#Désordre cérébral
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« L'erreur humaine est d'avoir abandonné ses instincts au profit de la mécanique cérébrale. Alors que l'humain aurait dû utiliser ses instincts comme complément du mécanisme cérébral.
On a fait passer ses envies avant ses besoins, pour ensuite faire passer ses envies pour ses besoins.
L'erreur est d'avoir annulé certains mécanismes au lieu de compartimenter l'ensemble, de façon à préserver la chaîne logique : chaque chose découle d'une autre, chaque mécanisme en déclenche un autre.
On a finalement oublié la loi de Lavoisier : « rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme ». Donc tout se qui nous a été donné par la nature doit être utilisé. Si l’on veut s'élever au dessus de la condition animale, qui est notre condition originelle, il faut apprendre à hiérarchiser correctement ces dons de la nature. D'où le besoin de ritualisation, le besoin d'ordre. Ainsi on évite de s'emmêler dans les lymbes de la mécanique mentale. De même qu'on évite d'inventer de faux remèdes, tels que la psychanalyse, qui nous embourbe davantage dans notre soupe d'imbécillité émotionnelle ! Les émotions ont tendance à générer le désordre. Plutôt, l’absence de maîtrise des émotions.
L'animal n'est régi que par ses instincts. Nous humains prétendons être mieux parce que, soit disant, nous possédons une conscience ! Et bien, c'est cette conscience qui devrait nous élever, pourtant, nous en sommes bien loin ! Alors qui est meilleur ? Celui qui n'a pas ou celui qui n'use pas de ce qu'il a ?
Nous ne produisons que du plagiat intellectualisant. Nous ne créons plus. Nous n’innovons plus.
La magie n'est que l'illusion de ce que l'esprit humain ne peut ou ne veut entendre. Le rationnel seul est le chemin vers la vérité. Tout est logique, même le magique. Il suffit de chercher. Se poser les bonnes questions, puis agir.
Finalement que se passe-t-il aujourd'hui ? L'humain vit de ses instincts, se persuadant que c'est son intellect qui lui dicte sa conduite. Hors il abandonne le mécanisme intellectuel au profit de ses désirs, prétendant que ceux-ci sont l'objet de l'évolution humaine dans la société. La société, non la communauté. On consomme, on ne vit plus. C'est la Grande Guerre de l'information. Plus besoin d'un gouvernement totalitaire à la 1884, il suffit d'abrutir la population. Tant qu'elle a « du pain et des jeux », elle ne mouftera pas. La révolution populaire a été tuée dans l’œuf. Bons petits esclaves bien dociles. Stupides brebis adorant un dieu en toc.
Le meilleur moyen de contrôler quelqu'un c'est de lui servir ce qu'il croit vouloir. »
O'Donnell.
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Qu'est-ce que l'aphasie, la maladie qui a un impact sur la carrière d'acteur de Bruce Willis ? | Médicament
Qu’est-ce que l’aphasie, la maladie qui a un impact sur la carrière d’acteur de Bruce Willis ? | Médicament
Bruce Willis interrompt sa carrière d’acteur en raison d’un trouble cérébral appelé aphasie, “qui affecte ses capacités cognitives”, a annoncé mercredi sa famille. “A cause de cela et avec beaucoup de considération, Bruce s’éloigne de la carrière qui a tant compté pour lui”, a écrit sa fille Rumer Willis sur les réseaux sociaux. Vous n’avez peut-être jamais entendu parler d’aphasie, mais ce…
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#accident vasculaire cérébral#acha#anatomie#aphasie#Bruce Willis#célébrités#Désordre cérébral#domaines médicaux et spécialités#Dystrophie musculaire#maladies et troubles#Médicament#neurologie et neurosciences#Psychologie#Santé et médecine#science du cerveau#traitement#troubles de la parole et du langage
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Quelques nouvelles du transhumanisme par Israël Adam Shamir
(…) Les super-riches visent maintenant l’immortalité, nous dit un long article de la Technology Review sur les laboratoires Altos, un institut secret et extrêmement bien financé de la Silicon Valley. Apparemment, Jeff Bezos et Yuri Milner veulent vivre éternellement; ces riches salopards pensent qu’ils sont si précieux pour Dieu, pour l’humanité et pour l’univers qu’ils devraient être maintenus en jeu après que tous les autres soient retournés auprès du Créateur. Je n’ai pas connaissance d’une seule qualité rédemptrice chez ces deux hommes. Oui, ils accaparent beaucoup de ressources d’autres hommes, mais ils n’ont pas fait avancer l’humanité d’un pouce. Ils n’ont pas écrit de poème, ils n’ont pas peint de tableau, ils n’ont pas inventé ; ils n’ont pas commis d’acte héroïque de sacrifice, ils ne sont pas beaux ; ils n’ont aucune garantie d’immortalité, d’ailleurs. Ils ont simplement accaparé plein de sous. Et avec cet argent, ils veulent nous acheter du temps, prélevé sur le nôtre.
Ces types devraient être brûlés sur un bûcher dans Central Park pour la témérité de leur entreprise: voler et dépouiller des millions de travailleurs du fruit de leur travail, de leur vie – pour vivre, eux, plus longtemps. Retournez dans vos cercueils, horribles zombies ! Car c’est ce qu’ils sont — des morts-vivants. À la place de l’immortalité, ces gens font la promotion d’un attachement maniaque pour des vestiges de la vie, au lieu de ce qui est normal, comme le dit l’Ecclésiaste: « Une génération s’en va, une génération s’en vient, mais la terre reste pour toujours.» (Eccl 1:4)
Terry Pratchett, dans son Disque-Monde, a imaginé un monde où la Mort a été mise à la retraite, et c’est la pagaille. Mais ce désordre serait la normalité par rapport au système à deux vitesses envisagé par le transhumanisme: tout le monde meurt, mais quelques riches salauds vivent éternellement. Pour moi, c’est une publicité pour le retour rapide de la peine de mort pour les accapareurs.
Le problème, c’est que si très peu de gens sont susceptibles de profiter de cette évolution, ils sont aussi très riches. Ils veulent vivre éternellement, ce que nous, chrétiens, obtenons gratuitement, mais ils préfèrent s’en remettre à "la science". J’ai écrit sur cette tendance récemment, et voici que Victor Pelevine a publié un livre satirique divertissant la semaine dernière, intitulé Transhumanism INC.
Pour ceux qui ne savent pas de qui je parle: Pelevine est probablement l’écrivain russe vivant le plus important, un Voltaire du XXIe siècle, en quelque sorte. C’est une énigme, car personne ne l’a aperçu au cours des dix dernières années, bien qu’il produise un livre par an, et le publie invariablement au début du mois de septembre. Ses premiers livres ont été traduits et publiés en Occident, surtout pour leur côté antisoviétique. Plus tard, il a attaqué (ou raillé) l’ordre du jour occidental dominant, et on a cessé de le publier en anglais, alors que ses livres sont imprimés à des millions d’exemplaires pour les lecteurs russes politiquement incorrects. Un lecteur de Ron Unz apprécierait ses écrits satiriques. Pelevine s’intéresse à Wikileaks et à l’Afghanistan (The Anti-Aircraft Codes of Al Efesbi), aux droits de l’homme comme prétexte aux bombardements (S.N.U.F.F.), aux rôles des sexes et à la diversité (IPhuck 10), au politiquement correct comme complot du GRU contre la société américaine (The Art of Light Touches), et maintenant il s’en prend au transhumanisme.
L’histoire se déroule dans 300 ans. Les personnes les plus importantes du monde se sont débarrassées de leur corps et ont déplacé leur cerveau pour qu’il soit conservé et entretenu pour toujours par Transhumanism Inc. pendant qu’ils profitent des plaisirs paradisiaques induits par le numérique. Chaque humain a un implant cérébral et se laisse guider par l’IA. Le sale boulot est fait par des esclaves clonés qui sont tous blancs pour se conformer aux idées de BLM. Selon la loi, les esclaves doivent toujours porter un masque sur le visage, quelle que soit la situation épidémiologique. Les esclaves eux-mêmes ne tombent pas malades, mais ils propagent les virus de manière asymptomatique. Il n’y a pratiquement pas de sexe, tel que nous le connaissons: les femmes préfèrent sodomiser leurs partenaires masculins pour se venger du patriarcat. L’agenda vert a gagné ; il n’y a plus de voitures, seulement des chevaux et des calèches à puce. L’électricité est chère et les gens se débrouillent avec des lampes à kérosène.
La Transhumanism Inc. a une filiale, Open Mind, qui s’occupe de l’esprit des gens. Open Mind est un Facebook amélioré auquel vous ne pouvez pas échapper, ou des lunettes intelligentes de Google que vous ne pouvez pas enlever. Lorsque vous regardez une personne ou un bâtiment, ou que vous écoutez une chanson, Open Mind vous suggère la bonne réaction, la bonne évaluation. La fille d’un banquier a l’air charmante, une chanson populaire a l’air populaire, dès lors que les créateurs ont payé la publicité ad hoc. Ainsi, les réactions humaines sont gardées sous contrôle. Ce système coexiste avec la politique locale. Dans le roman, la Russie a un gouvernement quasi communiste-nationaliste qui a également accès à l’implant, mais la grande majorité des réponses est déterminée par le marché, c’est-à-dire par la Transhumanism Inc. Le grand dirigeant russe communiste-nationaliste, un Poutine sous stéroïdes, a également son cerveau stocké, à côté de celui du Cheikh Ahmed, le chef du djihad mondial.
Ce n’est pas très différent de ce que nous avons aujourd’hui. Les gouvernements diffèrent, les partis diffèrent, de Poutine à Modi, de Biden à Merkel, mais les réponses humaines et l’ordre du jour sont assez similaires dans le monde entier, qu’il s’agisse du covid ou du climat, de la privatisation ou du transgenrisme. Là où ils ne sont pas si superposables, ils se rapprochent de cette similitude. Dans le triste monde du transhumanisme, les dirigeants ont succombé à la tentation suprême de vivre éternellement au paradis tout en restant en contact avec leurs pays. Leurs cerveaux (placés dans des bocaux) reposent sur une étagère dans une cave bien protégée à Londres ou dans le Nevada, mais à tout moment, ils peuvent se connecter à leurs assistants (comme dans le film Avatar) et interagir avec des personnes de moindre importance.
Dans notre monde, nous avons Zuckerberg, l’homme qui décide de ce que nous pouvons ou ne pouvons pas dire et lire. Dans le monde de Pelevine, c’est Goldenstern (sic !) dont le nom est tabou, sauf s’il est précédé de l’épithète «le Juste». C’est donc un «Goldenstern le Juste» qui décide de ce qui est acceptable, sans quoi l’accès à votre compte sera limité. Goldenstern est considéré comme un Juif, d’ailleurs. Tout le système fonctionne dans l’intérêt des créatures de type vampire qui se régalent de l’énergie, de la pensée et de la créativité humaines.
Et bien que le livre soit une fiction, voire de la science-fiction, lorsque je regarde l’art, le cinéma et la musique d’aujourd’hui, j’ai l’impression que la créativité humaine a été aspirée et que l’énergie humaine se borne désormais à faire du profit ; les politiciens semblent tous très différents, mais on pourrait ranger leurs cerveaux sur la même étagère dans la même cave et même recevoir leurs ordres du même super-vampire…
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Terre !
Terre enfin...
Ce que j'aime dans la campagne où je vis, plus que ma maison, c'est le bout de nature attenant que j’appelle le "jardin".
Il y a peu, arbres, pelouse, massifs et "espace à jardiner", ont été mis en place sans atermoyer. Pas question alors de perdre plus d'une saison.
Aujourd'hui, l’ensemble est à peu près harmonieux mais il ne me convient pas.
J'ai donc entrepris d'en modifier l’organisation, de redéfinir des contours, de transférer en pleine terre des plantes et des petits arbustes qui vivotaient en pots et qu’avec lassitude, je ne cesse d'arroser l'été et de rempoter chaque printemps.
Je remanie ce qui est en place et qui peut encore bouger.
Je viens de reconfigurer le potager, trop difficile à entretenir. Mais sans grand effort cérébral, en réduisant le vaste rectangle à un petit carré. Une végétation folle dominée par les chardons concurrençait, sans grande lutte, mes légumes et prenait sur eux un avantage funeste, les empêchant de trouver leur place ou en contrariant leur croissance. Travailler la terre, collante par temps humide, dure sous la chaleur, est une affaire ardue.
La complexité et l’extrême rigueur de l'œuvre verte, géométrique, experte et belle de mon voisin le jardinier, m'ont dissuadé de tenter d'en adopter les principes d'ordonnancement : lignes droites sans défaut, tunnels amovibles de protection et de réchauffement, dispositif contre les vents, cultures protectrices d'autres végétaux, pérennité des productions...
Pas question non plus donc d'y créer un séduisant désordre, un fouillis savant et poétique... faute d’irrésistible inspiration. Seulement d'une année l'autre, veiller à alterner les cultures. Réfléchir un peu, calculer à peine, ne pas laisser trop de place à l'imagination. Aller vite et bien.
Une bande dédiée aux herbes fines et quatre ou cinq cultures de saisons suffiront. L'été, des tomates, des courgettes, des aubergines, des haricots. Des concombres ? L'hiver, une variété, voire une deuxième, pas davantage. Des fèves par exemple. Plus jamais l'ail, ni l'oignon, trop d’attente, trop de soins. Le tout disposé avec application mais sans égard pour les normes "à la française" des jardins d'antan et d'à côté. Il faudra cependant que le tout me plaise et soit d'un accès facilitant l’entretien et la cueillette.
Dans l'aire maraîchère libérée par l'opération de resserrement, travailler le terrain, l’ameublir, extraire les racines des chardons semblables à de longues mèches profondément enfouies dans la matière, réserver les emplacements destinés à recevoir les petits arbres et les plantes vivaces une fois libérés de leur pot, les placer, les arroser abondamment, ratisser, amender la parcelle au moyen du terreau issu du compost, disposer les graines du futur gazon, se débarrasser en déchetterie des dizaines de kilos de cailloux amenés en surface et extraits d'abord à la pelle, puis par poignées et enfin l'un après l'autre, avec deux fois deux doigts.
Il me fallait aussi revoir les massifs.
Les élargir pour rendre harmonieuses les proportions de chaque élément du petit paysage. Arracher l'ivraie et le chiendent qui s’étaient solidement implantés, intriqués aux racines des vivaces et aux robustes rhizomes des iris. Employer la manière forte : couper, arracher, extraire, jeter, composter, replacer, arranger avec netteté et précision les bordures. Manier résolument la fourche-bêche, la bêche, la pioche, et pour parachever le tout, le râteau et même le balai.
Pour davantage d'efficacité et de méticulosité, agir, à l'occasion, genoux appuyés au sol et lunettes chaussées.
Expulser les grosses larves blanches qui ont envahi les pots en les offrant à l'appétit insatiable des oiseaux. Modeler la glèbe à la main, l’étaler, trier en humant les parfums de l'humus qui récompensent des efforts déployés pour faire beau.
Tailler les arbres fruitiers qui, en trois ans, n’ont formé que de longues branches parties à l'assaut du ciel et ont oublié de produire ce pourquoi ils ont été plantés : satisfaire les envies de croquer des fruits frais et fournir matière à pâtisseries, à confitures. Le cerisier a consenti au fleurissement, les pruniers, n'ont pas eu cette délicatesse ! Seul un figuier encore nain, récemment installé, isolé, a réussi là où les autres ont démérité.
Passer une dernière fois en revue la haie, couper, tailler les arbustes en les dotant de belles formes.
Réunir en tas tous les déchets verts, les broyer, les mettre à composter.
Haubaner les arbres hauts menacés par les vents d'Ouest et l'Autan, après avoir ôté les tuteurs anciens qui les blessaient. Et continuer à craindre les tempêtes.
Sculpter le houppier d'un mûrier-platane dont les branches secondaires pointent vers le soleil au lieu de se développer en parasol, avec pour objectif un été avec ombre et chaise longue dessous. Un rêve toujours lointain.
Puis, alors que, justement, le soleil s’apprête à disparaître mais que la lumière est encore belle, se reculer, corriger un peu, ratisser encore, remettre, quelques minutes, les mains dans la terre, retoucher une dernière fois, sachant que rien n'est jamais définitivement achevé.
À la fin (quand ?), attendre.
Regarder tous les jours, évaluer, vérifier, guetter une évolution tandis que rien ne se passe en surface. Savoir qu’il faudra sortir de ce bout final d'automne puis de l'hiver qui ne se hâte pas. Patiemment, voir venir. Et, un jour ou l'autre, constater enfin que les enracinements ont réussi. Ou échoué.
Dans l'attente, se réfugier à la maison.
Lire peut-être.
Écrire. Sûrement. Pour donner à voir combien prendre soin d'un bout de planète apporte du bonheur. Sans excès de zèle, en se sentant faire corps, oui, physiquement, avec elle.
Au fait, cet aggiornamento m'a pris près d'une semaine.
Fabien Borgogne
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Avec #contesduhasard la coïncidence et l’imagination générées par le désordre amoureux sont traités avec poésie et fluidité dans 3 récits à la mise en scène intime pour un résultat troublant, cérébral et délicat. On vous le conseille.
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Je suis rendue là. À cette mission objective d’une finalité ordonnée, didactique. Va falloir ouvrir tous les tiroirs de la conscience et faire le tri des papiers; des lettres agaçantes il me fera un plaisir de déchiqueter, les factures m’enivreront de créer une murale. Au grand jour des fourmis pullulants le sol, je marcherai antigravité. En suspension je couperai les ponts rudimentaires de ma vie désertée, pour et contre les moments de précise oisiveté. Souhait est vivant, désespoir se contente de dépérir de la surface planétaire pour s’ensevelir dans le plus sable-mouvants des marécages pour disparaître et nourrir la giblotte des potentiels micro-organismes présents en surface du fond de la croûte terrestre.
À l’extérieur des répertoires précisément infini se déroulaient les documents de cerveau, tous bien rangés. Soit dans le désordre ou déjà maintenus d’un entretien particulier et sans l’ombre d’un microbe. De vastes tiroirs, incluant chaque mot pensé, parlé, échangé. Même les mots ignorés y étaient, créaient la base matrice constituant le matériel reposé des cellules, connections synaptiques croisées, trajectoires neuronales, travail de cérébral mental. Pas besoin de femme de ménage pour mes méninges, merci. Je me suffirai à bien arroser les plantes enracinées dans ma littérature, celles qui prennent la débandade des objectifs comme un jeu, qui ainsi s’encline aux vertiges recherchés lors de pulsions kamikazes. C’est un peu le même principe que la cigarette.
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Synopsis : Alice, seule survivante de la bataille de Washington contre les zombies, doit retourner à l’endroit où le cauchemar a commencé : le Hive à Raccoon City. C’est là, qu’Umbrella Corporation a regroupé ses dernières forces pour mener l’assaut final contre les survivants de l’apocalypse.
Origine du film : Allemagne, Royaume-Uni, États-Unis, France, Canada, Australie Réalisateur : Paul W. S. Anderson Scénariste : Paul W. S. Anderson Acteurs : Milla Jovovich, Ali Larter, Shawn Roberts, Ruby Rose, Eoin Macken, William Levy, Iain Glen Musique : Paul Haslinger Genre : Action, Horreur, Science-fiction Durée : 1 heure et 46 minutes Date de sortie : 25 janvier 2017 (France) Année de production : 2016 Sociétés de production : Constantin Film, Capcom Co, Ltd., Davis-Films, Don Carmody Productions, Impact Pictures Distribué par : Screen Gems Titre original : Resident Evil: The Final Chapter Notre note : ★★★☆☆
Notre commentaire : “Resident Evil: The Final Chapter” ou “Resident Evil: Chapitre Final” pour la distribution française, est une production internationale de science-fiction, d’action et d’horreur, datant de 2016, écrite et réalisée par Paul W. S. Anderson, à qui l’on doit également “Alien vs. Predator” (2004). Les acteurs principaux sont Milla Jovovich, qu’on a pu voir dans “Ultraviolet” (2006), Ali Larter, qu’on a pu voir dans “Destination Finale” (2003), Shawn Roberts, qu’on a pu voir dans “Resident Evil: Retribution” (2012), Eoin Macken, qu’on a pu voir dans “La Forêt” (2016), William Levy, qu’on a pu voir dans “En Cavale” (2016) et Iain Glen, qu’on a pu voir dan “Lara Croft: Tomb Raider” (2001).
En septembre 2012, suite au succès de “Resident Evil: Retribution” (2012), un sixième film dans la franchise Resident Evil a été confirmé par le chef de la distribution de la société Sony Pictures, Rory Bruer, avec Milla Jovovich reprenant le rôle d’Alice. En décembre 2012, le réalisateur Paul W. S. Anderson a confirmé qu’il dirigerait “Resident Evil 6″. Il a également déclaré que ce serait le dernier film de cette franchise et que certains personnages des deux premiers volets reviendraient dans cet ultime épisode.
En juin 2014, Paul W. S. Anderson a annoncé que le film serait intitulé “Resident Evil: The Final Chapter” et a confirmé que ce métrage était destiné à être le dernier film de la franchise. Il a également révélé que la moitié du script était achevée, et qu’à ce stade, il n’y avait pas de calendrier de programmé pour le tournage, ni aucune date de sortie de prévue. Le tournage devait finalement débuter en Afrique du Sud en août 2014, mais a été retardé d’une année en raison de la grossesse de Milla Jovovich.
Le tournage principal a commencé le 18 septembre 2015 à Cape Town en Afrique du Sud. Pendant le tournage, le double de Milla Jovovich, la cascadeuse britannique Olivia Jackson, a été gravement blessée lorsque sa moto a heurté une caméra sur grue, la laissant dans le coma pendant deux semaines. Elle était lancée à grande vitesse sans casque, ce qui a déchiré la moitié de son visage et à écraser plusieurs de ses os du visage. Parmi les blessures d’Olivia Jackson, il y avait un traumatisme cérébral, le visage écrasé, une artère coupée au niveau du cou, un bras paralysé, plusieurs côtes cassées, une clavicule cassée, des doigts déchirés avec le pouce qui a dû être amputé et cinq nerfs arrachés au niveau de la moelle épinière. La grue de la caméra a mal fonctionné et s’est déconnectée. Olivia Jackson a annoncé en décembre 2015 que son bras gauche paralysé devrait être amputé au-dessus du coude.
Un deuxième accident s’est produit lors du tournage, le 3 décembre un membre de l’équipe, Ricardo Cornelius a été écrasé par l’un des Hummer du film, un véhicule militaire de l’armée américaine. Le Hummer était placé sur une plate-forme tournante, et est tombé, écrasant Ricardo Cornelius contre un mur, alors qu’il assistait à la scène. Il est malheureusement décédé plus tard à l’hôpital.
“Resident Evil: Chapitre Final” a rapporté 26,7 millions de dollars aux États-Unis et au Canada et 285,4 millions de dollars dans les autres territoires pour un total mondial de 312,1 millions de dollars, contre un budget de production de 40 millions de dollars. Le film a rencontré des commentaires mitigés de la part de la critique.
L’histoire proposée par “Resident Evil: Chapitre Final” vient donc s’inscrire dans la continuité des précédents opus. On retrouve des zombies qui courent dans tous les sens, assoiffés de sang et de chair fraiche. On retrouve les méchants aperçus précédents, œuvrant toujours pour la Umbrella Corporation. On retourne à Raccoon City et plus précisément au Hive (la ruche) dans l’espoir de mettre la main sur un antivirus aéroporté qui peut tuer chaque organisme infecté par le fameux virus T. Le but étant de sauver les derniers survivant. Pour se faire Alice va avoir l’aide de la Reine Rouge qui lui avait causé bien des soucis auparavant.
“Resident Evil: Chapitre Final” peut s’avérer pleinement chaotique pour ceux qui découvriraient cette franchise avec ce film, mais pour les fans de cette vénérable saga, le métrage offre une conclusion parfaitement cinétique à cette fable post-apocalyptique violente. Malheureusement, ce film est loin d’être à la hauteur des attentes d’un final annoncé. L’ensemble apparaît comme une forme de désordre inutile du début à la fin. On a malencontreusement droit qu’à une déferlante de personnages répondant à des clichés maintes fois utilisés.
Les effets spéciaux sont, à contrario, plus que réussis, et surtout nettement mieux organisés que dans les deux précédents films, où cela apparaissait franchement indigeste, voir insupportable, allant jusqu’à frôler les maux de tête. C’est donc les scènes d’action qui permettent à ce film d’être sauvé, ou tout du moins d’être noté au-dessus de la moyenne. Bien que la photographie soit pauvre, il faut reconnaître que Paul W. S. Anderson, le réalisateur a le chic d’orchestrer ses scènes d’action avec un certain brio.
Du côté de la distribution, on retrouve donc Shawn Roberts, qu’on avait pu voir dans les deux précédents films, reprenant son rôle d’Albert Wesker, mais apparaissant très grimé pour ressembler à sa proposition antérieure, et Iain Glen qu’on avait pu voir dans le troisième opus de la franchise, reprenant également son rôle du Dr. Alexander Isaacs. On retiendra les prouesses de Milla Jovovich dans ce rôle qu’elle aura assuré pendant 15 ans.
“Resident Evil : Chapitre Final” va faire prochainement l’objet d’une édition en DVD ainsi qu’en Blu-ray, à paraître le 25 mai 2017 chez Seven7. Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à consulter la fiche du film sur le site DVD.Fr.
En conclusion, “Resident Evil: The Final Chapter” est plutôt décevant par rapport à, d’une part l’attente générée par le métrage, et d’autre part par rapport à l’idée qu’on pouvait se faire d’une fin annoncée. L’histoire est sans grande dimension, et l’intrigue est peu passionnante. Le rythme est dans la continuité des opus précédents. La distribution offre des prestations mitigées. Cependant, le niveau est relevé par les scènes d’action ainsi que la qualité des effets spéciaux. Un film à la limite de la correctionnelle.
Bande-annonce :
RESIDENT EVIL: CHAPITRE FINAL (2016) ★★★☆☆ Synopsis : Alice, seule survivante de la bataille de Washington contre les zombies, doit retourner à l’endroit où le cauchemar a commencé : le Hive à Raccoon City.
#Ali Larter#Eoin Macken#Iain Glen#Milla Jovovich#Paul W.S. Anderson#Ruby Rose#Shawn Roberts#William Levy
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Taux d'#acides #gras #polyinsaturés et #troubles #mentaux: une première piste à explorer
Le circuit cérébral de la récompense est mis à mal dans de nombreux troubles mentaux tels que la dépression, la schizophrénie ou les désordres bipolaires. Le dénominateur commun à ces trois maladies ? Une diminution des taux d'acides gras polyinsaturés n-3 (AGPI n-3) qui pourrait participer aux déficits motivationnels typiques de ces pathologies. Des chercheurs d'INRAE, de l'université d'Harvard et de l'université de Guelph ont montré le lien entre le taux d'AGPI n-3 dans un sous-type de neurones du circuit de la récompense et la motivation. Ces résultats sont parus le 7 avril dans la revue Cell Metabolism.
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Le journal du jeu #5 : comment marier spectacle et équilibre ?
Dans un football de plus en plus inégalitaire mais loin d'être linéaire, chaque semaine offre son lot d'enseignements plus ou moins anecdotiques. Tour d'horizon de téléspectateur.
* * *
Lyon, les ambitions sans protection
Que deux gardiens brillent dans un match où quatre buts sont marqués n'est pas commun. Pourtant, Mike Maignan et Anthony Lopes ont évité que ce Lyon-Lille, terminé sur le score de 2-2, ne s'emballe encore plus. Mais au-delà des arrêts, l'intérêt de la rencontre se situait évidemment dans l'opposition entre deux équipes douées en transition et qui doivent progresser dans le contrôle.
À la question de la domination a rapidement émergé une réponse: l'OL, rassuré par sa capacité à ne pas attendre Manchester City sans ouvrir trop d'espaces, a confisqué la balle, mettant sous pression des Lillois en difficulté pour la récupérer sans se déstructurer. Le carré axial, avec deux centraux qui sortent peu (Fonte-Dabila) et un entrejeu sans réel récupérateur (Xeka-Mendes), peinait alors à gérer les permutations de Maxwel Cornet et Bertrand Traoré et les décrochages de Memphis Depay.
En pleine galère, le LOSC a pourtant marqué deux fois, sans que cela ne reflète la qualité de son match mais sans non plus que les actions sortent de nulle part. Une récupération de Loïc Rémy entre Houssem Aouar et Tanguy Ndombele sur le 1-0, une passe interceptée du même Aouar sur le 2-0: c'est dans son camp que Lille a donné les munitions à ses trois milieux offensifs, restés devant pour exploiter les ballons trouvés sur le chemin.
Avec autant de joueurs devant, le bloc médian n'en a pas ratissé tellement, même avec le renfort d'un Rémy qui a involontairement éteint Jonathan Ikoné en occupant sa zone. Et c'est donc une forme de quitte ou double qu'a joué le club nordiste, certain d'avoir des égalités numériques à jouer en cas de transition mais sans garantie qu'il y en ait beaucoup.
Ce parti pris, qui a offert les conditions d'une rencontre un peu folle, convenait également à Lyon, qui a pris l'habitude de s'épanouir dans le désordre depuis l'arrivée de Bruno Genesio – même si Hoffenheim et le Shakhtar ont rivalisé dans ces duels "but-à-but" à l'instinct. C'est pourtant un OL propre, presque citizen, qu'on a vu samedi. Avec un double pivot joueur et moins de protection défensive.
Aouar et Ndombele symbolisent ce jeu risqué, où la création de dix bonnes situations peut valoir moins qu'un mauvais contrôle. City, justement, en a fait l'expérience il y a deux saisons, coulant à force de subir le réalisme adverse quand il faisait tout pour marquer. Et c'est dans cet exemple que se trouve peut-être une partie de la réponse à un problème qui se posera face à toutes les équipes qui attendront pour contrer, mais iront parfois embêter ce duo de meneurs reculés.
Outre l'extrême fiabilité technique de ses hommes, Pep Guardiola – qui garde un récupérateur en couverture – resserre beaucoup plus les lignes en possession. Au stade Pierre-Mauroy, les trois défenseurs lyonnais, bien alignés, sont restés loin du milieu, aucun ne pouvant donc sortir à contretemps pour enrayer les transitions à cause du trois contre trois voulu par Christophe Galtier.
Bien sûr, tout le monde n'a pas les contre-attaquants lillois. Mais le PSG l'a prouvé face au même adversaire: si on fait le noble pari du jeu, il faut pouvoir tuer les ripostes à la source en ayant toujours quelqu'un à proximité pour reprendre les ballons perdus. Puisqu'il faut bien laisser de l'espace quelque part, autant que ce soit dans le dos d'une défense qui n'aurait qu'à jouer le hors-jeu plutôt qu'entre les lignes.
Joshua Kimmich, délocalisation payante
En replaçant Philipp Lahm au milieu en club, Pep Guardiola avait inspiré Joachim Löw dans ses choix en sélection. Quatre ans plus tard, c'est l'Allemagne qui influence le coach du Bayern. Face à Benfica (5-1) puis au Werder (2-1) cette semaine, Niko Kovac a ainsi aligné Joshua Kimmich dans l'entrejeu, imitant ce que fait Löw depuis la fin du Mondial.
Les résultats confirment que l'idée est viable, mais, dans une saison où les galères de Jérôme Boateng et Manuel Neuer ainsi qu'un manque de réussite plombent une équipe pas si différente de l'an dernier dans ses productions, c'est d'abord l'avenir qui importe. La vraie question n'est pas de savoir si le Bayern peut gagner avec Kimmich au milieu, mais comment utiliser au mieux son élément le plus polyvalent.
À vingt-trois ans, le joueur formé à Stuttgart a déjà évolué à la moitié des postes existants et ses qualités, qui lui permettent par exemple d'être un ailier droit ou défenseur central tout à fait correct, posent un vrai casse-tête quand la machine tourne moins bien et qu'il faut changer des choses. Un bon problème, mais un problème quand même. Car, au QI footballistique et à la technique d'un milieu axial, il ajoute une qualité de centre rarement vue.
Dix fois passeur décisif l'an dernier en championnat, il l'a déjà été quatre fois cette saison – avec de meilleures statistiques avancées. Et c'est depuis le côté qu'il a offert deux nouvelles offrandes contre Benfica, sur un corner joué à deux puis directement. Quelques jours plus tard, c'est encore de son pied droit magique mais dans une position centrale qu'il servait Serge Gnabry par-dessus la défense pour l'ouverture du score, d'un geste en un temps qu'ils ne sont que quelques-uns à voir et encore moins à réussir.
Alors, que faire d'un joueur dont les défauts dans la couverture sans ballon et l'impact physique peuvent à tout moment se voir quand l'équipe souffre, peu importe le poste? L'association avec Leon Goretzka, relayeur d'impact qui complète bien sa panoplie, offre des perspectives intéressantes. Mais les choix de Kovac ne dépendront peut-être pas que du niveau de Kimmich.
Aussi bon soit-il au milieu, il y occupe un rôle où postulent Thiago Alcantara et Javi Martinez, voire Renato Sanches ou même James Rodriguez selon l'organisation. L'écart de niveau entre lui et ces excellents joueurs est-il supérieur à celui avec Rafinha, son remplaçant au poste de latéral droit?
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Qu'est-ce qu'un match tactique? Selon l'usage le plus courant, l'expression désigne toutes ces rencontres fermées, où la science du coach se retrouverait dans la capacité à bloquer les forces adverses. L'intérêt caché de ces 0-0 sans spectacle serait justement là, dans la méthode appliquée pour enlever tout spectacle à des rencontres qui devraient en produire de manière organique.
Dimanche, Arsenal et Tottenham ont montré un autre versant de la tactique, plus ambitieux que l'autre. Au lieu de neutraliser les forces adverses en limitant leur prise de risque, les deux équipes ont cherché à exploiter les faiblesses de l'opposition. Une philosophie offensive mieux appliquée par Arsenal, vainqueur 4-2 à l'Emirates d'un derby qui marquera la saison.
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Contrairement au dernier Liverpool-City, choc cadenassé par une préparation de match que le scénario n'a pas remis en cause et finalement sans but, ce duel entre Unai Emery et Mauricio Pochettino s'est joué sur la lecture du jeu en temps réel. Chaque changement a fait évoluer les dispositifs et attributions, les deux managers utilisant trois systèmes différents en plus d'adaptations entre les phases avec et sans ballon.
On pourrait tout analyser de ce duel cérébral et géométrique. On pourrait aussi dire que les matches sont gagnés par les joueurs sur le terrain plutôt que par les gestes des metteurs en scène, les buts n'allant pas toujours dans la logique du rapport de force – à commencer par ceux de Tottenham, passé en tête en première période alors que son 4-4-2 losange prenait l'eau sur les côtés. La vérité est entre les deux, dans la pertinence du cadre qui permet aux individualités de briller, et dans la capacité de l'entraîneur à les sublimer.
Alexandre Lacazette, buteur décisif en glissant sur un tir lointain légèrement contré, l'a confirmé après le match: "Les décisions prises par le coach étaient très bonnes, on peut dire que c'est sa victoire. On peut voir son enthousiasme sur le banc, ça nous pousse." Et rappelle au passage que le vrai Emery n'est pas l'ectoplasme trop souvent vu Paris mais un sanguin qui sait transcender ses joueurs dans les matches importants.
En vrac
Les victoires 2-0 face à la Roma et Valence relancent un peu le Real mais elles sont d'abord le fruit d'un meilleur réalisme que l'adversaire, même si l'intégration réussie de Marcos Llorente au milieu offre de nouvelles perspectives. Retour sur terre pour Eibar, battu 1-0 par un Rayo qui, contrairement à ses habitudes, a vite abandonné l'idée de relancer au sol face à un pressing tout terrain. On en est arrivé au point où les points perdus par Manchester United ne sont même plus une nouvelle, le 2-2 contre un Southampton dramatique frôlant pourtant parfois le théâtre contemporain. Avis aux clubs qui cherchent un attaquant: Jonathan Soriano a résilié son contrat en Chine, et l'Espagnol pèse plus de 260 buts depuis neuf ans.
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Photo
Le film, Un Crabe dans la Tête, réalise par André Turpin, est plein d’imagerie et les évènements absurde. L’image plus visible est le crabe qui tapote sur le cerveau, dans laquelle il sort de son masque à la fin du film. Nous observons le crabe pince le cortex cérébral doux, pars un gros plan, d’une manière un peu dégoutante. Ce plan devient plus frénétique aussi le film progresse. Le symbole du crabe est important évidemment, mais au début, la connexion n’était pas évidente pour moi. Il est un animal à carapace dure, le crabe, il a un exosquelette. Mais, le personnage principal, Alex, est le contraire à la fois physiquement et émotionnellement. Le crabe est une brèche dans la matrice. Il essaie de plaisir tout le monde bien qu’il y ait quelque chose qui s’inquiète.
Il y a aussi des autres thèmes présents sur le film comme les yeux dans lesquelles le réalisateur les zoomer souvent d’Alex. De plus, la chanson Bella Ciao apparait plusieurs temps durant le film. Tous ces plans sont souvent frénétiques. J’ai recherché l’origine de cette chanson pour comprendre la signification. J’ai trouvé que la chanson avait chanté par les antifascistes pendant la guerre civile italienne. C’est une chanson pour la liberté et la résistance, qui est intéressant parce que l’esprit d’Alex n’était pas libre, il était en désordre. Alors, peut-être pendant les occasions quand Alex a dansé à la chanson, c’était un moment de liberté.
Je n’ai pas sûr toujours de tous que je viens de regarder, mais je pense que quelques mystères restent même après la fin du film. Le personnage d’Alex vit toujours.
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