you eat them on the way home, he won't know. So what do you want?"
"The chocolate one over there," the little one answered quickly.
"It's called a chocolate eclair... But I would have thought you would have taken the cream puff."
As he said this, he pointed to the famous pastry, knowing that Aim couldn't read the little signs in front of the food.
"It does look good, but there's no chocolate."
The taller boy smiled before asking the vendor for the famous pastry and a mille-feuille. As the latter started to take the food and put it in one of the small thin cardboard boxes, he asked the same question to the child with the minnow eyes, not wanting him to be the only one without anything. The latter looked the taller boy in the eye again, before returning his attention to his cousin who was smiling at him as if to encourage him to take something. Finally he stammered in a small voice:
"Macaroons."
The skeleton with the two-tone soul rubbed his head, not surprised in the least by this choice. Then as they left the bakery, thanking the turtle, he gave the little cakes to the two children, who hurried to take a piece. Nuisance handed Aim a brown macaroon before adding:
"It's chocolate if you want a taste... Kills, Dad will be angry with us if he finds out we disobeyed him."
"Don't worry, he won't find out. Besides, if he does find out, he won't be mad at you, he'll be mad at me."
#undertale#au#ua#killer#aim sans#nuisance#nuisance sans#killer sans#birthday#and I only realize after 2 days that I forgot to make tags ('•w • )#of course Nightmare will know... probably
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Je n'étais qu'une enfant (poésie écrite à l'occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation) Je n'étais qu'une enfant quand ils m’ont dérobé La lueur dans mes yeux. L’ombre m'a enrobée. Vous, hommes habitant les terres canadiennes, Sachez qu'auparavant elles étaient les miennes! Pensez à mon peuple quand le sol québécois Taché de notre sang vous offre blé et bois. Vous parlez du bonheur d'antan et moi j'entends Un chant du cygne dans mon cœur indépendant. Dans l'école résidentielle, on m’a coupée De culture et tribu. L’Histoire est leur épée. Ils m’ont dit: « Obéis et tu iras au ciel! » Avec mes cheveux longs, ils m’ont coupé les ailes. Mes camarades aux deux esprits, malaimés, Dans un placard obscur ils les ont enfermés. Ils aiment leur prochain, leurs prochaines victimes, Ces « chrétiens » dont le Christ est à tort éponyme. Occidentaux, partez! Ne versez pas de larmes En baissant le regard et les bras, pas les armes. Mes sœurs sur la route seize, Joyce Echaquan Et mes ancêtres dans leur tombe vous condamnent. Le racisme et l'injustice, main dans la main, Aiguisent leur lame aux marées hautes sans frein. En toussant, est craché mon pus comme mes frères Par les blancs, écume croyant boire la mer. Ce pays plongé dans l’ordre et loi du silence, Je n��ai que l’oreille du gouffre des souffrances. Sans connaître ma langue, est étouffée ma voix; Sans pow-wow, je prie mais en la vie seule ai foi.
Mort, ne me retiens plus! Moi, je garde en mémoire Que je suis née pour la lutte, pour la victoire. Ma nation est une armée de survivants N’abandonnant ni ses enfants, ni ses parents. Ma mère, guerrière, est brave et réconforte. Devant elle, quelle Amazone est assez forte? Agile comme un cerf, rusée comme un renard, Puissante comme un ours, la chasse est son grand art. Sur mon père noyant dans l'alcool son chagrin Se posera, telle la rosée du matin, Un nouvel avenir. Quoi, il pleuvra des cordes? C’est pour qu’aigle et tortue y grimpent sans discorde. Des cordes, des planches... Combien en faut-il pour Construire un pont vers le pardon et vrai amour? Le soleil d’un totem se lèvera un jour Sur tous, qu’ils turluttent ou frappent un tambour. Alors, nos corps et cœurs dansant au même rythme, Dans le cercle sacré se rejoindront nos rites. Nous partagerons le calumet de la paix, Québécois d’icitte et d’ailleurs, dans le respect.
#truth and reconciliation#every child matters#indigenous solidarity#violence against women#residential schools#indigenous peoples#indigenous culture#indigenous rights#indigenous languages#indigenous history#first nations#native american#indigenous lives matter#indigenous liberation#political poetry#political poem#political art
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Cithare
La cithare (kithara) était un instrument de musique à cordes, apparenté à la lyre, joué par les Grecs de l'Antiquité et étroitement associé au dieu Apollon, bien que dans la mythologie son invention soit attribuée à Hermès qui fabriqua l'instrument à partir d'une carapace de tortue (chelys). Les musiciens (kitharistu) devaient faire preuve d'une grande habileté pour jouer de cet instrument difficile, qui était généralement joué en accompagnement d'un chant (kitharodeia).
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AU BOUT DES PAGES
Hey les papivores 2.0, aujourd’hui nous allons plonger dans un univers mélancolique. Katherine PANCOL célèbre romancière française, est une écrivaine dont le style se caractérise à l’américaine marqué par de nombreux dialogues et ses récits qui décrivent souvent des destins chaotiques de femmes indépendantes.
ROMAN
« Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi », Katherine PANCOL.
Le PITCH, d’abord !
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
Mon AVIS, humblement !
Belles tranches de vies que nous livre ici, en grand chef, Katherine Pancol, tartinées tantôt de miel, tantôt de pâte à tartiner bon marché, mais toujours accompagnées de son fameux tea time dont elle seule à le secret.
On lui pardonnera sans problème cette éternelle histoire d'amour manquée entre Philippe et Joséphine (mais où va-t-elle chercher les prénoms de ses héroïnes ??), mais on l'attend au détour des traits de cet étonnant Junior, surdoué improbable qui casse quelque peu la véracité des propos.
Bien moins malin celui qui trouvera dans ces pages le fil rouge qui a fait le succès de l'opus précédent (La Valse lente des tortues)... on le cherche mais on ne le trouve point, perdu qu'il est peut-être entre les tourments de cette croqueuse d'Hortence (décidément, les prénoms sont un mystère pour Madame Pancol... ) et les pérégrinations de cette bonne vieille Henriette.
Toujours est-il qu'une unité de ton se propage dans les méandres de cette saga familiale à l'américaine, digne des meilleurs Dallas, un questionnement uniforme sur le rapport étroit entre hommes, à l'image du Petit Jeune Homme, vers de terre amoureux d'une étoile filante, de Gary poursuivant un père fantoche ou de Junior devenant un homme au contact du paternel.
Pancol nous en met plein la vue cette fois, en nous faisant entrer dans de nombreux mondes qui nous sont contemporains : celui des affaires internationales, évocant cette "crise financière" si proche de nous ; celui du "gratin" parisien, celui de l'écriture et de sa longue introspection ; une belle galerie de personnages, connus ou nouveaux, nous est alors donnée en pâture, donnant au livre un beau relief qui explique ses presque 1000 pages. Le lecteur en a pour son argent, il est content, content également de refermer ce troisième opus, dernier d'une longue saga qui menace de tourner en rond s'il propose un quatrième volet.
Bref, un écrin brillant et divertissant comme on les aime aujourd'hui, même s'il souffre de quelques incongruités.
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J'entrai dans la station-service. Je tins la porte à un homme qui était peut-être un routard États-Uniens, il avait la casquette la barbe et une chemise à carreaux enfin je crois je ne suis pas sûr je pourrais très bien dire n'importe quoi. L'homme m'a remercié chaleureusement il avait l'air sympathique, je me suis dit trop cool j'inspire du respect et de la chaleur à un homme qui est chauffeur de camion États-Uniens enfin je pense, j'espère, ce serait la classe. J'ai toujours trouvé cools les chauffeurs de camion États-Uniens, les hommes qui sont sur la route aux États-Unis. Les films sans doute...
On entre tous les deux dans les toilettes, je fais mon pipi et lui aussi, il s'en va, nous étions au pissoir. Moi je prends mon temps je suis un homme nerveux faut que ma ceinture soit remise parfaitement et que mon caleçon soit placé parfaitement sous mon short, faudrait pas que ça me dérange. Je passe les détails de tous les autres mécanismes de malade mental que j'ai et qui font que je suis un homme aussi lent qu'une tortue et qui vu de l'extérieur ressemble à un homme qui replace sa ceinture pendant 30 ans sans qu'au final ça ne change grand-chose à sa position initiale.
Dans les toilettes assis à côté de moi, de l'autre côté du mur, caché, j'entends un gémissement. Un soulagement même, prolongé, appuyé, bruyant. Chelou gênant mais quand-même sacrément drôle en vrai. Damn un homme encore plus bizarre que moi. Ça n'arrête pas les gémissements se répètent je me dis damn voilà un homme léger.
Ça me rappelle ce matin-là à l'auberge de jeunesse de la Nouvelle-Orléans où j'avais été réveillé également par un gémissement, c'était un long Damn d'ailleurs, genre daaaaaaaamn, mais aux sonorités plus érotiques et moins liées à l'univers gastrique. C'était tôt le matin j'avais mal dormi j'avais fait trop de portable la veille avant de m'endormir, et j'étais un peu stressé je devais partir à Mexico le jour même puis j'en avais ras le cul de cette auberge de merde, ouais c'était vraiment une auberge de merde je la recommande pas, si un jour ils me lisent ce que je pense arrivera inéluctablement aucun problème j'assume mes propos vous êtes une auberge de merde, une belle merde comme celle délicatement et savoureusement évacuée par l'homme décrit plus tôt.
Bref j'étais un peu de mauvaise humeur de me faire réveiller par les bruits d'une femme qui prend du plaisir. Nous étions seulement deux dans une grande chambre sans fenêtre de 6 lits superposés sans rideau isolant, et dont les lumières au plafond ressemblaient à celles des hôpitaux mais en encore plus moches et en encore plus lumineuses genre presque aveuglantes, d'un blanc froid aveuglant. Sauf que là on était dans le noir et j'entendais se tortiller dans le lit plus bas. Putain y en a qui s'en tape vraiment des autres, elle avait déjà été chiante la veille à faire des appels vidéos avec son homme jusqu'à pas d'heure, je me suis dit qu'il en avait peut-être marre de l'appeler et il était peut-être venu en personne, c'est vrai que j'avais cru comprendre qu'il y avait des passages un peu coquins lors de l'appel, alors que moi je lisais mon livre sur les Innus en pyjama, bien gentil bien sage bien docile dans mon lit superposé. Puis c'est vrai que je l'ai entendue se lever je crois, un peu plus tôt dans la matinée déjà tôt, peut-être qu'elle avait ramené son homme à ce moment-là mais c'était quand-même bizarre parce que normalement c'est interdit de ramener des invités, c'est pas moi qui le dit c'est le règlement. J'ai jeté quelques regards un peu énervés et peut-être un brin jaloux vers le lit de la meuf, quoique j'étais trop de mauvaise humeur pour avoir quelconque désir. J'ai vu bouger et je me demande si j'ai pas vu deux personnes. Ce qui est bizarre néanmoins c'est que quand ça s'est calmé, quand les gémissements qui en vrai sonnaient plutôt joliment, en tout cas plus jolis que l'autre cochon en train de chier dans la station-service de l'état de New York, bref quand ça s'est calmé elle a appelé quelqu'un. C'est bizarre de faire ça après l'amour c'est chelou quand-même non pourquoi tu ferais ça t'es bizarre.
J'ai lâché un Oh Come on parce que j'avoue j'étais agacé, y a des limites quand-même puis bon elle ne me faisait pas tellement peur. Elle a dit quelque chose je crois mais j'en suis pas sûr et puis de toute façon je m'en souviens plus. J'ai ajouté de manière polie, succincte et ouverte au dialogue qu'en gros elle était casse-couilles à faire tout ce bruit alors qu'il était à peine 8h du matin. Elle m'a répondu qu'il était exactement 8h du matin, comme si c'était l'argument ultime qui lui permettait de faire tout le bruit qu'elle voulait et qui m'empêchait de faire toute critique. Que répondre face à ça j'avoue j'étais un peu surpris, bien joué. Je me suis levé pour aller prendre mon petit-déjeuner j'avais mis le réveil à 8h du matin de toute façon et elle n'avait pas menti il était effectivement 8h du matin, fallait que je me taise bon dieu. Sur le chemin c'était bizarre j'avais l'impression qu'elle était seule dans son lit finalement mais bon tout n'était pas très clair dans ma tête j'étais fatigué, je pouvais pas vraiment réfléchir.
Je mangeais mon petit-déjeuner tranquille quand un employé chelou et casse-couilles m'a donné le coup de grâce, alors même que je me disais que la vie est finalement plutôt belle et pleine de surprises et de promesses. Le beurre de cacahuète et moi c'est une relation solide, couple ouvert certes mais on en a vu d'autres. L'homme s'est arrêté à mon niveau et il m'a demandé comment j'allais. C'était un peu bizarre parce qu'à mon arrivée il m'avait rappelé l'arrogance teintée d'un brin de malveillance que je connaissais d'autres êtres humains et que je n'étais pas prêt d'oublier. Puis il avait été prodigieusement indifférent ce qui était vraiment une belle perf pour quelqu'un qui travaille dans le domaine de l'accueil des gens, trimballant avec lui une vibe très bizarre pas toujours claire ni saine ni bienveillante mais en vrai j'en sais rien finalement de ce qui le traversait, j'exagère peut-être j'ai parfois pas peur de l'exagération. Il s'était montré subitement sympathique un soir où j'avais débarqué sans faire exprès à l'happy hour pourri qu'il organisait et où il n'y avait personne. Il m'a offert un soft me l'a même ouvert et servi et m'a filé un extra dollar pour que je puisse prendre le tram comme le tram n'acceptait pas la carte. Je sentais ou au moins j'avais l'impression que ça le faisait quand-même un peu chier de faire tout ça pour moi mais en vrai j'en sais rien c'est peut-être mon esprit aussi susceptible que chelou avec sa ceinture après avoir fait pipi qui parle, par contre j'avoue j'ai quand-même jubilé quand je lui ai indirectement fait comprendre que ouais t'inquiète tu peux me servir toi-même le coca que tu m'as offert et décapsulé, et ce dans le cadre d'un happy hour où personne n'est venu et où moi-même je n'allais pas rester. Merci gars pour le dollar que tu m'offres sans remboursement à venir ça fait plaisir, ça aide. Yesseusse je suis un gamin mais j'avoue pour le coup ça faisait du bien, je comprends le gémissement de joie du gros dégueulasse qui faisait caca dans la station-service à New York.
Puis j'ai compris que les employés recevaient des bonus si les guests les mentionnaient dans leurs commentaires sur booking.com à la fin de leur séjour. Je me suis dit ah ok je comprends mais d'un autre côté il n'était pas totalement frontal vis-à-vis de ça donc j'avoue qu'au fond de moi j'avais l'espoir naïf innocent gênant et débile que cet homme finalement s'intéressait un peu à moi, un tout petit peu. J'ai souvent ressenti cet étrange besoin de plaire et de séduire des êtres humains pourris qu'en vrai je n'aime pas et qui peuvent être parfois blessants voire carrément des connards finis, wow je suis quand-même spécial à être content si jamais je les fais rire. Bref à la suite de cette interaction on a eu quelques small talks bizarres où il était sympathique je trouvais ça ouais franchement bizarre puis je me disais non il va pas oser, il est quand-même pas sympathique et curieux à propos de ma vie juste pour choper de la thune, il va pas oser.
Ce matin là à la fin de mon petit déjeuner, à la fin de ses nouvelles questions polies quant à mon voyage, alors que je me dis cool il est quand-même sympa finalement même s'il est quand-même masse chelou, je suis même carrément flatté en fait finalement qu'un connard fini puisse s'intéresser à moi, wow j'ai quand-même du charisme j'inspire le respect et la curiosité à des êtres qui n'ont pas peur d'être des connards finis publiquement, bref à la fin de la petite conversation, il me dit Ah oh fait, n'oublie pas de mentionner mon nom dans ton commentaire. Il s'en va et rigole comme si de rien n'était.
Je rentre dans la chambre noire en me disant fuck ça me casse les couilles cette auberge c'est de la merde je déteste la Nouvelle Orléans c'est vraiment pas pour moi je suis trop gentil et sensible et stylé ouais ça faut le dire pour la Nouvelle Orléans, je suis quand-même stylé ouais enfin je le pense enfin je pense que je le pense ou plutôt je le dis pour compenser l'autre enfoiré que j'hésite à démonter dans mon commentaire booking.com, crois-moi j'en suis capable je pourrais faire un roman magnifique sur cet tentative de corruption horrible et terrifiante et malsaine et terriblement méchante d'un pauvre petit Bakpacker du quartier Contades de Strasbourg qui voulait juste avoir du fun à la Nouvelle Orléans et oublier son passé tragique. Mais bon en vrai je suis pas assez lâche je suis quand-même digne enfin c'est ce que je me dis j'aime bien penser ça tout de suite je me sens mieux, puis je me barre bientôt donc en vrai tranquille. Puis je me rends compte en vrai que la meuf qui a gémi bah elle est seule dans son lit en fait, a priori. Putain c'est ouf ! Ça change beaucoup de choses. C'est presque flatteur, elle s'est sentie suffisamment à l'aise dans la chambre avec moi pour se faire du bien toute seule, pour se caresser et gémir langoureusement, damn peut-être même que c'était une invitation, peut-être même qu'elle voulait mon attention et que je participe. Dans tous les cas elle a l'air d'avoir joui au son de son long gémissement en forme de daaaaaaaamn qui m'avait presque inquiété tant il était appuyé. Damn c'est presque flatteur c'est comme si j'avais contribué à la chose, qui sait peut-être que je l'ai inspirée.
L'agacement a disparu j'étais presque fière de moi, une femme de plus qui était comblée. J'avais été tenté de faire un max de bruit en faisant mes affaires et de laisser les lumières d'hôpital ultra aveuglantes et froides allumées lorsque je quitterais la chambre, parce que comme elle le disait il était exactement 8h du matin, en fait il était carrément plus tard donc ouais ma grande moi aussi j'ai tous les droits prends ça, comme je suis lâche Damn je me défoule sur une fille mais bon l'homme est un loup pour l'homme et moi je suis une tortue ou un petit agneau sans défense au passé tragique et qui cherche monsieur le berger pour me protéger des requins. Sauf que bref tout avait changé on était maintenant dans la même équipe avec ma compagne de chambre, t'inquiète j'ai capté les signaux merci et de rien je t'en prie, service. Bon après faut pas abuser elle m'avait quand-même réveillé puis la veille elle avait été bien bruyante avec son tel donc ouais fallait que je fasse quelque-chose, du coup je suis quand-même parti en laissant la lampe de chevet allumée et ouais j'ai fait ça ouais je suis sûr qu'elle avait trop les nerfs en tout cas voilà faut pas me chercher je suis pas un lâche je suis courageux.
Ce jour-là dans les toilettes de la station service dans l'état de New York, alors que l'homme dans les toilettes assis faisait comprendre qu'il était de plus en plus soulagé, et que le malade mental que je suis n'arrêtait pas d'ajuster sa ceinture sans rien ajuster du tout, je me suis quand-même demandé à quoi ressemblait l'individu expressif et soulagé et sonore. Ça pouvait pas être un beau gosse comme moi, on aime trop plaire nous les beaux gosses on est trop addicts au regard des autres et à leur reconnaissance et leur validation, on est pas assez libres on est un peu des baltringues en fait nous les beaux gosses parmi les beaux gosses, ça prend un homme courageux, un homme qui s'en bat les couilles. J'avais raison il avait l'air bien chelou et courageux et pas un beau gosse parmi les beaux gosses comme moi qui est un beau gosse parmi les beaux gosses.
J'ai eu la belle surprise de voir que l'être courageux chelou était dans mon bus en direction de New York City, il était assis tout à l'avant juste derrière le chauffeur il me semble, forcément. Pendant le trajet il s'est dirigé plusieurs fois à l'arrière du bus où étaient les toilettes, en vrai vraiment plusieurs fois c'était ouf j'étais impressionné en voilà un vraiment qui s'en bat les couilles qui est plus courageux que Marlon Brando y a pas photo, ça prend tellement plus de courage d'assumer aller aux toilettes d'un bus dont le trajet est de 9 heures, bref d'y aller et d'y revenir un nombre incalculable de fois devant presque les mêmes personnes et ce pendant 9 heures, ouais ça prend un courage et une force mentale de fou pour faire ça, un immense je m'en foutisme, bien plus de courage que les gens qui sauvent la nation ou les gens qui sauvent les gens dans le métro, respect bro, moi je stresse déjà si j'y vais plus d'une fois pendant le trajet, j'ai peur qu'on reconnaisse que je suis un chelou nerveux parmi les chelous nerveux pseudo lents et que du coup je ne fasse plus partie des beaux gosses parmi les beaux gosses qui attirent les filles vraiment intéressantes, Fuck j'aurais trop les nerfs qu'on réalise qu'en fait je suis pas un beau gosse parmi les beaux gosses mais vas-y j'ai quand-même l'impression que je suis peut-être quand-même un beau gosse parmi les beaux gosses, enfin j'espère s'il te plaît lecteur confirme. Je me demande si l'homme plus courageux qu'un militaire et qui vaut 100 policiers osait gémir comme il avait gémi lorsqu'il était dans la station-service, s'il osait le faire à chacune des dizaines de fois voire plus où il était allé aux toilettes du bus devant tout le monde, à chaque fois avec la même allure de chelou pressé et en vrai un brin ratatiné je suis sûr que tout le monde pouvait deviner qu'il allait faire caca. Wow ce serait ouf s'il avait osé gémir comme un fou, wow le courage du gars, dans ce cas oubliez tout ce que vous savez sur la guerre et faites le général, confiez lui les armées du monde entier il va nous sauver il aura pas peur c'est sûr il s'en bat les couilles c'est ouf c'est lui le vrai beau gosse parmi les beaux gosses.
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Episode 7 - Partie 3
Partie 3 de la saga "compétition du meilleur papa"
Est-ce que Raph est une figure parentale tacite pour ce garçon ? Non.
Est-ce qu'il va essayer d'atteindre ça avec le temps ? Absolument~~~
_________
Aussi, Raph et grand et fort, donc il casse des trucs dans le canon ddes fois. Ouais. Mais !
Raph est beaucoup plus grand et fort dans le futur, mais toujours, il est la plus gentille tortue du monde. Je combattrais pour ce concept🔫
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Masterpost
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Tout les droits pour ce comics appartiennent à Cass
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How many differences are there between the first version of the novel and the second that we all know?
Quite a lot, in fact. The relationship between Wuwang Fazhou Pinghua and FSYY is kinda like the relationship between JTTW Zaju and JTTW novel: the skeleton of the story is similar, but everything else is off.
Off the top of my head:
-In the Pinghua version, King Zhou didn't offend Nvwa with his simp poem, but proclaimed his love to a Jade Maiden, and the Jade Maiden gave him a sash as keepsake.
-After that, however, the Jade Maiden didn't visit again. Lovesick, King Zhou ordered his subjects to give up their daughters as concubines, in search of one that looks like the Jade Maiden.
-One of these girls was Su Daji, who then got killed and possessed by a fox demoness, granting her supernatural beauty that led to her father sending her to King Zhou as a tribune.
-One day, the fox saw King Zhou wearing that sash, asked him about its origins, and became insanely jealous upon hearing the story. She talked King Zhou into burning the Jade Maiden's temple and destroying her statue.
-In response, the Jade Maiden sent the Taisui God to reincarnate as King Zhou's prince, Yin Jiao, and end the Shang dynasty.
-What ensued is roughly the novel's plot beats, vastly simplified, tweaked and slightly out of order——Daoist guy gifting King Zhou a magical sword that nearly killed Daji through its aura, Ji Chang finding baby Lei Zhenzi in a tomb, King Zhou killing Queen Jiang by pushing her off a building, the brutal tortues and executions...
-When Yin Jiao learned about the truth of his mother's murder, he tried and failed to avenge her, escaped, and was given the Axe of Zhou's Doom by a divine soldier.
-Jiang Shang(Jiang Ziya) was a street diviner whose accuracy attracted King Zhou's attention, got rewarded with a job appointment, then ordered to battle Huang Feihu, who rebelled after King Zhou made Bo Yikao into meat sauce and fed it to his father, Ji Chang.
-Jiang Shang released Huang Feihu after hearing the truth, which led to King Zhou executing his aged mother, and he survived by faking his own suicide. He first met Yin Jiao and later, Ji Chang (King Wen), and together, they rose up in rebellion against King Zhou.
-There wasn't the grand overarching plot of the Investiture; instead, the Pinghua version just had characters show up and be like "by the way, this guy is/will be the god of _____." No Chan-Jie conflict either.
-Upon victory, Yin Jiao chopped off King Zhou's head himself, while Daji was reverted to her fox form, stuffed into a sack and crushed to death with a wooden pestle.
-By the standard of Confucian filial piety, the patricide part is pretty outrageous, and probably why it got changed in the novel.
-Yin Jiao was very much the protagonist of the Pinghua, and the Fengshen Movie Trilogy certainly took more inspiration from the Pinghua in that regard.
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Slowly going towards one TS2 Legacy... Maybe
I mean, I have iterated on such for my conworld for a while but I am definitely having a hard time choosing how to go about it considering I tend to play with many mods, ideally with a couple of my very own coming soon, and prefer having ultimate source code ownership / customization available to me (unlike doing anything with SC4 & TS2/3/4).
It is still 16^12 related, and though I don't enjoy the current source code status of my "modding game workflow" as far as my Civ5 CE Maskoch modpack -> FreeCiv+SimCity4+TheSims2 is concerned, I do like the overall system I have starting putting in place to help manifest my DR goals IRL;
So yeah, here are some of the preparation memopads...
Prior to 1910 (up to two generations behind "ancestors") : May Tiffy, Jana Petri, Kira Fleche, Hugues Tortue; Kala Petit-Ours & Alphonse Grand-Ours;
LEGACY starting context (& overall their goals per "generation")
~1910 : Milan "Kelly" Petit-Ours + Nil "Bayes" Main-Noire;
~1925 : Pana Ninsun + Carter Woodpecker; Konstanz Tunder + Marta Sevres;
~1940 : Rudy Saller + Tekla Wozniak, Ivett & Timur Corbeau;
~1955 : Elka & Bel Arterberry; Keno, Hypathia, Tascha Maynard; Zenon Binh;
~1970 : Ruan Boon & Sina Pallas; Rinne Taygette & Tunder June; Zera, Timur & Aurel Becker;
~1985 : Valenz, Sasha & Dena Becker; Keller, Irma, Pasha Hayden; Kazik, Kush & Ken Ukene;
~2000 : Kate Ker & Ava Booksword ("platonic" relationship, sharing together Shoshona the black Turkish Angora fem housecat), Deno & Wyatt Hayden; [...]
~2020 : Tano Booksword (Simply a successor android unit to Ava in her initial role as synthetic-tier domestic servant); Victor/Astra Reuben (Debs pun?); Freya, Ren, Maya, Rex, Alfa Shang (Roosevelt pun?); Anuk, Kaleb, Brittani Hagues (Hugues pun?); Tina, Iwa & Sam Duckwater (Taft pun?);
~2045 : Czar, Aurel & Sakura Kant; Hafar Hades; Kerry / Zenia Constantin; Mao, Vala, Myranda Glosse; Samantha/Samar Reiter; Thales Zeitlich; Tally Lightfall, Parm(in)ae Knossos;
[...]
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16 juillet
ça y est j'ai pleuré. je suis tombée sur une annonce de coloc à bruxelles dans les stories d'un ami de r. et ça m'a fait dérailler. 580 euros charges comprises ou bien le double d'ici mais la chambre est cinq fois plus grande (littéralement cinq fois) et c'est près de flagey donc près de m. ils sont tous artistes et dans le cercle de mes connaissances bruxelloises et je meurs d'envie d'être amie avec ce mec. il a l'air trop cool et j'adore ce qu'il fait, j'adore son univers, j'adore son humour. je l'ai envoyé à m. et elle a essayé de me raisonner mais je lui ai dit que j'avais un truc très fort dans mon corps qui voudrait être à bruxelles plutôt qu'ici et elle m'a envoyé l'émoji coeur avec les mains et j'ai pleuré. sans bruit, contrairement à la maison, pour alerter personne. j'ai pleuré et puis j'ai écrit au mec. il m'a dit qu'ils organisaient des visites mi-août mais qu'on pourrait faire un appel vidéo et j'ai dit ok cool mais mi-août ce sera beaucoup trop tard pour donner le préavis de ma chambre. et je peux pas le donner maintenant déjà parce que je sens que mes chances pour avoir cette chambre sont assez compromises.
quand j'ai vu l'annonce j'étais en train de traduire mon cv en allemand et après avoir écrit au mec j'ai complètement laissé tomber le cv, auf wiedersehen berlin, on s'en fout de trouver un job, on s'en fout que j'en ai déjà marre de l'appart et de la musique de prière arabe et de la techno et des engueulades dans la cour, on s'en fout des groupes telegram pour se faire des amis et des soirées lesbiennes auxquelles j'ose pas aller et de la chaleur insupportable et de l'odeur de viande dans le couloir de l'entrée et de la anmeldung etc etc etc, j'étais déjà à moitié partie. prête à annoncer à mes colocs je suis désolée mais je m'en vais à la fin de l'été, ma place n'est pas ici, ma place est à bruxelles, plus près de la maison, plus près de mon coeur, dans une ville francophone, plus petite, moins hardcore, avec des gens que je connais, où j'aurai plus de chances de me faufiler sur la scène artistique, surtout si j'habite dans cette coloc. bon, il reste le détail r. est-ce que c'est lui, le petit diamant au fond de ma gorge qui m'a fait pleurer de nouveau cet après-midi? dans quelle mesure exactement il est impliqué dans cette histoire de truc très fort dans mon corps? j'ai essayé de m'imaginer qu'il se pointe à l'appart un jour avec une fille qu'il aime plus que moi. mais c'est pas que lui. c'est tout son petit monde. je veux être amie avec ses amis. comme s. le bassiste par exemple. dans dix minutes je dois voir une fille de bumble mais c'est pas avec elle que j'ai envie de trainer. je veux trainer avec des gens comme r. je veux trainer avec r.
quand j'ai dit au revoir à la fille de bumble ce soir sur le trottoir devant le resto turc il a pété un énorme orage et j'étais persuadée qu'elle m'avait trouvée chiante à mourir. on s'est promenées à travers le parc de la hasenheide, on a vu des canards, un cygne, des tortues, un rat nageur, une poule d'eau et ses bébés poule d'eau qui ressemblaient à des crânes de dame âgée aux cheveux clairsemés teints en noir avec des énormes pattes de dinosaure, et puis on est allé manger des gözleme et des manti. je lui ai parlé de bruxelles et de mes angoisses existentielles et elle m'a dit que je pouvais prendre berlin comme une étape intermédiaire. je lui ai dit que je le prenais déjà comme une étape intermédiaire, mais là précisément j'ai besoin que cette étape intermédiaire se termine fin août pour pouvoir aller habiter dans cette coloc do you understand. on a encore parlé anglais parce qu'elle a pas insisté pour parler allemand mais si les gens insistent pas moi je m'y mettrai jamais. elle m'a dit qu'elle utilisait chatgpt pour écrire ses lettres de motivation elle aussi et que ça avait toujours bien marché pour elle, elle donne son cv et l'annonce à la machine et voilà. rien qu'aujourd'hui elle a envoyé trois candidatures. elle est revenue de son année à paris y a même pas une semaine et elle a déjà je sais pas combien de propositions d'entretien. moi je suis là depuis dix jours et j'ai toujours pas traduit mon cv. elle m'a dit de postuler à des jobs avec la confiance d'un homme incompétent, même si j'ai pas d'expérience ou les bons diplômes.
17 juillet
troisième jour consécutif que je me réfugie au cimetière pour écrire, c'est mes endroits préférés de la ville parce que c'est calme et on y croise pas grand monde. sauf lundi dans celui du columbiadamm où y avait un groupe de touristes qui marchaient lentement avec un air concentré en regardant autour d'eux, certains avaient posé leurs chaussures et tenaient un carnet et un stylo à la main, on aurait dit qu'ils faisaient une espèce de workshop d'écriture de terrain, ou un walkshop comme ceux d'alisa. je me suis dit que je pourrais trop organiser des walkshop-workshops d'écriture, vu mon expérience en marche urbaine et en écriture. à force de participer à des trucs j'ai accumulé des millions d'idées d'exercice. j'en ai parlé à n. mais elle a dit que pour se faire connaitre il fallait être le genre de personne qui sait se vendre et qui va au contact, ce qui complique un peu mon projet.
y avait un écureuil qui mangeait juste à côté de moi, même s'il restait sur ses gardes. il me faisait penser à moi, contractée et aux aguets, incapable de se détendre parce qu'on sait jamais. j'aime bien savoir que pas loin de la maison y a un endroit où je peux me retrouver seule avec des animaux. des animaux et des morts. mais je pense jamais aux morts quand je me promène dans un cimetière. ou plutôt je pense jamais à la mort. ou alors si, mais pas de façon négative. parfois je regarde les dates sur les tombes pour voir s'ils sont morts vieux ou jeunes. lundi sur mon banc je lisais le livre de thomas bernard qui parle beaucoup de la mort et de la misère humaine. il se plaint de tout lui aussi. il dit: "car le fait est que nous n'existons pas, le fait est que ça nous existe!" tout le monde est absolument désespéré dans ce livre. un des personnages a fini par se suicider. le narrateur dit qu'il avait vécu toute sa vie avec une "prédisposition à la mort." je me demande si j'ai vécu toute ma vie avec une prédisposition à la mort moi aussi. j'y pensais tout à l'heure dans ma chambre pendant que j'étais encore en train de pleurer. et si je me tuais à berlin? mais ça me semble moins faisable ici, ça traumatiserait plus de monde, je veux pas infliger ça à mes colocs.
ce matin je suis retournée à ikea mais ils avaient toujours pas ma lampe alors j'ai du me résoudre à prendre le modèle plus grand et plus cher et racheter des autres ampoules et je suis rentrée avec un sentiment d'échec. en rentrant maman m'a appelée et je lui ai parlé de la coloc à bruxelles et j'ai recommencé à pleurer. elle a dit et tu crois pas que ç'a quelque chose à voir avec r.? elle m'a dit que je pouvais pas partir comme ça sans plan et je commence à en avoir MARRE de devoir avoir un PLAN toujours et de pas savoir quoi FAIRE parce qu'il faut bien FAIRE quelque chose de sa vie. le plan ultime c'est la mort. le plan pour les terminer tous. je choisis ce plan et j'ai plus jamais besoin de faire un plan de ma vie. c'est mon plan préféré. quand j'ai dit à la fille de bumble que j'avais abandonné mon master à paris parce que j'étais dépressive et que je voulais rentrer à la maison elle a dit ah c'est exactement ce qui est arrivé à ma soeur. sa soeur qui est la marginale incomprise et hypersensible de la famille. si j'avais mes deux parents et une soeur ou un frère de plus, ce serait moi qui tiendrais le rôle. mais vu qu'on est que trois, y a pas assez de place pour être marginale. je me contente d'être la fragile. elle travaille dans une agence de voyage et elle vient de publier son premier recueil de nouvelles. l'été elle va chez ses parents avec ses deux enfants, dans leur grande maison au sud de l'allemagne.
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Elle est née au mois d’avril, Brune. Elle est belle, souvent nue dans son appartement, presque invisible, ses bras et ses jambes rappellent quatre serpents envoûtés par la même musique. Ses petits seins statiques sont ornés de deux petits boutons de rose en pleine floraison. Son dos est merveilleux, il rappelle une cascade inépuisable d’où on ne revient jamais. Ses omoplates se déploient comme deux ailes d’ange quand elle s’étire et tous ces gestes rappelle une danse cosmique, gracieuse, presque religieuse. Il semblerait qu’elle prend la pose. Inconsciemment, au bord de la fenêtre, en fumant sa cigarette, sa peau se crispe, frissonne. Sa texture ferme et douce donne envie de s'y perdre dedans, n'importe quel humain aurait envie de la toucher, de l'embrasser, la forme de son corps donne à tous le désir ardent de l’enfanter.
Mais Brune, elle est blonde et déprimée. Bien sûr elle sait qu’elle ne laisse pas indifférente mais l’avenir et l’amour ne la fascine plus et ce désenchantement commence à ne plus du tout la faire rire.
Elle se rend compte que chaque jour l’absurde l’absout un peu plus. Son histoire est devenue une pièce de théâtre, une mauvaise comédie où le désir a laissé place à des pleurs qui se transforment au cours de la journée en un sommeil sous anxiolytique. Au réveil, il y a toujours un rire moqueur. Quelqu’un ricane des ondes électromagnétiques branchées à son cerveau en braise. Ces persécutions à la pelle la brise et même la baise ne peut plus éteindre ses voix.
Elle se méfie de tout, ses voisins, les collègues, son amour, les riverains. Ils cherchent à lui nuire. Ils lui rappellent ses échecs et l’espionnent en écoutant aux portes de son appartement.
Comme le roseau elle se plie. Ou plutôt comme les anthropodes et la tortue, elle se replie sur elle-même, dans sa carapace, à la recherche d’une protection infinie et d’une détoxification interne.
Pour éviter les envahisseurs elle a fermé les volets et mis un casque sur ses oreilles. Des musiques l’emportent vers l’Ailleurs. Le meilleur. Favoris. Adorable ailleurs. Alors elle se rappelle, un temps où sa seule préoccupation était de jouer près de la mer, bercée par les vagues et le vent marin, elle se comportait comme un enfant de l’air, passant la plupart de ses journées à rêvasser au milieu d’une nature luxuriante. Enfance sous le soleil. Toute cette liberté lui semble si loin tout à coup, l’enfant sauvage est devenu un adulte pris au piège. Enfermée dans sa tête au milieu des voix qui n’arrêtent jamais de l’humilier mais aussi enfermée dans un rôle qu’elle a de plus en plus de peine à jouer.
En fond sonore, au delà de ses écouteurs, elle entend un craquement, comme une mise en veille générale, peut-être est-ce le monde qui s’éteint ? Cette idée la soulagerai un petit peu, elle n’est pas très courageuse pour mettre fin à ses jours.
Au fond d’elle-même quelque chose lui file la nausée. Est-ce le souvenir de ces hommes qui ont abusé d’elle ? Non cela semble venir de plus loin… l’injustice ? La guerre ? La naissance ou la mort ? Les horreurs qui se multiplient dans tous les coins du monde ? Ou encore cette société qui lui donne le vertige, les producteurs, les consommateurs. Les soldes, les réductions. Les banquiers, la banquise. Le vide, le plein et ça résonne à l’intérieur de son cœur, toujours trop plein ou trop vide. Elle est persuadé que quelqu’un l’a percé pour mettre de la terre et des bêtes à l’intérieur, sauf que ça pourrit et il y a une odeur de zouave qui submerge la pièce. Le zouave c’est elle sous acide dans sa chambre fermée à double tours. Elle boit une grande bière et rêve de grandes rivières. L’Europe, les États Unis, elle se rappelle de toutes ces richesses mais tous ces lits vides. Et ces couples qui n’ont plus rien à se dire. Et les vies errantes entassées au milieu des parkings. Plus rien ne fait sens, sauf peut-être les grandes rivières de sa chambre en émoi.
Mais que reste-t-il ? Les fleurs, le chant des oiseaux et les lapins qui font des bonds en liberté... Non tout est fini. Merde ou mort à Dieu. Elle sait que sa poésie ne vaut plus grand-chose. C’est désormais de sa responsabilité d’achever sa vie ou d’en faire quelque chose. Ses batailles semblent si lointaines, elle se sent seule face à elle-même et face au cosmos. Dépassée par la vitesse à laquelle le monde avance, par ses semblables qui trouvent leur place pendant qu’elle recule, se voyant vieillir et ternir par son manque de force vitale. Elle sait qu’elle est dans l’erreur, que des chemins existent par millions et que le sens caché de son aventure humaine pourrait renaître Ailleurs et autrement. Oui, mais par où commencer ?
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Ah ! Je viens de voir le jeu de question de fin d'année ! Si ce n'est pas trop tard, est-ce que je peux te demander la 12 et la 14 ?
Merci beaucoup d'avance, et bravo pour tout ce que tu as écrit cette année !
Salut et merci pour les questions :D
Fanfic end of the year asks
12) Favorite character to write about this year
Aaaah cette question dilemme :P! Je pense que c'est impossible de choisir quelqu'un. Donc je vais répondre "tous les protagonistes de mes histoires" ! Chacun est différent et m'apporte quelque chose d'unique et c'est ce qui fait que j'ai plaisir à les écrire.
Néanmoins, si je devais souligner quelques points dans la masse :
-J'ai beaucoup aimé écrire la fin d'Enid et le sens de paix qu'elle trouve lorsqu'elle regarde en arrière et se rend compte qu'elle est sauvée. C'est une scène paisible au bord de la mer, au petit matin qui m'a énormément touchée. Avec en bonus un extrait que j'avais trouvé drôle et mignon au moment d'écrire et que je n'ai toujours pas publié ici. (ça peut faire étrange hors contexte pour ceux qui ne connaissent pas mais ça fait sens dans l'univers du jeu) :
"-Ma nouvelle famille est incroyable. Ma belle-fille a l’air plus jeune mais est en réalité née il y a des siècles. Mon mari était un dragon et mes beaux-frères sont une tortue et un griffon. J'ai l’impression d’être dans un conte ou mieux, dans une de tes fables ! Je me demande encore parfois si je ne vais pas me réveiller."
-Ensuite les perceptions de Marya par rapport à l'obscurité étaient très intéressantes à écrire ! Elle est fascinée par la nuit, l'aime et se sent rassurée dans le noir et forcément quand elle découvre que ses pouvoirs sont liés à ça, elle trouve ça magnifique. Ce n'est pas quelque chose qu'on voit souvent (du moins je ne crois pas) donc je trouve que décrire l'obscurité de cette manière est un défi très intéressant !
14) A fic you didn't expect to write
Du coup la transition était toute trouvée : l'histoire de Marya ! Je n'avais pas du tout prévu de revenir à cet univers mais voir la série m'a plu et divertie.
Comme tu le sais j'ai des...réserves sur certains points de l'intrigue mais je trouve que l'univers a beaucoup de potentiel donc c'est très amusant d'écrire là-dedans.
Je me suis dit "allez on va écrire l'histoire que j'aurais aimé lire". C'est du canon divergent, c'est super amusant à faire et à c'est l'essentiel pour se motiver à écrire.
Et aussi les passages sur Kyphon et sa famille. J'ai commencé l'année avec ce perso qui ne m'inspirait pas du tout au point que j'avais laissé tomber parce que de toute façon ça n'était pas essentiel à mon intrigue et finalement j'ai débloqué tout le pan du lore le concernant !
Merci beaucoup en tout cas et un grand bravo et merci à toi aussi pour toutes les histoires que tu as écrites 💖!
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