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La Cité de la peur, une comédie familiale (1994) réal. Alain Berbérian
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La cité de la peur (1994)
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Manu Payet : “ne pas avoir de plan est un plan qui marche pas trop mal”
Entretien paru dans le numéro 2 de la revue Raymond.
Manu Payet a 47 ans, et comme nous, il semble avoir du mal à le croire. Sur scène, dans Emmanuel 2, il poursuit le récit de sa vie qui passe, qui file même. Bercées d’une douce mélancolie (qu’il revendique au micro de Raymond), ses blagues sont celles, désormais, d’un daron fier et heureux de l’être, mais qui délicatement, sait qu’il n’est plus tout à fait un jeune premier.
Manu Payet, sur scène, est déroutant. Non parce qu’il se plaît à nous perdre, non parce que son humour n’est pas accessible à toutes et à tous, mais parce qu’en le regardant, en l’écoutant, quelque chose nous ramène toujours à une époque révolue. Il y a, évidemment, son propos : non, tout n’était pas mieux avant, mais quand même, avouez que les choses étaient parfois plus simples, plus légères. Mais il y a ce physique, cette attitude, aussi. Manu Payet, on a depuis toujours envie d’être son pote, c’est ainsi. Quand il était débutant à la radio, quand il prenait la lumière dans Radiostars, quand il montait pour la première fois sur scène. Manu Payet a toujours été cool. Il est, désormais, également émouvant Sans jamais en rajouter, sans en faire des tonnes, en respectant son public ainsi que sa vie privée, en faisant, tout simplement, preuve de pudeur, l’humoriste se livre pourtant comme peu le font : simplement, sans artifice, sans vantardise, sans excès. Peut-être a-t-il toujours été touchant, sensible. Peut-être souhaitions nous tout simplement ne pas le voir ainsi. C’est là aussi l’une de ses immenses qualités : Manu Payet parle de lui, mais il parle aussi de nous.
On a un point commun (enfin, deux, une certaine passion pour Goldman, mais on en parlera plus tard) : mon nom de famille est Prat. Et on ne prononce pas le T, normalement. Mais tout le monde le fait depuis des années, et je ne dis rien. Mais quand je me suis marié et que la maire a dit “Prat” de la mauvaise façon, je me suis demandé si cela n’allait pas rendre mes parents un peu tristes. Tu as vécu la même expérience je crois.
Manu Payet : Moi, on dit le T normalement. On vit l’inverse (sourires, ndlr). Et oui, ça a créé énormément de choses, moins drôles que ce que j’avais envisagé au début. Je me souviens très bien du premier jour où en métropole, on m’a appelé Payet, sans le T, et ma mère m’a dit “ici on dit comme ça”. J’avais six ans. C’était bizarre, car à la Réunion, Payet est un nom extrêmement répandu. Puis, j’ai eu la chance, par rapport à plein d’autres Réunionnais, comme des camarades de classe, de venir souvent. J’ai en fait assimilé très jeune qu’en venant en métropole, on ne disait plus le T, et ce n'était pas grave. Je n’ai jamais eu cette idée de reprendre les gens. Mais quelques années plus tard, en 2007, avec mon premier spectacle, je suis devenu quelqu’un de publique. Et je n’étais plus à la radio avec un pseudo de radio, c’était moi, seul. Et je me souviens très bien de ce jour où Dominique Farrugia m’a demandé : “on écrit Manu Payet sur l’affiche ?”. Bah oui, c’est mon nom ! Mais il m’a demandé si on ne mettait pas une petite apostrophe après le T par exemple. Moi je ne comprenais pas trop. Puis j’ai commencé à faire quelques émissions, et on m’appelait Payet, sans le T, mais encore une fois, c’était normal pour moi. Jusqu’au jour où, dans un quotidien réunionnais, au courrier des lecteurs, a été publiée une lettre. Gratinée, mais très bien écrite. On me reprochait de ne pas relever qu’on faisait une faute en prononçant mon nom. Et la lettre se terminait ainsi : “sachez en tout cas qu’il vaut mieux finir en paillettes qu’empaillé”.
Joli !
MP : Franchement, joli. Mais ma mère, qui elle non plus n’était pas choquée par cette prononciation différente en métropole, et bien ça l’a chamboulée. Au téléphone, je n’arrivais plus à l’arrêter. Bon, ce n’était pas très grave. Je ne suis pas Réunionnais juste parce que je porte un nom répandu là-bas. Et surtout, avant d’être un nom courant là-bas, c’est avant tout le mien. Je préfère expliquer autrement, en parler, susciter la curiosité sur notre île, et faire des vannes, plutôt que me battre toute la journée. Et puis, au fil des années… Tu vois, tu as soulevé une vraie question (rires, ndlr). Donc, au fil des années… Ce qui n’a jamais été important pour moi… Je me dis que peut-être, j’aurai pu y réfléchir à deux fois. Car quand je rentre à la Réunion, et que des copains me vannent là-dessus, pas méchamment certes, bah ça m’énerve un peu. Une chaîne de télé m’en parle à chaque fois. Même des gens qui vivent là-bas mais qui viennent du Gers me les brisent parfois avec ça (rires, ndlr). Je me suis dit que par rapport aux vrais réunionnais qui s'appellent par exemple Rivière, et dont on prononce le nom correctement, j’aurais peut-être dû être plus clair, car cette méprise n’arrive vraiment qu’aux Payet. Mais bon… Je reçois plein de courriers de gens qui s’appellent Payet, qui vivent ici, et qui me disent qu’ils ont lâché l’affaire. Parce que se battre contre ça, c’est rappeler à chaque fois d’où tu viens, et tu finis par n’être que tes origines. Et quand j’ai débuté, on me ramenait toujours à cela. Un jour, après une interview, j’ai posé la question : “quand vous recevez Cédric Klapisch, vous ne lui cassez pas les couilles avec la Normandie pendant deux heures ?”. Alors que moi, j’arrive en studio, on me passe une chanson créole.
Ton dernier spectacle parle du temps qui passe, de la vieillesse du corps mais aussi de celle que l’on ressent. C’est un spectacle mélancolique, ou c’est toi qui l’es devenu avec la paternité ?
MP : Oui. Absolument. Je pense que je suis “drôle” (il met lui-même les guillemets, ndlr) ou en tout cas que j’essaye de l’être, parce que je suis mélancolique. C’est aussi une façon de ne pas l’être tout le temps, que de rire. Le rire est aussi un hommage à la mélancolie, ceci dit. Quelqu’un qui, comme moi, est mélancolique depuis tout jeune, trouve le mot beau, et fait en permanence le lien entre ses meilleures années et aujourd’hui.
Est-ce que ton écriture a évolué au fil des années ? Je veux parler de la méthodologie.
MP : C’est plus libre aujourd’hui. J’ai moins de filtres, moins de problèmes à dire qui je suis, moins de complexes, et je ne pense pas prendre la place de qui que ce soit en faisant cela. Des complexes que je ressentais au début. C’est le complexe du clown. Le clown est maquillé, il a un costume… Quand il monte sur scène, il se sent un peu en danger, en vérité. Un humoriste, c’est un clown, et j’adore en être un. J’ai vu un clown au cirque Pinder quand j’étais gamin, il s’appelait Boboss. Il énervait ma mère, mais moi j’adorais. Faire le clown, ça énerve les parents, et j’aimais bien que ça l'énerve, évidemment. Et donc pardon, l’écriture… Maintenant, je vais plus vite, je m’ampoule peut-être un peu moins le cerveau avec des tournures.
Tu es aussi très pudique, sur scène, même quand tu parles de toi.
MP : Je n’aime pas l’impudeur. Certains spectacles auxquels j’assiste, c’est très personnel, mais je peux les trouver impudiques. J’ai ce paradoxe de monter sur scène - impudique, déjà, un peu - mais de mettre un point d’honneur à dire les choses sans choquer.
L’humoriste Manu Payet partage-t-il les mêmes doutes que l’animateur radio, ou le réalisateur, ou l’acteur ?
MP : Ce sont les mêmes, et cela se travaille différemment. La radio, il est tôt le matin, tu es en direct, tous les jours, et tu dois déconner malgré tout, en pensant quand même aux enfants qui écoutent dans la voiture. Au cinéma, tu dois jouer, faire don de toi, t’imposer sans agresser, mettre ton ego de côté pendant deux secondes, être bien où tu es, dans ton présent. C’est le secret.
Tu as un plan de carrière ?
MP : Non. C’est à chaque fois d’étonnantes et agréables coïncidences. J’ai retrouvé la radio avec le confinement, quand on m’a appelé, et c’était justement un moment où la radio prenait une autre dimension dans la vie des gens. Je ne suis pas dans la volonté, mais dans une forme d’accueil. Quand je suis arrivé en métropole, sur un coup de tête d’un mec qui m’a entendu à la radio et m’a emmené dans ses valises, je suis venu avec un tout petit sac, car je ne savais pas si j’allais rester. Et j’ai vécu chez le gars ! J’avais peur de tout, je ne savais rien faire à part parler dans un micro à la radio. Paris me semblait immense, froid. Mon père, qui travaillait pour Air France, m’avait même pris un billet retour open, donc je partais quand je voulais. Et je suis encore là. Donc tu ne peux pas avoir de plan en commençant comme ça. Et je viens d’une famille qui ne sait même pas ce qu’est un plan. Mais aujourd’hui, je sais que c’est mieux d’en avoir un. Comme dit Denzel Washington… “You have a goal…” Bon, il dit une putain de phrase, mais je l’ai entendue il y a trois mois, je ne m’en souviens pas bien (rires, ndlr). Mais finalement, ne pas avoir de plan est un plan qui marche pas trop mal, si tu n’es pas envieux. Et ce n’est pas tous les jours facile, honnêtement. Bon… Allez… S’il devait y avoir un plan… J’ai regardé un extrait de Kendrick Lamar sur scène, à Bercy… C’est quand même cool. Et je me demande parfois ce qu’on pourrait faire, en solo, sur cette grande scène…
C’est un défi, car tu peux à la fois tout et rien faire.
MP : Exactement. Si tu viens avec un orchestre, ça n’est plus un one man show. Si tu viens seul, c’est juste un one man show. Voilà, j’y pense. J’aime y penser.
Tu parlais de pudeur tout à l’heure. En voulant être pudique, est-ce qu’on se censure d’une façon ou d’une autre ?
MP : Cela s’impose à moi. Je dois faire avec, c’est aussi un truc d’éducation. Je le dis dans le spectacle d’ailleurs, je suis hyper poli, je tiens la porte. Et dans cette forme de politesse, il y a cette volonté de ne pas déranger. C’est aussi ce qui énerve une maman créole quand son fils fait le clown : il fait du bruit, donc on le regarde. Alors qu’au restaurant, tu dois te faire discret. Tu bouscules l’ADN même de la maman créole. Et encore aujourd’hui, quand je joue à la Réunion, la façon dont elle se tient dans le public, je vois que quelque part ça la dérange.
Je dois te parler d’un moment dingue. Je t’ai vu sur scène le 6 décembre 2017. Et si je me souviens si bien de la date, c’est parce que c’était le lendemain de la mort de Johnny. Et je ne m’y attendais pas, mais tu as fait pleurer toute la salle en lui rendant hommage et en diffusant dans le théâtre Quelque Chose de Tennessee.
MP : Je l’ai vu sur scène, deux fois, je l’ai rencontré. J’aime beaucoup Tennessee et J’ai Oublié de Vivre. Mais surtout, j’aime ce qui met d’accord tout le monde. J’aime ce qui rend les gens heureux, les gens qui chantent ensemble dans la fosse alors qu’ils ne se connaissent pas. Orelsan, dont je parle dans le spectacle, ou Kendrick Lamar… Je les regarde sur scène, puis souvent, je regarde les gens dans le public. Et je les vois sauter en même temps, chanter en même temps. Moi ça me bouleverse. Regarde comment on peut être d’accord ! Et dans une heure, on va se foutre sur la gueule pour sortir du parking.
Le bide, tu en as encore peur ? Ou à cette étape de ta carrière, plus vraiment ?
MP : Au début du rodage de ce spectacle, je lisais encore mes notes, j’avais quelques doutes oui. J’aime penser mon spectacle comme une set list de concert, avec une histoire, un rythme. Et donc, en rodage, je suis avec l’angoisse de ne plus être drôle, oui. Et juste avant de monter sur scène, avec tes notes, pour un nouveau spectacle, tu te dis en fait que c’est nul, que tu ne peux pas faire ça, que ça n’a aucun intérêt et que tu ne parles que de toi. Quand j’étais à la Réunion, je rêvais déjà d’écrire des spectacles, et j’avais commandé un livre sur les scénarios. C’était bien avant Amazon, le truc a mis sept ans à arriver à la maison (rires, ndlr). C’était un livre austère, moche. Et la première page disait : “je vais vous calmer, si vous pensez que votre histoire est géniale et que vous allez en faire un film, refermez ce livre”. Et ça a mis un bordel dans ma tête. Il m’arrive encore, par exemple pour ce spectacle, de penser à ce livre, à cette phrase et à ce gars.
Dernière question, et pas la plus simple : chanson préférée de Goldman ?
MP : Le premier gars que j’ai vu en concert à la Réunion. Il démarrait toujours ses concerts là-bas. Je devais avoir treize ans. Et j'ai réalisé il y a quelques jours qu'en grandissant, et en vieillissant, notre chanson préférée de Goldman changeait. Il y a le socle, comme Je Marche Seul, puis ça devient C’est Ta Chance. Aujourd’hui, ma préférée, c’est Peur de Rien Blues. Tout ce que tu vas faire après avoir lancé cette chanson, fera partie du clip. Tout sera au ralenti.
Propos recueillis par Nico Prat
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Part 4 - Incoming Text for Marco Perego Saldana (@pirateyadimar) and Kristen Bell (@kristenanniebell) and Zach Galifianakis (@zachgalifianakisofficial) and Alain Chabat (@chabatalain) : “An Idea Worth 500 Million Dollars”
Question:
Could you provide a complete biography of Alain Chabat, detailing his early life, career highlights in television and film, personal life, influence on French comedy, and notable awards or achievements?
You can find Alain Chabat's complete biography on his Wikipedia page. (click on the blue link)
ChatGPT Answer:
Alain Chabat is a well-known French actor, comedian, director, screenwriter, and television personality, beloved for his humor, versatility, and contributions to French cinema and television. Here’s an overview of his life and career:
Early Life
Name: Alain Chabat
Date of Birth: November 24, 1958
Place of Birth: Oran, French Algeria
Nationality: French (he became a French citizen after Algeria's independence in 1962)
Alain Chabat was born in Oran, Algeria, while it was still under French control. After Algeria gained independence, his family moved to France, where he grew up. Chabat showed an interest in the arts from a young age, gravitating towards humor and comedy.
Career Beginnings
In the early 1980s, Chabat worked as a radio DJ for several French stations. His natural charisma and wit quickly earned him recognition, which led to his involvement in television. By the mid-1980s, he joined a group of comedic talents on the TV program Les Nuls (The Zeros) on the French network Canal+.
Breakthrough with Les Nuls
Alongside comedians Dominique Farrugia, Chantal Lauby, and Bruno Carette, Chabat became a founding member of Les Nuls. The group was instrumental in pioneering a new form of irreverent, absurdist humor in France, inspired by American shows like Saturday Night Live. Their comedy sketches and parodies on shows such as Objectif: Nul and Les Nuls, L'Émission became instant hits in the late 1980s, building Chabat's reputation as a comedic force.
Film Career
Chabat transitioned into film in the 1990s, both as an actor and a filmmaker, with a career that has included a variety of roles and genres:
1. Acting
La Cité de la Peur (1994): Co-written by Les Nuls, this cult comedy parodied thriller films and became a landmark in French comedy. Chabat's role in it remains iconic.
Asterix & Obelix: Mission Cleopatra (2002): Chabat directed and starred as Caesar in this hugely successful adaptation of the Asterix comic books. It became one of the highest-grossing French films of all time and is celebrated for its clever humor and visual appeal.
The Science of Sleep (2006): Chabat worked with acclaimed director Michel Gondry in this surreal romantic drama, demonstrating his versatility beyond comedy.
Night at the Museum: Battle of the Smithsonian (2009): Chabat played Napoleon Bonaparte, bringing his humor to an international audience in this Hollywood film.
2. Directing and Writing
Chabat has directed several films that reflect his unique comedic style, known for its sharp wit and absurdist elements:
Didier (1997): This comedy, which Chabat directed and starred in, tells the story of a man whose dog magically transforms into a human. Didier won the César Award for Best Debut, cementing Chabat's reputation as a talented director.
Asterix & Obelix: Mission Cleopatra (2002): As director and co-writer, Chabat brought together a stellar cast and created a beloved adaptation of the Asterix comics. The film's humor resonated widely, making it a classic in French cinema.
Santa & Cie (2017): In this family comedy, Chabat starred as Santa Claus on a mission to save Christmas, mixing humor with a heartwarming storyline.
Television Work
In addition to his early television career with Les Nuls, Chabat has continued to work in TV. He hosted Burger Quiz, a popular comedic game show in France, which allowed him to showcase his trademark wit and interact with celebrity guests. Burger Quiz originally aired in the early 2000s and was revived in 2018, maintaining a loyal following.
Personal Life
Alain Chabat is known to keep his personal life relatively private. He has four children and is noted for his down-to-earth personality despite his fame. Chabat is also a known fan of American pop culture, especially comedy, and has cited influences like Mel Brooks, the Monty Python group, and the Saturday Night Live cast.
Legacy and Influence
Chabat is regarded as one of France’s most influential comedians and filmmakers. His work, particularly with Les Nuls and in films like Asterix & Obelix: Mission Cleopatra, helped shape modern French comedy. Known for his ability to blend slapstick, satire, and surrealism, Chabat has earned a place as a beloved icon in French popular culture.
Selected Filmography
As Actor:
La Cité de la Peur (1994)
The Taste of Others (2000)
Asterix & Obelix: Mission Cleopatra (2002)
The Science of Sleep (2006)
Night at the Museum: Battle of the Smithsonian (2009)
Santa & Cie (2017)
As Director:
Didier (1997)
Asterix & Obelix: Mission Cleopatra (2002)
Santa & Cie (2017)
Awards and Honors
Alain Chabat has won several awards, including the César Award for Best Debut (for Didier), and has been nominated multiple times throughout his career. His unique contributions to comedy and cinema have earned him widespread recognition and respect.
Conclusion
Alain Chabat’s career spans decades, marked by a commitment to comedy and innovation. Whether through his roles in films, his directing, or his influence on television, he continues to be a significant figure in French entertainment.
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Dominique Farrugia recebe pedido de desculpas da Transavia após comentário de uma recepcionista sobre sua cadeira #ÚltimasNotícias #França
Hot News STR/AFP O ator e realizador Dominique Farrugia, aqui em 2018, sofrendo de esclerose múltipla, denunciou o comentário feito por uma hospedeira da Transavia sobre a sua cadeira. STR/AFP O ator e realizador Dominique Farrugia, aqui em 2018, sofrendo de esclerose múltipla, denunciou o comentário feito por uma hospedeira da Transavia sobre a sua cadeira. DEFICIÊNCIA – Palavras humilhantes.…
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Actor & director & screenwriter - Dominique Farrugia (born 2 September 1962) - Watch this - Apocalypse EXPLAINED - READ the Synopsis - Transformers: Rise of the Beasts
This movie is a high-stakes sci-fi adventure that merges the worlds of Transformers with human characters. It kicks off with Unicron, a planet-consuming entity, attacking the Maximals’ homeworld. The Maximals, led by Optimus Primal, flee to Earth with a powerful Transwarp Key, pursued by Unicron’s heralds, the Terrorcons.
The story then shifts to Earth in 1994, focusing on Noah Diaz, who unwittingly encounters the Autobot Mirage disguised as a Porsche. Concurrently, museum intern Elena Wallace discovers the Transwarp Key hidden in an ancient statue. This discovery sets off a chain of events as the Autobots, led by Optimus Prime, and the Terrorcons arrive on Earth to retrieve the key.
The conflict escalates as battles ensue, leading to revelations about the key being split in two halves to prevent Unicron’s access. Elena and the Autobots embark on a mission to find the second half in Peru, facing the threat of Scourge corrupting their allies and attempting to unleash Unicron.
Noah, initially aiming to protect Earth by destroying the key, eventually allies with Optimus to prevent Unicron’s invasion. A massive battle unfolds between Autobots, Maximals, and the Terrorcons. Noah, aided by Bumblebee and using an exo-suit fashioned from Mirage’s damaged body, plays a crucial role in the conflict.
In a dramatic climax, Optimus sacrifices himself to stop Unicron, but Noah and Primal manage to save him and thwart Unicron’s plans, leaving the Autobots stranded on Earth. The conclusion sees the Autobots accepting Earth as their new home, Noah finding unexpected opportunities, and the promise of continued protection for Earth.
The mid-credits scene hints at Noah’s resourcefulness in repairing Mirage, showcasing his growing connection to the Autobots’ world.
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Étude de cas: Simon Jérémi
/!\ Si vous êtes émétophobe, ce post n’est pas pour vous !
Bonjour ! Aujourd’hui commence le festival de Cannes. Pour l’occasion, j’ai décidé de me pencher sur un film dont l’intrigue se déroule au cours du festival de Cannes: La cité de la peur. Je vais me pencher sur le cas du personnage de Simon Jérémi, incarné par le comédien français Dominique Farrugia. Son personnage est notamment célèbre pour sa phrase «Quand je suis content, je vomis». En avant !
On ne sait que peu de choses sur le personnage de Simon. Néanmoins, nous disposons de quelques faits: premièrement, bien qu’adulte, sa maturité est celle d’un jeune enfant, on peut parler sans peine de retard mental (note: Présenter un retard mental n’est en rien un signe de stupidité!). Deuxièmement, il vomit sur commande, spécifiquement quand il est content. Enfin, son rêve était d’être projectionniste, mais son père l’en a empêché, le forçant à devenir acteur.
Ces quelques faits me font arriver à la conclusion que Simon est atteint de mérycisme. C’est spéculer, mais on peut supposer que quand il était enfant, il avait déjà tendance à vomir sur commande pour que l’on s’occupe de lui. Ainsi, il a associé le fait de ruminer sa nourriture, avant de la vomir, à une situation émotionnelle positive. D’où le fait qu’il associe le fait de vomir au fait d’être content, même une fois devenu adulte.
Mais pourquoi aurait-il eu besoin de recourir à un tel stratagème ? Le peu que l’on sait de son lien avec son père, qui ne le laisse pas être qui il est, laisse à penser qu’il a grandi dans un milieu où régnait la carence affective. Or, il s’agit là du 1er facteur d’apparition du mérycisme. Il est également à noter que ce trouble est rare en dehors des bébés, mais peut s’observer chez des personnes plus âgées, enfants, ados, adultes, le plus souvent chez des personnes présentant un autre TCA ou chez des personnes présentant un retard mental… ce qui est le cas de Simon.
Je ne dis pas que Simon est officiellement atteint de mérycisme. Pour être honnête, je pense qu’au moment d’écrire leur film, Les Nuls ignoraient l’existence de ce trouble: dans le cas contraire, ce TCA aurait gagné une petite célébrité, et il ne serait pas si difficile de se documenter dessus ! Cependant, il faut l’avouer: la grille de lecture du mérycisme s’applique parfaitement au personnage de Simon Jérémi. Ce n’était pas volontaire, mais cette comédie a dressé un meilleur portrait de TCA que certains films cherchant à faire de la prévention dessus. Comme quoi il ne faut pas juger un livre sur sa couverture, et toujours penser à faire ses recherches !
Merci de m’avoir lue jusqu’au bout ! Prenez soin de vous et à bientôt !
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#Fear City: A Family-Style Comedy#La Cité de la Peur#movie poster#Alain Berberian#Alain Chabat#Gérard Darmon#Dominique Farrugia#Chantal Auby#Jean-Pierre Bacri#Sam Karmann#If it weren't for Mubi we wouldn't know about this film#It's an interesting experiment#But the bit I really enjoyed was The Carioca
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30 Day Movie Challenge
Day 6 : Favorite Comedy Movie
Get off, stupid mimes !
La Cité de la Peur
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Découvrez une panoplie de spectacles dès maintenant sur PlayVOD !
Envie de vous détendre devant un bon spectacle ? Rejoignez vite le site PlayVOD ! Comme suggestion, il y a « Titoff, au palais des glaces », une production signée Dominique Farrugia qui pourrait être à même de vous plaire.
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La Cité de la peur, une comédie familiale (1994) réal. Alain Berbérian
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Bis - un film de Dominique Farrugia
2014 - Not really an animation work, but more graphic editing for this French movie.
Ce n’est pas vraiment de l’animation mais plutôt un travail sur le graphisme compositing du flash back.
#bis#europacorp#dominique farrugia#movie#film#france#french#grahicdesign#80s#flashback#digital art#draw#animation#2D#traditional
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La Cité de la peur (The City of Fear)
1994. Comedy
By Alain Berbérian
Starring: Alain Chabat, Dominique Farrugia, Chantal Lauby, Gérard Darmon, Sam Karmann, Patrick Lizana, Jean-Christophe Bouvet, Éric Prat, Artus de Penguern, Marc de Jonge...
Country: France
Language: French
#La Cité de la peur#The City of Fear#Alain Berbérian#Alain Chabat#Dominique Farrugia#Chantal Lauby#Gérard Darmon#Sam Karmann#Patrick Lizana#Jean-Christophe Bouvet#Éric Prat#Artus de Penguern#Marc de Jonge#France#French#1994#1990s#Comedy
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La cité de la peur (Alain Berbérian, 1994) Alternative Poster by Gokaiju
#la cité de la peur#Alain Berbérian#les nuls#nuls#alain chabat#chantal lauby#dominique farrugia#gérard darmon#cité de la peur#affiche#Movie Poster#alternative poster#Grégory Sacré#Gokaiju#red is dead
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Quand j'ai vu le gameplay du futur Assassin's Creed : Assassin's Creed Origins qui devrait réussir à me faire oublier le film par les graphismes et le scénario et la période à laquelle il va se dérouler.
#J'suis hyper content#E3#assassin's creed#Assassin's Creed Origins#Simon Jeremy#La Cité de la peur#Dominique Farrugia#Alain Chabat#Serge Karamazov
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