#Dans ce monde ou dans l'autre
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#avis et commentaires#littérature#bookinette#suggestions#livres#lecture#books and libraries#literature#Cathrine Locandro#Dans ce monde ou dans l'autre#Albin Michel
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euh par contre jviens de voir dans le programme du ciné que love lies bleeding était interdit -12ans mais par contre kinds of kindness non open à tout le monde? 🤨 littéralement viol sur grand écran le film de yorgos mais c'est trop quand c'est des lesbiennes qui font l'amour ok d'accord pardon. y'a d'autres scènes de cul consentit aussi dans kinds of kindness donc genre euh ouais c'est quand que c'est trop pour un gosse du coup
#je me suis dis c'est peut-être la violence pour dans love lies bleeding mais. coupage de doigt + foie à l'air dans kindsofkindness#donc what is it#et le reste aussi j'ai zappé il me soule de + en + ce film dès que j'y pense jsuis grognon MDRRR#y'a un autre film (sons - pas vu jpeux pas dire si c'est justifié) où y'a écrit “avertissement des scènes propos ou images peuvent heurter#la sensibilité des spectateurs “.... ok mais kinds of kindness tu peux amener ton gamin ça va du coup#je dis pas que c'��tait le film le plus choquant du monde hein mais. dire que love lies bleeding -12 mais l'autre 0 problème je 🧍#mettre un âge minimum c'est pas ça le problème c'est compréhensible mais quand y'a genre une logique derrière jsp 🧍#jsuis ptet juste un hate bref
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Ok, ça me gosse d'avoir travaillé au moins 4 ans en centre d'appel, parce-que là j'appelle a des places pis j'me rend compte que taaaaa....sti, ça fait 3 incompétents (oh, je vous le certifie, si j'avais répondu a mon monde de même esti que j'me serait fait whiplash sur un esti d'temps), pis oui avant que le monde assume: chu tombé sur du monde d'icitte, c'est ça la joke, les opérateurs locaux prennent tellement leur fucking place pour acquis et ça s'écoute à chaaaaaque appels. Au salaire qu'ils sont payés (revenu québec, l'agence du revenu du canada et service canada paient assez bien comparé aux centres de délégations (la majorité des compagnies réfèrent à l'externe pour leur services de communications, ça coute moins cher, pis c'est plus encadré, ironiquement, donc non je ne parle PAS a de pauvre petits souffrants au salaire minimum, nenon, ça c'est la gars que t'engueule parce-que tu panique parce-que tu t'es faite frauder ton compte de telephone ou whatever, lui, ouais, lui il est probablement au salaire minimum (et ironiquement va probablement vous laisser chialer, du moins moi j'les laissait faire en masse), non là c'est juste des esti de bébés du calisse qui peuvent rien faire pour aucune raison justifiable autre qu'ils ne maitrisent probablement pas leur système d'interface ou ils ont probablement reçu le training le plus mediocre que la terre ait porté.
Aussi, racrocher la ligne quand le client n'élève même pas le ton (si tes appels sont autant checkés que les notres étaient, oops lmao, en plus la fucking condescendance sans mérite, esti d'pouffiasse), come on, criss, deal pas avec la réalité fille, tu vas chier dans tes culottes. Criss si c'est de même qu'a réagit quand le monde sont pas trop de bonne humeur (c'est ça l'affaire, c'est que c'était même pas contre elle à la base, c'est juste que y'a fallu j'lui explique mon motif d'appel pis elle était même pas en mesure de comprendre ma demande qui est, on ne peut plus, de base, donc malheureusement vu le contexte j'ai pas le choix de souligner l'incompétence générale de tout le monde dans l'affaire (les faits sont les faits) jusqu'à ce qu'elle dise de quoi au quel j'y ai répondu franchement, mais comme cherche moi pas si tu peux autant pas en prendre que ça)Eh boi, l'incompétence était présente au bout du fil. 1 800 622-6232, service canada par moments mais incompétence inébranlable, toujours.
#comme j'veux juste pouvoir accéder a mon dossier mais vu que mon adresse est pas a jour parce-que l'incompétence encore une fois ou au moins#juste avoir ma dernière cessation d'emploi#pas la mer à boire là#pis tout le monde m'envoie d'un bord à l'autre#pis pour les caves qui chialent contre les immigrants en centre d'appels#sorry mais l'an passé quand j'ai du appellé pour encore some connerie#c'était quelqu'un qui maitrisait ni le français ni l'anglais mais malgré tout y'a pu tout faire du tac au tac dans un délais impressionant#so yea j'comprend les blanchons de craindre l'immigration: ça risque de les remettre à leur fucking place sur un esti de temps#parce-que pour vrai on va s'le dire le québécois moyen est généralement une représentation exemplaire de la médiocrité à l'état pure#aye non mais come on y'a littéralement fallu que j'décrive à la guegoune ce qu'est une cessation d'emploi parce-qu'à comprenais pas#imagine être conne de même ça se peut-tu???#Une cessation d'emploi c'est le doccument après lequel tu vas devoir courrir après bientôt si tu continue comme ça
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Je fais suite à mon message original et notamment à cette réponse (et j'arrive même à taguer la personne 😩). Je précise que j'ai un ton de discussion, même si mes formulations peuvent être ressenties comme accusatrices 🙏
Ce n'est pas le droit à la critique que je remet en question, mais le moyen.
Pourquoi ne pas formuler les critiques directement aux personnes visées ?
Pourquoi exprimer son mécontentement sur une plateforme sur laquelle les concernés ne sont peut-être pas (et par extension, n'ont pas le droit de réponse)
Pourquoi ne pas accompagner les critiques avec des ressources dont on a déjà connaissance ?
Pourquoi assumer que tout les cas rencontrés sont issus de la mauvaise foi des concernés ?
Et pourquoi faire d'un cas prouvé de mauvaise foi une généralité ?
Pourquoi assumer que tout le monde à accès/connaissance à toutes les ressources ?
Si mon message semble accusateur, comment se sentent les personnes qui se reconnaissent dans les critiques formulées avec une claire intention d'exprimer de l'indignation et du ras-le-bol ?
La façon dont on s'exprime provoque un cercle vicieux dans lequel ceux qui sont d'accord surenchérissent et ceux qui ne le sont pas entrent directement en conflit et/ou se braquent.
Plus d'apprentissage, plus d'échange.
On est une communauté qui doit se nourrir sur les bonnes intentions des un et des autres (tu rp -> je réponds, tu créés -> je partage). Manquer de temps et de connaissance peut être comblé par l'ouverture de discussion dans lequel on peut proposer des initiatives.
On est en train de perdre de l'activité (c'est un fait et c'est normal), mais si on ne veut ralentir cette pente descendante, on doit se rappeler qu'on doit s'investir. Il faut continuer à répéter et répéter, transmettre d'une plateforme à l'autre, le tout dans l'espoir que certaine notion devienne des normes.
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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Conseils accessibilité graphique
Je me dis que c'est le bon moment pour re-poster ce post de 2021 qui trainait dans mon ordi, suite au message de @petrichorpg !
Point à noter :
L'accessibilité, ce n'est pas tout ou rien. On peut améliorer beaucoup de choses et d'autres seront plus difficiles car nous n'avons pas les connaissances, les compétences, le temps ou l'énergie. Le plus important, c'est de s'y mettre.
Même si je suis un fervent admirateur du design dit universel (bon pour tout le monde), l'accessibilité a aussi ses besoins de personnalisation. Certains handicaps, maladies, neuroatypies requièrent des aménagements précis et qui n'iront pas à tout le monde. -> Exemple : des personnes liront mieux en grand, d'autres en petit (vision tubulaire) ; un dark mode hyper contrasté conviendra bien à quelqu'un mais sera trop "bright" pour d'autres (c'est mon cas, j'adore le dark mode mais souvent, les textes sont trop lumineux pour moi).
Mais globalement, les conseils ci-dessous répondent à beaucoup de besoins et permettent d'améliorer l'accessibilité globalement. Ils sont majoritairement issus des recommandations internationales (et sinon, à travers mon expérience de graphiste).
J'ai encore pleins d'idées sous le coude mais bon, là j'ai déjà corrigé certains éléments de cette liste partagée en 2021. On verra pour le reste un jour aha
Je suis ouvert à toute question, clarification et correction en commentaire !
“Mais souvenez-vous que vous ne faites pas ce design pour des designers. Vous concevez un site pour des utilisateurices varié·es aux besoins divers, et avec différents outils pour y accéder.”
(terminologie : user -> utilisateur·trice / dys’ -> raccourci pour évoquer une partie ou l'ensemble des troubles d'apprentissage dont le préfixe est « dys »)
Typographies :
Textes tout en uppercase/capitales : À éviter sur tout un paragraphe, à garder pour de court mot ou court texte (1 ligne) -> Pourquoi ? Globalement, les textes tout en capitales manquent de lisibilité à cause de l’absence des repères de lectures comme les lettres qui montent (l,d,k) et qui descendent (p,j).En majuscules, toutes les lettres sont à la même hauteur.
Textes tout en lowercase/minuscules : À éviter aussi, les majuscules servent de repère de lecture pour savoir quand une phrase débute ;).
Texte centré : Éviter les textes centrés quand ils sont trop longs (longues lignes ou beaucoup de lignes). -> Pourquoi ? Les lignes d'un texte centré ne débutent pas aux mêmes endroits et la lecture en est impactée. À garder pour de très courts textes type 2 lignes (citation, titre et sous-titre court...)
Texte justifié : Éviter globalement (oui je sais, 98% des forums ont leurs textes justifiés aha....) -> Pourquoi ? Sur le web, on peut difficilement gérer les espaces entre les mots. Un texte justifié va donc créer des espaces + ou - grands entre chaque mot pour combler l'espace et rentrer dans une largeur fixe, ce qui peut complexifier la lecture (l'oeil va plus difficilement sauter d'un mot à l'autre en gros).
Texte aligné sur la gauche : À privilégier au max, surtout les longs textes ! Je sais que le justifié rend plus "esthétique" car tout est aligné. Si on veut les garder, plutôt pour les textes de catégories et privilégier le texte aligné à gauche (dans le jargon on parle de ferré à gauche) pour la majorité des textes type annexes, rp...
Line-height (espace entre les lignes) : Pour les paragraphe, il est recommandé d'avoir un line-height de x1.5 de la taille du texte. -> Exemple : paragraphe en 16px → 16x1.5 = votre line-height. Pour les grands titres, j'ai tendance à descendre à x1.3 généralement car normalement les titres sont courts et grands.
Letter-spacing (espace entre les lettres) : Éviter de changer les espacements de lettres, surtout sur ce qui est titre et paragraphes. Normalement une typographie a des espaces précis pour faciliter sa lisibilité. En ajouter peut créer des difficultés de lecture.
Niveaux de titres (ce qu'on nomme H1, H2, H3) : Choisir plusieurs niveaux de titres et s'y tenir. Il faut que chaque élément ayant le même niveau d’informations soit dans le même style graphique à chaque fois pour aider à comprendre la structure :) -> Exemple : tous les titres d’annexes = tel css / tous les boutons = tel css / tous les sous-titres = tel css. -> Partage d'infos en plus : les Hr ont aussi un rôle de structure pour les lecteurs d'écran (logiciel qui restitue vocalement ou en braille l'information écrite. Ils sont utilisés par certaines personnes aveugles, malvoyantes, qui ont des troubles cognitifs...).Je n'en parlerai pas dans cette liste car je n'ai pas de connaissance sur la facilité d'usage de Forumactif avec un lecteur d'écran.
Taille de texte : Sur le web, il est recommandé d'écrire en 16px minimum pour les paragraphes.
Accent et texte : Garder les accents sur les majuscules (À, É) facilite aussi la compréhension des textes.
Largeur de textes : Normalement sur FA, on n'a pas ce soucis, mais on conseille globalement d'avoir entre 50 et 70 caractères, espaces compris, par ligne pour une bonne lisibilité. Le but n'est pas de calculer chaque ligne mais de se rendre compte de ce que ça signifie visuellement ( j'utilise le site compteursdelettres).
Mise en valeur :
Changement de typographie : Éviter les changements de typographies dans des paragraphes pour mettre en valeur des éléments ! Plutôt utiliser le gras, une couleur différente ou un surlignement en couleur discrète (mais visible, faut juste pas que ça soit TROP visible).
Nombre de mises en valeur : normalement, une mise en valeur ne devrait pas être trop présente car sinon...ça voudrait dire que tout le texte est important aha. Restons utile et efficace : un peu de gras, un surlignement si besoin d'avoir 2 CSS de mises en valeur mais ne faisons pas un sapin de noël.
Italique : Utiliser l'italique avec parcimonie (manque de lisibilité sur certaines typographies). En général, l’italique sert pour des citations courtes, des mots en langue étrangère à celle du texte, des noms propres ou d’ouvrages, pas juste pour “faire joli”.
Soulignement : Éviter d’utiliser le soulignement pour des éléments non-cliquable. C'est un code connu et reconnu dans le web pour visibiliser les liens alors autant l'utiliser comme le cerveau s’y attend :)
Liens et infos :
Élément cliquable (bouton, lien, flèche...) : pas trop petit et éviter des éléments cliquables trop proches les uns des autres. -> Pourquoi ? Une personne qui a des troubles de la vision ou de la motricité pourrait galérer à cliquer au bon endroit si c'est trop petit / trop proche d'un autre élément cliquable !
Lien et css : je conseille toujours de garder le soulignement pour les liens, c'est un code connu du web alors autant de ne pas réinventer la roue. On peut ne pas avoir de soulignement pour ce qui est "logique" (genre les menus, on sait globalement que c'est cliquable) mais un lien dans un texte, on garde le soulignement ! -> Note : Un lien en couleur seule n'est souvent pas suffisant, surtout si on utilise déjà la couleur et/ou le gras pour mettre en valeur (il y a des cas à la marge mais j'essaye de rester efficace).
Cacher du contenu : Éviter de trop dissimuler du texte dans des collapses/accordéons. Plus les textes seront cachés, plus ça créer un sentiment de “mauvaise” surprise chez les users qui se retrouvent à lire 4x plus de texte que ce qu'iels pensaient.
Renseigner ce qu'on va trouver : Sur de longues annexes, ne pas hésiter à préciser le contenu avec une introduction courte qui résume ou avec un mini sommaire. Pourquoi pas y ajouter des ancres (html) pour faciliter la navigation dans l’annexe.Liens entre les informations : Ne pas hésiter en fin d’annexe/contexte à mettre des liens vers d’autres sujets qui serviront à mieux comprendre ce que les membres ont lu juste avant. Pas tous les liens, juste ceux autour des informations évoquées au dessus. En gros, aider les users à mieux comprendre en leur indiquant où se rendre ensuite !
Plan de forum : Sur un site, on conseille d'avoir une page "Plan du site", qui récapitule toutes les pages. Je me dis qu'un post "plan du forum", spécifiquement pour la partie annexe, peut-être très cool.
Couleurs :
Contraste général : Ni trop fort, ni trop faible. Dans les recommandations officielles d'accessibilité, on parle de ratio de contraste. Il existe des outils pour tester les couleurs de texte sur les couleurs de fonds pour voir si on est dans les clous. -> Comment s'y prendre ? Je vous recommande l'outil Color Contrast Analyser qui est un logiciel sur Mac et Windows : vous entrez la couleur de texte (1er plan) et la couleur de fond (2e plan) pour obtenir un ratio de contraste. L'objectif est de viser la conformité sur "texte normal" et "texte grand" du niveau "AA" (je conseille toujours le niveau AA car sinon on rentre dans des choses plus précises type si texte plus de 24px, on peut être moins contrasté etc...)
D'autres site de contraste (si besoin, je serais ravi de faire une vidéo pour montrer comment les utiliser) : Colorsafe.co ou Contrast-finder
Couleurs pures ou vives : Éviter les couleurs dites pures (noir #000 sur blanc #FFF, etc) ou très vives. Privilégier des nuances comme un noir coloré, grisé ou un blanc cassé, une couleur descendue et pas flashy, surtout pour ce qui est texte ! Même si le contraste sera bon, certaines couleurs trop vives peuvent entrainer des migraines ou autre sensibilité à la lumière.
Gifs : Éviter les gifs avec flash de couleurs ( type spot de soirées) ou flash trop rapides / répétition. Ça peut entrainer une crise d’épilepsie photosensible chez les personnes épileptiques (et aussi des migraines). Ou alors prévenir en amont. Donc à éviter sur des headers, à un moment c'était assez tendance. -
Éléments animés : Toujours laisser la possibilité d'arrêter une animation (ex : un fond de forum qui bouge pour donner un côté grain de vieux film -> on a un bouton qui permet de stopper cette animation.) Ça peut être plus complexe à faire mais une animation qui tourne en boucle, niveau concentration, c'est chaud :/
Information et couleurs : Ne pas signaler une information uniquement par la couleur -> Exemple : "info importante en rouge" ou pour diviser une liste d'info "en rouge les malus, en vert les bonus". -> Pourquoi ? Les personnes daltoniennes verront le rouge jaune/marron ou rose (il existe plusieurs types de daltonisme). -> Comment ? En plus d'une couleur, on peut accompagner d'un pictogramme, d'un symbole (triangle rouge = telle info ; carré vert = telle info), ou d'un mot, tout simplement. Ne pas oublier la légende ;) En plus, c'est top pour apporter un peu plus d'identité graphique !
Récurrence d'usage des couleurs : Utiliser chaque couleurs pour les mêmes éléments au fil des pages. -> Exemple : Une palette avec du bleu doux , du gris perle et du bleu marine : le bleu doux pour tous les boutons et liens, le bleu marine pour tous les titres, le gris perle pour les separateurs....
Autres :
Poids des visuels : L'accessibilité concerne aussi l'accès à l'information quel que soit notre matériel ou notre type de connexion. Tout le monde n'a pas la fibre et des headers de 3 mo (oui j'a déjà vu :/) peuvent être très pénibles à charger. -> Conseils : N'oublions pas de diminuer le poids de nos images en passant par des logiciels de compression (compress jpg ; compress png ; compress gif). Il est toujours possible de trouver le juste milieu entre qualité et poids !
Laisser la parole : que ce soit dans un post dédié, un questionnaire en ligne et anonyme, par MP au staff ou dans la fiche de présentation (le forum Maybe this time le propose par exemple), on peut intégrer la possibilité de faire des retours d'accessibilité ou préciser des besoins précis. On ne peut pas penser à tout et peut-être qu'un besoin remonté par un·e membre aidera d'autres qui n'ont pas osé en parlé !
Pour aller plus loin :
En anglais : conseils sur les couleurs pour les personnes avec des handicaps visuels
Designing-for-color-blind-users
Colour-accessibility
En français : accessibilité, design, webdesign
Le site design accessible
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Les Celtes croyaient que les abeilles étaient des intermédiaires entre ce monde et l'autre. Ils pensaient que les abeilles pouvaient aider à transmettre des messages de ce monde au monde des morts, les aidant ainsi à communiquer avec leurs proches. Les abeilles sont tellement respectées pour leurs capacités qu'il existe même des documents juridiques créés dans le but de protéger toutes les pratiques liées aux abeilles. Le miel contient des enzymes vivantes.
🐝 Au contact d'une cuillère en métal, ces enzymes meurent.
🐝 La meilleure façon de manger du miel est d'utiliser une cuillère en bois ou en plastique.
🐝 Le miel contient une substance qui aide le cerveau à mieux fonctionner.
🐝 Le miel est l'un des rares aliments sur terre qui ne peut soutenir que la vie humaine.
🐝 Une cuillère à café de miel suffit à maintenir la vie humaine pendant 24 heures.
🐝 La propolis, produite par les abeilles, est l'un des antibiotiques naturels les plus puissants.
🐝 Le miel n'a pas de date de péremption.
🐝 Les corps des grands empereurs étaient enterrés dans des cercueils en or recouverts de miel pour éviter qu'ils ne pourrissent.
🐝 Le terme « lune de miel » vient de la tradition qui veut que les jeunes mariés consomment du miel pour assurer leur fécondité après le mariage.
🐝 Une abeille vit moins de 40 jours, visite au moins 1 000 fleurs et produit moins d'une cuillère à café de miel au cours de sa vie.
🐝 L'une des premières pièces de monnaie portait un symbole d'abeille.
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°5 | Francesim, Versailles, 26 Thermidor An 230
Emperor Napoleon V wanted to talk to his Council of State about the fundamental laws of the Empire. He was concerned about the place and power that his grandfather, Louis Simparte, might have in the imperial family. His Majesty went to the meeting with his friend and newly appointed councillor, Grégoire.
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⚜ Traduction française
L'empereur Napoléon V souhaite s'entretenir avec son Conseil d'État à propos des lois fondamentales de l'empire. Il s'inquiète de la place et du pouvoir que pourrait avoir son grand-père, Louis Simparte, dans la famille impériale. Sa Majesté se rend à la réunion en compagnie de son ami et conseiller, Grégoire, fraîchement nommé.
(Grégoire) Ton oncle est resté à Paris ?
(Napoléon) Oui, il ne sera pas là exceptionnellement
(Napoléon) Et j'ai besoin de vos conseils avant mon sacre (Grégoire) Qu'est-ce qui est à l'ordre du jour ?
(Napoléon) Je veux étudier les lois fondamentales de l'empire (Grégoire) Oh, je m'attendais à autre chose.
(Grégoire) La situation avec l'autre Louis, par exemple
(Napoléon) C'est à propos de lui, en fait
(Grégoire) Tu veux changer les lois dynastiques ? (Napoléon) S'il le faut (Grégoire) Mais pourquoi ?
(Grégoire) Ton grand père ne veut pas du trône, ou rejoindre la famille impériale (Napoléon) Il en fait partie malgré lui. Tout le monde attend que je me prononce sur lui. Nous devons clarifier sa position dans notre famille
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[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]
XIV - La Ville Invisible
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
Des années de mystère m'avaient amené à ce seul paragraphe. Un voyage où, à chaque étape du chemin, j'espérais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions à la place. Cette fois ne faisait pas exception.
Je l'ai répété encore et encore dans mon esprit. C'était enivrant. Ça ressemblait à une incantation pour des esprits puissants, comme écrit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus à moi. Même mes rêves avaient commencé à échapper à ma mémoire, comme l'amnésie dans une berceuse.
J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’où mon nom s’est élevé jusqu’aux cieux. Cette épitaphe qui apparaît sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mêmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont précédé les ténèbres.
J'ai appelé Mars Éditions encore et encore, personne ne répondait. Je suis allé au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au néon était éteinte et il n'y avait personne à l'intérieur. J'ai appelé The Library of Babel à Londres où j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement à quoi m'attendre. C'est-à-dire pas de réponse.
Il me semblait que j'étais vraiment seul.
Dès le début, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-être l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'étais honnête avec moi-même, aussi fou que ça puisse paraître, j'avais l'impression que Leonora elle-même essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.
Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intérêt pour cette phrase latine particulière et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongé non seulement dans le monde de l'épopée romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surréalistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.
Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intérêt s'est élargi de jour en jour et j'ai découvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystères à explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, Noëmi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformé ma vie en un rêve ambulant et ont ajouté une touche de magie à ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'étaient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.
Malgré cela, Leonora ne m'a jamais quitté. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espère plus que tout qu'un jour je pourrai répondre à l'appel. Que si je peux enfin être là pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rôle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvé, mais je ne la connais pas encore.
En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rêves, en cette nuit sans fin. 𑁍
#s22e06 from atlantic to pacific#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita#ancient fire#invisible spiral#midnight caller#eternal moon
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Mais pourquoi toujours mentir ?
Un fidèle lecteur, sans doute plus excédé que d'habitude, me fait parvenir le discours exaspérant que notre président (pour combien de temps encore ? Mon Dieu ! Que c'est long...) s'est cru autorisé à prononcer récemment à Rabat, ''en notre nom'' (sic !). En fait, avec seulement 17 % des français qui le jugent capable de diriger le pays, il a renoué, une fois de plus, avec son étiage régulier depuis le premier tour du scandale bananier qu'a été la ''présidentielle'' de 2022 --que je rappellerai, perinde ac cadaver, dussé-je être le dernier à le faire. On se demande au nom de qui il pourrait encore prétendre parler ! Au nom d'une toute petite poignée de français, peut-être ?
Le voilà donc en représentation officielle devant le Parlement marocain, ce magnifique bâtiment conçu par Lyautey et bâti par MM. Laforgue et Planque --architectes de talent que j'ai bien connus-- entouré de sa garde prétorienne de repris de justice et de petites frappes d'origine marocaine dont la seule présence, dirait-on, le rassure, année après année. Il aurait pu dire des tas de trucs passionnants, d'actualité ou d'histoire --mais vrais. Eh ! bien non... Il a fallu qu'une fois de plus il aille farfouiller dans les arrière-cours de la cuisine immonde d'une histoire réécrite en faux, refabriquée, toute en mensonges et en inventions répétées, en ressortant cette énormité que tout le monde avait jetée dans un cul de basse fosse après un premier succès d'estrade dans les années '60 (je cite) : ''Les années d’El Andalous ont fait de l’Espagne et du sud de la France un terreau d’échange avec votre culture''. Et puis quoi, encore ? Pourquoi pas un ''prototype de son vivre ensemble'', tant qu'il y était ?
Fidèle à notre méthode, je vous propose un ''retour sur images'' pour voir sur quoi je m'appuie pour dénoncer cet énorme bobard. L'expression, tout d'abord : pour mensongère qu'elle soit, elle n'est même pas de lui, mais est tirée d'une étude de 2007, ''Redécouvrir la science Arabe'', signée par un parfait inconnu, Richard Covington et publié par la Saudi Aramco World Services Company... sans doute en quête, à l'époque, de nouveaux contrats juteux à signer... et prête, pour ce faire, à caresser dans le sens du poil tout ce qui passe...
''El Andalous'', ensuite. Il voulait sans doute parler de ''al-Andalous'' qui désignait pour les seuls arabes la très romaine --et bien plus ancienne-- ''Hispania''. Passons, c'est un détail : ayant ''fait l'ENA'', il se croit autorisé à faire ou dire n'importe quoi... sans penser que l'immense Michel Audiart avait déjà caractérisé les tenants de ce genre de posture... Et si on suit les méandres tordus de sa non-pensée vide, il y aurait eu, depuis que la Terre tourne, deux types de ''colonialisme'' : l'un, le français, mauvais en tout, dans son âme intrinsèquement perverse, tout juste bon à être qualifié de ''crime contre l'humanité'' lorsque ''notre'' (?) Macron se traîne aux pieds de l'infâme Tebboune (petit rappel : Tebboune ne se traduit que par vulve ou vagin ... ceci pouvant expliquer cela !) en lui répétant les énormes mensonges que cet esprit pervers adore entendre...
Et l'autre, le beau, le bon, le magnifique : le colonialisme arabe, qui a traversé les siècles sans une tache sur sa réputation, celui (et là... les foules enthousiasmées se lèvent, dans une ''standing ovation'' hollywoodienne !) qui a permis la merveille des merveilles, ce pays béni où juifs et chrétiens ont enfin --et seulement-- touché le bonheur : al-Andalous ! On devrait tous être malades de ne pas avoir connu cet ''âge d'or''... même si, ici ou là (la vérité est : ici ET là !), les vainqueurs ne se gênaient pas --dans les mœurs du temps-- pour esclavagiser les vaincus, qui étaient ramenés au statut peu enviable de ''Dhimmis'' (interdiction de témoigner devant un tribunal, ou de posséder un cheval ou une arme quelle qu'elle soit, obligation de laisser le passage à tout ''Croyant'' et de ne marcher que sur la chaussée, pas sur les trottoirs, ou encore interdiction de construire des habitations qui dépassent en hauteur celles des voisins musulmans. Et, bien entendu, l'obligation incontournable de payer une lourde taxe, la Djizyia, assortie de l'interdiction de construire de nouveaux lieux de culte... On reste pantois devant le bonheur qui résultait de l'application de ces principes --parmi tant d'autres joies imposées par un pouvoir caractérisé par sa ''tolérance''. Je comprends que Macron regrette amèrement de n'être pas né assez tôt pour avoir bénéficié de ce Paradis terrestre.
Il n'en reste pas moins vrai que le message, clair et indiscutable, qui a été lancé une fois de plus ne peut avoir qu'une seule et unique conséquence : monter encore davantage contre nous --si c'est possible-- les jeunes de ce qui fut ''nos banlieues'', en les confortant dans le culte permanent d'un des plus graves mensonges de l'histoire (pourtant prolifique en la matière)... comme si les dites banlieues, devenues depuis ''terres de non droit'' et déjà tellement hostiles à tout ce qui représente la France, avaient besoin de ça !
Le gag de la situation tient dans la réaction unanime du peuple marocain à ces libertés prises par notre lamentable président avec la vérité : eux, nos chers amis marocains, savent la vérité sur les deux extrêmes de ce double mensonge : ils savent de quoi leurs ancêtres étaient capables, et ils savent aussi tout le bien qu'il faut penser de l’œuvre iso-colonisatrice française ... pour l'avoir vécue ou avoir profité de ses retombées à travers le temps, pour les plus jeunes.
Al-Andalous fut certainement une forme de Paradis terrestres (leur ''Fridaouz'')... mais uniquement pour les envahisseurs qui ont tellement pressuré les populations qu'ils ont pu se payer des palais de rêve, des Alhambras (= châteaux rouges), des jardins paradisiaques, des étoffes rares (interdites aux Dhimmis, bien entendu !) et une manière de vivre qui allait de pair avec le rejet de leur pouvoir par la totalité de la population. Et si la brutalité de leur règne a permis de faire durer cette aberration plusieurs siècles, cela ne saurait constituer la justification d'un des plus gros bobards que l'histoire ait fabriqués.
Monsieur Macron, non seulement vous avez, une fois de plus, raconté n'importe quoi, mais toute cette laideur voulue s'est, dans la seconde, retournée contre vous. Et ça, voyez-vous, ce sont deux bonnes nouvelles comme vous ne nous avez plus habitués à en avoir... On vous remercierait presque, de mentir si stupidement !
H-Cl.
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Destinée Enchantée
Chapitre 10 : La mort
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Agatha dormait profondément, enveloppée dans un cocon de chaleur et de douceur. Les rayons du soleil filtraient à travers les rideaux, créant un jeu de lumière sur son visage serein. Son souffle était régulier, presque musical, tandis qu'un doux sourire se dessinaient sur ses lèvres, témoignant de rêves agréables. Elle était si plongée dans son sommeil qu'elle ne remarquait même pas qu'Ivana avait quitté l'espace douillet. Les draps s'étaient légèrement froissés là où Ivana avait été, mais Agatha, dans son monde de tranquillité, restait totalement inconsciente de cette absence. Les bruits du matin, doux et lointains, semblaient s'évanouir autour d'elle, ajoutant à la sensation de paix qui l'entourait.
Lorsque Agatha ouvrit doucement les yeux, la lumière du matin l'accueillit avec une douceur presque palpable. Elle cligna plusieurs fois des paupières, essayant de chasser la brume du sommeil qui enveloppait encore son esprit. En se redressant lentement, elle remarqua l'absence d'Ivana à ses côtés. Un frisson d'inquiétude parcourut son échine, et elle fronça les sourcils, son cœur se serrant à l'idée de ce qui avait pu se passer.
Agatha s'assit sur le bord du lit, les draps froissés glissant sous elle. Elle balaya la chambre du regard, cherchant des indices, des signes qui pourraient expliquer cette soudaine solitude. La panique commença à s'installer dans son esprit, alimentée par la peur que Ivana puisse regretter la nuit qu'elles avaient partagée. Des souvenirs de rires et de confidences lui revinrent, mais l'angoisse de l'incertitude assombrissait ses pensées. Elle se demanda si Ivana était partie par crainte ou par doute, et son cœur battait plus vite à chaque seconde qui passait.
Perdue dans ses pensées, Agatha flottait dans un océan de réflexions, son esprit vagabondant d'une idée à l'autre, sans prêter attention à son environnement. Les bruits de l'eau s'écoulant dans la salle de bain résonnaient doucement, mais elle était tellement absorbée par ses préoccupations qu'elle ne remarqua pas immédiatement qu'Ivana en était sortie.
Ce ne fut qu'un mouvement furtif dans son champ de vision qui attira son attention. Lorsque le regard d'Agatha se posa enfin sur Ivana, un frisson d'excitation parcourut son corps. Ivana se tenait là, radieuse, portant la chemise violette foncée d'Agatha, qui épousait parfaitement ses formes. La couleur mettait en valeur la douceur de sa peau et contrastait avec ses cheveux, créant une image à la fois familière et captivante.
Agatha observa Ivana avec admiration, ses lèvres s'humidifiant instinctivement alors qu'un sourire se dessinait sur son visage. Elle adorait voir Ivana vêtue de sa chemise, cela lui donnait un sentiment de proximité et d'intimité. La chemise, souvent associée à des moments partagés et à des souvenirs doux, semblait maintenant porter un nouveau sens, une sorte de lien entre elles. Agatha se sentit soudainement réconfortée, comme si la présence d'Ivana dissipait les nuages de ses pensées.
Agatha, avec une voix douce et mélodieuse, s'approcha d'Ivana, ses yeux pétillants d'une curiosité malicieuse. "Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres.
Ivana, surprise mais amusée, répondit en souriant, "Oui, une objection avec ça ?" Son regard pétillait de défi, comme si elle savait que sa réponse provoquerait une réaction.
Agatha se leva lentement, ses yeux ne quittant pas Ivana, admirant la façon dont la chemise épousait ses courbes. Elle se sentait comme si son cœur battait la chamade, chaque battement résonnant dans son être. Elle s'approcha d'Ivana, la chaleur de son corps la rapprochant encore plus. Puis, sans hésitation, elle l'embrassa tendrement sur les lèvres, un baiser chargé de passion et d'affection.
Après ce moment doux, Agatha murmura à l'oreille d'Ivana, "Malgré que j'adore cette couleur sur toi, je te préfère sans rien." Ses mots étaient chuchotés, pleins de tendresse et de désir.
Ivana, un sourire en coin illuminant son visage, répliqua avec malice, avant de l'embrasser à nouveau, cette fois-ci avec une intensité qui faisait vibrer tout son être. Leurs lèvres se rencontrèrent une fois de plus, scellant ce moment de complicité et d'amour partagé.
Suite au baiser, Agatha ne pouvait s'empêcher de poser son regard sur le cou d'Ivana, où se dessinait un suçon, une marque indélébile de leur passion. Elle s'approcha, ses doigts effleurant délicatement la peau d'Ivana, traçant des cercles doux autour de cette empreinte.
Ivana, amusée par l'attention d'Agatha, leva les yeux vers elle et dit avec un sourire espiègle : "Tu admires ton travail ?"
Agatha, un sourire en coin se formant sur ses lèvres, répondit avec une lueur malicieuse dans les yeux : "Au moins, les gens savent que tu es à moi. Te plains pas j'aurai pu poser une rune sur toi" Elle se pencha un peu plus près, ses mains se posant sur les hanches d'Ivana, accentuant leur connexion.
Ivana, mordant légèrement sa lèvre inférieure, répliqua avec un air provocateur : "Qui a dit que ça ne m'aurait pas plu ?" Son regard pétillait de défi, révélant une complicité pleine de jeu entre elles.
Agatha, sentant une vague d'excitation à l'écoute des mots d'Ivana, se mordit la lèvre, un sourire complice illuminant son visage. La tension entre elles était palpable, comme une douce promesse d'aventures à venir.
S'approchant encore plus près, elle laissa échapper un souffle chaud, chuchotant sensuellement à l'oreille d'Ivana : "Moi, j'adore l'idée." Sa voix était un murmure, chargé de désir et de complicité, créant une atmosphère intime autour d'elles.
Ivana frissonna à ce contact, son cœur battant plus vite. Elle tourna légèrement la tête pour croiser le regard d'Agatha, ses yeux pétillant d'une malice partagée. "Ah vraiment ? Et qu'est-ce qui te plaît tant dans cette idée ?" demanda-t-elle, jouant avec la tension entre elles.
Agatha, amusée par la question, répondit avec un clin d'œil : " Que tu sois a moi et rien que a moi." Elle se recula légèrement, savourant ce moment, avant de se rapprocher à nouveau, prête à explorer ensemble les possibilités qui s'offraient à elles.
☆○o。 。o○☆
Belle se tenait dans la boutique de Gold, entourée d'un parfum délicat de bois poli et de bijoux scintillants. Les murs étaient ornés de miroirs qui reflétaient la lumière tamisée, créant une ambiance à la fois chaleureuse et mystérieuse. Pourtant, malgré la beauté du lieu, son esprit était en proie à un tourbillon de pensées. La révélation de Gold résonnait dans sa tête comme un écho, chaque mot pesant lourdement sur son cœur.
Elle se posait une multitude de questions, son regard scrutant les étagères chargées de trésors, mais son esprit était focalisé sur l'homme qui venait de lui confier un secret si lourd. Alors que Gold entra dans la boutique, une expression de mélancolie sur son visage, Belle sentit une vague d'angoisse l'envahir. Elle avait besoin de réponses, de comprendre ce qu'il avait caché si longtemps.
Sans dire un mot, elle posa son regard sur lui, ses yeux cherchant à percer le mystère qui l'entourait. Gold, conscient de son observation, évita son regard, comme s'il était en proie à ses propres démons. L'atmosphère était chargée de tension, chaque seconde s'étirant entre eux, remplie de non-dits et d'émotions refoulées. Belle savait qu'elle devait briser le silence, mais les mots restaient bloqués dans sa gorge, attendant le bon moment pour émerger.
Gold, le regard perdu dans le vide, finit par rompre le silence pesant :
« Dis-moi ce que tu as à me dire, Belle... je sens ton regard. » Sa voix était teintée d'une tension palpable, comme s'il redoutait la question qui allait suivre.
Belle, s'approchant de lui avec une détermination tranquille, répondit : « Je ne peux pas rester dans l'incertitude. Tu dois me donner des explications. Qu'est-ce qui se passe vraiment ? » Son ton était à la fois ferme et doux, cherchant à percer la carapace de l'homme devant elle.
Gold, sentant la pression de ses mots, serra les poings, sa frustration éclatant à la surface. « Il n'y a rien à dire. » Sa voix était rauque, presque désespérée, comme s'il tentait de se convaincre lui-même que le sujet était clos.
Belle, ne se laissant pas décourager, posa une main apaisante sur l'épaule de Gold. « Mais... il y a une chance que Lucillia soit ta fille ? » La question flottait dans l'air, chargée d'espoir et de crainte.
Gold se retourna brusquement, son visage marqué par la douleur. « Ma fille est morte. Cette Lucillia est une imposteur. »
Ses mots étaient tranchants, comme une lame, et la tristesse dans sa voix révélait l'ampleur de sa perte. L'atmosphère autour d'eux se chargea d'une intensité émotionnelle, chaque silence entre leurs échanges pesant lourdement de secrets et de chagrin.
☆○o。 。o○☆
Lilia était assise à la table en bois usé de Granny's, les rayons du soleil filtrant à travers les , créant des motifs délicats sur la table. Elle tenait une tasse de thé fumant entre ses mains, la chaleur réconfortante du breuvage contrastant avec le tumulte de ses pensées.
Son esprit vagabondait vers Regina et Lucillia, se demandant pourquoi Regina, qui avait toujours été perçue comme la méchante de l'histoire, choisissait d'aider Lucillia. Lilia plissa les yeux, une légère ride de frustration marquant son front. Elle n'aimait pas ce rapprochement, cette alliance inattendue .
Tout en sirotant son thé, elle observa les autres clients de Granny's, leurs rires et leurs conversations flottant dans l'air. Pourtant, elle se sentait isolée, perdue dans un tourbillon d'émotions contradictoires. La jalousie n'était pas son intention, mais l'idée que Lucillia pouvait trouver du soutien auprès de Regina la dérangeait profondément. Elle secoua la tête, comme pour chasser ces pensées sombres, mais elles revenaient sans cesse, comme une mélodie obsédante.
Lilia prit une profonde inspiration, essayant de se concentrer sur le goût du thé, sur la douceur du miel qui adoucissait l'amertume. Elle savait qu'elle n'avait pas à être jalouse, mais cette nouvelle dynamique entre les deux femmes la troublait. Elle se demanda si elle devait intervenir ou laisser les choses se dérouler, se sentant tiraillée entre son instinct protecteur et son désir de comprendre.
Lilia était tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne remarqua pas l'arrivée de Lucillia. Elle était absorbée par le tourbillon de ses émotions, son regard fixé sur la tasse de thé, sans vraiment voir les autres clients de Granny's.
Soudain, elle sentit une présence familière en face d'elle. Lucillia s'installa doucement, le bruit léger de sa chaise glissant sur le sol en bois attirant enfin l'attention de Lilia. Lucillia, avec son sourire chaleureux, observa Lilia pendant un moment, notant l'air préoccupé de son amie.
« Eh, ça va ??? » demanda Lucillia, une note d'inquiétude dans sa voix.
Lilia leva les yeux, surprise, comme si elle sortait d'un rêve. Elle cligna des yeux, réalisant que Lucillia était là, juste en face d'elle.
« Oh, Lucillia ! Je... je ne t'avais pas vue arriver. » Sa voix était un peu tremblante, trahissant son trouble intérieur.
Lucillia pencha la tête, ses yeux pétillants de curiosité. « Tu sembles préoccupée. Qu'est-ce qui se passe ? »
Lilia ne savait pas quoi répondre. Les mots se bousculaient dans sa tête, mais elle ne pouvait pas dire la vérité. Dire qu'elle était jalouse de Regina serait trop difficile à avouer, même à Lucillia. Elle fronça les sourcils, son esprit en proie à des pensées conflictuelles, et prit une gorgée de son thé, essayant de trouver un peu de réconfort dans la chaleur de la tasse.
En plongeant son regard dans celui de Lucillia, elle ressentit une vague d'honnêteté. Lilia savait que son amie méritait la vérité, mais sa peur de blesser ou de paraître faible la retenait. Après un moment de silence, elle se décida à parler, sa voix délicate et hésitante.
« Je me demande quelles sont les intentions de Regina, » dit-elle finalement, ses mots flottant dans l'air comme une plume.
Lucillia l'observa attentivement, ses yeux reflétant une compréhension profonde. « Je comprends, Lilia. Regina peut sembler... méchante.. Mais je pense qu'il y a plus en elle que ce qu'on voit je t'assure quelle est vraiment gentil avec moi. »
Lilia hocha la tête, mais l'inquiétude persistait. « Je sais, mais il y a quelque chose qui me dérange. Comme si elle avait un plan, quelque chose que nous ne comprenons pas encore. »
Lucillia se mit alors à sourire, un sourire qui illuminait son visage et apaisait l'atmosphère tendue. Voir que Lilia était inquiète pour elle était tout simplement parfait à ses yeux. Cela prouvait à quel point leur amitié était forte, même dans les moments de doute.
« Je t'en prie, fais-moi confiance, » dit-elle doucement, sa voix empreinte de sincérité. Elle se pencha légèrement en avant, ses yeux pétillants d'une lueur encourageante.
Lucillia savait que sa demande était importante, et elle espérait que Lilia ressentirait la profondeur de son engagement.Lilia, bien que touchée par l'attention de son amie, ne pouvait s'empêcher de froncer les sourcils.
« Je te fais confiance, » répondit-elle, sa voix un peu plus ferme, « je ne lui fais tout simplement pas confiance. »
Les mots étaient sortis plus brusquement qu'elle ne l'avait prévu, mais la vérité était là, palpable. Elle se leva légèrement, comme si elle voulait s'éloigner de la tension qui s'était installée entre elles.
Lucillia s'approcha lentement de Lilia, son cœur battant légèrement plus vite. Avec une délicatesse infinie, elle posa sa main sur celle de Lilia, ses doigts effleurant la peau douce et chaude de son amie. Ce contact, bien que simple, était chargé d'une tendresse palpable.
Elle commença à caresser doucement le dos de la main de Lilia, un geste qui semblait suspendre le temps. Les mouvements étaient lents et apaisants, comme une brise légère qui caresse un champ de fleurs. Lilia, surprise par cette attention, se mit alors à sourire. Ce geste si simple envoyait des frissons dans son corps, une chaleur réconfortante qui se répandait de sa main jusqu'à son cœur.
Lucillia, perdue dans ce moment, n'avait pas envie de bouger. Elle se laissa emporter par la douceur de l'instant, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Ses yeux brillaient d'une lumière douce, reflétant la complicité et l'affection qu'elle ressentait pour Lilia.
Leurs regards se croisèrent, et Lilia pouvait lire dans les yeux de Lucillia une promesse silencieuse de soutien et de compréhension. Ce simple contact, cette connexion, semblait créer un cocon autour d'elles, les protégeant des inquiétudes du monde extérieur.
Lucillia continua de sourire, heureuse de voir que son geste avait apporté un peu de réconfort à son amie. Dans ce silence partagé, elles savaient toutes deux que leur amitié était un refuge, un espace où elles pouvaient se comprendre sans mots.
Après un petit moment de silence, Lucillia, sentant la tension dans l'air, décida de briser le calme. Elle se pencha légèrement vers Lilia, son regard sincère et apaisant.
"Je te promets de faire attention...", dit-elle d'une voix douce, presque comme un murmure.
Lilia, touchée par la promesse de son amie, se mit à sourire délicatement. Elle baissa les yeux sur leurs mains, unies par ce contact tendre. Ses pensées se bousculaient, mais elle trouva le courage de relever le regard vers Lucillia.
"J'ai juste pas envie de te perdre," avoua-t-elle, sa voix tremblant légèrement, trahissant l'inquiétude qui l'habitait.
Lucillia, voyant la vulnérabilité de Lilia, sourit doucement, un sourire qui réchauffait le cœur. Elle prit une grande inspiration avant de répondre avec assurance :
"Tu ne me perdras jamais, Lilia. Je suis là, et je le serai toujours."
Lilia hocha la tête, se sentant réconfortée par la certitude de son amie. "Merci, Lucillia. " murmura-t-elle, un sourire sincère se dessinant sur son visage.
Leurs mains restèrent enlacées, symboles d'une promesse indéfectible, tandis qu'elles partageaient ce moment précieux, enveloppées dans une bulle de confiance et de compréhension mutuelle.
Lucillia s'approcha doucement de Lilia, un sourire délicat illuminant son visage. Ses yeux brillaient d'une tendresse sincère, comme si chaque éclat de lumière reflétait son affection profonde. Elle se pencha légèrement, cherchant à établir un contact visuel qui ferait fondre les inquiétudes qui pesaient sur leur amitié.
Après un instant, Lucillia se leva avec grâce, ses mouvements fluides et empreints d'une douceur palpable. Elle s'avança vers Lilia, et sans hésitation, elle l'enveloppa dans ses bras. Le contact était chaleureux et réconfortant, un geste qui parlait plus que des mots. Lucillia serra délicatement Lilia contre elle, comme si elle voulait lui transmettre toute sa force et son soutien.
"J'ai besoin de toi dans ma vie," murmura Lucillia, sa voix à peine audible, mais chargée d'émotion.
Elle pouvait sentir le cœur de Lilia battre contre le sien, un rythme rassurant qui lui confirmait que son amie était là, qu'elle était en sécurité. Elle se recula légèrement pour regarder Lilia dans les yeux, s'assurant que son regard était empreint de bienveillance. Lilia, touchée par cette déclaration, ressentit une vague de chaleur l'envahir. Elle savait à quel point leur lien était précieux et combien ces moments de connexion étaient essentiels. Dans les bras de Lucillia, elle trouva un réconfort inestimable, un rappel que, quoi qu'il arrive, elles seraient toujours là l'une pour l'autre.
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Belle était assise à une petite table dans la bibliothèque, entourée par le calme habituel de l'endroit. Devant elle, le livre d'Henry reposait ouvert, ses pages anciennes et jaunit portaient les histoires du royaume enchanté. Elle feuilletait les pages avec une attention frénétique, ses doigts tremblant légèrement à chaque passage d'un conte familier.
Chaque page semblait contenir une pièce du puzzle du passé, mais aucune n'offrait les réponses qu'elle cherchait. Elle lut rapidement les récits de héros, de reines déchues et de malédictions brisées, mais rien, absolument rien, ne parlait de ce qui était arrivé à la fille de Rumplestiltskin.
Elle s'arrêta sur une page où une illustration détaillée de Rumplestiltskin la fixait, sombre et imposante. Belle fronça les sourcils et murmura pour elle-même :
« Pourquoi il manque cette partie de ton histoire ? Pourquoi tout est là, sauf elle ? »
Elle referma le livre d'un geste brusque, le bruit résonnant dans la pièce vide.
Belle resta un long moment immobile, perdue dans ses pensées. La pièce autour d'elle semblait plus froide, plus vide, comme si le poids de l'absence de réponses l'écrasait. Mais elle n'était pas du genre à abandonner, surtout quand il s'agissait de quelqu'un qu'elle aimait.
Elle se releva, déterminée, et se dirigea vers l'étagère où étaient rangés d'autres ouvrages. Si le livre d'Henry ne contenait rien, peut-être qu'un autre en savait plus. Elle tira un volume lourd et poussiéreux sur les lignées familiales du royaume enchanté et le posa sur la table.
Elle tourna rapidement les pages, cherchant un indice, un nom. Hela , était mentionnée. Mais aucune trace de leur fille. Pas même un mot. Comme si elle n'avait jamais existé.
Un frisson de colère et de tristesse la traversa. Pourquoi effacer une vie, une histoire ? Était-ce si terrible qu'on devait la cacher ?
La porte de la bibliothèque s'ouvrit brusquement, et Belle sursauta. Rumplestiltskin se tenait là, son expression sombre et scrutatrice. Il avait ce regard qu'il prenait toujours lorsqu'il savait que quelque chose allait être dit, ou découvert, qu'il aurait préféré garder enterré.
« Belle, » dit-il doucement, mais avec une pointe d'inquiétude. « Qu'est-ce que tu fais ? »
Elle referma le livre devant elle, mais ne le quitta pas des yeux. « Je cherche des réponses, Rumple. Des réponses sur ta fille. »
Un éclair de panique traversa son visage, mais il se reprit aussitôt. Il entra lentement dans la pièce, ses pas résonnant comme un écho de la tension entre eux.
« Tu sais que certaines histoires... n'ont pas besoin d'être racontées, » dit-il, sa voix lourde de sous-entendus.
Elle se leva, les poings serrés. « Et tu sais que je ne peux pas accepter ça. Pas après tout ce qu'on a traversé. Pourquoi elle n'est nulle part dans ce livre, Rumple ? Pourquoi tout ce que je trouve sur toi est clair, sauf ce chapitre ? »
Il baissa les yeux, évitant son regard, ses doigts se tordant nerveusement. « Parce que c'est ma douleur, Belle. Pas la tienne. »
« Tu crois vraiment que je peux t'aimer sans comprendre ce qui t'a brisé ? » Sa voix se brisa légèrement, trahissant l'émotion qu'elle tentait de contenir. « Je veux savoir ce qui est arrivé. Pas pour te juger, mais pour t'aider. Pour te soulager de ce fardeau que tu portes seul. »
Il resta silencieux, ses traits se crispant sous le poids de ses propres souvenirs. Finalement, il leva les yeux vers elle, et elle vit dans son regard une tempête d'émotions : douleur, regret, et une peur profonde.
« Elle était tout pour moi. Mais je l'ai perdue... à cause de ma propre faiblesse. »
Belle sentit son cœur se serrer. « Tu veux dire que tu l'as laissée partir ? »
Il secoua la tête. « Non. Je veux dire que c'est moi qui ai causé sa mort. »
Ces mots résonnèrent dans l'air comme une gifle, laissant Belle figée sur place. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais il leva une main, comme pour la faire taire.
« Je croyais pouvoir la protéger, comme je crois toujours pouvoir tout contrôler. Mais mes choix... mes choix ont détruit tout ce que j'aimais. » Sa voix se brisa, et il détourna le regard.
Belle s'approcha de lui, sa colère remplacée par une compassion infinie. Elle posa une main douce sur son bras.
« Tu ne peux pas continuer à fuir, Rumple. Cette douleur, ce regret... tu ne peux pas les garder pour toi seul. Laisse-moi t'aider. Laisse-moi comprendre. Peut être que ta fille n'ai pas morte. »
Il ferma les yeux, une larme solitaire coulant sur sa joue. Pour la première fois, il sembla prêt à baisser sa garde, à partager ce qui le hantait depuis si longtemps.
« Très bien, » dit-il finalement, sa voix à peine audible. « Mais sache que certaines vérités sont plus cruelles qu'on ne peut l'imaginer. »
Belle hocha doucement la tête, prête à affronter cette vérité à ses côtés, peu importe à quel point elle pourrait être sombre.
☆○o。 。o○☆
La nuit était sombre, enveloppée d'une brume épaisse qui semblait absorber le moindre son. Mary-Margaret se tenait au centre de la clairière, ses mains tremblant légèrement tandis qu'elle déposait les dernières fleurs de sang sur le sol. Un cercle rougeâtre commençait à s'illuminer autour d'elle, pulsant faiblement sous la lumière de la lune.
Elle murmurait des mots anciens, une incantation qu'elle avait dénichée dans un grimoire oublié, enterré au fond de la bibliothèque interdite. La peur et la colère dansaient dans ses yeux, une combinaison dangereuse qui la poussait au bord du précipice moral.
Lorsqu'elle prononça les dernières syllabes, un souffle glacé balaya la clairière. Le sol devant elle se fissura, et un grondement sourd résonna, comme si la terre elle-même protestait.
Puis, lentement, une silhouette émergea du sol. D'abord une main osseuse, puis un bras recouvert d'un manteau noir déchiré. Une fois debout, la figure sombre s'avança, sa démarche fluide et éthérée. Rio Vidal, la Mort personnifiée, se tenait devant elle.
Sa silhouette était à la fois terrifiante et fascinante : un mélange d'ombre et de chair, son visage voilé par une capuche, ne laissant apparaître que des yeux brillants d'un éclat rougeâtre.
« Qui ose m'appeler ? »
Mary-Margaret déglutit difficilement, mais se força à garder son calme. Elle leva le menton, déterminée.
« C'est moi, Mary-Margaret. J'ai besoin de tes services. »
Rio Vidal inclina légèrement la tête, un sourire imperceptible se dessinant dans l'ombre de sa capuche.
« Mes services ? » répéta-t-elle avec amusement. « Peu osent m'invoquer. Moins encore survivent pour en parler. Qu'est-ce qui te pousse à prendre un tel risque, petite reine ? »
« Il y a une femme. Ivana. Elle doit mourir. »
Rio Vidal éclata d'un rire profond, presque moqueur.
« Ah... Toujours des morts à réclamer. Et pourquoi devrais-je exécuter ce caprice, Mary-Margaret ? »
Elle fit un pas en avant, ignorant le frisson glacé qui parcourait son échine.
« Elle représente une menace. Pas seulement pour moi, mais pour ma famille. » Sa voix trembla légèrement, mais elle continua. « Je ne peux pas risquer de la tuer moi-même. Pas cette fois. Mais toi, toi, tu peux le faire sans laisser de traces. »
La Mort resta silencieuse un moment, semblant la jauger.
« Et qu'es-tu prête à offrir en échange ? » demanda-t-il enfin, ses yeux brillant plus intensément.
Mary-Margaret sentit un poids s'abattre sur ses épaules. Elle savait que cette question viendrait, et elle avait préparé sa réponse.
« Tout ce que tu veux, » dit-elle, sa voix basse mais résolue.
Rio Vidal s'approcha lentement, si près qu'elle pouvait sentir un froid mortel émaner d'elle
« Tout ce que je veux ? » murmura-t-il. « Es-tu sûre de comprendre ce que cela implique ? »
Elle détourna les yeux un instant, mais se força à soutenir son regard.
« Oui. »
La Mort sembla réfléchir, puis tendit une main vers elle. Une main à moitié osseuse, à moitié humaine, tendue comme une invitation.
« Très bien, Mary-Margaret. Je te donnerai la mort que tu réclames. Mais en échange... » Elle marqua une pause, laissant planer une tension insupportable. « Je prendrai un fragment de ton âme. Un morceau suffira... pour l'instant. »
Elle hésita, sachant que cela laisserait une marque sur elle, un vide qu'elle pourrait ne jamais combler. Mais elle pensa à Ivana, à la façon dont David la regardait, à la menace qu'elle représentait.
Finalement, elle tendit sa main et la plaça dans celle de Rio Vidal.
Une douleur vive la traversa, comme si une partie de sa lumière intérieure lui était arrachée. Elle tomba à genoux, haletante, tandis que la Mort se redressait, son aura encore plus sombre et puissante.
« L'accord est scellé, » déclara Rio Vidal d'une voix solennelle. « Ivana ne verra pas la prochaine lune se lever. »
Elle disparut dans un souffle de vent glacé, ne laissant derrière elle que des traces noires sur le sol.
Mary-Margaret resta là, à genoux dans la clairière, un mélange de soulagement et de terreur dans le cœur.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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Ce qui me perturbe c'est mes fluctuations d'humeurs tout au long d'une journée. C'est vraiment ça pour moi l'instabilité, c'est qu'à aucune heure de la journée j'ai une humeur, une émotion, une sensation constante. Et vraiment l'une peut annihiler l'autre d'un moment à l'autre. Ça a pour conséquences de sacrés pics d'angoisse. À un moment je me sens capable, jme sens en contrôle, jme sens dynamique et la seconde d'après jme sens médiocre, noyée et apathique. J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur la réalité du fait que je suis constamment en conflit intérieur. Le temps que j'identifie ce que je ressens et que je le rationalise, j'ai à nouveau autre chose à gérer et c'est une boucle que j'arrive rarement à casser et je sais que ça se ressent dans mon comportement. Un coup suis chill, l'autre je suis speed. Et le pire c'est qu'il n'y a pas d'éléments déclencheurs propres, c'est comme ça en quelque sorte, donc je peux pas l'expliquer à une tiers personne. Et je comprends qu'en face ça puisse être dérangeant, me voir dans 14 états différents en 2h ça a de quoi rendre perplexe. Mais je sens quand même que c'est intensifié lors des moments de stress profond. Les examens arrivent et c'est comme un perturbateur hormonal vraiment, ça me détraque le trac. Ça influe sur tout le monde je le sais mais je gère pas ou mal au mieux.
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Je suis contente parce qu'après cette semaine remplie d'émotions, de remise en question, de nombreux changements d'avis, de doutes et d'insécurités, j'ai enfin compris. J'ai toujours été quelqu'un qui va dans tous les sens avant de finalement comprendre réellement les choses. C'est chiant pour mes proches parce que je dis un truc puis le lendemain j'en pense le contraire. Je suis super instable et du coup pas très fiable. Mais j'ai l'impression que je suis obligée de passer par là pour capter toutes les nuances des situations que je vis.
Là j'ai compris que chaque personne et chaque couple est différent. Ce qui fonctionne chez l'un ne fonctionne pas spécialement chez l'autre. Tout le monde vit sa relation à sa façon. Il n'y a pas UNE manière d'aimer et d'être en couple.
Les avis des autres m'ont complètement perdue et m'ont fait tout remettre en question. Certains m'ont dit que ce n'était pas normal d'avoir une baisse de désir après 7 mois seulement. Mais dans un couple est-ce qu'il y a vraiment une normalité? Tout n'est pas tout noir ou tout blanc. Une baisse de désir rapide ne veut pas forcément dire qu'on ne s'aime pas vraiment et que notre couple est voué à l'échec! Il y a pleins de facteurs qui peuvent impacter le désir.
On m'a aussi dit que ce n'était pas normal de ne pas avoir vécu la période des papillons dans le ventre. Je trouve ça fou de dire ça. Oui, je ne l'ai pas vécue, mais ça ne m'empêche pas de me sentir amoureuse de mon copain! Quand je le vois, j'ai plutôt une boule de chaleur réconfortante dans le ventre qui me donne envie de lui faire des bisous partout et de le toucher avec tendresse. J'ai connu les papillons dans le ventre mais je les ai connu dans mes relations toxiques et dans mes relations dans lesquelles il ne se passait rien et dans lesquelles j'idéalisais le mec (genre le Dieu Grec). Mais c'est propre à mon vécu et ça ne veut pas du tout dire qu'avoir des papillons dans le ventre c'est forcément lié aux relations toxiques!! Parce qu'il n'y a PAS de normalité. Il faut juste faire confiance à ses ressentis et à ce que nous montre notre partenaire! Une fois, le musicien m'a dit qu'il se sentait attaché et pas amoureux mais je ne pense pas me tromper quand je dis qu'il est bien amoureux de moi! Il ne s'en rend pas compte mais il ne cesse de me prouver que c'est le cas. Puis je suis bien placée pour dire ça parce que j'étais la première à penser que je n'étais pas amoureuse de lui. Si je dois retenir un seul truc que j'ai réalisé grâce aux avis des gens, c'est que SI je suis complètement amoureuse. Je pense même que je suis en train de vivre mon premier amour. Un amour sincère et sain. Je comprends enfin la phrase "l'amour donne des ailes". C'est léger, c'est beau. Grâce au musicien, je comprends enfin qu'on puisse se sentir libre en couple alors que ça me paraissait incompatible avant. Non, l'amour n'est pas une prison. Dingue.
Et OUI il peut y avoir des doutes, que ce soit au tout début de la relation ou après quelques années. C'est normal parce que l'amour c'est simple et complexe en même temps. Ça peut fait ressortir des insécurités, des peurs, des traumas. Même quand on a l'impression d'avoir bien travaillé sur nous et qu'on se sent prêt à être en couple. Mais on doit vraiment arrêter de sous-estimer les jeunes couples qui ont des problèmes. Les gens pensent que comme les problèmes arrivent tôt, ça démarre sur une mauvaise base et ça ne va pas durer. Peut-être que oui, peut-être qu'on va se rendre compte que ça ne marche pas. Ou peut-être que ça va débloquer quelque chose et que le couple se solidifiera dès le début. Dans tous les cas on aura D'OFFICE des doutes un jour ou l'autre. Certains en auront de plus gros que d'autres, et plus ou moins souvent que d'autres. Je crois même que c'est sain d'en avoir parce que ça peut faire évoluer la relation. Il faut arrêter de croire que l'amour c'est tout beau tout rose tout le temps. Les couples qui durent depuis longtemps ont réussi à rester ensemble parce qu'ils font en sorte que ça fonctionne. Tout ne coule pas de source. C'est pas pour rien qu'on dit toujours que la communication est la clé. Et je ne dirais pas qu'ils font des "efforts" parce que le mot a une connotation péjorative, mais ils ne cessent de "faire un geste vers l'autre".
Tout ça pour dire qu'il faut faire attention à ne pas se perdre dans ce que disent les gens. C'est bien d'avoir des avis extérieurs pour arriver à prendre du recul mais il faut aussi se faire confiance et faire confiance aux gestes, ils ne mentent pas.
(17/11/2024)
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ORGANISATIONS JOUABLES
Les idéaux rassemblent créatures surnaturelles comme êtres humains, rassurent et offrent une cause commune. Qui choisirez-vous de suivre dans la nuit ? Vous ne trouverez ici qu'un aperçu, chaque organisation fera l'objet d'une annexe plus détaillée sur le forum, cette liste est non exhaustive et pourrait être amenée à évoluer et grandir au fil du jeu.
(tw : meurtres, sang, violence, consommation de sang ou de chair, manipulation, secte, chasse, drogue, alcools)
NB : à savoir que les organisations seront dirigées par des PNJs, et donc non jouables.
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GREAT BRITAIN NIGHT WALKERS
Type : Organisation secrète gouvernementale Domaine : Chasse de créatures hostiles, protection des êtres humains et du secret surnaturel Membres : exclusivement humains Signe distinctif : Un matricule autour du cou, une face avec des informations codées et un nombre à quatre chiffres, l'autre un croissant de lune Quartier Général : L'Howard Castle pour le QG principal, des QG secondaires dans tout le Royaume-Uni.
Humanité bienveillante embrigadée au sein d’un ordre ancestral qui prône la protection humaine et le secret du monde surnaturel. Chasseurs de bêtes hostiles et police du mystique afin de garantir l'harmonie et le bon fonctionnement du système. Les Walkers sont inévitablement embourbés dans une lignée familiale belliqueuse, on ne le devient pas sans posséder un proche du même sang, suivant un enseignement rigoureux. Leur rôle est également de faire disparaître les preuves de l’existence des créatures qui se tapissent aux ombres, priorité absolue.
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SPECTRAL HOWLERS
Type : Gang, mafia. Domaine : Combats clandestins, trafic de drogues et d’alcools. Membres : Créatures, principalement harpies et lycanthropes. Signe distinctif : Tatouage d'un S et d'un H entrelacés sur un éclair. Quartier Général : Sous-terrains cachés en ville.
Gang crasseux croupissant dans les sous-sols, ce sont les chiens qu’on y lâche clandestinement, poussant les bêtes à s’entretuer pour faire sensation. Voir la violence apaise la violence selon eux. Mains sales, ils n’en sont guère restés aux combats, demeurent magouilleurs pour les larcins en tous genres, mêlant conception et trafic d’alcools et de drogues assez puissantes pour les diverses espèces surnaturelles en mal d’euphorie.
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THE KILLING MOON CLUB
Type : Organisation secrète, secte. Domaine : Pouvoir aux créatures et endoctrinement d’êtres humains. Membres : Créatures et humain·es captif·ves Signe distinctif : Une chevalière gravée d'un sphinx tête de mort. Quartier Général : Les sous-sols privatisés du Grand Hotel.
Culte factice à la gloire d’une divinité abstraite, The Killing Moon Club cache seulement les ambitions d’un groupe de créatures surnaturelles, avide d’un jour assoir leur pouvoir ouvertement. Réputé dans toute l’Angleterre, les dirigeants du club font partie de l'élite surnaturelle. Ici, on tue, et les soirées mondaines sont de véritables boucheries. On y vient pour chercher une âme à arracher, s'assurer d'un service de nettoyage irréprochable. Secte aux allures de club huppé, les humains y perçoivent salvation et pensent faire face à des êtres divins. Hypnose et captivité entraine la dépendance, tandis que les bêtes y voient buffet à volonté.
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THE BLEAK OUTBREAK
Type : Organisation secrète, gang. Domaine : Chasse et anéantissement des créatures, trafique de ressources surnaturelles. Membres : exclusivement humains. Signe distinctif : des clefs croisées tatouées sous la plante du pied droit. Quartier Général : les sous-sols du Whitby Museum.
Traqueurs de bêtes qui se sont donnés pour mission d'éradiquer la pestilence surnaturelle, en collectionner les trophées ou les revendre à prix d'or. Les créatures révulsent, peu importe leurs espèces, ne sont que manifestations du malin descendues sur terre pour mieux laisser répandre leur venin, des sbires d'un Lucifer venu punir l'espèce humaine sur terre. Alors ils arrachent les crocs vampiriques, les écailles de sirènes, les crânes de loups, les ailes de harpies ou feuilles de dryades sur leurs carcasses et en font commerce pour mieux financer leurs battues dans les landes.
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DAWNBRINGERS
Type : Ligue, association. Domaine : Protection du secret surnaturel, prônent l'harmonie des espèces, moyen de se nourrir alternatifs. Membres : exclusivement créatures. Signe distinctif : un contrat qu'ils doivent avoir sur eux lors des missions. Quartier Général : Le sous-sol de la Terror Tower, attraction hantée de la ville.
Ligue bienveillante prônant l'harmonie des espèces et la cohabitation terrestre. Le principal moteur est la protection du secret surnaturel et des plus faibles, évinçant les traces de toutes ombres chimériques. L'être humain vu comme un allié plutôt qu'une proie, préservé tel un compagnon de route. Les bêtes hostiles qui se joignent au groupe doivent montrer patte blanche, prouver leurs valeurs de part des moyens de se nourrir alternatifs.
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saga: Soumission & Domination 332
Nouvel an 2015
Depuis deux jours, Samir et Ammed ne quittent pas la cuisine ; ils font les plats que nous consommerons pendant le " WE " qui arrive. Ce matin, sont arrivés les plats préparés de Julien (des terrines de poisson, de gibier, du saumon fumé maison et autres pains surprises) il nous laisse sa voiture frigo. Le pâtissier est passé livrer notre commande. La chambre froide est pleine à craquer mais dimanche soir ce ne sera plus le cas !
Depuis ce matin, les invités arrivent. Kevin est dans les premiers, Henri est invité au réveillon d'Emma et ils ont des affaires à voir avant. Il me remercie pour Sosthène et me demande si exceptionnellement je ne l'aurais pas invité. Il avait bien kiffé sa nuit avec lui. Je lui dis qu'il est invité comme tous mes autres escorts ce qui le surprend car il pensait encore que j'avais gardé bien séparés mes deux mondes. Je lui annonce la mauvaise nouvelle qu'il sera avec son mec, un canon de mécano ! Il me demande si je blague, que lui un lettré soit avec un manuel, très manuel, il n'en revient pas. Je lui dis que j'avais exagéré car c'est aussi le fils de mon concessionnaire Peugeot.
Ric arrive sur ses talons. Il m'annonce qu'Alban descend avec Bo-gosse et moitié. Mais ils ne seront pas là de bonne heure. Je lui passe les clés de la 300C pour qu'il l'a sorte et que ça fasse de la place pour les motos des invités. Je préfère ne pas les laisser dehors durant plusieurs jours. C'est moins grave pour les caisses (hormis nos deux Mercédès). Les aquitains arrivent en groupe les internes me disent qu'ils avaient dû échanger leur garde du 31 par 3 WE complets mais ils étaient sûr de ne pas le regretter. Les 3 " étalons " du club hippique suivent. Jules, lui, a préféré faire le voyage sur la selle d'un de mes deux Motards. Ils sont chauds bien que rafraichis par le climat hivernal.
A midi nous sommes déjà plus de 20. Pour ne pas entamer les préparations de Samir et Ammed, nous sortons en ville. Un " steak house " nous apporte notre content de protéines. Evidemment nous ne sommes pas à la même table mais quand certains veulent régler, je prends le tout sur ma carte. Nous trainons en peu en ville et squattons la quasi-totalité du bar où nous prenons notre café. A notre retour, nous trouvons quelques invités supplémentaires déjà dispersé entre les différents points de sport. Je fais le tour du blockhaus, les sacs et valises commencent à s'entasser dans les chambres. Bientôt il ne nous manque plus que nos commerçants, Julien, Daniel et les parisiens. Mes escorts qui apparaissent pour la première fois pour beaucoup de mes amis (sauf les plus proches qui les ont croisés à mon chevet lors de mon accident) font leur petit effet ! Kev est ravi de revoir Sosthène et je sais que ce n'est pas la présence de Justin qui va l'empêcher de conclure à nouveau avec lui. Ce dernier, Justin, se demande un peu quand même dans quel monde de fou il était tombé. En tant qu'hôte, je le prends en charge et lui explique un peu comment marche la maison et les êtres qui actuellement l'occupent. Il sait que Sosthène travaille pour moi et connait tous mes escorts puisqu'il est chargé depuis le départ de l'entretien de ma flotte de RCZ. Du coup, il est surpris des autres mecs qui sont là. Façon idiote (dixit lui), de généraliser à partir de l'échantillon de mes relations qu'il connaissait. Il me demande qui est le mec qui colle aux basques de son Sosthène. Je lui dis que c'est un ami et lui demande si Sosthène lui avait expliqué la fête du nouvel an chez moi. Le " en gros " qu'il me répond me fait penser que mon escort à du édulcorer !
Je lui explique que nous serons 80 en tout et que des hommes chauds/bouillants avec des hormones en surdosages. Tous homo ou bi, ça va rapidement déraper en partouze où tous et chacun vont papillonner de l'un à l'autre en fonction des affinités et envies du moment. Il me regarde un peu effrayé et me dit qu'il avait pensé que Sosthène blaguait quand il le lui avait dit.
Je le laisse réfléchir et attend qu'il me dise quelque chose. Comme il reste coi, je lui dis qu'il peut, s'il le désire, nous quitter mais que je crois bien que Sosthène avait envie de rester. Je glisse que d'après le peu que ce dernier m'avait confié, lui-même ne déparerai pas parmi mes autres amis. Il me confie qu'il n'a que peu d'expérience et que Sosthène n'est que son 3ème mec. Je ris et lui dis qu'il va vite combler son retard ce WE. Il continue ses confidences et me dit craindre pour sa virginité anale lui qui n'est qu'actif. Je l'assure qu'il ne la perdra que volontairement. Personne ne se fait forcer chez moi sauf dans des scénarii mutuellement consentis. De plus il sera toujours libre de partir quand il veut.
Comme je lui fais visiter les différents niveaux, il kiffe la serre où maintenant une salle de muscu entoure la piscine de 25m. Après avoir vu le second étage, il me demande pourquoi j'ai autant d'installations. Entre mes 25 escorts et la maison plus quelques amis qui passent de temps à autre, il faut bien tout ça pour ne pas refroidir entre 2 séries. Quand Sosthène lui en avait parlé, il n'avait pas imaginé que nous nous retrouvions quasiment tous ensemble pour le sport.
Les Parisiens arrivent enfin avec une glacière. Interrogation : réponse " caviar " ! Ils avaient eu Samir au téléphone et me disent que les blinis doivent nous attendre.
Nous sommes tous réunis au 4ème pour l'apéritif. Le champagne est à bonne température et tout le monde apprécie la cuvée Cristal 2002 de Roederer. Tous aussi nous dégustons le caviar de nos Parisiens. Je profite de ce moment-là pour distribuer mes petits cadeaux. Avec l'aide d'Ernesto, PH et Ludovic, nous donnons à chacun son petit paquet. Je me suis gardé la distribution de celui de Côme et Justin entre autre. Le premier parce que c'est mon " beau-frère " et le second parce qu'il est nouveau dans mon monde. J'ai bien fait parce que Justin veut refuser dans un premier temps. Il argumente qu'il n'est là que par Sosthène. Je lui dis que si Sosthène et lui sont ensemble, c'est qu'il a surement des qualités cachées, je laisse un blanc, enfin pour quelques minutes encore. Eclat de rire général. Côme est venu à ma demande et celle de Ludovic. Il n'est pas très chaud d'être entouré de gays en chaleur puisqu'il ne kiffe que Jona et François. Mais, entre mon désir qu'il soit avec nous, celui de Ludovic et les arguments de ses deux Pd préféré, il a accepté de venir.
A mon top tout le monde ouvre. Marc et Hervé, tenus dans l'ignorance, sont surpris en bien. Connaissant l'oiseau, il s'étaient attendu à quelque chose de plus voyant. Merci pour la confiance !!
Ils sont tous content. Même mes deux gendarmes. Les anneaux sont suffisamment discrets pour être portés en service et l'inscription suffisamment absconse pour ne pas révéler une homosexualité non affichée. Ils sont suffisamment précieux pour les pétasses Parisiennes (que j'adore au demeurant). Seul le choix de l'or rose en surprend certains mais une fois mis aux doigts, le ton reste discret. Alors qu'on lève nos flutes pour l'occasion, c'est Ludovic qui me donne à son tour un petit paquet. Comme je m'interroge, il me dit que c'est de la part des 79 participants à cette soirée du nouvel an. Je les traite d'imbéciles ce qui les fait rire une nouvelle fois. J'ouvre. Ils savent tous ce que c'est et ça m'énerve, j'aime bien être celui qui sait tout !! Je découvre une tête de tigre en diamants avec les bandes en saphirs noirs réalisé par Van Cleef & Arpel, en pendentif pour mon oreille. Elle reprend le dessin de la tête que j'ai utilisée pour mon piercing, l'ensemble est raccord. Pour une fois je reste muet. Ils ont beau être nombreux, ça quand même du leur coûter un max à chacun. Je les remercie tous pour ce geste. Franck me dit que son grand père a participé aussi. PH me rassure aussi pour ceux qui n'ont pas nos moyens, chacun y a été selon ses possibilités. Tous voulaient participer. Je remplace le diamant d'Emma par cette nouvelle " breloque ". Et c'est le signal de départ. Il n'est que 22h30 et à 22h35 tout le monde est à poil ! A part Samir et Ammed passant dans les différents étages pour nous signifier le passage à 2015, je n'ai pas vu grand-chose de la soirée. Je me souviens m'être fait baiser par les étalons du club hippique mais pas que. J'ai aussi enculé pas mal de mecs. Un des moments mémorables a été le dépucelage de Justin, à sa demande, pour connaitre ce que ressentait Sosthène. Après s'être fait bien préparé la rondelle par son petit copain, il était venu vers moi pour que je sois le premier à l'enculer. Je ne demande qu'une fois " pourquoi pas Sosthène ? ". Réponse : " avant lui c'est toi qui me faisait bander ". Ça le mérite d'être clair. Sosthène est d'accord donc je m'enfonce en lui. Ça faisait longtemps que je ne m'étais fait un puceau et c'est vraiment trop bon. Je prends mon temps pour bien apprécier et qu'il prenne son pied lui aussi. Tout pendant que je l'encule, Sosthène lui tient la tête et alterne encouragements et roulage de pelle. Justin est courageux et tient à faire plaisir à Sosthène. Passés les trois/quatre premiers va et vient, il se détend brusquement et commence à apprécier ma présence. Il a un dos bien large et j'ai de quoi m'accrocher à ses épaules. Son petit cul commence à bien réagir à l'envahissement de sa pastille centrale il en vient à reculer tout seul sur ma bite quand je mets un peu trop de temps à le réenfiler. Il avoue à Sosthène que c'est finalement très bon de se faire enculer aussi. J'entends ce dernier lui répondre qu'avec lui, il aurait eu beaucoup de mal à se retenir. Il avait préféré que ça se passe mal avec moi ! Je le remercie en riant. Il s'excuse que ce n'était pas ce qu'il avait voulu dire. Je me retire avant d'avoir jouit et lui passe le relais. Maintenant que le chemin est fait, il pouvait y aller. Alors que Sosthène s'enfonce délicatement, sa bite est quand même la taille au-dessus de la mienne, Justin m'appelle. J'approche ma tête de la sienne. Il m'attrape par le cou et me roule une pelle avec un grand merci de les avoir aidés.
Un autre moment de pur plaisir : me faire prendre en sandwich, ma queue dans le petit Théo (le frère d'Ed) gentiment prêté par Tic et Tac qui vient de fêter ses 18ans et le cul défoncé par les 24x5.5 de Bo-gosse. La première fois de la soirée où je me suis laissé aller à jouir totalement. Son gros gland et sa façon particulière de donner une petite rotation à sa queue lors des pénétrations sont diablement efficaces ! Ça plus la rondelle de Théo qui pulsait autour de ma propre bite m'a fait craquer.
J'ai fait une pause après cela. J'avais un peu faim. Je m'aperçois que je ne suis pas le seul. Un bon tiers des participants est autour du buffet à se raconter les premiers plans. Ric me dit que mes deux Lads avaient fait merveille pour satisfaire son appétit. Mes deux motards de la gendarmerie nous rejoignent. Ils m'encadrent et je me retrouve avec un bras de chaque autour de mon cou. Ils sont ravis de leur 31. Ils trouvent ça encore plus démentiel qu'à leur dernier passage. Je leur dis que j'espère qu'ils n'avaient pas fait de folie pour leur participation à ça (en secouant la tête pour faire briller les diamants et saphirs noirs de mon oreille). En rigolant le plus balaise me dit qu'ils avaient rackettés quelques grands excès de vitesses en liquide (Joke bien sûr). Ils me disent que j'ai une équipe d'escorts qui tient la route. Ils se sont fait en parallèle mes deux vietnamiens. C'était leurs premiers et ils avaient kiffé leur douceur même au milieu de l'ambiance hyper chaude (pour rester corrects) qui régnait dans la serre. Ils rappellent à ceux qui sont autour de moi la surprise qu'ils avaient eu à nous contrôler sur l'autoroute, entre nos physiques moulés dans nos combis en cuir qui auraient fait bander un eunuque et l'arrivée d'Ernesto dans la Mercédès. Ils s'étaient demandé un moment sur quel monde ils étaient tombés.
Marc qui nous rejoint à la fin de leur récit, nous dit que c'est pas étonnant. Ce n'était pas la première fois que j'allumais la maréchaussée ! Et, à son tour, il raconte les deux fois où je suis passé à la " casserole " pour éviter le retrait de permis (cf. épisodes D-mot6 et D-mot7). Autour de nous ceux qui ne savaient pas me traitent de véritable obsédé. Je me défends que je n'avais pas eu le choix. Je venais d'avoir mon permis et à 18ans sur une X11 débridée, c'était le retrait de permis définitif au bas mot pour m'être fait contrôler à 210 !
Petit à petit on se retrouve tous au 4ème à reprendre des forces. Ça discute dans tous les coins. Mes escorts sont interrogés sur leur cursus...d'études pas de performances sexuelles !! Bande d'obsédés ! Alban tient dans ses bras Ric. Comme ils sont contre le bar/séparation de la cuisine, les quelques qui avaient encore des doutes quant au modèle qui lui avait servi pour les cariatides, sont confortés dans leur idée. Pour rire, il prend la pose et là c'est une évidence.
Il est 2h30, nous fêtons enfin le passage de l'année quand Xavier nous rejoint. Il ne pouvait pas abandonner sa femme un tel soir mais avait négocié pour pouvoir nous rejoindre au retour de la fête qu'ils avaient fait avec des amis. Depuis que j'ai "arrangé " leur petit problème de couple (elle n'arrivait pas à se faire pénétrer par les 26x6.5 de son mari), elle est très compréhensive et comme c'est chez moi, elle accepte qu'il vienne se défouler. Il ne reste pas habillé très longtemps. Les quelques escorts (c'est le seul client que j'invite à mes touzes) qui le connaissent le mettent à poil. Et ses 26cm déployés font envie à plus d'un. C'est d'ailleurs ce qui la relance !
Moitié (le mec de Bo-gosse) se jette le premier dessus. Habitué aux 24cm de son mec et un peu entrainé par les queues qu'il s'était mangé depuis le début de la soirée, nous l'avons vu se les prendre en entier, menton sur les couilles et nez contre le pubis. Les participants se trouvent à nouveau, ils s'écartent par 2, 3 ou même 4 et s'égaillent entre la terrasse, et les autres niveaux. Je monte avec Alban et Ric. Le sculpteur voulait voir le vieillissement de son " baiser ". La patine est brillante à certains endroits, ceux qui attirent le plus les caresses. Dans quelques années, la patine noire sera usée laissant paraitre le doré du bronze. Des gémissements nous attire de l'autre côté. Les mains accrochées aux hanches d'un des protagonistes de l'oeuvre, les jambes écartées, nous trouvons louis, le petit mec de Franck, en train de se faire littéralement défoncer par le Lad motard et ses 24x7. Les yeux fermé, il savoure le moment. Je lui caresse la tête, il ouvre les yeux. Je lui demande si Franck sait qu'il se fait emmancher par un tel engin. Il me sourit déjà bien parti entre le poppers et la saillie qu'il subit. Il me répond de descendre, je le trouverais sûrement en train d'enculer un de mes escorts et probablement Max (le petit mec à qui je donne des cours de français) ou Kamal.
Je descends au 3ème. Je vérifie que notre chambre est bien fermée et parcours avec Alban et Ric les autres chambres. Ça baise partout ! Au second chaque banc de muscu supporte un mec en train de se faire sodomiser. Ric nous abandonne et je pousse vers le fond. Sous les douches 4 mecs se font du bien et pas en se savonnant ! Dans la piscine les deux mecs qui y sont se roulent des pelles. Je leur rappelle que je ne veux pas de sperme dans l'eau. Ils secouent la tête pour me signifier qu'ils ont entendu mais ne se décollent pas pour autant. Au premier mon bureau sert aussi de support à un couple qui fait l'amour. Je descends directement au sous-sol. Le donjon est plein, au moins 15 mecs y baisent. Jimmy se faite enculer par la bite d'un des gendarmes accolée à un gode de bonne dimension. Arnaud se fait préparer par Léopold en vue d'une profonde saillie. Je le vois faire plusieurs allers et retours de la douche où il se plante un embout à lavement dans le cul et les WC à côté.
Dans le Jardin qui n'est plus que la moitié de lui-même depuis l'implantation de la seconde salle de sport, je vois Anthony faire des longueurs. Je l'arrête et il me dit se détendre un peu avant de retourner dans l'arène. Dans les palmiers, Viktor et Nicolaï en 69 se font ramoner par Marc et Pablo.
Plus loin je tombe sur Ludovic et Côme en recherche de partenaire, enfin en ce qui concerne Ludovic. Côme, lui, s'est contenté jusque-là de faire l'amour à ses deux amis Jona et François. Je les prends par les bras et m'enfonce entre les arbres. Contre le mur du fond, la luminosité est faible. J'attire leurs têtes vers la mienne et je leur roule des pelles alternativement pour commencer puis tous les trois ensembles. Dans l'euphorie du moment, ils ne se reculent pas et leurs langues se trouvent et se touchent pour se battent avec la mienne. Mes mains caressent leurs deux corps musclés, je sens les leurs sur moi. Nos bites raidissent et nous les écrasons contre les hanches des autres. Côme est très excité. Ludovic me semble bien chaud lui aussi. De fil en aiguille, je me retrouve en train d'enculer mon Ludovic tout en me faisant moi-même sauter par son grand frère. J'adore ! A l'occasion d'un changement de position, je provoque la sodomie de Ludovic par son frère. Au départ je suis sûr que chacun pense que son frère s'est éclipsé et qu'ils font l'amour avec moi. Je les regarde. Ils sont superbes ! A part la barbe de 3 jours et ses épaules plus larges, on pourrait croire à des jumeaux. C'est d'ailleurs c'est elle (la barbe) qui trahi l'accouplement. Quand Ludovic sent les poils raides piquer son cou, il comprend que ce n'est pas moi qui lui lime le cul mais son frère. Avant qu'il ne le repousse, je prends sa tête entre mes mains, lui roule une pelle et lui dit de laisser faire et de prendre son pied. Je me redresse et fait de même avec Côme. Comme je suis en roulage de pelle avec lui, je sens mon Ludovic pomper ma bite qui, tout naturellement, était venue de placer devant sa bouche.
Alors qu'on reprend nos souffles Côme et moi, ce dernier, sans pour autant cesser d'enculer son frère, me traite de salaud. Je me recule et leur demande à tous les deux s'ils n'étaient pas en train de prendre un pied géant. Pour preuve Côme ne cessait de pilonner son frère et celui-ci, tout bandant, ne se sauvait pas à toutes jambes mais était plutôt enclin à reculer sur la bite qui le défonçait.
Ludovic se retourne sur le dos pour voir la tête de son frère en train de jouir de son corps. Je suis ravi quand Côme se penche et qu'ils se roulent un patin tout sauf fraternel ! Je rentre alors dans le jeu. Je me colle au dos de Côme et lui met mes 20cm. Ludovic m'aide en ouvrant les fesses de son frère avec ses mains. Nous nous éclatons dans cet échange à en partie incestueux. Côme est le premier à partir. Il accentue en violence ses coups de rein et s'immobilise, son gland au plus loin dans son frère, qui pulse au rythme de ses éjaculations. Il m'entraine avec lui. Ma bite a toujours du mal à résister aux compressions spasmodiques d'une jouissance extrême et je rempli ma kpote. Ludovic est le dernier à juter et se répand entres leurs abdos collés. Break, on se décolle et, avant que les deux frères se séparent et se retrouvent sur le dos côte à côte, je les entends se dire qu'ils s'aiment ! Avant que le sperme soit trop froid, je lèche leurs abdos. Et nous nous roulons de nouveau une méga pelle. C'est Côme qui me dira merci le premier pour ce plan qui a dégénéré. Ludovic me demande si cela ne me gêne pas qu'il aime son frère aussi. Je leur souris et leur dis qu'il n'était pas question pour moi de le séparer de ses frères ni même de ses parents. Et ce n'est pas moi qui vais avoir du mal à comprendre qu'on puisse aimer plus d'une personne !!
Nous nous endormons dans notre coin, isolé de la furie ambiante.
Jardinier
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Qu’est ce que vous trouvez à melechon ? Et qu’est ce que vous pouvez critiquer chez lui ? (Ce n’est pas une critique, c’est juste que je suis jeune et que je ne connais pas bien son parcours) qu’est-ce qui fait de lui un grand homme politique ? Merciii
C'est difficile de décrire ce que je pense de Mélenchon sans parler aussi de la dimension émotions plus personnelle 😅 Est-ce que tu étais assez grande en 2012 pour suivre la campagne ?
J'avais 17 ans, mes parents avaient voté Arlette Laguiller toute ma vie sans jamais militer et sans vraiment y croire, ma seule éducation politique c'était mon expérience personnelle de fille d'immigré pauvre et les discussions très générales de ma famille. Quand on a allumé la télé ce printemps là et qu'on a écouté Mélenchon parler avec autant de conviction de ce que pourraient être nos vies, ça a été une révélation. Il y avait quelqu'un, quelqu'un qui était même parfois pris au sérieux, qui dénonçait ce que je haïssais et proposait de le changer. Qui le disait avec passion, sans faire les simagrées du PS, sans refuser de prendre position, en argumentant rigoureusement, parfois avec des références à des livres que je pouvais lire, souvent sans insulter l'intelligence de son public, en faisant des liens que d'autres avaient sans doute fait avant mais jamais là où je pouvais les entendre. J'avais toujours connu la gauche faiblarde, traîtresse, dont on ne pouvait attendre qu'un sursis. Pour moi c'était vote "utile" pour le PS et affiliés, ou vote complètement inutile mais cohérent pour l'extrême-gauche, sans autre possibilité, sans espoir. Et là il y avait autre chose. C'est pas par conviction que l'autre flanby a balbutié son fameux "mon véritable adversaire, c'est la finance" - c'est parce que l'aile gauche de la gauche lui soufflait dans le cou. J'ai entrevu autre chose pour la première fois, et un autre chose qui semblait même assez directement atteignable. J'ai imprimé des tracts en douce avec l'imprimante familiale et séché des cours pour les distribuer - gros acte de rébellion pour moi à l'époque. J'étais sûre que ça allait arriver, en 2012 ou la fois d'après, ça ne pouvait qu'arriver.
Je ne vais pas faire semblant que tout ça n'influence pas mon opinion de Mélenchon. Évidemment que ce souvenir m'encourage toujours à être un peu plus indulgente.
Mais je crois aussi sincèrement que le projet qu'il défend est un projet qui nous rapprocherait d'un monde plus juste.
Impossible de séparer Mélenchon du LFI, alors parlons de ça. Je ne vais pas refaire le programme, mais c'est le seul qui propose une alternative avec un plan d'action concret et plus ou moins immédiat. Et j'ai peut-être tort mais, si LFI ne propose pas en soi de sortir du capitalisme, j'ai toujours pensé que sortir du capitalisme serait plus facile avec le modèle que propose LFI qu'avec le modèle actuel. J'ai parfois même encore la naïveté de penser que c'est le but final, juste à horizon très lointain.
Toutes les critiques que je pourrais faire sur Mélenchon ou LFI, je peux les faire sur la plupart des autres personnalités et partis politiques.
Je trouve leur ligne sur les droits des femmes très faible (mon plus gros problème ; malheureusement pas plus faible qu'ailleurs), j'aimerais qu'ils se battent ouvertement pour la mise à mort du capitalisme (comme je le disais, certaines de leurs positions me laissent penser qu'ils n'y sont pas opposés, mais si c'est le cas il faut être plus clair, et si ce n'est pas le cas c'est une déception ; mais là encore, à moins de regarder vers l'extrême-gauche, ils remettent plus en cause le système capitaliste que les autres partis), et je pense qu'ils passent un peu trop de temps sur certains sujets qui n'ont pas lieu d'être ou qui n'aident pas sur un plan purement stratégique (mais c'est aussi le climat actuel qui veut ça).
En ce qui concerne Mélenchon lui-même, il s'emporte parfois trop. C'est la principale critique qu'on peut lui faire, et qui lui est faite d'ailleurs à longueur de journée. Mais est-ce que c'est le plus important ? Lors de ses interventions, il est la plupart du temps posé malgré les interruptions intempestives et la mauvaise foi chronique de ses interlocuteurs. N'importe qui finirait par s'énerver !
Quant à ses "phrases polémiques", que dire ? On lui a récemment reproché d'avoir dit que l'antisémitisme est résiduel en France. Sans rentrer dans le commentaire de texte, les mots qu'il a employés exactement sont "l'antisémitisme reste résiduel". "Reste" ; or il n'a jamais, à ma connaissance, nié l'Holocauste, donc le sens le plus probable de "résiduel" ici est bien "qui persiste de quelque chose en dépit de tentatives faites pour l'éliminer". Étant donné l'autre sens du mot et la malhonnêteté ambiante, il aurait dû choisir un autre mot, mais de là à utiliser cette phrase comme preuve d'un antisémitisme débridé... On sait tous de toute façon que le problème ici ce n'est pas un quelconque antisémitisme à gauche, mais le refus de LFI de soutenir à 100% le génocide qu'Israël mène contre les Palestiniens.
La vérité c'est que même les sorties les plus stupides de Mélenchon passeraient inaperçues dans la bouche d'une autre personnalité politique. Le problème ce n'est pas vraiment ce qu'il dit, ou comment il le dit, mais c'est qu'il est le chef de file du parti qui a le plus de chances d'ébranler la dictature de la bourgeoisie en France. S'il se retirait, la prochaine tête de liste serait accueillie exactement de la même manière.
Ni LFI ni Mélenchon lui-même ne sont parfaits, mais si l'on admet qu'ils sont généralement de bonne foi, pourquoi ne pas essayer de les pousser à mieux au lieu de tout condamner ? Ils ont déjà changé d'avis sur certains sujets, ils peuvent le faire encore. Il y a des différences entre le monde qu'ils dessinent et celui que je désire, mais ils ne sont pas si incompatibles qu'il faille tout balayer.
Bref, je n'aime pas trop parler de "grand homme politique" pour plein de raisons (ça a aucun sens, on y met tout et rien, etc.), mais on peut lui reconnaître qu'il n'a pas vacillé malgré un acharnement politique et médiatique de plus en plus intolérable, qu'il a redonné de l'espoir à une grande partie des électeurs de gauche qui ne croyaient plus (2012, j'étais loin d'être la seule, et après la catastrophe Hollande encore plus), et qu'il est vraiment très bon orateur.
#après si tu veux son parcours politique c'est grand admirateur de mitterrand au ps (😔) > alliance pcf (avant la saucisse roussel 😔) > lfi#il a beaucoup évolué sur plein de questions et dans l'ensemble pas en se droitisant comme le reste de ces clowns#donc ça aussi c'est un point positif pour moi#(il me semble qu'il est tjrs fan de mitterrand malheureusement mais bon. je choisis de pardonner ce méfait aujourd'hui)#je mets de côté l'extrême-gauche parce qu'ils ont jamais eu aucune chance aux élections+c'est mm pas leur but premier+leur programme est svt#pas assez concret pour que ça donne qqch immédiatement ou en tt cas pour qu'on puisse facilement imaginer sa mise en oeuvre#pr moi l'extrême-gauche c'est les idéaux et lfi c'est une marche vers ces idéaux. encore une fois c'est mon avis naïf lol#ça aide aussi que j'attende rien d'autre que le moins pire de la part des politiciens en ce qui concerne les femmes... :/#french side of tumblr#upthebaguette#mine
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