#Coworker Tablette

[inspectogroup]

Discover the Coworker CW-S10 Rugged Tablet: Ideal for Inspection Professionals

Visit Coworker Tablette to learn more about the durable Coworker CW-S10 rugged tablet, which is made to withstand the rigorous requirements of inspection professionals. With IP65 protection, MIL-STD 810G durability, and Windows 10/11, this tablet guarantees dependable performance in any setting. With its hot-swappable battery, ultra-bright 800 nits display, and optional 4G connectivity, the CW-S10 offers unmatched durability and versatility. Experience state-of-the-art technology that is the best option for reliable and effective inspections, with low failure rates and a 2-year warranty.

[kalincka]

moi quand je fais tourner constance & richard dans mon cerveau parce que leur relation est fascinante et trop bizarre. tous les deux ont vu leur vie renversée par un clochard ravagé qui s'est levé un matin et a changé leur destinée juste comme ça. puis tous les deux finissent par bosser ensemble dans la même organisation qui fait exactement la même chose que le clochard (tous les deux à un poste clé de la dite organisation) (sans eux le business de joseph tourne pas) sauf qu'en fait il s'avère que leur boss est un connard (pire que le clochard) et BOUM tous les deux deviennent membres d'une nouvelle organisation et finissent par bosser ensemble (encore) mais la seule différence c'est que constance est une bonne personne sans expérience qui doit assumer un rôle de chef là où richard est un enfoiré assumé avec de l'expérience en entreprise qui adorerait être chef mais SURPRISE c'est constance qui obtient le poste et DOUBLE SURPRISE le poste de second va parfaitement à richard et TRIPLE SURPRISE iels s'écoutent mutuellement et leur dynamique. marche ?!??! la brigade temporelle est née à la fois grâce au changement de motivations de constance (changer le temps c'est trop individualiste) et grâce aux motivations inchangées de richard (l'avarice et le profit) (les motivations de constance sont désintéressées là où les motivations de richard sont égoïstes) et ces DEUX attitudes s'enracinent dans leur méfiance envers renard. au vu du nombre d'idiots qui entourent constance dans la brigade temporelle on pourrait penser qu'elle changerait de numéro un non ? mattéo peut-être ? NON. elle le GARDE. C'EST PIRE DANS LE FILM parce qu'on voit qu'elle lui fait CONFIANCE. elle le TUTOIE. c'est mec incompétent & meuf compétente qui sont là depuis le tout début. elle pourrait le remplacer sans souci mais elle le fait !!! pas !!! et lui il pourrait agir en connard et la laisser tomber et essayer de prendre sa place mais il la respecte et il est là "regardez constance j'ai mis son portrait sur l'écran 😁😌" et elle est là "oui c'est super richard 👍 (elle regarde pas du tout ce qu'il fait) continue à jouer sur ta tablette hors de prix que je t'ai achetée alors que je pourrais tout à fait chercher sur mon propre écran ouvert devant mes yeux" c'est littéralement l'équivalent d'une daronne qui fout son gosse sur youtube kids pour avoir la paix mais en même temps elle lui donne des responsabilités !!%! c'est elle qui l'envoie surveiller louise (louise qui a le + de jugeote de tous ses agents et elle le sait) (louise dans laquelle constance se voit elle-même parce qu'elle aussi avant elle avait pas une vie importante et c'est le visiteur qui l'a propulsée là où elle est et elle avait pas demandé ça) et il y va quand bien même elle doit se douter qu'il est inutile mais elle l'y envoie quand même ça m'obsède. elle s'en sépare pas. elle pourrait elle devrait mais elle le fait pas. "Où est Richard." c'est son ficus de bureau. fondamentalement elle pourrait bosser sans lui mais sans lui quelque chose cloche. et lui il pourrait passer à autre chose mais il est là constance constance regardez ce que je fais je suis trop un bon employé. alors que c'est pas vrai c'est un employé idiot comme tous les autres. iels sont besties sans le savoir. pathetic man & pathetic woman.

tldr; from coworkers to accidental found family

[partenaires-mav]

Emission du 09/01/2019

Emmanuelle Rivassoux

Espace de coworking à Clichy

Adresse : 21 place des Nations Unies, 92110 Clichy

Horaires : Ouvert 24 h/24

Téléphone : 06 59 03 93 30

N° client : 0810.634.634 

 SÉJOUR

Coussin moira jaune 12,72€    

Rondin bois 39,90€  

Tablette chêne massif 30,90€    

 CHAMBRE ADO

Cadres 30x40cm  3,15€    

 CHAMBRE ENFANTS

Cadres 30x40cm 3,15€      

Planche sapin 18,90€    

Lot 4 équerres ice berg 10,90€  

 CHAMBRE PARENTS

Rideaux elema gris 12,90€    

Miroir kasteli noir  39,90€  

Miroir solaire dia 39,90€    

Miroir sofi noir 29,90€    

Applique 91507 moderne laiton/noir métal 43,90€  

Société COREP créateur et fabricant d'abat-jour et de luminaires décoratifs. 

Fabricant d'abat-jour français à Bègles près de Bordeaux (33) 

Vous pouvez retrouver nos produits dans la plupart des magasins de bricolage. 

Plus de renseignements sur www.corep.com 

 ENTRÉE

Suspension PIER 5L

 SALON

Suspension PIER 12L

Lampadaire HUTON

 SALLE À MANGER

Lampadaire NORWAY

Lampadaire Miles

CHAMBRE ADO

Applique HELIOS

 CHAMBRE ENFANT

Lampadaire OPENWORK

Applique OPENWORK

 CHAMBRE PARENTS

Applique BERKLEY

Applique HUTON

Magasin La Foir’Fouille Pontault-Combault : décoration et équipement de la maison 

Reconnu pour ses prix bas et la richesse de son offre (décoration, art de la table, linge de maison et de bain, mobilier ou loisirs créatifs…), votre magasin vous propose un style entièrement renouvelé et des centaines de nouveautés chaque semaine ! 

  

Magasin Pontault Combault 

4 rue du fort  

77 340 Pontault-Combault 

01 60 29 63 03 

www.lafoirfouille.fr/magasin/la-foir-fouille-pontault-combault.html 

 SALON

Bougies 5,00€    

Photophore bubble 3,00€    

 SALLE À MANGER

Silhouette bois 5,00€      

Lampe métal 10,00€    

 BALCON

Photophore céramique ethnique 6,00€      

 CUISINE

Horloge 16,00€      

Lot cuillère en bois 3,10€          

Planche à découper 12,00€      

 CHAMBRE ADO

Lampe en verre ambré  9,00€      

Guirlande led  6,00€        

Peluche lama 13,00€      

 CHAMBRE ENFANT

Lanterne rattan  20,00€    

Lanterne bois 10,00€    

Guirlande led 6,00€        

 CHAMBRE PARENTS

Lampe verre + liège 11,99€      

Miroir rond bois 18,00€      

Bougie céramique ethnique 9,00€      

Pouf velours 15,00€    

Panier 6,00€      

Panier 7,00€      

Panier 8,00€      

Arts de la table et Décoration de charme 

1 rue Edmond Besse – 33300 Bordeaux Cedex 

05 56 69 68 68 

Produits naturels de Provence

Mobilier et décoration 

 Fauteuil papillon butterfly marron eco

Mobilier et accessoires 

Numéro de consommateurs : 0 825 001 001 

Meubles et déco

Pouf bleu canard lifestyle

Toile vintage studio

Bout de canapé andrew

Papiers Peints

SALLE À MANGER :

Papier peint intissé isard coloris bleu marine - 16,95 €

 CHAMBRE PARENTS :

Papier peint intissé olivia coloris rose anemone - 16,95 €

 CHAMBRE ENFANT :

Papier peint intissé jungle kids coloris bleu marine - 16,95 €

Coussin ines coloris multicolore - 18,95 €

Coussin gaspard coloris multicolore - 18,95 €

Coussin wild tribe coloris blanc - 18,95 €

CHAMBRE PARENTALE :  

Parure de lit griotte 160€  

 CHAMBRE ADO :

Parure de lit lama 110€    

 CHAMBRE ENFANT :

Parure de lit songe 135€

Canapé d'angle réversible convertible coffre lena - couleur gris       1 399€

Bombe Relook Tout laqué - couleur anisette

Bombe Relook Tout laqué - couleur kaki

Colle papier peint

Crédence adhésive tuileries moka

Rouleau de bande autocollante

Kip FrogTape

Gazon synthétique vert

Le sol cocooning avec un envers GFT en fibres recyclées à partir de bouteilles plastiques (plus de 50% du produit)  qui apporte les bénéfices en termes de :

CONFORT A LA MARCHE & ISOLATION SONORE (réduction de 20dB).

 Un sol épais et confortable, facile à poser : SANS COLLE & SANS PREPARATION DU SUP-PORT ! L'envers en fibres GFT absorbe les irrégularités du support !

Des décors tendances d'inspiration scandinave, adapté à toutes pièces de la maison (idéal pour les pièces humides, les pièces à l'étage et la RENOVATION !)

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 Produit HQR Fairway Cloud :

La référence des sols habitat et professionnels !

Un sol multi-couche avec un envers en fibres recyclées GFT et une couche d'usure de 0.40mm qui permet un usage semi-commercial.

Idéal pour la rénovation et les espaces à trafic élevé !

 Une pose facile et rapide : SANS COLLE & SANS PREPARATION DU SUPPORT ! L'envers en fibres GFT absorbe les irrégularités du support !

Un sol ultra confortable, avec une résistance optimale.

Ideal pour la RENOVATION et ultra facile d'entretien !

Des décors tendance et élégants pour des univers contemporains et naturels....

 - Sol cuisine : Texline LEONE GREY

- Sol entrée-couloir, séjour, salle de bains: Texline PARIS PECAN

- Sol chambre 1 : Texline  NOMA CLEAR

- Sol chambre 2 : Texline  NOMA CLEAR

- Sol chambre 3, couloir et dressing : Texline  NOMA CLEAR

Matériaux et peintures pour les particuliers et les professionnels

Crit Center distribue des peintures de qualité profionnelle tel que Guittet et Plasdox

Magasin: 14-17 Rue du Chemin de Fer, 93400 Pantin

Tél :01 49 18 55 94 Fax : 01 40 11 10 85

Magasin: 21 Rue du Val de Marne, 94250 Gentilly

Téléphone :01 49 69 73 02

 PLASDOX est une marque de peinture française, née au Mans il y a plus de 60 ans, qui produit dans ses 3 usines en France des peintures d’intérieur et des revêtements de façade professionnels, distribués dans toute la France par une réseau de distributeurs indépendants. Dans le cadre de l’émission Maison à vendre, Crit Center est le distributeur officiel.

 PEINTURE GUITTET, fabricant français depuis plus de 150 ans, commercialise des peintures haut de gamme à destination des professionnels aussi bien pour la décoration intérieure que l'extérieur.

Fabricant d'envergure mondiale de solutions auto-adhésives

15 rue du Bois des Saints Pères

77176 Savigny le Temple, France

Tel: +33 1 64 87 82 30

Fax: +33 1 64 87 82 50

Enduits avant peinture et enduits de decoration pour les professionnels et les particuliers:

Chrono r poudre pour reboucher et reparer en un temps record

Chrono-gl pour rattraper et lisser en une seule application

Spécial facade rx3 pour ragreer et reboucher sur maçonnerie brute ou peinte

Humistop  pour traiter les murs humides

Toutes les solutions de colles

 BOSTIK Fixation MS 118 objets lourds

la colle de références pour les professionnels.

Sa formule de type MS Polymère  sans solvant permet de coller en 5 secondes en intérieur ou en extérieur : elle est idéale pour coller tous types de matériaux  même lourds.

Prise immédiate, collage ultra-puissant.

Le collage reste élastique dans le temps et résiste aux chocs et vibrations.

 COLLE TOUS PAPIERS PEINTS EN PATE AVEC INDICATEUR COLORE

Standards, intissés et intissés à peindre, vinyles et vinyles à peindre, vinyles expansés sur intissés, courants, légers, épais, duplexés, lessivables.

 QUELYD Colle finitions & retouches

Colle polyvalente destinée au collage des papiers vinyles et revêtements plastiques sur eux-mêmes.

Très utile lors de la réalisation de joints par recouvrement, rattrapage de décollements aux joints (même sur supports non absorbants), réalisation de retours d’angle en mur ou plafond, pose de galons et frises décoratives.

 SILICONE SADER existe en blanc et translucide

Ce mastic silicone adhère sur la plupart des matériaux.

• Joint silicone pour utilisation en intérieur

• Permet de faire des joints d'étanchéité entre plan de travail et évier mais aussi entre lavabo et tour de baignoire

• Permet également de faire des joints de raccordements entre meubles (et encastrables) et sol ou mur

 BOSTIK - Mastic d’étanchéité.

Ce mastic vous permet de réaliser des joints d'étanchéité ainsi que des collages souples sur tous type de matériaux en intérieur ou en extérieur.

 Colle Toiles de verre QUELYD

Pour tout type de  toiles de verre et fibres de verre.

La colle toiles de verre QUELYD a été formulée pour assurer un maintien immédiat et un collage durable de tous les types de toiles de verre et fibres de verre.

Service consommateurs 01 55 99 92 01 ou 01 55 99 92 00

 www.quelyd.fr

www.sader.fr

www.bostik.fr

Fabricant de peintures et de produits pour l'entretien et le traitement des bois d'extérieur et d'intérieur          

 Peinture blanc mat et satin : http://www.v33.fr/interieur/peintures-d-interieur/peintures-murales,1122,1286.html

 V33 BLANC EASY COVER

Le blanc malin multi-supports et couvrant dès la première couche.

Application directe sur plus de 20 surfaces intérieures : murs, plafonds, boiseries, radiateurs, bois bruts, papiers-peints, toile de verre…

Résultat parfait / ne jaunit pas / idéal en rénovation.

 Peinture rénovatin CARRELAGE : blanc

Outillage

 AEG POWERTOOLS - Techtronic Industries France - 35 rue de Guivry - ZA du Gué - Le Grand Roissy - 77990 Le Mesnil Amelot

Tél : 01 60 94 69 70

 Perceuse/Visseuse compacte 2,0 Ah : 269.90€

Multicool 18V sans batterie ni chargeur  : 169.90€

Meuleuse 125mm 18V sans batterie ni chargeur  : 169.90€

Scie sauteuse 18V sans batterie ni chargeur  : 169.90€

Bal 18 Lampe 18V sans batterie ni chargeur  : 49.90€

Outils électroportatifs - Outils de jardin motorisés

Fabricant d’outils du peintre axé sur la recherche et le développement de nouvelles et meilleures solutions pour la réalisation des travaux.

Pour les travaux de l’émission nous fournissons les rouleaux, les pinceaux, les bacs et perches.

Ne cassez plus, relookez ! Les produits Résinence sont spécialisés dans la décoration, la rénovation et la protection de vos supports tels que murs, sols….

Résinence vous présente ses différentes gammes : résines décoratives, bétons minéraux, enduits, etc.

 Salle De Bains : plan de travail meuble vasque :  résine color Gis ardoise

Crédence cuisine en carrelage :  résine color Noir

[samsaintjames]

It's funny how it took me almost two days to understand what people found so funny about the old Zeit Cover with "die Queen". I still found it funny, because it's one of those denglish moments, but obviously for different reasons than the rest of the world, because everybody thought "die" is a verb. As someone whose mother tongue is German and who is speaking mostly English at work because many of my coworkers do not speak German, it however never occured to me to read "die" as anything except the definitive article.

1) If you'd have wanted to use a purely "German" title page, they would've had to write "Königin Elisabeth II" instead - without the article. Because just "die Königin" could've been any queen, maybe from the northern countries. But if they combine it with "queen" everybody definitely knew it's the British one; just like Queen Mum was the british Queens Mum - almost nobody bothered writing "Königin Mutter" or something in their articles.

2) We often use the english words and just stick the articles to them when we talk (most tech stuff works like that, like smartphone, tablett etc.). In the lab for instance, if the puller we use to make the glass pipettes is broken, someone will come and tell me "Der Puller ist kaputt." (which, now that I've been thinking about it, is hilarious on many levels to be honest, because Puller (short for Pullermann) is also the word little boys might use for their penis, because "ich muss pullern" means I need to pee, so yeah lol), instead of "Der Pipettenzieher - or whatever that thing might be named in German - ist kaputt.". The same holds true for patch-clamp amplifier, patch-clamp setup and most of the other things we have standing around - use the english word, stick an article to it. So if someone tells me something about "die Queen" I'm just like: okay. Nobody's gonna bat an eyelash at such a denglish combination; though older people maybe might frown a bit.

(Funny story, I remember when I was younger that people would take care to actually say/write DNS instead of DNA as abbreviation when talking about DNA, but nowadays nobody cares anymore. And then we have things like "die PCR" where the translation doesn't fit the abbreviations either, but I doubt that PKR was ever even considered as a name. So I think at some point everybody in science was just collectively like: "Eh whatevs. Stick an article to it, call it a day.".)

[llredac]

Quel est le rôle d’un promoteur immobilier?

Rôle d'un promoteur immobilier

Le promoteur a un rôle crucial car il est le seul qui vend des espaces construits ou qui sont en attente de construction. Depuis 10 ans, seul l’aménageur se veut le seul fondateur de la prochaine offre dans l’immobilier. LLRedac se penche sur le métier de promoteur immobilier qui est en plein essor au sein même de notre société. Nous mentionnerons les principaux acteurs de l’immobilier anciens et émergents.

Le rôle du promoteur immobilier: une profession en plein essor

Comment consolider la profession de promoteur constructeur ? Le rôle de promoteur constructeur est née depuis le début du 19ème siècle. En 1880,  celui-ci réalise de nouvelles opérations pour le compte de futurs acquéreurs de biens immobiliers. Alors, l'année 1970 est marquante car la promotion immobilière va considérablement se développer. Alors, concevons cette nouvelle génération d’entrepreneurs comme innovants et désireux de bien définir les codes de la profession dans le seul et unique but de réinventer votre façon de percevoir l’immobilier et des nouveaux promoteurs immobiliers. Un marché qui s’est considérablement popularisé ces dernières années Alors, le secteur de l’immobilier touche tout le monde. En partant du simple locataire de sa première résidence au promoteur immobilier ou qu’il s’agisse d’investisseurs à savoir des propriétaires de plusieurs immeubles. Alors, la plupart des Français dépensent énormément et l’investissement locatif représente plus de 70% du marché. L’immobilier doit vraiment s’adapter au marché d’aujourd’hui et de demain.  Depuis ces dernières années, il est question de révolution numérique. Alors, il existe des plateformes d’appels d’offres ainsi qu’une mise en relation entre les artisans, les architectes et les particuliers. Alors, concernant l'immobilier, pensez au coworking, au bureau et au commerce de détail appelé “le retail”. Concevons l'immobilier comme digitalisé.  Alors, tous les marchés immobiliers sont déjà passés au secteur du numérique alors que d’autres ont encore énormément de mal à faire évoluer leur domaine historique. Un secteur en pleine émergence Depuis de nombreuses années, la plupart des personnes se promenaient et observaient le long des vitrines dans le seul et unique objectif de trouver un logement correspondant à leurs attentes et à la recherche d’un agent immobilier pouvant trouver le bien de leur rêve. Actuellement, nous nous rendons sur un site internet ou une plateforme professionnelle pour trouver son logement. Alors, la recherche immobilière est intégralement digitale puisque les investigations s’effectuent en ligne. Sites d’annonces immobilières pour les entreprises LLRedac se penche sur l’essor des plateformes dans le domaine de l’immobilier. Le groupe Geolocaux est le 1er groupe site internet d’annonces immobilières diverses géolocalisées. A présent, vous consultez la plateforme à distance et vous fixez un rendez-vous directement en ligne. Ces services-là innovants simplifient la vie à tous les locataires et les propriétaires désireux d’effectuer des visites virtuelles en ligne ou même de regarder les vidéos. Certaines entreprises travaillent même sur l’utilisation de la réalité augmentée et de la réalité virtuelle ce qui vous permet d’effectuer des visites à distance. Vous vous promenez dans un bien au même titre que si vous étiez. La partie administrative de l’immobilier et la plateforme collaborative Mynotary L’états des lieux s’effectue à distance ou sur tablette. Certaines entreprises et start-up révolutionnent la manière dont vous devez mener un projet d’acquisition ou de vente immobilière en digitalisant la totalité des processus. Mynotary regroupant les acquéreurs, les agents, les vendeurs, les assureurs et les notaires permet de constituer des dossiers plus rapidement et facilite l’accès à certains contrats.  De plus, vous contactez Pretto qui est un comparateur de prêts stratégique et simplifie l’acte d’achat immobilier. Impliquez-vous dans la conception de votre futur bien immobilier. Pensez au crowd building qui est une forme de production participative liée à l’immobilier. C’est une forme de placement à l’intérieur de laquelle, les investisseurs financent la construction d’un projet et réalisent une plus-value importante à la fin des travaux.

Pourquoi faire appel à un promoteur immobilier spécialisé ?

Promoteur Immobilier Le promoteur immobilier est une personne spécialisée dans l’acquisition et la construction de biens immobiliers. Il est celui qui a la plus grande importance. Il est important de faire appel à un promoteur immobilier. Le promoteur constructeur est vital car il permet à des acquéreurs de trouver des logements confortables tout en étant conforme aux normes de construction et en correspondant à leur budget et à leur désir. Grâce au promoteur immobilier, vous avez la possibilité d’acheter du neuf correspondant à vos attentes. Le bien immobilier a une garantie décennale ce qui veut dire que le constructeur s’engage à réparer et à prendre en compte les dommages relatifs à la solidité et à la fiabilité de l’ouvrage. Enfin en contactant un promoteur immobilier, vous pourrez respecter tous les budgets et les délais fixés.  Alors, l’aménagement se fera dans les délais à venir.

Quels sont les meilleurs promoteurs immobiliers de France ?

Nous comptons une série de promoteurs immobiliers de France. Parmi les plus connus, nous trouvons plusieurs promoteurs constructeurs de France à savoir Bouygues Immobilier, Eiffage Construction, Icade et Vinci Immobilier. Bouygues Immobilier est un développeur et constructeur urbain qui produit des projets de logement, des commerces et des immeubles de bureaux. Il est spécialisé dans l’aménagement de quartiers durables à partir de 39 implantations en France mais aussi à l’étranger. Quant à Eiffage Construction, le groupe est perçu comme un expert en construction, en aménagement immobilier et urbain et en travaux de maintenance. Quant à Vinci Immobilier, entendons ce constructeur comme un des principaux acteurs de la promotion immobilière.

Des promoteurs immobiliers d’un nouveau genre émergent

Les promoteurs immobiliers d’un nouveau genre apprécient de vendre des biens immobiliers atypiques totalement différents de ceux que vous trouvez sur le marché. Des constructeurs mettent en vente des appartements que vous transformerez. Les nouveaux acteurs immobiliers innovent régulièrement et nous font partager des nouvelles idées de construction. Pensons aux biens modulables possibles à modifier. L'objectif de ces jeunes promoteurs est de sensibiliser un public varié et de leur propager des offres. Par conséquent, le promoteur immobilier a un rôle important dans notre société. Le rôle du constructeur est acteur capital dans la promotion immobilière en France et à l’étranger. Vous trouverez tout type de promoteur immobilier porteur de véritables projets urbains, portés par des collectivités anciennes. Le rôle du constructeur immobilier est en plein essor. Le promoteur immobilier éveille les grandes consciences et sensibilise le public dans le but de faire évoluer les grandes villes. Read the full article

[jasmintomschi]

Große Vorteile für kleine Food-Entrepreneure: Wiens erste Gemeinschaftsküche

Im 10. Wiener Gemeindebezirk war einst die Zentrale von Siemens zu Hause. Heute betreibt das Food-Startup Herd in der alten Kantine des Konzerns eine professionelle Coworking-Küche. Jasmin Tomschi traf Gründer Marko Ertl vor Ort zum Gespräch über infrastrukturelle Hürden in der Gastronomie, das perfekte Timing und die Großküche von morgen.

Wer nahe Wiens berühmter Ankerbrotfabrik unterwegs ist, geht entweder noch zur Schule, befindet sich gerade in der Ausbildung oder arbeitet auf dem Gelände der ehemaligen Siemens-Zentrale. Nachdem die Büros des Technologiekonzerns vor etwa zehn Jahren geräumt wurden, zogen anstelle der nächsten großen Firma nach und nach mehrere kleinere Unternehmen ein. So auch das Wiener Startup Herd – mit einer 700 Quadratmeter großen, voll ausgestatteten und genehmigten Produktionsküche in Form eines modernen Coworking-Spaces.

Schon erstaunlich, dass Gemeinschaftsküchen nicht nur im überschaubaren Wien als etwas Neuartiges gehandelt werden, sondern auch in weitaus größeren Städten wie Berlin oder London noch kaum bis gar nicht vertreten sind.Dabei macht das Konzept so viel Sinn: die einen kümmern sich um die Infrastruktur, die anderen zahlen einen monatlichen Beitrag und dürfen kochen wie die Profis. Darüber freuen sich nicht nur Food-Entrepreneure, sondern auch die Kollegen von der Behörde, die davon ausgehen können, dass alles mit rechten Dingen zugeht.

Vom Foodtruck zur Open Kitchen

Die Idee geht zurück auf Wrapstars – Österreichs ersten Foodtruck, den Marko Ertl im Jahr 2013 mit Matthias Kroisz und der Hilfe von Koch David Weberstartete. „Das Problem mit einem Foodtruck ist, dass du bestimmte Rahmenbedingungen hast und zum Beispiel nicht im Truck kochen darfst. Du brauchst immer eine offizielle Küche, wo du angemeldet bist“, so Ertl.

Man sah sich an, wie es Gleichgesinnte in anderen Ländern machen und fand in den USA die so genannten Commissary Kitchens, in die sich Foodtrucker zum Vorkochen einmieten können. „Zuerst haben wir als Extra in einer kleinen Kantine gearbeitet, aber da hatten wir keine wirkliche Sicherheit. Also haben wir alle Caterer in Wien angeschrieben und gefragt, ob irgendwo eine Küche frei ist, bis der Tipp von der Siemens-Location kam“, erinnert sich Ertl zurück. Sechs Monate nach Besichtigung öffnete Herd an Ort und Stelle – inklusive Trockenlager, Kühlräumen, Müllraum sowie einem Außenbereich mit LKW-Zufahrt und mietbaren Parkplätzen.

Start mit Metro als Hauptsponsor

„Die Räumlichkeiten waren früher für die Ausgabe von 3000 Gerichten pro Schicht konzipiert“, erzählt Ertl nach einer Führung durch die Gemeinschaftsküche, die er seit 2017 mit seinen Wrapstars-Partnern betreibt. Heute sind hier eine Reihe von professionellen Kombidämpfern, Kochkesseln, Kippern, Grill- und Herdplatten, Schockfrostern, Mixern und Spülen so angeordnet, dass mehrere Gastronomie-Projekte gleichzeitig damit arbeiten können.

Für die Mission von Herd durfte die alte Struktur des Gebäudes zu weiten Teilen bestehen bleiben. Das riesige Fließband hingegen, wo einst Tabletts durchgefahren sind und gespült wurden, musste komplett entfernt werden. Klingt nach großem Aufwand und einem riesigen Investment. Wie kann sich ein Startup so etwas leisten?

Über den Own Business Day, den Metro im Jahr 2016 gemeinsam mit Wrapstars umgesetzt hat, bestand Kontakt zum Unternehmen: „Unser Herd-Konzept passte perfekt ins Portfolio von Metro, die unser Hauptsponsor wurden. Die Firma Hobarthat uns sehr starke Preisnachlässe gegeben und eine Spülmaschine gesponsert. Den Rest haben wir mit Wrapstars und über Kredite finanziert“, erläutert Ertl. Und dass auch der Eigentümer des Hauses hilft, wo er kann, kommt dem Startup natürlich ebenfalls sehr entgegen.

Mitgliedschaften: acht Stunden im Monat bis 24/7

Das innovative Konzept von Herd setzt sich aus unterschiedlichen, monatlich buchbaren Paketen zusammen, die auf diverse Unternehmensprofile zugeschnitten sind. Einem „New Kid On The Herd“ steht ein Produktionstag für 200 Euro im Monat zur Verfügung, jeder weitere kostet nur noch die Hälfte.

„Das Profil ist für jemanden, der komplett am Anfang steht, gerade Produktentwicklung macht und noch nicht weiß, ob er ein- oder zweimal pro Woche produzieren muss“, so Ertl.

Um jene Phase zu überbrücken, in der Food-Entrepreneure noch nicht sicher sind, wie ihr Business langfristig laufen wird, aber schon einen Rhythmus und erste Kunden haben, rät Ertl den Wechsel auf das geringfügig ausgelegte „Go Pro Starter Kit“ Paket für 450 Euro im Monat. Lagerfläche ist für Einsteiger im Baukasten-Prinzip und pro Meter zubuchbar, ab der Teilzeit-Mitgliedschaft ist sie dann automatisch dabei.

So auch eine Geschäftsadresse, die für Gründer einen großen Vorteil im Bezug auf Behördenangelegenheiten darstellt: Sie arbeiten in einer offiziell abgenommenen Küche, um Anliegen wie Schädlingsbekämpfung, Reinigung und Reparaturen kümmert sich Herd.

„20 Stunden pro Woche wären dann für jemanden, der schon viel Geschäft hat und im Wachstum ist“, fährt Ertl fort. Wer es schafft, in dieser Phase Küchenstunden zu reduzieren, kann noch im Paket bleiben, bevor der Kostensprung auf „Vollzeit“ oder die maßgeschneiderte „All in“-Mitgliedschaft ansteht. Von Letzterer machen traditionelle Caterer, ein vielseitiges Delivery-only-Konzept wie das der deutschen Honest Food Company oder die Wrapstars selbst Gebrauch. Gearbeitet wird dann mindestens zwölf Monate lang auf exklusiven zehn Quadratmetern, gerne 24/7.

Coworking: auch für die Großen

Im Grunde können sich kleine Unternehmen, die erst noch Gestalt annehmen werden, hier in ein gemachtes Nest setzen. Sie profitieren unter anderem davon, keine großen Investitionen aus eigener Tasche bezahlen zu müssen. Doch warum entscheiden sich auch bereits etablierte Unternehmen für eine Coworking-Küche?

„Bei den Großen kommen schon andere Faktoren hinzu: Nicht jede Location eignet sich – sie muss am richtigen Ort, aber auch groß genug sein“, gibt Ertl zu bedenken. Wächst ein Unternehmen, muss es in der gewählten Küche weiterwachsen können oder wieder eine neue Location suchen. „Bei uns haben alle eine gewisse Flexibilität. Man mietet sich ein und kann ein Jahr später immer noch adaptieren oder entscheiden, dass man woanders hingeht“, so Ertl.

Wo fließt das Geld, das über die einzelnen Mitgliedschaften eingenommen wird, denn eigentlich hin? „Einen großen Teil fressen Energie, Betriebskosten und die Erhaltung des Gebäudes. Die Küche ist schon 30 Jahre alt, ihre Lüftung für nur einen Mieter konzipiert und es vergeht kaum ein Tag, an dem nicht irgendwas repariert werden muss“, schildert Ertl.

Die Mieter haben keine Sorgen wegen der Stromkosten oder wenn ein Ofen ausfällt und Ersatz angeschafft werden muss. „Das tut einer einzelnen Firma sehr weh. Wir kümmern uns darum, dass jeden Tag alles funktioniert, soweit es geht. Wenn das Magistrat kommt und eine kaputte Fliese entdeckt, machen wir das und unsere Kunden können in Ruhe weiterarbeiten. Wir sind mehr oder weniger die Hausmeister für sie“, bringt es Ertl auf den Punkt.

Kooperationen und Synergien

Bei Herd tauschen sich blutige Anfänger und geübte Gastronomen über brancheninterne Herausforderungen aus, während Köche die Interaktion schätzen, die entsteht, wenn man sich mit anderen Teams eine Küche teilt. Doch im Großen und Ganzen kocht jeder sein eigenes Süppchen.

Zeit für die Umsetzung eines gemeinsamen Bestellsystems fand man bislang noch keine. Die Zwischenlösung sieht so aus, dass sich kleinere Unternehmen an einen etablierten, täglich aktiven Herd-Kunden hängen, um eine Mindestbestellmenge zu erreichen und auch gleich die Liefergebühr zu sparen.

Könnten Food-Entrepreneure dann nicht vielleicht auch dieselben Fonds und Saucen verwenden, um Zeit und Kosten zu sparen bzw. Foodwaste zu verhindern? Auch das obliegt jeder Firma selbst bzw. macht man sich bei Herd untereinander aus.

„Ich weiß zum Beispiel, dass jemand wie Einsundeinsdeluxe, die eine Mini-Kantine für die Umgebung betreiben, gerne Zutaten verkochen, die bei der Produktion zu viel eingekauft wurden und sonst keine Verwendung mehr hätten“, erzählt Ertl. „Außerdem haben wir einen Kühlschrank von Foodsharing.at, wo Essensreste nach Caterings bereitgestellt werden können. Aber häufig erledigt sich dieses Thema bereits an den Locations selbst.“

Gemeinschaftsküche – quo vadis?

Im Gespräch wird klar, dass Herd für diejenigen einsteht, die langfristig in der Gastronomie Fuß fassen wollen. Über einen exklusiven Catering-Deal mit der Wiener Event-Location Albert Schweitzer Haus werden ausschließlich Herd-Kunden vermittelt. Daneben hat Herd gemeinsam mit Metro und der Modul University Vienna ein Accelerator-Programm ins Leben gerufen, das F&B-Startups beim Markteintritt unter die Arme greift.

Und weiter? „Wir arbeiten gerade an einer neuen Idee. Die nächste Coworking-Küche wollen wir mit einer Kantine verbinden“, verrät Ertl. Das Ziel ist, sofort eine Ausgabe zu haben und das gewöhnliche Kantinen-Konzept so abzulösen, dass nicht nur ein Team, sondern mehrere, lokale Unternehmen dafür produzieren können. „Dann gibt’s nicht mehr nur Menü 1 und Menü 2, sondern Startup 1 und Startup 2“, so Ertl.

Das könnte in allen Aspekten interessanter als eine klassische Kantine sein. Immerhin dürfen sich Gäste schon allein dank automatischer Fluktuation über abwechslungsreiches Essen statt Massenware freuen. Außerdem haben Startups oft wenig Geduld oder einfach zu wenig Erfahrung im Verkauf: „Es gibt viele, die sicher ein gutes Produkt machen, das schmeckt, aber die einfach nicht wissen, wie sie es an den Mann bringen sollen“, bestätigt Ertl.

Deshalb wird seine Wunsch-Kantine den Unternehmensstart an erste Umsätze, Kunden-Feedback und persönliche Beziehungen zwischen Erzeuger und Kunden koppeln.

[neovitae]

Florian Bachelier, l'homme qui veut mettre les députés à la diète

Le budget, l'immobilier, les ressources humaines, etc. Du coworking au Palais-Bourbon. Et pour être – enfin – exemplaire, il a pensé à tout. Il veut faire 10 millions d'euros d'économie en 2018, puis 15 millions par an. Généraliser les tablettes numériques dans l'Hémicycle pour économiser 55 000 euros ... from Google Alert - "ressources humaines" -H/F http://ift.tt/2nwbRZe

[a2sparis]

J’AI UN NOUVEAU PROJET

THÉÂTRE. «J’ai un nouveau projet»

Texte et mise en scène : Guillermo Pisani. Jeu : Marc Bertin, Sol Espeche, Arthur Igual, Pauline Jambet et Benjamin Tholozan. Création vidéo : Romain Tanguy. Scénographie : Alix Boillot. Lumières : Bruno Marsol. Costumes : Isabelle Deffin et Elise Leliard. Conseil artistique : Elise Vigier. Durée : plus de 2h30.

Ce spectacle, remarquable, bien rythmé, souvent drôle, est interprété par cinq comédiens tout à fait épatants. Il est toutefois trop long, certaines scènes - par exemple, celles relatives à une négociation sur le temps de travail dans un bar - n’apportent pas grand-chose et pourraient être utilement supprimées. Racontant en parallèle plusieurs histoires se déroulant sur une durée totale de six semaines, la pièce parle du monde très «connecté» dans lequel vit aujourd’hui une grande partie de l’humanité. L’auteur, Guillermo Pisani, dit avoir voulu critiquer «la tyrannie de l’instant» et «l’injonction permanente de la suractivité», ainsi que des «formes de contrainte qui prennent l'apparence de la liberté», par exemple le télétravail, «apparence de liberté» qui, pour Pisani, est «source d’aliénation». Pisani dit aussi avoir voulu évoquer dans sa pièce les rapports «entre liberté individuelle et règles collectives» et «entre les choix que l’on fait et les contraintes que ces choix peuvent entraîner».
L’action se déroule principalement dans un bar parisien de «coworking», où, munis de leurs ordinateurs, «smartphones» et tablettes, des personnages de la pièce viennent travailler, se réunir, communiquer. Plusieurs écrans permettent au spectateur de lire les messages - écrits souvent dans un français approximatif ! - que ces personnages envoient ou reçoivent et, plus généralement, tout ce qui s’affiche sur l’écran de leurs appareils électroniques. La pièce critique ces lieux - par exemple, ce bar - qui se présentent comme «ouverts et décontractés», mais «où les frontières entre privé et public, travail et loisir sont particulièrement poreuses», observe Pisani.

Une cycliste très occupée, très «connectée», mais très seule

Parmi les personnages de la pièce, généralement clients de ce bar de «coworking», nous avons particulièrement apprécié ce haut fonctionnaire du ministère français de l’économie et des finances qui, promu sous-directeur, renonce finalement à demander à travailler à temps partiel (dans le but de se consacrer à la chanson, sa passion). Le spectacle raconte également trois histoires qui, séparées au départ, finissent par se rejoindre. Il y a d’abord un projet de création d’entreprise en vue du lancement d’un site Web de rencontre, projet qui, à la fin de la pièce, échouera car l’algorithme du site ne fonctionne pas du tout comme prévu. Mais, pendant les quelques secondes où ce site aura été ouvert avant d’être fermé définitivement, une personne s’y sera inscrite, une cycliste très occupée, très «connectée», mais très seule. Ignorant que le site a déjà disparu, elle se rendra au bar de «coworking», où était prévu le lancement officiel du site, et se retrouvera au milieu d’une soirée privée pour cadres de la banque française Société Générale. Cependant, lors de cette soirée, elle fera la connaissance d’un de ces cadres, avec lequel elle partira boire un verre dans un autre bar, «un vrai», lui dit-il. Bref, le site (mort-né) de rencontre aura permis, au moins, le début d’une éventuelle histoire d’amour.   Parallèlement, le bar de «co-working» est racheté par la Société Générale, qui ne l’utilisait jusqu’alors que pour des «After Work», et ce afin d’en faire un nouveau lieu de travail pour certains de ses cadres, en lieu et place des bureaux que ceux-ci occupaient jusqu’alors, et ce tout en conservant et le bar et ses employés.

L’AUTEUR ET METTEUR EN SCÈNE : Guillermo Pisani, également enseignant, traducteur de pièces de théâtre et sociologue, est l’auteur d’une dizaine de pièces de théâtre.

[univers-pur-elles]

On a testé un bureau assis-debout – My Happy Job

See on Scoop.it - Fitness & Muscle

Tu devrais travailler debout, ça fait un bien fou ! A force d’entendre ce genre de remarques, on a voulu s’en assurer par nous-mêmes. Comment ? En testant pendant plusieurs semaines la plateforme de travail assis-debout Lotus de Fellowes. Voici nos trois retours d’expérience. « C’est mon kiné qui va être content ! » Fabienne Broucaret, Noisy-le-Grand. Opérée d’une scoliose importante à l’adolescence, rester debout, immobile, a toujours été mon pire cauchemar ! Enfin celui de mes lombaires surtout. Du coup, j’avais beau lire des articles sur les effets positifs des bureaux assis-debout, je me disais que c’était bien pour les autres, mais pas pour moi… 1er jour : Un bureau qui intrigue En voyant la taille du carton, je délègue tout de suite l’installation du bureau à mon conjoint (oui, il est important de savoir déléguer au travail comme à la maison !). Au final, cela ne lui a pas pris très longtemps et a suscité sa curiosité : comment ça marche ? A quoi ça sert de travailler debout ? On s’occupe des réglages, j’installe mes mini-plantes vertes, on se familiarise avec les poignées permettant de lever et descendre la station… Je sens que je ne vais pas être la seule à m’en servir ! 1ère semaine : Cinq minutes debout top chrono Appréhendant un peu de rester debout, j’adopte la même stratégie que quand j’ai repris le running : je démarre par cinq minutes, plusieurs fois dans la journée, puis j’augmenterai progressivement la durée. Les premiers jours, je dois presque me mettre une alarme pour penser à me lever, mais j’apprécie de suite ces moments. J’en profite pour m’étirer, pour répondre à des mails en me mettant sur la pointe des pieds afin de soulager mes jambes, bouger ma nuque… Au final, je suis debout, mais un peu en mouvement ! 2e semaine : Quelques exercices par jour Je passe à dix minutes. Toujours pas de douleurs, au contraire ! Plus les jours passent, plus ces périodes debout me permettent de réaliser de petits exercices pour détendre mon dos, alors même que j’avais du mal à les caser dans mes journées de travail autrement. C’est mon kiné qui va être content ! Et puis, je commence à organiser mes activités selon ma posture : je m’occupe des longs dossiers assise, je me lève pour gérer les réseaux sociaux, ma boîte mails, faire de la veille, etc. Ce qui me permet, l’air de rien, de limiter dans le temps chaque tâche (et de m’y tenir !), donc de mieux m’organiser et de gagner en efficacité. 3e semaine : Des bienfaits pour le corps… et pour l’esprit ! J’ai un nouveau rituel. Je démarre mes journées en travaillant debout. Pourquoi ? Car j’ai ainsi l’impression d’être plus dynamique, d’avoir plus d’énergie. Plus besoin de montre, je passe environ quinze minutes debout toutes les heures et demi. J’en ressens les effets positifs sur mon corps, mais aussi sur mon esprit. Cette alternance me sort du mode « pilotage automatique », m’aère la tête tout simplement. 4e semaine : Un bureau à partager Je ne vous ai pas tout dit. Je travaille chez moi plusieurs jours par semaine, mais le reste du temps, je suis dans un espace de coworking. Auparavant, je variais les espaces (salle calme pour me concentrer, espace convivial pour travailler en groupe, etc.) mais pas ma posture. Depuis que j’ai essayé ce bureau amovible, j’ai également changé mes habitudes à l’extérieur. Je travaille volontiers debout, et file sur les tables surélevées que je fuyais il y a encore quelques semaines. Si on m’avait dit cela, j’aurais ri aux éclats… Autre changement : quand je rentre chez moi, il m’arrive désormais de retrouver mon bureau squatté par mon télétravailleur de conjoint… Ça, par contre, je l’aurais parié ! « Je me suis très vite habituée » Corinne Dillenseger, Toulouse. J’avoue avoir toujours eu envie de tester un bureau assis-debout, depuis en avoir vu dans quelques espaces de coworking à Toulouse.  C’est donc avec une certaine excitation que je démarre l’aventure. 1er jour : Une installation simple et rapide Grosse surprise en déballant la station de travail. Je ne l’imaginais pas aussi lourde (près de 23 kilos !), ni aussi volumineuse (83 cm de largeur, 62 cm de profondeur). Il a fallu que je sollicite l’aide de mon fils pour déposer l’outil sur mon bureau. J’ai aussitôt testé les différents niveaux de levage de la station au moyen des deux poignées prévues à cet effet. Une certaine tension s’est fait sentir au début, facilement réglable avec la mollette disponible sur le bord du support. Comme j’utilise un ordinateur portable, l’installation a été rapide, les câbles d’alimentation et de la souris sont facilement dissimulables sous la station, une gouttière permet de caler son téléphone ou sa tablette, il y a suffisamment de place pour poser un tapis de souris. J’ai occupé la plateforme du haut en disposant divers accessoires : carnets, post it, pot à stylos, bouteille d’eau… 1ère semaine : Un prétexte à plus de pauses Je me suis très vite habituée à l’utilisation de la station. Fellowes préconise la position assise pendant 45 minutes et la position debout 15 minutes. J’ai alterné avec un certain plaisir, sans vraiment respecter les consignes. Travailler debout m’a enchantée, j’avais l’impression d’être tout de suite plus opérationnelle, plus dynamique. Plus productive ? Pas vraiment. Cette position m’a plutôt donnée envie de quitter l’écran pour savourer un café ou passer un coup de fil, comme si le fait d’être debout me servait de prétexte pour papillonner. Il a fallu que je me discipline ! Par contre, ces petites pauses répétées ont été bénéfiques pour mes yeux qui piquaient moins en fin de journée. 2e semaine : Un corps plus détendu Ayant régulièrement des problèmes de cervicales, de lombaires et de jambes, j’ai été attentive aux conséquences physiques du bureau assis-debout. Après 15 jours d’expérimentation, le résultat s’est avéré plutôt concluant. En alternant les positions, j’ai senti que ma nuque devenait moins raide et mon dos plus souple. Mes jambes étaient aussi plus légères. J’avoue que tout en travaillant debout, j’avais tendance à improviser quelques mouvements et étirements : petites flexions-extensions des jambes, minis déhanchés, rotations des épaules et du cou. 3e semaine : Une habitude à (re)prendre J’ai décidé de troquer mon ordinateur portable pour tester la station avec un écran PC et un clavier. C’est d’ailleurs ainsi que s’utilise le plus souvent le bureau assis-debout. Indéniablement, j’ai gagné en confort de travail, un peu moins en surface puisque l’écran occupait alors les trois quarts de la plateforme du haut. Toujours les mêmes effets bénéfiques du Lotus sur mon corps. Par contre, il m’est arrivé beaucoup plus souvent d’oublier de travailler debout ! « J’ai l’impression de réfléchir différemment debout » Lucie Tanneau, Troyes. Pour moi, les bureaux assis-debout étaient réservés aux grosses entreprises, avec salle de sport et table de ping-pong. Quand on m’a proposé d’en tester un, j’étais donc ravie ! En plus, il allait m’obliger à ranger mon bureau… 1er jour : Un bureau qui donne envie de travailler Ça y est le bureau est installé. Ça a été facile, et le design est sympa : il donne envie de travailler, c’est déjà ça ! 1ère semaine : Le temps de prendre ses marques En position debout, la tablette me paraît un peu fragile (j’ai peut-être loupé un réglage…), mais le mécanisme pour monter et descendre est facile d’utilisation. J’installe mes affaires. Et je suis plutôt du genre à en avoir pas mal � La tablette prévue pour poser le clavier et la souris est très petite. Où vais-je bien pouvoir mettre mes cahiers, mes notes, mon téléphone… ? Je fais comme je peux et je me mets au travail. Monter le bureau est ludique, et je trouve que c’est agréable de changer de position, même si je ne me rends pas vraiment (encore) compte de l’intérêt. 2e semaine : Travailler debout pour se (re)concentrer Je suis désormais habituée à ce bureau et me concentre davantage sur mon travail que sur l’organisation de mes affaires ! La tablette est petite, certes, mais j’ai réussi à m’y adapter. Lever le bureau n’est pas encore devenu un réflexe, mais pour répondre à des mails ou faire un peu de veille, en milieu de matinée avec un bon café, je trouve la position debout vraiment agréable. Elle permet de se (re)concentrer après 1h de travail assis. Par contre, je ne suis pas certaine d’adopter la bonne position, j’ai tendance à basculer sur une hanche : pas si facile de travailler debout quand on n’en a pas l’habitude ! 3e semaine : Exit le mal au dos Fini le temps de  l’adaptation : j’ai une semaine chargée en perspective donc je n’ai plus le temps de monter et descendre le bureau juste pour le plaisir. J’essaie donc d’adapter la position à chaque activité pour être le plus efficace possible. Et ça marche ! Pour réaliser des interviews et écrire des articles je suis bien assise, mais pour prendre des rendez-vous ou lire quelques infos, entre deux phases de concentration, je m’aperçois que me lever me fait l’effet d’une pause studieuse. Une fois dans la matinée et une ou deux fois dans l’après-midi, ce changement de position me plaît. Et, moi qui suis sujette au mal de dos… plus rien ! Lié au bureau ou non, je ne sais pas, mais je prends ! 4e semaine : L’impression de réfléchir différemment debout C’est la dernière semaine de test, dommage ! Je commençais à m’habituer. Je ne trouve pas la position debout très pratique pour écrire, mais je pense de plus en plus à me lever pour me rebooster. Je ne connais pas bien les mécanismes du cerveau, mais j’ai l’impression de réfléchir différemment debout : un bon point ! Par contre, j’ai du mal à savoir vraiment à quel rythme me lever ou m’asseoir, à trouver mon rythme en la matière. Pour le reste, je maintiens mes premières impressions : l’espace de travail est trop petit à mon goût : pour les informaticiens, c’est sûrement top mais pour moi entre les blocs-notes et les cahiers, je dois tout changer de place à chaque coup de téléphone. Le fait de me lever (même si je n’y pense sans doute pas assez) va me manquer, mais je vais être heureuse de retrouver de l’espace ! Pour ne rater aucune actualité en matière de qualité de vie au travail, inscrivez-vous à la newsletter de My Happy Job. Article réalisé dans le cadre d’un partenariat avec Fellowes. A lire aussi :  – 5 bonnes raisons de travailler debout ÉTIQUETTES : Bien aménager son bureau, carousel, santé PLUS D'ARTICLES DE LA MÊME RUBRIQUE:

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Les 4 applications pratiques pour travailler à domicile

Les 4 applications pratiques pour travailler à domicile

Le 21ème siècle est maintenant bien installé et cela devient de plus en plus courant de travailler de son domicile plutôt que d’un bureau fixe. USTS vous propose de découvrir 4 applications qui pourraient vous faciliter la vie dans ce cas de figure.

  Neo-nomade

Si vous en avez marre de voir les murs de votre domicile ou que vous avez besoin de faire une réunion avec vos collaborateurs, sachez que cette application contient près de 1500 lieux référencés. Vous pouvez donc trouver facilement un espace de travail et le réserver pour le jour J. Cela peut être des salles de réunion, des bureaux fermés mais aussi des cafés-wifi. Sachez également que, quand vous êtes connecté, il est même possible d’inviter des coworkers de son réseau à vous rejoindre.

U-Sales

Cette application développée par l’entreprise Urbans plaira aux commerciaux. Elle regroupe dans une tablette plusieurs tâches essentielles telles que la gestion des fiches clients, la gestion des rendez-vous, etc. Vous gagnerez ainsi un temps considérable si vous êtes en train de bouger non-stop.

Hubic

Bon là, les amis, va falloir commencer à lâcher les sous mais rassurez-vous, ça reste très raisonnable. Ce service de stockage en ligne développé par l’hébergeur français OVH est disponible via l’application. Entre autres choses l’application permet de partager un lien pointant vers ses fichiers sauvegardés dans son espace personnel. Les collaborateurs et autres personnes auprès desquelles ce lien est partagé peuvent ainsi y accéder facilement à partir du lien qui est valide pour 1 mois et cela, sans bouger de votre domicile. Sachez que les 25 premiers gigas sont gratuits mais qu’il faudra débourser 50 euros par an pour obtenir 10 To.

Dahslane

Vous avez des tonnes d’informations et de mots de passe à retenir mais vous avez l’équivalent d’une mémoire de poisson rouge en fin de vie … Cette application est faites pour vous ! Elle vous permet de stocker votre passeport, votre carte vitale, vos identifiants de réseaux sociaux, votre carte bancaire et aussi toutes les informations personnelles qui permettent de remplir les formulaires. Tout cela facilement et avec une sécurité optimale. Comme Hubic, la version de base est gratuite. Si vous voulez débloquer certaines fonctionnalités il faudra payer 39,99 euros par an (40 euros quoi, nous prenez pas pour des buses).

En conclusion,

Si vous voulez vivre votre vie d’une manière différente en travaillant à domicile ou à divers endroits dans le monde pendant vos voyages, ces applications vous seront particulièrement utiles. Bien qu’il vous faudra débourser quelques euros pour certaines d’entre elles, l’investissement n’est pas lourd et sera vite rentable.

Source de l’article : Maddyness.com

Source de l’image : stock.adobe.com

Agence USTS : usts.fr

https://usts.fr/4-applications-pratiques-travailler-a-domicile/

[innovationepjt2016]

Les cinq innovations retenues (et les autres)

Après le vote des étudiants, voici les cinq innovations élues cette année pour ce cycle sur l’innovation. Elles sont issues du design, de ingénierie ou encore de l’édition. 

Yellow Chair Anab Jain, une jeune Londonienne, a proposé d’installer une chaise jaune dotée d’une connexion Wifi devant sa maison. Elle a placé des panneaux jaunes dans le quartier pour attirer les passants et les habitants. Une fois assises sur la chaise, les personnes se connectent sur Internet et accèdent à une communauté virtuelle où l’on peut partager ses idées sur des sujets très variés. On est invité, par exemple, à partager des recettes, proposer des solutions pour empêcher le vol de bicyclettes, donner son avis sur le maire de la ville. Anab Jain discute avec eux en même temps qu’ils partagent leurs idées sur le réseau. Intrigués, les autres passants s’arrêtent et entament des conversations. Cet espace d’échange verbal et de débat renforce les liens sociaux et permet de mieux connaître ceux qui vivent près de chez nous. Cette expérience étudie les interactions entre le virtuel et le social mais également interroge le concept d’appartenance à un lieu. La Yellow Chair a connu un tel succès que les pancartes ont été envoyées à Chicago, au Nouveau-Mexique, au Kenya et en Allemagne, sur demande des habitants. FiB Cette extension du navigateur Chrome a été conçue par des étudiants de Princeton, dans le New Jersey, pour vérifier la fiabilité des informations diffusées sur le réseau social Facebook. Une des étudiantes Nabanita De, s’est sentie submergée par le flot d’informations contradictoires pendant la campagne électorale américaine tant sur Hillary Clinton que Donald Trump. fIB est en fait un algorithme. Il permet de trier les actualités selon leur niveau de vérification, alertant ainsi le lecteur sur la qualité de l’information.

Blog Fabrik Le Blogfabrick est un espace de coworking fondé à Berlin en Allemagne il y a 1 an. Le concept est simple. Les locaux accueillent différents producteurs de contenus qui travaillent en freelance (articles, vidéos,Instagram…). Ils peuvent travailler dans un espace de travail confortable et moderne en échange de la production de contenus pour le site web du Blogfabrick, le Daily Bread Mag. Il n’y a donc aucun loyer à verser, la production de ces contenus remplace le paiement du loyer pour les dirigeants de BlogFabrick. Outre une production de contenu pour le site de l’entreprise, les utilisateurs du Blogfabrick doivent créer un événement par an pour l’entreprise et promouvoir le site sur les réseaux sociaux. Le lieu dispose de trente bureaux, de salles de conférence, de studios photos pour permettre aux utilisateurs d’être dans un environnement de travail agréable et créatif. Trente freelances travaillent actuellement dans cet espace collaboratif, et doivent fournir deux articles mensuellement.

The Mainichi Shimbunsha "vert" Au Japon, la société Dentsu Inc, spécialisée sur le thème de la publicité et des relations publiques a proposé au journal The Mainichi Shimbunsha de créer un journal "vert", à l’occasion de la “journée verte”. Une fois lu, les lecteurs doivent déchirer leur journal, le mettre en terre et l'arroser. Le papier avec lequel le journal est créé est du papier recyclé qui est ensuite rempli de graines. Une fois arrosées, les graines se transforment en petites fleurs. L’encre est faite à partir de légumes, qui agissent comme engrais. Cet éco-journal n’est vendu pour le moment qu’une fois par an et est vendu à quatre millions d'exemplaires, ce qui correspond à 700.000 dollars de bénéfices. La société s'est servie de cette initiative pour sensibiliser les jeunes au recyclage et aux problèmes environnementaux.

Sociorama Sociorama est une collaboration entre des sociologues et des auteurs de bande dessinée. Elle est impulsée par l’association Socio En Cases, qui a choisi de publier des enquêtes sociologiques sous un format différent : en BD. Et ce dans l’optique d’attirer un nouveau public, ouvrir le champ de la sociologie au grand public. Cela implique un travail journalistique, car ce sont des enquêtes socio-journalistiques avec but comme d’informer.Exemple : La banlieue du 20h, une enquête qui aborde le traitement médiatique fait par les JT dans les banlieues parisiennes. La bande dessinée démontre comment les JT mettent en scène les banlieues afin d’accroître leur audimat et donner leur propre vision (tronquée) du sujet.Ils ont partagé ce travail avec des journalistes, afin d’avoir un avis extérieur et professionnel des personnes « visées » par la BD. Cela a aussi pour but d’alerter les journalistes sur leur travail, la manière dont ils le font (un peu comme fait par exemple Arrêt sur Images).

Et voici les cinq autres projets (même s’ils ne sont pas retenus) trouvés par les étudiants de 1ère année de l’EPJT.

Quartz  Quatrz est un site d’information américain qui a développé une version mobile disponible sur iPhone. L’application propose une manière de présenter l’information sous un format inattendu. Sous forme de conversation par SMS, agrémenté de gifs et emojis en quantité, Quartz offre ainsi une manière ludique de présenter l’actualité. Chaque sujet est envoyé sous forme de plusieurs messages afin de donner l’impression au lecteur de lire une conversation avec un ami. Le site Quartz existe ainsi depuis 2012, l’application a été lancée en 2016 par l’américain Jay Lauf. L’application dispose d’un widget sur l’iPhone et une application adaptée à l’Apple Watch.   

Stats Monkey Le programme d’intelligence artificielle Stats Monkey a été développé par la société Narrative Science. Ce programme a été imaginé par deux spécialistes de l’intelligence artificielle, Larry Birnbaum et Kris Hammond, puis développé par John Templon, diplômé de journalisme, et Nick Allen, informaticien. Ce programme est capable d’écrire des articles de façon totalement autonome. Pour cela, il suffit qu’un humain lui indique sur quel sujet il doit travailler et le programme sort un article parfaitement rédigé, sans fautes de grammaire ou d’orthographe, en moins de deux secondes. Ce programme a d’abord été utilisé en 2010 aux Etats-Unis, où il a écrit un compte rendu de match de base-ball. Puis en 2014, le site du Los Angeles Time a eu recours à Stats Monkey pour écrire un article sur un séisme ayant touché la Californie.

Swipe Swipe est un magazine reprenant le contenu internet, fondé à Londres en mai 2016. Le but de Swipe est d’imprimer le meilleur du contenu journalistique d’Internet et de le rassembler dans un magazine bimensuel gratuit. Celui-ci s’adresse aux jeunes de la banlieue londonienne. Tous les sujets sont abordés dans le magazine Swipe, qui puise ses articles dans plus de 80 sites web. Chaque numéro de Swipe est tiré à 20 000 exemplaires et distribué dans la rue et près des stations de métro. L’équipe en charge de l’édition de ce magazine trie et choisit le meilleur contenu parmi la quantité impressionnante d’informations sur Internet.

Fort McMoney Il s’agit d’un jeu documentaire intitulé “Fort McMoney”. Il a été conçu en novembre 2013 par David Dufresne, qui est écrivain et réalisateur. Ce jeu porte sur la ville de Fort McMurray au Canada et sur l'exploitation des sables bitumineux de l'Athabasca. Il utilise les codes du jeu vidéo interactif afin de permettre aux joueur de décider de ce qu'ils veulent faire de la ville et créer des débats sur à la meilleure façon de développer la réserve pétrolière de sables bitumineux. Le joueur peut aller à la découverte de la ville, sillonner la région et faire connaissance avec les habitants. Il est aux commandes. Pour réaliser le jeu documentaire, David Dufresne et son équipe ont parcouru des milliers de kilomètres, réalisé 55 interviews et développé plus de 500 options différentes. Le joueur peut emprunter plusieurs centaines de parcours à travers le jeu. Il est possible d’y jouer sur Internet, avec une tablette ou un smartphone. Le jeu est disponible en trois langues (français, allemand et anglais). Il a remporté une Mention honorifique dans la catégorie Jeux aux Webby Awards 2015, le plus prestigieux concours mondial de sites web. Explicit C’est un nouveau média créé par des journalistes ayant pour base les réseaux sociaux. Ils utilisent des vidéos pour diffuser l'info. Ils sont indépendant financièrement (pour l'instant) et moralement. Cette expérience est inédite. Cette nouvelle forme de journalisme pose la question de la visibilité sur les réseaux sociaux car leurs publications seront noyées dans une masse. Les gens sont massivement sur les réseaux sociaux, EXPLICITE va donc à la rencontre des gens. Ils sont dans la sphère d'intimité. Leur volonté est d'expliquer des choses simples pour nous éclairer sur l'actu. Il y a donc un mélange de genre entre les sujets chauds et les sujets avec une prise de recul afin de mieux informer. Il y a aussi des nouvelles démarches, une proximité avec le sujet qui est aussi importante, une nouvelle manière de l'appréhender est mise en place. Il y a une volonté de faire disparaître la caméra qui peut être intimidante. Cela pose la question de la gestion du temps de l'info, de l'instantanéité et de la hiérarchisation de celle ci.