#Grand Départ
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ALESSANDRIA. L'ARCO SI TINGE DI GIALLO PER 111^ EDIZIONE DEL TOUR DE FRANCE.
TOUR DE FRANCE A 100 giorni dalla partenza, Alessandria si tinge di Giallo Quest’anno il Tour de France, giunto alla sua 111° edizione, percorrerà per la prima volta le strade italiane e omaggerà grandi campioni del passato, da Fausto Coppi a Gino Bartali e Marco Pantani, che hanno contribuito a rendere grande il ciclismo e hanno cementato la grande passione italiana per la bicicletta. Il 1°…

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Je quitte cette planète après avoir bien vécu après 63 ans d’Interrogation sur l’homme.
De doute, de déception, de misérabilisme
Ne perdez plus votre temps, focaliser sur les animaux, les bactéries, c’est un monde plus animé, plus vivant plus humain que n’importe quel domaine humain
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Du même bois
Marion Fayolle réussit son entrée en littérature. Servie par une langue poétique, sa chronique de la vie dans une ferme de montagne résonne avec l’actualité la plus brûlante. Elle partage le quotidien de cette famille sur plusieurs générations.
En lice pour le Prix Régine Deforges 2024 En lice pour le Prix Habiter le monde 2024 En deux mots Cette chronique de la vie dans une ferme de montagne raconte la nature et les bêtes, les saisons et la famille qui réunit plusieurs générations sous un même toit. On y voit aussi les aspirations des plus jeunes à fuir cette vie de labeur et les problèmes brûlants de l’agriculture. Ma note ★★★★…

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#agriculture#Animaux#élevage#étable#départ#disparus#Enfant#failles#Famille#ferme#génération#grands-parents#Héritage#Mère#Mémoire#montagne#nature#oncle#paysage#Père#Souvenirs#Transmission#vêlage#vie de couple
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Titre : Le Match de sa Vie

Chapitre 1 : Le rêve d’un jeune prodige
Léo, 17 ans, était un jeune prodige du football. Repéré dès l’âge de 12 ans par un centre de formation prestigieux, il avait tout pour réussir : technique, vision du jeu et une détermination sans faille. Pourtant, un obstacle inattendu menaçait son rêve : le stress des grands matchs.
À chaque fois qu’il se préparait à entrer sur le terrain pour un match important, Léo ressentait une boule au ventre. Peu importe les encouragements de ses coéquipiers ou les conseils de son coach, le trac prenait toujours le dessus. Un jour, à son plus grand embarras, son corps céda sous la pression : le stress le rendit incontinent.
Chapitre 2 : Le poids du secret
Léo était dévasté. Il n’osait en parler à personne, pas même à ses parents. Il se réfugia dans le silence, trouvant des excuses pour éviter de jouer les matchs. Ses entraîneurs commencèrent à douter de son engagement, et certains coéquipiers murmurèrent qu’il manquait de courage. Mais la vérité était bien plus complexe.
Chaque fois qu’un match approchait, l’idée de répéter cet incident l’angoissait encore plus, créant un cercle vicieux.

Chapitre 3 : La rencontre qui change tout
Un jour, alors qu’il ne supportait plus cette situation, Léo prit son courage à deux mains et consulta un médecin spécialisé en gestion du stress. Lors de la consultation, il expliqua, non sans difficulté, ses problèmes.
Le médecin, compréhensif, lui posa des questions sur ses émotions et sur la manière dont son corps réagissait au stress. Après un long échange, il lui proposa une double solution : suivre une thérapie pour apprendre à mieux gérer son stress et, à court terme, envisager une solution pratique et discrète : porter des couches pour adulte lors des matchs.
Au départ, Léo était réticent. Il trouvait cela humiliant. Mais le médecin lui expliqua que ce n’était qu’un outil temporaire, une aide pour lui permettre de surmonter sa peur et de se concentrer sur son jeu.

Chapitre 4 : Reprendre confiance
Lors de son premier match avec cette solution, Léo était nerveux. Il craignait que ses coéquipiers ou les adversaires s’en aperçoivent. Mais en entrant sur le terrain, il remarqua quelque chose de différent : il n’avait plus cette peur paralysante. Pour la première fois depuis des mois, il joua comme il le faisait à l’entraînement.
Son coach, impressionné, le félicita à la fin du match. Personne ne connaissait son secret, et Léo commençait à retrouver le plaisir de jouer.
Chapitre 5 : La victoire intérieure
Au fil des mois, avec l’aide de son thérapeute, Léo apprit à mieux gérer son stress grâce à des techniques de respiration, de visualisation et de méditation. Il finit par ne plus avoir besoin des couches, mais il se souvint toujours de ce pas important qu’il avait osé franchir.
Un an plus tard, il disputa un match décisif pour son équipe. Devant des milliers de spectateurs, il inscrivit le but de la victoire. Ce jour-là, Léo ne remporta pas seulement un match : il triompha de ses peurs et prouva que les obstacles, aussi inhabituels soient-ils, peuvent être surmontés avec du courage et du soutien.
Épilogue
Léo devint un exemple pour de nombreux jeunes, prouvant que la force mentale et l’acceptation de soi étaient tout aussi importantes que le talent. Ses débuts marqués par des défis atypiques le rendirent encore plus admiré dans le monde du football.
Les couches te donnent de l assurance? Assume !
… tu en veux encore ? Commente ce billet !
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saga: Soumission & Domination 384
Fin de séjour aux USA
J'apprends le fin mot de la prestation spéciale par Ric et Jona. Côté tarif, effectivement mes Escorts n'ont pas été lésés.
Par les supérieurs de Jona, je suis avisé qu'ils ont donné aussi toute satisfaction. Ils me demandent de prioriser ce client auprès de mes deux escorts. Ils sont gentils mais c'est une entreprise commerciale que je gère ! Nous arrivons à un compromis où, si mes collaborateurs sont en contrat, ils prendront en charge le dédit, Quel que soit le montant.
Avant de quitter mes trois Navy-Seal, je les invites à venir en France. Ils seraient heureux de revoir Jona et François mais je sens un certain blocage. J'ajoute que quand j'invite, je prends en charge les frais inhérents aux déplacements et là ils sont totalement OK, Ils sont très curieux de voir ma " bande " de mecs à l'oeuvre au combat rapproché.
Pour le reste, mes nouveaux potes de Berkeley, j'organise une virée au grand Canyon avec descente en rafting d'une petite partie du Colorado. Nous remplissons deux gros rafts opposant les nageurs aux combattants. J'hésite, mais finis chez les nageurs. Bon choix puisque parmi eux s'en trouve deux qui ont déjà pratiqué ce sport. Nous finissons premier au campement intermédiaire, mais d'une très courte tête après plusieurs heures de course acharnée.
Deux autres rafts de même taille nous accompagnaient, Occupés l'un par une bande de potes Newyorkais, l'autre par des couples, qui, entre eux ne se connaissaient pas d'avance. Les Newyorkers ont essayés d'entrer dans notre compétition interne mais ont vite renoncé au vu de notre rivalité sportive.
Au campement, ils nous félicitent et on discute tous ensemble. Les couples un peu plus âgés que nous sont dans leur coin. Nous ne nous gênons pas pour nous chauffer entre nous alors que, les tentes montées, nous nous changeons pour la soirée. Si les couples continuent à vivre de leur côté, les gars de la cote Est se font prendre à partie.
Ok ils sont tous moins baraqués que nous, quoique certains puissent rivaliser quand même, mais la plupart pourraient bien finir entre nos cuisses, ils sont suffisamment mignons pour ça ! Ils ne mettent pas longtemps à nous découvrir tous gays puisque nos bisous sont réalisés en mode frenchkiss.
Ils ne sont pas choqués et je vois même certains regards qui s'appesantissent sur nos plastiques. Après nos bains de détente et propreté dans l'anse calme du Colorado, comme par hasard ils se fixent surtout sur celles modelées par nos maillots de bains (tous nous avions opté pour des boxers ou trunks bien moulants alors qu'eux étaient en short de surf).
Diner autour du feu de bois et premiers rapprochements entre les deux côtes américaines. J'ai repéré un des mecs, le plus jeune ou du moins physiquement il le parait. Dans les 1m75 musclé type coureur de fond plutôt que gymnaste, châtain clair, ses yeux légèrement en amande trahissent un métissage asiatique mais pas de première génération. Je fais avec lui mon " touriste Français ". Dan et moi discutons pas mal avec lui et deux de ses potes alors que mes amis ont intégré le reste de son groupe. Quand il est question de se coucher, j'observe un petit mélange des groupes (environ la moitié des Newyorkais se " trompe " de tentes).
Moi j'ai réussi à intéresser suffisamment ma proie pour qu'elle se laisse tenter par l'expérience. Au départ il est gêné qu'on ne soit pas tous les deux seuls. Mais les bruits que font nos colocataires l'excitent aussi et j'arrive à passer du simple frenchkiss à pareil mais avec les mains dans nos slips respectifs. Il bande dur ce petit salaud, dans les 18x4/5. Quand il prend mes 20x5, je le sens étonné. Je ne peux m'empêcher de lui glisser dans l'oreille qu'ils sont tous pour lui. Je le sens frissonner entre mes bras, peur ou désir ? Mes mains passent de sa queue à ses fesses. Tout petit cul rond. J'avais bien deviné que son longboard flottant cachait une merveille. Mes doigts glissent entre ses fesses et je titille sa rondelle. Il ne débande pas, bon signe. Ma bouche revient couvrir la sienne l'empêchant s'il l'avait désiré de protester contre cette intrusion. Lentement je lui masse la rondelle et parvient à enfoncer un majeur. J'étouffe son petit cri avec ma langue, il bande toujours. Moi aussi et j'ai vraiment envie de me le faire. Il le sent car il écarte sa bouche pour me dire qu'il est vierge. Je le rassure d'un " t'inquiète tu vas aimer ". À nos côté Dan est déjà dans un des nageurs de notre groupe et, bien que discrets tous les deux, nous entendons nettement les " trop bon ton cul " et les vas-y défonce moi " qui lui répondent. Je profite de notre différence de gabarit pour le retourner face contre notre matelas et dans le même mouvement plonger mon nez entre ses fesses afin de lui bouffer l'oignon.
C'est sûr, il ne connaissait pas cette pratique. Surpris, quand ma langue se pose sur le plissé délicat, il fond et je l'ai à ma merci. Je me place sur le dos, le bascule en 69 au-dessus de moi et continue ma préparation. Il a devant les yeux mes 20cm turgescents qui appellent sa bouche. Je ne le vois pas mais je sens son souffle se rapprocher de mon gland. Au bon moment, ma main posée sur sa nuque le pousse en avant et mon gland pénètre sa bouche. Reflexe, ses lèvres se referment dessus. Là, c'est lui qui me procure un frisson. Du coin de l'oeil j'aperçois Dans qui lui mime de me pomper. Je retourne à ma " préparation " et sens que mon petit puceau s'enhardi. Je ne parle pas de gorge profonde mais il met du coeur à l'ouvrage.
J'arrive à lui mettre mes deux majeurs sans rejet de sa part. Ça me fait raidir encore plus, l'idée que bientôt je vais le défoncer.
Je le soulève à bout de bras, lui fais faire demi-tour et l'assois sur mes abdos. Mon gland se pose direct au bas de sa colonne vertébrale. Je l'attrape par le cou et approche son visage pour qu'on se roule un patin. Là, c'est sa langue qui cherche la mienne ! Discrètement je me kpote et pose mon gland contre sa rondelle en effectuant quelques rotations et levées de bassin. Mon gland lui travaille le sphincter et quand je le sens s'ouvrir, je lui glisse à l'oreille de gérer sa descente.
Il se redresse sur ses bras sans que ses yeux quittent les miens. Je sens doucement une bonne chaleur recouvrir mon sexe. Il recule vers mes cuisses jusqu'à ce que ses petites fesses les collent (mes cuisses !). Pour un puceau il en voulait le petit !! Il reste sans bouger le temps de s'habituer à l'envahissement de son petit cul. Je roule du bassin pour lui signifier de mettre un peu de mouvement entre nous. Il me chevauche comme un bon petit cavalier, au pas puis avec un petit trot soutenu, il rode sa rondelle vierge sur mes 20cm d'acier. Je devine dans la pénombre ses yeux fermés. A l'écoute de son corps, je le vois sourire. Moi j'adore sa rondelle ferme. De temps en temps une crispation vient m'étrangler la queue, entrainant un brusque arrêt de la défonce, mais ajoutant encore aux sensations perçues des deux côtés.
Dan et son partenaire (un autre copain de Berkeley) nous rejoignent et s'occupent de mon petit Newyorkais. Sollicité par nos trois bouches, occupé par ma queue et en contact avec celles de mes deux potes, le petit jeune ne sait plus où il habite et il se prend un pied d'enfer. Je reçois de son sperme jusque dans les cheveux. Mes deux collègues giclant les leurs sur mon " étui pénien " qui, hyper contracté, provoque ma propre jouissance. Ils retournent sur leur matelas alors que je garde mon partenaire sur moi. Ma queue sort avant de complètement débander et je récupère discrètement ma kpote pleine. Il s'endort sur moi et je m'endors à mon tour.
Au matin je suis toujours son matelas ! Ma queue se réveille mais j'entends les bruits du campement, pas le temps ! Je m'étire et ce faisant réveille mon petit américain.
Il réalise soudain qu'il a passé la nuit sur moi. Rires dans la tente quand il sursaute, glisse de moi et s'excuse de tomber sur Dan. Je lui fais un petit bisou sur les lèvres et une tape sur les fesses. Nous sautons dans nos maillots de bain et course jusqu'au Colorado où un bain nous permet de perdre les effluves de la nuit passée. Je m'aperçois qu'on est pas les seuls. Mon petit mec se fait charrier par ses potes. Mais il a du répondant et les rires sont bon-enfant.
Petit déjeuner substantiel et on attaque la seconde partie de notre petit raid. Là, c'est l'embarcation des adeptes des sports de combat qui gagne. Ils ont pu profiter d'une erreur tactique qui nous a fait perdre la tête que nous avions depuis le départ.
Je profite du retour à la base en car pour récupérer les coordonnées de mon partenaire de la nuit et m'organiser une pause à New York pendant mon voyage de retour.
Départ de San Francisco :
Un peu plus de 6 mois en immersion totale, ça forge des amitiés. Tous mes nouveaux potes nageurs comme combattants ont mes coordonnées et savent qu'ils peuvent passer me voir en France.
Bien évidemment c'est encore plus le cas pour Tyler et Dan. En ce qui concerne Duke (le petit frère de Dan été grand ami de ma triplette), je lui confirme une invitation permanente à venir en France retrouver son trio d'amis. Que ce soit pour les vacances ou même un grand WE, il sait que ma porte lui est grande ouverte.
Grandes embrassades à l'aéroport d'où je pars pour New York. Je ne connais pas la ville et en plus Bobby m'a promis de me faire visiter rapidement.
A LaGuardia il m'attend. Je lui roule un patin.
De New York je ne connaitrais finalement que l'intérieur de son appartement où j'aurais passé deux jours à le baiser par tous les trous et dans toutes les positions que je connaisse. J'ai retrouvé ce petit cul rond et blanc d'absence de soleil et surtout la rondelle qu'il cache en son centre et qui attire ma queue sans arrêt ! Les trois pièces de son appartement, sa cuisine et sa salle de bain, la table basse et le canapé du salon, le plan de travail de la cuisine et celui du lavabo, la douche aussi où je l'ai encore enculé alors qu'on retirait sous les jets d'eau de la colonne de jets le sperme collé de notre dernière baise, je crois bien qu'à part la cuvette des toilettes, tout ce qui pouvait soutenir un corps a été utilisé.
Nous nous sommes même fait le jeune livreur de Pizza, un latino basané monté comme un âne, qu'il n'a pas fallu beaucoup poussé quand on lui a ouvert quasiment nus. C'est peut-être aussi parce que pendant que bobby le faisait entrer, j'étais collé à son cul et que je lui léchais l'oreille ! Je me souviens lui avoir proposé le petit cul de mon hôte comme pourboire supplémentaire, argumentant du fait que c'était une bonne chaudasse et que malgré mes grandes capacités je n'arrivais pas à le rassasier.
Quand son chino est tombé à ses pieds, on a pu voir une vraie grosse barre déformer son boxer. Bobby s'est jeté à ses genoux et directement lui a arraché ce dernier rempart. Dans le même mouvement il a embouché le gland le faisant glisser jusque dans sa gorge, compétence que j'avais réussie à lui inculquer récemment. Il s'est quand même étranglé, le livreur étant plus puissamment équipé que moi.
Alors qu'il se faisait pomper, il a téléphoné pour prévenir qu'il serait indisponible aux livraisons pendant quelques heures. J'ai aimé cette réorganisation de son emploi du temps.
Il est resté 2h30 avec nous. Kpoté il m'a aidé à rassasier le cul de Bobby, plus petit que nous mais plus costaud que Bobby, il s'est permis lui aussi des portés et des positions de sodo musclées. Bobby s'est fait plaisir avec une dans le cul et une dans la gorge, mais nous n'avons pu aller jusqu'à la double sodo. Malgré son envie, il n'avait pas rebaiser avec un mec depuis son dépucelage sur les rives du Colorado. Je crois bien qu'avant de partir, le latino lui a laissé son n° de portable. Pour qu'il n'ait pas à pâtir de son interruption dans sa journée de travail, je lui ai glissé dans les 200$ dans sa poche de Jeans.
Bobby me raccompagne à l'aéroport, cette fois JFK et retour en France.
Jardinier
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Southern California
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Nouveau jour, nouvelle semaine, nouveaux départs... Aujourd'hui est le jour idéal pour montrer que vous êtes capable de réaliser tout ce que vous entreprenez. Que ce nouveau jour soit le début de grandes choses dans votre vie et une nouvelle opportunité pour vous de créer quelque chose de merveilleux. Bonjour. Partons pour ce lundi avec joie et positivité.....et féminité
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Le Petit écho de la mode, no. 28, vol. 38, 9 juillet 1916, Paris. Le Départ our la Campagne. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1.) Manteau trois-quarts, en drap anglais, de forme Raglan, à col rabattu, orné de poches verticales et boutonné de boutons en similiacaille. Grand chapeau breton en paille anglaise.
(1.) Three-quarter length coat, in English cloth, Raglan shape, with a turned-down collar, decorated with vertical pockets and buttoned with imitation leather buttons. Large Breton hat in English straw.
Métrage: 4 mètres de tissu en 140.
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(2.) Costume tailleur en serge. Veste à basque ample fermée par des boutons de corozo ; poches piquées rapportées. Ceinture de cuir verni.
(2.) Tailored suit in serge. Jacket with a loose peplum fastened with corozo buttons; sewn-on pockets. Patent leather belt.
Métrage: 2m50 en 120.
Jupe large, montée à gros plis creux réguliers. (Wide skirt, fitted with large regular hollow pleats.)
Métrage: 3m60 en 120.
—
(3.) Costume en tissu écossais fondu. Veste à revers unis,boutonnée de corne blonde. Ceinture en pékiné noir et blanc.
(3.) Suit in melted tartan fabric. Jacket with plain lapels, buttoned with blond horn. Belt in black and white pekin.
Métrage: 2m50 en 120.
Jupe large et froncée. Grand canotier paille doublé de blanc. (Wide, gathered skirt. Large straw boater lined in white.)
Métrage : 3 mètres en 120.
#Le Petit écho de la mode#20th century#1910s#1916#on this day#July 9#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#Forney#dress#country#coat#suit
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Je te souhaite assez....! 🙏✨
Récemment, j'ai entendu une mère et sa fille converser dans leurs derniers moments ensemble à l'aéroport alors que le départ de la fille avait été annoncé.
Debout près de la porte de sécurité, elles se sont embrassées et la Mère a dit :
"Je t'aime et je te souhaite assez. "
La fille a répondu : "Maman, notre vie ensemble a été plus que suffisante. Ton amour est tout ce dont j'ai toujours eu besoin. Je te souhaite assez aussi, maman." Elles se sont embrassées et la fille est partie.
La mère s'est approchée de la fenêtre où je m'étais assise. Debout là, je pouvais voir qu'elle voulait et avait besoin de pleurer.
J'ai essayé de ne pas m'immiscer dans sa vie privée, mais elle m'a approchée en me demandant : « Avez-vous déjà dit au revoir à quelqu'un sachant que ce serait pour toujours ?
"Oui, je l'ai fait", répondis-je. "Pardonnez-moi de demander, mais pourquoi est-ce un au revoir pour toujours ? "
"Je suis vieille et elle vit si loin. J'ai des défis à relever et la réalité est que le prochain retour sera pour mes funérailles », a-t-elle déclaré.
Quand vous lui disiez au revoir, je vous ai entendu dire : "Je te souhaite assez. " Puis-je demander ce que cela signifie ? "
Elle commença à sourire. « C'est un vœu qui a été transmis par d'autres générations. Mes parents le disaient à tout le monde. "
Elle s'est arrêtée un moment et a levé les yeux comme si elle essayait de s'en souvenir en détail et elle a souri encore plus.
« Quand nous avons dit « Je te souhaite assez », nous voulions que l'autre personne ait une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour la soutenir ». Puis se tournant vers moi, elle a partagé ce qui suit, en le récitant de mémoire,
« Je vous souhaite assez de soleil pour garder votre attitude lumineuse.
Je vous souhaite assez de pluie pour apprécier davantage le soleil.
Je te souhaite assez de bonheur pour garder ton esprit vivant.
Je vous souhaite assez de douleur pour que les plus petites joies de la vie paraissent beaucoup plus grandes.
Je vous souhaite assez de gains pour satisfaire votre désir.
Je vous souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que vous possédez.
Je vous souhaite assez de bonjour pour vous faire passer le dernier au revoir. "
Elle s'est alors mise à pleurer et s'est éloignée.
Ils disent qu'il faut une minute pour trouver une personne spéciale. Une heure pour l'apprécier, Une journée pour l'aimer et toute une vie pour l'oublier. ✨🌟💝
Bob Perks
La Numérologie de Maud
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Une Locomotive MÁV Class 424. Fameuse locomotive Hongrois fabriquée par MÁVAG (Magyar Királyi Állami Vas-, Acél- és Gépgyárak), elle sera fabriquée en 514 exemplaires au total durant la période de 1924–1958. Aujourd'hui, seules 2 locomotives sont encore en état de marche. Le premier test de fonctionnement sera effectué dans les villes de Budapest et de Vác le 22 avril 1924. Planifié par Béla Kertész (1882-1990), constructeur de la locomotive, la 424 sera une locomotive qui pourra être utilisée de façon universelle sur les grandes lignes de chemin de fer. Elle sera ainsi utilisée tant pour le transport de lourde marchandises que dans le transport de passager ou le transport express. Sa production se terminera en 1958, mais cette locomotive restera en service jusqu'en 1984, jusqu'au moment où les machines à vapeur seront abandonnées en Hongrie. À noter que dans les années 1960, certaines locomotives gagnerons un moteur brûlant de l'huile, mais ses performances ne permettrons pas de concurrencer les nouvelles locomotives diesel comme la DSB Class MY (Danemark) ou le M62 (Soviétique).
MÁVAG sera la plus grande entreprise hongroise de constructions de locomotives et plus généralement mécanique du XIXe siècle. Cette société est au départ propriété du Royaume de Hongrie et sera jusqu'après la Seconde Guerre mondial, une entreprise royale. Elle sera nationnalisé après cela et le terme Királyi" ("Royal") sera supprimé de l'intitulé complet. La société disparaître en 1959 lorsqu'elle prendra le nom de Ganz-MÁVAG suite à sa fusion avec les Compagnies Ganz, autre société hongroise de manufacture de locomotives fondée en 1845 par Ábrahám Ganz, ingénieur hongrois d'origine suisse et pionnier de l'industrie lourde Hongroise.
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La cantine

Dieu que j'ai aimé la cantine.
Les nourritures roboratives des cantines nous enseignent que nous faisons peu les difficiles quand nous avons faim, et que nous faisons les ingrats une fois rassasiés. Et au souvenir de la fête que c'était, enfant, les jours de cordon bleu, de steak haché, de bourguignon et de petit salé, nous regrettons cette douce prise en charge. La cantine était l'un des trésors d'une routine qui semblait devoir durer toujours pour des enfants heureux à la seule odeur de la sauce brune, dans le vacarme du couloir de la file d'attente. Un esprit rassurant habitait les lieux hospitaliers de notre enfance. Le carrelage du sol, la glissière des plateaux-repas, la fumée des chauffe-plats, la foule nombreuse, l'institution d'un jour des frites, formaient un monde compréhensif et chaleureux.
J'allais deux fois, trois fois, chercher du supplément de cordon bleu, de yaourt à l'ananas, et des tranches de baguette "bien cuite", au point de finir seul à table, longtemps après le départ des camarades partis jouer au football. La paix revenue dans la grande salle posait la respiration. L'avenir serait meilleur. Nous portions des Nike Air et disions des gros mots, mais c'était temporaire. Tintement des couverts en arrière-plan plan. Grondement tranquille de quelque soufflerie, bruit apaisant. Je restais longtemps après la fin de ces services, parfois jusqu'à la sonnerie de fin de récréation tandis que les "dames de la cantine" s'étonnaient de trouver encore un élève à table. Je n'irai pas jouer, le monde est décevant, il fait meilleur dans la proximité des grandes personnes qui sont là pour nous. J'allais encore chercher du supplément. Tout revenait dans l'ordre. C'était la vie stable et la paix, peut-être un aperçu d'éternité bienheureuse. Tintement de couverts encore. Travailleurs en cuisine qui s'apostrophent en rangeant des chariots. La paix loin des engrenages du monde. Mes grands-parents, à Paris, là-bas, l'ordre de leur maison. Un refuge possible. La France tenue par des gens de France, souriants et âgés. Une organisation du monde qui venait de loin et se donnait à moi pourtant, à demi-étranger, un ordre qui me donnait hospitalité, amour, avenir. J'ai immensément aimé ces fins des services de cantine. Moments d'alternative inventés, gagnés sur l'engrenage obligatoire, moments de récollection, de récapitulation, moments de retrouvailles avec le temps lent de mon pays. La cour de récré c'était les jeux stupides, les prochaines boums, les tiraillements sans répit de la réputation et de la sentimentalité qui vous hameçonnent et vous enlèvent à vous même. Rester longtemps à la cantine c'était être rendu à soi-même dans la joie contenue, sans commentaire, sans éclat, dans un cadre, un tout petit cadre, qui délimite une paix totale.
Beaucoup plus tard je n'ai plus aimé que la vie variée, les "excitantes opportunités" pour "profiter de la vie" et "s'éclater comme des malades" dans des nouveautés étonnantes et toujours renouvellées, qui vous mettent la tête à l'envers. Il fallait pour que la vie ait du sel, pour repousser le démon qui vous accuse d'être un raté, accumuler en une seule journée un maximum de musts, que ces musts deviennent un flux continu, abondant, et sûr, qui vous remplisse et vous fasse passer par-dessus la vie.
Il fallait en une seule journée avoir gagné de l'argent, avoir été beau, avoir été bien habillé, avoir affermi son avenir professionnel, avoir serré une petite et s'en être réservé une autre pour plus tard, avoir été drôle, avoir été profond, avoir été guerrier de la survie immédiate dans un tête à tête avec l'existence tout en ayant accepté avec dégagement un salaire, l'amour d'une famille, d'un pays, d'un Dieu charitable, et goûté cette stabilité.
Il fallait en une seule heure avoir capté au réveil une musique nouvelle et opportune qui avait éteint vos doutes et façonné votre optimum d'état d'esprit, puis s'être douché en étrennant un fabuleux gel douche dérobé la veille dans un magasin de luxe, puis avoir passé vos vêtements favoris tout en honorant simultanément un rendez-vous téléphonique pris de longue date qui allait permettre un déblocage administratif auquel on ne croyait plus, être sorti et avoir marché face au soleil tout juste revenu et croisé au moins un regard de jolie passante, être monté dans le métro à la seconde exacte où les portes fermaient, et s'en être allé ainsi vers la foule des opportunités de l'heure suivante, de la journée suivante, des années suivantes sous l'égide d'une présence protectrice et bienveillante.
Au retour de certaines nuits passées dehors à courir les filles je prenais conscience dans des moments d'illumination profonde, que jouir vraiment de la vie supposait de se contenir totalement et tout le temps. J'allais ces nuits là au bout de moi-même, au bout de mes finances, au bout de mon temps libre, au bout de ma peur de l'autre pour oser l'aborder et réussir à la convaincre, j'osais aller chercher cette vie qui ne venait pas à moi et j'assumais de la prendre avec méthode et passion exactement comme on prend une fille. Je touchais au centre de l'existence, à ce pourquoi j'avais jusqu'ici vécu sans avoir osé y aller. Aussitôt, tout devenait paradoxe. Les hommes etaient malheureux disaient Pascal, de ne pouvoir rester en leur chambre ? Eh bien tout le malheur des hommes je le voyais était de vouloir jouir de la vie, de vouloir s'abîmer, s'évader, s'oublier. La musculation, l'éducation, le gain d'argent, les belles possessions matérielles, les appuis mondains étaient des potentiels laborieusement amassés, mais ils étaient comme de l'huile dans des outres fatiguées de les contenir et qui ne demandaient qu'à crever, qu'à se répandre, qu'à purger leur trop-plein. Il faudrait ne jamais vouloir se soulager et ne jamais se fatiguer d'amasser, toute la vraie joie est là. À quels tourments nous condamnent, je le voyais, la recherche hédoniste ! À cet homme moderne et maudit qui se gaspille lui-même parce qu'il est seul, habité d'un monde de désir et assiégé d'un monde d'impossibilités. Telle est la cruelle condition des hommes, voilà ce que je comprenais. En-dedans, un besoin total, et en-dehors, une indifférence totale. J'ai beaucoup aimé les auteurs qui ont su exprimer ce moment précis, ce lieu précis de l'existence, ce vrai tête à tête avec les choses, un face à face musculaire, intellectuel, instinctif, spirituel, financier, judiciaire, total, qui engage avec frayeur et ivresse la totalité de votre être qui veut de toutes ses forces faire naître un nouveau monde. Herman Hesse, Dostoievski, London, Morand, Céline. Et plus près de nous, Soral et Cysia Zykie. Alors vous sentez que vous n'êtes pas de taille, que vous êtes faible et fanfaron ou tout du moins, que vous pourrez tenir mais temporairement, qu'il faudra très vite un support, "un lieu où reposer sa tête", une grâce, une aide externe, une réponse à vos tentatives comme une bouée de sauvetage à un naufragé haletant qui s'épuise et s'affole.
J'ai longtemps fait le fou pour sortir de la condition de perdant immobile que nous promettait cette affreuse ville de Grenoble, entre les gauchistes, les fonctionnaires, les étudiants ESC et les racailles. Il a fallu, du moins le croyais-je, il a fallu trouver une bande de fous et de déclassés comme moi, et lancer la machine. Resquiller, voler, cambrioler, siphonner, camper, cogner, attraper, crier, saccager, courir pour sa vie. Plus tard ce fut le Vietnam, Hongkong, Paris, tenter sa chance, forcer la chance. L'argent, la bourgeoisie retrouvée, re-perdue, regagnée, les vestes en cuir et les baskets Dior Homme ancien modèle, les filles qui ont la mèche sur le front et le collant qui s'arrête à la cheville. Planer au-dessus du marécage où s'enfonce le monde impie des indifférents, et parfois se débattre dedans, avec horreur, larmes et rage.
Eh bien je préférais la cantine.
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Automne 1939, Hylewood, Canada
Chère Noé,
La guerre nous a rattrapé aussi. La mobilisation chez les Canadiens français n’est pas grande, mais ce n’est pas parce qu’on ne vous soutient pas. Nous sommes très mal traités par les Canadiens anglais… C’est pour eux qu’on ne veut pas se battre. Malgré ça, deux de mes beaux frères se sont portés volontaires. Même le grand-père du sanatorium s’est engagé (mais entre nous, il est en meilleure forme que moi). Il parait qu’on ne sera pas envoyé en Europe. À part à faire bonne figure, je me demande bien à quoi nos troupes vont servir…
On pense tous fort à vous. Avec un peu de chances, cette guerre sera plus courte que la dernière… C'est Antoine qui a raison, je suis certain que tu n'as rien à craindre pour Ange. Il vient d'une famille importante, on lui donnera sûrement un poste protégé, et les Allemands seront repoussés en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire. La France est une grande puissance, non ?
Je t’embrasse affectueusement. Ton cousin,
Lucien LeBris
▼ Transcriptions et traductions vers le français sous "Afficher davantage". ▼
[Transcription] Lucien LeBris : Vous êtes sur le départ ? Frédéric Rumédier : En effet. Bon matin, Lucien. Lucien LeBris : C’est brave, ce que vous faites. De vous porter volontaire comme ça. Lucien LeBris : Je devrais moi aussi, mais… Frédéric Rumédier : Vous n’avez pas besoin de vous justifier. Vous avez une fille en bas âge, elle a besoin de vous entier et à la maison. Lucien LeBris : Ça va aller, au sanatorium ? Frédéric Rumédier : Madame Rumédier devrait réussir à se débrouiller. Frédéric Rumédier : Je ne pense pas qu’il y aura beaucoup de touristes ces prochaines années de toute façon. Lucien LeBris : Oui, je vais avoir le même problème, je pense. Lucien LeBris : S’il y a quoi que ce soit que je puisse faire… Frédéric Rumédier : Merci, Lucien. Vous êtes un brave jeune homme. Lucien LeBris : J’ai trente-quatre ans, Monsieur Rumédier. Frédéric Rumédier : Déjà ? Georges Rumédier : On y va, « Grand-papa » ? Le ferry nous attend.
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La vie change constamment, les gens partent, l’amour s’estompe et des morceaux de ce que vous étiez autrefois s’envolent sans même que vous vous en rendiez compte. C’est douloureux, troublant et parfois injuste, mais cela fait partie du voyage. Les amitiés que vous pensiez durer éternellement peuvent s’effondrer et l’amour à qui vous avez tout donné peut ne plus convenir à la personne que vous devenez. Vous pouvez vous sentir perdu, vous demandant si vous vous sentirez un jour entier à nouveau, portant le poids de ce qui a disparu. Mais la vie a une façon de se renouveler, même dans les moments les plus calmes. De nouvelles amitiés vous trouveront, l’amour s’épanouira dans des endroits inattendus et les morceaux que vous pensiez perdus seront remplacés par une version plus forte et plus sage de vous-même. Un jour, vous regarderez en arrière et réaliserez que chaque fin a conduit à un nouveau départ, que chaque perte a fait place à quelque chose de plus grand et que chaque changement a fait de vous la personne que vous avez toujours été censé être.
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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Road trip along the ridge route in Alsace with the Moto Morini X-Cape 650…
Canon EOS R
24-105mm F4 DG OS HSM | Art
ƒ/5.6
38.0 mm
1/250
iso 100

(FR)
Route des Crêtes Vosges La Route des Crêtes est une voie longue de 88 kilomètres qui traverse le massif des Vosges, reliant Sainte-Marie-aux-Mines au nord à Uffholtz au sud, à proximité de Cernay. Elle a été créée pendant la Première Guerre mondiale pour des raisons stratégiques et permet aujourd’hui de découvrir les paysages les plus caractéristiques de la chaîne des Vosges.
Paysages et points de vue La Route des Crêtes offre des panoramas étendus inoubliables, avec des cols, des ballons, des lacs, des chaumes et des forêts. Elle passe par le col du Bonhomme, le col de la Schlucht, le massif du Hohneck, le Markstein, le Grand Ballon et le Vieil Armand. Le point le plus élevé est à 1 343 m au passage du Grand Ballon.
Activités La Route des Crêtes est accessible à pied, à vélo ou en voiture, en moto, en camping-car. Elle permet d’accéder aux sommets des massifs vosgiens, tels que le Grand Ballon (1 424 m), le Rothenbachkopf (1 316 m) et le Hohneck. Elle offre également l’accès au champ de bataille et au cimetière militaire de l’Hartmannswillerkopf.
Points d’intérêt Le Hartmannswillerkopf, également connu sous le nom de Vieil Armand, témoigne des terribles conflits de la Grande Guerre. Le Hohneck, troisième plus haut sommet des Vosges, offre un panorama paysagé avec en toile de fond les montagnes vosgiennes. La station de ski de La Bresse Hohneck, située aux pieds du Hohneck. Le col de la Schlucht, qui relie l’Alsace à la Lorraine par le biais de leurs vallées. Informations pratiques La route est fermée à la circulation chaque année à compter de mi-novembre pour toute la période hivernale. En hiver, elle est fermée au nord entre le col de la Schlucht et le col du Calvaire pour faire place aux pistes de ski de fond, et entre le col du Bonhomme et le col des Bagenelles, ainsi qu’au sud entre le Grand Ballon et les pistes de ski de La Bresse-Kastelberg. Des balades pédestres, des circuits VTT et des animations sont proposés aux départs des arrêts de la navette sur la route des crêtes. Conseils Parcourez la route en après-midi pour profiter des paysages les plus beaux. N’hésitez pas à vous arrêter aux nombreux bas-côtés de la route aménagés pour votre sécurité. Profitez des activités proposées, telles que le parapente ou la luge d’été, aux beaux jours. Prenez le temps de découvrir les vestiges historiques et les points de vue panoramiques qui jalonnent la route.
Bon… Nous, nous n'avons vraiment pas eu de chance cette fois là (en Juin). Brouillard, brouillard et encore brouillard toute la journée. Et le pire, c'est qu'il a fallu chercher de l'ombre une fois rentré tellement le soleil prenait sa revenche en fin de journée.
(EN)
Route des Crêtes Vosges The Route des Crêtes is an 88-kilometre-long road that crosses the Vosges massif, linking Sainte-Marie-aux-Mines in the north to Uffholtz in the south, near Cernay. It was created during the First World War for strategic reasons and today allows you to discover the most characteristic landscapes of the Vosges mountain range.
Landscapes and viewpoints The Route des Crêtes offers unforgettable, extensive panoramas, with passes, balloons, lakes, stubble fields and forests. It passes through the Col du Bonhomme, the Col de la Schlucht, the Hohneck massif, the Markstein, the Grand Ballon and the Vieil Armand. The highest point is at 1,343 m at the Grand Ballon pass.
Activities The Route des Crêtes is accessible on foot, by bike or by car, motorbike or camper van. It provides access to the peaks of the Vosges massifs, such as the Grand Ballon (1,424 m), the Rothenbachkopf (1,316 m) and the Hohneck. It also provides access to the Hartmannswillerkopf battlefield and military cemetery.
Points of interest The Hartmannswillerkopf, also known as Vieil Armand, bears witness to the terrible conflicts of the Great War. The Hohneck, the third highest peak in the Vosges, offers a landscaped panorama with the Vosges mountains as a backdrop. The La Bresse Hohneck ski resort, located at the foot of the Hohneck. The Schlucht pass, which connects Alsace to Lorraine through their valleys. Practical information The road is closed to traffic every year from mid-November for the entire winter period. In winter, it is closed to the north between the Col de la Schlucht and the Col du Calvaire to make way for cross-country ski trails, and between the Col du Bonhomme and the Col des Bagenelles, as well as to the south between the Grand Ballon and the La Bresse-Kastelberg ski slopes. Hiking trails, mountain bike trails and activities are offered at the shuttle stops on the Route des Crêtes. Tips Travel the road in the afternoon to enjoy the most beautiful landscapes. Don't hesitate to stop at the many roadsides designed for your safety. Enjoy the activities on offer, such as paragliding or summer tobogganing, when the weather is nice. Take the time to discover the historical remains and panoramic viewpoints that line the road.
Well… We were really unlucky this time (in june). Fog, fog and more fog all day long. And the worst part was that we had to look for shade once we got back because the sun was getting its revenge at the end of the day.
#Grand Ballon d'Alsace#VisitAlsace#SIGMA 24-105MM F/4 DG OS HSM ART#Lieux#Road-Trip#Alsace#Moto#Moto Morini#Moto Morini X-Cape 649#Canon EOS R#Grand Est#24-105MM F/4 DG OS HSM#flickr#outdoor#photographers on tumblr#original photographers#extérieur
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saga: Soumission & Domination 385
La France
Le retour en France me replonge dans ma réalité.
En vrac :
les annexes sont terminées et les habitants installés dedans. Jona et François sont trop contents de leur appart dans l'annexe 1. Jalil passe la plupart de ses nuit dans leur seconde chambre mais aussi au Blockhaus dès que la triplette y est.
Jona mène d'une main de directeur compétant ma société, organisation du personnel, prises de rendez-vous, recrutements et gestion des physiques. Le fait de loger sur place lui gagne du temps et lui permet d'être dispo à toute heure pour mes escorts.
Mes amours qui m'ont finalement plus manqués que je ne l'avais pensé au départ. La nuit de mon retour c'est à peine si nous avons dormis une heure. Il y en avait toujours un qui bandait et que les autres devaient purger !
Mes petits, Enguerrand, Max et Nathan toujours aussi jeunes dans leur enthousiasme, sont maintenant collés de Jalil.
Jalil que j'ai du mal à reconnaitre, changé par mes insupportables gamins, coiffure mode, vêtements idem, un vrai petit européen ! Il s'est vite étoffé à suivre le régime culinaire et sportif du Blockhaus. Du coté de ses études par correspondance, PH a finalement décidé avec le suivit du CNED d'aller jusqu'au BAC en Auditeur libre et de le lui faire passer en 2 ans (au lieu des 3 années du dernier cycle, seconde, première et terminale). Les cours dispensés par les uns et les autres portent leurs fruits et les devoirs reviennent de correction avec des résultats très satisfaisants. Les " médecins " qui suivent la partie scientifique (math, physique, SVT) sont contents de leur élève même si ce dernier est plutôt littéraire. Ça, m'est confirmé par Sosthène.
Pour le sexe, d'après ce que je comprends il se limite à mes trois petits frères et ce n'est pas faute d'en faire bander plus d'uns lors des séances sport. Les 4 mois d'entrainement aux différents sports de combat dispensés par Jona, PH et João l'ont changé aussi. Son naturel effacé et timoré a laissé place à un abord franc et ouvert. Là, ma " thérapie " maison a fait son office.
Avec son père les relations se sont renouées d'autant plus facilement qu'avec la distance, il n'y a plus la barrière de son " état ".
Enguerrand me confie que de temps en temps il s'isole avec lui pour parler de ses 3 années au service sexuel des intégristes. C'est par vague que cela lui revient et, à ces moment-là, il lui en parle et uniquement à lui qui a connu aussi ce genre de contrainte.
Je comprends, c'est ce qui lui était arrivé et c'est sur mon épaule qu'Enguerrand venait alors poser sa tête et pleurer un coup. Je le serre fort dans mes bras pour le remercier de ce qu'il fait pour Jalil. J'ai droit à un " déconne, je peux pas faire moins, on l'aime tous trop ". Ça me va bien ces réactions et pas seulement parce que ça en fait un petit groupe de baiseurs. Ça remet Jalil dans un cursus de développement normal.
Marc que je n'ai pas assez vu pendant ces 6 derniers mois a droit à une vraie salope dans son lit quand il revient d'Asie. Il me finit dans le donjon réaffirmant sa domination sur moi. Ça m'avait manqué ça aussi. J'aime les rapports de force avec lui comme maître. Il se rattrape de ces derniers mois où nous ne nous étions vus qu'un WE. mais c'est évident que je ne suis plus le gamin de 18ans qu'il a dépucelé dans sa douche à moitié terminée et qu'il dominait totalement. Physiquement je dois être au moins une fois et demie plus large et plus musclé, psychologiquement j'assure même si je ne me suis jamais caché que j'aimai me faire enculer grave dès qu'il m'a fait subir ma première sodomie. Mais l'évolution que j'ai suivie m'a fortement muri, surtout les responsabilités envers les jeunes de ma société. Mais je crois que c'est à la triplette élargie, dont je considère les membres comme les petits frères que je n'ai pas eu la chance d'avoir, que je dois ma plus grande transformation psychologique.
Emma pareil, nos retrouvailles se font en simple duo avec une tendresse que je ne me connaissais pas. Sans me rappeler les premiers pas de notre relation (tarifée à l'époque), le fait d'être en tête à tête tranche avec ces dernières années où nous avons surenchéris dans la stimulation sexuelle. Le summum ayant été réalisé quand nous avons été 4 à la pénétrer en même temps (chose possible que grâce aux 24cm d'Ernesto). On en rit alors que, couchés côte à côte après l'amour, nos regards perdus dans notre reflet, (le plafond est recouvert de glace), Emma résume l'évolution que je lui ai apportée. Quand je lui demande si elle regrette, elle roule sur moi et me dit que jamais de sa vie elle n'avait vécu aussi intensément que depuis que je suis entré dans sa vie. Ça lui vaut un câlin qui termine avec pénétration c'est évident ! Là, je lui prends le cul et lentement l'amène à une troisième jouissance qui la laisse pantelante.
Pablo nous fait un repas de fête avant que j'aille lui faire ma propre fête avant de quitter cette maison. Ses 24cm me font patienter la prochaine remontée de son petit frère Ernesto mon 4ème amour et ses 24cm à lui. La tête sur son oreiller, je vois à l'envers les trois toiles que nous lui avions offertes lors de son installation, je lui demande s'il est heureux. C'est lui qui me prend dans ses bras, m'écrase gentiment les côtes et m'assure que c'est le cas. Je lui demande s'il ne regrette pas de ne pas avoir son propre restaurant. Il me répond qu'il a tous les avantages sans les inconvénients. Il peut créer ce qui lui passe par la tête, avec les diner d'Emma, il a le plaisir de voir que ses créations plaisent et ça sans les lourdes responsabilités d'un établissement à faire tourner. Il a négocié avec Julien pour mettre ses meilleures recettes dans sa boutique de traiteur. Ça + ses prestations extérieures suffisent à le distraire et il a la possibilité de prendre du plaisir avec des mecs sans que cela porte à conséquence pour son taf. Il redescend sur Barcelone quasiment quand il veut et son petit frère devient un vrai homme et ça lui plait aussi.
Je fais la connaissance de la recrue de Côme, Grégoire. Débarrassés de ses poils en trop, il ne fait pas honte à mon écurie. Pas farouche, alors que je l'ai convoqué pour un entretien avec son Boss, c'est tout juste si ce n'est pas lui qui me viole (en passif bien sûr). Quand je lui demande son parcours, il me décrit aussitôt son dépucelage par un élève ingénieur agricole en stage dans l'exploitation de son père. Comment ce dernier, en 6 mois, lui avait fait aimer le sexe et particulièrement en position passive. Il me sous-entend que ce n'était pas le seul sexe mâle de la ferme à avoir défoncé sa jeune rondelle. Et donc mes clients, malgré leurs dimensions hors normes ne lui avaient pas posé plus de problème que ça. Il me dit qu'il appréciait aussi l'ambiance que j'avais su créer avec tous les escorts et qu'il aimait aussi beaucoup se les prendre par deux pour entretenir sa souplesse anale.
Comme je m'inquiète qu'il ne soit trop " détendu ", il me prouve le contraire aussitôt. Venu s'assoir sur mes cuisses, il a eu vite fait de faire glisser ma bite raide sur le coté de mon shorty et de la kpoter d'une main experte avant de s'assoir dessus. Ok, sa rondelle est restée ferme et résistante. Je m'enfonce dans son intimité mais tout en sentant une bonne compression. Tout en me chevauchant, il m'explique que son " initiateur " lui faisait contracter son anus sur son petit doigt après chaque défonce. Et le temps d'exercice était proportionnel au diamètre de la bite qu'il venait de recevoir. Je le fais taire en prenant sa bouche et en lui enfonçant ma langue dedans. Il attend de m'avoir fait juter dans ma kpote pour laisser sortir son sperme sur mes abdos. Là il décule rapidement et vient lécher sa production. Naturellement ma main est venue caresser ses cheveux. Il ne s'offusque pas de cette marque de domination. Je vois même qu'il continu à me lécher alors qu'il n'y a plus rien à ramasser.
Quand je lui dis qu'avec lui j'ai une bonne recrue, il m'assure qu'il peut faire pour moi et mes clients des plans Zarbi si besoin. Il était sûr que certains seraient plus qu'intéressés par ses capacités spéciales. Je creuserai plus tard.
En attendant il me remercie d'avoir accepté qu'il rejoigne mon écurie et m'assure qu'il va se donner à fond pour moi. Je tempère son enthousiasme en lui rappelant qu'il n'était pas question que ses études en pâtissent.
Jalil me demande un rendez-vous. Je ris un peu de le voir aussi protocolaire. Nous nous isolons et là, il me fait sa proposition. Il veut intégrer mes escorts pour me rembourser son entretien. Je suis étonné. Du coup je lui demande si c'est vraiment ce qu'il veut, s'il ne préférait pas rester avec ses 3 nouveaux amis et piocher au besoin, parmi tous ceux qui passent au blockhaus s'il avait besoin de nouveauté. Il insiste que ça va faire plus de 4 mois qu'il encombre ma maison et que PH refuse qu'il nous dédommage alors que son père approvisionne son compte suffisamment pour ça. A mon tour je refuse. Je lui explique que je n'ai pas besoin de son argent et que cela ne le met pas pour autant mon débiteur. Je voulais juste qu'il retrouve non pas son innocence, mais au moins une joie de vivre. Là, il me remercie et me dit que j'ai réussis ça. je clos la conversation et le chasse de mon bureau avec ordre de s'amuser et surtout de se faire plaisir, l'immeuble permettait ça.
Arrivé à la porte il se retourne, traverse l'espace qui nous sépare et se jette sur moi pour coller ses lèvres sur les miennes. Je suis si surpris que je mets un peu de temps à réagir, surprenant non ? J'ouvre la bouche pour protester mais le coquin en profite pour y enfoncer sa langue. Direct je bande ! Je le repousse à bout de bras. Là, il me fixe dans les yeux et me sort qu'il ne veut pas être le seul des 4 à ne pas voir fait l'amour avec moi. Après avoir posé sa main sur mon entrejambe, il ajoute que j'en ai envie.
Je ne sais pas mais j'ai une certaine réserve avec lui. Il le sent, sa voix baisse d'un ton et il me demande pourquoi je le rejette. Il me cueille et je le reprends dans mes bras où il se love avant de me tendre ses lèvres.
Je craque ! Ma langue envahi sa bouche et nous nous roulons un patin d'enfer. Mes mains parcourent son corps et je sens qu'il bande comme un fou lui aussi. Je reprends mes esprits, le repousse à nouveau. Là, il me dit qu'il a grave l'envie de faire l'amour avec moi et que ses trois nouveaux copains l'ont assuré que j'étais un super coup. Il ajoute qu'Enguerrand lui a confié que c'était grâce à moi qu'il avait pu surmonter son épisode " esclave, sado-maso " et puis même sans ça, je le faisais trop kiffer.
Je lui demande s'il veut qu'on fasse ça tous les deux ou s'il ne préférait pas avec ses trois autres amis. Je le vois hésiter. Il finit par me dire qu'il aimerait bien m'essayer tout seul.
On se prend la première chambre après mon bureau. Je le pousse sur le lit et le vois se tortiller pour s'extraire de son marcel et de son short. Je l'aide.
Putain qu'il est beau ! Il a gardé sa tête d'ange mais en dessous il est nettement plus beau qu'à son arrivée. Ses os se sont entourés de muscles qui commencent à élargir sa silhouette. Toujours imberbe, les aisselles rasées et le pubis à notre mode, il est plus que baisable ! Il se redresse et m'aide à me mettre nu. A genoux sur le lit alors que je suis debout devant lui, il me caresse. Je le laisse faire le tour du propriétaire. Mon cou, mes bras, mon torse sont parcourus pas ses mains jusqu'à ce qu'il empoigne fermement mes 20cm qui n'attendaient que ça. Sa tête plonge en avant et je sens sa bouche recouvrir la totalité de ma queue. Le nez écrasé sur mes abdos, il joue de sa gorge pour compresser mon gland coincé entre ses amygdales. Je ne veux pas savoir où il a appris ça mais c'est trop bon. Je le lui dis et mes mains sur sa tête, je l'aide ou plutôt je maitrise. Inconsciemment, pendant qu'il me suce, il cambre ses reins et fait ressortir ses fesses. Puis il roule des hanches. Alors que je suis doux dans mes mouvements, il me recrache le temps de me dire que je peux y aller plus hard avec lui. Pour me le prouver, il devient plus brusque dans ses mouvements et cherche à s'étouffer avec mon gland.
Ok j'ai compris. Je lui tiens la tête entre mes mains et utilise sa bouche comme d'un cul. Je lui lime la gorge sans me soucier (enfin si quand même) de sa respiration et s'il émet une forte production de salive gluante je ne m'arrête pas pour autant. Raide comme la justice, la queue hyper lubrifiée de cette salive de fond de gorge, je le retourne pour qu'il me présente son cul.
Il a compris ce qui l'attend et les genoux légèrement écartés, il attend. J'ai à peine posé mon gland sur sa rondelle que d'un brusque coup de rein, il recule dessus jusqu'à ce que ses fesses s'écrasent sur mon bassin. Un ha de soulagement sort de sa bouche. Il commence alors à se déchainer sur ma bite. Je le laisse faire 5mn puis reprend la main. Je bloque ses mouvements alors que je suis bien au fond de son cul. Je le pousse jusqu'à ce qu'il soit couché sur le lit et là, mes chevilles bloquant ses jambes, mon bras gauche en travers de son cou, je m'emploi à lui limer la rondelle avec la totalité de mes 20cm. Je ressors à chaque fois et de temps en temps j'attends qu'il me supplie de le défoncer pour le sodomiser à nouveau. Je surveille qu'il kiffe ma façon de lui faire l'amour. Malgré mon poids, il réussit à se remettre sur ses genoux et à ruer du cul pour " brutaliser " ma sodo.
Peut-être que c'est ce qui lui manque avec ses 3 complices ! Surtout s'ils l'ont converti à " l'actif " pour bien profiter de sa grosse bite.
Je l'attrape par les hanches et le fais pivoter sur ma bite. Je plaque son dos sur le matelas. Il écarte ses jambes quasiment au grand écart, c'est chose faites quand de ses mains posées sur ses chevilles il les tire en arrière.
Trop beau le tableau ! Sa rondelle est légèrement écartée par la position qu'il a adoptée, ses 22x6 raides de plaisir collent son ventre et recouvrent son nombril.
Je me jette sur lui et ma bite, direct, le défonce alors que je me couche pour pouvoir lui rouler un patin. Ses bras viennent autour de mon cou, retenir ma tête. Ses jambes se replient et me bloquent aux reins. Il me garde sans bouger le temps de me glisser dans l'oreille de la baiser hard (sa rondelle).
Je me redresse, mes mains viennent prendre appuis sur ses cuisses et mes pieds fixé au sol, je lui défonce la rondelle à grands coups de bite qui ébranlent à chaque fois le mur. Ses gémissements se transforment en petit cris qui s'achèvent dans un râle alors que, sans se toucher, sa queue se met à expulser de grands jets de sperme. Il se couvre les pecs, son cou, quelques éjaculations atteignent son visage. Je tapisse l'intérieur de son boyau, stimulé par ses compressions anales, avant de m'écraser sur lui.
Ses yeux fermés s'entrouvrent et je n'y vois que du bonheur, ouf !
Je sors ma langue et viens récupérer sur ses joues les larmes de sperme que sa jouissance a déposé là. Je me replace et il comprend. Il ouvre la bouche et je dépose dedans ma récolte. Il m'attrape par le cou et me tire vers lui, collant nos deux bouches on se la partage.
Une fois nos esprits retrouvés, je lui demande si j'avais été assez brutal pour lui.
Réponse : " beaucoup moins que les combattants de la foi, mais juste ce qu'il fallait pour son plaisir ".
Sous les douches, c''est à mon tour de le caresser avec mes mains savonneuses. Je lui fais la remarque que j'ai l'impression qu'il a grandi. Il me le confirme et ajoute que ses répétiteurs médecins n'en sont pas étonnés. Les mauvais traitements avaient dû perturber sa croissance et il se rattrapait maintenant.
Jardinier
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Chris Amon (Scuderia Ferrari SpA - Ferrari 312) et Jackie Stewart (Matra International - Matra MS80 Ford-Cosworth DFV) départ du Grand Prix de Monaco 1969. © Rainer Schlegelmilch / Motorsport. - source Carros e Pilotos.
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