#Chair de Poule
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nextposition1 · 5 months ago
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ctoujourspasmoi · 11 months ago
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annebrontesrequiem · 2 years ago
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C'est dangereuse avoir une estime de soi très bas sur l'internet lol
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gacougnol · 2 months ago
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Gilles Rigoulet
Chair de poule
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e642 · 1 month ago
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Les semaines se ressemblent beaucoup. Je vois que le temps défile à des détails, au ciel tombant, aux échéances, au froid qui s'installe, à la pluie qui bat le sol, à la couette, aux fruits de saison qui se renouvellent, à la chaire de poule, aux pupilles qui se dilatent dès 19h, aux rats qui courent les rues, aux réverbères. Autrement, tout se confond, les dates, les jours, les impératifs, les musiques, les ombres, les conversations, les visages. Nulle part est mon refuge, j'ère dans plusieurs foyers, présences, villes avec cette impression que je n'y attends rien et que rien ne m'y attend non plus. Les sourires dans la rue ne m'auront jamais autant réchauffé le cœur. J'aime voir les gens sourire, voir les rides d'expression plier leur peau toute terne, le rendre. L'hiver fera son nid, dans mon cœur y compris. Tout finira par passer, plus j'en suis sûre plus c'est long.
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lisaalmeida · 1 year ago
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J'aime les belles choses, les belles histoires qui disent quelque chose, j'aime tout ce qui fait palpiter le cœur...
Il est bon d'avoir la chair de poule, cela signifie que tu es en train de vivre....
Jose Saramago
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nextposition1 · 2 years ago
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les-portes-du-sud · 1 month ago
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L'amour... qu'est-ce que c'est ?
L'amour est comme ça, un peu pareil
Une volée d'oiseaux printaniers est à votre porte.
Cela vous donnera probablement la chair de poule.
Et un beau papillon posé sur la paume.
Pas besoin de deviner, pas besoin de couper les cheveux en quatre.
Il sera temps d’AIMER sur votre montre.
Alena Lénine.
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cricxuss · 13 days ago
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Sous la table de réunion elle avait disparu. Personne ne pouvait savoir qu'elle était présente sauf.. lui , qui avec malice l'y avait fait entrer avant que tout le monde ne soit présent... Il lui avait dit de se mettre au centre de la table.. que toutes les personnes puissent s'assoir sans deviner sa présence... Il lui fallait deviner où il était placé !! Lorsqu'elle a vu 15 paires de chaussures elle a blêmi.. toutes des noires .. avec ou sans lacets !! Mon dieu.. et Lui.. elle n'avait pas fait attention ce matin en partant.. elle ne regarde jamais ses pieds d'ailleurs !!! Son costume... de quelle couleur déjà ?? ha oui.. bleu antracite ! Il y en avait.... quatre !! Se concentrer, se rapprocher de chaque personne avec attention et l'écouter parler... sa voix, elle la reconnaitrait entre mille !! deux jambes, puis quatre... mais enfin... sera-t-il le dernier des quatre ?? Elle a mal aux genoux et elle doit faire attention de ne toucher personne ! Il va finir par s'impatienter, aller.. celui de droite...Zut, il ne prononce pas un mot, rien... se rapprocher un peu plus.. tant pis.. essayer de voir...une main qui se glisse sous la table... et se pose sur un genou.. elle regarde bien, sourit, oui... SA main !!! Signe discret pour la diriger un peu... elle pose ses deux mains sur ses cuisses.. oup'sss il sursaute imperspectiblement... et puis il lui fait une place là.. entre ses jambes. elle ne perd pas de temps.. d'un zip elle descend la braguette, d'une main sûre elle sort le Délice de sa cachette et d'une bouche gourmande se met à le sucer... humm qu'elle aime la douceur de sa peau, son odeur... elle sert un peu plus les lèvres pour bien le sentir aller et venir dans sa bouche... de petits coups de langue bien placés pour le faire vibrer.. elle aspire, va et vient et puis... elle se décide à le lécher sur toute la longueur... Une main ferme se pose sur sa tête !! hummm il a l'air d'adorer, elle aussi d'ailleurs .
Lécher ce gland offert, elle tourne sa langue tant et plus en aspirant un peu, passe sur la fente bénie... y enfonce le bout de sa langue.. arffff... délicieux... hoooo juste une petite goutte là qui perle... elle se recule un peu... par malice de deux doigts elle pince le bout de ce gland et en fait sortir cette goutte qu'elle lèche avec un plaisir non feint... et puis encore des va et vient .. plus rapides, plus forts... de sa main gauche elle joue avec les couilles qui lui sont offertes, elle les roule entre ses doigts..Elle va , vient sentant la veine gonfler.. sa bouche est pleine de lui, ses joues sont gonflées... ce gland au fond de sa bouche qui caresse son palais.. plus vite et plus fort encore... elle sent que l'instant arrive, elle le sent se crisper...il appuie si fort sur sa tête qu'elle sait que là... le moment est enfin à son paroxysme... il explose en elle !!! liquide doux et un peu amer... elle avale avec plaisir, elle en a la chair poule.. si seulement il pouvait la regarder à cet instant... elle aimerait voir ses yeux... son sperme glisse dans sa gorge... hummmm... gouttes de bonheur... nectar d'un dieu....
MartyWha@tous droits réservés 20160620
Bel après-midi à toutes et tous :)
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sh0esuke · 1 month ago
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" Frustration " FRENCH VERSI0N.
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Joshua Washington.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Après plusieurs mois passés à étudier, la fratrie Washington peut enfin aller se reposer au Washington Lodge situé à Blackwood Mountain, cette fois, cette escapade étant plutôt minimale, ils n'emportent qu'une seule personne avec eux. Le début du week-end commence et l'invitée semble avoir beaucoup de choses à rattraper avec Josh. Sans parents en vue, loin du centre ville, ils n'ont plus qu'une chose en tête..
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : contenu sexuel.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟏𝟐𝟔.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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« Ferme la fenêtre ! Il fait un froid de canard. »
J'apporte mes mains à mes bras, les frotte vigoureusement en espérant faire disparaître ma chair de poule. Un blizzard fou souffle dehors, les volets claquent et des flocons de neiges parviennent à s'infiltrer dans la chambre, ils s'immiscent et tâchent le parquet. J'ai beau avoir une couverture sur mes épaules et mes jambes emmitouflées sous la couette, je suis morte de froid, mon corps tremble de lui-même. Mes orteils sont frigorifiés. L'hiver a toujours été dangereux ici, dans les montagnes, c'est à ce demander pourquoi la famille de Josh en a fait une tradition. Ce doit être une habitude pour lui, il a presque grandi ici le froid ne doit plus rien lui faire. Mais tant pis pour lui, moi je suis frêle et je n'en peux plus. Je n'attends qu'une chose c'est qu'il ferme cette fichue fenêtre et qu'il me rejoigne.
« Deux secondes, mon cœur, j'essaie de mettre de l'ambiance. Je voudrai pas que les voisins nous épient pendant qu'on se réchauffe. » plaisante-t-il.
« Tu vas rien réchauffer du tout si tu continues. »
« Quoi ? Tu me brises le cœur.. j'ai tout fait pour te ravir, c'est un peu de vent qui va m'empêcher de te câliner ? »
John tourne la poignée. Il me questionne du regard, feignant l'offense.
« Y'a personne à des kilomètres, » je peste. « Dépêche toi ! »
Un sourire fend ses lèvres. Il s'approche du lit, retire sa veste, et grimpe dessus avant de se pencher au dessus de moi. Nos visages se rapprochent. Je m'appuie sur mes coudes de manière à le rejoindre et pose un baiser sur sa bouche. La couverture glisse de mes épaules, elle s'affaisse sur l'oreiller et m'arrache un frisson au passage ⸺ou alors c'est dû à Josh qui glisse sa main sur ma nuque, caressant ma mâchoire de son pouce. Mon bas ventre frétille. Je ferme les yeux et le laisse mener la danse.
Josh m'embrasse.
La journée a été rude, entre la marche à pied en montagne, la mise en place du chalet, Josh, moi, Hannah et Beth avons travaillé dur pour faire de leur maison de vacances un havre de paix. Le reste de l'année elle prend la poussière alors il y avait de quoi faire.
J'ai pensé à ça toute la journée. Moi, lui, enfin seuls dans sa chambre, j'ai rêvassé entre deux coups de plumeau, entre trois batailles de boule de neige, et un déjeuner qui m'a laissée sur ma faim. Alors l'avoir à présent contre moi, ses mains sur mon corps et ses lèvres pressées sur les miennes, c'est une sensation fantastique. Je le veux encore plus près. Je veux entièrement m'abandonner à lui, oublier nos examens à venir, la pression d'un avenir incertain et les attentes inaccessibles de nos parents. Tout s'effondre pendant qu'il fait glisser la couette le long de mes jambes et qu'il se faufile entre elles. Sa main remonte sur mon visage, il me force à lever la tête et plonge sa langue entre mes lèvres. Je frémis. La pulpe de mes doigts palpite, mon cœur s'emballe et je perds la raison. Un feu s'embrase en moi, qui me fait oublier toute sensation de fraîcheur, et qui me donne l'irrésistible envie de me laisser aller.
Josh a les lèvres douces. Elles sont fines et onctueuses. J'ai toujours aimé les toucher, peu importe que ce soit avec les miennes, mon index ou d'autres parties de mon corps. J'aime les sentir se presser sur ma peau. Elles me donnent l'impression de voler. C'est aussi simple que ça; elles me touchent et plus rien n'existe, tout disparaît pour ne laisser que lui et moi.
Mes mains remontent de ses épaules jusqu'à ses cheveux. Ses mèches s'emmêlent, je les caresse. Nos lèvres persistent à se rencontrer tandis qu'il me surplombe et que j'essaie de respirer entre deux baisers. Sa langue frôle aussi la mienne. Je gémis. Les bruits humides de notre échange me rend toute chose. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je le sens partout autour de moi, tout ce que mes jambes touchent, mes bras, tout ce que mes oreilles entendent et mes narines sentent, tout ne se résume qu'à lui.
J'ai encore froid mais ses bras qui s'enroulent autour de ma taille et son torse qui écrase ma poitrine m'engloutissent dans une bulle ardente. Je ne sais pas comment c'est possible mais Josh ⸺qui était vautré à la fenêtre quelques minutes plus tôt⸺ me réchauffe. Ses narines soufflent contre moi. Il grogne et baise mes lèvres.
Lorsque j'agrippe son cou et rouvre les yeux, j'entends la porte de la chambre grincer. Josh paraît perplexe se détachant de moi.
« Joshua ? On vous dérange pas ? » dit une voix.
Nous tournons la tête. Sursautons.
« Beth ? Hannah ? »
Josh se sépare de moi, il s'avance sur le bord du lit puis se lève, déglutissant. C'est au même moment que ses sœurs apparaissent dans le cadre de la porte, toutes deux accompagnées d'une couverture et de nourriture. Embarrassée, je rattache une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et me racle la gorge, cela ne suffit pas à faire disparaître le nœud dans ma trachée.
« Qu'est-ce que⸺ hum, vous êtes pas parties dormir ? » s'étonne mon copain.
« Il est trop tôt. » affirme Beth.
« On voulait regarder un film. Vous venez ? » propose Hannah.
Assise en tailleurs, je leur fais un signe de la main auquel elles répondent avec enthousiasme. Hannah me sourit.
« On était⸺ » Josh me jette un coup d'œil. « On était un peu occupés. »
« Vous aurez tout le temps de vous rouler des pelles, aller, venez ! On va mettre un film d'horreur et on a trop peur de le regarder seules. »
« Viens nous protéger ! » insiste Hannah.
Josh est convaincu, il ne lui en faut pas plus; je le sais car il n'oserait jamais dire non à ses sœurs, elles lui sont trop précieuses. Mais la manière dont il ne cesse de regarder dans ma direction me fait comprendre qu'il a peur de me décevoir. Il a dû saisir que je n'attendais que ça. Malgré l'affection que je porte à mes deux amies, je ne suis pas venue dans ce coin perdu au beau milieu de nul part pour ne pas profiter de mon copain et des merveilles que du temps passer à deux nous réserve. Toute l'année j'y ai pensé. Avec les études, les révisions et nos parents, c'est à peine si nous avons eu le temps de passer du temps tout les deux. Ce soir c'était l'occasion rêvée.
Malheureusement je crois que je vais devoir me faire une raison.
Mes pieds touchent le sol, je me redresse et m'approche de mon copain. Un peu hors d'ici, il me fixe avec de gros yeux, j'ai du mal à savoir si il est avec nous. Toutefois, au moment où ma main prend la sienne, il nous revient.
« Allons-y, Josh. »
Il fronce les sourcils.
« Tu es sûre ? »
« Mhh. Tes sœurs nous attendent, viens. »
Il bouge sans mal, il me suffit de le tirer un peu pour rejoindre Beth et Hannah. Elles nous ouvrent la porte, gloussant joyeusement, et je leur souris en retour. Elles partent sans nous, se précipitant hors du couloir et dévalant les escaliers en direction du salon. Beth s'exclame, sa sœur rigole. Leur enthousiasme me fait chaud au cœur, je ne me voyais vraiment pas demander à Josh de refuser leur proposition, elles sont beaucoup trop adorables. Et puis je pars du principe que nous ne sommes pas seuls, ça serait idiot de notre part de rester de notre côté le premier soir, voire tout notre séjour ici.
Hannah et Beth l'auraient compris. Elles savent que Josh et moi sortons ensemble ⸺depuis plusieurs années déjà, c'est à peine si je me souviens de celles que j'ai passé sans l'avoir à mes côtés⸺ ça ne les aurait pas dérangées de nous laisser seuls un peu. C'est loin d'être la dernière fois que nous nous éclipsons pour faire l'amour. Néanmoins ce n'est pas le genre de chose que j'apprécie faire; garder leur frère rien que pour moi, ne pas le partager et monopoliser sa soirée. Pas tout en sachant qu'il remuerait ciel et terre pour elles. Je préfère largement leur faire plaisir et attendre un peu, ça n'est pas comme si il allait disparaître du jour au lendemain : nous avons le reste de nos vies pour nous rouler des pelles et nous amuser sous les draps. Je ne dis pas que ça ne m'embête pas, je sais juste reconnaître le bon choix à faire dans une telle situation. Et puis nous allons passer une bonne soirée, dans les deux cas nous sommes gagnants.
Je me colle à mon copain et lève les yeux dans sa direction. Il m'est difficile de l'apercevoir avec toute cette obscurité mais je sens ses doigts serrer les miens et la chaleur de son corps partagée à la mienne. Josh est là, il me le fait savoir.
« Je viens de passer à côté de la meilleure partie de sexe de ma vie. » il peste, ce qui me fait rire.
« La meilleure ? »
« Je te jure j'en avais le pressentiment. Tu m'as vu ? Je nous ai mis dans une ambiance parfaite, ça t'a réchauffée en un clin d'œil. »
« Abruti.. C'était qu'une fenêtre. »
« Ah ha, » il me reprend. « j'ai bien vu comment tu réagissais, tu m'as jamais sorti ça, ça veut tout dire. »
« Quoi, tu crois que tu t'améliores ? »
« Je crois ? J'en suis sûr ! »
Roulant des yeux, je lui tape le torse.
« Tu te sens pousser des ailes surtout, ça fait juste longtemps qu'on a rien fait. »
« Et ? ��a veut pas dire que mon attention au détail n'y est pour rien. Tu serais surprise de voir ce qu'une bonne ambiance peut faire. »
« T'as appris ça dans un porno ? » je demande, rieuse.
« Ha ha, très drôle. »
Josh embrasse ma joue.
« T'es bien la seule nana que j'ai envie de voir jouir. J'ai testé une théorie et elle s'est avérée vraie, c'est tout. »
« C'est tellement gentil je prendrais presque ça pour un compliment. »
Nous arrivons enfin aux escaliers. Tout comme Hannah et Beth précédemment, nous les descendons. D'ici, je vois la lumière de la télévision et entends mes deux amies se disputer à propos du film qu'elles veulent mettre, il y a apparemment deux films d'horreur sur lesquels elles n'arrivent pas à se mettre d'accord.
Josh tire sur ma main. Je m'arrête.
C'est doux, la manière dont il me tire à lui et me presse au cœur de ses bras. Je fonds dans son étreinte. Son corps pressé au mien et ses beau yeux sombres rivés sur ma petite personne. La lumière naturelle qui passe au travers des volets illumine son visage, ce sont des tons bleu, et avec tout ce noir dans le chalet je ne vois qu'une partie de son visage, mais ça me suffit. Je connais les moindres recoins de son être. Physique ou spirituel, je n'ai pas besoin de lumière pour le retrouver. C'est dur d'y croire. Que tout ça est réel, je veux dire. Cet univers est vaste, je suis une personne sur des milliards d'êtres existant déjà, et pourtant j'ai droit à ça. J'ai la chance d'avoir celui que j'aime, d'être aimée en retour et de pouvoir en profiter pleinement, lorsqu'il me touche je m'en rends compte. Je me dis que c'est trop beau pour être vrai. Josh et moi c'est... c'est tout ce dont j'ai toujours rêvé. Et il est là, il me caresse, me cajole et m'embrasse. Ses lèvres touchent ma joue alors qu'il est penché sur moi.
Je ne sais pas pourquoi il nous a arrêté ici, entre les deux escaliers. Il m'a soudain prise dans ses bras et parsème des baisers le long de mon visage.
Ça n'est que lorsqu'il atteint mes lèvres qu'il s'arrête. Il ne va pas ailleurs.
Josh m'embrasse amoureusement.
Nos lèvres se caressent, elles se touchent avec une affection pure et notre salive ne fait qu'une. Tandis que ses mains restent enroulées autour de ma taille, les miennes touchent son visage. Je le tiens. Les yeux clos, je maintiens sa tête dans mon emprise. Ça n'est pas assez pour rassasier ma faim de lui, mais je m'en contente largement.
Lorsque nous nous séparons et que nos fronts se touchent, je glousse malgré moi.
« Quoi ? » m'interroge Josh à bout de souffle.
Je pose mes mains sur son torse.
Embarrassée, je détourne le regard.
« Rien.. Je commence juste à regretter d'avoir dit oui à tes sœurs. »
Mon cœur me fait mal. Il bat trop vite. J'en ai la boule au ventre.
« C'est trop tard maintenant, si on change d'avis je crains que Hannah nous chasse. » plaisante-t-il.
« Tu penses ? »
« Ça serait pas la première fois. Tu te rappelles quand on s'est éclipsés à Halloween ? »
« Ne m'en parles pas ! C'est Sam qui a dû nous sortir de là.. »
Josh rit. Il me caresse le haut du crâne avant de se détacher de moi. Qu'il est beau... J'ai envie de l'embrasser. Je n'ai même plus envie de bouger.
Je suis bien là.
Parfaite.
« Josh, je— »
J'ai envie de lui dire que je l'aime. Cependant je n'ose pas, je me perds dans son regard et la splendeur de son regard m'ôte les mots de la bouche. Je m'accroche à lui. Je perds pieds.
« Tu regrettes totalement d'avoir dit oui. » me taquine-t-il.
J'étouffe. Il fait chaud.
Pourtant mon corps est gelé.
« Tais toi.. » je marmonne.
« Avoue le. »
Son sourire carnassier me rend faible. De la paume de ma main, je frappe son torse et le foudroie du regard. Qu'est-ce qu'il peut m'agacer... Quand il s'y met c'est presque impossible de l'arrêter.
« Tu m'aimes tellement tu peux pas passer cinq secondes sans me sauter dessus. »
« Ah ! Dis celui qui m'as embrassée. De nous deux c'est toi le pire. »
« Moi ? » s'offusque-t-il.
Je tire sur sa main et le force à avancer. Il me déstabilise, je peux même plus le regarder dans les yeux.
« C'est toi qui m'as supplié d'aller dans la chambre pour— aïe ! Me pince pas ! »
« Tais toi alors. » je réplique dans un rictus taquin.
« T'es violente quand t'es sexuellement frustrée ? C'est nouveau ça. »
Josh se rapproche de moi, je sursaute au contact de ses lèvres sur ma nuque. Il murmure ensuite au creux de mon oreille :
« On dirait que je vais devoir y remédier. »
« B—Bouge de là... »
J'essaie de me séparer de lui, c'est sans compter ma main dans la sienne. Elle nous relie. J'ai beau essayer de la reprendre, Josh me devance et s'en saisit. Il entremêle nos doigts et pouffe.
« Je t'ai vexée ? Roh, c'était pour rigoler. »
Nous continuons de nous chamailler même une fois arrivés auprès de Hannah et Beth, assises sur le canapé et fauteuil. Hannah nous salue, elle fait signe à sa sœur qui nous scrute. Je pousse Josh d'un coup de coude et le laisse agoniser en rejoignant les filles.
« Tout va bien ? » s'inquiète Beth.
« Bien sûr, pourquoi ça n'irait pas ! »
Entre deux gémissements de douleur Josh lève son pouce en l'air.
« Nickel-chrome. »
« Tu vois ? Nickel-chrome il a dit. » j'affirme.
Hannah pouffe.
« Vous êtes ingérables. » dit-elle.
« Aller, Joshua, tu fais attendre tes sœurs, on y va, on y va ! »
C'est avec toute la conviction du monde que je me saisis de son poignet et le tire. Josh se tient le ventre de son autre main, là où je l'ai gentiment frappé. Il ne se débat pas. Il me laisse l'installer sur le canapé, je pars ensuite nous prendre une petite couverture, sachant qu'il fait un froid hivernal dans le salon, et reviens auprès de lui afin de me blottir dans ses bras. Je saute presque. Ça n'est pas la nuit dont j'avais rêvé, l'idée de passée trois heures blottie dans les bras de Josh ne me déplaît pas pour autant, même si nous n'allons rien faire de concret. Mon copain me réceptionne, il passe ses bras autour de mon ventre et ne dit rien lorsque je pose la majorité de la couverture sur moi. J'ose même plier mes jambes et poser mes genoux sur ses cuisses.
« Vous êtes installés, c'est bon ? » demande Hannah, la télécommande en main.
« C'est parfait. » murmure Josh, complètement écrasé, mes bras autour de son cou.
« L'idiot.. » dit Beth en roulant des yeux.
Hannah clique sur un bouton et l'écran s'illumine, je retiens mon souffle.
Josh et ses sœurs semblent immédiatement pris par le film, tandis que moi, il faut d'abord que je m'habitue à cette scène. Pas seulement le salon, le chalet, mais les Washington et le simple fait que ce week-end me restera en mémoire pour les années à venir. Personne ne bouge. Je les regarde tour à tour. Lorsque vient celui de mon copain, je ne peux m'empêcher de fondre; mes lèvres se plissent et mon regard s'attendrit. Je caresse l'extrémité de sa mâchoire, le début de sa pilosité et colle ma tête à la sienne : la position est inconfortable, je ne vais pas tarder à gigoter pour m'allonger, mais pour le moment c'est exactement ce que je veux; être proche de Josh, alors ça me suffit.
Du coin de l'œil derrière l'une des fenêtres, j'apperçois quelque chose. Un mouvement.
« Mhh ? »
Je me redresse.
Qu'est-ce que c'était ?
« Mhh ? Quoi ? » s'inquiète Josh.
Il me rapproche de lui, la tête relevée.
« Hein ? »
« Qu'est-ce qu'il y a ? » il chuchote.
Je me rassois.
« Ça devait être mon imagination.. Désolée. » je murmure en retour.
Beth tapote l'accoudoir du canapé.
« Chuut ! »
Josh et moi nous regardons, j'esquisse un sourire amusé. Être grondés de la sorte est plutôt comique. Josh me serre contre lui, il me laisse le temps de bouger afin de me mettre plus à l'aise tout en reportant son attention sur l'écran de la télévision. N'ayant pas d'autre choix je fais de même. Je presse ma tête sur son épaule, enivrée par sa présence et observe la même chose que mes trois amis. De temps à autre Beth et Hannah font circuler leur bol de confiserie ⸺pop-corn au caramel et chips⸺, le film est parsemée de bruits de grignotages, de cris. Et même parfois de baisers. C'est parfait. Tout est parfait.
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nikarie5 · 1 year ago
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Chair de poule - snippet
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Rating: General audience but with warnings Trigger warnings: Walburga Black's A+ parenting, corporal punishment, book burning, bad French* (although less than expected because it was a very unproductive weekend and I didn't get my act together.) Description: A view into Sirius's childhood, and how Pascal Dumais ended up with multiple complete sets of R.L. Stine's Goosebumps series in his basement. Thanks to @lumosinlove, @noots-fic-fests, @hazelnoot-analyst for their excellent work, @1-800-shedevil for the fun line divider, and to R.L. Stine for giving me many nightmares (not that I ever read a full book, just the thought of the stories and YTV show gave me nightmares.)
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-Sirius. SIRIUS! Descend de là tout de suite. Tu étais censé commencer tes exercices il y a cinq minutes.
Sirius sort de sa chambre, tourne pour se présenter pour une rapide fesser (peut-être il pourra ainsi éviter une punition plus sévère), puis se dirige vers le foyer ou se rangent tous les patins. Il avait oublié que son père n’avait pas un match ce soir, et sa mère était toujours plus stricte et attentif quand son père était là. Se peut-il que son père entrerait assez tôt pour observer un peu de son entrainement? Sirius savait qu’il était toujours un petit peu trop lent, qu’il n’avait pas réussi à surpasser les objectifs fixés par Orion pour le mois peu importe qu’il ait fait des intervalles pour une heure chaque soir sur la patinoire dans la cour, même après les entrainements avec son équipe les lundis et mercredis. Devrait-il tenter de changer l’objectif pour démontrer son contrôle de la rondelle? Il a beaucoup amélioré sa technique depuis la dernière fois que son père l’ait vu. Mais, en ce faisant, il sera peut-être puni pour avoir l’audace de changer le régime qu’Orion lui avait dicté. Non, mieux qu’il se prépare pour une double session sur la patinoire avec son père. Sa collation n’était qu’une banane, s’il vomisse, ce ne serai pas trop dégoutant. De toute manière, s’il ne se gave pas à diner, son père ne croira pas qu’il s’est efforcer jusqu’au bout. Ce soir, il n’ira pas au lit affamé. Perdu dans ses calculs, il commence ses étirements puis se lance dans sa routine. --
He was right, he was in for a double session on the ice, and then a lecture after supper to boot, since he both failed to meet his father's speed goals and missed the net with one of his slapshots. What he hadn't expected was for Walburga to then bring Regulus into the room, carrying his stack of Chair de Poule novels. He had convinced his parents to buy him the series and each new novel, because it was what most of his team was reading on the bus, and it was important to fit in with the team. He had been passing them on to Regulus after reading each one and they would read them together on the few nights that they could sneak into each others' rooms - usually when Walburga and Orion had a team event.
Walburga showed Orion how she had been tracking the boys' practices and progress, and more importantly, how they had been lacking in discipline and failed to follow his set training regime. She claimed that these books were a distraction, were the reason the boys had failed to meet Orion's expectations. She had seen both boys reading on multiple occasions over the past two weeks, when they should have been studying the plays Orion had designed for them to practice. Sirius had been late - late! - to start his practice sessions twice - twice! - in the past month, because he was holed up in his room reading.
Orion looked very disappointed as he ordered both boys to lower their pants and bend over. He reviewed the boys' lap times, and told Sirius that he would remove his signet and Cup rings this time, since Sirius had gotten faster, albeit if not fast enough. Afterwards, he lectured the boys about the need for drive and discipline if they wanted to make it into the NHL and win Stanley Cups for Slytherin. Distractions would derail their career before it ever began. Distractions must be eliminated. Their team mates would respect them more for their dedication to the game if they studied playbooks on the bus. He and Walburga then ordered the boys to feed the books into the fireplace, one by one, until they were all reduced to ash. It took over an hour to burn the 60 books they had - nearly the full collection. Sirius blamed the smoke for the tears he and Regulus were both blinking away.
-- « Sirius, tu as un livraison », cria Celeste Dumais quand elle entenda Pascal et Sirius sortant du garage. «C'était un peu lourd, et je ne voulais pas descendre les escaliers avec un tel poids...» --
Celeste and Pascal were expecting their third child, and Sirius didn't want her attempting the basement stairs with a heavy package either. He hadn't been around many pregnant people, but even he knew lifting wasn't what they should be doing.
He hefted the box, and brought it down stairs. Pascal watched with a raised eyebrow but made no comments as Sirius started unpacking a complete set of Chair de poule books.
Pascal's eyebrows raised further when Sirius ordered, and unpacked, the exact same series three months later.
He figured it was a Black secret that Sirius would eventually unburden himself of when over the course of the next three years, Sirius bought more than thirteen complete sets of the series. He thought he had it nearly figured out - as far as he could tell, Sirius ordered a new set around the time he reached a point milestone, or if he broke his own scoring record within a season.
When Sirius moved out, he only took one set of the books with him, and asked Pascal to give a set to each of his children, and donate the rest. Pascal did that, but also left a set on the basement shelves. He would often find Logan reading one of those spare copies in the quiet hours of the morning, or at night when he was still too keyed up after a game to sleep but none of the Dumais kids were awake to be read to. In fact, he himself had started grabbing one or two of them when he was still keyed up after a game but Celeste and the kids were in bed. Adele had outgrown them, and never really liked that brand of horror anyway, but she had loved snuggling into Sirius when he started reading aloud. She had recently sent her complete set back to the basement because she had run out of space on her bedroom bookshelves. Marc and Louis were about the age to find them the right amount of frightening, and Katie was into anything that would get her snuggle time with Logan, so they were still getting lots of use.
He hoped that whoever next billeted in the basement would be able to carry on the tradition with the kids' horror books. He didn't expect Regulus to tear up when he saw the complete set on the bookshelf in the basement bedroom when Pascal gave Regulus a tour. He certainly hadn't expected it to be the deciding factor when Regulus was hesitant about moving into the basement. Maybe one day Regulus would explain the attachment the Black brothers held for these books? Although, given how attached the two brothers were to just these books, and what he knew about their childhood, maybe he didn't want to know.
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swedesinstockholm · 3 months ago
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25 juillet
seule au tempelhofer feld au lieu d'être à la soirée flirt speed dating, j'avais peur que tout le monde ait 22 ans et que je me sente à la ramasse comme hier soir. plus ça va et plus j'envie intensément les couples en couple depuis longtemps qui vivent ensemble dans des apparts bien décorés avec leurs chiens et leurs collections de vinyles et qui partent en vacances ensemble dans des jolies chambres d'hôtel et font de la rando dans la montagne et aussi des road trips et ils ont pas besoin de se sentir coupables parce qu'ils sont pas allés à une soirée speed dating dans un bar queer de neukölln.
j'ai envoyé mon dossier pour le open call cet après-midi, ça m'a pris la moitié de la journée parce que j'ai hésité pendant trois heures avec ce truc de synthé, finalement j'ai laissé tomber parce que je me suis dit que ça me stresserait trop, trop d'incertitudes. ça me laisse un petit goût de regret dans la bouche mais ça m'empêche pas d'essayer ailleurs, dans une soirée open mic par exemple, y a moins d'enjeux et c'est pas grave si ça merde parce que je suis pas payée. c'est peut être plus prudent de débuter comme ça. surtout que j'ai toujours pas de synthé. j'ai passé le reste de la journée à bidouiller des trucs sur garageband au lieu de travailler sur mon livre. je m'en fous d'être une ermite maintenant, d. aussi est un ermite, on passe nos journées à l'appart mais on se voit pas parce qu'on est chacun dans notre chambre. quand je vois personne de la journée je me persuade qu'on m'en veut. par exemple ça fait deux jours que je suis persuadée que n. m'en veut parce qu'elle a dit que la cuisine était sale alors que c'est mon tour de faire le ménage mais comme je l'ai fait sur plusieurs jours entre-temps elle a eu le temps de se resalir. ça me stresse des trucs comme ça parce que j'ai une responsabilité envers les autres et dès que j'ai une responsabilité j'ai peur de mal faire et qu'on m'en veuille. toujours toujours peur qu'on m'en veuille. et puis d'abord je suis pas une ermite puisque je sors tous les soirs.
27 juillet
j'aime bien n'avoir aucun problème de sommeil ici. je viens encore de me lever à onze heures et j'ai aucun mal à m'endormir le soir et je me réveille pas la nuit ni à l'aube, sauf quand quelqu'un est en train d'avoir un orgasme. n. m'a dit que la catalan avait mis quatre jours avant de lui écrire et que son message était tellement sans intérêt qu'elle lui avait même pas répondu. dimanche soir quand on est rentrés du lac elle était d'une humeur massacrante parce qu'elle attendait qu'il lui écrive alors que moi dans ma tête après avoir couché ensemble ils avaient passé la journée ensemble à apprendre à se connaitre en se promenant dans un parc en rigolant beaucoup et puis il l'avait invité à passer la nuit chez lui parce qu'ils voulaient plus se quitter et il lui avait préparé à manger comme dans un téléfilm de tf1 parce que je vis dans ce monde-là moi.
hier soir au lieu d'aller à la dyke march je suis allée voir la soirée de performances de son école de théâtre et dès la première perf quand ils ont chanté hakuna matata déguisés en lions en poussant des cris aigus je me suis dit que la soirée allait être longue. au moins ça m'a donné un élan de motivation pour faire mon show. en comparant ce qu'ils faisaient avec toutes mes petites expériences de scène accumulées au fil des années je me suis sentie totalement légitime. y a eu beaucoup de numéros de chant de gens qui chantaient pas très bien et je trouvais ça trop touchant, j'avais la chair de poule à chaque fois, mais j'ai aussi la chair de poule quand je regarde the voice. ça me bouleverse d'entendre des gens chanter, même mal. je mourrais d'envie d'être à leur place.
une fille a lu un texte archi cringe sur son copain qu'elle aime d'amour mais quand j'ai appris qu'elle avait 18 ans je me suis excusée mentalement de l'avoir jugée. elle m'a dit i don't wanna brag but my boyfriend is kind of a rockstar and he writes songs about me and i write poems about him and for our birthdays we write songs and poems to each other ahhh. elle me faisait penser à une fille bizarre de ma classe que tout le monde détestait et puis un jour elle a fugué et on l'a plus jamais revue. elle disait que le cou des filles la rendaient folle, esthétiquement parlant, et que chez les garçons c'était la nuque, et puis elle a dit "bi, point d'interrogation?" tout ça d'une traite. ça m'a fait penser à moi à 18 ans quand je disais que ma partie préférée du corps des garçons c'était les omoplates et ma partie préférée du corps des filles c'était la clavicule, sans me douter une seconde que je pouvais être bi. (toujours fan des omoplates par contre) à 18 ans j'ai dit à pit que je l'aimais par sms juste avant les grandes vacances et puis j'ai pleuré pendant des jours jusqu'à ce que je parte faire mon stage au festival d'avignon où j'ai découvert le Monde des Artistes. ça fait pile quinze ans cet été! j'ai envie de lui écrire pour lui dire que je suis à berlin, peut être qu'il fait toujours de la musique et qu'il me mènera à des musiciens intéressants.
un type m'a reconnue de l'année dernière mais moi je me rappelais pas de lui et j'ai l'impression d'avoir été particulièrement pas sympa en le disant. comme si j'avais oublié d'utiliser le filtre "être sympa" en lui parlant. c'est pas un gros symptôme de l'autisme ça? en chemin je suis passée devant un endroit de thérapie corporelle/danse qui avait l'air bien mais en allant voir sur le site j'ai vu que c'était 105 euros la séance d'une heure, ou la moitié du prix d'un microkorg d'occasion. comme avec deux séances j'irai pas loin, mieux vaut acheter le microkorg et rester traumatisée. j'en ai parlé à n. et elle m'a dit qu'y avait des jeunes diplômé.es qui proposent des séances pas chères pour s'entrainer mais ça me fait un peu peur, vue l'épaisseur de mon dossier. je lui ai dit i have ptsd when i have to have fun. j'adore cette phrase, elle est trop hardcore. au moment où je l'ai dit on a croisé deux filles blondes à qui elle a dit bonjour ou au revoir je sais pas et donc ça a coupé la discussion en deux et c'était encore plus pathétique. c'est même pas tant have fun que let go en fait, parce que je peux très bien m'amuser en chantant toute seule dans ma chambre par exemple. c'est une histoire de contrôle. après avoir mangé notre sandwich au halloumi elle est retournée à l'école pour la fête et moi je suis rentrée pour aller regarder le replay de la cérémonie des jo. en chemin je me suis arrêtée pour prendre en photo un vieux bar berlinois authentique qui passait les jo sur une télé à l'intérieur et un vieux monsieur aux longs cheveux blancs s'est arrêté pour me laisser prendre ma photo, moi la touriste insupportable, alors je lui ai fait un grand sourire en lui faisant signe qu'il pouvait passer et il s'est dépêché de rentrer et c'était mon interaction préférée de la journée.
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hazelandglasz · 4 months ago
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La flamme olympique qui s'envole et CélineTM qui chante l'Hymne a l'amour
J'avoue
J'ai la chair de poule
J'avoue !
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yenasmatik · 2 months ago
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Second contact
Naruto - Lee & Gaara (almost shippy if you squint) Prompt: Hug ask game, Câlin Réconfortant (comforting hug) Takes place after the Lee&Gaara vs Kimimaro fight Content warnings: Gaara's general personality and trauma?
[in French]
Quand ils arrivent devant les portes de Konoha, la tête de Lee a roulé contre l'épaule de Gaara. Il titube plus qu'il ne marche, mais son bras reste ferme. Sa respiration est lente, bruyante, et son souffle brûle la peau presque à nu de Gaara.
"Lee. Nous sommes arrivés."
Lee redresse brusquement la tête, et ses cheveux tracent une ligne de frissons contre l'armure fine comme du papier sur la joue de Gaara.
"Ah !" Il penche la tête, se contorsionne pour… observer l'état de son corps ? "J'ai rouvert deux soutures, Tsunade-sama va être fâchée…"
Gaara cligne des yeux. Tsunade - la nouvelle Hokage, d'après les explications de Temari. Une kunoichi célèbre pour ses exploits pendant la guerre. Gaara avait l'impression que Konoha traitait ses ninja comme de petites… choses…. précieuses ? Mais le Hokage précédent avait fait un discours sur la violence de l'examen (comme si Konoha, grand vainqueur de la dernière guerre, pouvait comprendre la violence de ses guerres par proxy). Peut-être que le chef du village se charge de distribuer les punitions aux soldats qui n'obéissent pas assez aux ordres ?
Lee a dit qu'il n'en voulait pas aux autres pour… pour… Mais il en veut sûrement à Gaara. Pour.
Il a laissé Gaara l'aider, laissé Gaara l'accompagner, laissé Gaara le porter. (Laissé Gaara le toucher. Il devrait pourtant savoir, connaître chaque raison de rester loin, loin d'un monstre comme…)
Lee a désobéi à la nouvelle Hokage. Elle lui avait donné des ordres spécifiques, et elle sera furieuse de son manque de contrôle. Dans son état, quelles sont les chances de Lee de survivre à un chuunin missionné pour l'assassiner ? Un jounin ? Un anbu ?
Quelque chose gronde entre les côtes de Gaara. (Lee l'a laissé le toucher. Lee, un être humain, une personne en chair et en os, qui lui a fait face et l'a blessé le premier, qui a échappé au sable de mè…. de Shuukaku, s'est reposé contre son flanc, agrippé à son épaule. Et l'a touché, sans frémir. Pendant deux heures.)
La voix de Temari résonne à ses oreilles. Il ne doit pas attaquer Konoha. Ne doit surtout, surtout pas nuire à la diplomatie entre son village et le leur. C'est sa grande sœur qui le lui demande.
Gaara cligne des yeux. Sa vue est étrangement trouble, tout à coup. (Lee l'a laissé le toucher.)
Il pousse lentement Lee sur ses jambes, l'aide à se tenir droit. Temari ne lui a pas demandé de ne pas aider Lee à garder l'air puissant et dangereux.
Il laisse le bras de Lee autour de ses épaules pendant quelques secondes de plus, et pose sa main libre quelque part (clavicule, un pouls qui palpite dangereusement vite sous ses doigts) sur du spandex vert. Lee le regarde avec une mimique confuse.
Gaara force ses paupières à rester ouvertes, laisse le sable absorber l'humidité qui obstrue sa perception.
"Si la Hokage a investi les ressources pour ta guérison, tu as de la valeur pour le village. Dans la situation actuelle, elle n'aura pas de jounin ou d'anbu à envoyer te trouver. Sois vigilant. Tu étais plus fort quand tu m'as combattu."
Cette fois, c'est Lee qui cligne des yeux. Il ressemble à un chameau, placide et inconscient. Kankurou s'est fait mordre les doigt par un chameau, un jour où il s'intéressait plus à sa conversation avec une camarade de l'école des marionnettes qu'à l'animal qu'il était censé harnacher. Gaara observe Lee, et se demande s'il aura suffisamment d'instinct de survie pour mordre le compatriote que la Hokage lui enverra.
Lee fronce les sourcils. Puis il sourit.
Son bras appuie sur l'épaule de Gaara, et le peu de sable qui lui reste suffit tout juste à l'empêcher de basculer vers l'avant. Il se heurte quand même au torse de Lee, qui a fait un pas pour se coller à lui, passer un bras autour de son corps, la main vers sa colonne vertébrale…
"Merci Gaara-kun."
Gaara s'immobilise, pétrifié, certain, pendant une seconde, que le sable est en train de former un cercueil autour de lui-même.
"Ne t'inquiète pas, je vais courir jusqu'à l’hôpital et suivre toutes les recommendations des infirmières ! Et je n'abandonnerai pas mon entraînement pendant ma convalescence !"
Lee se détache de lui, et Gaara prend une longue inspiration. Il regarde les portes s'ouvrir, les gardes l'observer avec (répulsion terreur dégoût) méfiance, et Lee trotter à l'intérieur, en ne trébuchant qu'une fois.
Les portes se referment. La coquille qui comprime sa poitrine se relâche, lentement, centimètre par centimètre.
Quand les portes se rouvrent pour laisser sortir Kankuro, il se laisse appeler, entraîner à l'intérieur, et ignore les regards inquiets de son frère. Il n'est pas blessé. Juste vidé de la majeure partie de ses réserves. (La deuxième partie est transmise par les signaux que Baki-sensei leur avait fait apprendre pour leur… mission précédente. Père n'est plus là pour commanditer, mais Konoha a une nouvelle Hokage, et elle est déjà mécontente d'un de ses propres ex-candidats à l'examen.)
Il remarque à peine les regards hostiles des villageois. Quand il bouge, il sent le fantôme de Lee contre son thorax, son épaule et le creux de ses reins.
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les-portes-du-sud · 9 months ago
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J'ouvrirai le sixième océan
Et je le remplirai de Toi...
Dans le coin tranquille des mains chaudes,
Là où les vagues n'ont pas sonné depuis longtemps...
Je te serre dans mes bras en fermant les yeux,
Sur les vagues de tes cheveux...
Mon Flying Dutchman est tombé
Et tout mon corps s'est rapproché de Toi...
Cela vous entraînera dans la tempête jusqu'à ce que vous ayez la chair de poule,
Jusqu'à la dernière vertèbre...
Tant d'années sur tes lèvres,
Avez-vous ressenti de la mélancolie ?
Combien de tendresse ai-je accumulé ?
Combien de temps as-tu perdu ?
Mais avec d'autres comme ça, de l'épaule
N'a pas rempli les océans...
Vladimir Tok
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secretsdeblackthornhall · 1 year ago
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De Emma à Jem
Cher Jem,
Comme promis, voilà les dernières nouvelles concernant la Maison qui S’accrochait à sa Malédiction. Spoiler : je pense que nous allons encore avoir besoin de ton aide. (Demande à Kit ce qu’est un spoiler si tu ne connais pas le mot.)
Donc voilà où nous en sommes : nous avons rassemblé tous les objets – selon nous – qui sont liés à la malédiction. Nous les avons installés dans la salle à manger et avons allumé des bougies, mais il ne s’est rien passé. Julian a dit que c’était comme si nous essayions de faire passer une soirée romantique à ces objets. Je crois que nous avons été optimistes en imaginant que ça pouvait être aussi simple !
Ces dernières semaines, nous avons récupéré un certain nombre de livres qui expliquent comment rompre les malédictions. Nous avons aussi fait quelques recherches sur internet, mais je dois dire qu’on ne peut jamais être sûr que ce qu’on trouve « en ligne » est une vraie formule magique ou quelque chose en rapport avec je ne sais quel jeu. Julian, évidemment, avait déjà lu les livres et remarqué les similitudes de la plupart des sorts pour rompre les malédictions. Dans tous les cas, il faut réunir les objets maudits et allumer des chandelles de suif. Heureusement nous avons pu acheter des chandelles de suif au Marché Obscur, et nous les avons disposées en cercle autour des objets. Quand nous les avons allumées, ça avait l’air très mystérieux et occulte.
Nous avons associé plusieurs sorts en latin trouvés dans les livres pour essayer d’obtenir quelque chose qui nous convenait. L’idée, c’était « Nous demandons �� ce que la malédiction jetée sur ces objets soit rompue, au nom de l’Ange Raziel ». Nous avons fait de notre mieux pour avoir l’air important, comme si nous connaissions bien Raziel et allions le rejoindre au pub pour boire une pinte une fois que nous en aurions fini avec la malédiction.
Bon, je suis sûre que tu es horrifié par notre décision d’avoir entrepris ça nous même, et tu as raison, nous n’aurions pas dû, mais ça nous réjouissait tellement d’avoir tous les objets que nous avons pensé que nous pouvions au moins essayer. Après tout, ça ne pouvait pas faire tant de mal que ça ?
Eh bien si ! Beaucoup de mal ! Tout de suite un vent froid et humide s’est levé dans la salle à manger et a formé des cercles, éteignant la plupart des bougies. Je me suis mise à frissonner, non pas parce qu’il faisait froid (même s’il faisait effectivement très froid tout d’un coup), mais parce que j’avais la chair de poule. J’avais une horrible impression de noirceur envahissante, comme si ma vision devenait plus floue sur les côtés. Julian a commencé à feuilleter rapidement les livres, à la recherche d’un sort pour tout annuler.
Et puis, bien sûr, la boite à musique sur le buffet s’est mise à jouer toute seule. Et ce n’était pas du tout la mélodie qu’elle joue d’habitude, une valse de Strauss. C’était une autre mélodie, quelque chose de dissonant et criard (enfin, aussi criard que les tintements d’une boite à musique puissent être). Et elle était forte ! Bien plus forte que peut l’être n’importe quelle boite à musique, comme si le son était amplifié et propagé dans toute la pièce.
- Nooon.
Le mot avait été soufflé sévèrement, et j’ai senti une présence qui se glissait dans la pièce. Rupert, semi-transparent et le regard furieux. Il a passé une main lumineuse à travers les bougies pour en éteindre les flammes. Par l’Ange, le vent est retombé et l’air s’est réchauffé. Et j’ai senti que je pouvais de nouveau respirer. Julian et moi avons échangé un regard.
- Nephilim, a soufflé Rupert.
C’était certainement le plus que nous l’ayons entendu prononcer, en termes de vrais mots et phrases bien distincts. Je ne sais pas si c’était parce qu’il était en colère, ou parce que le sort pour rompre la malédiction avait eu un minuscule effet.
- Nephilim… ne jouez pas avec la magie. Tatiana joua avec la magie. Elle en fût… détruite.
Il était si irrité que les traits de son visage semblaient changer de forme. Ses yeux s’agrandissaient à tel point qu’il ressemblait à un personnage d’aminé. Les commissures de ses lèvres s’affaissaient.
- Cela ne vaut pas la peine de vous détruire, a-t-il soupiré. Trouvez une autre solution. Ou laissez-moi emprisonné.
Sur ces mots, il a disparu – il s’est envolé en plusieurs morceaux blanc argenté, comme des papiers qui volent dans le vent.
J’ai eu un frisson dans le dos. Rupert. Je crois que je le préférais quand il pouvait seulement déplacer des objets dans la poussière.
Bref, nous aurions besoin de ton aide. Peut-être nous faut-il un sorcier pour prononcer la bonne formule magique. Mais plus nous observons les objets que nous avons rassemblés, plus nous nous demandons si l’un d’entre eux n’est pas le bon. Il faut dire que nous avons suivi des indices douteux pour les trouver. Et nous avons tellement ennuyé Hypatia, Magnus et Ragnor que je ne pense pas que nous pourrions encaisser que l’un d’entre eux arrive pour nous dire que le problème vient des objets.
Du coup… est-ce que toi et Tessa accepteriez de venir nous rendre visite et jeter un œil à la question ? Peut-être que vous pourrez nous en apprendre plus sur les objets puisque vous en avez reconnus certains. Et avec un ex-Frère Silencieux et une sorcière, je suis sûre que nous aurons assez de sagesse magique pour comprendre ce que nous devrions faire. Nous aimerions bien vous voir tous les quatre, à vrai dire, si vous avez envie d’en faire une sortie en famille. Nous pourrons surveiller Mina pour vous ! Il y aura des scones ! Et maintenant que les elfes ont enlevé toutes les berces qui envahissaient les jardins, ils sont très jolis ! Agréables pour se promener, ou si Kit est d’humeur adolescente à ruminer, ils sont bien aussi pour ruminer. Est-ce que j’ai parlé des scones ?
Je vous embrasse,
Emma
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/690130561075986432/emma-to-jem
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