#Communication avec les esprits de la nature
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Esprits de la Nature - Les Mystères de Brocéliande - Ateliers Pleine Lune
Un atelier “Esprits de la Nature” a été animé par Audrey Perchappe de “Les Mystères de Brocéliande” aux Ateliers Pleine Lune à Lannion, dans les Côtes d’Armor en Bretagne. Découvrez ci-dessous le reportage vidéo. Atelier “Esprits de la Nature” avec Audrey Perchappe de chez “Les Mystères de Brocéliande Un nouvel atelier s’est déroulé le samedi 25 mai 2024 à Lannion, avec Audrey Perchappe, médium…
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Particularités et compétences liées
Sur Megaverse, nous avons pris la liberté d'importer/créer quatre grandes familles de particularités, certaines inspirées de l'univers Harry Potter et étoffées par nos soins, d'autres créées par nous.
Les fléaux - Iels n'ont pas choisi leur condition, ont été attaqués/contaminés contre leur gré. Vampires, loup-garous, daemonis et moldu·e·s contaminé·e·s ne peuvent que subir le changement, s'y adapter, et vivre avec pour le meilleur et pour le pire. Cette dernière catégorie est la conséquence directe de la catastrophe d'Elysium, en l'an 2000. (cf. contexte)
Les êtres - Peuples vivant en marge de la société générale (et on parle pas de la banque), chacun de ces êtres possède une communauté à part et leur particularité est héréditaire. On y note notamment le peuple de l'eau dans les profondeurs de leur cité sous-marine, le clan fae dans la dimension d'Altea, le peuple vélane dans les forêts luxuriantes qui composent leur cité, ou les harpies, êtres isolés et solitaires, ayant pour coutume de ne se reproduire qu'entre elleux.
Les particularités innées - Ces particularités viennent à la naissance, mais ne sont pas systématiques, plutôt aléatoires au sein d'une lignée généalogique. On y retrouvera les oracles, porteur·euse·s du troisième œil, guides des fléaux à l'instinct hors du commun, les legilimens, capables de lire les esprits et fouiller les souvenirs, et enfin les métamorphomages, capables de modeler leur apparence à volonté.
Les particularités acquises - D'une certaine façon, ce sont les seules particularités acquises par la volonté de son/sa possesseur·euse, à la suite d'un rituel précis et rigoureux. Deux catégories seront à y retrouver : les occlumens, capables d'ériger une barrière autour de leur esprit, pour les plus expérimenté·e·s, capables de moduler ce qu'iels laissent entrevoir de celui-ci, et enfin les animagi, sorcier·e·s ayant la capacité de se transformer en un animal totem, emblème de leur personnalité intérieure.
Système de compétences
Loup garou tout juste transformé, ou vampire depuis plus de cinquante ans ? Dans un souci de réalisme et d'immersion, nous avons instauré sur le forum un système de demandes de particularités (à remplir avant de demander ta validation) pour déterminer les compétences de ton personnage. Selon son âge, il disposera d'un certain nombre de points d'expérience à répartir sur différentes branches de compétences, que nous te détaillerons en temps voulu. Ces points te permettront de personnaliser les capacités de ton personnage, en choisissant les niveaux de maîtrise appropriés. Ainsi, tu auras une vision claire de ses compétences dès son entrée en jeu.
Cumul de particularités
Nous autorisons un maximum de deux particularités cumulées par personnage, à la condition que ces particularités soient de nature différente (cf. les quatre grandes catégories).
exemple : un vampire ne peut pas être daemonis ; un·e fae ne peut pas être vélane.
Toutefois, il est important de souligner qu'un·e moldu·e contaminé·e ne peut pas avoir d'autre particularité — iel n'étant pas sorcier et bénéficiant déjà de deux aptitudes (nous t'en dirons plus ultérieurement !) .
Reste à l'affut pour la présentation plus détaillée de chacune de ces particularités dans les jours à venir ~
Note importante : d'une dimension à l'autre, les particularités ne seront pas jouables de la même manière, le contexte politique et historique de chaque île variant de façon notable. Nous ne te donnerons cette semaine que les informations générales à connaître pour mieux appréhender et comprendre les particularités disponibles sur le forum, mais te recommandons de patienter rien qu'un peu avant de commencer à construire un personnage !
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif
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Quel dommage que je n’aie pas à faire l’éloge de l’instruction ! Tous les lieux communs seraient à mon commandement, je n’aurais qu’à lever le doigt pour entendre aussitôt leur musique et le retentissement de leurs gros trombones. Mais c’est précisément cette facilité qui me met en garde. Quand un développement se déroule de soi-même, cela veut dire que nous parlons en l’air.
Celui dont les paroles ne sont pas vaines rencontre un obstacle : cette résistance le stimule, elle l’avertit qu’il touche au réel. Saisissons donc notre objet. Retenons ce mot d’instruction, qu’on oppose à celui d’ignorance. Demandons-lui ce qu’il veut dire. Sa fortune est assez récente. Jadis, quand on s’inquiétait de l’instruction de la jeunesse, il s’agissait autant de discipline que d’enseignement. Pour les hommes faits, on parlait de leurs connaissances. S’ils s’étaient formés surtout dans la pratique, on les disait experts, ou habiles. S’ils s’étaient instruits dans les livres, on les disait doctes. Quand enfin un homme se distinguait par la profondeur et l’étendue de ses connaissances, on l’appelait savant. Mais on ne prodiguait pas ce mot, car il était admis que pour faire un savant, il fallait une nature, une vocation, une vie spéciales. Encore ce nom n’était-il appliqué que du dehors à ceux qui le méritaient, et ç’aurait été s’en montrer indigne que de se le décerner à soi-même.
L’ironie de Socrate, les railleries de tous les Sages voltigeaient, comme autant d’abeilles, autour de ceux qui étudiaient, pour les empêcher de se croire savants. Enfin le personnage le plus constamment moqué du théâtre, celui dont les premiers mots suffisaient à déchaîner une tempête de rires, c’était le pédant. Or le pédant est proprement l’ignorant paré de science, l’homme qui porte toute sa science sur lui, parce qu’il ne la pas en lui-même. La comédie le représentait comme un véritable ilote du savoir, aussi inférieur aux ignorants dont il n’avait plus le bon sens, qu’aux savants dont il n’avait pas les lumières, Je doute qu’aujourd’hui le public sache se défendre aussi bien contre les charlatans de la parole.
Un autre trait distingue ce qu’on appelait autrefois la science de ce qu’on appelle aujourd’hui l’instruction. La science s’obtenait, l’instruction se reçoit : la différence est capitale. Seuls arrivaient à savoir ceux qui ajoutaient aux aptitudes que la nature leur avait données l’effort de toute leur vie. Mais l’idée latente de nos contemporains étant qu’il y a des fontaines publiques d’instruction, où l’on apporte les esprits comme des bouteilles, quelle bouteille ne voudrait pas être emplie ? On reconnaît ici, à leur mollesse et à leur facilité ordinaires, les conceptions de l’homme moderne. Mais, dira-t-on, il est une certaine instruction élémentaire qui est, en effet, bonne pour tous les esprits. Cela se peut. Encore faut-il prendre garde et bien préciser dans quelles conditions elle sera donnée. On devrait traiter avec d’autant plus de scrupules et de respect ceux qui la reçoivent, qu’en raison de la vie qu’ils vont mener et des occupations auxquelles ils sont destinés, ils n’auront pas le moyen de contrôler ce qu’on leur aura appris. Au moment même où l’on se flatte de leur ouvrir des perspectives nouvelles, il faut avoir le courage de considérer qu’on va leur bâtir, sinon un cachot, du moins une chambre d’où ils ne sortiront guère. Dans les sciences, par exemple, il est très difficile de donner à des élèves des notions sommaires, sans faire les choses plus simples et plus épaisses qu’elles ne sont, et sans abuser en quelque sorte ceux qu’on prétend instruire. Mais il est des connaissances où ces difficultés sont plus délicates encore.
Tout ce qui touche à la philosophie de l’histoire, au développement général de l’humanité, n’est pas susceptible d’être réduit à un enseignement élémentaire. On ne peut arriver à ces grandes vues qu’en s’étant rendu maître de toutes les connaissances qui y amènent. Traiter ces sujets devant des gens sans culture, c’est abuser de leur ignorance pour leur imposer des idées qu’ils transformeront en croyances, dans l’incapacité où ils sont de les critiquer et de les vérifier. Est-ce cela qu’on appelle émanciper les esprits ? Ce serait plutôt les asservir.
Ceux qui, autrefois, enseignaient la jeunesse, n’étaient pas tous de profonds docteurs. Mais, ayant plus ou moins pénétré dans les sciences, ils en communiquaient, sans arrière-pensée, les premiers principes. Il n’y avait pas alors cette milice de maîtres que la multitude des écoles a rendus nécessaires et dont l’instruction est comme interrompue et arrêtée net. N’étant pas assez versé dans les sciences pour disposer librement des notions qu’il enseigne, c’est par le caractère absolu des vérités qu’il édicte que plus d’un d’entre eux essaye de reprendre de l’autorité, et l’on voit apparaître le pontife orgueilleux d’une religion bâtarde, là où l’on attendait seulement le modeste propagateur d’une science élémentaire. Ainsi se constitue une véritable barbarie du savoir. On voudrait que ces maîtres fussent eux-mêmes instruits davantage : cela les tempérerait, les rendrait plus libres. Une instruction élémentaire n’est vraiment honnête que si l’on rappelle sans cesse à ceux qu’on en gratifie le caractère à la fois précieux et modique du don qu’ils reçoivent. Mais le moyen de faire un pareil rappel, qui offenserait à la fois l’orgueil du maître et celui de l’élève ? On ne peut rien entendre au monde où nous sommes, si l’on oublie qu’il s’explique avant tout par l’excitation et l’irritation des amours-propres : c’est le monde de la vanité.
Il s’agit de prouver aux inférieurs que l’infériorité n’existe pas, qu’il n’y a de différence entre les hommes que selon les circonstances où ils ont été placés, et que leurs aptitudes sont égales. On ouvrira donc à tous les palais de la connaissance, non point que ceux qu’on y pousse aient grande envie d’y entrer, mais parce qu’il ne faut pas qu’il soit dit qu’il y a quelque part des fêtes réservées. De là ce mélange de synthèse et de rudiment, de b-a ba et de dernier mot, qui donne un caractère de parodie si burlesque à l’enseignement d’aujourd’hui.
On insuffle la philosophie de l’histoire à des marmots qui ne savent pas la suite des rois de France. On fait à des ouvriers ou à des paysans une conférence sinon approfondie, du moins détaillée, sur une question de lettres, de philosophie ou de science, qu’ils ne sont nullement préparés à aborder, et qu’entoure pour eux une nuit profonde. En user ainsi, c’est peut-être flatter leur vanité ; en vérité, c’est leur manquer de respect de la façon la plus grave, puisqu’on parait croire qu’il n’est possible de leur faire valoir quelque chose qu’en les arrachant d’abord à tout ce qu’ils sont. On nomme progrès cet arrachement, et on secoue en l’air la pauvre plante qui, si on l’avait laissée dans sa terre, allait peut-être fleurir.
Le pis est que ce désordre encyclopédique se fait au nom de la Science. Non pas que l’esprit scientifique soit véritablement en honneur : il ne permettrait pas de pareilles plaisanteries. Mais le mot de Science est une des idoles du temps. Ce mot reste dans la tête de ceux à qui l’on n’a précisément rien appris. Il faut distinguer, dans un enseignement, entre les notions mêmes qu’on y donne et l’esprit qui les pénètre. Ces notions, ceux qu’on a instruits aujourd’hui ont d’autant moins de peine à les oublier qu’on les leur a plus confusément présentées. Mais ils retiennent quelque chose de la piètre philosophie qui les imprégnait. Ils croient à la Science, sans rien savoir. C’est-à-dire qu’ils sont portés à penser que le jeu des forces les plus grossières suffit à expliquer toutes choses, et qu’il n’y a rien, en somme, de si plat que cet Univers qui les éblouit en vain, chaque soir, de ses myriades d’étoiles. Voilà le bienfait de l’instruction.
L’idée qui préside à ces tentatives, c’est que l’ignorance est un état inavouable et honteux, et qu’il faut tout faire pour en perdre au moins l’apparence. Rien n’est moins juste que cette idée-là. Nous en avons tous connu, de ces ignorants qu’on veut nous forcer à mépriser, hommes attachés à une terre ou à un outil, vieilles femmes consacrées aux soins du foyer, comme des prêtresses obscures. Souvent ils ne savaient ni lire ni écrire. Étaient-ils pour cela hésitants, perdus dans le vaste monde ? Au contraire, fermement établis à leur place, patriarches et magistrats dans leur famille, maîtres dans leur art, ils nous apparaissent parmi les personnages les plus imposants que nous ayons rencontrés. C’est qu’en vérité il est plus d’une manière de se rattacher à l’âme universelle. Ces ignorants de la science étaient des savants de la vie. Entre toutes les choses qui forment et qui enseignent l’ignorant, il faut compter d’abord la pratique d’un métier. Rien ne vaut davantage, pour l’accomplissement d’un homme.
Tout métier procure à celui qui l’exerce, pourvu qu’il s’y donne sans réserve, une prise très forte sur le réel. On ne peut cultiver la terre sans acquérir de la sagesse. Ce n’est qu’apparemment que les marins sont rudes ; occupés à guetter les moindres signes de la mer, cette observation aiguise sans cesse leur attention, et ils deviennent aussi subtils que les courtisans qui apprennent à deviner dans les yeux de leur reine ses plus secrets sentiments. On approche davantage du centre commun des choses en en connaissant à fond une seule qu’en les effleurant toutes. Un fermier qui élève des bêtes, un vigneron instruit des secrets du vin sont, à leur insu, de vrais philosophes. L’artiste est exposé à déraisonner plus que l’artisan, justement parce qu’il est plus détaché de sa matière, plus sujet au pouvoir des mots. Mais comment délirerait-il, celui dont les mains instruisent la tête, depuis le menuisier qui sait la nature des différents bois, jusqu’au potier presque sorcier qui lutte de ruses avec le feu, et qui force les folles flammes à mûrir exactement ses vases ? Ce qui rend si précieuse l’instruction qu’on retire de ces travaux, c’est précisément qu’elle est acquise dans des conditions qui excluent presque l’erreur, ou du moins l’extravagance. Tout homme qui pratique un métier combat avec la vie elle-même. Comme Jacob luttant avec l’ange, il étreint un merveilleux adversaire, et alors même qu’il l’a lâché, il serre encore dans sa rude main une plume couleur d’arc-en-ciel ; cette plume irisée de mille nuances, c’est l’enseignement général qu’on garde d’une besogne particulière.
Les ignorants, bien loin d’être sans idées, recueillent un immense héritage, et il y a de tout dans ce trésor disparate. D’abord, sans qu’ils l’aient cherché, il leur arrive quelque chose de ce qu’ont amassé des savants lointains, et ils sont comme ces peuples des contes qui, vivant au fond de la mer, voient parfois une coupe ou un plat d’or descendre jusqu’à eux, d’un monde inconnu. Il arrive que la fable se mêle à ces connaissances.
Je me rappelle un vieux paysan, espion admirable des animaux, et qui ne s’intéressait pas moins à ceux qui peuplent les pays étrangers qu’à ceux à la vie desquels il avait, pour ainsi dire, collé sa vie. Il croyait encore de l’éléphant ce qu’Aristote en raconte, que cette bête n’a pas de genoux, et s’appuie à un arbre pour dormir, de sorte que les chasseurs, lorsqu’ils ont reconnu l’arbre choisi, le scient d’avance afin que sa chute entraîne celle du colosse. Si les jeunes gens du village avaient entendu cela, quelle occasion pour eux de se gausser du vieillard ! Mais qui, en somme, se faisait du monde une idée plus riche, plus digne de lui, ce vieux chasseur qui supposait partout des merveilles, ou ces hommes du temps nouveau, pour qui tout est médiocre dans l’Univers ?
Après avoir traversé en auto le désert de Syrie, comme nous approchions de l’Euphrate, je voulus tirer quelque chose du chauffeur qui nous conduisait. C’était un garçon débraillé, mou et cynique, né dans un faubourg de Paris, et le produit achevé de l’éducation urbaine. Je lui parlai de ce fleuve que j’allais voir et que lui-même avait déjà passé plusieurs fois : « Peuh! me dit-il, l’Euphrate, c’est la Seine avec des palmiers ! » Rien ne pouvait plus l’étonner, et, quoi qu’on lui montrât, il prêterait désormais au monde sa propre pauvreté. L’ignorance, au contraire, fait de grands rêves ; elle croit à la variété des êtres et à la richesse des choses. Les erreurs mêmes qui se glissent dans ses connaissances hétéroclites gardent quelque chose d’enchanté. La chose admirable est que le merveilleux n’y gâte jamais le pratique. Le charme des contes populaires vient précisément de là. Leur fantaisie débridée soulage les âmes. Mais, si haut qu’ils montent dans l’impossible, ils retombent toujours dans le vrai, et quand nous ressortons de ces histoires où les bêtes parlent, où des géants enjambent tout un pays en deux pas, où les trésors coulent comme des ruisseaux, bien loin de tâtonner et de rester ivres, il se trouve que ces féeries nous laissent mieux préparés à la vie de tous les jours, dont elles nous avaient d’abord délivrés.
Le Bon Sens et l’Imagination, voilà le couple qui règne sur l’âme populaire, et tandis qu’ils traversent leur peuple en liesse, elle, la Reine aux bijoux étranges, fait jeter à poignées des pièces d’or, qui ne seront peut-être demain que des feuilles sèches ; mais lui, le Roi solide sur ses jambes courtes, il distribue à ses sujets les loyaux écus d’argent des proverbes.
L’exercice d’un métier, les leçons des grand-mères, les secrets du coin du feu, tout contribue à faire de l’ignorant une sorte d’initié obscur. L’ignorance des vieilles femmes est si profonde qu’elle touche aux secrets de la vie ; celle des bergers est si haute qu’elle a la tête dans les étoiles.
Il est remarquable qu’en un temps où l’on parle de science du matin au soir, on ne parle jamais de sagesse. Science et Sagesse, c’était cependant, autrefois, comme la double face de la même étoffe. Nos pères en jugeaient ainsi, et toute l’Asie pensait de même, avant que nous eussions commencé de la gâter. C’est encore l’opinion des ignorants. Leur curiosité est vive, quoiqu’elle attende plus qu’elle ne cherche. Ils amassent les renseignements les plus disparates, mais la Sagesse administre tous ces matériaux, et tandis qu’elle tient le rôle de l’architecte, qu’elle règle la portée des voûtes et permet l’élan des flèches, la Religion, la Tradition, l’Expérience, la Féerie et la Science elle-même fondent, bâtissent, fortifient, ornent, illuminent, fleurissent, parfument la sainte cathédrale de l’ignorance.
Qu’il approche maintenant, qu’on le voie de près, l’homme nouveau qui est l’antagoniste de celui-là. D’abord, il ne sait plus vivre. C’est l’ignorant qui a des manières, des mœurs et des rites. Pour lui, incapable de régler la moindre cérémonie, d’organiser aucune rencontre un peu noble avec ses pareils, il ne sait même plus entrer sans y faire tache dans les fêtes de l’Univers. Par les dimanches de mai, quand les hordes urbaines se répandent dans la campagne, il est affreux de voir comme elles y saccagent le printemps. Les paysans, dans leur dialecte, avaient pour la moindre plante un nom qui la distinguait, qui la remerciait de fleurir autrement que les autres. L’homme moderne ne voit plus tout cela qu’en gros, de haut et de loin, et l’ineffable parure des champs, ce ne sont plus pour lui que de mauvaises herbes. Il est laid, dans le sens où Ia laideur est le signe d’une exclusion. C’est l’ignorant qui était beau, avec les costumes graves et superbes qui, en même temps qu’ils désignaient en lui le fils et l’héritier d’une race, l’associaient à la fête universelle, au plumage des oiseaux, à la féerie des prairies en fleurs.
L’homme d’aujourd’hui n’a plus, pour se distinguer, que les ressources d’une coquetterie particulière, d’autant plus intempestive que, presque toujours, ce qui le pousse, c’est moins le goût franc et ingénu d’une couleur vive, que l’incurable inquiétude de sa vanité, qui fait qu’il veut se donner les airs de ce qu’il n’est pas. Ainsi indiscret, inquiet, séparé de tout, que fait-il ? Il parle, non plus ce magnifique langage des métiers, si juste et si coloré que les grands poètes en enviaient les trouvailles, non plus un patois si intime avec les choses qu’il avait un nom pour rejoindre la plus chétive des plantes ou le plus menu des oiseaux. Il parle l’argot qui est la langue ignoble de l’irrespect ; il y mêle des mots savants qu’il est d’autant plus flatté d’employer qu’il en connaît moins le sens ; il parle de tout, sans avoir vraiment d’intérêt pour rien ; il crie et n’a rien à dire.
Des connaissances précises compensent-elles en quelque chose les traditions qu’il a perdues ? Nullement. On a interrogé les élèves qui sortent du collège, les soldats qui arrivent au régiment. Leurs réponses sont extravagantes. « Eh bien, dira-t-on, de quoi vous plaignez-vous ? Ce sont des ignorants. » Assurément, mais de la mauvaise manière. Car il est une ignorance saine et il en est une autre malsaine. L’ancienne mirait en elle l’univers, la nouvelle est trouble et ne reflète plus rien. L’ancienne avait des silences pleins, la nouvelle n’a que des paroles vaines. L’ancienne était tutélaire, elle arrêtait les hommes au bord de ce qu’ils savaient. La nouvelle est toute mêlée à ce qu’ils croient savoir. L’ancienne protégeait les gens, la nouvelle les livre.
Si l’on veut juger de la différence, qu’on se souvienne de la façon dont les paysans, dans une foire, se défendaient d’un charlatan. Il avait beau arriver dans un carrosse surdoré, comme une espèce de prince équivoque, il avait beau multiplier les prestiges, son auditoire rustique lui opposait une défiance sans fissure, jusqu’à le laisser dépité et exténué, entre ses lanternes. Qu’on regarde maintenant des électeurs écoutant un candidat qui brigue leurs voix. Il leur parle d’histoire, de philosophie, d’économie politique. Il faut qu’ils prêtent l’oreille à ces phrases, puisqu’il est entendu qu’ils ne sont plus des ignares. Ils ne pourraient se préserver des pièges qu’on leur tend qu’en avouant qu’ils n’entendent rien à tout cela. C’est trop demander à leur amour-propre. Tout les force à se laisser dindonner. Ce qu’ils prennent pour leur instruction n’est que le point faible de leur ignorance. C’est la brèche ouverte dans le rempart qui les abritait, c’est l’anse par où un charlatan les soulève. On les a retirés aux choses pour les livrer aux mots, et selon que la nature les a faits effrontés ou timides, on les a rendus capables de tout dire ou de tout croire.
Voilà où nous venons aboutir : l’instruction, avec ce que cette parole comporte à la fois de vague et d’emphatique, c’est d’oser parler de tout. Le monde moderne est celui des mots, et pour se faire une idée de ce verbiage effréné, il suffit d’écouter des conversations qui touchent en même temps à tous les sujets, sans qu’on entende jamais personne se récuser, avouer une ignorance. Mais si l’on n’a pas formé la raison de ces bavards, on a tué en eux les facultés délicates de l’imagination et du rêve. Alors même qu’ils veulent se délasser, ils n’ont pour récréation que les mornes carnages des crimes, l’horreur terne des assassinats. C’est l’ignorant qui, en laissant sa charrue ou son outil, entrait d’un seul pas dans les mondes enchantés ; c’est lui qui vivait avec Charlemagne et les douze Pairs, qui frayait avec Viviane, avec Mélusine. Quelle pauvreté, quelle tristesse, quelle déchéance, d’avoir cessé d’être le filleul des fées pour devenir la dupe du journal !
Extrait de Abel Bonnard, Éloge de l’ignorance, 1926
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Nécromancie - Ma table de Ouija
On confond souvent à tord Spiritisme et Nécromancie pour ce qui est de la communication avec les esprits et les défunts. Là où le spiritisme consiste à entrer en simple contact avec l'Au-delà, la nécromancie, véritable discipline et un des pans de la magie noire, permet d'interroger les morts pour connaître la vrai nature des choses ou l'avenir. Parfois bien plus que ça, il faut remonter une longue histoire pour comprendre l'essence de cet art (chose que je vous épargnerai).
Le jeu de Ouija peut être une manière d'interroger les esprits. Pour ceci, je vous conseillerais d'être accompagner ou être suffisamment à l'aise avec le concept même de la mort et être prêt aussi bien dans votre apprentissage de la sorcellerie que mentalement. Effectivement ne pratiquez sous aucun prétexte si vous vous sentez mal dans votre peau, si vous êtes malade ou affaibli d'une quelconque manière, puisque vous allez être directement en contact avec des énergies négatives.
Si vous ne disposez pas d'une table de ouija "conventionnelle" (ce qui n'est pas obligatoire), vous pouvez en fabriquer une. Pour ceci vous êtes libre d'utiliser une planche de bois/ une surface de carton que vous sculpterez/où vous collerez des mots/lettres/symboles découpés.
Pour ma part j'utilise (pour l'instant) une table faite maison avec les lettres de l'alphabet latin, les mots "bonjour" "aurevoir" "oui" "non" "peut être", les symboles féminin, masculin, neutre, coeur, pique, trèfle, carreau (chacun ont une signification en cartomancie), étoile, oeil, pentagramme et un soleil et une lune aux deux extrémités (ils sont très importants).
Pour la partie conseil, je vous suggère d'être à l'aise avec votre matériel, libre à vous d'ajouter ou retirer des symboles/ lettres ou même de décorer votre table (je vous conseille de garder la lune et le soleil de manière à équilibrer votre jeu).
L'important est de TOUJOURS respecter les défunts.
Maintenant, la pratique :
Il est plus approprié de pratiquer la nuit (idéalement vers 3-4h du matin) dans un lieu faiblement éclairé et sans appareils électroniques à proximité.
Egalement, si vous le pouvez, jeunez la journée précédente de façon à fluidifier vos énergies.
Avant de commencer, préparez vous matériellement (l'indicateur doit être placer au centre ou sur "bonjour") et psychologiquement.
Vous pouvez, si vous souhaitez entrer en contact avec quelqu'un en particulier utiliser un souvenir de la personne, lui écrire une lettre (c'est l'idéal, offrez ce mot comme une offrande), ...
Prenez quelque chose pour noter les lettres / symboles si vous voulez
Maintenant que vous êtes prêt.e.s, et si vous êtes seul.e.s, asseyez vous sans croiser les jambes face au jeu, posez votre main sur l'indicateur, fermez les yeux, imaginez vous la personne si vous voulez quelqu'un en particulier ou une lumière blanche et déplacer l'indicateur selon les énergies que vous ressentirez (nous vous forcez pas si vous ne sentez rien, arrêtez et ressayiez un autre jour) et ouvrez les yeux dès que vous le sentez pour inscrire votre résultat et recommencez jusqu'à ce que vous soyez satisfait. N'oubliez pas, si vous sentez mal à un moment, arrêtez.
Pour arrêtez, ouvrez les yeux et placer votre indicateur sur le "au revoir" ou ce que vous interprétez comme.
Si vous êtes plusieurs, vous devrez tous guider l'indicateur et vous accordez sur une question en respectant les étapes ci dessus.
Les premières tentatives se solderons souvent par des échecs, ne vous découragez pas :)
Généralement éviter de pratiquer le dimanche, les jours fériés religieux et les jours de pleines lunes (la lumière à tendance à diminuer vos chances.
Au contraire, pratiquez les jours de nouvelle lune et le vendredi augmentera vos chances.
#goth#dark academia#art#grunge#aesthetic#ouija#ouija board#witches#witch#occult#nécromancien#necromancer#wicca#wiccablr#witchblr#witchcraft#necromantia
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Les Enfants des Vergers
Botanomancie : plantes, bois, terre Zoomancie : métamorphose et communication animale, télépathie
Hiérarchie
⨳ ⨳ Lea Maître.sse Verdoyant.e et Lea Maître.esse Bestial.e : Les Enfants des Vergers ont la particularité d'être constamment dirigé.e.s par un couple mixte : un.e botanomancien.ne et un.e zoomancien.ne. Bien que cela ait déjà été le cas par le passé, la plupart des Maître.sse.s du Coven accèdent à cette place sans avoir de relation antérieure avec leur collègue.
⨳ L'Ancre des Serments : Ce.tte botanomancien.ne ou zoomancien.ne a la lourde tâche de désigner les prochain.e.s maître.sse.s du Coven, un.e parmi les botannomancien.ne.s et un.e parmi les zoomancien.ne.s. Iel part se recueillir un mois seul.e dans la nature, loin de tout.e sorcier.ère ou humain.e avant de revenir dans la société, son sixième sens purifié, lui permettant ainsi d'émettre un jugement limpide. Iel approuve ou désapprouve les unions des membres du coven.
⨳ Lea Chroniqueur.euse des Feuillage : Iel est lea plus érudit.e du coven. Toujours choisi.e parmi les botanomancien.ne.s, iel a la tâche de perpétuer les traditions ancestrales du coven aux divinité doubles. Les savoirs des Enfants des Vergers sont sous sa constante protection et surveillance : on les dit nichés entre les racines des plus vieux arbres de l'Hermitage de Braid et que ces derniers lui chuchote à l'oreille dès que quiconque s'en approche.
⨳ Lea Gardien.ne des Élixirs : Ce.tte botanomancien.ne aguerri.e prépare toute sorte d'onguents, de potions et de boissons spéciales destinées à être consommées lors des rituels de communion du coven, voire lors des grandes fêtes réunissant l'ensemble des sorcier.ère.s d'Edimbourg.
⨳ Lea Chercheur.euse des Essences Botaniques : Ce.tte botanomancien.ne travaille en étroite collaboration avec lea Gardien.ne des Élixirs. En effet, il faut bien que quelqu'un l'approvisionne en herbes magiques pour ses breuvages. Iel expérimente donc sur diverses plantes rares qu'iel fait pousser dans son jardin botanique privé.
⨳ Lea Mystique des Essaims : Ce.tte zoomancien.ne utilise le miel des abeilles avec qui iel a sympathisé à des fins médicinales ou rituelles. Iel se sert également des abeilles pour transmettre des messages aux autres membres du coven où qu’iels se trouvent, ou pour rassembler des informations sur l'environnement.
⨳ Lea Danseur.euse de l'Aube : Botanomancien.ne comme zoomancien.ne, tout ce qu'il lui faut c'est avoir le rythme dans les veines. Comme son nom l'indique, iel est lea meneur.se de toutes les danses rituelles. Rôle qui peut sembler dérisoire, pour ne pas dire digne d'un.e saltimbanque, les danses traditionnelles représentent pourtant un moyen de vénérer et de communier avec les divinités doubles capitales pour le Coven.
⨳ ⨳ Les Protecteurs des Voies Sylvestres : Ces zoomancien.ne.s sont en charge de la défense et de la la sécurité du coven et des espaces naturels de la ville. Souvent accompagné.e.s d'animaux prédateurs, iels préfèrent intimider qu'avoir à user de leurs compagnons. Iels sont essentiel.le.s pour repousser les attaques rapprochées et maintenir une distance de sécurité pour le Coven.
⨳ ⨳ ⨳ ⨳ Les Oracles des Bosquets : Iels sont les plus spirituels du Coven. Leur connexion avec les esprits de la nature est si forte qu'iels peuvent parfois communiquer avec. Par soucis d'équité, les Enfants des Vergers ont quatre représentants mystique, deux botanomancien.ne.s et deux zoomancien.ne.s.
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Les limites de la peur...
On a toujours tort de douter de la force de l'âme humaine : elle peut montrer des signes de faiblesse sur une courte période, mais pas sur le long terme. La célèbre phrase biblique ''Dieu a fait l'Homme à son image', qui doit évidemment être lue avec intelligence –une denrée qui devient rare, par les temps qui courent-- veut simplement dire qu'il y a en tout être humain un facteur inexplicable, indéchiffrable, insondable, qui le rattache à sa propre éternité et à des forces qui sont comme éternelles, d'une puissance iso-tellurique (comme ces survivants après 8 ou 10 jours sous les décombres, dans le froid glacial en Syrie, lors du séisme récent...).
Je pensais à ça hier, en lisant les ''unes'' des quotidiens, qui titraient, tous, sur le rejet de plus en plus massif des européens devant les conneries (il n'y a pas d'autre mot) de la grosse Commission de Mme von der Leyen –qui, dans son petit coin, si j'ose, prétend imposer des règlements contre nature et contre-intelligents à tout ce qui bouge. Les soi-disant grands esprits microscopiques (et surtout déraisonnables) de nos pseudo ''représentants'' –qui, une fois élus, ‘’roulent’’ pour eux et pour leurs idéologies assassines-- imposent à tous les normes de leur folie, et profitent de leurs pouvoirs coercitifs pour l'imposer au commun de mortels qui, sagement et intelligemment, n'en veut à aucun prix. Dans le cas présent, il s'agit de la mort des moteurs thermiques, que nos faux gaucho-écologistes ont décidée, tout seuls et contre tout bon sens. Ils appellent cette folie ''le tout électrique'' –ce qui est faux, le vrai nom étant : la mort programmée... puisqu'il n'y aura jamais assez de courant (déjà comme ça, ils nous inventent des coupures. Alors, imaginez la suite...), ni de matières dites ''rares''. Bref, on va droit dans le mur –seulement... il est en béton !
Depuis que cette énorme ‘’hollanderie’’ (une de plus !) a été émise, nous sommes vent debout... et je dois confesser que, devant la passivité de mes contemporains, j'ai douté, parfois... J'avais tort : le bon sens se repose parfois mais ne disparaît jamais. Le réveil est brutal : vos idioties, MM. les faux leaders/vrais prophètes de malheur, ne nous intéressent pas et nous n'en voulons à aucun prix. Remballez-les et foutez-nous la paix, sinon... pan-pan cucul -vous voilà prévenus. Le combat n'est pas encore entièrement remporté –la bête gaucho-progressiste n'est pas morte-- mais l'abandon pur et simple de cette absurdité (pas son report, fut-il sine die) est en bonne voie. Il était temps : on allait droit vers une de ces catastrophes qui surgissent chaque fois que des politicards incultes et stupides (tous le sont) mais endoctrinés et enrégimentés (trop le sont) veulent se mêler de quoi que ce soit...
Ma pensée s'est, de là, égarée vers des domaines comparables... et Dieu sait que nous n'en manquons pas : la seule chose où nos élus finissent toujours par nous surprendre, c'est leur capacité à générer des idées mortifères, des bêtises inutiles et des principes ébouriffants... Les temps derniers ont été ‘’tsunamiesques’’, en matière de très mauvaises idées qui nous ont été imposées en jouant sur et avec nos terreurs reptiliennes... C'est à croire qu'ils ne connaissent que ce vecteur pour plier l'humain à leur besoin pathologique de puissance... donc de soumission et d'obéissance de leurs semblables : ''Tu trembles de trouille... donc je suis'' !
Il semblerait vraiment que le monde actuel a atteint un degré de complexité tel que la nouvelle génération des ''leaders'' (tu parles ! Des ''leaders'' sans le plus petit ''leadership'' !) est bien incapable d'imaginer autre chose que de la trouille pour contraindre les ''ouailles'' à se plier docilement à leurs idéologies (car ils n'ont plus d'idées, ils n'ont que des systèmes idéologiques) dévastatrices, ravageuses, mortelles... mais sans ''Plan ''B'' ! Conséquence : que ce soit pour les énergies, l'auto, la mise au pas de tout ''déviant'' –qui devient ''complotiste'' s'il est individuel, et ''illibéral'' ou ''populiste'' si c'est un Etat... mais est insulté dans tous les cas-- tous les bobards qu'ils rêvent de nous imposer, contre nous, passent par la terreur : la terre va mourir, l'immigration est la seule planche de salut, le CO² va nous tuer, l'homme est mortel pour la planète, la maladie est là, qui nous épie, et ''ne pas se faire vacciner, c'est tuer les autres et mourir soi-même'' –au moment où ils pondent des lois qui rendent le suicide légal, permis et recommandé... Si vous doutez que nous soyons dirigés par des fous, attendez : vous serez très bientôt convaincus.
Prenons deux autres exemples d'actualité : le covid et le réchauffement climatique,. Ce sont deux problèmes réels qui sont posés à l'envers de tout ce qu'il faut faire, en dire et en penser. Et la terreur induite qui a donné vie à ces deux crises entièrement fabriquées a fini par se retourner contre eux... Commençons par le covid, d'abord, qui leur colle aux doigts comme le célèbre sparadrap du Capitaine Haddock...
Il est cruel de rappeler que, pour nous faire croire que la fin du monde était proche, ces Philippulus –pour rester dans l'univers de Tintin-- ont aligné des chiffres farfelus (le mot ''super-déconnants'' me vient, mais je leur laisse la violence : ils n’ont plus que ça !), présentés comme émanent de sources qu’ils disaient ''scientifiques'', comme si la science affirmait, tranchait, dictait des comportements... alors elle n'a pour utilité, vocation et raison d'être que douter, questionner, remettre en cause ! Avec 400 000 000 de morts annoncés, pour commencer... nos technocrates se sont couverts de … tout ce dont on a envie de les voir couverts, maintenant que sont vérifiés, validés et confirmés les dires de ceux qu'ils avaient affublé du titre –devenu très recherché, depuis-- de ''complotistes'', en disant, contre toute vérité, qu’ils seraient ''anti-vax''. Rarement le mot ''n'importe quoi'' n'a été aussi à sa place !
Il s'agissait d'un nouveau machin, fabriqué en Chine avec nos ''sous'' -- via un labo payé par l'INSERM avec la bénédiction de Buzyn (légionnaire d'honneur, depuis), qui allait connaître la vie de tout virus : des attaques fortes le temps que nos corps créent des armes de protection, puis après 2 ans environ, un comportement prévu –et annoncé ici-même dès tout début Mars 2021-- celui d'un virus de plus à ajouter à notre panoplie. C'est là que nous devrions en être arrivés si, prisonniers de leurs discours et de leurs erreurs passés, nos dirigeants ne se donnaient un mal ‘’de dingues’’ –comme dit l'autre-- pour nous maintenir la tête sous l'eau et écouler un peu de leur surstock de 9 millions de vaccins inutilement commandés par l'Europe, dans une débauche folle d'argent public et de prébendes. Diagnostic : ils sont fous !
Autre exemple ? Notre planète n’est pas un fleuve tranquille : elle vit, et elle connaît sans cesse des soubresauts, des hasards, et des chocs –thermiques ou autres--... avec lesquels on est bien forcé de vivre... ou de mourir. Mais notre temps, où les nouvelles circulent comme jamais, permet d'être informés ''en direct'' du moindre orage ''hors norme''. Des petits malins en veine de gloriole sinistre ont eu l'idée de bricoler des chiffres et des statistiques réels mais présentés de façon vicieusement biaisée pour bâtir une théorie à laquelle les cuistres, les naïfs, les pervers et, hélas, une majorité de braves gens ont cru, le ‘’réchauffement climatique dû à l’homme’’ (où on retrouve les moteurs thermiques et l'assassinat de notre parc nucléaire et donc notre appauvrissement actuel, réel, lui). Les arguments démontrant sans le moindre doute possible que nous avons été victimes de menteurs éhontés sont disponibles ou le deviennent, depuis peu, et il n'est donc plus besoin de s'étendre sur ces scandales gigantesques. Laissons chacun face à sa propre envie de savoir à quel degré il a été fait cocu par ceux qui clamaient vouloir le protéger et qui seront les seuls vrais complotistes, dans l'Histoire majuscule. Et c'est très bien comme ça.
Une dernière série de mensonges ''héneaurmes'' –pour parler comme Flaubert-- concerne tout ce qui tourne autour de l'Europe... ou plutôt autour de ce qu'est devenue, entre les mains des équarrisseurs au pouvoir, cette ancienne belle idée qu'aurait pu rester notre ''EUROPE'', mais la vraie, l'originale, celle de nos Pères Fondateurs. Mais en parler nous entraînerait trop loin pour la taille d’un de nos ''éditos'', et nous garderons donc cet autre ''scandale--issime'' pour un autre jour...
H-Cl.
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DIEU SE RÉVÈLE AUX HOMMES
#_Dieu_se_révèle_aux_hommes #Serge_Rossi Q_0813
Neuvième partie de l’article (9/12)
DIEU SE RÉVÈLE PAR DES MIRACLES ET DES PRODIGES ...
ORIGINE ET BUT DES MIRACLES
Quand nous cherchons l’origine du mot « miracle » nous trouvons le mot grec Thauma. Ce mot désigne un étonnement de voir se dérouler une chose merveilleuse.
Un miracle est une intervention divine qui ne s’harmonise pas aux lois de la nature terrestre, mais qui a la capacité de bouleverser ou de modifier le fonctionnement habituel des éléments de la terre ou de la vie de ceux qui sont témoins d’un miracle de Dieu.
Les Écritures témoignent qu’un grand nombre de miracles ont été réalisés par des anges, mais aussi par des hommes choisis par Dieu dont sa Volonté était se faire connaître aux hommes. Mais, quel est le but des miracles ? Beaucoup pensent que les miracles sont utilisés pour aider les individus en difficultés. En réalité, les miracles opérés par Dieu ont un autre but que les attentes humaines.
En effet, la manifestation des miracles et des prodiges a pour but de faire connaître aux nations la puissance et la gloire de Dieu, de rendre légitime les messagers qui enseignent de nouvelles révélations venant de Dieu afin de susciter la foi, ainsi que de favoriser l’utilité commune et l’édification dans le corps de Christ par des dons spirituels donnés par le Saint-Esprit :
Hébreux 2.1-4 : « [...] Car, si la Parole annoncée par des anges a eu son effet, et si toute transgression et toute désobéissance a reçu une juste rétribution, comment échapperons-nous en négligeant un si grand salut, qui, annoncé d’abord par le Seigneur, nous a été confirmé par ceux qui l’ont entendu, Dieu appuyant leur témoignage par des signes, des prodiges, et divers miracles, et par les dons du Saint-Esprit distribués selon sa Volonté ? »
Exode 14.15-18 : « L’Éternel dit à Moïse : Pourquoi ces cris ? Parle aux enfants d’Israël, et qu’ils marchent. Toi, lève la verge, étends ta main sur la mer, et fends-la, et les enfants d’Israël entreront au milieu de la mer à sec.
Et moi, je vais endurcir le coeur des Égyptiens, pour qu’ils y entrent après eux, et Pharaon et toute son armée, ses chars et ses cavaliers, feront éclater ma gloire. Et les Égyptiens sauront que je suis l’Éternel, quand Pharaon, ses chars et ses cavaliers, auront fait éclater ma gloire. »
LE MIRACLE DE LA CRÉATION DES CIEUX ET DE LA TERRE
Genèse 2.1-3 : « Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Dieu acheva au septième jour son oeuvre, qu’il avait faite, et il se reposa au septième jour de toute son oeuvre, qu’il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu’en ce jour il se reposa de toute son oeuvre qu’il avait créée en la faisant. »
La création des cieux et de la terre comme l’existence de la vie humaine est un miracle que Dieu a réalisé quand il n’y avait rien.
Le miracle opéré par Dieu de la création du monde avec l’homme et la femme créés à son image, constituent sa sagesse et sa puissance qui sont éternelles.
Les Écritures nous parlent de la colère de Dieu qui reproche aux hommes qui ont connu la nature divine et ses oeuvres, et qui, d’une part, ont choisi de marcher dans l’injustice en cachant la Vérité, et d’autre part, ont changé la Vérité de Dieu en mensonge en adorant et en servant la créature et en rejetant le créateur de toutes choses.
Lorsque nous parlons des miracles qui se trouvent dans les Écrits Bibliques, nous devons considérer en premier lieu la création des cieux et de la terre avec tout ce qu’elle contient depuis le commencement jusqu’à aujourd’hui, car elle demeure un témoignage permanent et vivant de la sagesse et de la puissance de Dieu à la vue des hommes :
Romains 1.18-21 : « La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la Vérité captive, car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu leur ayant fait connaître ...
En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages.
Ils sont donc inexcusables, puisque, ayant connu Dieu, ils ne Lui ont point rendu grâces, mais ils se sont égarés dans leurs pensées, ET leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. »
Romains 1.22-25 : « Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous, et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles.
C’est pourquoi Dieu les a livrés à l’impureté, selon les convoitises de leurs coeurs, en sorte qu’ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps, eux qui ont changé la Vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du créateur, qui est béni éternellement. Amen ! »
LES HOMMES QUI ONT FAIT DES MIRACLES ÉTAIENT CHOISIS PAR DIEU
Quand nous lisons les Écritures, nous voyons que ceux qui ont fait des miracles et des prodiges ont été choisis par Dieu. En fait, les hommes qui ont fait des miracles ne sont pas nombreux, car Dieu ne veut pas que l’on utilise sa puissance autrement que pour accomplir ses desseins parmi les nations.
Après la création des cieux et de la terre, Dieu a manifesté sa puissance par le déluge et la tour de Babel. Puis, il y a peu de manifestations miraculeuses de Dieu jusqu’à Moïse et Josué qui reçurent le pouvoir de faire des miracles devant le Pharaon d’Égypte, et plus tard, pour conquérir le pays de Canaan.
Les miracles opérés par Moïse attestèrent qu’il était un véritable prophète, le libérateur du peuple d’Israël de l’esclavage d’Égypte, et ceux qui ont été fait par Josué témoignent que Dieu a accompli sa promesse de l’héritage du pays de Canaan.
Au temps des Juges, Dieu s’est révélé autrement que par des miracles, même si on en trouve parfois dans l’histoire du juge Gédéon.
À l’époque des rois d’Israël, Dieu manifesta sa puissance par les prophètes Élie et Elisée, afin de ramener les Israélites à la loi de Dieu, car ils étaient devenus des idolâtres.
Quand le moment arriva d’instaurer la Nouvelle Alliance, et d'annoncer la Bonne Nouvelle du salut, Dieu envoya son Fils Jésus-Christ qui fera de nombreux miracles dans le pays d’Israël afin que beaucoup croient en Lui.
Les apôtres qui ont suivi l’enseignement de Jésus et qui ont été guidés par le Saint-Esprit firent également des miracles pour confirmer la Parole de l’Évangile, ainsi que des disciples qui avaient reçu le don de faire des miracles ou des guérisons selon la volonté du Saint-Esprit :
Jean 20.30-31 : « Jésus a fait encore, en présence de ses disciples, beaucoup d’autres miracles, qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ces choses ont été écrites afin que vous croyez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie en son nom. »
L'apôtre Pierre avait aussi compris que les signes et les miracles du Christ avaient pour rôle d’attester devant le peuple que Jésus était le Prophète annoncé par Moïse et le Messie tant attendu par Israël:
Actes 2.22-23 : « Hommes Israélites, écoutez ces paroles ! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu'il a opérés par Lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes, cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies. »
Pierre ramènera à la vie une femme nommée Tabitha qui avait été morte de maladie. Cette résurrection opérée par l’apôtre Pierre fut connu par les habitants de Joppé et provoqua la foi de beaucoup de personnes :
Actes 9.36-37 : « Il y avait à Joppé, parmi les disciples, une femme nommée Tabitha, ce qui signifie Dorcas, elle faisait beaucoup de bonnes oeuvres et d’aumônes. Elle tomba malade en ce temps-là, et mourut. »
Actes 9.36-42 : « Comme Lydde est près de Joppé, les disciples, ayant appris que Pierre s’y trouvait, envoyèrent deux hommes vers lui, pour le prier de venir chez eux sans tarder. Pierre se leva, et partit avec ces hommes. Lorsqu’il fut arrivé, on le conduisit dans la chambre haute.
[...] Pierre fit sortir tout le monde, se mit à genoux, et pria, puis se tournant vers le corps, il dit : Tabitha, lève-toi ! Elle ouvrit les yeux, et ayant vu Pierre, elle s’assit. Il lui donna la main, et la fit lever. Il appela ensuite les saints et les veuves, et la leur présenta vivante. Cela fut connu de tout Joppé, et beaucoup crurent au Seigneur. »
Au temps des apôtres, le Saint-Esprit distribuait des dons dans les assemblées parmi lesquels il y avait le don de guérison et celui d’opérer des miracles.
Ces dons étaient donnés par l’Esprit de Dieu pour l’édification et l’utilité commune des membres des assemblées chrétiennes :
I Corinthiens 12.7-10 : « Or, à chacun la manifestation de l’Esprit est donnée pour l’utilité commune. En effet, à l’un est donnée par l’Esprit une parole de sagesse, à un autre, une parole de connaissance, selon le même Esprit, à un autre, la foi, par le même Esprit, à un autre, le don des guérisons, par le même Esprit, à un autre, le don d’opérer des miracles. »
Les miracles et les prodiges étaient une preuve non pas d'un vrai chrétien, mais d'un apôtre authentique envoyé par le Seigneur :
Romains 15.18-19 cf. Actes 14.3 : « Car je n’oserais mentionner aucune chose que Christ n’ait pas faite par moi pour amener les païens à l’obéissance, par la Parole et par les actes, par la puissance des miracles et des prodiges, par la puissance de l’Esprit de Dieu. [...] »
II Corinthiens 12.12 : « Les preuves de mon apostolat ont éclaté au milieu de vous par une patience à toute épreuve, par des signes, des prodiges et des miracles. »
AUJOURD’HUI, DIEU SE RÉVÈLE-T-IL ENCORE PAR DES MIRACLES ?
Absolument, si nous vivons dans la sainteté et la piété, c’est-à-dire en se dépouillant de notre vieil homme, en faisant appel à la miséricorde de Dieu, en jeûnant, en faisant des aumônes envers les nécessiteux.
Si l’Écriture dit que la prière du juste est très efficace, il faut croire aussi qu’elle doit être conforme à la Volonté de Dieu et non à la nôtre. C’est pourquoi, notre demande peut avoir une réponse différente de celle que nous pourrions demander au Père.
Néanmoins, il faut constater qu’aujourd'hui, il n'y a plus de prophètes ni d'apôtres qui font des miracles et des prodiges en imposant leurs mains au nom du Seigneur, car il n'y a plus de nouvelles révélations de Dieu qui seraient attestées par des miracles.
Comme nous l’avons vu, les prophètes et les apôtres étaient choisis par Dieu pour accomplir une tâche particulière dans son dessein, et dans ce cas, il donnait sa puissance à ceux qu’il avait choisi.
Doit-on croire, aujourd’hui, qu’il existe sur la terre des hommes et des femmes qui font des miracles selon Volonté de Dieu pour confirmer ses desseins ? NON ! Même si nous croyons que le Saint-Esprit a le pouvoir d’en faire ... il faut accepter que nous ne sommes plus au temps des apôtres !
Désormais, ceux qui prétendent faire des miracles au nom de Jésus ne guérissent pas tous les malades et ne font pas les miracles semblables à ceux de Jésus, des apôtres et des prophètes comme nous les trouvons dans les Écritures.
Par exemple : Celui qui avait reçu le pouvoir de redonner la vue, il avait aussi le pouvoir d’enlever la vue. L’apôtre Paul avait enlevé la vue à Elymas le magicien !
Les thaumaturges actuels ont-ils le même pouvoir que les apôtres, comme celui de ressusciter les morts, ou de guérir toute sorte d’infirmités ? Prétendent-ils de faire des miracles pour confirmer l’Evangile ? :
Actes 13.8-12 : « Mais Elymas, le magicien, car c’est ce que signifie son nom, leur faisait opposition, cherchant à détourner de la foi le proconsul. Alors Saul, appelé aussi Paul, rempli du Saint-Esprit, fixa les regards sur lui, et dit : Homme plein de toute espèce de ruse et de fraude, fils du diable, ennemi de toute Justice, ne cesseras-tu point de pervertir les voies droites du Seigneur ?
Maintenant voici, la main du Seigneur est sur toi, tu seras aveugle, et pour un temps tu ne verras pas le soleil. Aussitôt l’obscurité et les ténèbres tombèrent sur lui, et il cherchait en tâtonnant, des personnes pour le guider. Alors le proconsul, voyant ce qui était arrivé, crut, étant frappé de la doctrine du Seigneur. »
Matthieu 4.23 : « Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la Bonne Nouvelle du Royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple. Sa renommée se répandit dans toute la Syrie, et on lui amenait tous ceux qui souffraient de maladies et de douleurs de divers genres, des démoniaques, les lunatiques, des paralytiques, et il les guérissait. »
Actes 5.12-14 : « Beaucoup de miracles et de prodiges se faisaient au milieu du peuple par les mains des apôtres. [...] Le nombre de ceux qui croyaient au Seigneur s’augmentait de plus en plus. [...] »
Au XXIème siècle, les chrétiens doivent faire preuve de vigilance, quand on leur dit qu’il existe des miracles et des guérisons dans certaines dénominations ou quand ils sont en présence de gens qui croient faire des miracles au nom de Jésus-Christ par l’imposition de leurs mains.
Pour conforter notre vigilance qui affermira certainement notre discernement du monde des ténèbres, nous avons un enseignement dans les Écritures que nous devons retenir, afin de ne pas nous laisser emporter par toute sorte de fausses doctrines et de prodiges mensongers.
VOICI CES PRINCIPES À RETENIR ! :
- LE DIABLE IMITE DIEU EN FAISANT AUSSI DES MIRACLES ET DES PRODIGES MENSONGERS
II Thessaloniciens 2.9-10 : « L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l’iniquité pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la Vérité pour être sauvés. »
- DISCERNER LES OEUVRES DES FAUX PROPHÈTES ET DES FAUX DOCTEURS
Matthieu 7.15-17 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au-dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Tout bon arbre porte de bon fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. [...] »
- FAIRE LA VOLONTÉ DE DIEU EST LA SEULE GARANTIE D’ENTRER DANS LE ROYAUME DE DIEU
Matthieu 7.21-23 : « Ce qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le Royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la Volonté de mon Père qui est dans les cieux.
Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N’avons-nous pas chassé les démons par ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. »
- ÉPROUVER LES ESPRITS POUR SAVOIR S’ILS SONT DE DIEU OU DU MONDE
I Jean 4.1-3 : « Bien-aimés, n’ajoutez pas foi à tout esprit, mais éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.
Reconnaissez à ceci l’Esprit de Dieu : Tout esprit qui confesse Jésus-Christ venu en chair est de Dieu, et tout esprit qui ne confesse pas Jésus n’est pas de Dieu, c’est celui de l’Antéchrist, dont vous avez appris la venue, et qui maintenant est déjà dans le monde. »
I Jean 4.4-6 : « Vous, petits-enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. Eux, ils sont du monde, c’est pourquoi ils parlent d’après le monde, et le monde les écoute.
Nous, nous sommes de Dieu, celui qui connaît Dieu nous écoute, celui qui n’est pas de Dieu ne nous écoute pas, c’est par là que nous connaissons l’esprit de la Vérité et l’esprit de l’erreur. »
Aujourd'hui, c'est un enseignement fidèle aux Écritures qui atteste un véritable enseignant de l’Église comme venant de Dieu, et non pas celui qui a la prétention de faire des miracles au nom du Seigneur.
De nos jours, lorsque l'on veut savoir si un pasteur vient de Dieu, nous ne devons pas nous attendre à des miracles, mais plutôt être comme les chrétiens de Bérée qui « examinaient chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact. » Actes 17.11
Prochainement dixième partie de Dieu se révèle aux hommes
Serge Rossi
Prédicateur et évangéliste
Groupe privé : MARCHONS PAR LA FOI
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Note : Cliquez toujours sur le dièse (#) du titre d'une leçon AFIN D'A
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Groupe public : Assemblée de l'Église du Christ, Ste Foy, Québec
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INDEX alphabétisé d'Études Bibliques :
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INDEX alphabétisé de Chants :
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« Toutes les Églises du Christ vous saluent. » Romains 16.16
https://www.eglise-du-christ.org/
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Mon Dieu ! des mœurs du temps mettons-nous
moins en peine
Et faisons un peu grâce à la nature humaine
Ne l'examinons point dans la grande rigueur,
Et voyons ses défauts avec quelque douceur.
Il faut, parmi le monde, une vertu traitable ;
À force de sagesse on peut être blâmable
La parfaite raison fuit toute extrémité,
Et veut que l'on soit sage avec sobriété.
Cette grande roideur des vertus des vieux âges
Heurte trop notre siècle et les communs usages,
Elle veut aux mortels trop de perfection.
Il faut fléchir au temps, sans obstination ;
Et c'est une folie, à nulle autre seconde,
De vouloir se mêler de corriger le monde.
J'observe, comme vous, cent choses, tous les
jours,
Qui pourraient mieux aller, prenant un autre
cours ;
Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître.
Un courroux, comme vous, on ne me voit point
être.
Je prends tout doucement les hommes comme ils sont :
J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font ; Et je crois qu'à la Cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile.
ALCESTE
Mais ce flegme, monsieur, qui raisonne si bien, Ce flegme pourra-t-il ne s'échauffer de rien ? Et s'il faut, par hasard, qu'un ami vous trahisse, Que pour avoir vos biens on dresse un artifice, Ou qu'on tâche à semer de méchants bruits de vous,
Verrez-vous tout cela sans vous mettre en courroux ?
PHILINTE
Oui : je vois ces défauts, dont votre âme murmure,
Comme vices unis à l'humaine nature ; Et mon esprit enfin n'est pas plus offensé De voir un homme fourbe, injuste, intéressé, Que de voir des vautours affamés de carnage, Des singes malfaisants et des loups pleins de rage.
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STRIGOI VII, SABBATHS, KITRA ET MRADU, LUNE BLANCHE ET NOIRE, SORCELLERIE
Comparing Chaos Magic and Strigoi Vii
SV
Montre moi points communs et différences entre Magie du Chaos et Strigoi Vii
Voici une comparaison entre la Magie du Chaos et les Strigoi Vii, en prenant soin de ne pas reproduire de contenu protégé par des droits d'auteur :
Points communs :
Systèmes magiques non traditionnels : Les deux approches s'écartent des systèmes magiques plus établis et conventionnels.
Individualité : Elles mettent l'accent sur l'expérience personnelle et l'interprétation individuelle des pratiques magiques.
Éclectisme : Les deux systèmes empruntent des éléments à diverses traditions et encouragent l'expérimentation.
Rejet des dogmes : Ils remettent en question les croyances établies et les structures rigides des systèmes magiques traditionnels.
Différences :
Origines :
Les Strigoi Vii ont des racines dans le vampirisme spirituel et l'occultisme roumain.
Philosophie centrale :
La Magie du Chaos met l'accent sur la croyance comme outil et l'absence de vérité absolue.
Les Strigoi Vii se concentrent sur l'énergie vitale et les pratiques vampiriques spirituelles.
Pratiques :
La Magie du Chaos utilise des techniques variées, souvent improvisées ou personnalisées.
Les Strigoi Vii ont des pratiques spécifiques liées à l'absorption et la manipulation de l'énergie.
Symbolisme :
La Magie du Chaos utilise des symboles créés par le praticien ou empruntés à diverses sources.
Les Strigoi Vii ont un symbolisme plus spécifique lié au vampirisme et à la mythologie roumaine.
Objectifs :
La Magie du Chaos vise souvent la réalisation de désirs personnels et la transformation de la réalité.
Les Strigoi Vii cherchent généralement l'évolution spirituelle à travers des pratiques vampiriques.
Comment pratiquer la Wicca STREGHERIA?
La Stregheria, également connue sous le nom de Stregoneria ou sorcellerie italienne, est une forme de Wicca influencée par les traditions magiques italiennes. Voici un aperçu de certaines pratiques courantes de la Stregheria, en gardant à l'esprit que les pratiques spécifiques peuvent varier selon les traditions et les praticiens individuels :
Étude des traditions :
Apprenez l'histoire et les mythes de la sorcellerie italienne.
Familiarisez-vous avec les divinités italiennes, notamment Aradia et Diana.
Rituels et célébrations :
Observez les sabbats wiccans et les phases lunaires.
Célébrez des fêtes spécifiques à la tradition italienne.
Pratiques magiques :
Utilisez des herbes et des plantes dans vos sorts et rituels.
Apprenez à travailler avec les éléments naturels.
Outils rituels :
Utilisez des outils traditionnels comme la baguette, le couteau rituel (athame), et le chaudron.
Créez ou consacrez vos propres outils magiques.
Méditation et travail énergétique :
Pratiquez la visualisation et les techniques de méditation.
Apprenez à manipuler l'énergie personnelle et environnementale.
Divination :
Explorez des méthodes de divination comme les tarots ou la lecture des runes.
Création d'un autel :
Établissez un espace sacré pour vos pratiques.
Incluez des symboles et des objets significatifs pour vous et la tradition.
Travail avec les esprits et les ancêtres :
Honorez vos ancêtres et les esprits de la nature.
Apprenez à communiquer avec le monde spirituel.
Éthique et philosophie :
Étudiez et respectez les principes éthiques de la Wicca et de la Stregheria.
Communauté et apprentissage :
Si possible, joignez-vous à un coven ou un groupe d'étude.
Lisez des ouvrages sur la Stregheria et la Wicca italienne.
Pratique personnelle :
Tenez un journal de vos expériences et apprentissages.
Développez votre propre connexion spirituelle avec la tradition.
Rappelez-vous que la spiritualité est un chemin personnel. Il est important d'adapter ces pratiques à votre propre compréhension et intuition, tout en respectant les traditions de base.
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Jude
1 Jude, serviteur de Jésus Christ, et frère de Jacques, à ceux qui ont été appelés, qui sont aimés en Dieu le Père, et gardés pour Jésus Christ:
2 que la miséricorde, la paix et la charité vous soient multipliées!
3 Bien aimés, comme je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.
4 Car il s'est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps, des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dissolution, et qui renient notre seul maître et Seigneur Jésus Christ.
5 Je veux vous rappeler, à vous qui savez fort bien toutes ces choses, que le Seigneur, après avoir sauvé le peuple et l'avoir tiré du pays d'Égypte, fit ensuite périr les incrédules;
6 qu'il a réservé pour le jugement du grand jour, enchaînés éternellement par les ténèbres, les anges qui n'ont pas gardé leur dignité, mais qui ont abandonné leur propre demeure;
7 que Sodome et Gomorrhe et les villes voisines, qui se livrèrent comme eux à l'impudicité et à des vices contre nature, sont données en exemple, subissant la peine d'un feu éternel.
8 Malgré cela, ces hommes aussi, entraînés par leurs rêveries, souillent pareillement leur chair, méprisent l'autorité et injurient les gloires.
9 Or, l'archange Michel, lorsqu'il contestait avec le diable et lui disputait le corps de Moïse, n'osa pas porter contre lui un jugement injurieux, mais il dit: Que le Seigneur te réprime!
10 Eux, au contraire, ils parlent d'une manière injurieuse de ce qu'ils ignorent, et ils se corrompent dans ce qu'ils savent naturellement comme les brutes.
11 Malheur à eux! car ils ont suivi la voie de Caïn, ils se sont jetés pour un salaire dans l'égarement de Balaam, ils se sont perdus par la révolte de Coré.
12 Ce sont des écueils dans vos agapes, faisant impudemment bonne chère, se repaissant eux-mêmes. Ce sont des nuées sans eau, poussées par les vents; des arbres d'automne sans fruits, deux fois morts, déracinés;
13 des vagues furieuses de la mer, rejetant l'écume de leurs impuretés; des astres errants, auxquels l'obscurité des ténèbres est réservée pour l'éternité.
14 C'est aussi pour eux qu'Énoch, le septième depuis Adam, a prophétisé en ces termes: Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades,
15 pour exercer un jugement contre tous, et pour faire rendre compte à tous les impies parmi eux de tous les actes d'impiété qu'ils ont commis et de toutes les paroles injurieuses qu'ont proférées contre lui des pécheurs impies.
16 Ce sont des gens qui murmurent, qui se plaignent de leur sort, qui marchent selon leurs convoitises, qui ont à la bouche des paroles hautaines, qui admirent les personnes par motif d'intérêt.
17 Mais vous, bien-aimés, souvenez-vous des choses annoncées d'avance par les apôtres de notre Seigneur Jésus Christ.
18 Ils vous disaient qu'au dernier temps il y aurait des moqueurs, marchant selon leurs convoitises impies;
19 ce sont ceux qui provoquent des divisions, hommes sensuels, n'ayant pas l'esprit.
20 Pour vous, bien-aimés, vous édifiant vous-mêmes sur votre très sainte foi, et priant par le Saint Esprit,
21 maintenez-vous dans l'amour de Dieu, en attendant la miséricorde de notre Seigneur Jésus Christ pour la vie éternelle.
22 Reprenez les uns, ceux qui contestent;
23 sauvez-en d'autres en les arrachant du feu; et pour d'autres encore, ayez une pitié mêlée de crainte, haïssant jusqu'à la tunique souillée par la chair.
24 Or, à celui qui peut vous préserver de toute chute et vous faire paraître devant sa gloire irrépréhensibles et dans l'allégresse,
25 à Dieu seul, notre Sauveur, par Jésus Christ notre Seigneur, soient gloire, majesté, force et puissance, dès avant tous les temps, et maintenant, et dans tous les siècles! Amen!
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Particularités innées - troisième œil
HÉRÉDITÉ ‧₊˚ Particularité se voulant génétique, être oracle signifie avoir un ancêtre possédant le don du troisième œil dans son arbre généalogique. L’héritage n’est toutefois pas systématique et il est fréquent que des générations sautent, la nature de la divination elle-même n’étant pas forcément celle de sa·on prédécesseur·se mais bien liée à sa personne propre. Ainsi le don d’oracle peut remonter à son père comme à son arrière arrière arrière grand-mère, tout comme ces derniers peuvent être affiliés au sang quand l'affinité du/de la descendant·e va à la lumière.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Possédant un instinct peu commun, l’oracle est parcouru·e de visions passées et futures d’une clarté et longévité variable suivant le niveau de maîtrise. Le déclencheur est propre à chacun·e, allant des cartes à la boule de cristal en passant par le toucher, tout comme la nature de la vision, certain·e·s entrant en transe tandis que d’autres le voient en rêve. La voyance n’est toutefois pas la seule corde à leur arc, maîtrisant également divers rituels, malédictions et bénédictions.
Les oracles appartenant à quatre ordres distincts, c’est l’affinité magique qu’iels possèdent qui les répartit dans l’un d’eux. A savoir qu’on ne peut changer d’inclination, celle-ci intrinsèquement liée à nous, à moins que notre nature profonde soit drastiquement altérée comme par exemple, avec une transformation vampirique.⭢ Les oracles de sang pratiquent l'hématomancie, l'utilisant pour leurs rites et traditionnellement en pacte avec des vampires. Iels sont à l’origine de leurs artéfacts familiaux, le sang du/de la voyant·e encapsulé magiquement dans une boucle d’oreille leur permettant de sortir à la lumière du jour. Iels acquièrent en contrepartie longévité et pouvoirs renforcés. ⭢ Les oracles nocturnes s’en remettent aux astres et lisent l’avenir dans le ciel, traditionnellement lié·e·s aux loups. Iels sont les seuls capables de pouvoir soigner une morsure, amenant à une transformation et non à la mort. Iels se chargent également du tatouage rituel permettant d’apaiser la cicatrice, encre mêlée à la poussière d’étoile et baignée par la pleine lune. Iels adoucissent ainsi le quotidien des loups tous les quarts d’année, la meute tatouée ensemble pour favoriser le partage d’énergie. ⭢ Les oracles de lumière sont attiré·e·s par l’astre solaire, ses rayons leur permettant d’entendre les chuchotis du monde, hypothèses ou certitudes fredonnées dans leurs esprits et s’y implantant. Iels sont traditionnellement affilié·e·s aux daemonis qu’iels apaisent dans leur inéluctable sentiment d’insatisfaction en faisant brûler sur leur piqûre un encens dont les vapeurs les font divaguer des heures durant. ⭢ Les oracles de la terre, autrefois voué·e·s à n'avoir aucune spécificité, souffrant d’un mal-être physique indéfinissable, se sont trouvé·e·s à l’éclosion de la brèche. Une fois en contact avec les particules de l’explosion appartenant aux créatures maltraitées, la souffrance devint limpide, échos de leurs appels à l’aide désespérés. Leur affinité éveillée par ce biais, iels sont relié·e·s aux non mages contaminé·e·s qu’iels peuvent aider à se contrôler via la création de canaux d'énergie magique nécessaire à leur santé, les particules ne cessant de les calciner. La potion qu'iels préparent à l'aide de rituels, nommée Shadowbane, leur permet également de limiter la souffrance infligée aux Tracés. Iels perçoivent aussi les pertes de contrôle futures de celleux n’ayant encore aucune marque, et alertent les traceurs du danger.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Suscitant l’intérêt des sorcier·e·s et plus encore du ministère car capables de "dompter" les fléaux, nécessaires à leur survie, iels sont très demandé·e·s et apprécié·e·s par la société. On ne peut toutefois s’empêcher d’éprouver un peu de crainte à leur contact, ces derniers délivrant autant un avenir parfois défavorable que possédant l’habilité de maudire son prochain.
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Le Tandem Malsain : "Politicisme" vs "Économisme".
Au niveau des "dispositions d'esprit", ce pays est marqué par deux extrêmes qui laissent un goût d'amertume.
D'une part, un politicisme qui se vante même de marginaliser les questions d'ordre économique et social sous prétexte que cela nous éloigne du sérieux, du viril et de l'effectif.
Ce politicisme, prenant une multitude de formes, nourrit les plus philistins des soupçons envers toute analyse économique, présupposant qu'une telle analyse ne serait que de la poudre aux yeux cherchant à détourner les esprits de la voie politique authentique, la seule capable de capter l'élan et de mettre en marche les enjeux principaux.
Le volet économique ne serait ainsi qu'un épiphénomène qui doit constamment être rappelé à sa place subalterne, à son rang de valet de chambre, sous peine de perdre en rigueur dans l'approche et de renoncer à toute emprise sur la dynamique réelle qui se joue ailleurs.
En revanche, un économisme étriqué et méprisable réduit tout à la cupidité et à la malhonnêteté orchestrées par un groupe de banquiers et leurs acolytes au sein de la classe politique.
Cet économisme est encore plus populiste que le pire des politicismes. Tout comme ce dernier, il néglige toute étude et toute réflexion sur les liens sociaux ainsi que sur les rapports sociaux.
Pour les adeptes de cette manière de s'empêcher de penser, la base sociale est soit passive et démoralisée si elle n'adhère pas à leurs absurdités, soit considérée comme un peuple révolutionnaire authentique si elle se laisse influencer par leurs schémas simplistes et leurs formules désespérées.
Tous deux, le politicisme et l'économisme, dénigrent simultanément l'analyse des classes sociales et de la lutte des classes, même si c'est avec des formulations différentes.
C'est que les promoteurs de l'économisme au sein de la gauche, engagés dans une bataille contre les moulins à vent du néolibéralisme, cherchent toutefois à reprendre la rhétorique, voire plutôt la lyrique de la lutte des classes, mais épurée tant des classes sociales que des luttes réelles. Ils optent davantage pour l'adoption du concept du "99% contre 1%", ce qui relève en réalité d'une mascarade envers la tradition marxiste.
Dans le cadre du marxisme, les polarisations et les tensions se manifestent au sein de la société elle-même, plutôt qu'ailleurs. Cela implique que la société ne peut jamais être réduite à une seule classe commune, en excluant la classe dominante de la dynamique sociale comme si elle était extérieure à la société. Bien sûr, si un noyau dur de l'oligarchie représentant 1% de la population existe, il serait probablement accompagné par 10 à 20% de la population ayant des intérêts de classe réels qui les différencient foncièrement des classes populaires. Cela ne peut être uniquement attribué à la manipulation, aux mensonges, ou même à l'explication simpliste du "clientélisme", un terme qui isolément ne porte que peu de signification.
L'économisme , particulièrement celui qui s'exprime au sein de la gauche, c'est en réalité du pipeau, un flan de populisme.
Cependant, encore une fois, il s'agit d'un populisme élitiste, condamné à rester éternellement à l'écart de tout véritable épanouissement en accord avec les masses, de tout cheminement vers une "ligne des masses". C'est de l'économisme de malfrat, morne à en crever.
L'économisme qui se limite à expliquer toute prise de distance par rapport aux enjeux économiques comme un simple égarement causé par une manipulation suscitée par un intérêt économique reflète une vision étroite de l'économie elle-même.
En reléguant les impulsions et fantasmes, l'économisme, la pire des idéologies pour un marxiste conséquent, réduit l'économie à des besoins à satisfaire ou à une activité à empêcher de stagner.
La dualité de l'homme entre sa nature éphémère et son désir de durabilité ne sous-entend pas qu'il est divisé en deux. Il est constamment à la fois les deux aspects. Lorsqu'il réfléchit à ses besoins quotidiens, il garde simultanément à l'esprit sa propre mortalité et celle des autres. Il ne segmente pas son temps entre ces deux pensées, ne dédiant pas une heure à satisfaire ses besoins et une autre à faire le deuil de sa mort future.
L'exclusion des soucis existentiels, ainsi que des pulsions et des fantasmes liée à la double condition antinomique de l'homme du domaine économique, ainsi que l'arrogance de l'économisme qui imagine un monde où seuls les sujets économiques sont discutés en dehors des heures de loisir, relève en réalité de la tromperie et de la duperie.
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EvasHair ou les secrets d’une belle chevelure
Raiponce n’a qu’à bien se tenir ! Les secrets de beauté d’une longue chevelure vigoureuse nous sont enfin dévoilés si l’on en croit la formidable histoire d’Eva. Mais quelle est donc la formule magique de cette entrepreneuse à l’initiative des soins pour cheveux EvasHair ? Ouvrons plutôt le livre de sa vie... capillaire ! L’huile de ricin noire d’Haïti ou lwil maskriti Petite île nichée au cœur des Caraïbes, Haïti a bien des trésors enfouis dans la nature luxuriante qui l’entoure. Tout commence dans l’arrière-cour du grand-père d’Eva dans le village de Piton. Au milieu d’un paysage verdoyant, toute la famille est au fourneau pour une recette des plus captivantes. L’ingrédient principal : les graines de ricin. Ces graines proviennent d’un arbre appelé couramment ricin commun. On en extrait une huile végétale prodigieuse : l’huile de ricin noire d’Haïti. Appelée lwil maskriti en créole haïtien, on la nomme également lwil palma kristi dans les Antilles-Guyane. Ce produit naturel s'obtient par un procédé traditionnel ancestral. Reconnu pour ses multiples bienfaits, on l’utilise essentiellement pour le soin des cheveux. La formule beauté de EvasHair pour des cheveux en bonne santé Comme beaucoup de femmes françaises d’origine afro-caribéenne, Eva s’est très vite posée la question de l’entretien de ses cheveux. En effet, les cheveux crépus demandent une attention particulière par sa nature plus fragile que les cheveux lisses. Il est souvent sec et déshydraté car il produit peu de sébum. Ce qui le rend cassant sous le climat tempéré occidental. Lorsqu’elle fut en âge de se coiffer toute seule, Eva a très vite mesuré l’ampleur de la tâche. A voir : Créez un chignon de mariage original et surprenez vos invités Puis, sujette à de fortes chutes de cheveux, elle en est arrivée au point de tout couper après plusieurs tentatives de traitements en tout genre. C’est alors qu’elle se souvient des recettes familiales de son enfance. Pour Eva, ce sera un vrai retour aux sources après plusieurs méthodes infructueuses. Lwil maskriti retentit alors comme une formule magique ! EvasHair : un procédé artisanal pour une huile de qualité L’huile de ricin noire est appelée également huile de carapate. À Haïti, elle est élaborée par EvasHair dans le plus grand respect de la tradition haïtienne. Dans les cuisines des grands-parents d’Eva, les graines sont d’abord récoltées à l’état brut puis triées afin de les purifier de tout résidu. Elles sont ensuite grillées au feu de bois puis pressées dans un mortier en une pâte lisse et homogène à l’aide d’un pilon. La grand-mère d’Eva utilise également un moulin artisanal avec lequel on obtient des résultats plus rapidement. Pour finir, elles sont torréfiées jusqu'à obtenir une huile de couleur ambrée à la délicieuse odeur de noisette. La légende veut que tout passant dans l’arrière-cour participe à la préparation de lwil maskriti. Ceci, afin de déjouer le sort de tout esprit mal intentionné qui passerait trop près du chaudron et influerait sur son contenu... Les belles retombées d'une huile prodigieuse Pour cette huile qui contient 30 fois plus de polyphénols que l’huile de ricin classique, le procédé de fabrication artisanale permet de conserver tous ses nutriments et vitamines. Riche en oméga 3, 6 et 9, elle contient de la vitamine E ainsi que de l’acide ricinoléique. Après une utilisation régulière de cette huile extraordinaire, le miracle opère : Eva retrouve une magnifique chevelure qui suscite l’admiration de tous. Aujourd'hui, la demande est telle qu’Eva a créé une coopérative familiale et travaille avec des agriculteurs locaux dans le cadre d’un commerce équitable. Une relance économique nécessaire pour cette petite région rurale qui permet ainsi à beaucoup d’enfants d’aller à l’école. L'huile de ricin noire d'Haïti ou lwil maskriti EvasHair pour la croissance et la beauté de vos cheveux. EvasHair propose des produits pour tous les types de cheveux Des campagnes créoles d’Haïti au reste du monde, EvasHair révolutionne toutes les routines capillaires ! Hydratante et nourrissante, lwil maskriti favorise la pousse et l'épaississement de tous les types de cheveux. Elle traite également les cheveux secs, cassants et dévitalisés ainsi que les cuirs chevelus irrités et pelliculeux. Son utilisation se diversifie également pour les cils et les sourcils ou encore pour l'entretien de la barbe des messieurs. A voir : Visage rond : les coupes de cheveux qui vous sublimeront Sur la peau on l'utilisera comme démaquillants ou en soin anti-rides. Recommandée pour les massages, elle va apaiser les tensions musculaires, les douleurs abdominales et soulager les états grippaux. La tradition veut que tout bon haïtien emporte partout avec lui cette huile multifonction ! À l’heure des extensions, tissages et autres wigs, une alternative naturelle semble nous être offerte pour arborer une crinière de reine. Alors, seriez-vous tentée à votre tour d'écrire une nouvelle page de votre histoire ? Read the full article
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Évangile de Jésus-Christ selon Saint Mathieu 28,16-20
En ce temps-là,
16 « les onze disciples s’en allèrent en Galilée, à la montagne où Jésus leur avait ordonné de se rendre.
17 Quand ils le virent, ils se prosternèrent, mais certains eurent des doutes.
18 Jésus s’approcha d’eux et leur adressa ces paroles : « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre.
19 Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit,
20 apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. »
Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Mt 28,19-20
« Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. » (Mt 28,19-20) Aussitôt après la Résurrection, voici le très bref discours d’adieu de Jésus. Cela se passe en Galilée qu’on appelait couramment le « carrefour des païens », la « Galilée des nations » ; car désormais la mission des Apôtres concerne « toutes les nations ». Curieusement, ils n’ont l’air qu’à moitié préparés à cette mission ! Si Jésus était un chef d’entreprise, il ne pourrait pas prendre le risque de confier la suite de son affaire à des collaborateurs comme ceux-là : des collaborateurs qui semblent bien ne pas avoir assimilé toute la formation qu’il leur a assurée pendant tout le temps de sa vie publique. Ils font erreur sur l’objectif, sur les délais, sur la nature de l’entreprise. Ils vont même jusqu’à douter de la réalité qu’ils sont en train de vivre ; puisque Matthieu dit clairement « Certains eurent des doutes ». La mission qui leur est confiée et qui est pleine de risques est de promouvoir un message qui les surprend encore. Il s’agit de la communication entre Dieu et les hommes. Celui qui est venu en allumer l’étincelle confie à ses disciples le soin d’en répandre le feu, « Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. » Nous n’avons pas souvent l’occasion de nous arrêter sur cette formule extraordinaire de notre foi. Première formulation du mystère de la Trinité : l’expression « Au nom de », très habituelle dans la Bible, signifie qu’il s’agit bien d’un seul Dieu ; en même temps les trois Personnes sont nommées et bien distinctes : « Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. » Si l’on se souvient que le NOM, dans la Bible, c’est la personne, et que baptiser veut dire étymologiquement « plonger », cela veut dire que le Baptême nous plonge littéralement dans la Trinité. On comprend l’ordre express de Jésus à ses disciples « Allez ! », il y a urgence. En même temps, il faut bien dire que cette formule, si habituelle pour nous aujourd’hui, était pour la génération du Christ une véritable révolution ! À preuve, quand les apôtres, Pierre et Jean, ont guéri le boiteux de la Belle Porte (Ac 3 et 4), les autorités leur ont aussitôt demandé « Par quelle puissance, par le nom de qui avez-vous fait cette guérison ? » (Ac 4,7) : parce qu’il n’était pas permis d’invoquer un autre nom que celui de Dieu. Jésus parle bien de Dieu, mais sa phrase cite trois personnes, or Dieu était unique, les prophètes l’avaient assez dit. L’incompréhension des Juifs pour les fidèles du Christ est inscrite ici, la persécution était inévitable. Jésus le sait, qui les a prévenus le dernier soir : « On vous exclura des assemblées. Bien plus, l’heure vient où ceux qui vous tueront s’imagineront qu’ils rendent un culte à Dieu » (Jn 16,2-3). La mission confiée aux apôtres s’apparente bien à une folie ; mais ils ne sont pas seuls, et cela, il ne faut jamais l’oublier : dans la mesure où notre engagement n’est pas le nôtre, mais le sien, nous n’avons pas de raison de nous inquiéter des résultats : « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre. Allez ! »… En d’autres termes, c’est nous qui allons, mais c’est lui qui a tout pouvoir… À elle toute seule, cette petite phrase est un résumé extraordinaire de la vie du Christ. Ce pouvoir que Jésus n’a pas revendiqué, n’a pas acheté, lui est donné par son Père. Et, désormais, ce pouvoir est entre nos mains ! À nous d’y croire… « Allez ! Et moi, ajoute Jésus, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. » Le Dieu de la Présence révélé à Moïse au buisson ardent, l’Emmanuel (ce qui signifie « Dieu avec nous ») promis par Isaïe ne font qu’un dans l’Esprit d’amour qui les unit. À nous désormais de révéler au monde cette présence aimante du Dieu-Trinité. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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''L'homme nouveau'' : une idée fixe, à gauche...
Depuis quelques semaines, nous tournons autour du pot, sans oser attaquer le sujet de front mais en sachant parfaitement que nous ne couperons pas à nous y attaquer un jour : toute notre problématique actuelle, apparemment insurmontable, tourne autour d'une seule question, fondamentale en deux parties : ''Quelle idée nous faisons-nous de l'Homme, de son statut actuel, de sa nature, de son futur, et de sa raison d'être ?''... et ''Quelle conception de l'Homme –s'il y en a une-- véhicule l'idéologie dominante dans nos sociétés dites occidentales ?''.
''De tout temps, l'Homme'' (écrivions-nous dans nos dissertations, au désespoir de nos maîtres) a eu besoin de se définir par rapport à son environnement et, animal spirituel s'il en est, a cherché à se ''doter'' d'un futur qui corresponde à ses aspirations secrètes. Les périodes les plus reculées de l'Historiographie reposent toutes sur l'existence de super-hommes et de surhommes que l'on désignait par dieux et demi-dieux, qui étaient autant d'exemples à suivre et à imiter. ''On devient ce que l'on rêve d'être'', disait la sagesse des nations...
Cette manière multi-séculaire d'envisager ''la place de l'Homme dans l'Univers'' a jusqu'à récemment permis de répondre à à peu près tous les problèmes posés. Même le cinéma hollywoodien a su s'adapter à cette exigence et nous a saturés de super héros, parfois venus d'autres galaxies ou bricolés par des savants improbables, de Tarzan à Superman ou –le plus récent-- Harry Potter : l'Homme est tout entier dans ce besoin de sublimation, et même l'Eglise nous a offert quantité de Saints et d'exemples à suivre... Pendant ce temps, les esprits qui allaient donner naissance à la pensée ''de Gauche'' se gavaient de faux grands hommes (Robespierre, Saint Just, Lénine, Mao, Ho Chi Minh, Tito…) à ne surtout pas imiter, eux ! Cela –comme tout le reste-- a fonctionné plutôt pas trop mal, jusque... il n'y a pas longtemps.
L'évolution vers un sens favorable à l'économie et aux concepts abstraits a lentement effacé les anciens ''rôles'' dévolus à l'humanité et nous a peu à peu corrompus vers une croyance (sans cesse démontrée perverse, mais subsistant envers et contre tout) que l'Homme ne serait qu'un véhicule interchangeable d'utilitarisme, d'individualisme et d'économisme... qui lui interdisent d'apercevoir ses propres limites, le pourquoi de son présent, son futur et un possible devenir eschatologique... . En somme, les idéologies dominantes (que j'affirme ''intrinsèquement perverses'') tentent de nous persuader que l'Homme ne serait mené que par le calcul, l'intérêt et la mise en œuvre de croyances sociologiques (toutes fausses, mais dont on nous fait croire qu'elles seraient dans le sens d'une histoire inventée, trafiquée, et réécrite, ad nauseam).
Le modèle unique de toute l'humanité se retrouve ratatiné à un ''Homo œconomicus''qui réduit toutes les valeurs à leur évaluation comptable. Et celles qui n'entrent pas dans ce moule (la foi, la générosité, le don de soi, la gratuité...) doivent être exfiltrées du système, moquées, niées, bafouées. A l'inverse de tout le jargon et de toute la phraséologie à la mode, le comportement individuel ou collectif n'a plus aucun lien de cause à effet avec le sens du devoir ou telle règle morale, mais découle exclusivement de l'intérêt de chacun... tel qu'il est présenté à ce moment-là.
L'homme actuel, analyse Alain de Benoist, comprend son autonomie comme la faculté non de se gouverner de manière responsable, mais de faire ''tout ce qu'il veut'' (sic !), sachant que ce qu'il veut est principalement ce qu'il croit vouloir, enfermé qu'il est dans le réseau de désinformation le plus liberticide qui ait jamais existé, sans plus aucun souci individuel du ''bien commun''. On peut même dire que ce qui s'appelle ''Liberté'' (qui est à peine un résidu d'une belle chose oubliée) se limite à laisser libre cours à des désirs, imposés par une volonté standardisée et aussitôt re-phrasés sous l'accoutrement de pseudo ''droits'' nouveaux, inventés de toutes pièces et nocifs à la collectivité...
On doit remarquer que toute la fabrication actuelle des droits supposés des minorités –qui, dit-on, devraient s'imposer aux majorités, juste ''parce que la Gauche le dit''--, ou celle des soi-disant ''droits'' à de fausses égalités entre sexes, races, âges, cultures et dons reçus à la naissance ou acquis pendant la vie..., n'est qu'un fatras de fausses bonnes idées vraiment très mauvaises et de correction impossibles entre des inégalités de fait, devant devenir des égalités de fait, par des lois tordues, inapplicables, inefficaces et synonymes (toutes) de ''mort''.
Cette uniformisation contre nature et cette interchangeabilité impossible (et pas souhaitable, en vérité), n'ont jamais apporté à ceux qui les avaient cru possibles que désillusions, déceptions et perte de l'ancienne joie de vivre. Tout comme le progressisme, le relativisme ne peut engendrer qu'une régression. Malheureusement pour nous, la décérébration à l’œuvre et les mensonges qui, sous prétexte qu'ils tombent ''d'en haut'' et sont institutionnalisés, deviendraient vrais... s'opposent-ils à ce qu'on s'en rende compte et qu'on l'admette.
L'actuelle volonté de prétendre construire un ''Homme nouveau'' (en détruisant d'abord l'ancien), n'a qu'un point commun avec la millénaire ''Quête du Graal'' : tournant en rond, elle ne peut déboucher sur rien... à cette différence près que l'ancienne poussait à se sublimer, alors que l'actuelle ne peut et ne pourra jamais déboucher que sur la fin de l'humanité : dépourvu de sens, de raison d'être et d'espérance, et ramené à son pire rôle –celui que lui avait attribué Karl Marx : un producteur-consommateur-- l'homme n'a aucune chance de ''s'en tirer'', même un peu.
Existe-t-il une chance que cette ruée vers la mort s'interrompe avant qu'il ne soit trop tard ? Je l'espère... mais je n'y crois plus : le ''système'' est trop bien installé, et les partisans d'un ''retour à la Vérité'' et à la primauté de l'humain sur et dans les idées, sont trop ancrés dans leur envie de ne pas se battre pour la seule cause qui en vaille la peine. Seule vengeance (mais elle est théorique) : si nous finissons par perdre (et nous sommes partis pour...), ceux qui auront provoqué notre chute tomberont avec nous, leurs élucubrations sur leur impossible ''Homme nouveau'' étant incapables de survivre cinq minutes à notre disparition ! Mais il sera trop tard. Gardons donc l'espoir, même contre toute raison : l'espoir est… notre ultime espoir !
H-Cl.
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