#Chez agnes
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En México existe una tradición que se realiza año a año para conmemorar a los difuntos. Me parece una celebración preciosa llena de color y simbolismo, y este año quería sumarme a ella haciendo mi pequeña ofrenda. Se da la casualidad que además, viaje a este maravilloso país apenas 3 semanas de que mi padre falleciera, lo que lo hizo aún más especial.
Siempre he envidiado la manera tan alegre en la que México 🇲🇽 celebra a su muertos, creando estos preciosos #altares esperando que vengan a visitarnos en las noches del 1 y 2 de noviembre, atraídos por las flores y sus recuerdos favoritos.
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“Ce qui me frappe, c'est que [Anne Brontë] est moins passionnée [que ses soeurs].
On a moins cette espèce de fougue et d'élan, qui est surtout la caractéristique des Hauts de Hurlevent.
Elle est peut-être plus "sage", c'est ce qu'on lui a un peu reproché.
Même si dans La Locataire de Wildfell Hall, et il faut lui rendre hommage pour ça, son héroïne claque la porte au nez de son mari.
Certes, il est coureur de jupons et alcoolique, mais on est à l'époque victorienne, et faire ça, c'était d'une audace incroyable.
Audace qui a beaucoup choqué les Victoriens, qui s'émouvaient de peu, il faut le dire. Mais une femme qui écrit ça, fille de pasteur, comment était-ce possible?
Même si on avait un mari alcoolique, coureur de jupons, qui vous trompait à votre nez et à votre barbe même si vous n'en aviez pas, c'était impossible.
On a dit que le fait que l'héroïne claque la porte au nez de son mari résonnait à travers toute l'Angleterre victorienne.
Donc Anne Brontë a été scandaleuse avec La Locataire de Wildfell Hall.
Anne, c'était la petite dernière.
Lorsqu'elle se fictionnalise dans Agnes Grey, elle est obligée de presque taper du poing sur la table pour dire qu'elle veut gagner sa vie, qu'elle veut être gouvernante.
On connait l'importance du thème des gouvernantes chez les Brontë, puisque Jane Eyre est également gouvernante, et qu'il est vrai que c'était un des rares métiers que des filles assez pauvres pouvaient envisager.
Ou alors, trouver un mariage avantageux. Mais visiblement, elle n'avait pas tous les atouts physiques pour espérer un mariage avantageux.
D'ailleurs, seule Charlotte a fini par épouser quelqu'un sur le tard, puisqu'elle avait 39 ans.
Et elle est morte peu de temps après, je ne sais pas s'il faut y voir un lien.”
Source: Sans oser le demander: Dans la famille Brontë, je demande Anne, la sœur la moins connue !
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Ce midi en partant de mon travail pour aller déjeuner chez une amie, baie de l’Orphelinat, je me suis retrouvée au feu rouge à coté d’un gars qui, toutes fenêtres ouvertes, était en train de s’astiquer sans se soucier de ce qu’il se passait autour de lui.
J’étais à coté de sa voiture, en scooter, avec vue plongeante directe sur sa queue en train d’être branlée.
Il m’a regardée tout en continuant à s’astiquer.
Moi évidemment, je ne pouvais pas en rester là. Du coup, mes yeux n’avaient pas décollé de son gland que je vois disparaître et apparaître au rythme de sa main, et j’ai sensuellement légèrement mordu ma lèvre inférieure.
J’ai senti que cela lui avait plus car il a accéléré ses mouvements.
Le feu est passé au vert et je suis partie.
Avec dans la tête ce gland que j’aurai volontiers pris en bouge pour le téter jusqu’à ce qu’il me donne son jus.
Quand je suis arrivée chez mon ami, elle n’était pas encore arrivée et son homme était en train de bronzer sur la terrasse.
Je lui ai raconté ce qui venait de m’arriver.
Quand j’ai fini de raconter, il a sorti sa queue de son short de bain et en se branlant doucement, il m’a demandé si cela ressemblait à ce que je voyais là.
Je ne lui ai pas répondu. Je me suis mise à genoux à coté de lui et ai pris son gland en bouche, comme ce que je voulais faire avec le gars dans la voiture.
Il a continué à se branler avec ma bouche sur son gland.
Il m’entendait gémir car j’étais très excitée par la situation.
Quand il a explosé dans ma bouche, il a posé sa main sur ma tête pour que je ne m’enlève pas.
Je n’en avais pas l’intention et j’ai reçu dans ma bouche tout son jus.
J’ai évidemment avalé ce qu’il m’avait donné et l’ai remercié car il m’a permis de faire ce que j’avais envie.
5-10 minutes plus tard, Agnes est arrivée. Lorsqu’elle m’a fait la bise, elle a du sentir le sperme et elle nous a dit en rigolant qu’elle savait ce qu’on avait fait en l’attendant.
Du coup, elle m’a embrassée à pleine bouche.
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MARDI 13 FEVRIER 2024 (Billet 1 / 3)
« LE DERNIER DES JUIFS » (1h 30min)
Un film de Noé Debré, avec Michael Zindel, Agnes Jaoui, Solal Bouloudnine…
Dimanche après-midi, Marina, vu le temps (pourri) dans la capitale, un peu fatiguée aussi par une longue marche la veille (accompagner JM au Castorama du Pont Bir Hakeim) et ayant du courrier à faire (et oui, il y a encore des personnes qui écrivent avec un stylo sur une feuille de papier), n’a pas voulu voir un film qui, malgré un avis négatif d’une amie d’amie, tentait JM depuis sa sortie.
Mais 2 phrases d’un article dans le Figaro l’ont convaincu : « Le Dernier des juifs, c'est ‘Le Livre de ma mère’ version film de banlieue. C'est surtout une bonne histoire juive, c'est-à-dire une tragédie racontée à la façon d'une comédie. »
En quittant la salle il a vivement regretté de n’avoir pas su convaincre Marina de le suivre car il a BEAUCOUP aimé ce film, à qui il donne ❤️❤️❤️,9 sur 5.
Si vous y allez, vous mettrez sûrement une dizaine de minutes à vous habituer à la bobine, la dégaine et la diction très particulières du jeune acteur principal, une sorte de zozo lunaire avec ses airs d’ado attardé qui parle avec une voix de canard.
JM a ADORÉ que dans ce film « social », au contraire de 90% de la production française, aucun effet n’ait été appuyé, souligné au feutre rouge. Le scénario est très intelligemment construit.
La meilleure critique qu’il ait lue, celle qui représente le plus ce qu’il en a pensé, c’est encore un spectateur sur le Site Allo Ciné qui l’a écrite. Lire ci-dessous.
_________________________
« Le dernier des juifs », une comédie teintée de mélancolie sur le départ des juifs des quartiers populaires mais qui se veut porter, avec une légèreté appréciable compte tenu du contexte actuel, un message de réconciliation entre les communautés. A 27 ans Bellisha vit encore avec sa mère Giselle, dans sa cité de la banlieue parisienne. Giselle, qui ne sort plus de chez elle, croit-elle vraiment aux exploits que lui narre chaque jour son fils, qui se présente comme un champion de « krav maga », méthode de défense développée en Israël à partir de l'expérience militaire, croit-elle vraiment aux talents de commercial qu’il est censé développer avec son cousin en vendant des pompes à chaleur ? Croit-elle tout simplement au monde extérieur qu’il lui décrit, un monde où l’épicier casher du coin agrandit son commerce pour faire face à l’affluence, alors qu’il met la clef sous la porte faute de clients, un monde où l’antisémitisme n’existe pas, où règne une grande bienveillance envers les juifs… Noé Debré qui a derrière lui une longue carrière de scénariste, a décidé de consacrer son premier long métrage à la vie de cette famille vivant dans une banlieue populaire… « Qu’est-ce qu’il y a comme Noirs ! Mais où sont passés les Arabes ? » demande Giselle scrutant de son balcon les allers et venues des habitants… Elle veut à tout prix quitter la France, ou au minimum son quartier, pour rejoindre Saint Mandé et sa communauté juive alors que Bellisha est heureux dans ce quartier où il a ses habitudes, ses potes qui le protègent… Il fallait un Noé Debré, lui-même d’origine juive alsacienne pour se lancer dans la réalisation d’un film sur un sujet fort, celui de l’antisémitisme des quartiers populaires en périphérie des grandes villes, sans être taxé de communautarisme et sans stigmatiser… un film qui déboulonne les clichés sans jamais verser dans l’ang��lisme, faisant passer quelques idées sur le racisme ou l’antisémitisme avec drôlerie et sans prêchi-prêcha. Peut-on rester dans un lieu où l’on vit comme une espèce protégée ? Comment la peur s’insinue-t-elle insensiblement dans les rapports de voisinage ? Sur des sujets aussi sensibles, Noé Debré réalise un miracle d’humour et de délicatesse, épaulé par Michel Zindel et Agnès Jaoui en état de grâce !!! J’ai aimé, j’ai souri, ri plusieurs fois même si le sujet est grave… J’ai été ému… Je vous le conseille !!!
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アニエスベー (agnès b.)
2023年12月31日 アニエスベー(agnès b.)は、1976年にパリのルー デュ ジュールに第1号店をオープンしたファッションブランドです。 創始者であるアニエスベーは、ブランド設立当初からショップに映画のポスターを飾り、店内でお気に入りの音楽を流し、ユニークでアーティスティックな空間を創り出してきました。 アニエスベーのファッションはフレンチカジュアルで上品なイメージがあり、タイムレスな衣服で知られています。 ブランドのアイテムは幅広い年代に愛用されており、シンプルな中にお洒落さを感じさせるデザインが特徴です[1][2][3]。 December 31, 2023 agnès b. is a fashion brand that opened its first store in Rue du Jour in Paris in 1976. Since the brand's founding, the founder, agnès b., has created a unique and artistic space by decorating the store with movie posters and playing his favorite music inside the store. Agnes b. fashion has a French casual and elegant image, and is known for its timeless clothing. The brand's items are loved by people of all ages and are characterized by their simple yet stylish designs.[1][2][3] Citations: [1] https://www.agnesb.co.jp/chez-nous-agnesb/agnesb-s-world/ [2] https://www.agnesb.co.jp/brand/company/ [3] https://buy.watchnian.com/column/detail/291/ [4] https://www.nikkansports.com/m/entertainment/news/202312130000236_m.html [5] https://news.yahoo.co.jp/articles/fa367990366cbfb467e56118388b36e3d4d4273d
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Lettre posthume de Binta Camara : « Hier nuit, j’ai pleuré ». Dans l’imaginaire d’une lettre posthume de la jeune Binta Camara, violée puis tuée alors qu’elle se trouvait seule chez elle. Que ton âme repose en paix ♥ ! Moi Binta Camara ! Sélectionné pour vous : La lettre de Yakham Mbaye au président Macky Sall Ce 18 mai 2019 a sonné la fin d’une vie faite de rêve et d’espoir. Je venais d’avoir seulement 23 ans, le 14 mai. Dans ma dernière demeure, je vous écris ces mots pour un dernier adieu. Hier nuit j’ai pleuré. Comme un enfant, j’ai pleuré. De toutes mes forces, j’ai crié et pleuré. J’ai pleuré parce que plus jamais je ne vous reverrai chèr(es) amis. J’ai pleuré parce qu’un sanguinaire a débarqué chez moi, hier vers les coups de 21h, alors que j’étais seule à la maison, abandonnée à moi même, sans défense ni aide. J’ai pleuré car je savais que les rêves et espoirs que j’avais nourris allé tomber à l’eau. J’ai pleuré parce que toute cette ambition que j’avais de servir ma nation, mais aussi et surtout ma région Tambacounda allait être anéantie. Tambacounda, cette région qui m’a vue grandir vocifère «justice pour Binta» car aucune consolation ne saurait être à la hauteur. De l’école primaire St Joseph au lycée Mame Cheikh Mbaye en passant par le collège Thierno Souleymane Agne, je me suis toujours efforcée à faire la fierté de mes parents et professeurs. D’aucuns se désolent de ma disparition en clamant haut et fort justice. Je suis ou disons j’étais une jeune sénégalaise, citoyenne comme tous les autres mais malheureusement une fille. Pour un simple besoin de satisfaction d’un instinct de libido mon âme m’a été prise. On a privé à mes parents de leurs filles, à mes amis leurs amies. Si seulement, je pouvais rouvrir les yeux pour revoir mes anciens camarades, les serrer très fort, leur donner un long bisou et leur dire dire avec le cœur : un dernier je t’aime. Si seulement, j’avais le pouvoir de faire pareil pour tous les membres de ma famille. Binta Camara et sa Lettre posthume Helas, mon corps reste inerte, je n’ai pas ce pouvoir. On m’a liquidé, je suis parti, mes rêves avec moi. Oui j’avais des rêves comme tout jeune : devenir quelqu’une. Voir mes amis et parents pleurer était mon dernier souhait, aujourd’hui leurs chaudes larmes vont arroser ma tombe. Mes pensées vont à l’endroit de mon papa et de ma maman. Comment va- t-on leur annoncer ma pitoyable agonie ? Comment vont-ils vivre le jour de mes funérailles ? Si vous pensez que c’est normal que je meurs et que mon bourreau continue de vaquer à ses occupations, laissez le délecter le goût de mon sang. Sinon exiger sa condamnation à vie. Dites à toutes et à tous de ne pas oublier de prier pour moi. Je m’appelle Binta Camara et je vous dis Adieu ! Mamadou Dramé »
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Lettre posthume de Binta Camara : « Hier nuit, j’ai pleuré ». Dans l’imaginaire d’une lettre posthume de la jeune Binta Camara, violée puis tuée alors qu’elle se trouvait seule chez elle. Que ton âme repose en paix ♥ ! Moi Binta Camara ! Sélectionné pour vous : La lettre de Yakham Mbaye au président Macky Sall Ce 18 mai 2019 a sonné la fin d’une vie faite de rêve et d’espoir. Je venais d’avoir seulement 23 ans, le 14 mai. Dans ma dernière demeure, je vous écris ces mots pour un dernier adieu. Hier nuit j’ai pleuré. Comme un enfant, j’ai pleuré. De toutes mes forces, j’ai crié et pleuré. J’ai pleuré parce que plus jamais je ne vous reverrai chèr(es) amis. J’ai pleuré parce qu’un sanguinaire a débarqué chez moi, hier vers les coups de 21h, alors que j’étais seule à la maison, abandonnée à moi même, sans défense ni aide. J’ai pleuré car je savais que les rêves et espoirs que j’avais nourris allé tomber à l’eau. J’ai pleuré parce que toute cette ambition que j’avais de servir ma nation, mais aussi et surtout ma région Tambacounda allait être anéantie. Tambacounda, cette région qui m’a vue grandir vocifère «justice pour Binta» car aucune consolation ne saurait être à la hauteur. De l’école primaire St Joseph au lycée Mame Cheikh Mbaye en passant par le collège Thierno Souleymane Agne, je me suis toujours efforcée à faire la fierté de mes parents et professeurs. D’aucuns se désolent de ma disparition en clamant haut et fort justice. Je suis ou disons j’étais une jeune sénégalaise, citoyenne comme tous les autres mais malheureusement une fille. Pour un simple besoin de satisfaction d’un instinct de libido mon âme m’a été prise. On a privé à mes parents de leurs filles, à mes amis leurs amies. Si seulement, je pouvais rouvrir les yeux pour revoir mes anciens camarades, les serrer très fort, leur donner un long bisou et leur dire dire avec le cœur : un dernier je t’aime. Si seulement, j’avais le pouvoir de faire pareil pour tous les membres de ma famille. Binta Camara et sa Lettre posthume Helas, mon corps reste inerte, je n’ai pas ce pouvoir. On m’a liquidé, je suis parti, mes rêves avec moi. Oui j’avais des rêves comme tout jeune : devenir quelqu’une. Voir mes amis et parents pleurer était mon dernier souhait, aujourd’hui leurs chaudes larmes vont arroser ma tombe. Mes pensées vont à l’endroit de mon papa et de ma maman. Comment va- t-on leur annoncer ma pitoyable agonie ? Comment vont-ils vivre le jour de mes funérailles ? Si vous pensez que c’est normal que je meurs et que mon bourreau continue de vaquer à ses occupations, laissez le délecter le goût de mon sang. Sinon exiger sa condamnation à vie. Dites à toutes et à tous de ne pas oublier de prier pour moi. Je m’appelle Binta Camara et je vous dis Adieu ! Mamadou Dramé »
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Lettre posthume de Binta Camara : « Hier nuit, j’ai pleuré ». Dans l’imaginaire d’une lettre posthume de la jeune Binta Camara, violée puis tuée alors qu’elle se trouvait seule chez elle. Que ton âme repose en paix ♥ ! Moi Binta Camara ! Sélectionné pour vous : La lettre de Yakham Mbaye au président Macky Sall Ce 18 mai 2019 a sonné la fin d’une vie faite de rêve et d’espoir. Je venais d’avoir seulement 23 ans, le 14 mai. Dans ma dernière demeure, je vous écris ces mots pour un dernier adieu. Hier nuit j’ai pleuré. Comme un enfant, j’ai pleuré. De toutes mes forces, j’ai crié et pleuré. J’ai pleuré parce que plus jamais je ne vous reverrai chèr(es) amis. J’ai pleuré parce qu’un sanguinaire a débarqué chez moi, hier vers les coups de 21h, alors que j’étais seule à la maison, abandonnée à moi même, sans défense ni aide. J’ai pleuré car je savais que les rêves et espoirs que j’avais nourris allé tomber à l’eau. J’ai pleuré parce que toute cette ambition que j’avais de servir ma nation, mais aussi et surtout ma région Tambacounda allait être anéantie. Tambacounda, cette région qui m’a vue grandir vocifère «justice pour Binta» car aucune consolation ne saurait être à la hauteur. De l’école primaire St Joseph au lycée Mame Cheikh Mbaye en passant par le collège Thierno Souleymane Agne, je me suis toujours efforcée à faire la fierté de mes parents et professeurs. D’aucuns se désolent de ma disparition en clamant haut et fort justice. Je suis ou disons j’étais une jeune sénégalaise, citoyenne comme tous les autres mais malheureusement une fille. Pour un simple besoin de satisfaction d’un instinct de libido mon âme m’a été prise. On a privé à mes parents de leurs filles, à mes amis leurs amies. Si seulement, je pouvais rouvrir les yeux pour revoir mes anciens camarades, les serrer très fort, leur donner un long bisou et leur dire dire avec le cœur : un dernier je t’aime. Si seulement, j’avais le pouvoir de faire pareil pour tous les membres de ma famille. Binta Camara et sa Lettre posthume Helas, mon corps reste inerte, je n’ai pas ce pouvoir. On m’a liquidé, je suis parti, mes rêves avec moi. Oui j’avais des rêves comme tout jeune : devenir quelqu’une. Voir mes amis et parents pleurer était mon dernier souhait, aujourd’hui leurs chaudes larmes vont arroser ma tombe. Mes pensées vont à l’endroit de mon papa et de ma maman. Comment va- t-on leur annoncer ma pitoyable agonie ? Comment vont-ils vivre le jour de mes funérailles ? Si vous pensez que c’est normal que je meurs et que mon bourreau continue de vaquer à ses occupations, laissez le délecter le goût de mon sang. Sinon exiger sa condamnation à vie. Dites à toutes et à tous de ne pas oublier de prier pour moi. Je m’appelle Binta Camara et je vous dis Adieu ! Mamadou Dramé »
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Lettre posthume de Binta Camara : « Hier nuit, j’ai pleuré ». Dans l’imaginaire d’une lettre posthume de la jeune Binta Camara, violée puis tuée alors qu’elle se trouvait seule chez elle. Que ton âme repose en paix ♥ ! Moi Binta Camara ! Sélectionné pour vous : La lettre de Yakham Mbaye au président Macky Sall Ce 18 mai 2019 a sonné la fin d’une vie faite de rêve et d’espoir. Je venais d’avoir seulement 23 ans, le 14 mai. Dans ma dernière demeure, je vous écris ces mots pour un dernier adieu. Hier nuit j’ai pleuré. Comme un enfant, j’ai pleuré. De toutes mes forces, j’ai crié et pleuré. J’ai pleuré parce que plus jamais je ne vous reverrai chèr(es) amis. J’ai pleuré parce qu’un sanguinaire a débarqué chez moi, hier vers les coups de 21h, alors que j’étais seule à la maison, abandonnée à moi même, sans défense ni aide. J’ai pleuré car je savais que les rêves et espoirs que j’avais nourris allé tomber à l’eau. J’ai pleuré parce que toute cette ambition que j’avais de servir ma nation, mais aussi et surtout ma région Tambacounda allait être anéantie. Tambacounda, cette région qui m’a vue grandir vocifère «justice pour Binta» car aucune consolation ne saurait être à la hauteur. De l’école primaire St Joseph au lycée Mame Cheikh Mbaye en passant par le collège Thierno Souleymane Agne, je me suis toujours efforcée à faire la fierté de mes parents et professeurs. D’aucuns se désolent de ma disparition en clamant haut et fort justice. Je suis ou disons j’étais une jeune sénégalaise, citoyenne comme tous les autres mais malheureusement une fille. Pour un simple besoin de satisfaction d’un instinct de libido mon âme m’a été prise. On a privé à mes parents de leurs filles, à mes amis leurs amies. Si seulement, je pouvais rouvrir les yeux pour revoir mes anciens camarades, les serrer très fort, leur donner un long bisou et leur dire dire avec le cœur : un dernier je t’aime. Si seulement, j’avais le pouvoir de faire pareil pour tous les membres de ma famille. Binta Camara et sa Lettre posthume Helas, mon corps reste inerte, je n’ai pas ce pouvoir. On m’a liquidé, je suis parti, mes rêves avec moi. Oui j’avais des rêves comme tout jeune : devenir quelqu’une. Voir mes amis et parents pleurer était mon dernier souhait, aujourd’hui leurs chaudes larmes vont arroser ma tombe. Mes pensées vont à l’endroit de mon papa et de ma maman. Comment va- t-on leur annoncer ma pitoyable agonie ? Comment vont-ils vivre le jour de mes funérailles ? Si vous pensez que c’est normal que je meurs et que mon bourreau continue de vaquer à ses occupations, laissez le délecter le goût de mon sang. Sinon exiger sa condamnation à vie. Dites à toutes et à tous de ne pas oublier de prier pour moi. Je m’appelle Binta Camara et je vous dis Adieu ! Mamadou Dramé »
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Lettre posthume de Binta Camara : « Hier nuit, j’ai pleuré ». Dans l’imaginaire d’une lettre posthume de la jeune Binta Camara, violée puis tuée alors qu’elle se trouvait seule chez elle. Que ton âme repose en paix ♥ ! Moi Binta Camara ! Sélectionné pour vous : La lettre de Yakham Mbaye au président Macky Sall Ce 18 mai 2019 a sonné la fin d’une vie faite de rêve et d’espoir. Je venais d’avoir seulement 23 ans, le 14 mai. Dans ma dernière demeure, je vous écris ces mots pour un dernier adieu. Hier nuit j’ai pleuré. Comme un enfant, j’ai pleuré. De toutes mes forces, j’ai crié et pleuré. J’ai pleuré parce que plus jamais je ne vous reverrai chèr(es) amis. J’ai pleuré parce qu’un sanguinaire a débarqué chez moi, hier vers les coups de 21h, alors que j’étais seule à la maison, abandonnée à moi même, sans défense ni aide. J’ai pleuré car je savais que les rêves et espoirs que j’avais nourris allé tomber à l’eau. J’ai pleuré parce que toute cette ambition que j’avais de servir ma nation, mais aussi et surtout ma région Tambacounda allait être anéantie. Tambacounda, cette région qui m’a vue grandir vocifère «justice pour Binta» car aucune consolation ne saurait être à la hauteur. De l’école primaire St Joseph au lycée Mame Cheikh Mbaye en passant par le collège Thierno Souleymane Agne, je me suis toujours efforcée à faire la fierté de mes parents et professeurs. D’aucuns se désolent de ma disparition en clamant haut et fort justice. Je suis ou disons j’étais une jeune sénégalaise, citoyenne comme tous les autres mais malheureusement une fille. Pour un simple besoin de satisfaction d’un instinct de libido mon âme m’a été prise. On a privé à mes parents de leurs filles, à mes amis leurs amies. Si seulement, je pouvais rouvrir les yeux pour revoir mes anciens camarades, les serrer très fort, leur donner un long bisou et leur dire dire avec le cœur : un dernier je t’aime. Si seulement, j’avais le pouvoir de faire pareil pour tous les membres de ma famille. Binta Camara et sa Lettre posthume Helas, mon corps reste inerte, je n’ai pas ce pouvoir. On m’a liquidé, je suis parti, mes rêves avec moi. Oui j’avais des rêves comme tout jeune : devenir quelqu’une. Voir mes amis et parents pleurer était mon dernier souhait, aujourd’hui leurs chaudes larmes vont arroser ma tombe. Mes pensées vont à l’endroit de mon papa et de ma maman. Comment va- t-on leur annoncer ma pitoyable agonie ? Comment vont-ils vivre le jour de mes funérailles ? Si vous pensez que c’est normal que je meurs et que mon bourreau continue de vaquer à ses occupations, laissez le délecter le goût de mon sang. Sinon exiger sa condamnation à vie. Dites à toutes et à tous de ne pas oublier de prier pour moi. Je m’appelle Binta Camara et je vous dis Adieu ! Mamadou Dramé »
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Lettre posthume de Binta Camara : « Hier nuit, j’ai pleuré ». Dans l’imaginaire d’une lettre posthume de la jeune Binta Camara, violée puis tuée alors qu’elle se trouvait seule chez elle. Que ton âme repose en paix ♥ ! Moi Binta Camara ! Sélectionné pour vous : La lettre de Yakham Mbaye au président Macky Sall Ce 18 mai 2019 a sonné la fin d’une vie faite de rêve et d’espoir. Je venais d’avoir seulement 23 ans, le 14 mai. Dans ma dernière demeure, je vous écris ces mots pour un dernier adieu. Hier nuit j’ai pleuré. Comme un enfant, j’ai pleuré. De toutes mes forces, j’ai crié et pleuré. J’ai pleuré parce que plus jamais je ne vous reverrai chèr(es) amis. J’ai pleuré parce qu’un sanguinaire a débarqué chez moi, hier vers les coups de 21h, alors que j’étais seule à la maison, abandonnée à moi même, sans défense ni aide. J’ai pleuré car je savais que les rêves et espoirs que j’avais nourris allé tomber à l’eau. J’ai pleuré parce que toute cette ambition que j’avais de servir ma nation, mais aussi et surtout ma région Tambacounda allait être anéantie. Tambacounda, cette région qui m’a vue grandir vocifère «justice pour Binta» car aucune consolation ne saurait être à la hauteur. De l’école primaire St Joseph au lycée Mame Cheikh Mbaye en passant par le collège Thierno Souleymane Agne, je me suis toujours efforcée à faire la fierté de mes parents et professeurs. D’aucuns se désolent de ma disparition en clamant haut et fort justice. Je suis ou disons j’étais une jeune sénégalaise, citoyenne comme tous les autres mais malheureusement une fille. Pour un simple besoin de satisfaction d’un instinct de libido mon âme m’a été prise. On a privé à mes parents de leurs filles, à mes amis leurs amies. Si seulement, je pouvais rouvrir les yeux pour revoir mes anciens camarades, les serrer très fort, leur donner un long bisou et leur dire dire avec le cœur : un dernier je t’aime. Si seulement, j’avais le pouvoir de faire pareil pour tous les membres de ma famille. Binta Camara et sa Lettre posthume Helas, mon corps reste inerte, je n’ai pas ce pouvoir. On m’a liquidé, je suis parti, mes rêves avec moi. Oui j’avais des rêves comme tout jeune : devenir quelqu’une. Voir mes amis et parents pleurer était mon dernier souhait, aujourd’hui leurs chaudes larmes vont arroser ma tombe. Mes pensées vont à l’endroit de mon papa et de ma maman. Comment va- t-on leur annoncer ma pitoyable agonie ? Comment vont-ils vivre le jour de mes funérailles ? Si vous pensez que c’est normal que je meurs et que mon bourreau continue de vaquer à ses occupations, laissez le délecter le goût de mon sang. Sinon exiger sa condamnation à vie. Dites à toutes et à tous de ne pas oublier de prier pour moi. Je m’appelle Binta Camara et je vous dis Adieu ! Mamadou Dramé »
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SPORTS: LA CHAMPIONNE OLYMPIQUE KENYANNE AGNES TIROP RETROUVÉE MORTE CHEZ ELLE, SON MARI EST SOUPÇONNÉ DE L'AVOIR POIGNARDÉE.
SPORTS: LA CHAMPIONNE OLYMPIQUE KENYANNE AGNES TIROP RETROUVÉE MORTE CHEZ ELLE, SON MARI EST SOUPÇONNÉ DE L’AVOIR POIGNARDÉE.
La coureuse de fond kenyane et olympienne Agnes Tirop a été retrouvée morte mercredi à son domicile dans l’ouest du Kenya. Tirop a été deux fois médaillée de bronze aux championnats du monde du 10 000 mètres et a terminé quatrième du 5 000 mètres aux Jeux olympiques de Tokyo. Elle avait 25 ans. Tirop a été découverte après que son père eut signalé sa disparition mardi soir. Son mari est porté…
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I WATCHED GOOD OMENS IN FRENCH SO YOU DON’T HAVE TO
and it wasn’t that bad. Here are my thoughts, barely edited as I wrote most of them while watching the show.
EP 1
OK i like god’s voice so far
possibilité d’embarras gastrique is a good formulation, I wonder if it’s the same in the book ( I think I kinda need to read it in french now...)
aghghdhgs « primo-délinquants »
of course subtitles don’t match the audio for a variety of technical reasons but when you get things that have very different underlying meanings i find it… not good This one about Crowley being evil / a demon : subtitles : « c’est ton travail » - « it’s your job » audio : « c’est dans ta nature » - « it’s in your nature » i mean dang
crowley sounds like a little shit asking az about his sword
« T’AS FAIT QUOUA » - he just loses his shit (kinda giving me some le coeur a ses raisons vibe)
ok crowley sounds very nerdy when he tries to explain that he took down the phone network, i think i actually like this voice acting
ligur sounds… very suave (im a little ill at ease)
crowley getting called mon chou by satan freddie mercury is a thumb up from me
i see the part where aziraphale speaks japanese wasn’t dubbed over and we can still hear michael sheen. it’s a bit disturbing considering french aziraphale has a higher pitched voice (and he sounds soooo much more anxious than sheen, give this angel a xanax )
“sandwich bœuf cresson” ( beef and cress sandwich ) deirdre really who makes this kind of sandwiches
im being reminded that the chattering nuns prepared little cut outs for their explanation about the antichrist switch… such dedication to useless crafts (it made me laugh on my first viewing and it’s still funny to imagine that some of them either ordered or built these things themselves just so they could make this two minutes long presentation for the most important act of their satanic nun careers)
retire-toi vil démon infernal, créature des abysses XD i swear az doesn’t sound even remotely convinced when he is saying the « get thee behind me foul fiend » line in french, it’s just too over the top for credibility, it sounds like it’s straight out of some super intense dnd session
they still can’t say bouillabaisse (which, like, weird because french, but still valid). nice touch is crowley couldn’t say soupe de poisson (fish stew) either and said poupe de soisson (sish ftew)
warlock mah boy how can you be a teenager and not like dinosaurs
c’est un dinosaure un nullosaure plutôt - apply burn heal
La façon dont warlock s’est exclamé « C’EST NUL » m’a fait penser au nain de naheulbeuk
the english version has nothing on french speaking aziraphale for the second hand embarrassement during the magic tour. it’s over 9000 i literally hid my head in my jumper when he was presenting harry the bunny. Horrible experience, 0/20, would not recommend
EP 2
oooh agnes has a lovely voice !
why is young newton having such a quality dub for the three sentences he has to say
dick turpin’s name is jesse james (tbf dick turpin is not known AT ALL in france, i discovered him reading good omens)
shadwell is pure chaos (as expected). No particular accent for him though, the chaotic energy was probably enough. Would have made me laugh if he had like, a chti or a marseilles accent.
aziraphale is so fucking stressed out by crowley’s driving i thought he was gonna explode
« tu es un gentil garçon » => « you’re a nice boy » said az to crowley DANG THAT’S SO INFANTILIZING AZIRAPHALE YOU’RE TALKING TO A DEMON FROM HELL NOT TO PINOCCHIO
ARGH FIRST MON ANGE OF THE SERIES i’m hit straight in the heart
anathema’s mom doesn’t have a spanish / latino accent at all when talking in spanish…. why...
dog being called toutou is definitely adorable (it’s basically « doggy » but way cuter imo)
tickety-boo has become ça gaze. that’s valid. it’s corny but i still use it unironically from time to time so ... i stan
EP 3
« je répands la fomentation » « i’m here spreading foment » « quoi tu fais des crêpes au froment ?????? » « what you’re making crêpes with wheat ??? » love the fact that we shoehorned in one more ref to crêpes
az called crowley mon cher camarade, unintentionnal communist propaganda ftw
« pas de repos pour les… bah, pour les bons » « no rest for the… good » – az was so deflated about the ineptitude he realized he was saying, he felt zero percent commited to his sentence
i was wondering how they would play aziraphale not being able to speak french in the bastille and they opted to have him stutter a bit and say to his executionner « excuse me i’m anxious » XD
« vous êtes le 999e aristo à mourir par mes soins. Mais vous êtes le premier en costume beige » « you’re the 999th aristocrat I’m going to kill, but the first one in beige attire » yeah i guess now that az isn’t english anymore his most noticeable feature is his cream aesthetic
« c’est au cas où ça tournerait en eau de boudin » « j’ADORE le boudin » => « in case it all goes pear shape » - the literal translation featuring food in french is « turning into black sausage water ». I don’t know what pear shaped inspires to english native speakers but the mere mention of boudin always make me giggle, it’s such a funny word and such a funny food
OH !!! no terrence rampa for the tv series, we’ve got anthony J. rampa. Rip terrence petit démon parti trop tôt :’(
« tu roules trop vite pour moi rampa » SERIOUSLY i know we can still infer « rouler » (here as in driving, but literally rolling) as a metaphor for their relationship but you could have said TU VAS TROP VITE that would have been so much better argh
has anathema got an emergency stock of potteries to break in case of emotionnal crisis ?
« Rampa, un démon très futé, il m’oblige à redoubler d’effort » « crowley, a very clever demon, he forces me to make double the amount of effort » oh so admitting you’re making an effort there aziraphale ? :))))))
dang i really want to know how shadwell said that major milk bottle died because not only did he die in combat but aziraphale’s reaction is a bit intense, it must have been quite a tale (this could be a crack fic prompt : «The Epic Tale of the Death Of Major Witchfinder Milk Bottle, by Sargent Witchfinder Shadwell» )
des sorcières et des phénomènes sorciéreux x)
CROWLEY CALLED AZIRAPHALE DUCON ?????? EXCUSE ME ????? #NotMyCrowley #CrowleyWouldNeverDoThat #CancelAnthonyJRampa2K20 => ducon would be an insult, the gathering of du and con, con being a very nasty but common swear word, and associating it with du- makes it extremely patronizing. it’s like « absolute pathetic digraceful moron +++ ». thanks i hate it *frowny face *
EP 4
l’apocalypse c’est pour aujourd’hui juste après le goûter : it could be translated as « apocalypse is scheduled for today right after tea time » except that « goûter » is not quite tea time but rather the little sugary snack kids take when they come back from school and that most adults drop out of (i haven’t and i’m sure az hasn’t either). thanks aziraphale for having exclusively food related notion of the time because tbh same
ligur has no right to be this sexy between ariyon bakare and his french voice actor that’s just not allowed
radio crowley’s voice vs french ligur’s voice, who has the sexiest voice : FIGHT
(jk french agnes nutter’s voice is by far the sexiest)
gender neutral doesn’t ‘quite’ exist in french but pollution has been assigned a female voice actress and masculine pronouns (i’m saying it doesn’t quite exist because officially we have no gender neutral, but it’s a serious wip among lgbt+ circles to the point where it’s started being used in a few medias)
hastur « en attendant qu’un plombier vienne » / « while waiting for a plumber to come » does hell have a special plumber unit or do demons have to call on human plumbers for their pipes damages ? Dang hastur having to call a human plumber for hell’s plumbery is another damn good writing prompt for a crack fic
Michael is called Michel in the subtitles but Michael in the audio *shrug emoji*
EP 5
to get a wiggle on has become « il faut qu’on se remue les fesses », literally « we need to shake our butts » like, yes, se remuer les fesses is a common expression to say « we need to act in order to get things done » but it really casts the image of people shaking their booty to some music and obviously crowley thinks the same Weirdly enough I have almost nothing to say for that episode. Sorry. But we’ve discovered most voice actors and actresses so far and no bit of dialogue really struck me as worth discussing or pointing fingers to mock it.
EP 6
« on va BROUTER quelques derrières » - « we’re gonna lick some butts » OK THIS IS UNQUESTIONNABLY FAR SUPERIOR IN FRENCH THAN IN ENGLISH you thought LICKING butts was good ??? you really thought that ???? AZIRAPHALE HERE SUGGESTS TO GRAZE BUTTS. TO NIBBLE THEM. TO EAT THEM. TO. MUNCH. ON. THOSE. BUTTS!!!! not just licking, guys. This is as serious step beyond licking. (oh yeah he should have said « botter » instead of brouter btw, which is really just kicking, fyi)
« moi je crois en la paix, pétasse ! » wow, language, pepper (fyi i think « pétasse » is far far worse than « bitch » even if it means roughly the same, pétasse is almost never used while bitch is rather common, so it’s a swear word +++)
Dagon sounds like she’s got a nasty cold. #GetDagonIbuprofen2K20
I can confirm that Crowley offers Aziraphale to not just stay at his place, but to move in with him. « tu peux t’installer chez moi si tu veux ». omg they were roommates.
Bad translation strikes again : i don’t know why, but the french dub doesn’t have the « tickety-boo » / « ça gaze » being referenced as Rampa / Aziraphale is being knocked down, which is… a real mistep. It was narratively significant and I’m quite mad the translators missed it.
The Jesse James explanation from Newt has become very nonsensical, instead of the neat and to the point pun « wherever I go I hold up trafic » we’re getting a circonvoluted « because it’s a crime to mechanic’s diligence ». I’m not judging that one too hard, I have no idea how to make it better, and that’s probably how it was translated in the book as well thirty years ago, but it definitely doesn’t have the same impact. On the other hand, it definitely IS a very bad joke that doesn’t even deserve a chuckle, so Anathema’s embarassement really matches the audience’s (aka mine).
OVERALL :
I wasn’t convinced by Crowley… I mean, Rampa’s voice at first, but as the nerdiness showed up it really grew on me. I still think that french dubs have often problems with some voice inflexions every here and there, and for instance in Rampa’s case it was when he was annoyed or frustrated ( at the Globe when complaining about horses and Shakespeare’s plays that aren’t comedies, and also when discussing Azirphale’s magic tricks, it’s like… there is a step between having the right amount of grumpy complaining and overdoing it that is overlooked. It’s overacted, it should have been a bit quieter imo. I don’t mean to criticize voice actors too hard either but as an audience watching french dubs this is a very recurring problem and it always feels off to me. It’s actually one of the main reasons I avoid french dubs whenever possible.)
I have a hard time judging Aziraphale’s voice dub because it clashes so much with both the idea I had formed with it when I read the book and Sheen’s delivery that I just… kinda filtered it. It was too high pitched for me, and too anxious (though for this last point I must admit it could be funny at times, but I’m not fond of this character portrayal). The rest of the cast was rather good, nothing to complain about. There wasn’t anything stellar either, but everything that needed to be conveyed was and it was professionnal. It was also very homogeneous, no voice really struck me as being way too bad or way too good compared to the others, so it was really consistant.
So I don’t have much to complain about overall despite a few wonky translations here and there, BUT there is one thing I felt very robbed of : Crowley calling Aziraphale « mon ange » happens only once, when giving a lift to Anathema, and I’m almost certain they translated it that way because otherwise the joke about Anathama mistaking them for a couple wouldn’t work. So, they were forced to make it that way. The rest of the time Crowley calls Aziraphale « l’angelot », and despite being literally translated by « little angel », it feels sarcastic more than anything else ( the « L’ » in front of « angelot » is part of the reason why, it creates some distance, the other reason being that this word in itself has a very corny vibe and people being affectionnate to each other wouldn’t use it as a term of endearment). So, that’s a shame.
I like the English dub much much MUCH better than the French, but the french wasn’t nearly as bad as I was expecting it to be. The voice actors and actresses were quite good, the dialogues mostly faithful and endearing despite a few really missed steps. It really had its moments. Props to brouter des derrières, that one was fantastic.
#good omens#french#french omens#tv omens#my stuff#meta#review#long post#text post#i hope you found this entertaining :)
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En 1978 Étienne Daho, étudiant timide mais fou de musique organise un concert à Rennes où se produiront "Les Marquis de Sade" et les Stinky Toys, la crème de la « New wave » française. Ne connaissant rien à l'organisation d'un concert, ce sera un désastre. Le public casse les portes et rentre de force dans la salle. Daho est obligé de rembourser les dégâts. Ça commence mal ! À l'époque, il n'envisage pas de chanter mais écrit des chansons. Pourtant une maquette atterrit chez Virgin France et Étienne Daho, devient le premier chanteur français signé par cette toute jeune maison de disque. En 81 sort "Mythomane". Sur la pochette, il porte un blouson rouge, qu'il aime pour son côté James Dean, un cadeau de Elie Medeiros qu’il portera jusqu’à l'usure. Dans la foulée, il enregistre "Le grand sommeil" puis en 1984 sort La Notte, La Notte . On passe à la vitesse supérieure ! week-end à Rome avec Lio marque le début de la dahomania. Le succès ne transforme pas son look auquel il restera fidèle presque toute sa carrière ; jean, chemise ou t-shirt sombre, perfecto noir, bombers ou veste grise, bleu nuit ou noir. Sur la pochette, devenue légendaire, shootée par Pierre et Gilles, il arbore une marinière Saint James. Vers les années 2000/2010 il ajoute à sa garde-robe des costumes plus structurés. Les créateurs emblématiques de l'époque comme Paul Smith, Agnes B ou encore Saint-Laurent et Dior Homme l'habillent. Hedi Slimane, très ami du chanteur, lui crée des pièces comme le manteau Dior Homme bleu marine, baptisé « Le Daho »., il imagine aussi pour la tournée “Eden" une veste noire pailletée qui brille dans le noir. “Les tenues de scène sont des compagnons de route et des armures dans lesquelles on se glisse pour devenir l’Autre. Elles sont chargées de toutes les énergies et émotions" daniellevychemisier #etiennedaho #icone #àlafrançaise Merci @ze_french_do_it_better pour ce texte. (à Daniel Lévy) https://www.instagram.com/p/CUDJNEKsqLw/?utm_medium=tumblr
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