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rp-kat · 5 years ago

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Carcass

1992

Sadistic Zine #2

#Carcass #grindcore #death metal #Jeff Walker #El Cynico #Bill Steer #Michael Amott #Ken Owen #Sadistic Zine

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twitterades · 5 years ago

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zerounotvadri · 8 years ago

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BRUJERÍA REGRESA A MÉXICO CON CONCIERTO EN LA CARPA ASTROS

○EN CAMINO A SUS TRES DÉCADAS DE EXISTENCIA, EL GRUPO PRESENTARÁ LO MEJOR DE SU TRAYECTORIA ○CON ESTE SHOW, SE DESPIDEN DE MÉXICO Y DE SU GIRA “FUCK DONALD TRUMP”

Se presenta el día Viernes 24 de Noviembre a las 21:00 horas *Boletos a la venta en el Sistema ETicket

Tras presentarse de forma exitosa en el Vive Latino 2017 luego de ser uno de los grupos más vitoreados del festival, Brujería llega con todo para despedirse de México y de su gira “Fuck Donald Trump” este Viernes 24 de Noviembre a partir de las nueve de la noche, para descargar todos los éxitos que los han consagrado como una de las bandas más poderosas de la escena Death Metal a nivel mundial. Brujería además vuelven con un nuevo larga duración estrenado apenas el año pasado titulado “Pocho Aztlán”, el cuarto de su carrera y 16 años después del último llamado “Brujerizmo”. Pocho Aztlan ha sido grabado durante varios años en estudios alrededor del mundo, contando con Russ Russell (Napalm Death, The Exploited) para su mezcla.

“Pocho” es el nombre despectivo que se les da a los hijos de mexicanos que nacen en EE.UU; Aztlán, es un nombre que proviene de la mitología de las antiguas tribus mexicanas. Se dice que los aztlatecas (no aztecas), provienen de este lugar, que es una suerte de paraíso. Así es que, aunque suene curioso, este disco es conceptual; a través de él se trata la temática de la migración ilegal, la xenofobia que se vive actualmente (no solo hacia los pueblos latinos) y el narcotráfico. Básicamente, los temas que ha tratado Brujería desde su debut con el disco “Matando Güeros” en 1994. En “Poncho Aztlan” Brujería mantiene la propuesta que lo ha hecho famoso, con un sonido más pesado que el de “Brujerizmo”, con más velocidad y canciones que se acercan al death metal, pero en general se mantiene ese sonido potente y pegadizo en el que se recurre a repetir riffs graves muy acoplados con el doble bombo.

Por primera vez -y aunque siempre fue un secreto a voces-, Brujería da a conocer oficialmente el nombre de sus integrantes: “Juan Brujo” (John Lepe), “Fantasma” (Pat Hoed), “El Cynico” (Jeffrey Walker), Hongo Jr. (Nick Barker), “Pinche Peach”, “Pititis” (Gaby Dominguez), “A Kuerno” (Chris Paccou) y el Sangrón. Brujería es una banda mexicana de grindcore y death metal formada en Estados Unidos en 1989 y que históricamente ha estado conformada por miembros de otras bandas destacadas como Dino Cazares (de Fear Factory y actualmente también en Divine Heresy y Asesino), Billy Gould (de Faith No More), Raymond Herrera (ex Fear Factory, actualmente en Arkaea), Shane Embury (de Napalm Death) y Jello Biafra (ex Dead Kennedys). La formación del grupo ha cambiado mucho desde su origen, pero siempre con nombres ilustres en la escena del metal.

Tras lanzar discos históricos como “Matando Gueros”, “Raza Odiada” y “Brujerizmo”, y luego de dieciséis años sin sacar un álbum de estudio manteniéndose vigentes solamente con los sencillos "No se aceptan imitaciones" y "Debilador", bajo el sello Nuclear Blast Records, Brujería finalmente saca el álbum "Pocho Aztlán", lanzado apenas el 16 de septiembre de 2016. Dicho álbum desmiente por completo la separación definitiva de la banda y asímismo le da al grupo una estabilidad entre los miembros del mismo. La crítica ha recibido con total agrado "Pocho Aztlán" debido a que el sonido es más fresco y con una producción más ordenada. También fue del agrado del público el tema "Satongo" que sigue con la temática de criaturas sexualmente violentas como el "Mecosario" (Brujerizmo - 2000).

El álbum es el primero sin los elementos Dino Cázares y El Güero Sin Fe, siendo el primero al que le dedican "No Se Aceptan Imitaciones", esto en respuesta a los constantes ataques del grupo "Asesino", banda que Cázares formó (que en un principio Juan Brujo apoyó). Así pues, también incluyeron el single "Debilador" (2008) que surge de la crítica al género Reggaetón. "Pocho Aztlán" cuenta con un cover de los Dead Kennedys "California Uber Alles" titulada "California Uber Aztlan". Siendo el segundo cover de la banda después de "Marijuana" (La Macarena).

Brujería se presenta el próximo Viernes 24 de Noviembre en la Carpa Astros a partir de las nueve de la noche con todos sus éxitos. Boletos a la venta en el Sistema ETicket y en tienda Primario.

#Brujeria #thrash metal #detah metal #grindcore #matando gueros #Carpa Astros #WILD SIDE PRESS #ROCK SHOW ENTERTAINMENT #metal #macarena #demoniaco #raza odiad

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reseau-actu · 6 years ago

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L'Arabie saoudite et les Émirats conditionnent leurs aides à la reconstruction de la Syrie au départ des Iraniens.

Tirant la leçon de «la nouvelle réalité» en Syrie, l'Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis, qui finançaient il n'y a pas si longtemps encore les rebelles opposés à Bachar el-Assad, sont prêts désormais à le maintenir au pouvoir, mais à condition qu'il rompe avec son allié chiite iranien, l'ennemi juré des monarchies sunnites, de Riyad et d'Abu Dhabi, en particulier.

«De nombreux gouvernements examinent quel est le bon équilibre pour s'adapter à cette nouvelle réalité», confie un expert arabe du Golfe. «Le régime syrien a gagné la guerre», ajoute-t-il. «Maintenant, via son allié russe, il veut nous convaincre de normaliser, sans contrepartie, nos relations. Nous devons le faire, mais pas sans contrepartie, on doit maintenir un certain niveau de pression sur Assad.»

Le Hezbollah et l'Iran ont apporté à Assad une aide en hommes qui, aux côtés de l'appui aérien russe, lui a évité d'être renversé

Fin août, le député libanais Nawaf al-Moussawi, élu du mouvement chiite Hezbollah, allié de Damas, déclarait sur la chaîne de télévision al-Mayadeen qu'un émissaire saoudien avait été dépêché auprès d'el-Assad porteur du message selon lequel ce dernier «peut rester au pouvoir à vie, sans qu'il soit obligé de faire des réformes politiques et constitutionnelles». L'Arabie, selon Nawaf al-Moussawi, «s'engage à reconstruire la Syrie, en contrepartie, le président Assad devrait rompre définitivement ses relations avec le Hezbollah et l'Iran». Selon le député libanais, ce deal daterait d'il y a trois mois, et Assad aurait refusé la proposition.

Engagés dans la guerre en Syrie à partir du début de l'année 2013, le Hezbollah et l'Iran ont apporté à Assad une aide en hommes qui, aux côtés de l'appui aérien russe, lui a évité d'être renversé. Pour l'Arabie saoudite, la révolte syrienne lancée en 2011 était l'occasion d'enfin «casser» l'axe Damas-Téhéran, vieux de plus de trente ans, et, si possible, de porter au pouvoir un régime sunnite, proche des vues de Riyad, qui s'est toujours vu comme le défenseur des sunnites du Moyen-Orient. Mais, analyse un ancien ambassadeur français en Syrie et en Arabie, «bien avant cette révolte, Riyad estimait que le problème en Syrie, ce n'était pas Assad, même si on ne l'aimait guère, mais son alliance avec l'Iran chiite».

Le poids de Moscou

Après avoir parrainé le haut-conseil des négociations, qui regroupe des opposants à Assad, «l'Arabie a épousé à partir de la fin de l'année dernière l'approche cynico-réaliste», avoue un diplomate européen à Riyad. Celle-ci consiste à reconnaître qu'Assad - malgré ses crimes et grâce à son parrain russe avec lequel l'Arabie est en bons termes - a défait ses ennemis.

Dans le Golfe, les alliés bahreïniens et émiriens de l'Arabie sont sur la même longueur d'onde. Les services de renseignements des Émirats n'ont jamais rompu les relations avec leurs homologues syriens. Abu Dhabi ne cache pas que l'exclusion de la Syrie de la Ligue arabe au début de la révolte a été une «grosse erreur», dans la mesure où elle a poussé Damas dans les bras de l'Iran. Quant au sultanat d'Oman, il n'a jamais rompu ses relations diplomatiques avec la Syrie ; le Qatar, lui, a mis en sourdine son hostilité envers Assad, et le Koweït est toujours resté discret. En signe de bonne volonté, certains pays du Golfe seraient prêts à engager des discussions en vue de rouvrir les liaisons aériennes avec Damas.

«L'Arabie a épousé à partir de la fin de l'année dernière l'approche cynico-réaliste»

Dans la mesure où Assad ne rompra pas «définitivement» avec l'Iran, il est toutefois difficile d'évaluer jusqu'où peut aller cette ébauche de rapprochement entre le Golfe et la Syrie, testée déjà en juin 2015 lors d'une rencontre à Riyad entre Mohammed Ben Salman, le fils du roi, et Ali Mamlouk, le chef de la galaxie sécuritaire syrienne, en présence d'un officier des renseignements russe. Tout dépendra de ce que Moscou pourra arracher de son allié syrien. «Mais la Russie ne veut pas être en confrontation avec l'Iran sur la Syrie», regrette, à ce sujet, l'expert arabe du Golfe. Pourtant, ajoute-t-il, «le régime syrien doit comprendre qu'il a besoin d'alliés dans le monde arabe, il devrait donc s'écarter de l'Iran et du Hezbollah», comme le lui demandent également Israël et les États-Unis. D'autant que ce n'est pas la Russie qui pourra financer la reconstruction d'un pays, dévasté par sept années d'une guerre qui a causé la mort de 500.000 personnes. Selon certaines sources, un groupe d'officiels américains, proches des milieux sécuritaires, aurait également fait «le chemin de Damas», ces derniers mois.

Ce repositionnement des pays du Golfe s'inscrit dans un mouvement plus large au Moyen-Orient. La Jordanie, voisine de la Syrie, fait du retour des réfugiés sa priorité et s'accommode, elle aussi, du maintien d'Assad au pouvoir. Quant à l'Égypte, autre allié des monarchies du Golfe, «elle est prête à aller vite avec Damas», précise l'expert. Après avoir profité de l'élection de Donald Trump pour accentuer la pression sur l'Iran, Saoudiens et Émiriens semblent donc prêts à abandonner les rebelles syriens, dans l'espoir d'affaiblir, encore plus, leur seul et vrai ennemi perse.

Erdogan et Poutine s'opposent sur Idlib

Les présidents turc, Recep Tayyip Erdogan, et russe, Vladimir Poutine, ont affiché leur désaccord vendredi sur un cessez-le-feu dans la province syrienne d'Idlib, ultime bastion insurgé menacé par une offensive du régime, scène rare illustrant leurs divergences sur la Syrie malgré une étroite coopération.

La joute verbale s'est déroulée lors d'un sommet à Téhéran entre Erdogan, Poutine et le président iranien, Hassan Rohani, dont le principal objet était le sort d'Idlib, province du nord-ouest de la Syrie frontalière de la Turquie que les forces du régime veulent reprendre aux rebelles et aux djihadistes.

Si la Russie et l'Iran appuient le régime de Bachar el-Assad, Ankara s'oppose à une offensive de grande ampleur qui risquerait de provoquer un exode vers la Turquie où quelque trois millions de Syriens ont déjà trouvé refuge.

«Si l'expression “cessez-le-feu” figurait ici, alors cette déclaration en serait d'autant plus pertinente», a souligné Erdogan lors des débats avec ses homologues russe et iranien sur la rédaction du communiqué final du sommet, retransmis en direct à la télévision.