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Violences au Bas-Artibonite | Des organismes de défense de droits humains dénoncent l’inaction des autorités
Face à l’aggravation de la crise sécuritaire dans le Bas-Artibonite, des citoyens ont organisé, lundi 5 décembre 2023, une marche pacifique pour dénoncer les actes de violences qui ne cessent de se répéter dans le département. Une démarche applaudi par des organismes à travers le pays qui n’ont pas manqué l’occasion de dénoncer la passivité des autorités concernées. Des communes comme L’Estère ,…

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L'importance cruciale des journalistes dans la promotion des droits de l'homme et de la démocratie
Une trentaine de journalistes se sont récemment réunis pour une journée de formation organisée par Défenseurs Plus sur le thème “Le rôle des journalistes dans la lutte pour les droits de l’homme et le renforcement de la démocratie”. Cette session, riche en présentations, a mis en exergue les responsabilités des journalistes dans la protection des droits de l’homme et la promotion de la…
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Lors d'une corrida tendue, matador Álvaro Múnera a fait l'impensable. Alors que la foule rugit pour le prochain mouvement dramatique, il s'éloigne soudainement du taureau, s'est rendu au bord de l'arène et s'est assis. Le silence est tombé sur les spectateurs.
Plus tard, Múnera a révélé le moment qui l'a transformé à jamais :
"En cet instant, j'ai oublié le danger des cornes. Tout ce que je pouvais voir, c'était ses yeux - non pas remplis de rage, mais d'innocence. Il n'attaquait pas, il suppliait pour sa vie. J'ai réalisé que ce n'était pas un combat, mais un acte de cruauté. J'ai fait tomber mon épée, quitté l'arène et j'ai juré de ne plus jamais me battre. Au lieu de cela, je me battrais contre un monde qui transforme la souffrance en divertissement".
Múnera s'est éloigné de la tauromachie et est devenu un défenseur de la cruauté animale, utilisant sa plate-forme pour se battre pour les êtres mêmes qu'il a combattu autre Son histoire est un puissant témoignage de la force de la compassion et du courage qu'il faut pour changer. Parfois, il suffit d'un moment de connexion pour voir le monde différemment. 💗🙏💗
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LES PUTAINS DE PLs DU FORUM
Sur le forum, il n'y a pas une tonne de lore. À la place, on a préféré travailler sur des PLs. Il y en a 5 et ils sont tous liés ; ça permet de voir tous les personnages communiquer entre eux et d'éviter des effets de groupe. Certains de ses PLs sont des organisations avec des rôles sans maximum, les autres sont fermés à un nombre de personnages précis. À chaque MàJ (ou si l'on voit qu'un PL se fait prendre d'assaut), on rajoutera un ou deux personnages par PL !! Les PLs, c'est une technique simple pour avoir des liens dès le début. Alors, on s'est dit que c'était important d'y accorder un peu plus de notre temps.
SOMMAIRE : Plutôt que de faire un post indigeste, on va faire un post par PL. Voici leur résumé, l'horaire où ils seront postés et, quand ils le seront, t'auras juste à cliquer sur le liens ! ▸ Le Refuge de Bescel ▸ Les Mini-Justiciers ▸ Les Zarbi·es ▸ Les Misérables ▸ A-BISSE
LE REFUGE DE BESCEL
Orphelinat pour gamin·es altéré·es — (2/3 libres + rôles sans max) La bâtisse s'étend à la surface, dans le 14è, niche ses petits dans les profondeurs des catacombes. Elle les enterre, en sécurité, pour qu'aucun monstre ne puisse les manger. Mais la maison ne serait qu'un squelette en ruines sans les âmes à l'intérieur. POSTÉ ICI
LES MINI-JUSTICIERS
Groupes d'influenceur·ceuse·s altéré·es — (6/6 libres) Iels ont repris le nom de ce dessin-animé de quand on était mioche. Parce qu'iels voulaient faire de leur "vilain défaut" une force. C'est des personnalité du Net qu'on pas peur de s'afficher altéré·e aux yeux de tous. POSTÉ ICI
LES ZARBI·ES
Association de défense des droits altérés — (2/3 libres + rôles sans max) On les définit parfois avec des métaphores bien guerrières, bien nobles : « le fer de lance de la cause altérée », « les premiers défenseurs de notre communauté ». Vrai ou pas, à chacun d'en juger : les Zarbi·es avant le deuxième mandat de Chirac, c'était comme un syndicat qu'organisait des manifs. Aujourd'hui, c'est un espèce de médiateur pour porter nos messages à Matignon. POSTÉ ICI
LES MISÉRABLES
Groupe d'anarchistes révolutionnaires — (3/6 libres) Milice armée, groupe terroriste, une réponse à la baffe de trop : chacun à son idée sur la question. Iels vivent dans les catacombes, dans un ancien théâtre. Iels sortent la nuit : défendent les altéré·es et retrouvent les disparu·es. Eh, pense pas que ce soit un groupe de super-héros, c'est surtout un ensemble de névroses. POSTÉ ICI
A-BISSE
Corps altéré·e de la gendarmerie. TW — oppression policière, toxicophobie. — (5/6 libres) Les gosses paumés, ça se retrouve toujours dans des coins sombres. Parce qu'on a tous peur du noir, mais on a chacun notre façon de fuir : il y a les Misérables et l'A-BISSE qui s'battent pour la lumière. Positionner dans une idée de médiation, ça a vite dérapé sur du contrôle et de la surveillance. L'érythryle en bouc émissaire, ils font passer beaucoup de lois liberticides "pour notre bien". DISCLAIMER : Le PL n'a pas pour but de glorifier ou d'embellir les FDO. Au contraire, on rappelle qu'il s'agit d'un corps étatique qui oppresse, contrôle et tue. Si le PL vous intéresse, n'oubliez pas de vous renseigner sur cela ! POSTÉ ICI
#projet forum#projet rpg#forumactif#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim#préliens
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jkeey4 via thebridgeshow: Le boug du moment, le joueur le plus stylé, le défenseur le plus acharné... Tous les superlatifs sont convoqués quand il s'agit d'évoquer Jules Koundé…
(ig, 12/11/24)
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"En régime pan-médiatique et publicitaire du sens, où c’est l’opinion publique fabriquée qui décide en dernière instance du bien et du mal, toute dictature idéologique, je l’ai maintes fois relevé, doit disposer pour s’exercer, et pour couvrir ses crimes et méfaits, d’une arme absolue de langage, qui paralyse absolument l’adversaire, le pétrifie comme le regard de la Méduse, le dissuade de toute velléité de résistance ou d’opposition, qui le vouerait immédiatement aux gémonies médiatiques et sociales, à la fameuse sorte de tyrannie si bien prévue et décrite par Tocqueville, "qui laisse le corps et va droit à l’âme". Le Grand Remplacement et le remplacisme global disposent ainsi de l’insulte raciste, qui a fait taire à jamais plus d’un imprudent, au point d’offrir une couverture parfaite à un génocide par substitution : la destruction des Européens d’Europe. La Grande Déculturation et la Petite Bourgeoisies son fourrier, le Petit Remplacement leur pratique habituelle, ont dans leur arsenal mépris de classe, qui a suffi à faire rentrer dans leur coquille bien de vaillants défenseurs putatifs de l’orthographe, de la syntaxe, de la musique et de la haute littérature. Qui veut être qualifié de raciste ? Qui veut traîner sur ses lieux d’activité coutumiers le reproche de mépris de classe ? Dans un cas comme dans l’autre, et surtout pour des "intellectuels", c’est s’accommoder de la mort civile (et bien sûr professionnelle). On a toujours des femmes, des maris et des enfants à nourrir, des crédits à finir de rembourser, de vieux parents à faire la fierté de."
Renaud Camus, La Destruction des Européens d’Europe, 2024.
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L'emphase mise sur les droits des femmes donne franchement l'impression que ce texte de Trump a été écrit par des féministes. Ça me déprime de penser que certaines ont dû voter pour lui à cause de ses prises de position sur le sujet. Je sais pas trop quoi dire, à part que je suis estomaquée qu'il faille un gouvernement autoritaire pour remettre les pendules à l'heure...
Je suis dans le même état 🫠
Ça reprend exactement les éléments de langage des féministes - surtout les britanniques. C’est absolument incroyable qu’il ait fallu en arriver là…
Trump est un animal politique. Je crois qu’il a parfaitement compris que outre les questions de pouvoir d’achat et d’immigration / sécurité, les questions sociétales pouvaient lui faire remporter l’élection. Pour remporter il avait besoin de ratisser plus large, et les progressistes lui ont servi l’élection sur un plateau d’argent grâce au transactivisme et aux manifestations pro-palestiniennes.
Ça lui a permis de faire oublier ses outrances sexistes passées et de se poser en défenseur des femmes, ce qui est juste à pleurer de rire. Ça lui a aussi permis de faire oublier ses sorties racistes : les propalo sont pires !
C’est exactement ce qui fera passer l’ED chez nous en 2027 🤷♀️
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Jean-Christophe Cambadelis, ancien député socialiste de Paris a été reconnu coupable d’avoir utilisé à des fins personnelles 114.057 euros issus de ses frais de mandat parlementaire.
Mercredi 4 septembre, l’ancien stratège socialiste a, cette fois, été reconnu coupable par la 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris de « détournement de frais de mandat » pour des faits commis entre 2015 et 2017, lorsqu’il était député de Paris.
La justice a établi qu’il avait, entre 2015 et 2017, employé à des fins personnelles plus de 136 000 euros issus de son enveloppe de frais de mandat de député, parmi lesquels plus de 30 000 euros de loyers de son domicile, plus de 25 000 euros de cotisations au PS, plus de 10 000 euros de déplacements d’agrément – dont un voyage avec son épouse en Corse et un voyage en famille à Prague –, ou encore plus de 18 000 euros de paiements de dommages et intérêts dus après l’une de ses précédentes condamnations.
8 mois avec sursis.
Allez voler 114057 euros d’argent public vous verrez si vous aurez 8 mois avec sursis.
On ne le dira jamais assez : S.O.C.I.A.L.I.S.T.E. Grands défenseurs de la veuve et l'orphelin, se prétendent ils! Salauds!
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« Soyez des hommes et montrez votre courage impétueux. Croyez-vous, par hasard, qu'il y a derrière nous d'autres défenseurs ou un mur plus solide qui puisse libérer les hommes de la mort ? Il n'existe ici aucune ville fortifiée de tours où nous pourrions trouver refuge et dont le peuple nous apporterait de l'aide pour obtenir une nouvelle victoire ; nous sommes dans la plaine des Troyens, aux fortes cuirasses, au bord de la mer, loin de la patrie. Le salut, par conséquent, réside dans nos poings, non dans la faiblesse au combat. »
Homère
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Un soldat américain inspecte un fusil Springfield M1903 touché par des balles japonaises – Bataille d'Attu – Campagnes des îles Aléoutiennes – Guerre du Pacifique – Ile d'Attu – Alaska – 11 mai 1943
La campagne des îles Aléoutiennes est parfois appelée « La bataille oubliée » car elle se déroulait en même temps que la bataille de Guadalcanal.
Cette campagne est la seule qui s'est déroulée avec des combats terrestres sur le sol américain lors de la seconde guerre mondiale.
Le 3 juin 1942, les japonais attaquent et envahissent les îles Aléoutiennes, archipel au sud-ouest de l'Alaska. Deux thèses expliquent cette invasion. La première thèse évoque une diversion lancée par l'amiral Isoroku Yamamoto pour éloigner la flotte américaine de Midway. La deuxième, plus récente, explique en réalité une nécessité pour les Japonais de protéger le flanc nord de leur Empire.
La campagne de reconquête des Aléoutiennes par les Américains commence dès août 1942 pour se terminer un an plus tard, le 15 août 1943. L'éloignement des îles et les conditions météorologiques particulièrement difficiles compliquent les opérations de reconquête.
La bataille d'Attu fut la seule bataille terrestre sur le territoire des Etats-Unis. Les conditions climatiques sévères et les défenses japonaises plus efficaces que prévues rendirent difficile la progression des américains. Les japonais, acculés dans une poche près de la côte, lancèrent une attaque frontale qui perça la première ligne de défense pour s'achever au corps à corps dans les lignes arrières. Sur les 1 200 défenseurs japonais seuls 29 furent faits prisonniers.
Après la prise de l'île d'Attu qui fut le théâtre de combats sanglants, Américains et Canadiens débarquent sur l'île de Kiska le 15 août 1943 sans aucune opposition. En effet, les japonais avaient évacué secrètement l'île deux semaines plus tôt au bénéfice d'un épais brouillard sans que les alliés n'en sachent rien. Pris dans un épais brouillard, la confusion règne parmi les alliés qui avancent dans une nature hostile et piégée par les Japonais au point de se tirer les uns sur les autres... Les pertes s'élèvent à 313 hommes, dues aux tirs amis, aux pièges laissés par les Japonais et aux maladies ou gelures dues au froid.
L'opération Cottage, dernière opération consistant à libérer l'île de Kiska solda cette campagne.
#WWII#guerre du pacifique#pacific war#campagne des îles aléoutiennes#aleutian islands campaign#bataille d'attu#battle of attu#armée américaine#american army#île d'attu#attu island#îles aléoutiennes#aleutian islands#alaska#états-unis#usa#11/05/1943#05/1943#1943
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Rapport d'étape n°1
Lucie Schmid est une jolie jeune femme (un des privilèges du très grand âge étant de trouver tout le monde jeune), bien sur diplômée de l'ENA --sinon, on n'en parlerait pas !-- qui a été Chef du Service Institutions et société au Centre d'analyse stratégique en 2003 et est maintenant Vice-présidente de ''la Fabrique écologique'', groupuscule qui se présente comme une Fondation pluraliste de l'écologie : dans le genre ''coureur de comités Théodule'', il ne doit pas être facile de faire mieux. Inutile de préciser dans quel banc de l'hémicycle elle a planté ses dents opportunistes.
Elle a commis hier dans un des grands quotidiens du matin un de ces pamphlets qui font frémir de joie les 25 clampins qui partagent les idées périmées de son auteur, mais qui ne sont même pas lues par les 99 et quelque pour cent des autres. Car, poussée par je ne sais quelle mauvaise impulsion fréquente chez les membres de son camp (la Gôche, vous l'aviez compris !) elle a imaginé, du haut de sa double certitude qu'elle a raison et que les autres ont tort (vieilles reliques du bon vieux temps où la-dite Gôche dictait à une Droite --parfois dite ''la plus bête du monde''-- ce qu'elle avait le droit de dire, d'écrire et de penser) qu'elle ne pouvait qu'avoir raison ( Ah ! L'habitude !).
L'arme du crime est vite circonscrite : un articulet totalement dépassé, modestement intitulé ''Comment traiter Donald Trump'', ce qui est à la fois un reflet de sa propre modestie et une reconnaissance du gouffre qui s'agrandit à chaque seconde entre les administrés et le monde réel, d'un côté et, de l'autre, l'univers hautement improbable et encore moins désirable des ultimes défenseurs des idéologies anti-humaines qu'est devenu ce qui persiste --contre toute évidence-- à brandir un étendard où figurent les souvenirs sinistres de gloires gauchières mais passées...
Par pure charité chrétienne (elle ira regarder dans le dictionnaire ce que ça veut dire), je vais lui faire une suggestion. On pourrait, par exemple, utiliser les mots ''Monsieur le Président des Etats-Unis d'Amérique'', titre qui, tout bien mesuré, en vaut bien un autre. Mais la Gauche française est ainsi constituée qu'elle n'oublie rien, ne pardonne rien, ne laisse rien passer... d'autre que ses turpitudes à elle : si quelqu'un a bien digéré l'un des principes du Droit Romain (tel, en tout cas, qu'on l'enseignait et que je l'ai appris, Place du Panthéon vers 1959) : ''Nemo auditur, turpitudinem suam allegans'' (= On ne doit pas écouter celui qui s'accuse lui-même), ce sont les hommes qui revendiquent ''une sensibilité à Gauche'', ceux qui condamnent les Pharaons pour n'avoir pas su que l'esclavage ne serait plus une bonne chose... un jour, 60 siècles plus tard....
La commedia dell'arte du microcosme politico-journalistique nous offre, depuis un mois bientôt, le triste spectacle de gens qui, ayant subi ce qu'ils nomment une catastrophe (= l'élection définitive de Trump) refusent le réel et continuent à donner des conseils sur ''les 10 petites astuces qui pourraient empêcher Trump d'être élu''... quand ce n'est pas sur ''les dix clés majeures de la résistance''... oubliant que, à quelques exceptions et à 3 ou 4 combats d'arrière garde près , les dés sont jetés, la messe est dite, le sort est jeté... et vos regrets, Madame, sont partagés par de moins en moins de gens.
Nous parlions, ces jours derniers, de cet homme qui, venu de nulle part --ça commence comme un western !-- éteignait toutes les lumières, dans tels ou tels bâtiments administratifs bien choisis. Il faut reconnaître que le fonctionnaire zélé, avide d'enregistrer les mises en demeure, les contraventions ou de traquer sans merci le pauvre quidam qui n'a pas déclaré avoir ''une cabane au fond du jardin'' doit être surpris ! ''Comment ? Un travail aussi utile au futur de l'Humanité que les 13 ou 14 personnes que j'emmerde chaque jour serait inutile, voire pervers, et nuirait à l'unité de la Nation ?''. Heureux américains... dont les agents d'Etat ou des Etats) ne sont pas protégés, comme ils le sont en France, par un statut honteux, totalement dérogatoire au bon sens commun...
Ce qui devrait être l'objet de vos soucis, Madame-l'Auteur de cet intéressant essai, devrait être d'instaurer une nouvelle ère, un nouvel ''outil de référence'', qui ne serait plus exclusivement financiaro-comptable, un des buts poursuivis dans son surgissement étant de rendre à l'homme une place maîtresse dans le nouveau ''Système'' qui sera, il faut l'espérer, plus proche du bon sens, des lois de la nature, ou, tout simplement, de l'intelligence.
La panique des rétrogrades devant l'avancée de ce drôle de plantigrade fait plaisir à voir : les Bourses ne sont plus --comme la souaitait De Gaulle-- le seul centre de décision au monde . Toutes ces actions dix fois surévaluées pour des questions de mode ou de manque de jugeote (ou artificiellement, pour augmenter les bonus de fin d'année ! Mais ça... il ne faut pas le dire !) vont enfin reprendre dans le panier des références la place qui est la leur, au mieux, la seconde...
L'Europe émasculée de madame ursula von der Truc en prend plein la poire. Mais au lieu de se dire ''des choses aussi contre-nature que le système que nous avion réussi à faire croire bon, d'abord, et le seul, ensuite, étaient condamnées d'avance et ce serait folie de le nier'', ses membres, tremblant de perdre leurs prébendes, ne pensent qu'à mettre des bâtons dans les roues... Souvenez-vous de Jean-Christophe, déjà appelé à notre aide, hier.
La lecture de la Presse du matin ma donné idée de la nécessité qu'il va y avoir à suivre mois après mois, l'état de ces bouleversement... ne serait-ce que pour les arrêter le plus tôt possible s'il s'avérait qu'il fichent le camp, à leur tour, dans une mauvaise décision.
Mais dans le cas présent, on aura que deux jours à attendre : si, dans 48h, Poutine accepte la trève proposée, Trump aura réussi, et au delà du possible, son entrée en scène et le début de sa Présidence...
H-Cl.
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La fin du pacifisme : ce à quoi on assiste actuellement dans la quasi indifférence totale c'est la fin d'une idéologie : le pacifisme. Cette idéologie a imprimé des choix pendant 40 ans dont la réduction des budgets militaires. Et aujourd'hui, elle meurt comme si c'était naturel qu'il en soit ainsi. Ses défenseurs ne rendent aucun compte. Elle disparait comme si c'était évident qu'il en soit ainsi. Sans le moindre défenseur. Cette réalité marque aussi probablement la fin de générations qui ont connu l'atrocité des guerres. Le pacifisme avait pour creuset intellectuel le
refus des atrocités des guerres. Aujourd'hui, les guerres semblent gagner tous les terrains : du religieux aux rapports de forces entre les nations. La dernière fois où le refus de la guerre a été exprimé par la France avec fermeté c'est le discours de Villepin à l'ONU le 14 février 2003 au sujet de l'Irak. 20 ans plus tard, la position officielle de la France face à la guerre a beaucoup changé. Une réalité qui mériterait un examen bien plus détaillé que les actuels débats.
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Je trouve que la jeunesse française, à cause des réseaux sociaux, s’est américanisée, c’est-à-dire hystérisée. Tous ont un avis, des idées, des valeurs, le doute n’est pas permis, le dialogue impossible, la violence juste derrière la porte… Tout ce qui fait la noblesse des valeurs dont ils se croient les défenseurs est galvaudé. Et pourtant ils sont les premiers à s’offusquer quand elles leur semblent bafouées.
La véhémence, la haine aveugle, l’intolérance me semble bien du côté de ce qui pensent les combattre le plus.
J’en reviens toujours à la même conclusion : il suffit d’observer les centres d’intérêts de tous ces gens, de gauche comme de droite, pour comprendre qu’ils sont bel et bien à la pointe de la décadence humaine, civilisationnelle, intellectuelle et spirituelle, comparé à ce à quoi l’espèce humaine a pu aspirer auparavant.
Tout ce cirque politique ne fait que brasser du vent et ne changera rien à rien. Il n’y aura ni fascisme ni rien, et la société du spectacle (de consommation) va se poursuivre encore un peu plus et continuera gentiment à tout faire dégénérer.
Qu’on puisse trouver les enjeux politiques, sociaux et économiques actuels intéressants m’est incompréhensible. Le problème est idéologique. Quel est l’idéal qu’on propose ? Il n’y a qu’une question et c’est celle-ci. Le reste, les moyens, tout cela n’est qu’accessoire et ne devrait même pas faire débat. On oublie pourquoi on se confronte politiquement, pourquoi nos avis divergent, on oublie réellement pourquoi. Un « avenir meilleur » ? Une « terre respirable » ? Vraiment ? Redéfinissons radicalement nos idéaux avant de nous battre pour savoir qui va continuer à scier la branche sur lequel notre pays est assis.
Vous tous qui, aujourd’hui, de gauche comme de droite, prenez position pour tel ou tel parti. je vous le dis, vous n’avez rien compris. Vous jouez à un jeu dont vous ignorez les règles. Mais le mal est plus grand encore : c’est l’humain, en définitif, qui s’est rendu trop con, à l’heure où il croit être plus intelligent et évolué que jamais. Au fond de mon cœur je n’ai aucune haine contre tous ces idiots et les pardonne d’office. Seulement, un immense désarroi, un immense abattement que les choses soient ainsi. J’ai, bien évidement, un réflexe d’agacement, de haine, face à la connerie absolument omniprésente. C’est humain paraît-il. Et je ne suis pas bouddha, du moins pas encore.
Je ne connais qu’un homme qui a exprimé ce que j’ai tenté d’exprimer ici (et bien mieux que moi) : Théodore Kaczynski. Du moins c’est celui qui m’a semblé le plus clair et direct sur la question.
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LES ZARBI·ES
1994, ça a commencé par dix membres du Refuge de Bescel dans les bas fonds des catacombes. Aujourd'hui, les Zarbi·es siègent dans un beau bâtiment dans le 11e. On les définit parfois avec des métaphores bien guerrières, bien nobles : « le fer de lance de la cause altérée », « les premiers défenseurs de notre communauté ». Vrai ou pas, à chacun d'en juger : les Zarbi·es avant le deuxième mandat de Chirac, c'était comme un syndicat qu'organisait des manifs. Aujourd'hui, c'est un espèce de médiateur pour porter nos messages à Matignon.
Comme beaucoup d'asso' 1901, il y a un bureau, un conseil d'administration et une assemblée générale. L'AG a beaucoup de poids, les votes des membres participent énormément à la vie du groupe. Le conseil, lui, gère tout ce qu'est budget, sans vraiment de pouvoir exécutif, ce sont des petites mains et des petites têtes qui s'assurent que tout flotte bien, que le navire n'a pas de trou dans la coque. Et le bureau, ce sont les têtes d'affiches, élues par l'AG, ils représentent souvent le courant de pensée politique majoritaire au sein des altéré·es. Bref, c'est beaucoup de politiques, beaucoup de bla bla... mais sans eux, la plupart de nos droits resteraient au fond de l'eau avec nos autres bateaux.
LA PRÉSIDENTE — f / nb (libre) • +45 ans TW - mort.
Petite, c'était un monde cruel. Elle a connu toutes les conjugaisons du mot galère sauf au conditionnel. À l'époque, les psys, c'était pas trop ça. Alors, elle s'asseyait contre le tronc d'un arbre et elle parlait aux morts. Son but, c'est plus qu'aucune petite fille soit paumée, qu'aucun petit garçon n'ait à pleurer. Elle s'immobilise d'une rage froide, inflexible, à ne jamais plier sous les frappes de la majorité. Faut dire que l'opposition, c'est elle. Politicarde de renom, elle est apparue, il y a un peu plus de 5 ans, comme une solution à une politique trop laxiste. On a jamais bien avancé au 21e siècle depuis qu'on suit sa ligne directive. Les altéré·es ont réussi à atteindre l'Assemblée, à avoir leur voix à Matignon. Elle n'a pas peur d'employer les Misérables, elle n'hésite pas à rediriger les flux budgétaires vers le Refuge de Bescel. Son ton est convaincant, rafraichissant : c'est l'une des meilleures oratrices altéré·es depuis longtemps. Pour elle, cantonner la population altérée aux Catacombes, c'est un manque d'ambition.
Ouais, parfois elle fait un peu flipper. Mais faut bien que la peur change de camp.
FT. Indira Varma, ...
LE SECRÉTAIRE — m / nb (réservé) • +45 ans
Avocat qui raconte pas de salade (tu l'as ?). C'est le genre d'humour qu'il traine, un rire qu'égaie sa mâchoire tranchante. Il a des airs de daron, surtout avec ses tempes grisonnantes. Ce qu'il fait de mieux dans son métier : formé les autres, protégé les siens. Patient, agréable, pédagogue : beaucoup de gens se demandent pourquoi il enseigne pas à la FAC. C'est une belle âme, noble, d'un de ses hommes dont on se souviendra de la carrière. Il aurait pu être pote avec un Camus, une Louise Michel. Aujourd'hui, les tribunaux le voient moins, occupé par ses responsabilités dans l'asso. À l'époque des grands frères, c'était le cauchemar des réac'. C'était la terreur des parquets, le prédateur des privilégié·es. Reconnu pour avoir bouclé des dossiers super connus, son cabinet forme et embauche les prochaines figures du droit altéré. Entre autre, Glauque, défenseuse des Misérables, provient de sa formation. Un style élégant, une timbre calme et jamais déstabilisé : une douceur d'un type qu'aurait pu cultiver des plantes, les fleurs du mal.
FT. Cilian Murphy, ...
LA TRÉSORIÈRE — f / nb (libre) • ≈ 25 ans
Mioche, elle avait traité la future présidente des Zarbi·es de poule mouillée. Celle-ci n'avait pas le temps de jouer aux dames, la future trésorière s'en était vexée. Ça a commencé comme ça : des parties de dames. Puis, le futur secrétaire lui aussi a eu le droit aux mots doux de la gamine. Ce sont les deux figures principales dans sa vie, parce que la petite n'a connu que le Refuge de Bescel. Ils lui ont payé ses études de journalisme, sa première voiture et ses téléphones. C'est devenue l'une des meilleures têtes de son école, devenue l'une des meilleures reporters de sa génération. Elle travaille sur les altéré·es, a déjà coopéré avec des organismes internationaux. Son CV rote de mentions, de stages, de diplômes, de formations. Beaucoup de gens la critiquent pour sa position dûe à ses deux seules relations. C'est vrai que ça a accéléré les choses, mais penser qu'elle n'y serait jamais arrivé avec ses capacités : c'est vraiment s'étouffer avec sa putain de mauvaise foie. C'est une bosseuse, extravertie, l'envie de changer l'ordre établi : d'utiliser la vérité et sa plume pour y parvenir.
FT. Simone Ashley, ...
LE CONSEIL D'ADMINISTRATION — f / nb / m (10/10 libres)
Iels sont comptables, avocats, notaires. Iels sont les fourmis de l'administration, chez eux il y a les imprimantes qui halètent, les agrafeuses qui claquent. Les chiffres, les emails, tout vient d'eux. Ce sont les merveilleux rouages, les merveilleuses pagaies de la barque.
LES MEMBRES — f / nb / m (∞/∞ libre)
Les membres de l'association, quoi de plus clair ? On va du simple militant au chargé de presse. Chacun à son rôle, chacun à son vote. Les Zarbi·es, c'est une voix démocratique directe. La présidente, le bureaux : iels ne servent que de gouvernail au décision du peuple.
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Si vous souhaitez réserver l'un de ses PLs, n'hésitez pas à passer dans nos asks ou de nous rejoindre sur le discord ! En espérant qu'ils vous inspirent !!
#projet forum#projet rpg#forumactif#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim#préliens
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Monseigneur Richard Williamson est mort.
RIP
Monseigneur Richard Williamson est mort avant-hier soir, en Angleterre.
On peut dire avec certitude que cet homme, s’il avait été pape, aurait à lui seul grandement ralenti l’effondrement de l’Église catholique. Il aurait aussi très certainement rétabli les bûchers de juifs et monté une croisade contre les mahométans.
De tous les évêques qui ont suivi Monseigneur Lefebvre, c’est certainement le plus militant, le plus charismatique, le plus vif, le plus audacieux et, une vertu essentielle, le plus courageux. En toute logique, c’était le plus hardi dans la lutte menée contre les juifs.
Monseigneur Williamson, c’était 0% d’amitié « judéo-chrétienne ». Il était tellement orthodoxe que la Fraternité Saint Pie X l’a exclu.
Monseigneur Williamson était aussi un révisionniste convaincu que le régime d’occupation allemand a persécuté en son temps pour avoir rappelé que les chambres à gaz sont la plus grande mystification de l’histoire humaine.
youtube
Cet homme n’a jamais voulu céder.
Indépendamment de la religion qu’il professait, sa clarté et sa rigueur intellectuelle en faisait un défenseur de l’ordre naturel de premier calibre.
S’il avait été pape, Monseigneur Williamson aurait certainement réussi à ramener toutes les femmes à la cuisine.
youtube
Bien avant que le délire woke ne devienne le phénomène global que nous connaissons, l’évêque alertait contre le subjectivisme et le relativisme propres aux idées libérales dont le marxisme culturel est la dernière hérésie.
Bien que maîtrisant le français, c’est en anglais qu’il était le plus efficace.
RIP
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Démocratie Participative
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"Orwell craignait ceux qui interdiraient les livres. Huxley redoutait qu’il n’y ait même plus besoin d’interdire les livres car plus personne n’aurait envie d’en lire. Orwell craignait ceux qui nous priveraient de l’information. Huxley redoutait qu’on ne nous en abreuve au point que nous en soyons réduits à la passivité et à l’égoïsme. Orwell craignait qu’on ne nous cache la vérité. Huxley redoutait que la vérité ne soit noyée dans un océan d’insignifiances. Orwell craignait que notre culture ne soit prisonnière. Huxley redoutait que notre culture ne devienne triviale, seulement préoccupée de fadaises. Car, comme le faisait remarquer Huxley dans Brave New World Revisited, les défenseurs des libertés et de la raison, qui sont toujours en alerte pour s’opposer à la tyrannie, "ne tiennent pas compte de cet appétit quasi insatiable de l’homme pour les distractions". Dans 1984, ajoutait Huxley, le contrôle sur les gens s’exerce en leur infligeant des punitions ; dans Le Meilleur des mondes, il s’exerce en leur infligeant du plaisir. En bref, Orwell craignait que ce que nous haïssons ne nous détruise ; Huxley redoutait que cette destruction ne nous vienne plutôt de ce que nous aimons."
Neil Postman, Se distraire à en mourir, trad. Thérèsa Chérisey, 1985.
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