Tumgik
#Chleuh
pplndplcs · 1 year
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The Shilha people or Shluh are an Amazigh ethnic group in Morocco.The self-name is Išlḥiyn, in French literature they usually are referred to as les Chleuhs. They live mainly in Morocco's Atlas Mountains and Souss Valley. The speak the Tashelhiyt language, which has around 4 million speakers (2004 census). The indigenous peoples of the central Moroccan coast, noted by the early Phoenician explorers, would have been the Chleuh. The first millennium voyages of Hanno described the Phoenicians' methods of peacefully trading with the native peoples of the Mogador area. The Shilha are associated with Amazigh music and dance.
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maritrit · 1 year
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amazigh girl sketch. chleuh tribe.
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anissapierce · 2 years
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Stitched together goudi_rachids insta stories a tale of two tarbushes
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5eyed · 5 months
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finished my short comic, titled AJDIG! full comic under the cut :)
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AJDIG is a short comic i made for my maternal grandmother. my grandma hasnt seen a lot of my artwork, so i wanted to make something especially for her to enjoy. we dont have a language in common (she speaks chleuh and arabic; i speak french and english), so i also wanted to make something that could breach the communication barrier between us.
she cant read or write and shes never read a comic, so there were some limitations i had to work around when coming up with AJDIG: i obviously couldnt include any dialogue or text; i also couldnt have panels going left to right or right to left, because going from one panel to another wouldnt be intuitive. in the end i went for the format which seemed the most universal - a simple story read from top to bottom (almost no languages read from bottom to top).
this took a very long time to finish and i frankly didnt enjoy all of it - i didnt really have a good time doing the coloring - but im glad to have finished it!
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knario47 · 22 days
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ANIVERSARIO
*Este 2024: 27 Aniversario del DÍA MUNDIAL de la BANDERA (ukenyal) AMAZIGH.*
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ⵣⵣⵣⵣⵣⵣⵣⵣ
Cada 30 de Agosto, a raíz del Congreso Mundial Amazigh celebrado en Tafira (Las Palmas de Gran Canaria) en 1997, se celebra en todo el Mundo el nacimiento de este símbolo de unidad y libertad de los diferentes pueblos que viven en diversas regiones del norte de África (Territorio conocido como la Tamazgha) que comparten raíces culturales y lingüística comunes.
La bandera de nuestra identidad representa nuestra historia y nuestra lucha, une a todos los imazigen del mundo, y a los pueblos del norte de África: desde Siwa hasta Canarias, desde el mediterráneo hasta el río de Senegal (Tamazgha)
Los canarios, como uno de los pueblos imazighen más antiguos, lideramos, en ese Congreso histórico, la unificación de la Tamazgha y la creación de su bandera identitaria .
Los pueblos Amazigh han resistido y perdurado durante milenios, invasiones y colonizaciones incesantes (griegos, romanos , árabes... Y en la etapa moderna , europeos -franceses y españoles principalmente- y "yankees")
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La bandera Amazigh, representa la armonía de los seres humanos con su tierra.
El símbolo del hombre en rojo tiene un carácter antropomórfico, con forma humana, y ha sido conocido desde tiempos prehistóricos.
Su significado actual simboliza al pueblo Amazigh. Usado oficialmente desde que en 1966, Mohand Arav Bessaoud, fundara la Academia Amazigh .
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COLORES:
Simbolizan la costa norte de África con el Mediterráneo, el Atlántico con Canarias al Noroeste y el desierto del Sahara al sur, y su apego y su amor a su tierra.
Tienen los siguientes significados:
ⵣ☆ Banda superior azul (Amidad) : representa el mar Mediterráneo y el océano Atlantico, la costa imazighen durante milenios.
ⵣ☆ Banda central verde (Azegzaw) : significa la naturaleza y las grandes montañas (cordillera del Atlas) y tierras verdes que los imazighen han cultivado desde tiempos prehistóricos.
ⵣ☆ La banda inferior amarilla (Awragh) :
simboliza la arena del Sáhara, del desierto de la TINIRI la zona de los Tuareg, pero también la alegría y el oro o la riqueza.
ⵣ☆ El signo de la figura, a su vez, es la letra sagrada "Z" (Yas o aza) del alfabeto tifinagh (idioma Tamazigh)
En rojo, porque representa el color de la vida, pero también el color de la resistencia.
En la bandera representa el nombre dado a los Amazigh: "personas libres", que es lo que significa Amazigh (plural Imazighen).
Es el principio de vida eterna y un símbolo de la sangre de los mártires por la libertad, que defendieron y defienden su cultura y su tierra ante el colonialismo conocido (delito de lesa humanidad imprescriptible).
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La bandera fue propuesta por la delegación canaria(¹), durante el Primer Congreso Mundial Amazigh, realizado los días 27, 28, 29 y 30, prolongádose hasta el 31 de Agosto de 1997 .
Al congreso acudieron representantes de los distintos pueblos del ámbito amazigh: Canarios, Rifeños, Tuaregs, Númidas, Kabilios, Chleuhs, Mozabíes Imazighen del Atlas, Soussa, Chausis, y también la diáspora amazigh estabilizada en Europa y América del Norte.
(¹) Jaime Sáenz Peñate (QPD) y Francisco Trejo Herrera , representantes de Solidaridad Canaria (S.C.) en el comité organizador, ante la ausencia de un símbolo que unificara a este pueblo milenario, con costumbres y lengua ancestrales con raíces comunes en la La Tamazgha (Norte de África) decidieron plantear en esa Primera Asamblea General, la creación de la bandera .
Se basaron en la primera propuesta oficial para que el pueblo Amazigh tuviera su propia bandera, que se hizo en el año 1971 en Roubaix (Francia) por Agraw Imazighen de la Kabilia ,como muestra cultural y de identidad.
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Con mucha ilusión y éxito, fue acogida como un símbolo que , dese aquel momento, une a la comunidad Amazigh de todo el Mundo.
ⵣ✊🏼ⵣ ¡Feliz día
de la bandera Amazigh!
¡Viva la libertad de la Tamazgha
y de todos los pueblos imazighen!
ⵜⴻⴷⴰⵔⴰ ⵜⴰⵎⴰⵣⴳⴰ ⵜⵉⵍⴻⵍⵍⵉⵜ!
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claudehenrion · 3 months
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L'Europe ? Mais quelle Europe ?
Hier, en ce qui concerne la France, mais depuis 3 jours pour tous les pays intéressés, quelque 450 millions d'électeurs –le chiffre exact serait 447-- étaient appelés à choisir leurs représentants à une Chambre de députés strasbougo-bruxelloise qui, pour des raisons de simplification évidentes, est le plus souvent appelée ''l'Europe'' –ce qu'elle n'est pas. Ce vote est intervenu au terme d'une caricature de campagne électorale où très peu se sont intéressés au sort de notre embryon de continent de plus en plus incontinent, leur préférant les querelles de clocher, les motivations électoralistes et la cuisine de basse-cour...
De quoi s'agit-il ? L'air est connu, mais il n'est pas inutile de le rappeler : au lendemain d'une guerre terrible entre peuples voisins, semblables, comparables et historiquement frères ou peu s'en faut, une poignée d'hommes d'Etat à la foi chrétienne vibrante et solidement ancrée a fait de la belle phrase ''Plus jamais ça !'' le leit-motiv d'un rapprochement entre ancien ennemis. L'idée était belle à en être utopique, mais leur volonté était telle qu'ils sont arrivés à proposer une démarche par étapes qui rapprocherait de plus en plus ceux qui ne savaient –en apparence-- que se haïr, jusqu'à bâtir entre eux des raisons de s'aimer. Tant qu'on s'en est tenu à cette sagesse, tout avait bien marché.
Les premières années furent fort belles : je me souviens être parti avec un de mes frères à Hambourg, ville littéralement ravagée, anéantie par les bombes des ''Alliés'', pour reconstruire un stade réduit en poudre, armés d'une pelle chacun... Quelles amitiés, avec les jeunes allemands qui pelletaient avec nous : il n'y avait ni fritz, ni chleuhs, ni fridolins... ni franzosen, ni franzaken... On y croyait, tous... et c'était beau. Mais les jeunes successeurs n'ont pas su attendre... et tout est parti en quenouille : entre le traité de Rome (15 mars 1957) sur la CEE et la CECA, et le désastre actuel, qui se traduit dans les urnes et se mesure en abstentions, il faut se résoudre à parler d'un échec du succès, et d'un désastre en cours.
La question qui se pose, est, évidemment : ''Que s'est-il passé ?''. Le nom propre ''Europe'' ayant été volé et confisqué à tort et sans raison, il est devenu un nom commun... et, depuis que les miasmes du progressisme ont tout esquinté, tout salopé, tout dégueulassé, il est même devenu un nom détesté –et j'exagère à peine : on sent que c'est une solution possible... mais elle ne nous montre que ses aspects négatifs, des inconvénients et des contraintes, le plus souvent perçues comme inutiles –ce qu'elles sont, majoritairement. Pour ''les gens'', c'est quoi, l'Europe ?
1 - ''L'Europe est une fourmilière de technocrates inutiles''. Ce reproche est le plus fréquent, surtout adressé à la Commission : des autocrates qui incarnent un pouvoir froid, distant, sans racines et sans freins –donc sans cœur-- et a besoin, pour justifier son manque d'utilité, d'une armada fort coûteuse de fonctionnaires grassement payés et libres d'impôts. Un pouvoir perçu comme ne pensant qu'à multiplier les contraintes, les normes absurdes, les règlements déraisonnables, et intéressé exclusivement par la destruction de toutes les racines grâce auxquelles... ils sont ce qu'ils sont –ce qui n'est pas faux ! Depuis la création de cette ''Commission'' en 1958, elle est passée de zéro à quelque 35 000 fonctionnaires surpayés, mais jamais élus par personne (auxquels ils faut ajouter les armées de lobbyistes que le pouvoir et la corruption attirent comme des mouches). Pour se doter d'une crédibilité, ils ont fabriqué un processus avec certaine forme de légalisme... qui n'est que cela : malgré ces écrans de fumée, ils ne sont pas légitimes pour deux sous.
2 - ''L'Europe est une passoire pro-immigration''. C'est un autre jugement à l'emporte-pièces, qui fait florès aussi... et qui, comme le précédent, est le reflet d'une cruelle vérité, malgré des astuces de présentation qui ne dupent plus grand monde. Profondément marquée par la mauvaise rhétorique progressiste qui fait des ravages dans les milieux faussement intellectuels, les résultats sont là, cruels et menaçants : en 2023, l'UE a enregistré au moins 380 000 arrivées irrégulières (source : Frontex), ce qui est déjà énorme, mais n'est que le 1/3 de toutes les demandes d'asile de l'année (1,14 million). Mais ce qui est plus grave (si possible...), c'est que les fameux ''réfugiés politiques'' que la Gauche passe son temps à invoquer ne sont que 15 % du total, le reste étant composé de 35 % de ''regroupements familiaux'' (Merci, Giscard !), de 20 % de ''permis de travail'', et de 4% d'étudiants.
Avec 20 % de permis de travail (s ic !), on sait quoi répondre aux tenants illuminés de ''l'immigration rapporte à la France''. La ''cata'' est immense. Rattrapable encore ? Sans doute pluss : les fameuses ''OQTF'', obligations de quitter le territoire, sont si rarement exécutées (cf les viols, les attaques au couteau, les dealers, ou les cambriolages violents) qu'on ne voit pas d'où viendrait le progrès.
On voudrait nous faire croire qu'un soi-disant ''Pacte pour la migration et l'asile'' (vous avez bien lu : ''pour'', et non pas ''contre''!), va s'attaquer au problème. Mais son texte prévoit qu'il a pour seule ambition de ''tenter de gérer le flux des personnes arrivées de façon irrégulière''.... ce qui est vraiment le ''minimum syndical'' ! Déjà qu'un texte ne vaut que par la manière dont il est appliqué, on nage ici dans l'abstraction. Et la cerise sur le gâteau est que, lorsqu'ils se réunissent pour disserter sur des mots creux (''tenter''... ''de gérer''... ''les flux''...), ils avouent que leur seule raison pour laquelle ils s'attaquent à ce problème –le seul qui soit mortel pour leurs administrés-- c'est , exclusivement, ''pour ne pas laisser le sujet à l'extrême Droite''. Question : De qui se moque-t-on ?
3 - L'Europe a-t-elle renoncé à nos racines chrétiennes ? C'est le dernier sujet d'importance, et c'est encore un de ces débats qui refont surface ''tous les'de temps en temps''. Jusque là, il était important, certes, mais avec la poussée agressive de l'Islam contre nos sociétés, le sujet devient primordial, vital même. Parlant des conséquences de la bêtise crasse de Jospin qui refusait les racines chrétiennes de l'Europe, FX Bellamy parlait à la tribune du Parlement européen d'une ''véritable haine des racines qui ont fait l'Europe''. Ce faux débat pose 2 questions. L'une est historique... et l'Histoire a répondu depuis longtemps : depuis le IV ème siècle, ''la messe est dite'' : la civilisation européenne (devenue ''Occidentale'' depuis) est et ne peut être que d'inspiration chrétienne. L'autre est politique, et est davantage sujette à débats.
Certains la refusent au nom de leur laïcité (ce qui revient à refuser quelque chose au profit de... rien !), comme ce zéro pointé de Moscovici qui affirmait sans apporter un seul argument : ''Je ne crois pas aux racines chrétiennes de l'Europe''. Quel crétin ! D'autres y voient une opposition au rêve universaliste de la Gauche … comme si avoir des racines signifiait ''n'avoir que ça'' ! D'autres, encore plus myopes, voient dans ce mouvement plus que millénaire ''une tentative de s'opposer à la poussée actuelle de l'islam''. De belles têtes bien faites comme Rémi Brague (''Il faut distinguer les chrétiens –qui croient dans le Christ-- des ''christianistes'' qui ne voient qu'une civilisation, une morale, une philosophie'') ou Pierre Manent (''Le danger vient de la confusion du christianisme avec un humanisme. Mais au delà des ''racines'', où cette querelle mène-t-elle ?'') ou encore notre ancien Pape, Saint Jean-Paul II (''Un arbre sans racines pourrait-il vivre et se développer ?''), ont enrichi ce débat, sans pourtant ''emporter le morceau''.
Pour une fois, c'est au Pape actuel que je vais demander de conclure (ce qui prouve mon objectivité et une certaine honnêteté intellectuelle !) : ''Ils n'ont pas voulu reconnaître les racines chrétiennes de l'Europe ? Il semble que Dieu leur fait payer très cher cette infamie''. Et devant la situation d'échec programmé --mais déjà atteint pour partie-- de ce que devient l'Europe (''un machin dont personne ne veut, mais que l'on subit par crainte de l'inconnu que serait un arrêt''), il est permis de se demander si le remède n'est pas à portée de la main... mais demanderait une vraie intelligence, que nos ''leaders'' actuels ont perdue en chemin... Alors... on aurait voté pour rien ? Réponse à cette question le 7 juillet prochain, puisque l'Assemblée Nationale n'a pas résisté à ce tsunami contre l'Europe macroniste et progressiste. Et ça, c'est la bonne nouvelle du jour !
H-Cl.
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sardens · 1 year
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Zinaida Serebriakova - Jeune homme Chleuh
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moodr1ng · 1 year
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like im sorry to get heavy with you but i was around when neo-tifinagh was officially adopted in morocco, i was 6 years old when my mom watched a broadcast about it and didnt understand what any of this meant, and i still remember my mom saying "we have a language again". it would be years more before i learned that when SHE was a little kid entering school, she was violently punished for speaking chleuh, the only language she knew, and not arabic - how her teachers used to yell at her, hit her and humiliate her every time she failed to speak arabic, without ever having been taught it. i learned about the ways language and culture had been brutally repressed from my family, from my mother, as a tween and teen. it was only a couple years ago that my mother offhandedly mentioned that she sometimes had the soles of her feet whipped for speaking chleuh in class, one of the oldest forms of torture still used across the world against prisoners and political dissidents, which can lead to chronic pain and disability. in elementary school. they did this to little children for speaking their own language. they did this to my mother. like. i know nobody knows about any of this i know nobody cares i know nobody listens. but holy shit. it does mean something when there is any crumb of recognition from the moroccan government for the right to amazigh existence. it really does mean something.
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rapha-reads · 2 years
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4,5,11,18 ❤️
Hi Carrie! So nice to see you :D
4. favourite dish specific for your country?
My favourite Moroccan dish, and favourite dish in general, is called marshoush in Moroccan Arabic, but it's commonly known as rfissa. It's made of chicken and meloui, Moroccan crepes, with fenugreek seeds and spices. A delice.
5. favourite song in your native language?
One of the most famous Amazigh (Berber) artist is the legendary Idir, and I would recommend all of his songs. But I'm also very fond of a Moroccan band called Saghru Band, from a little village in the Middle Atlas. The leader of the group, who died, is rumoured to have been assassinated because his songs and speeches were too political. I recommend:
Yell-is N Medden, a beautiful, beautiful love song
Tabrat i Obama, "a letter to Obama", a very politically charged song
Riru, Roru, Reru, a traditional lullaby.
11. favourite native writer/poet?
My father, if he ever decides to clean up his 25 year old manuscript and send it to a publisher. I've read it, I've read the beginning of the sequel that he started during the lockdown, it's a beautiful, very poetic narration on his (our) village, his memories growing up, the disappearance of an entire way of living. I really hope he gets to publish it one day. But in the meantime...
Baba doesn't really like Tahar Ben-Jelloun, so I won't say that (but he's got some good books). The two big names of Moroccan literature, and the ones I've read the most, are Driss Chraïbi and Mohamed Choukri. They're excellent writers, I definitely recommend looking them up and seeing if they've been translated into your language.
18. do you speak with a dialect of your native language?
Excellent question, yes, I do! So, my native language is not Arabic (that's my third language), but tamazight, commonly known as Berber, tho berber is actually a slur coming from "barbarians". Tamazight exists in a variety of dialects all across North Africa. The most well known is Kabyle, which is located in Algeria. My dialect, in the Middle Atlas in Morocco, is tachelhit, or Chleuh, or chilha (if you look it up, the maps will tell you that it's spoken only in the south of Morocco, but the maps are wrong). If you're fluent in one dialect of Tamazight, you can generally understand all the other dialects, what changes are pronunciations and some words, like any other dialect. I am sadly not fluent (biggest shame of my life, that), so I can barely understand my own dialect (my family would scoff and say that I can talk and understand perfectly fine).
Thank you so much for the questions, they were really good!
Send me a not-from-the-US ask, and maybe I'll talk about France, maybe about Morocco
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66) Algieria (CD)
Flaga przyjęta przez Tymczasowy Rząd Kabyli na uchodźstwie. Berberowie z Kabylii oczekiwali uznania ich specyfiki jako nagrody za ich wkład w wojnę o niepodległość (1954-1962). Jednak prezydent Ben Bella powiedział w 1962 r.: „Jesteśmy wszyscy Arabami”. Po aresztowaniu pisarza Moulouda Mammeriego, który próbował wygłosić wykład na temat klasycznej poezji berberyjskiej, w 1980 r. w Tizi-Ouzou rozpoczęła się „Kabylska Wiosna” (wraz z narodzinami MCB), a tysiące demonstrantów zostało aresztowanych. Prezydent Chadli twierdził: „Jesteśmy wszyscy Berberami zarabizowanymi przez islam”. W latach 1994-1995 tysiące berberyjskich studentów przestało uczęszczać na zajęcia w ruchu znanym jako „strajk tornistrowy”. W następstwie strajku zaproponowano nauczanie języka berberyjskiego na terenach, na których mówi się po berberyjsku, a także utworzono Wysoką Komisję ds. Amazighity, przyłączoną do Prezydium Republiki. Jednak brak funduszy uniemożliwił ustanowienie skutecznego terachingu w języku berberyjskim. Główne roszczenie Berberów, uznanie berberyjskiego za drugi język narodowy Algierii, zostało ponownie odrzucone, gdy w 1996 r. zmieniono konstytucję Algierii. 30 kwietnia 2001 r. prezydent Bouteflika powiedział: „Rewindykacja tożsamości ma również komponent konstytucyjny, który można wyjaśnić jedynie poprzez rewizję konstytucji”. Jego luźne przemówienie, niestety, gorzko rozczarowało młodych Kabylów.
Od czasu uzyskania niepodległości przez Algierię, Kabylowie byli reprezentowani przez dwie partie polityczne i różne ruchy. FFS (Front des Forces Socialistes - Front Sił Socjalistycznych) został założony w 1963 r. przez Hocine Ait-Ahmeda (1926-2015), historycznego przywódcę FLN, który przewodniczył partii aż do swojej śmierci. Zalegalizowana w 1989 roku, FFS walczy o demokratyzację i sekularyzację społeczeństwa, wolne wybory i pojednanie narodowe. FFS zatwierdziła dialog z ruchami islamistycznymi. RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie - Unia na rzecz Kultury i Demokracji) została założona w 1989 roku przez Saida Saidiego (ur. 1947), który przewodniczył partii do 2012 roku. RCD wspierała ruch „wykorzenienia”, który wzywał do stłumienia ruchu islamistycznego siłą. RCD opuściło rząd tydzień po wybuchu zamieszek w Kabylii wiosną 2001 roku.
MCB (Mouvement pour la Culture Berbère - Ruch na rzecz Kultury Berberów), założony w 1980 roku, opowiada się za transkrypcją alfabetu berberyjskiego na alfabet łaciński. Jego członkowie mogą popierać zarówno FFS, jak i RCD. MCB twierdziło, że jest częścią „Ruchu ludu Amazigh, od Oceanu Atlantyckiego do egipskiej oazy Siwa”. MCB zostało wkrótce zastąpione przez inny ruch kabylski, MAK. MAK (Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie - Ruch na rzecz Samostanowienia Kabylii) został założony przez piosenkarza Ferhata M'henniego i językoznawcę Salema Chakera w 2002 roku, podczas „Kabylskiej Czarnej Wiosny”, okresu niepokojów, który nastąpił po niewyjaśnionej śmierci berberyjskiego studenta z fąk algierskiej żandarmerii. Ruch odbył swój pierwszy kongres w Ighil Ali w sierpniu 2007 roku. MAK wzywa do szerokiej autonomii Kabylii, nie biorąc pod uwagę innych obszarów berberyjskich. W swojej książce Algérie: La question kabyle (2004), M'henni, prezes MAK, pisze: „Obowiązkiem Kabylów nie jest wyzwalanie Chaouias, Chleuhs i Berberów z oazy Siwa. [...] Skargi Kabylów powinny być rozpatrywane tylko w obrębie ich naturalnych granic”. Jest to wyraźne (kontr)odniesienie do ideologii MCB. Według socjologa Abdenassera Djabiego „wycofanie się do Kabylii” MAK jest konsekwencją niepowodzenia MCB. Historyk Daho Djerbal uważa MAK za zradykalizowany ruch kabylski, działający głównie poza Kabylią i nie wspierany przez lokalne elity, które oskarżają MAK o próbę rozwiązania kwestii kabylskiej z zagranicy. Daho dodaje, że „naturalne granice” Kabylii, do których rości sobie prawo MAK, zostały rzeczywiście ustalone przez francuską administrację kolonialną, a transfery ludności zarządzone przez administrację osmańską uniemożliwiają jasną definicję „ludu Kabylów”.
Tymczasowy Rząd Kabyli na uchodźstwie odsłonił flagę Kabyli 10 marca 2015 r., 35 lat po zorganizowaniu w Kabyli pierwszego marszu protestacyjnego przeciwko władzy algierskiej. Tymczasowy Rząd Kabyli na uchodźstwie (ANAVAD - Anavaḍ Aqvayli Uεḍil) został proklamowany 21 kwietnia 2010 r. w Paryżu przez MAK. ANAVAD przewodniczy Ferhat M'henni, również prezes MAK. Dziennik urzędowy ANAVAD (dwujęzyczny, kabylski i francuski) został założony 23 maja 2010 r. M'henni wygłosił przemówienie prezydenckie ANAVAD 4 czerwca 2010 r., przedstawiając rząd powołany 1 czerwca 2010 r. 1 czerwca 2011 r. rząd został rozwiązany dekretem nr GZM/2011/01/ASAN/06. Było to wynikiem rezygnacji pięciu z dziesięciu ministrów będących w konflikcie z prezydentem. Tego samego dnia powołano nowy rząd dekretem nr GZM/2011/02/ASAN/06. Poszukiwania flagi Kabyli zostały rozstrzygnięte 19 listopada 2012 r. przez Radę Ministrów ANAVAD. Nabór wniosków został ogłoszony 20 lutego 2013 r. Obywatele zostali zaproszeni do składania wniosków, w tym „własnych symboli i kolorów”. Jednakże „ANAVAD uważa, że ​​kabylski emblemat narodowy powinien opierać się na dzisiejszej fladze Amazigh, od której powinien się odróżniać cechami charakterystycznymi dla Kabylów. Na przykład, byłoby stosowne, aby drzewo oliwne, symbolizujące ANAVAD, zostało uwzględnione w propozycjach”. W wyniku naboru złożono 83 wnioski. Tajne głosowanie odbyło się w Kabylii i wśród diaspory kabylskiej przez cały rok 2014. Rada Ministrów ANAVAD zatwierdziła głosowanie 30 listopada 2014 r.
2. Flaga widziana podczas obchodów „Kabylskiej Wiosny”. TV5 pokazało zdjęcia ludu Kabylów upamiętniającego „Kabylską Wiosnę” w tym, co wydaje się być ogromną demonstracją. Jedna flaga była dość podobna do innych flag Berberów, tylko odcień niebieskiego był ciemniejszy, a symbol był zdecydowanie narysowany pod kątem prostym
3. Flaga widziana podczas obchodów „Kabylskiej Wiosny”. Ta flaga, to algierska flaga narodowa zeszpecona tym samym symbolem, w kolorze żółtym, na białej części flagi
4. Flaga Kabyli widziana w Montrealu, Kanada. Widziano tę flagę w ładnej małej restauracji Kabyli w Montrealu, L'étoile Kabyle. Właściciel najpierw powiedział, że to flaga Berberów, ale gdy zapytałem go, czy jest używana poza Algierią, powiedział, że nie wie. Flaga ma proporcje 2:3 (w przybliżeniu), jest złota, z czarnym symbolem, który był powielany wszędzie w restauracji (na kalendarzu, na ścianach, na suficie z kolorowymi ubraniami). Właściciel powiedział, że flaga jest symbolem wolności, demokracji i dobrobytu
5. Autonomiczny Ruch Shawiya [Shawiya Autonomous Movement]. Flaga MAC. Istnieje niewiele informacji na temat Autonomicznego Ruchu Shawiya (Mouvement pour l'Autonomie du Pays Chawi - MAC), którego nazwa i akronim sugerują, że jest wzorowany na Autonomicznym Ruchu Kabylów (Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie - MAK). Strona internetowa MAC, budowana od wieków, pokazuje „flagi” niepoparte żadnym źródłem. Flaga faktycznie używana przez MAC jest pokazana na zdjęciu członków ruchu, którzy 20 kwietnia 2011 r. dołączyli do demonstracji zorganizowanej przez MAK z okazji 31. rocznicy „Kabylskiej Wiosny”. Flaga jest żółta z czarną berberyjską literą ezza pośrodku
6. Najczęściej używana flaga Berberów. Berberowie to grupa ludów zamieszkujących północną Afrykę od 3000 lat p.n.e. i mówiących różnymi dialektami, spokrewnionymi ze wspólnym językiem chamito-semickim, Berber, znanym również jako Tamazight. Berberowie nazywają siebie Imazighen (Ludzie Wolni). Nazwa Berberowie pochodzi od słowa barbarzyńca z okresu grecko-rzymskiego. Tuaregowie zachowali oryginalny alfabet berberyjski, tifinagh, podczas gdy inni Berberowie używają alfabetu łacińskiego lub arabskiego do pisania Tamazight. Według Dictionnaire des Peuples (Larousse) w północnej Afryce żyje ponad 20 milionów ludzi mówiących po berberyjsku. Flaga najczęściej używana przez Berberów jest podzielona poziomo na niebiesko-zielono-żółte z czerwoną literą ezza pośrodku. Chociaż nie jest jednomyślnie akceptowana przez wszystkich Berberów, flaga ta jest obecnie produkowana i szeroko używana. Większość obserwacji flagi berberyjskiej pochodzi z Afryki Północnej, gdzie flaga nie jest mile widziana przez rządy Algierii i Maroka.
Najbardziej kompleksową interpretację flagi można znaleźć na bladi.net, 19 sierpnia 2006. Tekst wydaje się być skopiowany z innego, nieuznanego źródła. Mówi się, że flaga została zaprojektowana przez Berber Academy (Agraw Imazighen). Niebieski (amidad) reprezentuje Morze Śródziemne, którego brzegi zamieszkiwane są przez Imazighenów od tysiącleci. Zielony (azegzaw) reprezentuje zieloną ziemię, którą uprawiali Imazighenowie od czasów prehistorycznych. Żółty (awragh) reprezentuje Saharę, jako domenę Tuaregów, ale także radość i złoto. Zatem trzy kolory reprezentują Afrykę Północną, od jej wybrzeża Morza Śródziemnego na północy do pustyni Sahara na południu, oraz przywiązanie Imazighenów do ich ziemi. Czerwony emblemat Imazighenów reprezentuje zarówno życie wieczne, jak i krew przelaną przez męczenników. Jako symbol wolnych ludzi broniących swojej kultury, obserwuje i oświeca Tamazghę, kraj Imazighenów (całą Afrykę Północną i bezkres Sahary). Flaga reprezentuje harmonię ludzi z ich ziemią. Antropomorficzny emblemat znany jest od czasów prehistorycznych. Jego współczesne znaczenie, jako symbolu ludu Imazighenów, przypisuje się Muhendowi Aaravowi Bessaoudowi, założycielowi Berber Academy w 1966 roku. Emblemat można nosić na medalu, na pierścieniu lub na zapięciu dzwonka, aby wyrazić poparcie dla sprawy Imazighenów. Flaga Berberów była tematem wątku rozpoczętego 9 maja 2002 roku na kabyle.com, który już nie jest dostępny online. W tym przypadku również mówi się, że flaga została zaprojektowana przez Berber Academy pod kierownictwem Muhenda Aarav Bessaouda. Jako datę powstania podano „początek 1978 roku”. Jeden z uczestników wątku twierdzi, że Bessaoud zmodernizował znaczenie kolorów, które pierwotnie były częścią biżuterii Kabylów: trzy paski jako emalie, a czerwień jako koralowe kaboszony. Pierwotne znaczenie kolorów jest następujące: niebieski symbolizuje wodę z nieba, a żółty słońce; połączenie tych dwóch zjawisk naturalnych umożliwia produkcję rolną. Czerwony symbolizuje gwiazdę nocną, czyli księżyc, a w symbolice berberyjskiej kobietę. Rzeczywiście kobieta gotuje (a gotowanie wymaga magii) na rodzinnym świętym ogniu. Inny uczestnik twierdzi, że flaga była używana od tysiącleci i czasów wielkich wodzów berberyjskich. Dodaje również, że flaga była używana podczas negocjacji, które doprowadziły do ​​porozumienia Évian (18 marca 1962 r.) i zakończenia wojny o niepodległość w Algierii. Krim Belkacem, odpowiedzialny za strefę kabylską podczas wojny i przywódca delegacji FLN w Évian, został powitany dwiema flagami: francuską i berberyjską. Według wywiadu z Ouldem Slimane Salemem, Berberyjska Akademia została założona w 1966 roku przez młodych Berberów, z których większość stanowili Kabyle, w celu przywrócenia używania języka tifinagh i zaproponowania znormalizowanego alfabetu. Przemianowany na Berber Assembly (Agraw Imazighen) w 1967 roku, ruch został stłumiony w 1978 roku przez władze francuskie pod naciskiem prezydenta Algierii Houari Boumediene. Wydaje się, że Bessaoud był zamieszany w akty przemocy i być może w rozruchy przeciwko zwolennikom FLN w Paryżu, co było wygodnym pretekstem, aby pozbyć się go i Berber Academy. Muhend Aarav Bessaoud (1924-2002), mianowany oficerem w Kabylii podczas wojny o niepodległość, walczył z nowymi władcami po uzyskaniu niepodległości, od 1963 do 1965 roku, a w 1966 roku został wygnany do Francji, gdzie założył Berber Academy. Po stłumieniu Akademii, Bessaoud został wydalony do Anglii i uniemożliwiono mu powrót do Kabylii do 1997 roku. Bessaoud jest uważany za duchowego ojca berberyzmu
7. Pierwsza propozycja flagi Berberów. Ouramdane Khacer, który w 1971 r. założył w Roubaix (Francja), Berber Academy of Nord, a w 1985 r. stowarzyszenie „Afus deg wfus”, niedawno przypomniał na swoim blogu pochodzenie flagi Berberów. Khacer twierdzi, że „zaproponował projekt Pierwszemu Światowemu Kongresowi Amazigh”. Wyjaśnił dalej, że jego początkowa propozycja obejmowała łuk siedmiu zielonych gwiazd na niebieskim pasie, symbolizujący Wyspy Kanaryjskie
8. Wariant flagi Berberów. Podczas demonstracji zauważono kilka wariantów flagi Berberów z czerwoną literą ezza, które mogą być lub nie być flagami powszechnie używanymi. Niektóre mogą być wersjami domowej roboty. Istnieją różne układy kolorów i różne artystyczne interpretacje centralnej litery na fladze. Jose Luis Cepero zgłosił zielono-żółto-niebieską flagę z zaokrągloną literą, która została opublikowana w Gaceta de Banderas
9. Flaga Berberów zaproponowana przez Światowy Kongres Amazigh (wątpliwe). Cytując komunikat ze Światowego Kongresu Amazigh (Congrès Mondial Amazigh): "Jeśli chodzi o flagę(i) Amazigh, jest ich kilka, ale ta, która wydaje się być jednomyślnie przyjęta, to ta, która została zaprezentowana przez Kanaryjczyków podczas naszego ostatniego kongresu w Tafirze (sierpień 97). Składa się z trzech poziomych kolorów (niebieskiego, żółtego, zielonego), na których jest napisane duże czarne 'Z'. To jest ten, który widzimy teraz na przykład podczas demonstracji Berberów. Biorąc to pod uwagę, Imazighen (Berberowie) z różnych powodów nie nadali sobie oficjalnie wspólnego godła rozpoznawalnego przez wszystkich. Nie zapominajmy, że należą one do około dziesięciu różnych państw". Jednak kilka innych źródeł podaje, że flaga przyjęta podczas Kongresu jest podzielona poziomo na niebiesko-zielono-żółte z czerwoną literą ezza, czyli „wspólną” flagą berberyjską. Źródła te cytują stronę internetową WAAC (World Amazigh Action Coalition), która dawno wymarła. Strona internetowa AmazighWorld pokazuje zdjęcie flagi zaprezentowanej Pierwszemu Kongresowi Amazigh na Wyspach Kanaryjskich. Flaga ma widoczne proporcje ok. 4:5, jest podzielona poziomo na niebiesko-zielono-żółte, z cieńszym zielonym paskiem (2:1:2) i ogólnie czerwoną literą ezza. Litera jest węższa niż na „zwykłych” flagach, które prawdopodobnie wszystkie są wykonane według jednego szablonu. Mówi się, że flaga została zaproponowana przez Solidaridad Canaria, z następującą notatką (która nie zawiera opisu flagi): "[...] Nasza walka musi wzmocnić nasze więzi i symbole jedności we wszystkich zakątkach, w których znajdują się Imazighen. Dla nich i przez nich proponujemy na tym Pierwszym Światowym Kongresie Amazigh stworzenie flagi, która nas identyfikuje. Flagi, która uczyni z naszej walki wspólną obronę, pod którą nasze dzieci będą dorastać swobodnie, pod którą będziemy czuć się razem z naszym społeczeństwem, z naszymi ludźmi (czy to imigrantami, kontynentalistami czy wyspiarzami). Flagi, która będzie symbolem przebudzenia, hasłem dla wszystkich Imazighen, gdziekolwiek się znajdują. Symbolu, którego kolory i wzór zaczerpnięto z naszej przeszłości, a jednocześnie kieruje naszym przeznaczeniem, gwarantując, że nasze dzieci będą go na stałe podnosić, gdziekolwiek przybędzie brat [...]". Pierwszy Światowy Kongres Amazigh odbył się na Grand Canary w dniach 27-30 sierpnia 1997 r. Dlatego wszystkie źródła odnoszą się do tego samego kongresu i można wnioskować, że powyższy raport pisemny jest błędny. Projekt z 1997 r. jest dość podobny, z wyjątkiem szerokości zielonego paska, do projektu przypisywanego Berber Academy około 20 lat wcześniej
10. Kolejna flaga Berberów. 21 lutego 2008 r. dziesięciu Berberów zostało skazanych na 2-6 lat więzienia przez Sąd Warzazat (Maroko). Uczestniczyli w powstaniu Tagerts n imazighen, które miało miejsce w wioskach doliny Dades 8 stycznia 2008 r. Jak podała agencja ADN, 22 lutego 2008 r. około 200 Berberów zebrało się przed sądem, aby wesprzeć skazanych bojowników. Machali „zwykłą” flagą berberyjską i inną flagą berberyjską, żółtą z czarnymi literami Tifanigh „m”, „z” i „gh” (ⵎ ⵣ ⵖ od „Amazigh”; w klasycznym sposobie pisania języków berberyjskich zapisuje się tylko spółgłoski) otoczoną czarnym owalem. Ta sama flaga pojawia się na zdjęciu zrobionym na Wyspach Kanaryjskich (bez daty), pokazanym na stronie internetowej AmazighWorld; flaga jest przedstawiana jako „starszy baner Amazigh, znaleziony w Tamazgha”
11. Algierska Partia Komunistyczna [Algerian Communist Party; Parti communiste algérien; PCA]. W 1963 roku flaga Partii Komunistycznej, jak pokazano w Flaggenmitteilungen #159, była czerwona z sierpem i młotem, ale w pozycji odwrotnej do tej na fladze ZSRR i umieszczona w środku pola. W górnej części napisano PAIN PAIX (chleb pokój), a poniżej sierp i młot, w kierunku muchy LIBERTE (wolność)
12. Islamski Front Ocalenia [Islamic Salvation Front; Front islamique du Salut; FIS]. W 1989 roku rozpoczął się proces tworzenia demokracji wielopartyjnej i zalegalizowano opozycyjne siły polityczne. W wolnych wyborach samorządowych w 1990 roku rywalizowały FLN, FIS, Partia Komunistyczna, Socjaldemokratyczna Partia i Unia Kultury i Demokracji, chociaż Ruch na rzecz Demokracji w Algierii Bena Belli i Front Sił Socjalistycznych Ait-Ahmeda wstrzymały się od głosu. FIS został uznany za nielegalny w styczniu 1992 roku, a jego zwolennicy masowo uciekli w góry, przy czym najbardziej radykalny element rozpoczął działalność jako GIA (Groupes armés islamiques, Zbrojne Grupy Islamskie), a bardziej umiarkowani działali pod nazwą MAI (Mouvement armé islamique, Zbrojny Ruch Islamski). Górny i dolny napis na fladze są nieczytelne, ale główny napis to nazwa ruchu w języku arabskim
13. Flaga używana przez islamistów w 1991 r. W 1991 r. nowy system wyborczy, który rzekomo faworyzował FLN, doprowadził do protestów ulicznych islamistów, którzy używali flagi narodowej z napisem Allah jest wielki. Używano również flagi w narodowych barwach zieleni i bieli, z napisem w kolorze czerwonym o tym samym znaczeniu co powyżej [1]
14. j. w. [2]
15. Unia Kultury i Demokracji [Union for Culture and Democracy; Rassemblement pour la Culture et la Démocratie; RCD]. RCD, założona w 1989 r., jest kierowana przez Saida Saidiego. RCD jest częścią ruchu „eradykacji”, który wzywa do tłumienia islamistów siłą. RCD opuściła algierski rząd tydzień po wybuchu zamieszek w Kabylii wiosną 2001 r.
16. Flaga Al-Kaidy w północnej Algierii. Al-Kaida w Afryce Północnej to algierska grupa bojowa, która zmieniła nazwę w 2006 r. W wiadomościach BBC pokazano grupę bojowników niosących flagę na taśmie propagandowej: czarną z białą szahadą, podobną do flagi Hamasu lub Palestyńskiego Islamskiego Dżihadu. Oczywiście szczegóły kaligrafii mogą się różnić. Podobna flaga została przypisana „Batalionowi Krwi”, który zabił około 30 zakładników w Algierii. Źródło (MSN News, 18 stycznia 2013) wspomina, że ​​ta grupa jest powiązana z Al-Kaidą, więc nie wiadomo, czy ta flaga jest flagą Al-Kaidy, czy też flagą grupy, która nazywa siebie „Batalionem Krwi”
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maritrit · 1 year
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amazighi chleuh girl eating pizza. name; tiziri. (ⵜⴰⵣⵉⵔⵉ/moon lit)
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lonesomemao · 3 months
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PROJECTION PRIVEE
Hezil Mo
Le Maroc
Chleuh paradis DSK
The Joker alien
Référent absolu
Société laïque
Jack Nicholson
La folie
Vol au-dessus d'un nid de coco
Jeudi 27 juin 2024
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anissapierce · 2 years
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It takes my all to not fucking go iff on ppl who post this tweet
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oldsardens · 1 year
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Zinaida Serebriakova - Jeune homme Chleuh
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knario47 · 1 year
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30 DE AGOSTO, 26 ANIVERSARIO DEL DÍA MUNDIAL DE LA BANDERA (ukenyal) AMAZIGH.
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ⵣ✊🏼ⵣ ¡Feliz día
de la bandera Amazigh!
¡Viva la libertad de la Tamazgha
y de todos los pueblos imazighen!
ⵜⴻⴷⴰⵔⴰ ⵜⴰⵎⴰⵣⴳⴰ ⵜⵉⵍⴻⵍⵍⵉⵜ!
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26 Aniversario del DÍA MUNDIAL
de la BANDERA (ukenyal) AMAZIGH.
ⵣⵣⵣⵣⵣⵣⵣⵣ
26º Amulli, Congrès Mondial Amazigh (CMA) - en Tamazight-.
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Cada 30 de Agosto, a raíz del Congreso Mundial Amazigh celebrado en Tafira (Las Palmas de Gran Canaria) en 1997, se celebra en todo el Mundo el nacimiento de este símbolo de unidad y libertad de los diferentes pueblos que viven en diversas regiones del norte de África (Territorio conocido como la Tamazgha) que comparten raíces culturales y lingüística comunes.
La bandera de nuestra identidad representa nuestra historia y nuestra lucha, une a todos los imazigen del mundo, y a los pueblos del norte de África: desde Siwa hasta Canarias, desde el mediterráneo hasta el río de Senegal (Tamazgha)
Los canarios, como uno de los pueblos imazighen más antiguos, lideramos, en ese Congreso histórico, la unificación de la Tamazgha y la creación de su bandera identitaria .
Los pueblos Amazigh han resistido y perdurado durante milenios, invasiones y colonizaciones incesantes (griegos, romanos , árabes... Y en la etapa moderna , europeos -franceses y españoles principalmente- y "yankees")
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La bandera Amazigh, representa la armonía de los seres humanos con su tierra.
El símbolo del hombre en rojo tiene un carácter antropomórfico, con forma humana, y ha sido conocido desde tiempos prehistóricos.
Su significado actual simboliza al pueblo Amazigh. Usado oficialmente desde que en 1966, Mohand Arav Bessaoud, fundara la Academia Amazigh .
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COLORES:
Simbolizan la costa norte de África con el Mediterráneo, el Atlántico con Canarias al Noroeste y el desierto del Sahara al sur, y su apego y su amor a su tierra.
Tienen los siguientes significados:
ⵣ☆ Banda superior azul (Amidad) : representa el mar Mediterráneo y el océano Atlantico, la costa imazighen durante milenios.
ⵣ☆ Banda central verde (Azegzaw) : significa la naturaleza y las grandes montañas (cordillera del Atlas) y tierras verdes que los imazighen han cultivado desde tiempos prehistóricos.
ⵣ☆ La banda inferior amarilla (Awragh) :
simboliza la arena del Sáhara, del desierto de la TINIRI la zona de los Tuareg, pero también la alegría y el oro o la riqueza.
ⵣ☆ El signo de la figura, a su vez, es la letra sagrada "Z" (Yas o aza) del alfabeto tifinagh (idioma Tamazigh)
En rojo, porque representa el color de la vida, pero también el color de la resistencia.
En la bandera representa el nombre dado a los Amazigh: "personas libres", que es lo que significa Amazigh (plural Imazighen).
Es el principio de vida eterna y un símbolo de la sangre de los mártires por la libertad, que defendieron y defienden su cultura y su tierra ante el colonialismo conocido (delito de lesa humanidad imprescriptible).
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La bandera fue propuesta por la delegación canaria(¹), durante el Primer Congreso Mundial Amazigh, realizado los días 27, 28, 29 y 30, prolongádose hasta el 31 de Agosto de 1997 .
Al congreso acudieron representantes de los distintos pueblos del ámbito amazigh: Canarios, Rifeños, Tuaregs, Númidas, Kabilios, Chleuhs, Mozabíes Imazighen del Atlas, Soussa, Chausis, y también la diáspora amazigh estabilizada en Europa y América del Norte.
(¹) Jaime Sáenz Peñate (QPD) y Francisco Trejo Herrera , representantes de Solidaridad Canaria (S.C.) en el comité organizador, ante la ausencia de un símbolo que unificara a este pueblo milenario, con costumbres y lengua ancestrales con raíces comunes en la La Tamazgha (Norte de África) decidieron plantear en esa Primera Asamblea General, la creación de la bandera .
Se basaron en la primera propuesta oficial para que el pueblo Amazigh tuviera su propia bandera, que se hizo en el año 1971 en Roubaix (Francia) por Agraw Imazighen de la Kabilia ,como muestra cultural y de identidad.
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Con mucha ilusión y éxito, fue acogida como un símbolo que , dese aquel momento, une a la comunidad Amazigh de todo el Mundo.
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claudehenrion · 8 months
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Petit retour aux sources...
Ne trouvez-vous pas que cela fait très longtemps que je ne vous ai pas parlé de mon cher Maroc ? Quand on sait la place qu'occupe ce pays dans mon histoire personnelle, on pourrait s'en étonner... Je vous mentirais, si je ne reconnaissais pas que je m'y réfugie en pensée, à peu près tous les jours, un petit moment... ou pour de longues échappées solitaires... Le célèbre diptyque de Raimbaud (''Je sais que je pourrais être plus heureux ailleurs... Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs'') est devenu, pour moi : ''Mais moi, je sais où c'est : c'est à Rabat''...
Permettez-moi de m'échapper quelques minutes de la grisaille ambiante –aggravée, comme si besoin était, par un temps... digne de la situation de notre pays et des non-solutions évoquées par nos ''meneurs'' : sinistre, glaciale, stérile, inutile, repoussante, glissante à en être dangereuse... Pourtant, chers Amis-lecteurs, permettez-moi de vous proposer de m'accompagner dans ce qui est pour moi (et de loin, après tant et tant de voyages et tant de tours du monde) la plus belle ville et le plus beau pays. Et ce d'autant plus que notre président, jamais à court d'une mauvaise idée, s'est débrouillé pour brouiller la France avec un de ses plus sûrs, plus fidèles, plus anciens amis... au profit (pour personne !) de l'antipathique et repoussant (et intrinsèquement mauvais pour la France) leader algérien Abdel Madjid Tebboune...
Pour ne pas que ce petit voyage évocateur tombe comme un cheveu dans la soupe, je profite d'un événement que personne ne pense à fêter : le nouvel an berbère. (La communauté berbère est très importante au Maroc et le Roi Mohammed VI a conféré à leur langue le statut de ''seconde langue officielle'' dans la Constitution de 2011). Dimanche, donc, la communauté dite ''amazigh'' (=''les hommes libres'') dans la langue ''t'Amazight'', fêtait son Nouvel An, celui de l'année 2978 dans leur calendrier (entre les 5784 ans des juifs et nos 2024 ans, mais plus du double des 1445 ans des arabes !). Le ''point zéro'' de ce décompte remonte à l'accession au trône de Pharaon du roi Amazigh Sheshonq 1er --dont Wikipédia m'a permis de découvrir qu'il est mort en 922 av. J.-C., qu'il était fils de Nimlot et de Tentsepeth et petit fils de Mehtenvreskhet (à vos souhaits !), qu'il eut pour enfants Osorkon Ier, Sheshonq II et Nimlot Ier, comme petits enfants Takelot Ier, Sheshonq III, Iouwelot et Nesbanebdjed III ... et qu'il régna de 945 à 924 av. J.-C. Mais bon ! Si vous insistez vraiment, j'arrête d'étaler un non-savoir que je n'avais pas il y a 10 minutes...
De manière moins académique, cette population Amazigh (également dite ''Chleuh'' ou ch'l Ha, et berbère au Maroc, kabyle en Algérie ou djerbienne en Tunisie) correspond aux premier habitants de tout le nord de l'Afrique jusqu'à l'invasion des armées d'occupation arabes (''les cavaliers d'Allah'') qui ne sont donc (et ils n'aiment pas qu'on le leur rappelle) que ''des colonisateurs sans espoir de retour''... Permettez-moi une anecdote, un souvenir personnel : mon épouse et moi traversions à cheval une oasis perdue du Désert blanc, dans la région de Siwa (entre Tobrouk et el-Alamein), lorsque nous avons croisé un groupe de paysans qui devisaient entre eux. Ma surprise quand j'ai réalisé que je comprenais ce qu'ils disaient n'a eu d'égale que la leur lorsqu'un ''n'srani'' (= un nazaréen, donc un chrétien) leur a parlé dans cette même langue. Les ''chleuhs'' occupaient bien tout le nord de l'Afrique, jusqu'en Egypte où ils ont donc régné !
Mais ces guerriers farouches (on parlait, au temps de l'Empire français, des ''irréductibles chleuhs'') n'ont jamais été soumis, et ils ont résisté aux carthaginois, aux romains, aux ottomans et aux européens (français et espagnols). Et s'ils ont cédé devant Allah, ce n'est que pour ce qui concerne la pratique de la foi (encore qu'il existe un fort reste chrétien dont mon regretté ami Mgr Pierre Boz était Exarque) : ils se sont repliés dans des zones montagneuses où ils ont conservé et protégé leur héritage culturel, leur langue, leur alphabet et leur mode de vie... avant de devenir, sous le nom prestigieux de ''goums'', les soldats invincibles qui ont eu raison de la Wehrmacht à Monte Cassino et au Garigliano, sous les ordres du futur Maréchal Juin, dans des corps à corps d'anthologie....
Une autre anecdote, moins personnelle mais plus amusante : depuis 1912, lors de la pacification du Maroc par les généraux Gouraud et Lyautey (et d'autres héros) le contingent français avait pu mesurer la vaillance de combattants chleuhs, dans la fameuse ''guerre du Rif''. Lorsqu'ils ont été ramenés en France après 1914 –et pour cause !-- nos ''piou-pious'' ont gardé l'habitude de désigner leurs ennemis du jour par ''les chleuhs''... Et voilà comment l'Armée allemande s'est retrouvée réputée être peuplée d'habitants d'une tribu du Moyen-Atlas !
Outre le maintien de leurs traditions vestimentaires, artistiques ou coutumières ( la ''Guédra'', la célèbre ''Fantasia'' ou le ''T'bourida'' –mot dérivé de ''baroud'' (qui veut dire la poudre ou la guerre)-- il leur reste de ce passé glorieux la pratique, dans les villages les plus reculés, de la Taskiwine, une danse martiale typique des montagnes du Haut-Atlas, qui tire son nom de la corne de bélier richement décorée que porte chaque danseur, le Tiskt, et fait vibrer les épaules au rythme des tambourins et des flûtes en bois d'olivier, ces ''raïtas'' au son si aigre. Cette pratique, qui encourage la cohésion sociale et l’harmonie, a joué un rôle certain dans l'histoire parfois difficile de ce peuple. Nul doute qu'on l'a dansée, et beaucoup, dimanche dernier...
Il me reste à demander pardon à ceux d'entre vous qui ne partagent pas mes choix (que je reconnais parfois contestables) pour tout ce qui touche au Maroc. Mais ceux qui me connaissent connaissent aussi l'analyse que je fais des relations franco-marocaines : ''L'Histoire retiendra que la France a exercé au Maroc une mission iso-coloniale. Mais la vérité est que tout français qui a mis les pieds dans ce pays s'est retrouvé lui-même comme ''colonisé'' par son charme, sa beauté, sa richesse, et la gentillesse de ses habitants''... qui deviennent souvent infréquentables, hélas, dès qu'ils s'expatrient. Mon ami d'enfance le Roi Hassan II aimait faire sur ce sujet des remarques éblouissantes... que nos dirigeants auraient mille fois mieux fait d'écouter religieusement, au lieu de nous enfermer dans leurs certitudes mensongères et doctrinaires qui ne mèneront jamais nulle part !
Nous reviendrons, dès demain, à des sujets plus habituels, c'est promis. En attendant, Bonne Année 2978 à nos amis berbères... même si cette notion n'a pas le moindre sens, en terre d'islam...
H-Cl.
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