#Depuis ce Matin
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Sean Howe - Batsheva Dance Company - photo by Depuis ce Matin
#Sean Howe#Batsheva Dance Company#Depuis ce Matin#bailarín#ballerino#dancer#danseur#tänzer#boys of ballet#male dancers#ballet men#dance#ballet
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#male nudity#male nude#nude man#male art#male physique#photo#photography#color#Depuis ce Matin#unknown model#inside
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A commencé officiellement les démarches pour commencer le permis ✌️
#petit à petit je rattrape mon retard#depuis mes 17 ans je fais un blocage dessus#à avoir peur + peur de ne pas avoir le temps avec les études#+ le fait que je devais réunir l'argent nécessaire pendant ma license#qui est donc réservé depuis un certain temps#(j'ai 2000€ de réserve pour le passer)#bref j' ai passé un gros pas ce matin#en retard mais un grand pas quand même#dans l'espoir que ça soit moins compliqué que le master....
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“OÙ T’ES-💥 -TAIS💥!!?!”
OUI GRINGE T’ÉTAIT OÙ DEPUIS 2020???!?!
#nan vrm c’est trop j’aime trop son flow djdbdjdjfjebdue#gringe#sur loop depuis ce matin mdrrrr#COMMENT ON BOUFFE TELLEMENT BIEN EN 2024#Spotify
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C'est tout ce que ça m'inspire.
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SUPPOSÉE CINQUANTAINE DE CANDIDATS AU CEP LAISSÉS SUR LE CARREAU À KANDI: FAUX. TOUS LES CANDIDATS RÉGULIÈREMENT INSCRITS SUR EDUCMASTER PLANCHENT DEPUIS CE MATIN.
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#À KANDI#DE CANDIDATS AU CEP#FAUX#LAISSÉS#PLANCHENT DEPUIS CE MATIN#RÉGULIÈREMENT INSCRITS#SUPPOSÉE CINQUANTAINE#SUR EDUCMASTER#SUR LE CARREAU#TOUS LES CANDIDATS
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Swann Arlaud giving a speech at Rassemblement et concert contre l'extrême droite, 03.07.2024, la République à Paris
Bonsoir. Bonsoir.
La responsabilité de ceux qui ont diabolisé la gauche est énorme. Ce sont les mêmes qui ont banalisé les discours d'extrême droite, le racisme et la xénophobie. Depuis des années, ils le font partout, chaque fois qu'ils peuvent. Et pourquoi ils font ça ?
Parce qu'ils préfèrent gouverner avec l'extrême droite qu'avec la gauche. Parce qu'ils savent très bien que le Rassemblement national n'est pas l'ennemi du capital, parce qu'ils veulent protéger leurs intérêts. Parce qu'ils veulent, que rien ne change, parce qu'ils partagent. La même haine des étrangers, la même obsession pour la sécurité. Parce qu'ils n'en ont rien à foutre de la planète!
Et ne lui il faut pas nous tromper, derrière le discours policer du RN se cachent la haine de l'autre. Le mépris du droit des femmes et la protection des puissants et les puissants le savent. Ils savent que leur RN ne touchera pas à leurs privilèges, ils savent qu'ils n'empêcheront pas l'industrie de continuer à détruire pour mieux s'enrichir. Ils savent qu'ils continueront à s'attaquer au plus faible, aux plus démunis, ceux-là même qui placent un espoir en eux parce qu'ils ont été oubliés depuis des décennies par tous les gouvernements successifs.
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Alors ils agitent l'épouvantail, ils agitent le diable, le couteau entre les dents. Alors c'est les "islamo gauchistes", c'est les "féminazis", c'est les "éco terroristes". Mais en fait, il suffit de lire un peu les programmes, il est où le diable ?
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Et vous le savez déjà. Vous le savez déjà, on y est déjà toute forme de contestation et criminalisée. C'est la police antiterroriste qui va déloger les militants écolos pacifistes chez eux à 06h00 du matin. Aujourd'hui, dénoncer le massacre du peuple palestinien est considéré comme un acte antisémite. Et lutter pour ses droits, pour la liberté, la solidarité, l'égalité des peuples, des ��tres, dénoncer les abus, les violences, tout ça est considérer comme violent et dangereux. Ils ont- ils ont inversé les rôles, ils ont- ils ont détruit le langage, ils ont déplacé le sens des mots.
Et si on est là, c'est parce qu'on voudrait que demain ce soit pas encore pire.
Merci.
source
#swann arlaud#french politics#Rassemblement et concert contre l'extrême droite#please listen to the source video at 04:30:06 swann yelling Ah-ah! at the rhythm of crowd shouting Anti- Anti- Anti-capitaliste ah-ah#glad that this strike really worked#my French is not perfect so that might not be exactly what he said sorry#error reports are always welcomed
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Here is his story / Voici son histoire : 1: Ryan était un homme sportif et son corps le montrait. Il faisait du sport tous les jours et cela depuis son adolescence. Mais un jour, après avoir gagner une grande course de marathon, il décida de fêter cela en mangeant la bouffe qu'il s'interdisait mais qu'il aimait tant, la malbouffe. Il se mit dans une tenue confortable et commença son festin. /Ryan was an athletic man and his body showed it. He was doing sports every day since he was a teenager. But one day, after winning a big marathon race, he decides to celebrate by eating the food he forbade but loved so much, junk food. He changed into comfortable clothing and began his feast.
2: Cependant, le lendemain, il se sentit quelque peu plus paresseux et décida de prendre du repos et de ne pas faire du sport ce jour-là. C'est ce qu'il continua de faire les deux semaines suivantes. Il perdit de sa masse musculaire et devint plus gras ; mais il ne s'en rendait pas compte. Il préférait se prélasser devant la télé, et critiquer les différents sportifs sur leur niveau qui était selon lui déplorable. / However, the next day he felt somewhat lazier and decided to take some rest and not exercise that day. This is what he continued to do for the next two weeks. And he became softer ; but he didn't realize his body changed. He preferred to relax in front of the TV, and criticize the various athletes on their level which was, according to him, deplorable.
3: Cela faisait cinq mois qu'il avait pris sa "pause". Et il avait continué de grossir. Il continuait à dévorer une quantité toujours plus importante de malbouffe ; il passait ses journées sur son canapé à se prélasser dans son corps désormais bien gras, à regarder la télé et à jouer à des jeux vidéos. Pour lui, sa vie était devenu paradis. Et quand le matin, il se levait et qu'il passait devant le miroir dans le couloir de sa maison ; et qu'il constatait ce ventre bien gras qui tremblait à chacun de ses pas, ces poignées d'amour, ces jambes plus potelées et ses fesses plus énormes que jamais et qui dévoilaient, avec grâce, toute leur grasse splendeur lorsqu'il s'abaissait. Il se rendit compte que tout cela était sien et il caressait alors son corps graisseux et se disait qu'il était devenu plus beau gosse que jamais. / It had been five months since he took some “rest”. And he continued to gain weight. He continued to devour an ever-increasing amount of junk food; he spent his days on his couch lounging in his now chubby body, watching TV and playing video games. For him, his life had become paradise. And when, in the morning, he got up and walked past the mirror in the hallway of his house; and that he noticed this very fat belly which trembled with each of his steps, these love handles, these legs chubbier and his buttocks more enormous than ever and which revealed all their fatty splendor when he was lowering. He realized that it was all his and he then caressed his fat body and said to himself that he had become more handsome than ever.
4: Les semaines et les mois passèrent, et il n'en finissait de s'engraisser, il dut même refaire sa garde-robes pour l'adapter à sa nouvelle grosseur. Il devenait pour lui de plus en plus pénible de se déplacer ; même changer de position sur le canapé et prendre sa sainte nourriture sur la table lui semblaient pénibles. Pourtant, il aimait tout de même cela, sentir son gras rouler et toucher les autres partir de son corps l'exciter. Il aimait par ailleurs jouer avec son ventre et ses pectoraux semblables désormais à des seins, sentir son gras se mouvoir sur lui était d'une véritable extase. Il admirait son ventre, ses poignées d'amour, ses bras et ses jambes devenir toujours plus gras alors qu'il se goinfrait. Certains soirs, il s'endormait sur son canapé, gras comme un porc et entouré d'emballages de pizzas ; le matin lorsqu'il se réveillait, son ventre débordant de ses vêtements, il ne pensait qu'à une chose, manger. Alors, il caressait son corps bien en forme, se demandant s'il voulait vraiment ; mais l'appel de la faim et du gras finissait toujours par l'emporter, et il devenait toujours plus gros. Et d'autres soirs encore, alors qu'il dormait, c'était l'appel d'une fringale nocturne qui le réveillait ; ainsi il se levait, et marcher faisant bouger son corps de toute sa grosseur vers le frigo, et il prit tout ce qu'il trouvait ; pots XXL de nutella, donuts, beignet, gâteau à la crème, caramel ou encore au chocolat rien ne lui résistait. Il devenait encore plus gros que jamais, son gras débordait de partout et ses vêtement devenaient trop serrés à nouveau. Il se sentait perdre le contrôle. / The weeks and months passed, and he continued to gain weight, he even had to redo his wardrobe to adapt it to his new size. It was becoming more and more difficult for him to move around; even changing positions on the sofa and taking his holy food from the table seemed painful to him. Yet he still loved it, feeling his fat rolling and touching others from his body excited him. He also loved playing with his stomach and his pectorals, which were now like breasts; feeling his fat moving on him was truly ecstatic. He admired his belly, his love handles, his arms and legs growing ever fatter as he stuffed himself. Some evenings, he fell asleep on his couch, as fat as a pig and surrounded by pizza wrappers; In the morning when he woke up, his stomach overflowing with his clothes, he only thought of one thing, eating. So he stroked her fit body, wondering if he really wanted to; but the call of hunger and fat always won out in the end, and he always got fatter. And still other evenings, while he was sleeping, it was the call of a nocturnal craving that woke him up; so he got up, and walked, moving his whole body towards the fridge, and he took everything he found; XXL pots of nutella, donuts, donuts, cream cake, caramel or even chocolate nothing could resist him. He was getting even bigger than ever, his fat was overflowing everywhere and his clothes were becoming too tight again. He felt himself losing control.
5: Plus de neufs mois avaient passé depuis son changement de vie. Il rigolait en pensant que son bébé ne devrait plus tarder. Thanksgiving, et le mois de décembre étaient passés et cela se remarqué sur son corps toujours plus gras. Lors des fêtes, il avait ignorer tous les commentaires désobligeants que ses proches lui eussent faites sur son nouveau physique ; il s'en contrefichait, il se sentait bien dans son corps c'était ce qui comptait le plus. Il savait qu'il pouvait avoir des complications de santé, mais il préférait s'y croire immuniser, et se concentrer sur le buffet. Maintenant, les soirs il n'allait plus se coucher dans son lit, il préfère le canapé, cela lui demandait moins d'effort. Maintenant, lorsqu'il devait se lever c'était pour aller chercher la nourriture qu'il venait de commander. Ce qu'il mangeait au début de son nouveau régime en une journée, est maintenant ce qu'il consomme en un repas, l'un de ses neuf repas de la journée. Toujours plus énorme, il sentait ses vêtements le serrer de nouveau, mais il avait la flemme d'en commander de nouveaux. Ce n'est que quand ses joggings se déchirèrent laissant apparent l'énormité de ses jambes et que ses hauts trop petits et trop moulants, laissaient visible son ventre si gras et rond qu'il rivaliserait avec la grosseur des plus gros sumos ; qu'il décida finalement à se commander de nouveaux vêtements en même que cinq gâteaux à cinq étages. / More than nine months had passed since his change of life. He laughed, thinking that his baby shouldn't be long. Thanksgiving and December had passed and it was noticeable on his ever fatter body. During the parties, he had ignored all the derogatory comments that those close to him had made to him about his new physique; he didn't care, he felt good in his body that was what mattered the most. He knew he could have health complications, but he preferred to believe he was immune to them, and concentrate on the buffet. Now, in the evenings he no longer goes to bed in his bed, he prefers the sofa, it required less effort. Now, when he had to get up it was to go get the food he had just ordered. What he ate at the start of his new diet in a day is now what he consumes in a meal, one of his nine meals a day. Ever more enormous, he felt his clothes tightening again, but he was too lazy to order new ones. It was only when his jogging pants were torn, revealing the enormity of his legs and his tops, which were too small and too tight, left visible his belly, so fat and round that it would rival the size of the largest sumo wrestlers; that he finally decided to order new clothes as well as five five-tier cakes.
6: Ryan était vraiment obèse, il ne savait s'il voulait en venir là. Tout lui semblait plus compliquer et il ne savait plus trop s'il aimait son corps qui était devenu vraiment énorme. Ce qu'il savait néanmoins, ce qu'il n'arriverait pas à faire machine arrière, il n'en aurait pas la force. Il se condamnait ainsi à devnir toujours plus gros, et à se goinfrer, mais ça il aimait se goinfrer. / Ryan was really obese, he didn't know if he wanted to come to that. Everything seemed more complicated to him and he no longer really knew if he liked his body which had become truly enormous. What he knew, however, was that he would not be able to turn back, he would not have the strength. He thus condemned himself to becoming ever fatter, and to stuffing himself, but he liked to stuff himself.
#exjock#gay gainer#chubby#chubby guy#fatboy#fat teen#getting fatter#chubby belly#chubby boy#sexy fat#fat guy#fat man#fat ai men#chubby gay#chubby twink#soft man#soft boy#fat story#gaining fat#male wg#fat belly#fat boy in nike sport sport suit#fat boy with slides and socks
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Depuis ce weekend je suis malade. Alors hier soir j'ai dormi seul et loin des toilettes pour ne pas embêter ma femme. C'est donc elle qui m'a suggéré de mettre une couche pour ne pas avoir à descendre la nuit. Je l'ai bien sûr écoutée sagement.
Et ce matin télétravail au chaud pour me remettre. Je n'ai pas de visio alors j'ai décidé de rester en pyjama de bébé avec ma couche pour travailler.
I have been sick since this weekend. Last night I slept alone and far from the toilet so as not to bother my wife. It was her who suggested I put on a diaper so I wouldn't have to go down at night. Of course I listened to her wisely!
And this morning teleworking in the warmth to recover. I don't have and videomeeting so I decided to stay in my baby pajamas with my diaper to work.
#ab dl#ab/dl lifestyle#adult diaper#diapered#boys in diapers#diaperboy#padded#frenchdl#ab dl fr#ab/dl diaper#ab/dl boy#abdldiaper#ab dl diaper#ab/dl#ab dl lifestyle#ab/dl blog#ab/dl community#ab/dl kink#adult diaper lover#adult diapers#diaper bulge#diaper community#frenchabdl
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Depuis 6 heures ce matin, la neige tombe sans s'arrêter sur la ville, dans le Calvados. Ils avaient dit : faibles chutes de neige... !!!
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
#mixte 1963#voltaire high#alain laubrac#joseph descamps#jean-pierre magnan#fanfiction#oneshot#fluff#angst#school au#voltaire high fanfiction#x reader
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Sean Howe - Batsheva Dance Company - photo by Depuis ce Matin
#Sean Howe#Depuis ce Matin#Batsheva Dance Company#ballerino#dancer#danseur#bailarín#tänzer#boys of ballet#male dancers#dance#ballet#ballet men
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HAPPY NEW YEAR 2025
Évidemment, ce n'est pas une nouvelle couche, : il s'agit d'une Hartmann Molicare super plus violette. je la portais beaucoup il y a quelques années en arrière. Il devait me rester 2 ou 3 que j'avais depuis plusieurs années. J'ai juste eu envie ce matin de repartir avec une…. Et voici les photos après une matinée passée avec….
je compte bien la garder et repartir comme cela pour le reste de la journée. Je me sens juste bien avec
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Je ne sais pas si ce post poussera des gens à voter, mais j'avais besoin d'en parler.
Je suis comme bloqué depuis la dissolution, incapable de travailler sur quoi que ce soit, tout juste capable de repartager les posts des autres. Et du fait de mon handicap je ne peux même pas aller manifester IRL ce qui me donne encore plus l'impression de stagner.
L'éventualité, de devoir reconsidérer l'entièreté de ma vie, de mon travail, de l'espérance de vie de mes amours, ami'es et proches au matin du 8 juillet me terrifie au plus haut point.
Je place tout mes espoirs dans ce nouveau front populaire, avec un vrai programme social, économique, écologique, LGBTIA-friendly..etc
Je veux croire en nos mobilisations, nos luttes, nos espoirs et nos rêves arrachés à la bourgeoisie capitaliste et réactionnaire.
Dimanche 30 juin et 7 juillet on vote Nouveau Front Populaire.
#nouveau front populaire#art#illustrations#front populaire#trans#transgender#queer#lgbtiqa#laurierthefox#transgenre#illustration
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
⚠︎ warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, évocation de sexualité et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots - Description à la troisième personne
Il avait une ouïe surdéveloppée, tout le monde le savait. Les élèves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassées par un ballon, il les entendait. Les rires à deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxième étage. D’habitude, aucun problème à s’endormir avec ces bruits, il avait déjà dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empêcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gémissements c'étaient autre chose encore.
Au deuxième étage il n’y avait que les étudiants ayant dépassé la majorité, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'était léger et rapide, tout l’inverse de ces dernières fois. Parce que oui, “ces” dernières fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fêter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait à regretter son ouïe surdéveloppée.
Il n’avait jamais bien dormi, c'était pas son genre, mais ne pas dormir n'était pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se régénérer, il devait se reposer, pour éviter d'être de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer à la porte de cette chambre et demander poliment d'arrêter de baiser tous les soirs n'était pas non plus dans ses options. Malgré son caractère, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours très mal à l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il écoutait sans le vouloir ces bruits était un peu gênant, voire même beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan était parvenu à localiser la chambre d’où prévenait tout ce boucan. C'était la dernière, tout au fond du couloir, à environ cinq chambres de la sienne. Si sa mémoire était bonne, Oscar dormait là-dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre à se faire recaler par toutes ses conquêtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'était pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait être la deuxième personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas à un très haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan séchait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien être. Et même la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. Même si quelquefois il parvenait à capter une voix, très douce, très tremblante, et il devait l'avouer, assez agréable à entendre. Mais ce n'était pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas écouter, ses oreilles entendaient pour lui. Et même avec des bouchons il entendait tout, puis de toute manière il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquième fois, il avait eu espoir que ça s’arrête, qu’ils arrêtent. Mais ce n'était pas arrivé.
Honnêtement, il était un peu à cran. Les élèves le remarquaient très clairement, dès le début de la semaine ils avaient vu que Wolverine était d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus à carreaux. Leur soulagement était qu’au moins il n'était pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir à endurer ce regard enflammé pendant une voire deux heures de cours. Logan était simplement “invité”, ou peut-être “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposé un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusé, ne voulant pas avoir à se coltiner des évaluations à corriger et une cravate à porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutôt des entraînements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élèves peut-être, lui demandait fréquemment de les aider à la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaître tout le monde, même s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutôt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutôt avec qui il traînait.
Appuyé contre un encadrement de porte, Logan ne détacha pas son regard du jeune homme. Malicia était passée parler à Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilité, mais heureusement elle était avec Bobby dans une chambre à l'autre bout du couloir. Katt était aussi passée pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait déjà quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas être elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait à beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à râler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mètres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derrière ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a été compréhensive, elle m'a même aidé à le réparer »
Le garçon souriait faiblement, il n'était pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'était même lui qui l’avait ramené.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour être honnête, il voulait juste aller près d’un lac et regarder la forêt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tête à ce garçon lors de leur première rencontre, il s'était caché dans un buisson derrière lui. Logan l’a écouté lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour échapper à des personnes qui ne l’appréciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'était dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il était désolé pour tout ce qu’il avait vécu. Logan l’a fixé, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensées ?”. Ce à quoi le garçon a répondu : “j’interprète les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se détende un peu par la même occasion. Le garçon lui a demandé pardon, il a dit ne pas avoir voulu être trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empêcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'était arrêtée là, Logan s'était levé et avait lentement soufflé, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dérangé. Le garçon s'était encore une fois excusé, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardé pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre années. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrôlé son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. Après, Logan l'avait emmené au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empêcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il écoutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attaché à ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'être qu’une invitation à jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas à ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante était aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lâcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une bière accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mâchoire, ses muscles tendus, son cerveau en ébullition. Bordel, ça faisait des années qu'il n'avait pas été jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
Sincèrement, il devrait avoir une médaille pour ne pas déjà avoir lacéré cette foutue porte de chambre, et peut-être au passage un des hommes à l’intérieur. Mais c’était quelque chose de compliqué à contrôler, la colère elle était faite pour sa mutation, elle était compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de défoncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrètement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait à peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il était sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrêtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussée, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sûr il n’y avait personne, tout le monde était dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le réfrigérateur et y prit un soda, puisque l'alcool était interdit dans l’établissement. Il but la moitié de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'était de la bière, mais le sucre gâchait tout.
Un bâillement le fit sursauter. Par réflexe ses griffes sortirent, prêtes à embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immédiatement ses griffes, posant à l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incompréhensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon déglutit faiblement, il avança et passa derrière l’îlot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversé, ok non peut-être pas autant, juste un peu déboussolé alors. Ses yeux étaient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'était pas pour l’obscurité, il y avait au moins deux millimètres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mâchoire était tendue, pas contractée mais elle l’avait été très récemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le masséter. Et sa peau était pigmentée, par du rouge amarante, posé par points s’étirant petit à petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'être aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur épuisée, est-ce que ce t-shirt était à Oscar, est-ce que cette odeur était la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et régulée lorsque les clignements sont plus lents et contrôlés »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la désorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgée de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressé, énervé et frustré, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais même dire que c’est moi mais j’aime pas être narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune émit une courte pause, juste le temps d'interpréter les réactions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumé, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embêterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse à cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmèrent, Logan l'écoutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cœur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'était bon signe. Sa gorge était toujours serrée, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-être, ou alors une réaction, oui une réaction.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement à Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais très bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensées, ça fait flipper, ou rire, ça dépend des personnes »
Sa gorge se desserra très légèrement, et un souffle amusé passa ses lèvres. Le garçon s'écarta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla à peu près stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau à Logan et répondit en montrant de la tête les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusé, il la finit en quelques gorgées. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tête sur le côté, réfléchissant à ce signe plutôt qu'à la question. La voix de Logan était plus forte, d’environ trois décibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage était fermé, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'étaient pas contractés contrairement à d’habitude, il était plus détendu à certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, répondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mètre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, répondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais déchiqueté l’intestin d’Oscar si je te disais son prénom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mâchoire peut faire des dégâts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas très content si tu mets dans le coma un de ses élèves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermèrent sur les os solides de l’homme, créant une chaleur diffuse à ce niveau.
« Range ces armes, arrête de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraîcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derrière ces yeux, un courant d’eau et d'électricité, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derrière ces beaux yeux. La mutation de ce garçon était puissante, grande et dangereuse si elle était mal contrôlée, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accès aux corps de n’importe quel être vivant, des poumons aux paupières, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cœur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrôler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrôler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple être humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des années. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ôter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-être que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargé d’électricité humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant à l’encre rouge sur ses lèvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lèvres dangereuses qui pouvaient lui ôter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la première fois depuis des années, il pouvait légitimement éprouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lèvres, ces lèvres qu’il embrassa à pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empêcher de gémir en sentant les lèvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensé devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'était tout l’inverse. Il était doux, ses mouvements lents et contrôlés, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant même murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprétait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lèvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frère, il me l'a donné avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs où ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait être aussi bruyant pour être honnête »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractèrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusé qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapèze supérieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activité produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidé parce que c'était le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul étudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adoré te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander à Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le même manoir que toi »
Logan posa ses lèvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrête d’autant réfléchir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accélérée. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui éclaira les lèvres du plus âgé fit pulser le cœur du plus jeune.
« Putain ouais »
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saga: Soumission & Domination 366
Autre semaine d'août, préparation & départ aux USA
Comme la triplette insiste, nous débarquons chez les parents de Ludovic pour quelques jours.
Ces derniers sont contents de nous voir. Monsieur nous confie que ça va même les changer un peu des trois faces hilares qu'ils ont continuellement sous les yeux.
La piscine installée avant l'été donne toute satisfaction et Ludovic me dit qu'il n'avait jamais vu ses parents aussi détendu depuis longtemps. Bien qu'ils dépensent beaucoup d'énergie à faire l'amour, les gamins en ont encore pour aider efficacement le paternel aux travaux de la ferme. Nous aussi nous mettons la main à la pâte et le travail est rapidement expédié.
Le temps gagné n'est pas perdu car la triplette nous entraine dans tous les coins où ils ont baisé sans nous. Côme nous accompagne.
S'il ne s'intéresse pas particulièrement à la triplette, quand nous sommes là (PH, Ernesto, Ludovic et moi) c'est différent. Entre deux plans, il m'avoue que Jona et François lui manquent plus qu'il ne l'avait envisagé avant l'été. On discute un bon moment. Il me parle des quelques meufs qu'il a sauté pendant son stage et me dit qu'il a eu les mêmes sensations que quand il taffe pour moi. C'est bon, il éjacule mais ça n'a pas l'intensité de ses rapports avec mes deux Escorts. Ça l'inquiète un peu.
Je tempère en lui disant que c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé la bonne. Il veut y croire.
En attendant il n'hésite pas à faire l'amour avec nous tous, même si c'est plutôt avec les plus âgés (Ernesto, PH et moi) qu'il prend son pied.
Les parents se doutent bien que nos " escapades " qui les laissent seuls plusieurs heures ne se limitent pas à nous promener dans les bois environnants, mais ils nous laissent libres et ne posent pas de questions. Quand nous revenons, nous sautons dans l'eau avant de nous étaler sur la pelouse pour entretenir notre bronzage.
Des amies de madame venues prendre le thé alors que nous étions tous là, l'ont admirée de s'occuper ainsi d'une bande d'ados aussi nombreux. C'est vrai que nous sommes 8 et aucun petit format ! Et sans se vanter, tous plus canons les uns que les autres même si la fratrie locale est quand même un cran au-dessus des autres.
Enguerrand me confie qu'il a l'impression que depuis tous les changements (coming out de Ludovic, ses propres aveux et l'acceptation des amis/amants), ses parents se remettent à faire l'amour plus souvent. Il m'explique que plusieurs nuits, alors qu'il allait aux WC après avoir fait l'amour avec ses 2 complices, il les a entendu " s'agiter " dans leur chambre !
Je le traite de petit vicieux et lui dis de laisser ses vieux tranquilles.
Nous passons la semaine entière alors que seuls 3/4 jours étaient prévus. Mais les parents insistent pour que nous restions. Le soir, avant d'aller faire l'amour encore une fois, nous passons de bons moments. Les plus jeunes s'affrontent sur PlayStation alors que nous apprenons à jouer au bridge sous la direction des parents. J'aime ce jeu. Entre les annonces et le jeu de la carte, c'est passionnant ! Côme et Ludovic nous aident bien sur ce coup, ils y jouent depuis 4/5 ans déjà.
Une semaine atypique même si coté sexe nous n'avons pas laissé notre part au chien ! Ce qui me surprend le plus, c'est que finalement je me fais bien à cette ambiance " famille " !!
Plus d'une fois nous avons aussi passé nos nuits " mélangés ". Dans ces cas-là, c'est plutôt Enguerrand qui s'endort dans mes bras ! Même si j'aime aussi faire l'amour avec Max et Nathan, j'ai une tendresse particulière pour mon petit beau-frère. Je crois qu'il me le rend bien !
Comme nous ne sommes pas des plus discrets, nous avons droit, de la part du père le lendemain matin, à un " bien dormis les garçons ? " un peu ironique.
Pour ma dernière année d'étude, je dois passer 6 mois dans une université à l'étranger. Les USA me tentent et bien sûr la côte ouest. Entre l'Université de San Francisco, privée et Berkeley je préférais la seconde. J'ai eu la chance que mon dossier passe pour l'UCB (Berkeley). Bon il est vrai que j'avais un appui de choix avec Henri qui y a passé quelques années dans son cursus d'études.
J'intégrerai le master d'ingénierie financière de l'école de business.
Alors que je voulais louer une maison dans Castro et une voiture pour aller à l'université, Henri m'en a dissuadé et m'a dit de rester sur le campus. Comme ça je m'intégrerais plus facilement. Je me débrouille de l'inscription et des détails matériels, mais il s'est chargé du reste. En l'occurrence, il a repris contact avec d'anciens collègues et en a trouvé un dont un fils sera à l'université en même temps que moi.
Je prends contact avec lui par Skype. Il a deux ans de moins que moi mais, nageur de l'équipe de natation/plongeon, il est déjà méchamment tanké ! Tyler est plutôt beau gosse. Brun cheveux courts, il a les épaules larges et le bassin étroit. Imberbe et/ou rasé, son maillot semble bien rempli ! (skype sur le bord de la piscine ^^).
On passe pas mal de temps à échanger sur les 6 mois à venir. Il dédramatise le super niveau de l'université et me dit qu'avec un peu de travail et la participation à une équipe sportive, je devrais m'intégrer sans soucis. En plus c'est une université qui accueille bon nombre d'étrangers de tous pays.
Pour ne rien cacher, je lui fais part de mon orientation sexuelle. Il m'assure qu'avec San Francisco de l'autre côté de la baie, je n'aurai aucun mal à trouver des partenaires surtout avec ma gueule !
Quand PH et Ludovic entendent ça, ils hurlent que je n'ai pas intérêt à les oublier. Cela me vaut quelques explications avec Tyler qui rigole de ma situation. Après la surprise, il a trouvé très amusant mon " cas ".
Il me dit d'arriver une semaine avant ma " rentrée " cela me permettra de prendre le rythme. Quand je lui dis qu'il me faudra une caisse, il me dit qu'on s'en chargera alors.
Finalement je débarque aux USA à 6 !! Henri en profite pour renouer avec son collègue (Matthew), bien sûr Kev est du voyage. Quand à mes trois amours (PH, Ernesto et Ludovic), ils veulent savoir où je mets les pieds.
Vol direct Paris San Francisco, nous sommes attendus par Tyler qui nous emmène directement chez son père en plein San Francisco dans Pacific Heights. La " villa " est immense et notre venue ne dérange pas nos hôtes. Située haut sur la colline, elle surplombe la baie et nous pouvons voir le Golden Gate et Alcatraz. Les lits King Size qui meublent les chambres nous permettent sans mal de dormir à plus de 2 !!
Le père de Tyler est aussi sympathique que lui et d'une simplicité d'abord inconnue en Europe à ce niveau de fortune. Nous sommes reçus à bras ouverts. Lui est très content de renouer avec son ancien coturne d'université et ils passent un bon moment à mettre à jours leurs actualités. Tyler, lui, nous entraine à la piscine. En réel aussi il est beau mec !! A ses cotés je ne fais pas microbe quand même. Il est lui-même étonné de nos physiques musclés. Dans l'eau nous ne sommes pas ridicules et il me propose même de me faire inscrire dans son sport. Il nous montre aussi la salle de muscu qu'il a installé derrière le garage.
Ça, on verra plus tard.
Le lendemain, Tyler nous fais visiter (aux jeunes) le campus et nous montre même le bâtiment où il sera cette année. Quand on revient, nous traversons San Francisco et il nous montre quelques sites particuliers, Télégraph Hill, les quais avec les phoques...
Un matin il nous emmène petit déjeuner chez Dottie's. Le Restaurant très connu, spécialisé en petit déjeuner est fréquenté aussi bien par les autochtones que les touristes. Trop bons les muffins et les pancakes, Au moins 3000 Calories !! Puis on file sur le Pacifique.
Le style Victorien les maisons laisse place à l'influence Mexicaine ! Le temps est couvert et l'océan pas très chaud !! La plage est immense mais peu utilisée et surtout par les surfeurs ! Dans l'après-midi, nous découvrons Castro le quartier plus spécifiquement Homo. En se baladant à pied, nous croisons quelques couples d'hommes avec de jeunes enfants dans les bras.
J'aime beaucoup ce style de quartier, maisons victoriennes de toutes les couleurs, jardinets et parcs sur chaque éminence.
Le soir nous retrouvons les " vieux ". Henri a rajeuni, Matthew et lui se sont affrontés au golf et il a gagné. Matthew m'annonce que comme " généreux donateur " de l'université, il a réussi à me faire loger dans le même bâtiment que son fils. Comme ça je serais encore plus intégré qu'à l'International House où sont en général logés les étudiants étrangers.
On s'isole tous les trois, avec Henri, pour parler business. Sur ses conseils, j'explique à Matthew mon petit commerce avec chiffres à l'appui. Il est plus surpris du CA que j'ai développé que du " produit " offert. Quand je lui parle de la succursale de Barcelone, gérée par Ernesto, il est amusé par mon culot ! Ça plus le fait que je sois le " fils " d'Emma dont il connait les sociétés, me pose plus que l'école que je suis.
C'est avec lui que j'aborde la question du véhicule. J'hésite entre une deux places et une berline pour quand mes amis viendront me rejoindre. Henri s'amuse et dit à notre hôte que je suis habitué au luxe avec ma Mercedes SLS. Matthew me dit que son cabriolet Tesla devrait alors me plaire. Je serai bien difficile de dire non ! Je sais qu'ils sont très " écolos " dans ce coin des Etats Unis et que les voitures électriques sont plus nombreuses dans cette ville. Il m'assure qu'il ne l'utilise plus et que Tyler à la sienne propre. Il ajoute que comme ça son fils ne sera plus un des seuls avec ce type de voiture sur le campus.
Quant aux visites de mes amis, il considèrerait comme une injure qu'ils descendent ailleurs que chez lui.
Quand on rejoint les autres et qu'ils apprennent ça, ils n'en sont même pas étonnés ! Tyler nous emmène au garage voir le bolide. Il est garé juste à côté du sien. Là mes amis sont bouches bée.
Alors qu'Henri et Kev sont déjà partis et avant que mes amis me quittent, Tyler organise un BBQ pour me faire connaitre quelques-uns (25 !) de ses amis.
Ils arrivent tous en shorts de surf et marcel large. Nous contrastons avec nos tenues plutôt moulantes. Sans moquerie, ils nous en font la remarque. Je repère rapidement les 5 Homos présents, même s'il n'y a aucune différence de comportement entre tous.
Avec l'avancée de la soirée et l'alcoolisation modérée, ils se rapprochent de nous. Sans entrer dans une étude comparative de la vie homosexuelle de chaque côté de l'atlantique, nous échangeons quand même. Ils ont un peu de mal avec ma vision de la chose et le fait que mes trois amis sont aussi mes trois amours et amants !!
Quand PH leur dit que notre relation ne s'entrave pas d'une fidélité absurde, ils trouvent cela finalement très intéressant ! Cela se traduit par un intérêt pour chacun d'entre nous plus " visible " !!
Les hétéros du groupe ne prennent pas ça mal et jalousent même un peu leurs amis qui eux ont des " possibilités " alors qu'ils resteront secs de leur côté.
Moi je trouve mon bonheur avec un des gays. Je ne sais pourquoi mais c'est le plus baraqué. De ma taille, il est aussi large d'épaule que moi mais blond très clair. Ses pecs lisses sont ornés de gros tétons qui me fascinent. Ça plus le paquet qui arrive à repousser le tissus pourtant lâche de son longboard m'ont attiré assez vite. Mais je ne peux m'empêcher de mater aussi un des hétéros !!! Je ne me refais pas !
Mon nouvel ami s'en aperçoit et me dit de ne pas me faire d'illusion, c'est le plus hétéro de tout le groupe présent. Qu'il valait mieux que je fasse une croix dessus tout de suite car comme ils sont tous à Berkeley, j'aurais l'occasion de le recroiser. Il me demande en quel sport j'allais m'inscrire. On échange sur ce sujet et j'ai le plaisir d'apprendre que lui-même est dans la section arts martiaux. Il arrive à me tirer la promesse de passer les voir alors que je lui dis aussi mon envie de suivre Tyler à son club de natation.
Avant qu'ils ne partent tous, je ne peux m'empêcher de faire un aparté avec lui (Dane). On s'isole dans la salle de muscu et là, il se transforme en tornade !! On se retrouve à poil avant même d'avoir atteint le centre de la pièce et je me retrouve propulsé sur un banc avec ma queue dans sa bouche. Ok je ne suis pas son premier et sa gorge a déjà vu passer des glands !
Je repousse sa tête le temps de lui dire de se mettre en 69 et à mon tour je fais connaissance avec la sienne. Superbe !! Bien droite et rose pale, circoncise, elle laisse découvert un gros gland rond et juste une teinte plus foncée. De belles couilles lisses me tombent sur les yeux alors qu'il me défonce la gorge. A la vue de l'occupation de cette dernière j'opte pour un bon 22x6. Il me semble prendre autant de place que le sexe de mon Marc.
On se fait plaisir un bon moment, limite si on n'était pas à démontrer que l'on était meilleur que l'autre !!
Intermède pelle, palpation... j'aime ses pecs bien fermes, ses tétons gonflés roulent sous ma langue et il réagit violemment, de plaisir bien sûr !
Petit flottement le temps de savoir qui va se prendre l'autre en premier. Privilège de l'invité, je suis le premier actif. Rondelle aussi lisse que ses couilles, rose pâle et joliment plissée, je la travaille à la langue avant d'y enfiler mes 20x5. Si elle me paraissait serrée tant que je la lubrifiais, elle sait s'ouvrir sous la poussée de mes reins. En levrette, son dos large sous mes yeux m'excite et je ne peux m'empêcher de poser mes mains sur ses épaules et, sèchement, de m'assurer que plus rien de reste dehors de ma bite. Je le lime un bon moment avant que l'on échange les places.
Je choisi de me mettre sur le dos. J'attrape mes pieds et écarte mes jambes tout en relevant mon cul pour le mettre à la bonne hauteur. Il s'agenouille entre et s'enfonce en moi. Quand il est bien au fond je plie les jambes sur ses reins pour le retenir quelques instants avant de le libérer. Il sait y faire lui aussi et me défonce royalement. Comme mon excitation monte, je l'attrape par le cou, lui roule un patin puis me met à juter entre nos abdos. Ma rondelle se contracte à chaque éjaculation et stoppe ses va et vient. Il ne tient pas longtemps et rempli sa kpote en grognant.
Quand on retrouve les autres, notre absence a été remarquée !!
PH m'attrape et me demande si les " indigènes sont bons ". Je lui réponds qu'ils se défendent ! Dane qui était dans mon dos me pousse d'un coup de bassin dans les fesses et répond à PH qu'il n'a pas tiré un mauvais numéro lui non plus (en parlant de moi).
Les hétéros nous quittent alors que Tyler nous autorise et nous pousse à partouzer avec ses potes homos. Ce que j'apprends c'est qu'ils lui avaient tous demandé ce " service " afin de gouter du Frenchie
Par commodité et discrétion (rapport au paternel tolérant mais qui ne tient pas à ce qu'on s'encule devant ses yeux), nous investissons la salle de muscu. Les bancs sont poussés contre les murs avant qu'on s'en serve et ça démarre chaudement.
Je bande dur, même si je me suis vidé il n'y a pas longtemps et c'est pareil pour Dane. Tous à poil, y'a rien à jeter ! Nos " amis " sont aussi sportifs que nous et aussi peu velus ! Je fais la connaissance plus intime des 4 autres invités. Beaux culs et bites généreuses ça va le faire !
Alors que Tyler allait nous laisser, je l'attrape et, aidé de 2 autres américains, lui arrache le short qui masquait sa queue raide. Je remarque tout haut comme quoi il bande dur devant des mecs à poil pour un hétéro. Il rit et me dit être plutôt dans la catégorie Bi.
Mes amours sont déjà en main et goutent l'échantillon local. Les 24cm d'Ernesto font leurs petits effets et ils se mettent à 2 pour les honorer.
Nos prépuces les interpellent alors que le fait qu'ils soient tous circoncis ne nous étonne pas.
Je me choppe le plus léger afin de délirer dans des positions moins classiques. Il fait quand même bien ses 70Kg et je me fatigue vite ! Il n'empêche que j'ai pu l'enculer en porté debout. Ses jambes autour de ma taille, il s'est appuyé sur mes hanches pour de lui-même monter et descendre sur ma bite. C'est ça qui est bien avec les sportifs c'est que musculairement ils suivent.
Je l'ai quand même fini, lui dos à l'espalier, les mains accrochées au barreau le plus haut, ses jambes relevées sur mes épaules, mes mains sous ses fesses pour assurer la bonne hauteur de sodo. Sa rondelle musclée à fait son effet sur mes 20x5 et j'ai rempli ma kpote. Comme le bon garçon que je suis, j'ai attendu qu'il nous tapisse les abdos de sa " crème " avant de me laisser aller.
Retour sur terre de mon partenaire un peu flageolant.
Je matte autour. Tyler se fait défoncer en levrette par mon PH à moi. D'après ses cris, je pense qu'il y prend du plaisir. Ernesto se termine dans le cul d'un autochtone qui brame à qui veut l'entendre qu'il n'a jamais connu ça.
Comme si nous allions le croire !!
Jardinier
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new year's life savers boat race
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