#Fille

[vhscorp]

Patience est fille de bienveillance…

V. H. SCORP

[dolll-princess]

[tramon81]

The mechanics of Play pretend.

You know, I think that one of the reasons stuff like bakugan, beyblade, hell even skylanders and arguably ben 10 were so popular in their era is thanks of the focus of depicting it's main gimmick as mysterous artifact merges of these supernatural powers within a mechanical doohickey that has a physical way to be operated.

If you look at a bakugan in your hand and you can see how it works where it opens, the first step is a physical understanding on how it works in real life, and the next part is left to your imagination. It introduces a device that correlates those two things, and to put it simply, there's a reason why one can consider it "Rad as hell" both first hand as a kid, and retroactively as an adult.

image taken from this video

These all kinda introduce a ritual to "activate" that supernatural power these pieces of plastic are asking you to imagine them having.

Throw the bakugan, the bakugan handles the mechanics they need to Open up you handle imagining it as a cool ass dragon emerging from it.

Let the bayblade "rip" through its mechanism, and as they clash you can imagine a winged horse emerging and fighting it out.

Push the button, the dial pops up, select one of these misterious alien siluettes by spinning the dial, Slam it, and you bet the kid who bought that toy omnitrix is gonna pretend to be Fourams or whoever ther favorite is.

Skylanders is weird in this sense, since it has the mechanism, but instead of leaving it to the imagination it outright shows on screen how the toy ahem "came to life". While it does make really cool the whole process of placing the skylander on the portal and them arriving in the game, it all feels very magical. Altough their medium can make them feel pretty robotic at times.

What you can see here is a physical, real and mechanical interaction with the toy, being used to justify an imaginative, supernatural and fictional effect that is given to them. Just how a kid will need to take a stick before they can imagine having a magic wand in their hands, these toys focus on that aspect as a way to bring to life their own ideas into the playground.

I feel this is partly a reason why this type of toy had a bigger sucess in general. Give a kid a toy that has tons of very specific features like "the toy talks" or "the toy walks on its own" and probably they will get tired of it sooner rather than later. Give a kid a toy that has some specific actions wich let them imagine the effect and how they use that effect and little by little the kid has imagined their whole game by themselves.

Even in the case of skylanders where the toys do talk, walk and have their own powers the kid can have the console represent for them. That activation process, specially with how well the portal cutscenes are represented with its sound design, goes a long way to inmerse that kid within that game world. The portal of power is a completely different beast than the NFC reader for amiibos for example, cause skylanders while products at their core, have had effort put into selling the idea through a "play pretend" approach.

All in all, parts of my infancy were pretty defined by this style of toys, specially ben 10 and to a lesser extent bakugan. As somewhat of a digital artist nowadays a lot of the motivations that i have for drawing were developed in that stage. I see drawing in a sense of a sort of evolution to that play pretend, what once we imagined as children, be it your own custom ben 10 alien, or bakugan or the like, now i have the power to bring those ideas to life and more importantly, share them with others they way i imagined them.

[federer7]

Fille De Joie Du Quartier Italien Dans Une Robe Printanière. Paris. 1931

Photo: Brassaï (Gyula Halasz)

[o-link]

Fille de Monte Carlo à Monaco et oiseaux de mer par Alfonse Mucha

[detragefietser]

happy by Guy Provost

[thierrychristmann]

Un petit croquis aux crayons de couleur.

[alicetigerdrawing]

Ariel et son papa.

Ariel and her dad.

[plexussolaire]

Celle qui aime trop

J’écoute le podcast “Mes 14 ans.” J’en suis à l’épisode 10 où elle raconte qu’elle est en couple avec un garçon qui n’est pas amoureux d’elle, mais amoureux de son ex. Elle explique qu’en fait, elle est devenu son plan cul, qu’il reste avec elle pour ça, que c’est clair entre eux, mais qu’elle ne se l’avoue pas. Elle essaye de le reconquérir. Et elle énumère les règles qu’elle se donne pour ne pas paraître dépendante ou amoureuse, elle énumère tous les comportements qu’elle met en place pendant des mois, sans succès, pour le reconquérir quoiqu’il arrive, et reprendre le contrôle. Mais le contrôle, c’est quelque chose qu’on ne reprend pas dans cette situation. Par contre, qu’est-ce qu’il est épuisant de contrôler chacun de ses mots, chacun de ses gestes, pour trouver la posture qu’il attend, pour devenir la personne dont il retombera amoureux.

J’ai trouvé une fois ce visage, et je n’ai pu le porter que quelques heures : c’était monstrueux.

J’ai hésité à mettre ce podcast pendant que je dessinais. Je sais pourquoi j’ai irrésistiblement envie de l’écouter jusqu’au bout. Mon adolescence bat dans mon coeur comme une boule au ventre. Je suis cette gamine amoureuse qui couche pour l’amour, qui couche pour le lien, alors que celui-ci devrait être défait au plus vite, pour sa sécurité et son amour propre. Malgré tout ce que je me raconte sur le mal que ce garçon m’a fait, sur son emprise, qui était réelle, puisqu’il ne me laissait jamais partir et qu’il n’était pas bienveillant avec moi, il est important de s’avouer que j’étais bien trop jeune pour tant de mépris. Je ne savais pas me défendre, je n’avais pas les outils pour comprendre ce qui était bien pour moi et ce qui ne l’était pas. Tout cela était des couleurs qui se traversaient et se fondaient entre elles. Il aurait fallu partir plutôt qu’être utilisée, et partir où ? Tout était si flou et embrouillé, que je ne m’étais même pas rendu compte de ça, même à 30 ans, que moi aussi, j’étais devenu un plan cul, et que ça avait duré deux ans. Je ne m’en étais même pas rendu compte. Je l’aimais, ou du moins j’aimais atrocement ce qu’il m’avait fait ressentir quand j’étais encore à conquérir. Et je voulais qu’il se rende compte qu’il éprouvait encore cela, par tous les moyens. Mais de déesse vaporeuse et lointaine, je me suis abîmée jusqu’à devenir une ombre.

Je comprends sa détresse qui en moi est encore vive. J’ai vécu comme elle la première fois qui s’est faite un peu tôt certes, mais avec la bonne personne. Ce que j’ai vécu trop tôt c’est la violence d’un plan cul non désiré, d’une non exclusivité subie, au moment où je croyais encore très fort à l’amour avec un grand A. Trop jeune pour avoir le coeur et l’estime écrasés, sans autres bras qui me serrent pour me calmer et m’aimer autrement. Sans les juger suffisant, peut-être. On sous-estime parfois les blessures profondes d’un amour adolescent, mais celui-ci me revient souvent en rêve, et n’épuise pas les questions. Comment aurais-je pu m’en sortir ? Aurait-il été préférable de ne pas vivre cela ? Comment aurais-je pu empêcher toute la souffrance immense qui me pèse encore 15 ans plus tard ?

N'est-il pas un jour nécessaire de tomber à la ramasse pour savoir ce que ça fait ?

[thingsdavidlikes]

Bain de soleil. by Scubaba

[2t2r]

Les filles de jeux vidéos avec un corps normal

Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/les-filles-de-jeux-videos-avec-un-corps-normal/

Les filles de jeux vidéos avec un corps normal

[francepittoresque]

EXPRESSION | Le diable bat sa femme et marie sa fille ➽ http://bit.ly/Diable-Pluie Il pleut et il fait soleil à la fois. Ce dicton a pour fondement une tradition mythologique que nous allons rapporter, d’après un fragment de Plutarque qu’Eusèbe nous a conservé dans sa Préparation évangélique

[lasaraconor]

[hcdahlem]

Mon cœur a déménagé

Toujours aussi habilement construit, le nouveau thriller de Michel Bussi va confronter une enfant avec la mort de sa mère, chassée par un mari violent. Pendant de longues années, Ophélie va chercher à comprendre et à venger sa mère.

    En deux mots Ophélie, dite Folette, a sept ans quand sa mère meurt. Son mari, alcoolique et drogué, va être condamné pour cet homicide, laissant sa fille à l’assistance avec ses questions et son désir de vengeance. Commence alors une enquête au long cours pour savoir ce qui s’est réellement passé ce jour de 1983. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique La vengeance est un plat qui se mange…

[ilimitadoworld-r]