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#Forêt au Moyen-Age
mmepastel · 2 years
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[Alerte]
Cet auteur estonien m’a chamboulée.
Le roman énorme que j’ai lu s’appelle L’homme qui savait la langue des serpents 🐍 et il a paru en France en 2013. Je n’avais pas entendu parler de lui.
Là je suis tombée dessus à la librairie, et malgré une légère appréhension, je me suis lancée.
Je ne le regrette pas. La preuve, je me suis empressée d’en acheter deux autres de lui, dont un paraît-il est abordable par les enfants, je le destine à mon fils de onze ans.
Comme beaucoup avant moi, je vais répéter les louanges : c’est en effet un livre unique, complètement siphonné. Ça se passe au Moyen-Age, dans la forêt estonienne. Deux mondes s’affrontent : celui, primitif et moribond de la forêt, et celui du village, dont on comprend qu’il a été fraîchement christianisé par les allemands (les hommes en fer) qui sillonnent le pays comme des rois.
Notre héros est le dernier qui sait parler la langue des serpents, qui symbolise l’union de l’homme et de la nature, puisque grâce à cette langue commune, les serpents sont amis des hommes, tout comme les loups, les ours, les chevaux. Tout son malheur vient d’être le dernier. Il assiste à la mort de son monde car les habitants de la forêt se ruent massivement vers le village où on mange stupidement du pain insipide et où on se brise le dos à cultiver les champs au lieu de manger élans et chevreuils qui s’offrent à l’homme qui sait leur parler.
Attention, le livre n’est pas simpliste bien qu’il soit complètement délirant. Sous la farce se cachent des critiques adressées aux deux camps : les arnaqueurs du christianisme et les arnaqueurs païens qui entretiennent de fausses croyances et des peurs idiotes. Au fond, le roman raconte, à sa façon colorée et trépidante, l’histoire de l’Estonie. Il y a beaucoup de mélancolie dans cette défaite de la magie primitive, mais aussi beaucoup de drôlerie. J’ai franchement ri par moments. Songez qu’on croise des anthropopithèques poilus qui élèvent des poux géants, des ours séducteurs, un serpent qui se plaint de sa vie avec tous ses enfants épuisants… jamais rien n’est manichéen car par exemple, la grandeur de la forêt contient aussi son lot d’inégalités : le serpent ami du héros, Ints, traite avec mépris un orvet, considéré comme inférieur, qu’il somme de s’occuper de tâches dégradantes. On voit par cet exemple que rien n’est simple, que rien n’est idéalisé.
La dernière partie est un peu éprouvante car très violente (paraît-il à la manière des sagas islandaises), et très sombre. Beaucoup de sang est versé, des scènes sont particulièrement sombres et sanglantes. En même temps, l’humour affleure toujours. Et c’est dans ce mélange complètement libre entre grotesque et sagesse, imaginaire et réalisme que l’on admire la puissance narrative de l’auteur. Car on dévore son récit. Pas de temps mort, pas d’ennui, une succession d’idées saugrenues font ricocher le récit jusqu’à son issue triste et poétique. J’admire vraiment l’esprit capable d’imaginer de telles histoires, racontée avec un ton inimitable.
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les-degustations-ugo · 8 months
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🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, aimez-vous les Haut Médoc ❓❓🇫🇷
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🍇🍷AOP Haut Médoc Cru Bourgeois 2020 rouge du @chateau_senilhac 🍇🍷:
🌿:
HVE3
🍇 :
41% Cabernet Sauvignon
49% Merlot
10% Petit verdot
🏺:
Élevage en fûts neufs. Âgés moyen des Vignes 25 ans.
💰:
19,00€ / bouteille
👁️ :
Une robe de couleur pourpre soutenu
👃 :
Un nez expressif sur des notes de fruits noirs légèrement épicées
💋 :
En bouche, on a un vin avec un bel assemblage et une belle structure. Des tanins soupes et ronds en bouche avec du fruit. Sur des arômes de mûre, cassis, pruneaux, les épices sont plus prononcées, sur des notes de poivre blanc et lauriers. L'élevage est présent, mais très bien maîtrisé. Sans excès. Une bonne longueur en bouche avec une finale sur la vanille et les fruits à coque légèrement torréfiés.
📜En résumé📜 :
Un Haut Médoc de toute beauté, avec un excellent rapport qualité-prix plaisir. A ce prix là il ne faut surtout pas s'en priver. Peut également être conservé en cave quelques années pour notre plus grand plaisir.
🧆Dégusté sur du Canard rôti au miel 🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Carbonade de dinde, Chevreau grillé, Cuisses de poulet grillées au barbecue, Entrecôte à la bordelaise,....
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du domaine pour voir toutes les cuvées et promotions du moment📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des
vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🇫🇷🗣️Description du Domaine 🇫🇷🗣️
Sur la rive gauche bordelaise, entre la Gironde et les forêts Landaises, au nord de Saint-Estèphe, le Château Sénilhac s’étend sur 40,7 hectares dont 23,76 ha plantés en vigne. Le vignoble bénéficie d’un terroir argilo-calcaire, qui recèle dans son sous-sol, une importante réserve d’eau, si précieuse lors des années de sécheresse, conférant ainsi au vin harmonie et richesse.
D’un âge moyen de 25 ans, le vignoble est cultivé avec respect et observation permettant de mettre en valeur son excellence.
La combinaison terroir/encépagement fait du Château Sénilhac un vin rond, souple et charnu, agréable à déguster jeune, mais aussi, de part sa dominante Cabernet, un excellent vin de garde.
Chaque parcelle bénéficie d’un travail précis et adapté à son profil. Des suivis réguliers de maturité sont réalisés par analyses et dégustations. Les raisins sont cueillis à bonne maturité et dans le meilleur état sanitaire possible. Château Sénilhac est certifiée d’exploitation de Haute Valeur Environnementale.
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⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓Hello corkscrew lovers. And you, do you like Haut Médoc ❓❓🇬🇧
🍇🍷AOP Haut Médoc Cru Bourgeois 2020 red from @chateau_senilhac 🍇🍷:
🌿:
HVE3
🍇:
41% Cabernet Sauvignon
49% Merlot
10% Petit verdot
🏺:
Aging in new barrels. Average age of the Vines 25 years.
💰:
19.00€ / bottle
👁️:
A deep purple dress
👃:
An expressive nose with notes of slightly spicy black fruits
💋:
On the palate, we have a wine with a beautiful blend and a beautiful structure. Soft and round tannins on the palate with fruit. With aromas of blackberry, blackcurrant, prunes, the spices are more pronounced, with notes of white pepper and bay leaf. Breeding is present, but very well controlled. Without excess. Good length on the palate with a finish of vanilla and lightly roasted nuts.
📜In summary📜:
A very beautiful Haut Médoc, with excellent value for money. At this price you shouldn't deprive yourself of it. Can also be kept in the cellar for a few years for our greatest pleasure.
🧆Tasted on Honey Roasted Duck🧆.
🍷Some possible food and wine pairings with this vintage🍷: Turkey carbonade, Grilled kid, Barbecue-grilled chicken legs, Bordeaux-style steak,....
📌Don't forget, drinking a barrel is saving a winemaker. Go to the estate's website to see all the vintages and promotions of the moment📌.
🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation”🔞Most
wines were tasted and spat out. Unpaid tasting.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🇬🇧🗣️Domain Description 🇬🇧🗣️
On the left bank of Bordeaux, between the Gironde and the Landes forests, north of Saint-Estèphe, Château Sénilhac extends over 40.7 hectares, including 23.76 ha planted with vines. The vineyard benefits from a clay-limestone terroir, which contains in its subsoil, a large reserve of water, so precious during years of drought, thus giving the wine harmony and richness.
With an average age of 25 years, the vineyard is cultivated with respect and observation to highlight its excellence.
The terroir/grape variety combination makes Château Sénilhac a round, supple and fleshy wine, pleasant to taste young, but also, due to its Cabernet dominance, an excellent wine for aging.
Each plot benefits from precise work adapted to its profile. Regular monitoring of maturity is carried out by analyzes and tastings. The grapes are picked at good maturity and in the best possible health condition. Château Sénilhac is certified as a High Environmental Value operation.
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🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi. E a te, ti piace l'Haut Médoc ❓❓🇮🇹
🍇🍷AOP Haut Médoc Cru Bourgeois 2020 rosso di @chateau_senilhac 🍇🍷:
🌿:
HVE3
🍇:
41% Cabernet Sauvignon
Merlot 49%.
10% Piccolo verde
🏺:
Invecchiamento in botti nuove. Età media delle Vigne 25 anni.
💰:
19,00€/bottiglia
👁️:
Un vestito viola intenso
👃:
Un naso espressivo con note di frutti neri leggermente speziati
💋:
Al palato abbiamo un vino con un bel blend e una bella struttura. Tannini morbidi e rotondi al palato con sentori di frutta. Con aromi di mora, ribes nero, prugne secche, le spezie sono più pronunciate, con note di pepe bianco e alloro. La riproduzione è presente, ma molto ben controllata. Senza eccessi. Buona persistenza al palato con un finale di vaniglia e noci leggermente tostate.
📜In sintesi📜:
Un bellissimo Haut Médoc, con un eccellente rapporto qualità-prezzo. A questo prezzo non dovresti privartene. Può essere conservato anche in cantina per qualche anno per il nostro più grande piacere.
🧆Degustato su Anatra Arrosto Al Miele🧆.
🍷Alcuni possibili abbinamenti enogastronomici con questa annata🍷: Carbonata di tacchino, Capretto alla griglia, Cosce di pollo alla brace, Bistecca alla bordolese,....
📌Non dimenticare, bere una botte fa risparmiare un enologo. Vai sul sito dell'azienda per vedere tutte le annate e le promozioni del momento📌.
🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞Most
i vini venivano degustati e sputati. Degustazione non retribuita.
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🗣️🇮🇹Descrizione i Dominio 🗣️🇮🇹
Sulla riva sinistra di Bordeaux, tra le foreste della Gironda e delle Landes, a nord di Saint-Estèphe, Château Sénilhac si estende su 40,7 ettari, di cui 23,76 coltivati ​​a vigneto. Il vigneto beneficia di un terroir argilloso-calcareo, che racchiude nel suo sottosuolo, una grande riserva d'acqua, così preziosa durante anni di siccità, donando così al vino armonia e ricchezza.
Con un'età media di 25 anni, il vigneto è coltivato con rispetto e osservazione per evidenziarne l'eccellenza.
Il binomio terroir/vitigno rende Château Sénilhac un vino rotondo, elastico e carnoso, piacevole da degustare giovane, ma anche, per la sua dominanza Cabernet, un ottimo vino da invecchiamento.
Ogni appezzamento beneficia di un lavoro preciso adattato al suo profilo. Il monitoraggio regolare della maturità viene effettuato mediante analisi e degustazioni. Le uve vengono raccolte a buona maturazione e nel miglior stato sanitario possibile. Château Sénilhac è certificato come azienda ad alto valore ambientale.
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56 / Amougies Festival: Le Show continue
56 / Amougies Festival : le Show continue
Les Zoo démarrent (9 musiciens) la journée où midi est bien dépassé et la plus part des aficionados sont partis. Set court et largement instrumental ce qui a été accueilli froidement. Il est vrai quand Joël Daydé chante de sa voix forte et en anglais ça se passe autrement par exemple quand il entonne « If you lose your woman » matiné de musique progressive.  Ils jouent du jazz-blues à fortes influences psychédéliques – guitares électriques, violon électrique, orgue Hammond, saxophone, section rythmique très chargée.
Ils étaient allés au village de quoi ramener des victuailles pour se faire des super sandwiches. Marc avait l’âme de cuisinier et Fred suivait se contentant de payer quand il lui demandait à raison.
Dehors, il y avait pas mal de gens qui étaient assis en tailleur dans l’herbe sur des sacs ou autres protections – certains avaient allumés des feux. Ils jouaient de la guitare, du tambourin, de la flûte au milieu d’odeurs d’encens. Ils étaient sûrement saturés de sons amplifiés – besoin de décompresser près des vaches qui viennent brouter juste auprès du chapiteau.
Evidemment ils ont recroisé Mouna…, son vélo…, et ses fans… (Et ses dreadlocks avant l’heure) ­– Ça faisait un peu boy-scout et kermesse mais la musique est de bonne qualité et la foule décontractée au grand dam des politiques et de certains journalistes français des “grands“ médias.
Un grand dégingandé barbu, une sorte de Merlin l’enchanteur vêtu d’une redingote noire, parcourt la scène à longues enjambées avec son violon électrique et son chapeau large de paysan. Voilà East of Eden : un batteur, un bassiste chanteur, un violoneux à la formation classique, un sax électrifié co-fondateur du groupe avec le guitariste tendance rock.
— Je suis fan de ce groupe : premièrement parce qu’il y a un violon de formation classique qui ne peut qu’apporter à une rythmique rock-blues – deuxièmement parce que j’ai acheté leur album “Mercator Projected“ et que je l’ai écouté attentivement maintes et maintes fois tout en me méfiant de l’artifice des studios – en tout cas en essayant d’y faire abstraction car en public tous les effets tombent à l’eau, déclare Marc.  
Ils entament avec “Gum Arabic / Confucius“ : une musique de désert avec les tintements de clochettes assez longuet – évidemment on imagine le troupeau de chévres, puis la flûte magique, sautillante, discursive matinée d’Orient qui chantonne en leader comme Merlin et qui donne le rythme – thème repris à la basse comme riff d’un Jazz /Indo / Arabo / Psychédélique. En arrière-plan improvisation du saxo électrifié…
—  C’est une autre forme de Prog-rock  avec ici des sons et mélodies orientales parce que tout bonnement Dave Arbus (le violoniste, multi-instrumentiste) est allé en Arabie alors que les autres reprennent des mélodies classiques, du moyen-age, du folk de la renaissance, etc., commente Marc.
— C’est long mais pas désagréable – un peu intello tout de même ! concède Fred.
— Je t’avoue que je ne le connaissais car il n’est pas tout simplement sur le LP que j’ai. Mais il développe avec plus de facilité le travail commencé sur “Mercator“ ce qu’on devrait entendre par la suite.
— Le sax touche pas mal !
Le groupe enchaîne un autre morceau :
— Ça je reconnais le démarrage spatial c’est « Communion » puis le riff flûte et violon qui met une tension permanente et un sentiment d’urgence ainsi la batterie déroule une cavalcade de roulements. C’est parait-il une conversation drôle mais inutile de café-bar avec un serveur parlant presque couramment la langue serbo-croate (un truc bizarre en effet) avec à la fin une blague chantée en serbo croate du style un cheveu ou une mouche sur la soupe.
— Etrange, effectivement !
Le morceau “Northern Hemisphere“ hard-rock-blues-psyché au riff de guitare accrocheur où l’on rencontre dans les forêts les gnomes, et où les choses les plus étranges se produisent, ainsi un magicien disparaît et réapparaît, et de belles choses arrivent, des oiseaux qui volent autour des arbres de diamant, puis le vaisseau spatial décolle dans les larsens. Suivi de “Waterways“ chant sur des vautours roses, bleus et blancs, crocodiles, gondoles noires, pyramides, tombes secrètes des rois, capes écarlates, ailes d'or vers Babylone… plainte du violon en intro puis solos orientaux, tambourins…
Marc reconnaît “Bathers“ les baigneurs du lac hongrois de Balaton – « Parfois il y a des sorcières sur la plage qui s’envolent sur les routes de sable… puis se sont jetées à l’eau au son des flûtes gitanes“ chant mélancolique qui surfe sur la mélodie jouée par la basse. Et puis une gigue irlandaise au milieu de leur set qui surprend Marc et tout le public, avec roulement de tambour en intro ainsi que le violon dansant appelant la batterie qui cavalcade.
— Ils ne font pas que dans l’apport oriental ! Ils font également du folk… irlandais, je pense ? demande Fred.
— Je ne connaissais pas ce morceau. En tout cas il ne fait pas partie du LP.
 Ainsi le groupe continua leur exploration parfois expérimentale bordée de solos orientaux noyant la foule dans une « World Music »  avec toujours le sax free-jazz en rappel.
— Epoustouflant ! conclut Fred.
La foule subjuguée, a suivi et applaudi à tout rompre.
“The next band“ comme ils disent en anglais – Sam Apple Pie. Les puristes n’aiment pas – du rock-blues bien gras & bien couillu aux riffs à deux accords avec Frank Zappa aux soli – Moonlight ça s’appelle. Des spectateurs se lèvent et dansent un peu défoncés tout de même. Le chanteur également harmoniciste se livrent à une bataille de soli avec Zappa.
— Après les intellos, ça nettoie les neurones, commente Fred.
— Oui ! C’est bien qui n’est pas mis tout de suite Soft Machine car deux grands groupes musicalement parlant l’un derrière l’autre, on aurait saturé comme l’autre nuit avec le Gong qu’on a pas écouté, rappelle Marc.
— Absolument ! Mais c’est des “musikos“ qui ont fait la programmation ou des gens dont c’est le métier. Par contre il n’y a pas la dimension sociologique ou anecdotique de Woodstock qui « dit » des choses sur l’évolution ou une tendance d’une génération pour une nouvelle forme de consommation.
— Tu y es allé ?
— Non ! Mais j’ai étudié la possibilité car Rock & Folk proposait des billets avion+concerts pour toute la durée du festival mais ça me faisait trop cher. Concrètement ça me revenait à un mois de salaire sans « l’alimentaire » et les à-cotés. Par contre j’ai lu des reportages et vu pas mal de  photos  dans  la presse spécialisée – rock musique.
— Je n’ai même pas calculé l’éventualité d’y aller car je n’aurais pas eu tout simplement l’argent étant étudiant qui essaie de joindre les deux bouts. Mais quand l’opportunité s’est faite pour Amougies après toutes les défections connues, je n’ai pas hésité.
— Idem pour moi !
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newsbites · 1 year
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News from Marseille, 5 June
Two new texts for the Réforme des Retraites have been published.
Two new texts of application for the pension reform law have been published, despite protests from unions.
The new regulations include changes to the age of retirement and conditions for early retirement for certain groups.
The government aims to implement the reform by September 1, 2023, with around 30 decrees and orders still expected to be released.
2. The left and unions are calling for a strong mobilization on Tuesday to pressure the President of the National Assembly not to reject a proposal to repeal the retirement age of 64.
3. The SNCF predicts minor disruptions to train schedules as a result of the strike on 6 June, while the RTM expects only slight disturbances to bus lines. Aviation will also be impacted as air traffic controllers go on strike, affecting 20% of flights to and from Marseille Marignane airport.
4. The Marseille municipal police is expanding in both personnel and equipment to become the largest municipal police force in France.
5. French President Emmanuel Macron visited an airbase in the  Gard region to assess measures taken to combat forest fires.
6. The Défi de Monte-Cristo, the largest open water race swimming event in Europe, inspired by the escape of Edmond Dantès and the Château d’If from Alexandre Dumas' novel, took place from 2-4 June.
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trottoir-s · 1 year
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Peux-t-on déconstruire si facilement?
Enfaite, les dernières années ont été celle de la montée en puissance de la force de l’humanité. Mais qu’est ce qu’il va se passer psychologiquement dans nos têtes lorsque la puissance va devoir se rétracter?  Allons nous tous tomber dans une forme de dépression à l’inverse de cet état de jouissance que nous avons pu connaitre?
Cela aura été le bon temps, où les famines n’existait presque plus, où l’on vivait jusque 90 ans, où l’on pouvait aller chez le dentiste, où l’on pouvait voyager, où l’on pouvait se goinfrer de série télé, se laver
(se laver, est un processus mortifére qui vise à nous hygiénisé ou est un processus qui vise à nettoyer toute la pollution que notre corp c’est accaparé?)
Historiquement, nous connaissons un intérêt croissant de progrès (dit de progrès), la société évolue dans le temps. Elle va plus vite, elle meurt moin souvent, et son bien être en serait décuplé. Et ce grâce au progrès sociale mais aussi technique. Cette idée de progression, d’évolution date seulement d’hier, d’il y a plus ou moins 2 siècle, mais sinon pas besoin de progresser (si ce n’est que territorialement).
Mais qu’on le veuille ou non, un jour les métaux seront rare, les bariles de fuel disparaiteront et tout notre socle technique et donc sociale avec. Les hopitaux ne seront plus produire les bistouri (fait de fer), les ordinateurs n’auront plus de triple coeur et les trains ne seront nous transporter. C’est un fait, que cela se passe dans 50 - 100 - 500 ans cela arrivera, tôt ou tard. L’épuisement des ressources naturelles n’est pas un phénomène discutable. 
Le remplacement des matières naturelles par d’autre ou une croyance en le recyclage n’est qu’un leure. Qui au mieux ne ferait que retarder le moment où l’humain se retrouvera seule sur sa boule bleu. Ne croyez pas vous enfouire dans un trou de verre. Ils sont trop loin et sans ressource apparament matérielle. Et au mieux, nous nous trompons et les trous de vert regorge de ressource matériel. Et alors, Nous épuiserons notre sol de tout, jusqu’à qu’il n’est plus rien, pour ensuite allez chercher vers l’espace? Quel scénario terrible.. La suite de la technique. Digne des films de science fiction les plus classiques.  La terre vide de sa nature, plus d’oiseaux, plus que des pigeons, plus de cascade, plus de forêt. Plus que des mégalopole sur lesquel s’entasse les goinfres buvant le coca.
C’est un scénario probable, et juste, mais est-ce celui dont nous voulons?
Ce qui est bon à savoir est que la démographie se stabilise naturellement, vous savez, il existe un terme théorique qui se nomme la transition démographique. Tout pays qui s’industrialise voit sa démographie croitre et se stabiliser, c’est un fait pareil indiscutable, les humains n’aime pas faire des bébé à l’infini, pour le moment.
Mais le problème est que la démographie va plutôt dégringoler, retour de la mort infantile, retour de la famine. 
Loin de l’éffondrement du capitalisme, nous soulevons la le point de l’éffondrement de la sécurité, de la stabilité du spécimen vivant que nous sommes. Nous serons 11 milliards sur terre et redesceneront vers 8, 6 et 2. Bien que je ne le souhaite aucunement, ce constat reste qu’une déconstruction de ce qui c’est passé. Si le monde qui s’industrialise voit sa population croite, un monde qui se déstrualise voit alors sa population décroitre. Retour de famine, retour de mort infantile.
Enfaite, nous allons retourner à un cadre matériel de celui du moyen age, mais nous aurons les livres.
Une démographie réduite, quelque reste de matériaux, la mélancolie qui nous prendra d’un temps révolu, un peu à l’image d’une fête ou plutôt d’une guerre. Peut être que d’autre, verront ça plutôt comme de la nostalgie. Les discussions apaisées se demanderont si c’était finalement bon ou mauvais. Le temps sera ralenti, l’autarcie retrouvé. Nous serons ceux qui verrons ces champs redevenir nature, peut-être. Retrouver des paysages où l’ordre de notre race n’intéragit plus que pour lui avoir donner le socle. Des héctars de champs qui ferait pousser des mauvaise herbe, ces paysages sont aussi lunaire qu’est aujourd’hui la lune. S’imaginer une telle composition paysagère est de l’ordre de l’imaginaire. Difficile à savoir ce qu’ils seront, ce qu’il pourrait ou non repousser. Ce serait sans doute une forme peu structuré jouant avec le hasard. Une graine qui tombe fait devenir un arbre au millieu de cet ancien cadastre et socle rationnelement utilisé, c’est à dire vide en son centre et cloturé en sa périphérie, mais ici c’est une ponctualité en le centre que l’on présage. Et/ou peut être l’inverse, les arbres moureront, disparaiteront. Et si les arbres dans nos territoires n’était qu’une pure invension humaine, et que nos paysages étaient en réalité similaire à celui d’un désert?
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recollectinglandscape
Lorsque l’on parle de l’anthropocène on pense souvent au macadam, aux batiments que l’on aurait pu poser, mais c’est moins courant de commencer à vior dans les discussions, l’idée d’implantation massive d’arbre ! Et pourtant, force est de constater ici que nous, les humains, avons bien posé des arbres dans territoires pourtant désért? Qu’est ce que ce garage pèse contre les arbres? Rien. Les arbres, par leur implantantion se démltiplie par la prolifération de graine etc, pas les garages. Et oui, triste à dire mais parmis la panoplie d’une bonne implantation d’un humain aujourd’hui, les arbres en font partie. Nous arrivons nous les castors avec nos consturctions en tout genre mais aussi avec une faune et flore particulière, propre à nos attrait ésthétique, faisant profondément muter le territoire, sa faune mais aussi sa flore.
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Frédéric Epaud, historien et archéologue,
Sur la connaissance réciproque entre modes constructifs et formes de sylvicoles au Moyen-Âge dans le bassin parisien 
2019
«Contrairement à de nombreuses idées reçues, les bois utilisés dans les charpentes des cathédrales gothiques ne furent jamais séchés pendant des années avant d’être utilisés. 
Ils étaient taillés verts et mis en place peu après leur abattage. Chaque poutre était un chêne équarri (tronc taillé en section rectangulaire) à la doloire et conservait le cœur du bois au centre de la pièce.
La scie n’était pas utilisée au XIIIe siècle pour la taille des poutres. 
Pour cette raison, les chênes abattus correspondaient précisément aux sections recherchées, et leur équarrissage se faisait a minima au plus près de l’écorce, avec peu de perte de bois. 
Les bois ainsi taillés étaient indéformables, contrairement aux bois sciés. Les courbures naturelles du tronc étaient donc conservées à la taille, ce qui n’était en rien un handicap pour les charpentiers du XIIIe siècle. À l’encontre, là aussi, de certains préjugés, les bois provenaient à plus de 90% de chênes de moins de 60 ans, au fût de faible diamètre (23-28 cm) et élancé sur une grande hauteur (10-16 m),avec peu de branches. Ces arbres jeunes, fins et longilignes, provenaient de hautes futaies où la densité du peuplement était maximale, la forte concurrence entre les chênes les contraignant à pousser rapidement vers la lumière, en hauteur, non en épaisseur. Ces futaies, appartenant le plus souvent à l’évêché ou au chapitre, étaient gérées selon une sylviculture spécifique, reposant sur la régénération par coupe à blanc, par rejet de souche, et sur l’absence d’éclaircie, afin de produire rapidement et massivement des peuplements extrêmement denses, et donc des chênes adaptés à la construction et à la taille à la hache.»
Frédéric Epaud. Les forêts et le bois d’œuvre au Moyen Âge dans le Bassin parisien. Bépoix S. et Richard H. (dir.). La forêt au Moyen Âge, pp.142-153, 2019, 978-2-251-44988-3. ⟨hal-02401264⟩
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manieresdedire · 2 years
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Réveil
Après plusieurs mois fertiles en évènements perturbants, petite pause :
rêverie 
             évasion
                            délire
         utopie
                      mélancolie ...
litanie
            soupirs.
MOI J'AURAIS VOULU
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Parcourir le monde, découvrir ses merveilles et comprendre ses mystères ;
               Observer la nature et les astres ;
                              Connaître l'Europe, l'Asie, l'Amérique, l'Afrique, l’Océanie et les pôles ;
                 Rencontrer les autres ;
      Écouter ; Apprendre ...
               Tant de choses à faire et si peu de temps
PARCOURIR le Siam et la Thaïlande ; le Vietnam, le Caucase, le Sénégal et le Niger ; le Pérou, le Cameroun, la Kabylie, l'Australie ; le Kansas et l'Ontario ; l'Italie, le Québec ; les Carpates sans oublier l'Ardèche, les Cévennes et la Camargue ; le Morbihan, le Yémen, la Tchétchénie, l'Arménie, l'Ingoudie ; la Tanzanie et le Yucatan  ...
DÉCOUVRIR les souks des casbahs Algériennes et les fjords Norvégiens ; les lochs Écossais ; les icebergs du Groenland ; les geysers d'Irlande ; trop tard pour les bouddhas de Bâmiyân ; les favelas de Rio ; l'Auvergne et ses puys ; Samarcande et Assouan ; l'archipel de Palaos et de Zanzibar ; le Rajasthan et ses palais ...
SUIVRE les chemins de l'Inca ainsi que ceux de Compostelle ; la grande muraille de Chine ; les pistes du Far-West et du Kalahari ; les crêtes des Pyrénées et la cordillère des Andes ...
TRAVERSER la banquise et ses blizzards, la vallée de la mort, la jungle de Bornéo, les forêts profondes de conifères du Transvaal, le lac Titicaca et le Tanganyika, le désert d'Atacama et celui de Gobi ...
SURPLOMBER le grand canyon ; les gorges du Tarn ; les falaises d’Étretat ; les chutes du Niagara ...
DÉVALER les pentes enneigées de l'Himalaya, celles du Mont Blanc et de l'Aneto ; de l'Oural, de l'Etna et celles enfumées du Popocatepetl ...
DESCENDRE les grands fleuves du monde, Nil, Missouri, Mississippi, la Iéna, l'Orénoque et le Zaïre et plus simplement la Garonne, la Durance et encore le Tage, le Rubicon, l'Uele ...
TRANSHUMER avec les peuples Valaque et Tsaatan ; avec les bergers Pyrénéens et Vosgiens ...
MIGRER avec les oies sauvages, les cigognes d'Alsace, les immenses troupeaux de gnous, les gracieux papillons du Brésil et les hirondelles ...
COURIR avec les chevaux sauvages de Patagonie et ceux de Gengis Khan ; avec les chiens de traineaux huskys, malamutes et samoyèdes ...
VOIR les incontournables Machu Picchu et Katmandu, Cordes sur Ciel venue tout droit du Moyen Age, Pompéï l'ensevelie, Tijuanaco, Santander ; les arènes d'Arles ; dommage pour le colosse de Rhodes ; Saint Bertrand de Comminges et le site de Troie ; les ruines des villes Nazcas ; le royaume de Sabbat ; Guizèh et la vallée des rois ; les Baux de Provence et les châteaux cathares sur leur piton rocheux ; Syracuse et l'île d'Ouessant ; les grandes ailes blanches des moulins à vent et les petits seaux des norias artisanales ...
ME FONDRE dans les étendues glacées de Mandchourie et d'Alaska ainsi que les déserts brûlants du Sahara et du Colorado ; dans le bocage Vendéen et les rizières d'ici ou d'ailleurs ; dans les salines de Sicile, les champs de tulipe de la Hollande et les sapins du Canada ...
ME PERDRE dans les bayous de Louisiane, dans le maquis Corse, les forêts Khmères, les marais du Poitou et la mangrove ; dans les profondeurs des abysses et pourquoi pas les étoiles et les lointaines galaxies ...
VIVRE au milieu des troupeaux de mérinos de Cornouailles, des derniers aurochs ou bisons, des petits chevaux de Przervalski ...
GARDER les troupeaux des Massaï, les rennes des Lapons, les chèvres africaines aux longues oreilles ; les chamelles des hommes bleus et les lamas des Mayas ; les chameaux laineux de Bactriane et les yacks du Tibet ...
NAGER en apnée avec les Gitans de la mer à la suite des dauphins et des raies Nanta ; avec les baleines bleues et celles à bosse ; les otaries et les narvals et même avec Nessie le "monstre" du loch Ness et les orques tueuses ...
DANSER avec les gracieuses grues du Japon et les cobras sacrés ...
JOUER du cor Suisse et du yukulele ; des tambours du Bronx et même de la flûte de Pan ; et pourquoi pas du didgeridoo  ...
HURLER avec les loups et les lémuriens ...
CONNAITRE le yiddish et le sanskrit, le wolof, le basque et le breton ; le yakoute et les hiéroglyphes ; le corse, le sumérien et le créole et peut-être même l'espéranto langage universel  ...
APPRENDRE les danses Zoulous ; à jouer de la cornemuse et de la kena ; la sardane et la polka ; la bourrée et les danses slaves ; à utiliser le banjo et l'ocarina ; les valses de Vienne et la langue sifflée des bergers Grecs ...
OBSERVER les colibris et les perroquets ; les oiseaux lyres et le quetzal pourvoyeur de plumes pour les coiffes des Incas ; les kangourous et le secret bien caché dans leur poche ; les éléphants et les grands singes des montagnes au dos argenté ; le serpent liane ; les ours bruns et les ours blancs avant qu'ils ne disparaissent ; ceux à lunette et le grizzli ; les oiseaux de paradis aux plumes et danses irréelles et ceux qui sont de véritables artistes en matière de nid ...
EXPLORER la canopée amazonienne et les grottes sous-marines ; le gouffre du Vercors, l'île de Pâques protégée par ses moaïs et les cités perdues d'Ankhor ; celles des Aztèques et des Toltèques ainsi que celles du Mexique ...
CHERCHER le légendaire yéti et les fabuleuses licornes ; l'orang outang, le grand et le petit panda, le koala, le raton laveur comique avec son masque de Zorro ; l’étrange ornithorynque et le dugong ; les Iroquois et les Hurons ; les derniers Inuits et les hommes Sentinelle ...
TROUVER le pays des rêves avec tout son petit peuple d'elfes, lutins, gnomes, sorciers, korrigans ; les walkyries et les sirènes ; Merlin l'enchanteur et la fée Morgane ...
RENCONTRER les Peuls, les Pygmées ; les femmes girafes aux innombrables anneaux et les indiens à plateaux ; les anciens coupeurs de têtes Jivaros et les descendants des cannibales ; les Népalais ; les bateliers de la Dordogne et de la Volga ; les filles de Galilée, les Dogons et les Waganias ; les anciens nomades Hmongs ; les pêcheurs d'algues Dayaks et ceux d'huîtres perlières ; les intrépides cueilleurs de miel du Népal ...
ÉCOUTER les griots africains, les marabouts et les conteurs ; les ancêtres de tous les peuples ; les youyous des femmes arabes et les tyroliennes ...
ESSAYER les yourtes mongoles, les igloos esquimaux, les cases africaines, les wigwams apaches, les huttes, les paillotes mais aussi les gabarres et les caravelles de Christophe Colomb, les radeaux des Pascuans et ceux en jonc torota des indiens Aymara ...
COMPRENDRE les énigmatiques dessins de Lascaux et autres lieux, les anciens druides de Stonehenge ; l’Égypte avec ses mystères et ses pyramides ; le vaudou et le secret des chamans ...
ADMIRER le Kilimandjaro et ses cerisiers en fleurs ; les madras martiniquais ; les cactus aux fleurs éphémères ; la voie lactée et la grande ourse ; les baobabs, les orchidées aux formes étranges, le corail avant son déclin ; les jardins suspendues de Babylone et la faune incongrue des fonds sous-marins ; celle extravagante des régions inconnues ; les minarets d'Iran et l'armée enterrée de l’empereur Qin ...
CARESSER l'ivoire, l'ébène et l'acajou, le cède du Liban, le palissandre, le pin des Landes, l'eucalyptus ...
TRANSFORMER la soie, la pourpre et l'indigo, le topaze et le saphir, le rubis et l’agate, l'opaline, l'ambre et la coralline, l'aigue marine ...
RESSENTIR le vent du Ténéré, les alizés, les embruns du Zambèze, le Simoun, le Mistral et la Tramontane ...
RESPIRER les épices de Ceylan ; le parfum des plantes exotiques, des caféiers, des cacaoyers, des palmiers dattiers, des bananiers ainsi que la fleur de tiaré et le coprah donnant le monoï à l'odeur suave des îles Marquises ; les effluves éphémères des bambous en fleurs, les senteurs des plaines d'Ukraine et l'odeur nauséabonde de la rafflesia ...
Tant de choses ... si peu de temps ...
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     ET JE SUIS LA !
Flo
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mytherbalegwladys · 2 years
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Nom: Kaito Sexe: Mâle Race: Mandra Age: 18
Orientation sexuelle: Gay Taille / Poids: 165cm / 55,3kg
Clan: du Tonnerre Rôle: Adjoint Arme(s) et Pouvoir(s): Son arme est un poignard de son arrière grand-père. Il a appris à maitriser la terre et la nature avec son maître. J'aime: Découvrir le monde, les fruits sauvages et ses amis. Je n'aime pas: La pollution et les berserks. Histoire: Kaito est né de l'union entre Kern, le chef du clan du Tonnerre et Dana, la déesse-arbre de la vie qui avait pris la forme de la défunte Flora pour passer inaperçu. Un an après sa naissance, il est élevé par son père. A l'age de 12 ans, il s'entraine au combat et à maitriser ses pouvoirs avec un maître du combat. Alors qu'il s’ennuie à rester toujours chez lui, il souhaite découvrir des choses à travers Solaris. A 17 ans, il obtient son rôle d'adjoint et doit défendre son clan contre les ennemis. Mais une fois âgé de 18 ans, il a vu Dana dans une vision, sans savoir qu'elle est réalité sa mère. Cette dernière lui révèle qu'il est l'élu, puis à son réveil, Kaito décide de partir à la recherche des réponses sur ce qu'il a vu dans sa vision. A la nuit tombée dans la forêt, il rencontre un faolchu blanc nommé Ren qui a été chassé de son propre clan par son frère. Sous le charme de cet homme-loup, Kaito décide de l'aider à récupérer sa place de chef  et de trouver un moyen de rétablir la paix dans le monde. Amant(e): Ren du clan des Crocs d'Argent
(Kaito apparaît pour la première fois dans le chapitre 1, et qu’il est le protagoniste du tome 1.)
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notrebellefrance · 3 years
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Oppède le Vieux - village perché du Luberon - Vaucluse
Oppède est certainement l' un des villages les plus authentiques et présevés du Luberon. Construit sur un éperon rocheux, dans un cadre accidenté de forêts, de combes et de rocs, il contemple un paysage de vignes, d'oliviers, de chênes et garde toujours un oeil sur les villages perchés alentours...
Le joyau minéral est situé sur le flanc nord du Luberon et son vieux village est un équilibre parfait entre bâtisses, verdure et lumière, entre mystères et histoire. Un village hors du temps dominé par le château et la collégiale qui vous emportent en plein Moyen-Age.
Village très préservé, on y accède depuis le parking obligatoire des Jardins de Sainte-Cécile où poussent 80 espèces d'arbres, arbustes et plantes du Luberon. Après avoir arpenté les ruelles du vieux village, vous découvrirez un ensemble spectaculaire : l'Église Notre-Dame d'Alidon et les ruines du château.
Au pied du vieux village, depuis la place principale, n'hésitez pas à flâner en direction des terrasses Sainte-Cécile et de l'Aire de battage. Vous aurez une très belle vue sur le village. Enfin, descendez au hameau des Poulivets profiter de l'ombre des platanes sur la place et des services du nouveau village d'Oppède.
Le nouvel Oppède, lui, vous emmène au XXème siècle quand tous les habitants sont descendus dans la plaine, plus accessible et fertile et ont crée le hameau des Poulivets où ils ont transféré la mairie, l'église, la poste et l'école. Un espace accueillant bordé de platanes, de cafés/restaurants, placettes...
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rainbowtheque · 4 years
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Fille et loup
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Titre : Fille et loup
Auteur : Roc Spinet
Bande Dessinée
Genre : Contes, Historique (Moyen-Âge)
Maison d’édition : Spaceman Project
Disponible en version papier - Nombre de pages : 320 pages
Age conseillé : ado, YA
Résumé : 
Paula est serveuse dans la taverne de Villa Colmillo. Craintive, docile et ingénue, elle éveille le rejet des villageois. Elle est humiliée et constamment maltraitée par l’aubergiste comme par la clientèle décadente. Mais dans son fort intérieur se cache un grand mystère auquel elle n’est encore pas préparée. Elle mène une vie d’emprunt, obligée de cacher ses sentiments. Incapable de trouver sa place dans le monde qui l’entoure, elle choisit de continuer à subir et penser que les vents à venir apporteront les changements positifs dont elle a grand besoin. Les jours se suivent et se ressemblent jusqu’au moment où elle doit accompagner l’aubergiste le temps d’un court voyage. En chemin, ils subissent une attaque violente des Loups tant redoutés. Tout devient flou, rapide et déconcertant… Et ce n’est que le début.
Identités représentées : 1 personnage secondaire homosexuelle
Thématiques LGBT+ présentes : Romance lesbienne
Autres thématiques : Féminisme, Confiance en soi, Tolérance, Dire non
TW : Sang, violence, sauvagerie
Avis de Rouge 
Dans cette BD, c'est d'abord le graphisme qui nous attrape : un noir et blanc nerveux. 
Ce qui surprend ensuite, c'est le ton, le traitement de l'histoire : on oscille ici entre médiéval-fantasy et conte tout au long du récit. Enfin, ce qui frappe dans cet ouvrage, ce sont les thèmes abordés : l'identité (et la construction, puis déconstruction de celle-ci), la violence, la sauvagerie, le non, la tolérance, le respect, l'amour... 
On suis Paula, une jeune fille abandonnée à la naissance à qui on a toujours dit qu'elle était nulle, moche, ne servait à rien et que personne ne l'aimait. Alors forcément Paula y croit. 
Sa vie change le jour où, traversant la forêt avec son patron, elle s'y perd et rencontre un loup sauvage. Commence pour elle un long cheminement d'acceptation de soi, de dépassement des préjugés, de l'identité qu'on lui a construite autour de sa (soi-disant) inutilité. 
Une superbe BD à lire absolument. 
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mmepastel · 2 years
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Grâce à ma panne de réveil ce matin, j’ai entendu une bribe de l’émission du matin de France Inter, et j’ai découvert l’existence de ce livre : S’enforester, écrit par Baptiste Morizot (philosophe) avec la photographe Andrea Olga Mantovani au sujet de la dernière forêt primaire d’Europe (non détruite au Moyen-Age) qui se trouve en Pologne.
Je vois les photos et je rêve de voir, voire de posséder ou d’offrir ce livre… qui a l’air sublime. Le propos, de ce qu’il m’a semblé, est également intéressant : parler de la forêt comme d’un lieu à la fois mythologique, décor de contes mais aussi plein de réel et de vie. Un monde en soi, qui n’a pas besoin de l’humain, qui peut l’accueillir mais qui réclame aussi qu’on l’accueille en soi.
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Ils ont parlé tous deux de la présence des loups, d’une vieille dame solitaire retirée du monde au passé très urbain, des émotions ressenties dans leur immersion, du changement opéré dans leurs corps et leurs cœurs au contact de la nature sauvage et mystérieuse.
J’ai un peu peur de la forêt, mais le mot me transporte, me fait rêver, et j’ai le désir physique d’en sentir l’odeur.
Il y a un appel, si vous voyez ce que je veux dire. Alors même si j’ai peu de chance d’aller en Pologne prochainement, je veux bien m’enforester dans les environs… en attendant, j’écoute Julianna Barwick.
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alexar60 · 5 years
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Un soir de vengeance
Depuis plusieurs centaines d’années, il existe une légende dans une région qui ne veut pas qu’on l’apprenne car elle concerne de nombreuses familles de notre beau pays. L’histoire commença à la fin du Moyen Age ; l’anglais avait été bouté hors de France à coup de pieds au cul et surtout à coup de lance dans la gueule. A ce moment, la paix revint et comme toujours, l’homme chercha de nouveaux ennemis. Jeanne était une belle jeune bergère. Sa famille vivait recluse près d’une forêt à l’extérieur du village. Elle était appréciée de tout le monde. D’ailleurs, sa présence était à chaque fois, un rayon de soleil dans le cœur des villageois. Elle sentait bon les fleurs de champ et son sourire réchauffait les âmes en peine. Seulement, Jeanne était fille de sorcière, ou plutôt de guérisseuse utilisant la magie blanche afin de soigner les cors au pied. Sa mère fut souvent appelée pour travailler comme sage-femme. On venait aussi la voir afin de soigner des maux de femmes. Alors, Jeanne connaissait aussi quelques remèdes ou potions qui pouvaient guérir ou empoisonner en fonction de son utilisation.
Bref, elle avait la vie devant elle, s’il n’y avait pas eu cette malheureuse journée. Elle surveillait un troupeau de brebis dans la plaine quand quelques garçons passèrent rentrant dans le village. En voyant la jeune fille, ils décidèrent de la saluer. Jeanne était heureuse de voir quelqu’un. Seulement, les jeunes hommes ayant bu plus que de coutume, réalisèrent que les formes physiques de la bergère étaient plus rondes et plus appétissantes que d’habitude. Ils la serrèrent d’un peu trop prêt malgré ses cris étouffés. Elle se débâtit tant et si bien que l’un d’eux la frappa pour la calmer. Dès lors, elle ne put que supporter leur poids sur son corps dénudé, résignée à accepter leur chaleur entre ses cuisses. Elle tourna la tête et regarda son sang sortir de son nez pour couler sur la terre. Puis, les quatre chenapans ayant fini leur ouvrage, l’insultèrent et pissèrent sur son corps afin de mieux l’humilier : L’alcool associé à l’effet de groupe a toujours montré le vrai visage des cons !
Dans la soirée, en découvrant l’état de leur fille, les parents de Jeanne vinrent se plaindre des violences commises auprès de la sénéchaussée. Quelques gens d’armes arrivèrent pour enquêter. Les braves garçons accusés avouèrent le viol mais pour échapper à la torture, ils accusèrent Jeanne de les avoir envoutés. Dès lors, les ragots se propagèrent très vite. La petite famille sympathique ne vivait pas à l’écart pour rien car elle communiait avec le diable. La nuit, Jeanne et sa mère participaient à des sabbats durant lesquels elles s’offraient aux démons. Même le père fut traité de sodomite. La police questionna tout le monde et sous l’influence des notables du village, il était évident que les rumeurs étaient vraies. Jeanne ainsi que ses parents furent arrêtés et sous la question, ils avouèrent les rites sataniques, l’inceste, la sodomie, les coliques, les entorses, et les mensonges des femmes envers leur mari. Ils furent tous les trois condamnés à brûler vif près de leur maison qui, elle aussi, fut réduite en cendre. Mais avant cela, Jeanne se souvint de son sang coulant le long de ses jambes et de son nez, tachant le sol. Alors, elle hurla une malédiction aux villageois, les maudissant eux et leurs générations futures. Les filles devront déposer leur premier sang à l’endroit où elle fut violée, sinon elle viendrait détruire le jour de leur mariage !
Pendant longtemps, les familles inculquèrent à leurs enfants de respecter la malédiction en la transformant en tradition. Par contre l’épisode de Jeanne fut vite oubliée. Chaque fille partait le soir déposer leur première règle ou enterrer le vêtement que leur sang avait taché. Mais, Marlène refusa de suivre une tradition absurde et grotesque. Elle profita de la vie à sa façon, s’amusant comme fait une adolescente en conflit avec ses parents et la société. Par la suite, Marlène se rangea puis rencontra Renan, un jeune homme installé récemment dans la petite ville surplombant l’ancien village devenu un quartier. Ils s’aimèrent, partagèrent un appartement et décidèrent de se marier. Marlène fut la plus heureuse des femmes. Elle était déjà belle mais dans sa robe blanche, elle était superbe. La cérémonie se passa bien, de même les familles et les amis s’amusèrent durant le repas de fête qui dura toute la soirée. Le couple décida de profiter de quelques minutes pour s’enlacer et s’aimer en tant que mari et femme.
Personne ne s’occupa d’eux, continuant à danser ou chanter quand tout à coup, un hurlement terrible surgit d’une fenêtre ouverte. Une cousine éloignée, partie fumer en cachette fut la première à la voir. Marlène entra dans l’immeuble, trainant derrière elle un corps tel un boulet attaché à une chaine. Elle respirait mal, soufflant sifflant fortement. Elle passa devant une de ses copines tétanisée qui s’évanouit juste après. Marlène monta les escaliers péniblement. Le cadavre de Renan suivait derrière elle ; il laissait sur le sol une trainée de sang qu’on pouvait suivre à la trace comme de la bave d’escargot. Elle semblait sale, le visage marqué par une coulée brune de sang qui sortait de sa bouche. La peau paraissait vieillie presque pourrie. Sa robe était déchirée en plusieurs endroit ajoutant un aspect de mort-vivant à son apparence et sa démarche. Elle terrorisa les invités venus voir sur le palier ce qui se passait car ses doigts étaient devenus de longues pointes aussi acérées que tranchantes. Elle-même ne comprenait pas sa mutation. Malgré les yeux révulsés, elle avança en direction de sa famille. Elle ne prononça aucun mot, respirant mal et fort. Elle montra du doigt une petite fille assise puis partit se réfugier au fond de la nuit.
Parfois, on l’entend marcher et chercher on ne sait quoi à l’orée de la forêt mais personne ne sait dans quel endroit elle trouva refuge. Elle traine toujours derrière elle un cadavre frais. Des historiens pensent qu’elle vit dans une cave abandonnée appartenant à l’ancienne maison de Jeanne. Cependant, la demeure ayant été détruite et l’histoire bannie des livres, il est difficile de savoir à quel endroit la situer. En tous cas, depuis, la tradition continue à être respectée. Chaque nuit, on entend quelques jeunes filles partir déposer leur premier sang sous un arbre dans la plaine. Elles ne veulent pas connaitre le sort de Marlène.
Alex@r60 – décembre 2019
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coloursofmyroom · 5 years
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De retour de l’expo #11 : Paris romantique, 1815-1848 - Paris, Petit Palais
26 juin 2019
Il s’agit avant tout d’une déambulation dans le Paris de la Restauration et de la Monarchie de Juillet : le découpage des salles ne relève pas d’une logique chronologique, ni vraiment thématique, mais avant tout géographique, selon une progression centrifuge. La visite commence donc par le cœur de la ville, qui est aussi celui du pouvoir : le palais des Tuileries. Entre le Consulat et le Second Empire, il s’agit en effet de la résidence permanente du chef de l’Etat. Si la vie de cour y est plutôt atone, quelques figures sont populaires : c’est le cas du duc d’Orléans (le fils de Louis-Philippe) et de la duchesse de Berry, veuve du duc assassiné en 1820. Une fille de Louis-Philippe, Marie d’Orléans, se distingue par ses talents artistiques. Formée par Ary Scheffer, elle s’oriente vers la sculpture : elle est notamment l’auteure de statuettes figurant Jeanne d’Arc, dont on peut admirer trois exemples. Amatrice du Moyen Age, elle décore son appartement dans le goût néogothique, tandis que ceux de sa famille sont meublés dans un style beaucoup plus éclectique, où le goût pour le Grand Siècle côtoie le style rocaille ou néo-Boulle, sous l’influence du décorateur Eugène Lami. A noter aussi : une toile de Viollet-le-Duc représentant un somptueux dîner aux Tuileries.
Toute en longueur, la deuxième salle nous transporte au Palais Royal. Construit en 1628 pour Richelieu, il devient ensuite la résidence de la famille d’Orléans. Un premier réaménagement à la fin du XVIIIe siècle en fait un lieu vivant et prisé, avant une complète rénovation entreprise sous Louis-Philippe. La scénographie reproduit la disposition des boutiques de luxe le long de la galerie d’Orléans, édifiée alors à la place des galeries de bois. Une gravure et deux très belles maquettes d’époque restituent l’élégance de ce lieu lumineux et moderne, doté d’un verrière métallique et de l’éclairage au gaz. On y trouve les articles de luxe les plus divers, que le visiteur peut admirer dans les vitrines le long desquelles il déambule. On dispose ainsi d’un bel aperçu de la mode et du luxe de l’époque : sacs à main, très jolis éventails (dont l’un orné de girafes), incontournables châles et chapeaux, gilets, cols-cravates et cannes qui font la tenue du dandy. J’y ai appris que la canne de Balzac avait fait sensation par ses dimensions hors normes... Les arts décoratifs ne sont pas en reste : porcelaine de Paris de Jacob Petit, très colorée et un rien kitsch, couleurs claires et mates des coupes opalines, en vogue sous la Restauration (il s’agit de verres au plomb mêlés à des colorants), ou encore pendules et cartels dorés aux styles éclectiques (orientalisant, néogothique, renaissance ou rocaille). Le Palais Royal est également un haut lieu de la gastronomie parisienne, grâce aux restaurants Véry, Véfour et des Frères Provençaux, dont la carte pléthorique est exposée, comportant un grand nombre de potages, hors d’œuvres, entrées, plats de viande et de poisson, rôts, entremets, desserts, vins et liqueurs !
Cette scénographie « mimétique » se poursuit dans la troisième section, consacrée au Salon, qui se tient dans le Salon Carré du Louvre depuis 1725. Le charme de la salle (carrée, donc) tient notamment à l’accrochage des toiles, à touche-touche. Presque toutes été exposées à l’un des Salons organisés, chaque année, pendant cette période. L’ingrisme, notamment représenté par Amaury Duval, et les scènes de genre et d’intérieur côtoient toutes les nuances du romantisme : l’orientalisme, le style troubadour, le goût pour le sujet historique, notamment pour la Renaissance, François Ier et Henri IV (voir aussi Cromwell et Charles Ier (1831) de Paul Delaroche, qui connut un grand succès par ses formats monumentaux, ses sujets anecdotiques et spectaculaires – voire, ici, macabres...), le mysticisme dépouillé (et presque pré-symboliste) d’Ary Scheffer (Saint Augustin et Sainte Monique), inspiré par les peintres mystiques allemands, le sens du sublime (impressionnant Trait de dévouement du capitaine Desse du peintre de marine Théodore Gudin). Le Christ au jardin des Oliviers de Delacroix (1826) domine l’ensemble, où se distinguent aussi Mazeppa aux loups d’Horace Vernet (1826), le Roland furieux (1831) de Jehan Duseigneur, œuvre manifeste du romantisme en sculpture et, pour ma part, l’onirique Rayon de soleil (1848) de Célestin Nanteuil. Dans un sous-bois pailleté de lumière, trois nymphes se fondent dans la clarté surréelle d’un rai de soleil, suggérant ainsi le rêve du jeune écuyer endormi... Le Salon y apparaît ainsi comme un lieu ouvert aux innovations, à un nouveau langage plus libre, plus exalté, plus « sentimental » - mais finalement très divers.
L’exploration des goûts et de la production artistiques du temps se poursuit dans une salle consacrée au néogothique, et particulièrement à Notre-Dame de Paris. Une incroyable pendule reproduisant la façade de la cathédrale ouvre la salle, où figure l’édition originale du roman de Hugo (1831) à côté d’une toile de Charles de Steuben, La Esméralda (1839). On peut aussi y admirer un étonnant polyptyque d’Auguste Couder, Scènes tirées de Notre-Dame de Paris. Réalisé seulement deux ans après la parution du roman, il témoigne de son succès massif et immédiat. Ce serait un peu l’équivalent d’une adaptation cinématographique, de nos jours... Notre-Dame est aussi le personnage central des aquarelles de l’Anglais Thomas Shotter Boys, qui mêle l’intérêt pour les vieux monuments à l’observation du petit peuple de Paris. Autre lieu parisien : l’hôtel de Cluny, où Alexandre du Sommerand installe en 1832 sa collection d’objets d’art du XIIIe au XVIIe siècle, rachetée à sa mort par l’État qui y ouvre un musée en 1843. Un beau choix de papiers peints, de meubles (chaises du salon du comte et de la comtesse d’Osmond), d’horloges, de coffrets, de candélabres et de divers bibelots en bronze doré, met en lumière la vogue des motifs gothiques, entre les années 1820 et la moitié du siècle : ogives, rosaces, pinacles, clochetons et quadrilobes issus des cathédrales font irruption dans le quotidien. L’inspiration n’est pas seulement formelle : des thèmes sont également empruntés au Moyen Age. Charles VI est ainsi présent deux fois dans l’exposition : dans les bras de sa maîtresse Odette de Champdivers, chez le sculpteur Victor Huguenin (1839), et dans un bronze d’Antoine-Louis Barye, Charles VI effrayé dans la forêt du Mans, qui connaît un vif succès au Salon de 1833.
L’aspect politique est brièvement évoqué dans la cinquième section, organisée autour du plâtre du Génie de la Bastille, qui se trouve au sommet de la Colonne de Juillet, élevée pour le dixième anniversaire des Trois-Glorieuses. L’expo insiste d’ailleurs sur la volonté d’apaisement et de concorde nationale menée par Louis-Philippe qui, en outre, achève l’Arc de Triomphe et érige le tombeau de Napoléon aux Invalides. Il est vrai que cette politique du consensus et du juste milieu demeure assez peu problématisée. C’est oublier un peu vite, me semble-t-il, que les romantiques ne furent pas que des dandys amateurs de Moyen Age, de théâtre et de jolies femmes, mais aussi des acteurs engagés dans leur époque, et que le « romantisme » est aussi, au sens large, une option politique. Le parcours se clôturera d’ailleurs sur une très rapide évocation de la Révolution de 48, uniquement présentée sous l’angle de la caricature (le Gamin des Tuileries qui s’enfonce dans le trône du roi, de Daumier) et de la désillusion (les pages ironiques de L’Éducation sentimentale sur le sac des Tuileries).
Il est vrai que chaque section, ou presque, présente des « portraits-charges » : la période apparaît ainsi comme un premier âge d’or de la caricature. L’allure excentrique des « Jeunes-France » est moquée : cheveux longs, barbes, vêtements colorés (le gilet rouge porté par Théophile Gautier à la première d’Hernani). La célèbre tête de Louis-Philippe en forme de poire côtoie le dessin beaucoup plus amer de Daumier où, sortant de leur tombe, les martyrs de 1830 soupirent avec dépit : « C’était vraiment bien la peine de nous faire tuer ! », en voyant les espoirs déçus des Trois-Glorieuses. De manière plus légère, les artistes sont la cible des petits bustes satiriques de Jean-Pierre Dantan : le plus irrésistible est peut-être celui de Berlioz, à la chevelure démesurée...
Si l’aspect politique est donc abordé avec parcimonie, la question sociale est à peine effleurée dans la sixième section, consacrée au quartier latin. Un tableau de Claude-Marie Dubufe (pourtant élève de David) représente ainsi deux jeunes Savoyards ayant quitté leur région, le temps d’un hiver, afin de s’engager comme ramoneurs à Paris. Mais la jeunesse qui est à l’honneur ici est davantage estudiantine. Les jeunes étudiants, accompagnés des « grisettes », ces « jeunes filles qui ont un état, couturière, brodeuse, etc., et qui se laissent facilement courtiser par les jeunes gens » (Littré), déambulent dans le Quartier Latin et fréquentent les bals publics. Ils sont le sujet principal des chansons de Béranger, le « poète national », des Scènes de la vie de bohème d’Henri Murger, des romans très populaires de Paul de Kock, et, surtout, des dessins plaisants de Paul Gavarni. Quelques toiles et caricatures évoquent les bals et les carnavals (notamment une Scène de Carnaval, place de la Concorde (1834) d’Eugène Lami, folâtre et enjouée), ou commémorent la fièvre de la polka, danse osée qui suscita, en 1844, une véritable « polkamanie » chez les jeunes gens.
 Selon cette logique centrifuge, les deux dernières salles évoquent des quartiers plus neufs et périphériques, mais qui jouent un rôle central dans la vie intellectuelle et artistique. Si la Chaussée d’Antin est le quartier de la haute banque et des « nouveaux riches », la Nouvelles-Athènes (dans le 9ème arrondissement, là où se trouvent les musées de la Vie romantique et Gustave Moreau), plus récente, attire un grand nombre d’artistes. Géricault, Scheffer (dont une toile montre l’atelier, qui est justement aujourd’hui le musée de la Vie Romantique), Vernet, Isabey ou Delaroche s’y installent. Mais cette section est davantage consacrée à la musique. Deux alcôves dotées d’enceintes diffusent notamment des œuvres de Liszt, l’un des personnages principaux de cette salle. Il est aussi bien le sujet de portraits-charges caricaturant la virtuosité du pianiste, qui faisait courir tout Paris, que du portrait en pied d’Heinrich Lehmann, qui en capte la ferveur ascétique et l’aura toute romantique... Au milieu trône un piano Pleyel semblable à celui sur lequel jouait Chopin. Ainsi se dessine la géographie d’un Paris d’émigrés, celui de Chopin et de Liszt, mais aussi de Mankiewicz, de Heine et de la princesse Belgiojoso, patriote italienne dont le salon était l’un des plus courus. La section se clôt sur l’évocation de deux figures féminines très en vue dans le Paris de la Restauration et de la Monarchie de Juillet : Marie Duplessis (la Dame aux Camélias de Dumas fils, qui meurt en 1847) et Olympe Pélissier, maîtresse d’Eugène Sue et d’Horace Vernet (dont elle était aussi la modèle) et seconde épouse de Rossini.
De la Nouvelle-Athènes on passe aux Grands Boulevards, quartier des théâtres. On y apprend que cette longue artère présentait des visages divers. De la Madeleine aux alentours de la Chaussée d’Antin, le boulevard traversait un quartier cossu et tranquille. La Chaussée d’Antin marquait le début du «Boulevard» par excellence, cœur palpitant du Paris de la mode, formé des boulevards des Italiens et Montmartre. On y trouvait de riches magasins d’orfèvrerie ou de porcelaine, les cafés, restaurants et glaciers les plus réputés (Café de Paris, Maison Dorée, Café Riche, Café Anglais, Tortoni, Café Hardy) et les grands théâtres subventionnés (l’Opéra, le Théâtre-Italien, l’Opéra-Comique, le Théâtre-Français). La présence de huit théâtres populaires, spécialisés dans les mélodrames, vaut au boulevard du Temple le surnom de «boulevard du Crime», qui disparaîtra dans les travaux d’urbanisme haussmanniens du début des années 1860.
Caricatures, portraits et objets témoignent de cet incroyable engouement pour le théâtre. Les truculents tableaux de Louis-Léopold Boilly en témoignent d’une manière piquante : voir L'Entrée du théâtre de l'Ambigu-Comique à une représentation gratis (1819). plus particulièrement du succès (et, déjà, de la médiatisation) des grandes comédiennes (Mademoiselle Mars ou Marie Dorval) et des grands comédiens (Frédérick Lemaître ou Talma). Un tableau amusant figure L’acteur Bouffé représenté dans ses principaux rôles (1848) : Victor Darjou a démultiplié la silhouette de l’un des acteurs les plus populaires du temps, Hugues Bouffé, en le représentant dans une vingtaine de rôles. Le monde du spectacle recouvre aussi l’opéra (le docteur Véron dirige l’Opéra de Paris de 1831 à 1835, lançant la vogue de l’opéra à la française) et la danse. Là encore, quelque figures se détachent : les chanteuses Laure Cinti-Damoreau, Maria Malibran et Henriette Sontag, dont les portraits ornent une série de vases de la Manufacture Darte, ou Marie Taglioni, grande ballerine romantique, qui porte à la perfection la jeune technique des pointes.
L’exposition est donc surtout didactique : les œuvres exposées le sont davantage dans un but documentaire qu���esthétique. C’est parfois un écueil : ainsi, dans la salle consacrée à Notre-Dame, un petit portrait de Mérimée n’est là que pour illustrer le propos sur la naissance des Monuments Historiques. Mais soyons juste : la salle dédiée au Salon est exceptionnelle, les pièces d’arts décoratifs remarquables et j’ai découvert ces artistes qui se font, par le pinceau, le burin ou le crayon, chroniqueurs de la vie parisienne, dans de plaisantes scènes de genre ou de mordantes caricatures : Jean Pezous, Paul Gavarni, Jean-Pierre Dantan, Louis-Léopold Boilly... La remarquable, scénographie, ambitieuse et soignée (les couleurs et l’éclairage de chacune des salles évoquent le cours de la journée, du petit matin aux Tuileries à la soirée sur les Boulevards) fait agréablement passer un propos roboratif mais passionnant. Même s’il ne fait qu’effleurer les questions politiques et sociales (qui, une fois encore, relèvent des deux axes de l’exposition, l’histoire du romantisme et l’histoire urbaine), il dresse un portrait vivant et enthousiasmant, servi par un grand nombre d’œuvres variées et de qualité, du Paris de la première moitié du XIXe siècle.
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nolifetokyo · 5 years
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ma réincarnation en ours gainer dans un autre monde: chapitre 2
Me voilà, à Hajipique la ville de départ de nombreux aventuriers. Après un voyage d’un mois pour atteindre le premier pas, vers mon objectif de devenir un aventurier. Premier arrêt : la guilde des aventuriers. Le bâtiment de la guilde était le plus imposant des environs, un bâtiment en bois avec des décorations en fer forgées sur la façade, un bâtiment cossu pour cette ville. La guilde est une organisation internationale, indépendante et puissante. Il y avait un flux de personnes entrant et sortant de la guilde. Je me dépêchais de rentrer dans la guilde. A l’intérieur de la grande salle du rez-de-chaussée on trouvait à droite le panneau d’affichage des quêtes, à gauche se trouvait un espace taverne, au fond se trouvait les guichets de la guilde, pour prendre/rendre les quêtes ainsi que vendre des matériaux. Je me rendais au guichet pour mon inscription.
« - Bienvenue à la guilde des aventuriers, en quoi puis-je vous aider ? Demanda l’employée de la guilde.
- Je souhaiterais devenir un aventurier s’il vous plaît. Répondit le jeune homme. (tends le certificat du combat.)
Bien sûr grâce à ce certificat vous n’aurez pas à passer d’examen de combat, jusqu’au rang C. Dit la réceptionniste. Je vais vous expliquer le fonctionnement de la guilde :
Les membres se divisent en plusieurs rangs, du rang F au rang S. Le rang le plus faible est le rang F au plus fort le rang S, pour les cas exceptionnel comme les héros. Pour augmenter son rang, il faut effectuer un certains nombres de quêtes et passer un examen de combat. Chaque quête est triée par le même système de rang. Chaque rang débloque des avantages auprès de la guilde des marchands, les compagnies de transport. Expliqua l’employée de la guilde. De plus votre carte de guilde vous permet de voir votre statut sans que les autres aventuriers ne le voient sans votre accord. Ajouta-t-elle. Savez-vous lire et écrire ? Demanda l’employée.
Oui je sais lire et écrire la langue du royaume. Dit Kumanu.
Bien. Avez-vous des questions ? Demanda la réceptionniste.
Non. (C’est un système assez classique, dans les histoires d’autres mondes.) Toutes vos explications sont très claires merci. Remercia l’Homme-Ours.
Dans ce cas une dernière chose avant de vous laisser remplir le formulaire (sort une boule de cristal). Veuillez poser la main sur ce globe je vous prie. Expliqua la femme. »
Je posais la main sur le globe, il se mit à scintiller légèrement. Enfin je finissais de remplir le formulaire avec mes informations, et le remettais à la réceptionniste.
« - Je reviens dans un instant avec votre carte d’aventurier rang F. Dit la réceptionniste avant de partir. »
L’employée de la guilde revient quelques minutes plus tard, avec ma carte d’aventurier. Elle m’a souhaité la bienvenue dans la guilde en me remettant la carte de la guilde. On pouvait lire sur cette carte :
Nom : Kumanu
Rang : F
Espèce : Homme-Ours
Age : 16 ans
Job : Apprenti guerrier
Niveau 3
Titre : [Elu du Dieu Hédoniste]
Compétences raciales : « immunité forte », « endurance amélioré », « récupération amélioré »
Compétences : « la graisse c’est le meilleure », « la graisse iso-thermique », « l’adaptabilité à l’environnement », « maniement de hallebarde niv 4 », « débitage niv 3 »
vitalité
500 +100
mana
60 +100
force
200+100
agilité
150+100
intelligence
70+100
dextérité
190+100
chance
80+100
 J’ai acquis la compétence du maniement, avec les entraînements de mon père. La compétence de débitage, je l’ai acquis avec le travail des chasseurs, cela me permet d’extraire les matériaux des proies abattues.
Deuxième étape : Trouver une auberge. Je me dirigeais vers une auberge du quartier recommandé par la guilde. L’auberge de l’épée & du bouclier, bizarrement les écuries semblait deux fois plus grande que l’auberge elle-même. Cela semblait étrange. Je rentrais dans l’auberge.
« - Bonjour monsieur vous voulez une chambre ? Demanda l’aubergiste.
- Oui, je voudrai votre chambre la moins cher s’il vous plaît. Répondit l’aventurier débutant.
Ah vous êtes un aventurier ? Demanda l’homme joufflu.
Oui je viens de m’inscrire à la guilde. Expliqua le jeune homme.
Alors, j’ai une proposition pour les aventuriers, je peux vous louer un box dans les écuries. Cela ne vous coûtera que quelques écus de cuivre par semaine. Expliqua l’aubergiste.
Hmmm… (Cela ne sera pas un mauvais arrangement. Ça pourra me permettre d’économiser de l’argent.) J’accepte. Dit l’aventurier. »
L’aubergiste m’emmena dans les écuries pour me présenter mon box. Un 10 m² à vue de nez, il y avait un gros tas de foin au centre du box recouvert d’une bâche. A gauche du box se trouvait un petit baquet rempli d’eau et un petit tabouret. Par-dessus les portes battantes il y avait une paire de rideaux en tissus grossiers, pour créer un semblant d’intimité. Ce n’est pas le Ritz mais ce n’est que temporaire après tout le temps de monter de rang et de pouvoir m’offrir mieux.
Ugh j’avais tort ! Ça fait presque un mois que je suis dans cette situation. Les quêtes de rang F sont des travaux d’homme à tout faire. C’étaient des demandes pour aider les citoyens de la ville. Ces demandes n’étaient payées que quelques écus de cuivre. De plus je ne pouvais faire que deux quêtes maximum par jour. Sans parler, que je ne pouvais pas vendre de matériaux pour augmenter mes revenus. J’ai commencé à réduire mes dépenses pour me nourrir, mon bonus est passé de 100 à 99. C’est le signe que j’ai perdu du poids. Ahh ça me fait mal ! Moi qui voulais prendre du poids. Je joue les coursiers ou les intérimaires dans toute la ville pour une poignée de piéces. Même s’il y avait des quêtes sympas comme celle pour les petits vieux. Je devais faire du bois de chauffage, pour un village en périphérie d’hajipique. Grâce à ma force et à mon endurance, j’ai pu terminer rapidement le travail en une journée. En remerciement de mon travail rapide, les personnes âgées m’ont donné des paniers de friandises, cela m’a permis d’économiser de l’argent pour me nourrir. Mais ça n’a pas vraiment aidé à enrayer la perte de poids. Je revenais à la guilde après une autre journée de dur labeur.
« - Bon travail pour aujourd’hui. Félicita l’employé de la guilde.
- Merci… Dit l’aventurier avec déception.
Ah ! Je vois que vous avez accompli assez de quête pour passer au rang suivant. Expliqua l’employé.
Sérieusement ! Enfin j’ai réussi, je peux effectuer des chasses aux monstres et des récoltes de matériaux ! S’exclama Kumanu.
Oui vous avez battu le record local pour passer du rang F au rang E. »
Ah enfin ! Je vais pouvoir améliorer mon revenu. Même si les quêtes de rang E ne rapportent pas beaucoup plus avec des écus de bronze. En plus je peux vendre les matériaux des proies avec les plantes pour arrondir mes revenus. Je vais pouvoir enfin manger pour engraisser, améliorer mon équipement et avoir une meilleure chambre. Mais bon ça attendra demain je suis crevé je retourne dans mon box. Après cette journée j’utilisais le baquet d’eau pour me nettoyer. J’ai hâte d’être à demain pour commencer.
Le lendemain je me levai tôt, je prenais un copieux petit déjeuner avant d’aller à la guilde. Devant le panneau d’affichage : Des quêtes d’éliminations de gobelins et de slimes, des quêtes pour récupérer des plantes médicinales, et des quêtes de récupération de matériaux de monstres. Je prenais une quête d’extermination de gobelin et de slimes. J’avais aussi pris une quête de récolte d’herbes médicinales et de gelée de slime. Les herbes médicinales et les slimes sont dans la même zone de la lisière de la forêt du Sud-Ouest. Je pris les affiches et m’approchais du bureau de la guilde pour prendre les quêtes.
« - Bonjour vous prenez toutes ces quêtes ? Demanda l’employé de la guilde.
- Oui j’aimerai prendre toutes ces quêtes. Répondit Kumani.
Très bien, avez-vous des fioles pour récupérer la gelée de slimes ?
Non je n’en ai pas. Dit l’aventurier.
Nous pouvons vous en fournir cependant si vous les endommager vous aurez une pénalité. Expliqua l’employé.
Très bien je ferai attention. Dit Kumanu. »
Je partais pour la forêt du Sud-Ouest, pour accomplir mes quêtes. Enfin je vais pouvoir vivre une vraie aventure de fantaisie. A la lisière de la forêt, j’ai commencé à explorer et je suis vite tombé sur une colonie de slimes. Il y avait trois slimes gigotant dans tous les sens.
Je m’approche doucement pour surprendre les slimes, cependant les monstres sentirent ma présence et contre-attaquent. Je réussi à esquiver les attaques, j’utilise ma hallebarde pour dégager un passage vers la pierre magique pour la retirer. C’est le moyen le plus simple pour se débarrasser d’un slime sans abimer la pierre magique. Je coupe le slime en deux, ensuite je plonge ma main pour retirer la pierre magique transformant le slime en gelée inerte. Cette technique peut être dangereuse puisque les slimes peuvent digérer une proie rapidement. Mais ici, les slimes de la forêt sud-ouest sont faibles donc avec mes gantelets en cuir, j’ai le temps pour retirer la pierre magique. Je recommence avec les deux autres slimes. Bien que les slimes sont rapides, grâce à mes statistiques je peux les éviter. Je tranche le deuxième slime et plonge la main pour retirer la pierre magique en une fraction de secondes. Je recommence avec le dernier slime et réussi à le vaincre en quelques secondes. Mon premier combat dans un monde de fantaisie ! Ah ah ! Et mon premier loot d’un monstre que j’ai tué.
Je récupère la gelée de slime avec les fioles que la guilde m’a fournies, j’ai pu remplir la totalité des fioles fournies. Je récupère les trois petites pierres magiques des slimes. Il me reste la quête de récolte d’herbes médicinales, finir l’élimination des slimes ainsi que des gobelins. Il me reste deux slimes, cinq gobelins ainsi qu’une dizaine d’herbes médicinales. Je me mis à la recherche d’herbes médicinales, j’ai pris une heure pour trouver les herbes médicinales. Pas qu’elles soient rares mais elles sont bien cachées dans l’herbe ce qui les rend difficile à trouver. Ah si seulement j’avais la compétence « identification », cela me faciliterais la tâche.
Ah enfin ! Je vais pouvoir passer aux gobelins. Je continuais ma recherche de gobelin durant une autre heure, je tuais aussi trois slimes supplémentaires. Je finissais par trouver deux groupes de trois gobelins, donc six gobelins abattus. Je m’approchais du premier groupe de gobelins. Les gobelins étaient en cercle autour d’une carcasse d’animal. Ils ne m’ont pas repéré, parce que je les ais décapiter d’un seul coup grâce à la large portée de la hallebarde. J’utilisais ma compétence débitage pour récupérer les matériaux des gobelins. J’ai réussi à récupérer les trois pierres magiques des gobelins ainsi que les crocs, et les os. Les crocs de monstre servent à renforcer les alliages de métaux. Les os de monstres servent comme fertilisant pour l’agriculture. Le prochain groupe de gobelins trouvé étaient en train de faire la sieste dans les fourrés. Je les ai tués avec un large mouvement de ma lame. Je recommencé à les débiter pour récupérer les matériaux. Le temps de rentrer à la guilde, c’était en fin de matinée. Je suis allé rendre les quêtes et vendre les matériaux au comptoir de la guilde.
« - Bienvenue à la guilde. Salua l’employée de la guilde. Etes-vous venu prendre ou rendre une quête ? Demanda la jeune femme.
- Oui je suis venu rendre quatre quêtes et vendre les matériaux de ma chasse. Répondit Kumanu.
Très bien quelles quêtes êtes-vous venu rendre ?
Deux quêtes d’extermination de slime et de gobelin, deux quêtes de récupération pour des herbes médicinales et de la gelée de slime.
Très bien puis-je voir les matériaux et les pierres magiques des monstres pour les quêtes d’éliminations. »
Je tendis les matériaux et les pierres magiques à l’employée de la guilde.  L’employée sortit une loupe pour les examiner, certainement un objet magique. Les pierres magiques vendues sont ensuite traitées pour ne pas être présenté comme preuve d’élimination de monstre. Après avoir examiné les pierres magiques elle me les rendit.
« - Alors pour la quête d’élimination de slimes 5 écus de bronze. Pour celle des gobelins 6 écus de bronze. La quête de récoltes d’herbes médicinales 20 écus de bronze. La quête de récupération de la gelée 20 écus de cuivre. Les petites pierres magiques sont à 50 écus de cuivre. Pour les carcasses de gobelins sont à 3 écus de bronze et les crocs de gobelins sont à 5 écus de cuivres. Donc nous avons 14 petites pierres magiques, 6 carcasses de gobelins, ainsi que 60 crocs de gobelin. Expliqua l’employée de la guilde. Ce qui nous fait 59 écus de bronze et 20 écus de cuivre. Ce montant vous semble correct ? Demanda la jeune femme.
Heu… Vous pouvez me laisser une petite minute pour vérifier. Hésita l’aventurier.
Bien sûr prenez votre temps. Dit la jeune femme avec un sourire. »
Commençons par revoir les bases, 100 écus de cuivre égale une pièce de bronze, 100 écus de bronze égale une pièce d’argent. 50 écus d’argent pour une grande pièce d’argent et 50 grandes écus d’argent pour une pièce d’or, 50 écus d’or pour une grande pièce d’or. Alors pour 14 pierres magiques. 14x50c= 700 cuivres soit 7 écus de bronze. Plus 6 carcasses, 6x3c= 18 écus de bronze. Ce qui fait 25 écus de bronze. Plus les 60 crocs 60x5c= 300 cuivre soit 3 écus bronze, donc 28 écus de bronze. On rajoute la quête des gobelins 6 écus de bronze plus celle des slimes 5 écus de bronze. Ce qui fait 39 écus de cuivre. La récolte d’herbe médicinales 20 écus de bronze en plus. La récolte de gelée de slime 20 écus de cuivre. Ce qui nous fait bien 59 écus de bronze et 20 écus de cuivre.
« - J’accepte l’offre de la guilde pour ma chasse. En plus des récompenses de quête. Dit Kumanu.
- Très bien je vais en profiter pour mettre à jour votre carte de guilde. Dit la réceptionniste. »
La réceptionniste passa une porte au fond, pour revenir quelques minutes plus tard avec la récompense et la carte de guilde mise à jour. J’empochais ma récompense et regardais ma carte :
Nom : Kumanu
Rang : E
Espèce : Homme-Ours
Age : 16 ans
Job : Apprenti guerrier
Niveau 4
Titre : [Elu du Dieu Hédoniste]
Compétences raciales : « immunité forte », « endurance amélioré », « récupération amélioré »
Compétences : « la graisse c’est le meilleure », « la graisse iso-thermique », « l’adaptabilité à l’environnement », « maniement de hallebarde niv 4 », « débitage niv 3 »
vitalité
502 +99
mana
61 +99
force
203+99
agilité
152+99
intelligence
71+99
dextérité
193+99
chance
82+99
 Ouais enfin une montée de niveau j’ai attendu depuis longtemps. Bon maintenant je vais pouvoir me payer un bon déjeuner. J’allais dans le coin taverne de la guilde pour acheter mon repas.
« - Bonjour vous voulez commander ? Demanda le tavernier.
- Oui je prendrais trois menus à 10 écus de bronze s’il vous plaît. Commanda l’aventurier.
Très bien, aujourd’hui on a du ragoût de sanglier de rouge, de la tarte aux légumes ou bien de l’omelette au sanglier rouge haché. Expliqua le vieil homme.
Je vais prendre chacun des plats avec des bières s’il vous plaît. Demanda le jeune homme.
Je vous l’apporte dans une minute. (Kumanu tend l’argent). Merci. Dit le tavernier. »
Je m’installe à une table pour attendre mon repas. Hmmm je pense qu’après déjeuner je prendrai d’autres quêtes pour cette après-midi.
Le tavernier m’apporte mes trois plats avec des pichets de bière. Trois gros plats remplis à ras bord. Je commence par la tarte aux légumes la moitié d’une grosse tarte. Je découpe la tarte, en petits morceaux, et j’alterne entre la tarte et le premier pichet de bière. La tarte était bonne, la pâte était bien croustillante, les légumes sont bien griller avec un arrière-goût de fumé comme au barbecue. Ah je commence à me remplir le ventre. Je continue avec l’omelette, elle est bien moelleuse avec des morceaux de sanglier coupé en lardon. L’omelette bourrée de lardons, la rendant bien compacte et grasse. Une grosse omelette faisant la taille d’un plat, bien calorique. Je m’enfourne d’énormes bouchées de l’omelette goulument, j’engloutis le deuxième pichet de bière. UUURRPP ! Je commence à être plein ça fait si longtemps que je n’ai pas ressenti cette sensation. Je termine par le meilleur, le ragout de sanglier rouge, une viande tendrement mijoté pendant des heures. MMhhh… Les légumes fondants les mêmes que dans la tarte. Le bouillon épaissi par le gras de la viande, la saveur des légumes parfumant le bouillon, la parfaite union entre le corps gras et le goût frais du bouillon. Je finis mon dernier pichet de bière BUUURRRPP ! Ah pas trop mal pour un début, je pourrai manger plus. Mais c’est déjà mieux qu’avec les plats d’écus de cuivre : de l’eau chaude aromatisé aux légumes, sans morceaux, épaissi par un peu de pain rassis. Ça ne tiens pas au corps ces plats tout juste bon à étirer l’estomac, pas à rassasier un ours, donc j’ai tapé dans mon stock de gras quand j’étais sous ce régime. Rien de mieux qu’un estomac rempli de bonne nourriture. Je me frottais le ventre avec satisfaction ! J’allai enfin reprendre le poids que j’ai perdu pour enfin peut-être continuer à grossir.
Ahhh après ce déjeuner décent, je regardais le tableau d’affichage des quêtes. Hmmm intéressant il y a des quêtes communes pour les rangs E et D. Il y avait deux types de quêtes : le village des gobelins ou la grotte des gobelins. La grotte des gobelins n’était pas une option, ce lieu trop étroit ne permettrait pas de combattre et me mettrais en danger. En plus les grottes de gobelins sont truffées de pièges vicieux. Alors que les villages gobelins sont en extérieurs, le seul piège est une fosse profonde entourant le village. L’autre danger dans ces villages est le nombre des gobelins ils sont vraiment nombreux, mais avec mes capacités de combat et mes statistiques, je suis un tank vivant. Donc je me sens capable de prendre la quête du village gobelin. Bon je sais que ça fait gros vantard qui va se faire éclater la tronche sous peu, mais j’ai une bonne connaissance des monstres que j’ai étudié avec l’ancien du village.
« - Rebonjour Kumanu, vous prenez déjà une autre quête ?! Demanda la réceptionniste avec surprise.
- Oui je vais prendre cette quête.
Je dois vous prévenir cette quête est conseillé pour les groupes. Prévient l’employée de la guilde.
Je sais mais j’ai confiance en mes compétences. Affirma l’aventurier.
Bien mais ne venez pas vous plaindre si vous êtes blessé. Dit la jeune femme. »
Je la remerciais de sa sollicitude mais je renouvelais mon envie d’effectuer cette quête. Elle me donna aussi un sac à objet pour récupérer les matériaux. Les sacs à objet sont des objets magiques avec une capacité de transport multiplié par dix, pour les plus petit, voir par cent pour les plus gros. Je me dirigeais vers la forêt du sud-est. Je m’enfonçais plus loin pour trouver l’un des villages de gobelins. Je m’approchais du village des gobelins, j’utilisais mon épée pour détecter le fossé autour du village. Il m’a fallu une dizaine de minutes pour trouver le fossé et le dégager. C’était un large fossé d’à peu près 3m de large, et plusieurs mètres de profondeurs. Je pouvais certainement sauter par-dessus ce fossé avec mes statistiques. Je ne pouvais pas me cacher dans un village de gobelins, avec ma taille et mon poids. J’observais les alentours, de gros chênes entouraient le village m’offrant une cachette. Il y avait des talus dans le village, où se perchaient des archers gobelins. Je devais me débarrasser d’eux en priorité. Je me servais de mon arme comme d’une perche de saut en hauteur pour atteindre l’autre côté du fossé. Une fois de l’autre côté, je me précipitais derrière un chêne, sous le couvert des arbres, pour me rapprocher des talus.
En sortant de ma cachette, je lève mon arme pour abattre le gobelin archer le plus proche. Je saute sur le talus pour abattre ce premier gobelin. Dès que je décapite ce gobelin, je me retourne et avant que le prochain gobelin ne me décoche une flèche, je l’abat. Je recommence encore et encore avec rapidité. Le bruit du combat attire des centaines de gobelins en colère. Les gobelins essayent de monter sur le talus où je suis. Je saute prestement du talus et fais un large mouvement circulaire avec mon arme. Je me trouve entourée par des centaines de gobelins furieux. J’utilise la large portée de mon arme, pour me dégager un espace libre pour me sécuriser. Au début, c’est facile de se frayer un chemin à travers la horde de gobelins furieux. Mais faire attention aux attaques des gobelins, tout en attaquant commence à être fatiguant. Je continu à décapiter du gobelin pendant une demi-heure, tout à coup un gobelin plus fort, armé d’une épée et équipé d’un semblant d’armure.
Ce gobelin devait être un gobelin chevalier, une forme évolué du gobelin, plus fort et plus habile. Ce gobelin n’utilisait pas un bout de bois ou une massue comme arme, mais une véritable épée en plus d’un semblant d’armure en ferraille. Ce monstre savait se servir de son épée pour combattre. Les autres gobelins s’éloignaient pour former un cercle autour des deux combattants.
Les deux combattants se jaugent. Kumanu attaque le premier, le gobelin esquive l’attaque en plongeant sur le côté. Le gobelin contre-attaque en fonçant sur Kumanu. L’aventurier réussi à parer l’attaque du gobelin, Kumanu utilise sa force pour renverser le gobelin chevalier, grâce à son bonus en force. En profitant de l’état de faiblesse du gobelin, Kumanu décapite le gobelin d’un coup sec au niveau du cou. En abattant le gobelin le plus fort, le reste des gobelins s’enfuirent en hurlant de peur. 
Kumanu chassa pendant une heure les gobelins fuyards. Il ne réussit pas à tous les éliminer mais seulement une centaine.
Même si je n’ai pas éliminé tous les gobelins néanmoins j’ai réussi à déstabilisé le village. J’ai tué le chef, tué des centaines de gobelins. Les survivants du village sont fragiles et auront du mal à survivre. Bon, j’ai fouillé les huttes pour trouver des objets de valeur. J’ai trouvé quelques pièces de cuivres ainsi que des armes rouillées à fondre, je pourrai les revendre. Je débitais aussi les cadavres de gobelins. J’ai obtenu 155 petites pierres magiques, 1 pierre magique moyenne, 156 carcasses de gobelins, ainsi 1560 crocs de gobelins. Mon sac à objet était plein à craquer quand je quittais le village gobelin. Une fois à la guilde, je me présentais au comptoir de la guilde pour rendre la quête et vendre le produit de ma chasse.
« - Bienvenu à la guilde des aventuriers en quoi puis-je vous aider ? Demanda le réceptionniste.
- J’aimerai rendre une quête et vendre mon butin de chasse. Répondit Kumanu. (tend le sac à objet).
Quelles quêtes êtes-vous venu rendre ? Demanda l’employé de la guilde.
La quête d’extermination du village gobelin. Expliqua le jeune aventurier.
Vous venez récupérer les récompenses pour votre groupe ? Demanda l’employé de la guilde.
Non je l’ai fait seul. Répondit Kumani.
Quoi ?! Vous l’avez fait seul ? Mais vous êtes seulement rang E ? S’exclama l’employé.
Oui je l’ai fait seul. Oui je suis un rang E. Déclara calmement Kumani.
C’est très rare qu’un aventurier de rang E réussi à déloger un village de gobelin seul. Expliqua le réceptionniste. »
Il a examiné mon butin et a confirmé ma quête, après avoir examiné les pierres magiques.
« - Très bien pour la quête la récompense est de 5 écus d’argent. Les petites pierres magiques sont à 50 écus de cuivre. Les pierres magiques moyennes sont à 65 écus de cuivre. Les carcasses de gobelin sont à 3 écus de cuivre. Les crocs de gobelin sont à 5 écus de cuivre. Les outils à fondre sont à 1 pièce de cuivre. Ce qui nous fait… Essaya d’expliquer l’employé.
- Je ne vends pas les outils à fondre. (Je vais les vendre directement à un forgeron).
Ah dans ce cas… Cela fera 6 écus d’agent, 60 écus de bronze 83 écus de cuivre. Calcula l’employé de la guilde. Est-ce que cette somme vous convient ? Demanda le jeune homme.
Vous me laissez une minute pour vérifier ? Demanda Kumanu.
Bien sûr prenez votre temps. Dit l’employé de la guilde.
(Alors 155x50c= 7750c + 65c= 7815c. 156x3c= 468c, 7815c + 468c= 8283c. 1560x5c= 7800c, 8283c + 7800c= 16083c. Ce qui fait 1 écu d’argent, 60 écus de bronze et 83 écus de cuivre.) J’accepte cette somme comme récompense.
Très bien je vous apporte votre récompense et je mets à jour votre carte de guilde. Expliqua l’employé de la guilde. »
L’employé de la guilde revint quelques minutes plus tard avec mes écus et ma carte de guilde :
Nom : Kumanu
Rang : E
Espèce : Homme-Ours
Age : 16 ans
Job : Apprenti guerrier
Niveau 5
Titre : [Elu du Dieu Hédoniste]
Compétences raciales : « immunité forte », « endurance amélioré », « récupération amélioré »
Compétences : « la graisse c’est le meilleure », « la graisse iso-thermique », « l’adaptabilité à l’environnement », « maniement de hallebarde niv 5 », « débitage niv 4 »
vitalité
505 +99
mana
62 +99
force
206+99
agilité
154+99
intelligence
72+99
dextérité
196+99
chance
84+99
 Une journée productive cinq quêtes effectuées en une journée et 8 écus d’argent, 20 écus de bronze et 3 écus de cuivre. Moins le coût du déjeuner de 30 écus de bronze : 7 écus d’argent, 90 écus de bronze et 3 écus de cuivre. Si je maintiens ce rythme, je pourrai me permettre une chambre décente, de la nourriture pour regagner du poids, et améliorer mon équipement. Je me rendais vers le quartier commercial, pour vendre les outils rouillés à un forgeron. Je me rendis dans la première échoppe de forgeron.
« - Bonjour que voulez-vous monsieur ? Demanda le forgeron.
- Je souhaiterai vous vendre ces outils rouillés, ça vous intéresse ? Proposa Kumanu.
Hmmm… (Examinant les outils). Je vous offre 5 écus de cuivre pour chaque outil.
J’accepte votre offre. Répondit l’aventurier. »
Me voilà riche de 20 écus de cuivre en plus. Maintenant, je vais m’offrir une meilleure chambre à l’auberge. Je me rendais à l’auberge. J’allais voir le tenancier de l’auberge pour lui parler :
« - Bonjour j’aimerai avoir une meilleure chambre s’il vous plaît ? Demanda Kumanu.
- Evidemment ! Une chambre à 25 écus de bronze par semaine. Cette chambre possède un lit, une armoire, un pot de chambre, un baquet d’eau chaude. Et pour 20 écus de cuivre en supplément vous aurez des draps propres.
Je prends pour un mois avec des draps propres s’il vous plait. Demanda l’aventurier.
Ça fera 75 écus de bronze et 20 écus de cuivre. Répondit l’homme corpulent. »
Je payais pour ma chambre, l’aubergiste me demanda d’attendre, le temps de préparer la chambre. J’attendis presqu’une heure pour une chambre prête. L’intérieur de la chambre, il y avait un grand lit au milieu de la pièce. Un pot de chambre sous le lit, une commode à gauche du lit et un baquet que je pouvais demander de l’eau chaude matin et soir. Je demandais de l’eau chaude pour me laver. Ahh rien de mieux que de l’eau chaude pour se nettoyer. Le changement de rang à vraiment améliorer ma situation.
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skjaldmo-ulf · 5 years
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J'ai été taguée par : @par-merlin
Merci à toi 🙏🙏
Nicknames : j'en ai pas vraiment ¯\_(ツ)_/¯
Zodiac : Capricorne
Height : 1m60
Last thing searched : "latest research" (ouais vous pouvez me traiter de quiche)
Favourite musicians : Ramin Djawadi, Rammstein, Wardruna
Song stuck in my head : Aucune
If you had a time machine, would you go back in time or visit the future ? Les seuls futures qui je peux imaginer me font trop peur. Et j'aimerais voir à quoi ressemblait le Moyen-Age, et surtout comment ça s'est passé au tout début.
Do I get asks : Ces dernière semaines j'en ai reçu quelques uns, mais avant ça très rarement.
Following : 429 blogs
Would you rather be rich or famous ? je voudrais être riche sans hésiter pour pouvoir faire ce qu'il me plait, mais je vais pas vous mentir j'aimerais un tout petit peu savoir ce que ça fait d'être populaire et aimée par des personnes.
Amount of sleep : 8 heures, parfois moins, parfois plus
Lunky number : 23
What I’m wearing : un gros sweat à capuche noir avec des patchs de chat, serpent, papillon et autres trucs qui font un peu sorcellerie et un legging noir
Dream job : Fauconnier/Soigneuse
Dream trip : Norvège, Amérique du Nord, Mongolie
If you were an animal, what would you be ? Un loup, un renard ou un Glouton
Favourite food : le boeuf saté, la fondue savoyarde, le chocolat, les frites (les vraies hein je suis pas du Nord pour rien), bref beaucoup de choses pas bonnes pour la santé
What are some of your favourite books/films/shows/games/etc.?
Comics : Hellblazer
Films : The Thing, Into the Wild, Captain Fantastic, Kingsman, Star Wars, Marie-Antoinette, 28 jours Plus Tard, Le Pacte des Loups, Trainspotting, Princess Mononoke, Mad Max:Fury Road, Trilogie Cornetto, Blade Runner et encore tellement d'autres...
Séries : Kaamelott, Westworld, Game Of Thrones, Malcolm in the Middle, Brooklyn 99, Rick et Morty, Black Mirror, Gotham, Vikings
Play any instruments : Il y a longtemps j'ai fait de la guitare pendant un an mais j'ai arrêté le massacre. J'aime la musique mais la musique ne m'aime pas.
Languages : Français, je ne suis pas fluent en anglais mais je peux tenir des conversations et organiser un petit voyage dans un pays anglophone.
Describe yourself as aesthetics : un arc et des flèches dans un carquois, des plumes, des crânes d'animaux, une cabane dans la forêt, des cabinets de curiosités, l'aube et les petis bruits de la nature qui se réveille, le souffle chaud dans des naseaux d'un cheval, des outils pour le cuir, des jolies sous-vêtements, les grandes forêts au pied des montagnes, un atelier de couture et des costumes, des cheveux en bataille
I tag @hatcrufle, @larosezen, @jezebel-p, @asntlove and @taeltalks
👋
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poesiecritique · 6 years
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notes subjectives sur quelques toiles, l’absence de scandale
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Georges MOREAU DE TOURS - Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne, France), 1848 - Bois-le-Roi (Seine-et-Marne, France), 1901 - Une stigmatisée au Moyen-Age - 303 x 260 cm  - stigmate christique et sorcellerie ? - portrait de Véronique Giulina ((Mercatello sul Metauro, 27 décembre 1660 - Città di Castello, 9 juillet 1727) est une mystique capucine et l'une des grandes représentantes italiennes de l'époque baroque de la spiritualité. - wikipédia), baptisée sous le nom d’Ursule
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Hélène LUMINAIS - Paris (France), 1841 - Paris (France), 1911 - Psyché, 1886, Dans la barque infernale, Psyché debout, en blanc, est entourée de divers personnages. Huile sur toile, 51,5 x 81,5 cm - Le sfumato du visage de Psyché
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Benjamin-Constant - Paris (France) 1845 - Paris (France) 1902 - L'odalisque allongée, vers 1870 - Huile sur toile, H. 115,0 ; L. 149,0 cm. - question de l’assemblage des formes & techniques : la forme modelée du buste & le lissé de la peau (transparence) littéralement au-dessus des empâtements des ors, pas de rapports, fragment tissu rouge comme autre forme, traitement bloc comme le corps  - pâté en haut à droite dans le drapé sans être le drapé, curieux - cet absence de rapport dans le traitement par la peinture pose la question de la lumière qui ne se révèle qu’à distance : à proximité, dissociation totale 
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Alfred Stevens (Bruxelles, le 11 mai 1823 ; Paris, le 29 août 1906) - Frère et soeur devant la mer à Honfleur (Entrée sous le titre Les Enfants du peintre), peinture à l'huile sur toile, H. 1,30 ; L. 1,00 m, Historique Le tableau est présenté à la vente « Tableaux, argenterie, tapis d'Orient... », qui se tient à l’hôtel Drouot à Paris, le 20 mars 1942, salle 6, sous la conduite de Me Pruvost,sous le numéro de lot 41 (« Frère et soeur ») ; il est acquis 20 000 F « pour Hitler » (1) par M. Eugène Brüschwiler, de Munich, et revendu le 12 mai 1943 à la Verwaltung Obersalzberg (collection Bormann) (2). L'oeuvre arrive d’Aussee au Central Collecting Point de Munich le 19 juillet 1945 et est enregistrée sous le n° 4859 (3). Le tableau est rapatrié vers la France le 30 juin 1952 par le onzième convoi en provenance de Baden-Baden ; il arrive au siège de la Commission de choix des œuvres de la récupération artistique le 2 juillet suivant. Le tableau est retenu lors de la huitième Commission de choix des œuvres de la récupération artistique du 17 juin 1953 ; il est attribué au musée du Louvre (département des Peintures) par l'Office des Biens et Intérêts Privés en 1953 (4), puis au musée d'Orsay en 1981.Commentaires Il s'agit des portraits de Bernard Stevens et sa soeur Suzanne (future Mme Adolphe Stoclet), enfants du critique et mécène Arthur Stevens, frère de l'artiste. (source : MNR) - les deux profils & la rose qui fane et se fond à la rambarde : même qualité de couleurs et opposition dans le coutour appliqué aux visages, aux mains - la masse sombre du corps de  la soeur qui dans lequel s’encastre celui, clair, du frère - la masse claire du frère comme celle des nuages qui couronnent la soeur - les profils les profils les profils - leurs deux profils comme modernes et anciens, dans leur profils un profil mucha, les têtes byzantines, idoles, Sarah Bernhardt, ici un frère une soeur, toute la mythologie, une mythologie personnelle - modernes et anciens, modernes comme le cubisme, où ici profil devient deux dimensions, mais où profil n’absente pas le sujet, quand le cubisme de tout bois fait feu, flèche, objet   
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Alfred Stevens (cf. supra) - Marine, sous-titre : Coucher de soleil en mer, avant 1886 - Effet du soir, coucher de soleil sur des nuages épais et rougeâtres ; un voilier et, au fond, un bateau à vapeur et d'autres barques. Huile sur toile, 65,2 x 50,5 cm - cette reproduction si infidèle : le coucher de soleil, le rayon de soleil à travers les nuages est rouge violent, est déchirure, fontana avant fontana, c’est une qualité de lumière, de percée, d’ouverture qui transfigure et contrepointe vive la lune, la lune croissant, pointes acérées, lumières partagées que la mer ne prend pas, refuse, 
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Alfred Sisley (Paris (France) 1839 - Moret-sur-Loing, Seine-et-Marne (77) (France) 1899),  Lisière de forêt au printempsen 1885, huile sur toileH. 60,5 ; L. 73,5 - ici aussi : tristesse de la reproduction face au sentiment, aux yeux qui tremblent comme les empâtements, couteau, des feuilles, le cerne pour emmener vers la lumière, la lumière et la maison, ce sont les feuilles qui m’intéressent la multitude de feuilles et le calme du ciel, un pan de ciel de bleu, aplat, tranquille, le reste presque inutile, ne comprend pas l’avant plan, clair, outre forêt, au delà lisière, fausse lisière, hors déjà, l’encadrement à demi : est-ce quelque chose à comprendre du cadre, de l’encadrement même de la toile ? 
Seurat, il y avait une toile de Seurat, que je voyais pour la première fois comme un peintre d’art brut se planquant bien
Renoir, il y avait une toile de Renoir, c’était celle qui fermait l’exposition, rassemblant tant dans son tableau, et au moins le sfumato du visage de Psyché et le cerne des corps dans lequel d’autres corps s’inscrivent, littéralement, biologiquement, généalogiquement, frère-soeur, ces masses noires, ici ces masses noires toujours des femmes, mais ici des femmes, 
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