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D'où Vient notre espérance?
Mini réflexion par Andrew Rossiter pour la journée de l'église à Bergerac le 16 juin 2024 Ezékiel 17. 22-24
L’exile, c’est devoir quitter tes terres, ton pays, tes proches, ta prospérité, ta maison, tout. Littéralement tout. Transporté de force dans un autre pays, loin. Ce n’est pas surprenant qu’une telle expérience marque presque toutes les pages de la Bible Hébraïque.
Le roi Nabuchodonosor a ordonné que le roi Sédécias soit aveuglé et déporté à Babylone, et que ses enfants soient exécutés publiquement, il essayait de briser tout espoir dans les promesses de YHWH de protéger le roi davidique (voir aussi 2 Samuel 7) et son peuple. Ces rois arrivistes s'étaient rebellés contre Nabuchodonosor deux fois en concluant des alliances avec l'Égypte, et il ne pouvait plus leur faire confiance.
Nabuchodonosor a également détruit les remparts de Jérusalem dans le but d’éradiquer toute trace de la « protection » de Dieu. Et puis Nabuchodonosor a pillé, brûlé et rasé le temple de Jérusalem afin de le remplacer la divinité de Juda par la domination babylonienne.
Face à une telle violence une crise profonde s'est développée pour les Judéens : que faire maintenant? Certains doutaient de la puissance, de la présence, de l'intérêt et même de l'existence de YHWH (Ésaïe 40:27).
D'autres refusaient d'admettre que quelque chose de décisif s'était produit et continuaient à prêcher un optimisme ensoleillé et une fin rapide de tout malaise (Jérémie 27-29).
Certains se demandaient à haute voix si YHWH entrerait à nouveau en relation avec le peuple de Juda (Lamentations 5:22).
Et sans doute certains se demandaient s'ils voudraient accepter une telle offre de YHWH, si elle arrivait un jour.
Ce sont les réactions aussi naturelles et humaines que les nôtres en temps de crise et d’incertitude.
Vers qui tournons-nous pour des solutions à nos crises politiques, sociales, économiques et spirituelles?
D’où vient notre secours et la promesse d’un avenir meilleur?
Quels sont des signes que nous pouvons discerner?
Je sais que l’histoire ne se répète jamais. Le cours de temps est linéaire et non circulaire, mais je sais aussi que nous pouvons recevoir des indications de l’histoire. Nous pouvons nous inspirer de ce que s’est passé. Nous pouvons peut-être y trouver l’espérance nécessaire pour continuer à croire. Nous pouvons recevoir l’énergie et la force nécessaires pour avancer.
Retournons à Ezékiel et son peuple. La lignée royale davidique est en ruine et la ville de Jérusalem rasée, il semble qu'il n'y ait plus d'espoir. Les prophètes parlent avec une honnêteté inébranlable et n’évitent pas de parler de la douleur. Nous avons tendance de passer directement aux paroles d'espoir, mais nous ferions bien de nous souvenir de la douleur et de la tristesse qui précèdent et donnent naissance à des telles paroles. Au milieu de l'agitation politique, sociale et théologique des derniers jours du royaume de Juda, Ezékiel a proclamé la promesse du salut de Dieu. Ezékiel déclare que Dieu prendra une branche de ce puissant et noble cèdre et la plantera dans un endroit sûr, au sommet d'une montagne - le mont Sion, l'endroit même qui a été abandonné pendant des décennies.
Ce nouveau Juda ne recherchera pas sa propre abondance et ne sera pas consumé par des pensées anxieuses d'autodéfense: au contraire, il s'épanouira comme un lieu sûr et nourricier pour «toutes sortes d'oiseaux» qui pourraient se poser sur ses branches pleines et aromatiques (verset 23).
Ezékiel dépeint la grâce de Dieu comme génératrice et vivifiante pour toute la terre. Ce verset fait écho à la grande promesse de Genèse 12:3: «toutes les nations du monde seront bénies par la famille de la promesse».
La puissance de Dieu se manifeste par des renversements et des bouleversements choquants qui ébranlent toutes nos attentes, nos compromis, nos conforts et nos idées reçues sur le pouvoir et le prestige. C'est une image bien différente de celle d’un Dieu juge, sévère et intéressé uniquement par les «justes». Ezékiel nous invite à entrer dans un lieu où nous pouvons être transformés à la confiance et à l'émerveillement que Dieu veut nous donner et qui nous permet d'être le serviteur des autres en son nom.
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Ezequiel 1 - La visión de los cuatro seres vivientes
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SOMMAIRE
Code couleurs → Couple / Réservé(e) / Célibataire
✦ WOMEN
Coline Mikaelson → Célibataire & Maman
Olympéa Burton → Célibataire & Réservée
Leslie Abrams → Célibataire & Réservée
Galadriel Morningstar → Célibataire
June William → Célibataire
Rachel James → Célibataire
Anastasia Steele → Célibataire & Réservée
Svetlana Lanoukovitch → Célibataire
Anastasia Mikaelson → Célibataire & Réservée
Arielle Kenny → Mariée & Maman
Athéna Richard → En couple
Kacey Crowley → En couple
Rose Rolland → Célibataire & Réservée
Ezékielle Kristiensen → En couple
Charly Humman → Célibataire & Réservée
Tanya Dillon → En Couple
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✦ MEN
Garrett Farleighn → Célibataire
Ethan Bailey → Célibataire & Réservé
Dany Johnson → Célibataire & Réservé
Marcus Fletsher → Célibataire
Paul Lahote → Célibataire
Don Massimo → Célibataire
Elliott Scott → En couple
Wesley Phoenix → Fiancé
Samuel Jackson → Marié & papa
Rick Wolfe → Marié & papa
Marco Ilso → Célibataire & Réservé
Tom Hiddleston → Célibataire
William Sedwick → Célibataire
Parker Andrews → En couple
Jacob Black → Célibataire
Roy Johnson → Célibataire
Tony Stark → Célibataire
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Mais au bout de ces trois jours et demi, un esprit de vie venu de Dieu entra en eux, et ils se dressèrent sur leurs pieds. La terreur s’empara de tous les assistants (Apocalypse 11:11).
⦁ Voilà plus de trois jours que les caméras de télévision sont braquées sur les cadavres des deux témoins, qui sont étalés en disgrâce sur la place principale de Jérusalem.
Soudainement, un commentateur de télé s’écrie :
Mais on dirait qu’ils bougent ! Oui ! Ils se lèvent (Ezékiel 37:9-10), s’étirent comme s’ils sortaient d’un profond sommeil.
Les habitants de la terre les observent épouvantés. Les réjouissances cessent abruptement pour faire place à la plus grande consternation ! On ne parle que de ça ; c’est la panique ; un choc émotionnel violent secoue le monde entier.
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◀ 30 JUIN ▶ Les Trésors De La Foi
Toutefois je me souviendrai de l'alliance que j'ai faite avec toi, dans les jours de ta jeunesse, et j'établirai en ta faveur une alliance éternelle Ezékiel 16:60
Regard en arrière; regard en avant
Quels que soient nos péchés, le Seigneur reste fidèle dans son amour envers nous. Il regarde en arrière. Vois comment il se souvient de ces jours d'autrefois, quand il nous prit pour faire alliance avec nous, et que nous nous donnâmes à lui. Heureux jours, que ceux-là! Le Seigneur ne nous reproche rien et ne nous accuse pas de manque de sincérité. Non, il regarde à son alliance avec nous, plus qu'à la nôtre avec lui. Aurait-il pu y avoir aucune arrière pensée de sa part dans ce pacte sacré? Quelle bonté il nous témoigne, au contraire, de se souvenir de nous dans son amour! Il regarde en avant ensuite. Il a résolu de ne pas manquer à son alliance. Si nous n'y sommes pas fidèles, lui demeure fidèle. Il nous déclare solennellement: "J'établirai avec toi une alliance éternelle," et il ne songe pas à revenir en arrière. Béni soit son nom, il contemple le sceau sacré, "le sang de l'alliance éternelle," et se souvient de notre garant en qui il a ratifié cette alliance, son Fils bien-aimé; c'est pourquoi il gardera ses engagements sacrés: "Il demeure fidèle," il ne peut se renier lui-même. Seigneur, dépose cette précieuse promesse sur mon coeur, et fais que je m'en nourrisse tout le jour! - Lire plus ici :
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La Parachah : « Emor » (parle)
Pensée La « Ménorah » placée dans la partie sainte est allumée en permanence. Le peuple apporte l’huile des lampes et le Grand sacrificateur s’assure que la lumière brille perpétuellement.
« Que votre lumière luise ainsi devant les hommes afin qu’ils voient vos bonnes œuvres et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux » (Matthieu 5:16)
Les douze pains de proposition sont renouvelés chaque Shabbat et les précédents consommés dans un lieu saint.
« Faites ceci en mémoire de Moi. »
et
« Toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’Il vienne. » (1 Corinthiens 11:26)
Lectures Parachah : Vayyiqra / Lévitique 21:1 à 24 fin Haftarah : Yéhézqél / Ezékiel 44:15 à fin Bérith Hadachah : Ivriym / Hébreux 9:1-14
Rappel : les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yéshoua.
Résumé de la Parachah La liste des conditions de sanctification du Nom du Seigneur, de son approche, et à contrario du risque de sa profanation se poursuit dans la présente parachah. Parle aux sacrificateurs, parle à Aharon, parle à Aharon et à ses fils, parle à Aharon et à ses fils à tout Israël, ordonne aux israélites.
Ses injonctions sont suivies de préceptes de sanctification, de pureté, en ce qui concerne :
le contact avec la mort et les marques de deuil,
les critères de choix d’épouse pour les sacrificateurs et le grand sacrificateur,
les critères d’exclusion du sacerdoce,
la qualité des animaux présentés à l’autel.
L’ensemble des saintes convocations de YHWH est inclus dans la liste des mitsvoth (commandements) de sanctification.
L’huile et l’allumage permanent du chandelier « Ménorah » ainsi que la consommation des pains de proposition à chaque Shabbat sont également inscrits en fin de liste. La parachah s’achève sur ce qui pourrait apparaître comme un fait divers difficile, mais qui rejoint néanmoins le thème général de la sanctification et de la profanation.
“Je vous fait sortir d'Egypte pour être votre Elohim, Je suis YHWH. ” (Lévitique 23:33)
Ce qui peut signifier :
« Je ne serai votre Elohim qu’à la condition que vous sortiez pleinement de l’Égypte ; mais cela vous ne le pouvez pas par vous-mêmes, Je vous fais donc Moi-même sortir. Premièrement par une rupture franche, en abattant pour vous en libérer les puissances de l’Égypte c'est-à-dire du monde ; Secundo, ce qui est la raison de l’ensemble des prescriptions de sanctification dites mosaïques, en vous apprenant à vous débarrassez des habitudes et modes de fonctionnement du monde ; comment ? En vous faisant adopter les bonnes pratiques qui seront le signe de votre sanctification, de votre mise à part, jusqu’à ce que toute Ma Loi, Ma Parole, Mon Souffle, Ma Nature, soit inscrite dans vos coeurs. Car pour que Je sois votre Elohim en Vérité, vous devez être saints : « Vous serez saints car Je suis Saint »
Alors vous serez mes témoins !
Selon le modèle parfait du Fils que Je vous envoie » pour rendre véritablement vivante Ma Parole en vous, par la réconciliation possible en Lui et seulement par Lui.
“Vous vous souviendrez ainsi de mes commandements, vous les mettrez en pratique, et vous serez saints pour votre Elohim.” (Nombres 15:40)
“Comme des enfants obéissants, ne vous conformez pas aux convoitises que vous aviez autrefois, quand vous étiez dans l’ignorance. Mais, puisque Celui qui vous a appelés est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite, selon qu’il est écrit : Vous serez saints, car Je suis Saint.” (1 Pierre 1:14-16)
Il est important au titre de l’appel à la sanctification, quasi disserté de manière précise et analytique par Moshéh, rappelé et confirmé dans le principe et la nécessité par Pierre, de nous souvenir du sort dramatique des deux frères Nadav et Avihou, fils d’Aharon et sacrificateurs.
Ces hommes, certainement saints, se sont approchés de la Divinité avec leur propre feu et encensoir, en négligeant le chemin obligé du « Kohen Gadol » le Souverain Sacrificateur et le seul feu admis, celui de l’autel.
La Parachah de « Aharey moth » (après la mort) fut l’objet d’un commentaire à ce sujet.
L’approche du Père, en Vérité et en Souffle, car la Parole est vie et souffle, ne peut se réaliser que par le « Kohen Gadol » en titre et en éternité : Yahshua, qui nous impulse le Souffle de Vérité émanant du Père.
Il n’y a pas d’autre chemin : Yahshua n’est pas seulement Celui qui nous sauve sur le bois, Il est le chemin obligé.
Laisser croire qu’il existe d’autres possibilités mène à la catastrophe à l’instar de la démonstration faite par Nadav et Avihou.
On ne peut paraître devant Lui avec nos propres vêtements, c'est-à-dire nos propres oeuvres et nos prérogatives et nos particularismes religieux et traditions des pères, tant du “judaïsme” que du “christianisme”, que nous voudrions imposer comme légitimes ou comme alternative dans le Saint des Saints, c’est impossible.
Seul ce qui vient du Père par le Fils, le Kohen haGadol, est agréé. Tout le reste, aussi louable et intelligent soit-il risque d’être « Esh zara » feu étranger !
Pourquoi dire cela ? Voici que jusque dans la salle des noces, anti-chambre du Royaume, il est dit que plusieurs se présentent avec leurs propres habits, leur tradition, leur dogme, leurs œuvres… qui sont autant de feux étrangers pleins de bonnes intentions ; mais les bonnes intentions comme celles de Nadav et Avihou ne réalisent pas la volonté de sanctification voulue du Père. Ils meurent par le feu pour avoir fait ce qu’il ne leur avait pas été prescrit et pour bien signifier qu’on ne peut paraître devant le Père, qu’enfoui dans le Corps du Mashiah, Lui qui est la réalisation parfaite de la Parole, sans ajout ni retrait.
Les contrevenants sont rejetés dans les ténèbres du dehors ! C’est dur, oui. Mais ce sont là les paroles du Seigneur, ce qui nous oblige à prendre ces paroles très au sérieux.
“Le roi entra pour voir ceux qui étaient à table, et il aperçut là un homme qui n’avait pas revêtu un habit de noces. Il lui dit : Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir un habit de noces ? Cet homme eut la bouche fermée. Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-lui les pieds et les mains, et jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.” (Matthieu 22:11-13)
“Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons–nous pas chassé des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité.” (Matthieu 7:21-23)
Ces personnes ne sont-elles pas parvenues à un niveau de puissance notoire ? Ne font-elles pas des discours et des commentaires remarquables ? N’ont-elles pas accédé à des hauteurs spirituelles importantes ? Ne font-elles pas des miracles ? En admettant ici que ces miracles soient avérés et non des falsifications, ces personnes n’ont-elles pas fait tout cela au nom du Seigneur, donc à priori pour sa gloire ?
Et cependant le Seigneur leur dit : « Je ne vous connais pas … vous commettez l’iniquité ».
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Cela pose une question délicate : Quelle est la différence entre ceux qui s’auto-missionnent pour travailler pour le Seigneur et ceux qui sont appelés à travailler avec le Seigneur. Réfléchissons-y car la nuance est importante.
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Nous pourrions penser que ceux-ci ont accompli des actes qui ne leur ont pas été demandées. Ils ont agi selon leurs propres initiatives, ils ont pensé travailler pour le Seigneur, mais ce dernier ne leur a rien demandé. Ce ne seraient en somme pas les oeuvres ni les commandements du Seigneur qu’ils auraient accomplis mais les leurs, en s’abusant sur leur bien-fondé. Soyons prudent, gardons les yeux rivés sur le Seigneur, en Lui demandant de nous instruire de Sa Vérité et de Sa Volonté.
Méfions nous de nos pensées et des enseignements qui ne sont pas strictement alignés sur La Parole écrite et confirmés par le Souffle.
Notre sanctification qui passe par l’obéissance est à cette condition, celle qui par le Messie nous permettra d’être saints car notre Père est Saint.
Par le Fils, IL nous fait sortir de nos « Égypte ».
“En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père ; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. Si vous m’aimez, gardez mes commandements.” (Jean 14:12-15)
Quelles sont ces oeuvres ? Celles du Père. Quels sont les commandements à garder ? Ceux du Père.
Il n’y a pas ici de place pour l’improvisation, le sentimentalisme, les apports déformants du judaïsme ou du christianisme, qui sont autant de feux étrangers résultants de pulsions humaines.
Les saintes convocations du Lévitique 23
Ce sont des convocations suprêmes officielles et non des invitations facultatives qui s’adressent à ceux qui estiment être acquis à l’Alliance de l’Élohim de la Bible !
L’ensemble de ces convocations procède de la même nature que les autres prescriptions, c'est-à-dire qu’elles contribuent à la sanctification du peuple d’Élohim.
Un peuple qui a autre chose à dire, à faire et à être que les autres nations, un peuple qui doit témoigner à l’humanité de l’intervention du Seul et Vrai Élohim, l’Élohim d’Israël, par le Fils de sa gloire, Yéshoua, Celui qu’IL nous a envoyé.
Le peuple témoin, le tout Israël, sous l’office de son Grand Sacrificateur - depuis 2000 ans et définitivement - Yéshoua, répondra donc aux éminentes convocations du témoignage.
Ces convocations ne sont pas des rites religieux, elles sont des rassemblements de confirmation que la volonté d’Élohim s’est réalisée et qu’elle se réalisera encore jusqu’à son terme.
Chacune de ces convocations exprime les grandes étapes prophétiques de son plan de rédemption.
Ces saintes convocations sont en clair des actes prophétiques et certainement pas des traditions religieuses que nous aurions à loisir la possibilité d’observer ou d’ignorer en raison d’une pseudo-caducité de la Torah.
Chaque « évènement » est l’expression d’un acte réalisé ou encore à venir :
Shabbat nous lie au futur Royaume
Le soir du Péssah (Pâque) nous lie au sacrifice salvateur, acte central de cet univers
Les 7 jours des matsoth (pains sans levain) conséquents du Péssah nous lient à la pureté, à notre sanctification voulue du Seigneur (le 1er jour et le 7e sont des saintes convocations)
La gerbe des prémices nous lie à l’agrément de l’Agneau d’Élohim en lieux célestes
Le 50e jour, Pentecôte-Shavouoth, nous lie à la Torah et au Souffle sacré (qui sont de la même nature)
Le jour de Yom Théroua (jour de clameur) prophétise l’appel précédent les derniers jours
Le Yom Kippour (jour d’expiation) prophétise l’expiation générale à venir
Les 7 jours de Soukkoth (cabanes) nous inscrivent dans l’intronisation au Royaume, au retour du Mashiah. (Le 1ejour est une sainte convocation)
Le huitième jour qui est une sainte convocation serait le relatif final de la remise du Royaume au Père.
Rappelons, dans le cadre de la sanctification à notre égard de la part du Seigneur, que les saintes convocations de YHWH n’ont pas propension à être modifiées, délaissées, comme si l’homme avait latitude d’en faire ce que bon lui semble, en changeant abusivement, voire par rébellion, le calendrier donné par Moshéh.
L’homme n’a pas davantage latitude à introduire d’autres « fêtes » en les sacralisant, ce que le Seigneur ne lui a pas demandé !
Travaillons à notre sanctification qui est le support du bon témoignage. Les saintes convocations, encore une fois sans ajout ni retrait, sont la marque prophétique du grand dessein de notre Père pour l’humanité. En répondant à l’appel des saintes convocations, nous entrons pleinement dans le témoignage de la Parole prophétique.
Rachetons le temps, car nous ne pouvons que constater, à notre époque, l’abandon généralisé de tout ou partie des « saintes convocations ».
Ici et là, selon les confessions, il ne reste que Pâque et Pentecôte, sans parler des dates et de la connotation de ces « évènements ». Les autres solennités, tels Shabbat, la période des pains sans levain, les fêtes du 7e mois, c'est-à-dire la quasi-totalité du calendrier d’Élohim, sont vidées de leur substance ! Oui, ce constat est navrant !
Mais n’avons-nous pas ici le résultat d’une sentence émise par le prophète Hoshéa ? (Osée)
« Mon peuple périt parce qu’il n’a pas la connaissance. Puisque, toi, tu as rejeté la connaissance, je te rejetterai de mon sacerdoce ; comme tu as oublié la Torah de ton Élohim, moi, de même, j’oublierai tes fils. » (Osée 4:6)
Interdit au sacerdoce
Un animal présentant une malformation ne pouvait pas servir de victime sacrificielle. Analogiquement, un homme présentant une malformation ou un handicap ne pouvait pas servir au sacerdoce.
Nous pourrions penser : c’est trop injuste ! Un aveugle ou un boiteux exprimant un véritable zèle et amour pour le Seigneur ne peut donc pas s’approcher du service. Cela n’était-il pas parfois vécu comme une punition incompréhensible ? Cette situation posait certainement une question qui appelait une réponse rationnelle. Nous retrouvons ce genre de réflexion dans les propos des disciples auprès du Seigneur :
« Yéshoua vit, en passant, un homme aveugle de naissance. Ses disciples lui posèrent cette question : Rabbi, qui a péché, cet homme ou ses parents, pour qu’il soit né aveugle ? Yéshoua répondit : Ce n’est pas que lui ou ses parents aient péché ; mais c’est afin que les œuvres d’Élohim soient manifestées en lui. Il faut que je fasse, tandis qu’il est jour, les œuvres de Celui qui m’a envoyé ; la nuit vient, où personne ne peut travailler. » (Jean 9:1-4)
Voilà bien une révolution sur les « à priori » interprétés des hommes de cette époque, compte tenu de l’interdiction de sacerdoce imposée aux handicapés.
Auraient-ils péché ou serait-ce leurs parents ? Le Seigneur répond : Regardez ceux-là qui à cause de leur handicap sont interdits de s’approcher du sanctuaire, mais dont le cœur est peut-être moins aveugle ou moins boiteux que ceux qui se disent bien portants et sans défaut. Moi en ce jour Je les guéris, Je les rends aptes à s’approcher.
N’était-ce pas aussi la question de Yohanan hamatbil (Yohanan le baptiste) ?
« Yohanan, ayant entendu parler dans sa prison des œuvres du Messie, lui fit dire par ses disciples : Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? Yéshoua leur répondit : Allez rapporter à Yohanan ce que vous entendez et ce que vous voyez : les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres. » (Matthieu 11:2-5)
Qu’est-ce que cette œuvre sinon une réhabilitation-guérison sans condition de tous ceux qui de cœurs purs sont tenus à l’écart de la Maison du Père mais que le Seigneur invite à la salle des noces.
Ceci est bien le signe du Royaume et de la présence du Roi, du vrai Grand sacrificateur.
« Et le maître dit au serviteur : Va dans les chemins et le long des haies, et ceux que tu trouveras, contrains-les d’entrer, afin que ma maison soit remplie. » (Luc 14:23)
Ne serions-nous pas tous de ces estropiés de naissance qui ont tellement besoin de l’intervention du Seigneur pour se rendre aptes à entrer dans Sa Maison ?
Shabbat Shalom vé-shavoua tov
Source : Juda & Ephraïm
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Apostolica: Animae Haeretica (2023)
Apostolica: Animae Haeretica (2023) - https://metalindex.hu/2023/10/24/apostolica-animae-haeretica-2023/ -
Ami az Apostolica létét üzletileg indokolja, az szól ellene művészileg. A színtéren ugyanis már jó ideje tevékenykedik egy markáns zenei világot képviselő, komoly rajongótábort maga mögött tudó, Powerwolf nevű csapat. Mellettük, utánuk ebben a szerepben mindenki más csak epigon, s mint ilyen, felesleges lehet. „Mi szükség van egy újabb, templomi díszletek között celebrált, egyházi hangulatú és témájú, szintetizátorhangokkal bőven nyakon öntött, operisztikus énekhangra kihegyezett, fülbemászó slágereket ontó produkcióra?” – kérdezik a fanyalgók, többé-kevésbé joggal. Ahogy az is logikus módon vetődhet fel bennünk, hogy a követők a jó eséllyel realizálható üzleti haszon reményében igyekeznek megismételni az egyszer már fényesen bevált receptet. És tény, hogy nem túl eredeti, amit az Apostolica csinál, viszont működik – legalábbis nálam.
A zenekarról nem sokat lehet tudni, és ez is ugyanúgy az imázsuk része, mint volt kezdetben a némileg hasonló muzsikát játszó Warkings-é. Nem lehetnek régi csapat, mert legelső kislemezük is csupán 2021-es, és bemutatkozó albumuk, a Haeretica Ecclesia is abban az esztendőben látott napvilágot. Egy nemzetközi projektről beszélünk, amelynek központi figurája az olasz gitáros, Gaetano Isaia. A többiek kilétét homály fedi, művészneveik révén bibliai prófétákat személyesítenek meg: Ézsaiás (Isaia) mellett Jónást (Jonas – basszusgitár), Malakiást (Malachia – dob) és Ezékielt (Ezekiel – ének), illetve az idei évtől egy ötödik „szent ember”, Jeremiás (Jeremiah – billentyűs hangszerek) is csatlakozott hozzájuk. A tagok állítólag az európai heavy metal szcéna veteránjai, akiknek arcát a promóciós fotókon egyen-fémálarc rejti. Ahogy a Warkings harcosai esetében, gondolom, idővel itt is tisztul majd a szereplők kilétével kapcsolatos homály. (Akik arra tippelnek, hogy a templomi zajbrigád a magyar Apostol zenekar és a Metallica tagjaiból verbuválódott volna, valószínűleg rossz nyomon járnak… )
Hallgatom az anyagot, és bár nyilvánvaló a Powerwolf babérjaival való ékeskedés, engem ez valamiért mégsem zavar. Talán mert más az énekhang. Mert több a gyors nóta, mint német pályatársaiknál. Mert a koktélból ezúttal hiányzik a (vér)farkasvér. És mert roppant jók a dalok. Mintha egy újabb remekül sikerült PW albumot hallgatnék, ugyanakkor az is egyértelmű, hogy ez egy másik kaland, egy másik előadás.
Már az elsőként elhangzó címadó nótával igen magasra teszik a lécet: hetek óta folyamatosan megy bennem a refrénje, kifogva a szelet az olyan, szintén bombasztikus szerzemények vitorlájából, mint a Rasputin, a Gloria vagy a Heretics. Az ünnepélyes tempójú és hangulatú Tomorrow Belongs to Me pedig olyan, mintha egy karácsonyi nóták metalosított verzióját tartalmazó albumról került volna ide. Persze a feeling itt is ugyanaz, mint Erőfarkaséknál: ezerrel zeng az óóó-zós kórus, és Ezékiel ugyanúgy az r-t megnyomva énekli az angol nyelvű szövegeket, mint Attila Dorn vagy a néhai Peter Steele, és – a Rest in a Bed of Rosesben – itt is előkerülnek oroszos dallamok. Nagyon olyan, ám mégsem ugyanaz: a leginkább arra lennék kíváncsi, hogy a megveszekedett Powerwolf-rajongók mit szólnak a rivális falka feltűnéséhez. Én csak az egyértelmű koppintás miatt nem adok maximális pontszámot az arctalan apostolok (avagy pofátlan próféták) produkciójára, ezt leszámítva számomra az ősz eddigi legkellemesebb meglepetése az Animae Haeretica.
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Séguéla : Admis aux Bac 2023, un candidat meurt quelques heures après les résultats
Les habitants de la ville de Séguéla sont inconsolables depuis la proclamation des résultats du baccalauréat session 2023. Selon les informations rapportées par l’Agence Ivoirienne de Presse, le candidat, Kouakou Kouassi Ezékiel, a été déclaré admis au baccalauréat 2023 et est décédé des suites d’une courte maladie, quelques heures, après son admission dans la même journée du lundi 24 juillet…
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Le Roi Jésus Christ
Le Roi Jésus Christ Ezékiel 34.11-17, Matthieu 25.31-46 Une prédication par Andrew Rossiter au temple d’Eymet le 26 novembre 2023
Aujourd’hui, c’est le dernier dimanche de l’année de l’Église. Dimanche prochain c’est Avent et Noël s’approche. Mais avant d’emprunter le chemin de fête, célébration et préparation pour Noël nous nous offrons une pause pour célébrer que Jésus Christ est notre roi.
Nous allons voir la naissance de ce roi dans quelques semaines. Mais de qui et de quoi est-il roi? Quel type de roi? Pour nous en France les rois appartiennent à l’histoire. Certes nous pouvons regarder ces autres pays qui ont garder leurs rois, rois sans pouvoir. Les rois du temps de Jésus n’étaient pas comme ces rois. Il faut plutôt imaginer quelqu’un comme un «Seigneur de Guerre» en Afghanistan ou en Somalie. Et la terme «nation» dans la Bible se référait plutôt à un groupe de personnes rattaché par des liens de sang, c’est plus un clan ou une tribu. Et les différents rois menaient leurs clans sur les champs de bataille. De même le terme «les nations» indiquent les autres, qui ne sont pas de chez nous. Ce qui est évident est que Jésus n’est pas ce type de roi, il n’est pas un Seigneur de Guerre.
Il est bien de noter que Jésus n’a jamais revendiqué d’être un roi. Face à la question de Pilate, il ne répond pas et quand Pierre l’appel «Mon Dieu et mon roi», il ne dit rien.
Si Jésus est méfiant quand on l’appelle «roi», il ne cesse de parler du Royaume de Dieu. Mais le mot «royaume» est aussi difficile à comprendre que le mot roi, peut-être plus encore parce quand nous pensons «royaume» nous imaginons un espace géographique. Ce n'était certainement pas le cas à l'époque et à l'endroit où vivait Jésus, où «royaume» signifiait avant tout «royauté» ou «règne». Donc nous pouvons traduire la phrase de Jésus par «le Règne de Dieu». Lorsque Jésus dit que son royaume n'est pas de ce monde, il ne parle pas d'être le roi d'un autre monde, mais d'avoir une source divine pour son autorité dans ce monde. Et lorsqu'il parle du royaume de Dieu, il ne parle pas des cieux, mais d'un nouvel ordre mondial. Lorsqu'il dit que le Royaume de Dieu est tout proche, il ne veut pas dire que le paradis va bientôt venir, mais que l'amour et la justice divins ont commencé à faire irruption dans le monde que nous connaissons.
Alors que veut-il dire quand il parle de ce roi qui vient pour juger les nations?
La première chose à garder à l’esprit est que Matthieu écrivait pour sa communauté composée de juifs et de non-juifs, donc les personnes de La Nation et des nations. Cette communauté voulait savoir qui était dedans et qui était dehors, et s'il fallait être juif pour suivre Jésus. Notre lecture de ce matin indique que les nations, ou «ces étrangers», seront les bienvenus dans le Règne de Dieu. Ici nous entendons un écho du texte de dimanche dernier. Qui parmi les jeunes femmes sages et folles seront reconnues par l'époux pour entrer dans le banquet? Celles qui avaient de l'huile pour leurs lampes sont reconnus par Dieu et accueillies, et l'histoire de cette semaine sur l'hospitalité envers les étrangers semble nous montrer quelle est cette huile qui éclaire suffisamment nos visages pour que nous soyons reconnus par Dieu et que nous connaissons Dieu dans notre ministère d'hospitalité et de guérison.
Donc ce roi, si différent, attend que «son peuple» soit un peuple différent, non pas quelque part dans l’avenir, mais maintenant et ici. La première étape de cet appel c’est d’être transformés dans notre façon d'accueillir l'étranger, dans notre action d'offrir l'hospitalité. La communauté de Dieu accueille l'étranger sans attendre qu'il se conforme aux normes de la communauté. Dire que vous êtes les bienvenus ici si vous êtes comme nous ou si vous êtes prêts à devenir comme nous, revient à dire que vous n'êtes pas les bienvenus. La communauté de Dieu accueille les étrangers avec leurs propres histoires, leurs propres expériences, leurs propres traditions, leurs propres chants. L’Église ne se contente pas d'accepter les différences mais d’inclure ces histoires, ces expériences, ces traditions et ces chants pour que la communauté soit transformée.
Mais si nous sommes honnêtes, ça ne fonctionne pas comme ça. Nos assemblées sont petites, nous nous trouvons à quelques-uns le dimanche matin et nous essayons de faire comme nos parents ont fait dans le passé sans avoir les moyens en hommes et femmes, en argent et en engagement. Et nous nous disons : «Il nous faut plus de monde pour augmenter nos finances». «Nous avons besoin de plus de personnes ici pour être Église». «Il faut plus de gens ici pour remplir nos cultes, financer notre action sociale et rendre l'endroit plus vivant». Et parce que nous nous disons cela entre nous, le monde nous entend dire d’une manière subtile: «Venez partager notre pauvreté».
Comme invitation de célébrer la vie offerte par Dieu en Jésus-Christ le slogan «Venez partager notre pauvreté» n’est pas du tout accrocheur.
Je pense que le vrai problème est ailleurs. Le problème avec ce slogan est que c’est un mensonge. Nous ne pouvons pas baser notre évangélisme et notre témoignage sur un mensonge. Si la Bonne Nouvelle est la vérité d’une vie renouvelée en Christ, notre message doit être 100% honnête.
Nous ne sommes pas pauvres et nous ne pouvons pas inviter les autres à partager quelque chose que nous n’avons pas. En tant que croyants nous ne pouvons pas comprendre ce que c’est de vivre l’Évangile avec des ressources limitées, parque nous n’avons pas des ressources limitées. Nous avons une ressource illimitée, c’est la présence active de Dieu dans nos vies et dans la vie de notre église.
Nous avons la promesse que Jésus est avec nous chaque fois que nous nous réunissons. Nous avons une tradition riche de communauté et de culte. Nous avons nos cultes, la célébration de la Cène, notre musique et les autres personnes. Nous avons nos histoires, nos familles et nos voisins. Nous avons l'amour. Nous avons tout ce qui compte.
Nous devons donc cesser de mentir au monde et à nous-mêmes en disant que nous avons besoin que d'autres nous rejoignent pour nous aider dans notre pauvreté. Nous devons dire la vérité. Et la vérité, c'est que nous sommes riches au-delà de toute imagination et que nous avons besoin que d'autres nous rejoignent parce que sans leur aide, nous ne pourrons jamais partager toute l'abondance que Dieu nous a donnée avec ce monde qui en a besoin.
Et la vérité est que plus il y a de gens qui se rejoignent à nous, plus nous aurons besoin d'aide, car chaque personne qui nous apporte de nouveaux trésors, de nouvelles histoires, un nouvel espoir, un nouvel amour, nous aurons besoin d'encore plus d'aide pour partager cette richesse.
Dans une rencontre avec les enfants de l’École Biblique il y a quelques années, j’ai posé la question, «Qu’est-ce que Dieu nous a donné». Bien entendu c’était les enfants bien élevés et ils ont répondu «tout». Et puis un garçon a jouté «tout et du gratin de pâtes». Et oui tout et gratin de pâtes - ça c’est une superbe description de la grâce de Dieu.
Donc nous allons vers la naissance de notre roi, aujourd’hui en gloire, demain dans une étable, mais c’est le même roi que nous trouvons sur la croix. Il est bien de savoir que ce roi si différent des autres nous appelle à être sa communauté si différente d’autres car nous sommes bénis de tous les dons de Dieu et du gratin de pâtes. Dans l’étranger, le pauvre, l’indigent nous rencontrons ce Dieu qui nous offre sa vie pour que nous puissions la partager avec nous-mêmes et avec le monde.
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EZEQUIEL - VALLE DE LOS HUESOS SECOS
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Ezékiel 25. 17.
Az igaz ember járta ösvényt mindkét oldalról szegélyezi az önző emberek igazságtalansága, és a gonoszok zsarnoksága.
Áldott legyen az, ki az irgalmasság és a jóakarat nevében átvezeti a gyöngéket a sötétség völgyén, mert ö valóban testvérének őrizője, és az elveszett gyermekek meglelője.
Én pedig lesújtok majd tereád hatalmas bosszúval és rettentő haraggal, és amazokra is, akik testvérereim ármányos elpusztítására törnek és majd megtudjátok, hogy az én nevem az Úr, amikor szörnyű bosszúm lesújt reátok!
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Ukrajna és Kazária
A ma Ukrajnának nevezett terület egykor a Kazár/Cazár Királyság szíve volt. Ez a királyság nagyrészt ismeretlen volt a lakosság számára egészen addig, amíg Arthur Koestler meg nem írt a történetéről 1976-os The Thirteenth Tribe című könyvében .
Koestler zsidó regényíró és történész volt, akit lenyűgözött saját, kazár származása.
https://en.wikipedia.org/wiki/Arthur_Koestler
A tizenharmadik törzsben (1976) Koestler olyan elméletet terjesztett elő, amely szerint az askenázi zsidók nem az ókori izraeliták leszármazottai, hanem a kazárok , a kaukázusi török nép , amely a 8. században áttért a judaizmusra, majd később nyugatra kényszerítették. Koestler azzal érvelt, hogy annak bizonyítása, hogy az askenázi zsidóknak nincs biológiai kapcsolatuk a bibliai zsidókkal, eltávolítaná az európai antiszemitizmus faji alapját .
Bár nézetét „elméletnek” nevezik, maga a The Jewish Encyclopedia is támogatja. A IV. kötet első része így kezdődik:
CHAZARS: Török származású nép, amelynek élete és története összefonódik az oroszországi zsidóság történetének legelejével. A chazárok királysága szilárdan megalakult Dél-Oroszország nagy részén, jóval azelőtt, hogy a varangiak megalapították az orosz monarchiát (855)…
Valószínűleg ekkoriban [7. században ] történt, hogy a chazárok chagánja és nagyjai, valamint nagyszámú pogány népe felvette a zsidó vallást.
A Jewish Encyclopedia a továbbiakban a chazárok József királyának Hasdai ibn Shaprutnak, a spanyolországi Cordobában lévő zsidó udvari orvosnak írt leveléből (i.sz. 960) idéz. Joseph Chazar származását nem a héber népre, hanem Chazarra, Togarma hetedik fiára vezeti vissza.
Togarma Askenáz testvére és Gómer fia, Jáfet fia ( 1Mózes 10:2 , 3 ). Maga Gómer – nem tévesztendő össze Hóseás Gómerével – Magóg, Mesek és Tubal testvére volt. Magával Togarmával együtt ezek azok a nevek, amelyek az Ezékiel 38. és 39. fejezetében szerepelnek, ahol azt találjuk, hogy megtámadják Izrael földjét ( Ezékiel 38:3 , 6 ).
A chazárok ma az askenazim néven ismert kelet-európai zsidókat alkotják, akiket Togarma testvéréről neveztek el. Ezékiel Izrael úgynevezett „orosz” inváziójáról szóló próféciája akkor teljesedett be, amikor az orosz zsidók bevándorlás útján meghódították Palesztinát.
Valójában a modern zsidók Júda, Edom és Kazár/Tógarma/Magóg kombinációi. A modern cionizmus valójában Ezékiel 38 , 39 beteljesülése.
Erről a történelemről írtam a Harc az születési jogért című könyv 15. fejezetében .
Történelmi szempontból a kazár királyság maga Oroszország előtt jött létre. Központja a mai Ukrajnának nevezett terület volt, de olyan szomszédos országokat is magában foglalt, mint Kazahsztán. Az oroszok végül meghódították a kazárokat, és bekebelezték földjüket Oroszországba. 1917-ben a kazárok megdöntötték Oroszországot és létrehozták a Szovjetuniót. Ez nem orosz forradalom volt, hanem zsidó forradalom Oroszországban. Ezért küldte a New York-i Lower East Side – a zsidó részleg – az első 256 komisszárt Oroszország irányítására, köztük Leon Bronstein rabbit, aki a Leon Trockij nevet vette fel.
A 70 éves hadifogság után a Szovjetunió elkezdett összeomlani és szétesni. A szocialista köztársaságok viszonylag függetlenek lettek, köztük Ukrajna is. Ezzel elérkeztünk a jelenlegi konfliktushoz, ahol Oroszország ismét megdönti a kazár erődítményt.
Ben Fulford elég hangosan kijelentette, hogy a jelenlegi Mélyállamot „a kazár maffia” irányítja. Fulford, mivel maga is zsidó, különbséget tesz a hagyományos judaizmus és a világzsidóság kazár-cionista része között. Ha a zsidóság faji vagy genealógiai kérdés, akkor könnyebben meg lehetne különböztetni a két csoportot. Ha azonban a zsidóság vallás kérdése, akkor ez magában a judaizmuson belüli felekezeti hovatartozás kérdése. A zsidók régóta vitatkoznak azon, hogyan határozzák meg a zsidót, és én nem kívánok ebbe a vitába belekeveredni.
A lényeg az, hogy Ukrajna az elmúlt években a Deep State központjává vált a pénzmosás, a bankügy, a gyermekkereskedelem és a korrupció sok más formájának területén. Világosnak tűnik, hogy a kazárok megpróbálták visszaállítani az eredeti Kazár Királyságot Ukrajnában. A Kazahsztán elfoglalására irányuló közelmúltbeli kísérlet, amely kudarcot vallott, valójában egy kísérlet volt a Mélyállam területének a Kazár Királyság eredeti határaira való kiterjesztésére. Oroszország közbelépett, és megakadályozta, hogy ez a puccs sikerrel járjon.
https://www.theglobeandmail.com/world/article-thousands-of-russian-troops-descend-on-kazakhstan-following-deadly/
A kazahsztáni puccskísérletet a jelenlegi ukrajnai háború előfutárának kell tekinteni. Tudnunk kell az Oroszország és Kazária közötti hosszú történelmi konfliktusról is. Putyin jól ismeri ezt a történelmet. Az orosz ortodox egyház tagjaként Putyinnak más indítéka is van. Kijev az orosz ortodox egyház szülőhelye a kijevi nagyherceg i.sz. 988-as megtérésével, ezért Kijevnek nagy vallási jelentősége van Putyin számára, aki a hit védelmezőjének tartja magát.
2014-ben az Egyesült Államok külügyminisztériuma sikeresen levezényelte a kijevi Maidan-lázadást, és lényegében saját használatra elfoglalta az országot. Hunter Biden helyet kapott a Burisma gáztársaság igazgatótanácsában, így havi 83 333 dollárt kaphat egy kidolgozott kifizetési rendszerben. Nancy Pelosi fia és Mitt Romney fia is fizetett pozíciót kapott. Ekkor kezdődött az igazi korrupció.
https://www.thegatewaypundit.com/2022/02/breaking-exclusive-bidens-ukrainian-blood-money-us-government-mainstream-media-hid-public/
Az Egyesült Államok kormánya ezután szorgalmazta, hogy Ukrajnát bevegye a NATO-ba. Néhány hónappal ezelőtt arról kezdtek beszélni, hogy nukleáris fegyvereket helyeznek el Ukrajnában – mindez Oroszország ellen irányult. Ez a fenyegetés elkerülhetetlenné tette, hogy Oroszország ugyanúgy reagáljon, mint az Egyesült Államok az 1960-as kubai rakétaválságra.
Nemzetbiztonsági szempontból senki sem akar nukleáris rakétákat a határain. Fő érdeklődésünk természetesen az, hogy hogyan tekintsük ezt bibliai és prófétai szempontból. Ezékiel 38. és 39. fejezete egy évszázaddal ezelőtt beteljesedett, és most látjuk a Góg-Magóg háború végét látjuk. A legtöbb keresztény próféciatanító, mivel nem ismeri a kazár tényezőt, még mindig Izrael jövőbeli orosz invázióját keresi. Ezért a próféciatanítók lehetetlennek találják, hogy bármi szépet mondjanak magáról Oroszországról. De sok prófécia született arról is, hogy Oroszország megmenti a világot. Kitől? Természetesen a Deep State-ből.
Érdekes, hogy az izraeli állam nem volt hajlandó elítélni Oroszország ukrajnai invázióját.
https://news.yahoo.com/u-protests-israels-refusal-back-221006922.html
Fulford ezt annak bizonyítékának tekinti, hogy maga Izrael nemzete felszabadult „a kazár maffia” alól. Természetesen az Egyesült Államok kormánya ezt árulásnak tartja. Az Oroszországot elítélő ENSZ-határozatnak mindenesetre esélye sem volt az elfogadásra, mert Oroszország azonnal megvétózta.
#Szerző – Dr. Stephen E. Jones Dr. Stephen Jones 2005 óta ír blogbejegyzéseket sokféle témában a bibliatanulmányozástól a világhírekig és 19#Ukrajna története: régiók identitás államisága szlávok szétvándorlása a 6–8. században kezdődött a Visztula és a Dnyeper középső folyása kö
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LE SIGNE DE CROIX
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Un rite idolâtre apparu dès de 2ème siècle, étayé par une interprétation "psychédélique" de trois versets :
Ezékiel 9:4 L’Eternel lui dit : Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent.
Apocalypse 7:3 (7-2) et il dit : Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu.
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Apocalypse 9:4 Il leur fut dit de ne point faire de mal à l’herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n’avaient pas le sceau de Dieu sur le front.
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(A l'origine le signe de croix se faisait avec le pouce sur le front seulement)
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...Et peut-être renforcé par la vision et la célèbre parole entendue par Constantin en 312 : Par ce signe tu vaincras
Et c'est justement au IVème que serait apparu le "grand signe de croix", tel qu'il se pratique aujourd'hui.
De 312 à 325 il n'y a qu'un pas et le concile de Nicée (en langage politique, on dirait le congrès fondateur du papisme!) s'est bien sûr empressé de mettre le rite au catalogue!
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...Rite que Luther n'avait pas renié et que l'œcuménisme tend à réintroduire dans un "protestantisme" qui n'a jamais vraiment répudié totalement le papisme...
... et des mythes et superstitions qui perdurent même dans nos milieux "évangéliques", avec le sectarisme et l'ostracisme y afférents.
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L'esprit humain est naturellement disposé à la superstition, à l'altération des vérité au profit croyances plus acceptables, (c'est-à-dire propres à exonérer des préceptes bibliques, à les déformer, les confondre...)
... et à se cramponner à ce que l'on a "toujours dit, toujours fait"... tout en y ajoutant de nouvelles hérésies plus extravagantes!!
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S. Girardot 19 IX 24
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◀ 19 AVRIL ▶ Les Trésors De La Foi
Car ainsi a dit le Seigneur, l'Éternel: Voici, je redemanderai mes brebis, et j'en ferai la revue. Ezékiel 34:11
Le chercheur par excellence
C'est ce qu'il fait déjà, quand ses élus sont encore semblables à des brebis errantes, ne connaissant ni le berger, ni le bercail. Avec quel art merveilleux il sait les trouver! Jésus montre autant de grandeur en cherchant ses brebis qu'en les sauvant. Alors même que beaucoup de ceux que le Père lui a donnés se sont rapprochés des portes de l'enfer jusqu'à les toucher, cependant le Seigneur, dans sa poursuite et sa recherche, finit par les atteindre et s'approche d'eux dans sa grâce. Il nous a bien trouvés: ayons bon espoir, dans nos prières, pour ceux qu'il a placé sur nos coeurs, car il saura bien les trouver aussi. Le Seigneur renouvelle encore ses instances quand une des brebis de son troupeau s'est échappée des pâturages de la vérité et de la sainteté. Elles peuvent tomber dans de graves erreurs, de tristes péchés, ou un fâcheux endurcissement. Mais Jésus s'en est rendu garant visà-vis du Père, et ne permettra pas qu'elles s'éloignent assez pour périr. Dans sa providence et sa grâce, il les poursuivra jusque dans les contrées étrangères ou les demeures de la misère, dans les profondeurs de l'obscurité ou les abîmes du désespoir. Il ne perdra aucun de ceux que le Père lui a donnés. C'est pour lui un point d'honneur de chercher et de sauver le troupeau entier, sans une seule exception. Quel appui que cette promesse si, à cette heure, je suis forcé de crier: "Je suis errant comme une brebis perdue." - Lire plus ici :
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Shabbat Matsoth
Cette semaine est un shabbat particulier, celui de la période des matsoth, pains sans levain.
Le cycle des lectures de parachah suivi est décalé.
Pensée
“ Mais vous, vous êtes une race choisie, une sacrificature royale, une nation sainte, un peuple acquis, pour que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière. ” (1 Pierre 2:9)
“ Je vous exhorte donc, frères, par les compassions d’Élohim, à présenter vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Élohim, ce qui est votre service intelligent. ” (Romains 12:1)
Nous vous proposons avec quelques lectures choisies de la Parole, un texte de réflexion sur “l'autel aux douze pierres”.
Lectures Chémoth / Exode 20:24-26 Yéhoshoua / Josué 4 Mélakhiym B / I Rois 18:20-40 Yéhezqhel / Ezékiel 37:1-28 Matthithyahou / Matthieu 3 et 10:1-4
Reconstruire l’autel aux douze pierres, une priorité pour l’entrée dans le Royaume
Yéshoua finalise l’œuvre de Yéhoshoua (Josué) et d’Éliyahou (Élie).
Yéhoshoua a érigé son premier autel de douze pierres au fond du lit du Jourdain, (Josué 4:9) face à la ville de Jéricho, pour y faire passer l’Arche d’Alliance et le peuple. L’emplacement est bien visible du haut du mont Nébo, Moshéh a pu l’identifier avant de fermer définitivement ses yeux sur cette vision.
A proximité immédiate, se jette le Yaboq, petit cours d’eau connu pour avoir accueilli la lutte de Yaaqov (Jacob) avec l’Ange.
C’est également sur les rives du Yaboq que grandit Éliyahou.
C’est aussi à proximité immédiate de ce détroit où le Jourdain se jette dans la mer morte, qu’Éliyahou fut enlevé devant Eliysha (Élisée).
C’est ce petit bout de territoire à l’histoire biblique très dense, que choisit Yohanan hamatbil (Jean le baptiste) pour immerger les repentants dans l’eau de purification en annonçant l’avènement du Royaume.
C’est cette même parcelle d’Éréts-Israël que choisit le Seigneur pour s’isoler durant quarante jours sur les hauteurs du mont de la quarantaine (face à Jéricho), après avoir croisé au Jourdain, Yohanan (Jean) le prophète, celui de qui il est précisé : « il est Éliyahou qui est destiné à venir ».
A l’endroit même (ou quasiment) où Yéhoshoua / Josué construisit l’autel de douze pierres qui fut immergé, caché par les eaux du Jourdain, fut révélé au monde Yéshoua, le Fils.
Comment ne pas voir dans cette proximité géographique plus qu’une coïncidence, mais une volonté d’attirer l’attention et de signifier autre chose de plus profond ?
Ainsi :
Si Yéhoshoua/Josué a inauguré à cet endroit l’entrée dans le royaume d’Israël, Yéshoua y a inauguré l’entrée dans le Royaume messianique.
Si Yéhoshoua a caché pour un temps l’autel aux douze pierres au fond du Jourdain, le Fils l’a révélé au monde comme seul « lieu » de culte authentique : ce « lieu authentique », c’est Lui.
Souvenons-nous que l’autel de Yéhoshoua fut érigé à l’endroit où les sacrificateurs portaient l’Arche et la Torah du Élohim vivant. Définitivement, cet endroit était sanctifié.
N’était-ce pas la véritable mission de Jean « l’immergeur » Yohanan hamatbil : celui qui révèle au monde où était immergé l’Autel de Élohim ?
Jean leur répondit :
“Moi, je baptise dans l'eau. Au milieu de vous se tient quelqu'un que vous ne connaissez pas, Et moi, je ne le connaissais pas ; mais c'est pour qu'il fût manifesté à Israël que je suis venu baptisant dans l'eau.“
Le « corps physique » de l’Adon Yéshoua qui ressort des eaux du Jourdain accompagné d’une sentence divine sans ambiguïté :
« celui-ci est mon Fils en qui j’ai mis toute mon affection… »
est donc cette image régénérée de l’autel immergé de Yéhoshoua.
Cet autel de douze pierres était érigé à l’endroit même où s’arrêta l’Arche contenant la Torah. N’est-il pas alors remarquable de constater que la Torah vivante revient sur les lieux de ce même autel caché pour le régénérer ?
Car, ne l’oublions pas, il faut bien qu’il y ait un autel pour qu’il y ait un sacrifice.
Fait étonnant : après cet épisode de l’immersion, que fait Yéshoua (Jésus) ? A l’instar de Yéhoshoua (Josué), il érige un autre autel de même nature que celui du Jourdain. Le Seigneur réunira en effet les douze premiers disciples en prenant soin de « renommer » le premier d’entre eux, Képhas, c'est-à-dire « pierre » !
Comment ce second autel de pierres vivantes pouvait-il être de même nature que celui qui venait d’être régénéré sur le site du Jourdain ?
« Prenez, ceci est mon corps… en mémoire de moi chaque fois que.. » : le principe même du culte proposé par le Fils, consiste à ériger des autels-mémorial pour participer à sa nature et devenir comme Lui : Fils du Père.
En se construisant un « corps » de douze pierres vivantes, - mémorial de Sa propre nature -, l’Adon Yéshoua suit l’exemple de Yéhoshoua qui bâtit à Guilgal un autel de douze pierres de même nature que l’autel immergé dans le Jourdain pour y faire résider l’Arche d’Alliance.
Sur ces pierres d’autel, furent gravées les paroles de la Torah.
Ces pierres brutes non taillées par le fer – c'est-à-dire par la main d’un autre homme -, provenaient du lit du Jourdain : elles étaient « propres et saines ».
Les pierres vivantes non façonnées par d’autres philosophies d’hommes, devront de même veiller à s’immerger dans des eaux identiques mais comme cela ne sera pas suffisant, l’Adon a prévenu qu’il faudra encore « leur laver les pieds ».
N’oublions pas la principale caractéristique de ces autels-mémorial : douze hommes, douze pierres… à chaque homme, sa pierre, à chaque pierre, un homme.
Ces pierres – donc ces hommes – sont de même nature et les paroles de la Torah restent gravées sur les cœurs de chair quand ils remplacent avantageusement les cœurs de pierres. (Selon Ezéchiel 11:19)
Le message de Yéhoshoua, d’Éliyahou et de Yéshoua est simple : il nous faut d’abord reconstruire l’autel aux douze pierres avant d’espérer entrapercevoir l’avènement du Royaume.
L’autel de Yéhoshoua / Éphraïm – le cadet - ne pouvait être remplacé par l’autel de Réouven – l’aîné -. L’autel d’Éliyahou intégrait celui de Yéhoudah – pourtant absent et en guerre - et ne se substituait pas à celui de Lévy.
L’autel vivant de Yéshoua rappelle l’exigence de cette unité sacerdotale nécessaire à la maison de Jacob et ne saurait accepter en son sein, des pierres animées par un esprit d’impatience (celui de Juda l’Iscariote, pierre défectueuse et remplacée).
L’autel vivant de Yéshoua ne peut de même accepter des pierres taillées par le fer – Shaoul élevé aux pieds de Gamaliel – et exige de ces pierres qu’elles renoncent à elles-mêmes, au point de regarder comme de la boue le fer qui les a taillées.
L’autel-mémorial que chaque croyant en Yéshoua doit ambitionner de rejoindre, n’est pas compatible avec l’action politique (Juda l’Iscariot), ni avec la tradition des Pères (Shaoul).
HaKohen haGadol, le Grand Sacrificateur, aux douze pierres (Exode 28)
Une autre figure sacerdotale est intimement liée aux douze pierres de l’autel : le grand sacrificateur.
Par décret divin, Aharon et sa descendance doivent porter sur le cœur le pectoral du jugement lorsqu’ils s’approchent de l’Adonaï YHWH : douze pierres selon le nombre des tribus de la maison de Jacob.
L’autel de Yéhoshoua renvoie donc sans ambiguïté au personnage central qu’est le haKohen haGadol (grand Sacrificateur) dans le sacerdoce de la première Alliance.
Dénaturer l’autel en le construisant de pierres étrangères (de nature spirituelle différente et non compatible) ou en omettant sciemment d’y greffer une pierre authentique, revient alors à « déconnecter » l’autel de l’officiant principal : cet équilibre harmonieux rompu, le risque est grand de donner naissance à un culte illégitime et non agréé.
Tel fut sans aucun doute le message du sacrificateur Piynéhas, petit-fils d’Aharon, à ceux de Réouven lorsqu’ils érigèrent un autel concurrent à celui de Yéhoshoua. Considérant le pectoral du haKohen haGadol, ceux de Réouven, Gad et Ménashéh, admirent que leur autel ne pouvait en aucun cas devenir un lieu de culte, car déconnecté du principal acteur.
Appliquons maintenant cette considération au principal officiant de l’Alliance renouvelée : l’Adon Yéshoua qui a endossé définitivement tous les habits du haKohen haGadol, ne peut être déconnecté de l’autel aux douze pierres vivantes qu’Il a lui-même érigé.
Construire un autre autel, revient à déconsidérer le Grand Sacrificateur en titre et à ne plus être au bénéfice de son intercession. En effet, seule la reconstruction de l’autel aux douze pierres, permit à Éliyahou de circonscrire efficacement le feu divin.
Même dans la division et la séparation, les prophètes d’Élohim doivent veiller à ne pas prêcher d’autres autels que celui de la maison de Jacob réunie.
Les autels partiellement reconstruits ou sciemment laissés en friche au bénéfice d’autres constructions religieuses, ne pourront pas arrêter la colère divine à l’heure du jour redoutable : en effet, notre Kohen haGadol ne pourra pas intervenir sur un autel qui ne serait pas de même nature que celui qu’Il porte devant le Père.
Il nous faut donc veiller à ne pas convier notre Kohen haGadol devant un autel qui soit celui de Pierre ou celui de Paul, celui de Réouven ou celui de Yéhoudah, etc… Il nous faut veiller à nous inscrire dans l’œuvre de reconstruction de l’autel des douze pierres initialisée par le Seigneur, conforme en tous points à celui de Yéhoshoua, reconstruit par Éliyahou et révélé par Yéshoua.
“ J’entends par là que chacun de vous dit : « Moi, j’appartiens à Paul ! » — « Et moi, à Apollos ! » — « Et moi, à Képhas ! » — « Et moi, au Mashiah ! » Le Mashiah est-il divisé ? Est-ce Paul qui a été crucifié pour vous, ou bien est-ce pour le nom de Paul que vous avez reçu le baptême ? ” (1 Corinthiens 1:12-13)
Où se situe et comment reconstruire cet autel ? Il est déjà présent en chacun des croyants en Yéshoua qui gardent les commandements du Père, si ces derniers prennent garde de ne pas bâtir d’autels conformes à leurs propres aspirations et traditions, mais non conformes aux desseins divins : des autels semblables à celui que bâtit Qaïn.
Vivre juif et/ou chrétien : en finir avec la crise d’identité
Suite à ces réflexions relatives à l’édification de l’autel aux douze pierres, le lecteur aura compris que la question ci-dessus devient sans objet : comment s’obstiner à ne vivre que selon une des composantes de l’autel et s’interdire de vivre selon la plénitude des douze pierres réunies ?
. Dans les communautés messianiques, d’obédiences pagano-chrétiennes ou juives, certains se demandent encore s’ils doivent vivre leur Foi en Yéshoua selon un rite judaïsant ou selon les traditions occidentales des églises « dites du dimanche ».
Cette crise d’identité n’a pas droit de cité dans la Jérusalem d’en haut, la Ville aux douze fondements et aux douze portes : en effet, dans la vision du livre de la Révélation de Yéshoua (Apocalypse), les douze pierres brutes de l’autel de Yéhoshoua-Éliyahou sont devenues des perles et des points d’entrée à la Ville pour toutes les nations.
Ces perles sont elles-mêmes enchâssées dans des murailles soutenues par les douze « pierres-apôtres », représentées par les douze pierres du pectoral du haKohen haGadol : il y a fusion complète du « génétique » et du « spirituel ».
L’autel primordial de Yéhoshoua s’est transcendé en autel de pierres vivantes de Yéshoua. L’unité ne s’exprime dès lors que sous la bannière du Mashiah et sous aucun autre titre, car des deux IL en a fait UN.
Dès lors, s’évertuer à vivre selon le rite de Yéhoudah, de Lévy ou du Réouven, ou s’obstiner à vivre selon le rite de « Pierre le romain malgré lui », relève du contre-sens prophétique et d’une impasse historique, c’est-à-dire une impasse en ce qui concerne la révélation de toute la Parole.
La Ville du Roi comporte trois portes à chaque points cardinaux : autant de possibilités pour ceux du nord, de l’est, de l’ouest ou du sud, de rejoindre selon leurs propres sensibilités, le culte authentique de l’Adonaï YHWH.
Demander « à ceux du sud » de rentrer par la porte de « ceux du nord » et vice et versa, génère un chassé croisé inutile où beaucoup se perdent en cours de route : cette image illustre la crise d’identité que peuvent vivre – et parfois mal vivre – des croyants des nations qui jouent au juif et des juifs qui s’efforcent d’oublier qu’ils sont juifs.
De la même façon, expliquer à « ceux de l’est » que leur porte est murée et qu’il n’y a plus de point d’entrée pour eux de ce côté ci de la muraille, revient à les expulser de la ville et de l’autel.
Quant à « ceux de l’ouest », s’ils persistent à enseigner que la seule porte d’entrée à la Ville est celle dont ils ont la garde exclusive, ils risquent de s’apercevoir qu’ils gardent l’entrée d’une ville qui n’est pas celle du Roi.
A tous ceux qui tiennent de tels discours dénués de sens prophétique, nous devons rappeler que seule la reconstruction de l’autel aux douze pierres, qui est l’unité parfaite en Yéshoua, nous permettra d’apercevoir l’avènement du Royaume.
. A ceux des amis d’Israël qui enseignent dans les églises du dimanche « cesser de judaïser et fuyez le soi-disant « retour sous la loi » de l’Israël de l’ancienne Alliance…», nous devons dire fermement : « vous expulsez de l’autel de la maison de Jacob, la pierre de ceux de Yéhoudah-Benyamin et de ceux de Lévy. Votre autel est inachevé et non authentique ».
. A ceux qui enseignent dans les synagogues « quittez les églises et faites-vous circoncire », nous devons dire : « vous expulsez de l’autel de la maison de Yaaqov, la pierre de ceux d’Éphraïm et Ménashéh, les égyptiens-étrangers greffés sur les genoux du patriarche. Vous avez reconstruit en votre qualité d’aînés, l’autel de Réouven.»
. D’autres encore, enseigneront la suprématie du rite ashkénaze sur la tradition sépharade. Certains se souviendront des samaritains et des qaraïtes, alors que d’autres s’enorgueilliront de leur arbre généalogique pur et kasher.
Toutes ces tendances et orientations cultuelles, ne sont pas propices à reconstruire l’autel aux douze pierres. Pire, en adoptant une telle attitude sectaire, nous « fermons la porte d’entrée naturelle » de ceux de la tribu d’en face, en leur interdisant ainsi d’approcher de la Ville du grand Roi.
Notre responsabilité est énorme, ce message doit souffler aujourd’hui très fort dans le Corps du Mashiah, lequel est riche de douze fondations et d’autant de portes d’entrée.
Que chacun soit trouvé à sa place sur sa muraille et que tous veillent à garder leurs propres portes : telles sont les conditions de la sécurité de la Ville face aux assauts de l’adversaire.
Dans cette perspective messianique, il n’y a plus ni juif, ni grec (ni juif, ni chrétien !).
Tous sont disciples de Yéshoua et gardent les commandements d’Élohim. Si tant est qu’ils observent les commandements !
Il subsistera par contre, des tendances et des sensibilités, qui caractérisent la richesse et l’authenticité de cet autel aux douze pierres vivantes.
Autel qui ne peut admettre toutefois ce qui est étranger, profane, ajouté ou retranché à la Parole d’Élohim.
Personne ne peut véritablement s’en approcher s’il n’est pas débarrassé de ses dogmes hérités des déviances humaines.
Vivre juif ou chrétien : une question qui n’en est plus une et qui n’est plus une pierre d’achoppement pour ceux qui ont appréhendé leur véritable identité.
Car tous sont appelés à communier au même autel : celui de la projection prophétique de Yéhoshoua, d’Éliyahou et plus encore certainement à celui, finalisé et parfait de Yéshoua… sans ajout, ni retrait.
Réfléchissons-y ! Chaque individu est une pierre précieuse, harmonieuse, qui trouve sa place prévue d’avance pour élaborer le Temple de son Corps.
Soyez bénis.
Shabbat shalom vé shavoua tov
Source : Juda & Ephraïm
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I wanna tell you be I don’t know how
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On est d’accord pour dire que c’est la faute de Thalia hein :’)
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