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Rentrée télé automne 2023: 10 émissions québécoises à ne pas manquer
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#actualités#émission de télévision#émissions québécoises#Canal Vie#Chanteurs masqués#culture#ICI Radio-Canada#Je viens vers toi#La cuisine d&039;Isabelle et Ricardo#La guerre des fans#les zackardises#Les Zacktualités#Plus ou moins misérable#Révolution#rentrée télé#rentrée télé automne#rentrée télé automne 2023#Taxi payant : L&039;escouade#Télé-Québec#Télévision#Tout pour vendre#TVA#zachary barde
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Venice, Italy
#photography#analog#photographers on tumblr#la vie en rose#original photographers#analog photography#photooftheday#la vie est belle#original photography blog#photography on tumblr#la vie boheme#la vita è bella#la dolce vita#indie#retro#girly#vintage#bohemian#boho#bohostyle#bohochic#aesthetic#italy#italia#venice#venezia#veneto#october#canal#autumn
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Le corps sans vie d’un homme retrouvé ce matin dans le canal à Péruwelz - L'Avenir
Source: lavenir.net
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Il y a l'intégralité des films Harry Potter sur la plateforme MAX mais j'avais la flemme de payer un abonnement donc j'étais triste SAUF QUE retournement de situation il se trouve que j'ai accès à cette plateforme grâce aux codes Canal+ que je parasite à une amie du coup ma vie a de nouveau du sens
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Les Fléaux - Moldu·e·s contaminé·e·s
CONTAMINATION ‧₊˚ Tant à Elysium qu’à Neferis, l’explosion survenue à la frontière entre les territoires moldu et magique a disséminé une pluie invisible de particules de pouvoirs, déviant la destinée de certain·e·s non mages en leur offrant des capacités hors-normes. La contamination est non héréditaire et touche majoritairement les enfants né·e·s après la catastrophe, bien qu’elle se soit aussi manifestée chez quelques individus de la génération précédente. Si elle peut être vue comme bénéfique, cette mutation apporte son lot de souffrances.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Issues des créatures ayant subi des expériences, les particules portent les caractéristiques de leur ADN et offrent donc deux de leurs spécificités magiques aux personnes qu’elles colonisent. À titre d’exemples, des particules de Dreamsweaper transformeront le système du/de la contaminé·e de telle sorte qu’iel s’immiscera dans les rêves pour les muer en cauchemars, également capable d’invoquer mentalement les peurs les plus paralysantes de sa victime ; un Scurry quant à lui rendra la personne exposée apte à ralentir ou à accélérer le temps. Les expérimentations ont impacté des animaux fantastiques des deux mondes : ayant mis la main sur des Riftwanderers — créatures de légende voyageant entre les dimensions —, les trafiquants ont pu braconner secrètement plus d’une dimension, élargissant leurs recherches au-delà de leur Terre.
La contamination n’est pas sans impacts cruels. Les particules de magie torturées, arrachées à leurs hôtes d’origine, sillonnent le nouveau corps sans trouver le repos. L’incompatibilité les laisse sans arrêt à la limite du rejet, mais les autoriser à s’échapper condamnerait l’humain·e dont elles ont irrémédiablement souillé l’organisme. On détecte les moldu·e·s atteint·e·s grâce à un sortilège lancé contre les veines de leur poignet. Extrêmement douloureux, il diffuse dans le corps une lumière vive et brûlante, qui révèle les ombres dansant sous la peau. Plus ou moins nombreuses suivant l’âge auquel le·a malade a été atteint·e et repéré·e, elles sont immédiatement prises en charge afin de limiter les dégâts. La potion Shadowbane est administrée pour faire refluer les ombres et stabiliser les particules magiques. Le goût est d’une sucrosité écœurante qui laisse au bord de la nausée. Toléré·e par les un·e·s, indigeste pour les autres, elle est un soulagement ou une torture, si bien que certain·e·s repoussent désespérément les prises. Iels sont alors rongé·e·s par les ombres, qui deviennent visibles à l’œil nu, jusqu’à envahir leur regard et le rendre noir. Le suivi scrupuleux du traitement permet cependant de rendre la nouvelle condition supportable et de mener une vie décente.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Le métier de Traceur est né des suites de la catastrophe d'Elysium, métier consistant à retrouver les contaminé·e·s impactés par les particules magiques à l'aide d'une rune gravée sur leur peau, leur permettant ainsi d'identifier les auras : si un·e moldu·e sans pouvoirs est englobé·e d'une aura assez pâle, le·a traceur·se verra chez un·e personne touché·e par la mutation une aura bien plus sombre, comme marquée par les ombres courant sous sa peau. Les Tracé·e·s, comme on nomme les contaminé·e·s repéré·e·s, n’ont alors d’autre choix que de se laisser graver également dans la chair une marque symbolisant la rune Elhaz ᛉ. Synonyme de protection, de sécurité et de connexion, elle lie le·a Tracé·e au/à la Traceur·se l’ayant repéré·e et fait office de canal de communication : iel s’engage à dessiner du doigt ses lignes sombres pour appeler le·a Traceur·se à transplaner à ses côtés lorsque ses capacités magiques deviennent subitement incontrôlables. La marque est aussi liée aux protections du monde magique, permettant que les barrières s’écartent pour lui accorder l’accès au monde sorcier. Les contaminé·e·s peuvent donc circuler librement entre les mondes, mais nombre d’entre elleux se sentent épié·e·s — sous surveillance constante, forcé·e·s de subir des check up effectués par les oracles de terre, visant à mieux comprendre et soigner leur condition, et régulièrement sollicité·e·s à devenir des cobayes pour la recherche (médecins, médicomages, langues de plomb). Enfin, leurs propres réactions varient autant que celles des sorcier·e·s qui les voient intégrer leur monde ; c’est une bataille idéologique qui ne risque pas de s’apaiser de si tôt.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif
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Gibson and the Shivering Soldier
Chapter 3: Une Nouvelle Vie
By train, it was about three and a half hours from Weymouth to Woking, a town twice its size, not far outside London. Its approach on the morning of Wednesday, June 5 1940, was met by a small crowd of women, children, and elderly men, all waving and smiling in greeting, holding out bunches of flowers and bottles of beer to the returning heroes.
William stared at them through the window with a sort of numb disinterest, as if he were observing a party that had nothing to do with him.
He glanced across the creaky little table at Gibson, who was curled up in the opposite seat, his head resting against the window-frame. Almost as soon as he’d sat down, the Frenchman had passed out. The long week on the beach, and the gruelling six weeks of war that had preceded it, had left him exhausted both physically and mentally. As the train pulled into Woking Station, the jolt of the brakes and the metallic shriek of the wheels caused his eyelids to twitch, but failed to wake him from his deep sleep.
For a moment, William considered leaving him there. They were total strangers - William had no obligation to stick by him. But the sight of Gibson’s tired, haggard face made him stay. He didn’t like the thought of him waking up alone, confused, and frightened in a strange country.
“Hey.” Reaching out, William shook Gibson’s shoulder. “Wake up.”
Gibson startled awake. In the light of day, his eyes were green.
“We’ve arrived. Come on.”
Joining the slowly-moving multitude of soldiers, they shuffled off the crowded train and onto the platform. From there, they walked by the long queue of buses and taxes, whose drivers were holding out helpful signs declaring their destinations for the ease of the passing soldiers.
Keeping his hands hidden in his pockets, William started rambling to fill the awkward silence.
“Do you know where we are right now? We’re in Woking. That’s in Surrey. I live in Surrey.” He pointed northwards. “London is over that way. You can’t really see it from here, but trust me, it’s there. I have a little flat in a nice area, near a canal. You can come and stay with me for a few days, if you like. Only for a few days, though.”
He wasn’t sure why he offered Gibson his hospitality. Probably because he knew Gibson couldn’t understand a word he was saying, so he felt safe and comfortable making promises that he couldn’t keep, knowing he could change his mind without Gibson really knowing. If their relationship soured and he had to throw Gibson out on the street, Gibson would probably blame himself for his own lack of English-speaking skills, rather than blame William for being unreliable.
“You can talk now, you know. Speak as much French as you like. The cat’s out of the bag - you don’t have to pretend any more.”
Gibson simply looked at him, uncomprehending. William gave up.
They caught a bus to another suburb, and from there, walked to William’s flat. While Gibson hovered anxiously behind him, glancing up and down the street, William found the spare key under a flower-pot and unlocked the door. Upon opening it, he was immediately greeted by a small pile of unread letters. He scooped them up.
“Come on in.”
Gibson followed him inside. It was an ordinary, somewhat poky flat with one bedroom and one bathroom. The living room overlooked the street, while the kitchen (which contained a table and two chairs) overlooked a tiny garden that was all weeds and cracked concrete slabs. It had the comfortable but somewhat sparse furnishings of a man who was sensible but very much single. A man who knew how to cook and clean, but didn’t cook or clean for anyone but himself.
As he tossed the unopened letters on the dresser and hung up his jacket on the wall, William still felt the same sense of detachment, as if his mind and body were working independently of each other, and he was merely an observer to a scene over which he had no control.
“It’s not much, but it’ll have to do,” he said. “I don’t have a guest room, unfortunately, so you’ll have to sleep on the sofa. I used to live on the family estate, out in the countryside, but my parents and I...we’re not on the best of terms. Suffice to say I won’t be inheriting any land.”
He snorted with amusement at himself.
“I’m not sure why I told you that. Maybe it’s easier to confide in someone who doesn’t understand a word you’re saying. Anyway, this is my home, and now it’s yours too. For as long as you need it, I mean.”
Not saying a word, Gibson took off his grimy boots and set them aside, then hung up his jacket next to William’s. His thick khaki shirt was unbuttoned, showing the sleeveless white shirt underneath, grubby with sweat and dirt. Standing in an enclosed room, William noticed for the first time that Gibson smelled. The aura of petrol and the sea and a week’s worth of missed baths hung about him.
“The bathroom’s that way, through my room,” said William, “Run yourself a bath. Understand, ‘bath’? I’ll have mine afterwards.”
He went into the kitchen, checking that the taps and gas stove still worked. But Gibson followed him nervously.
“Can you understand anything I’m saying? Anything at all?” William sighed. “Listen, you’re not sleeping on my furniture until you’ve washed. Go and clean yourself up. This way.”
He ushered Gibson through the bedroom and into the bathroom. Along the way, he grabbed a pair of pyjamas from the wardrobe and thrust them into Gibson’s arms, along with a towel from the cupboard. He started running a bath.
“There. Try not to use too much water. In the meantime, I’ll fix us something to eat.”
But Gibson hung back, hugging the folded pyjamas and towel to his chest. He was trying not to look at the running taps. Realising the problem, William quickly turned off the flow.
“You don’t want to sit in it? That’s alright. Here.” He placed a sponge on the rim of the bathtub. “Use that. Then you can just stand in the tub.”
Leaving him to it, William returned to the kitchen. He rummaged through the cupboards, taking stock of what tinned fish and canned soups he had.
“Two mouths to feed now,” he muttered.
Turning on the stove, he poured a can of baked beans into a saucepan and let it simmer. He opened a block of processed pork, cut it up, and began frying the slices, filling the flat with the tantalising smell of browning meat. He tried not to listen to the gentle splashes of Gibson washing himself.
In a strange way, he felt responsible for Gibson. He wasn’t sure why - perhaps it was their difference in rank that evoked a sense of duty. William was a commissioned officer. Gibson was just some poor conscript who’d never expected to pick up a rifle in his life, let alone fire it. He and William had lived through the same utter hell at Dunkirk, but they’d arrived there very differently.
The pork was starting to turn crispy at the corners. William nudged them with his spatula. Without warning, an image flashed through his mind. The sinking Destroyer. The soldiers jumping off and swimming for their lives. The oil slick darkening the waves. The sea bursting into flames, burning the swimmers with it. He squeezed his eyes shut, and took a deep breath. He tried to still his hands. His appetite had fled.
Gibson ventured into the kitchen, wearing the pyjamas. His dark curls were damp and flat. He looked clean. William set a plate of food on the table.
“There. It’s the best I could do. I’ll go shopping for fresh food tomorrow. Hopefully not everything’s been rationed yet.”
Gibson looked around for a second plate, confused.
“Oh, don’t worry. I’m not hungry,” said William. “You go ahead and eat. I’ll take a minute to myself.”
“Merci,” said Gibson. His voice was soft and gentle.
“Don’t mention it.”
While Gibson ate, William had a brisk bath and a change of clothes. He put on a button-down shirt and a knitted vest, then a cardigan. He looked at his reflection in the mirror - every inch an ordinary civilian - and didn’t recognise it. Surely this man wasn’t the same one who’d been terrified and shivering on the Moonstone? The same one who’d accidentally pushed a teenage boy to his death down some stairs?
He emerged from the bedroom to see Gibson standing in the living room, peeping through the net curtains at the street outside.
“Everything alright?” he asked.
Startled, Gibson let the curtains fall back into place. He looked guilty, like a child who’d been caught snooping.
“Don’t worry,” said William, “You’ll be safe here.” He sat down on the sofa, and pulled out a pack of cigarettes and a lighter. “Want one?”
Gibson nodded, and sat beside him. He placed the offered cigarette between his lips, and leaned closer so that William could light it. William’s gaze shifted from the flame to the face behind it - to the green eyes and sculpted features. The Frenchman was handsome.
The two men shifted apart, and sat smoking at opposite ends of the sofa.
“I’ve forgotten my manners,” William sighed, “We’ve known each other for a whole day and I haven’t even introduced myself. Forgive me. My name is William.”
Gibson looked at him blankly. He’d said too many words, too quickly - they’d all blurred together in Gibson’s ears.
“William,” the officer repeated slowly and clearly, tapping his chest with a finger. “William.”
Gibson brightened.
“Guillaume!” he echoed.
“Yes. Yes, that’s right. Guillaume. What’s your real name? Jean? Pierre? Louis? Philippe?”
Gibson’s smile faded, perhaps wondering if William was mocking him somehow.
“Alright, then. I’ll keep calling you ‘Gibson’. Who’s waiting for you back in France? Wife? Kids? Mama and papa? Are they alive? Do you need to get back to them?”
Gibson said nothing. But his large eyes spoke of falling bombs and burning streets. A father found crushed in his armchair beneath the rubble of his living room, and a mother whose embrace he would never feel again.
William cleared his throat uncomfortably.
“What did you do back in France, anyway? Builder? Baker? Ballroom dancer?”
Gibson looked puzzled.
“I’m being selfish, I’m sorry. I know you can’t understand me, and I’m probably just confusing you even more. The thing is, I’d feel rude if I didn’t talk to you. It seems wrong to sit here in silence. You’re my guest, after all. What kind of host would I be…”
He trailed off. For a moment, the situation felt surreal. Barely a day ago, he’d been at Dunkirk. Now he was back in his flat, sharing a smoke and a one-sided conservation with a nameless Frenchman, a complete stranger who was living under his roof. He wondered if it was all a strange dream.
He stood up abruptly.
“I’ll let you rest,” he said.
He returned to the kitchen, seeking some mindless housework to distract himself, but found that Gibson had already cleared the table and washed up. He finished his cigarette while standing at the kitchen sink, staring out of the window at the out-of-control weeds. His hands were still trembling.
By the time he felt steady enough to show his face again, Gibson had already fallen asleep on the sofa. The few hours of sleep on the train hadn’t been enough - he was still exhausted from everything he’d been through. Dark eyelashes rested on his cheeks. William watching him for a moment, then went and fetched a spare blanket, and carefully covered him with it. Gibson twitched but didn’t wake.
Chapter 4: Mémoire
#dunkirk#dunkirk fanfic#gibson#the shivering soldier#aneurin barnard#cillian murphy#christopher nolan#whump fic#gay fic#TW drowning#TW ptsd#TW xenophobia
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˛ * 🌺 ainda me lembro das vezes que cruzei com vivienne richmond na kappa phi! ela era tão parecida com kristine froseth, mas, atualmente, aos 31 anos, me lembra muito mais victoria pedretti. fiquei sabendo que, depois de cursar letras, atualmente é criadora de conteúdo e dona de casa e que ainda é organizada e crítica. uma pena acabar encontrando ela assim… não é possível que esteja envolvida com o acidente de fiona e a morte de victor, certo?
aesthetic
olhos lacrimejantes. cronogramas de leitura. presentes feitos à mão. terço de pérolas brancas. lábios vermelhos por mordidas distraídas. hidratante com aroma de maracujá. véu preto. lírios brancos. livros da edith stein. frutas vermelhas.
headcannons
a filha mais nova de um jovem casal, cheios de paz&amor e irresponsabilidade. a avó materna praticamente tomou vivianne para si, já que os dois eram adeptos de uma linha de criação duvidosa: os irmãos mais velhos praticamente se criaram sozinhos, e pareciam ser mais colegas de quarto dos pais do que propriamente filhos. a avó não conseguia nem pensar em deixar sua única netinha com aqueles doidos. até hoje a mulher ainda guarda rancor dos progenitores por terem sido tão negligentes com ela e os irmãos.
vivienne dormia na casa dos pais, mas passava o dia com a avó e era sua fiel companhia para todos os lados: missa, reunião das vizinhas, reza do terço, sessões de costura e limpeza da casa. a sua fé e a habilidades manuais foram heranças diretas da avó. entrou no curso de letras na université de l'orangerie com uma bolsa de estudos e perdera a sua companheira alguns meses depois, integrar-se na kappa phi foi a melhor forma que encontrou de lidar com o luto. embora revirasse os olhos quando julgava as brincadeiras dos colegas, fora ali que seu espírito carente encontrara abrigo.
apesar de já ser chamada de santinha pelos colegas, a verdadeira conversão de vivienne só aconteceu após o fatídico acidente em 2015. depois de toda a confusão, acabou afastando-se mais dos amigos. vê-los constantemente fazia a mulher se recordar do pecado que cometera e até hoje não conseguia confessar em voz alta.
estudou literatura americana com muito afinco para virar youtuber e dona de casa, depois de casar-se com william, o médico americano do grupo de oração. ela queria mesmo era ter saído de Des Moines, mas seu esposo fora aceito em uma boa vaga no hospital universitário. por sentir-se muito solitária em casa, começou a registrar vídeos da rotina e dos cuidados com o lar em um canal chamado la vie de vivi, alcançando um número considerável de seguidores.
ficou tão boa na edição que os inscritos nem perceberam seus olhos inchados e a frieza do marido. vivienne imaginava que seria uma mãe jovial, com uma casa alegre e cheia de crianças. mas depois de duas perdas gestacionais, a esperança foi diminuindo e o seu companheiro ficava mais distante. a mulher compensava suas frustrações com os vídeos, atividades manuais e suas reuniões no núcleo feminino da igreja (aliás, ela ocupa o importante cargo de aconselhadora e é responsável pelo núcleo de São Miguel, o das jovens solteiras).
o casamento, cada vez mais tíbio, quase chegara ao fim quando a irmã de william deixou o sobrinho na casa dos richmond por algumas semanas. eles precisavam fazer uma viagem de negócios à paris e vivienne era muito boa com crianças. ela cuidou do garotinho com muito, muito amor! mas tanto amor que não queria devolvê-lo aos seus pais. seu marido ficara genuinamente assustado com os gritos e as lágrimas copiosas da mulher, ela implorava para que não deixassem levar o filhinho dela embora.
depois dessa crise, vivienne se comprometera a não faltar mais nas sessões online de terapia e william a diminuir os plantões. seria um ótimo início de um final feliz, se não fosse pela chegada da maldita carta.
la vie de vivi
Não mostra diretamente o seu rosto nos vídeos, nem o do marido. Os vlogs são registros artísticos do seus cuidados com a casa, receitas novas e seus hobbies manuais. Tem um espaço de membros onde compartilha conteúdos pagos sobre gestão do lar. (basicamente a hamimommy de des moines)
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Je me lève avec la ferme intention de faire l'ouverture du jardin botanique. J'y passe toute la matinée sans avoir pris de petit-déjeuner, et avec le visage gras. J'ai accueilli une brève pluie de grosses gouttes, on devait être au bord de l'orage.
Pour y aller depuis l'appartement, je longe le canal et je passe sous un pont métallique avec de gros rivets. Ça doit être très difficile d'enfoncer ces rivets. Je pense aux hommes du XVIIème siècle qui ont dû le faire - sans compter qu'ils ont creusé ce canal avant toute révolution industrielle.
Au point le plus haut du jardin, on peut voir l'Université de Médecine et une partie de la vieille ville. J'y vais rarement, car ce qui m'intéresse, ce sont plutôt les végétaux (je connais maintenant presque par cœur toute l'allée centrale et la principale perpendiculaire). Ce matin, je monte au point de vue. Il y a une centaine de marches pour atteindre le sommet. Mais ce qui m'intéresse, ce sont plutôt ces marches. Elles sont en pierre massive - typiques de la région. Je suis déjà essoufflée en les gravissant, je me demande comment j'aurais été en les soulevant. Encore une fois, je jouis de l'œuvre de personnes qui travaillent plus dur que moi.
Je passe une matinée à errer. C'est ma vie en ce moment. Avant ça, j'ai été secrétaire médicale, puis employée chez un opticien. Je n'ai jamais vidé les poubelles dans lesquelles je jette mes déchets. Je n'ai jamais fait chauffer les panini que je mange. Je n'ai jamais nettoyé les routes et trottoirs sur lesquels je circule. Je n'ai jamais évacué les corps de toutes les violences qui ont eu lieu ici. Je n'ai jamais vissé au sol le banc sur lequel je suis assise. J'ai une dette infinie envers les générations passées, et les travailleureuses actuel·les. Globalement, j'aurai traversé la vie en tant qu'utilisatrice.
Vers 14h, j'ai faim, je repasse sous le pont et rentre à l'appartement pour manger mon panino froid. Je fais un point sur l'argent. Il me reste 2 euros 26, en plus des 50€ de caution de la voiture de location. Sur mon compte, je ne sais pas. Je passe au Crédit Mutuel pour retirer mes derniers sous. Je demande au distributeur 100€, je n'ai pas assez. J'abaisse ma demande par tranche de 10€ et je parviens finalement à retirer 70€.
Je prends la carte d'identité que j'ai trouvée hier. J'apprends à épeler le prénom et le nom avec aisance : Clothilde avec un "H", Hernandez, sans acccent. Je m'entraîne à mentionner automatiquement la date et le lieu de naissance. Je range la carte et j'entre dans l'agence. Je demande à ouvrir un compte, ce qui se fait facilement. Dans un monde concurrentiel, on est arrangeant dans les procédures, du moment qu'on y voit un intérêt particulier.
Ce compte au Crédit Mutuel à mon nouveau nom. Je parviens ainsi à changer le nom de ma facture EDF, et ainsi avoir un puissant justificatif de domicile qui me permettra d'avoir une carte vitale et de trouver du travail si besoin. Une nouvelle vie, en somme.
Je passe le reste de l'après-midi au jardin botanique. Une vieille dame et trois enfants passent près de moi. Les enfants posent des questions auxquelles la dame ne sait pas répondre. Je propose de leur répondre. Les enfants apprécient les informations. La dame aussi. Je me fais offrir une crêpe et une discussion sur la botanique. Le jardin ferme rapidement ensuite, on passe en horaires hors-saison. Les enfants et la dame me remercient chaleureusement.
Cette crêpe constituait leur goûter, mais ce sera mon dîner. Je crois que j'ai trouvé une vocation.
Je repasse sous le pont avec l'idée d'avoir un rôle dans ce monde. Je ramasse quelques cartons dans la rue. Ce soir, je me confectionne un panneau : "Balade botanique guidée - Prix Libre". Je me couche tard. Pour ne pas penser à la faim, je regarde la peinture qui s'écaille au plafond. Je ferme les yeux en y projetant un archipel imaginaire.
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« Aujourd’hui, en 2024, c’est la même trahison des modérés. C’est Edouard Philippe qui appelle à voter pour un communiste ; Xavier Bertrand qui insulte les élus ou candidats RN, leur préférant l’extrême-gauche ; Gérard Larcher ou Bruno Retailleau qui refusent de prendre parti entre un RN et un LFI, tout comme Christian Estrosi ou Renaud Muselier, faisant au final le jeu des plus révolutionnaires. C’est toute la clique LR canal historique qui a exclu de faire reporter les voix de ses électeurs du premier tour sur les candidats nationaux, faisant élire l’extrême-gauche islamiste et antisémite, sans parler des bataillons des macronistes à l’image de Yaël Braun-Pivet qui s’est faite insulter pendant deux ans par les LFI, mais qui n’a pas pris position pour le RN en cas de duel entre eux. Alain de Benoist a très justement souligné dans un entretien pour Monde et Vie, que ce bal des hypocrites était favorisé par un système politique qui préférait « la coalition des perdants » aux vainqueurs du 1er tour. »
Michel Festivi in « Nouveau Présent »
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Si le collectif m'aide à écrire les textes, c'est parce qu'on a un devoir et un droit de mémoire....
Je ne suis pas née en France, ni à Marseille,... Donc j'aurais dû survivre...
Mais même moi, ils m'ont tuée puisque j'ai la carte d'identité française....
En tant que femme, je n'aurais pas dû survivre, donc ils m'ont tuée aussi...
Normalement, ils ont commencé à tuer tout le monde après 1991.... Surtout à Marseille....
En 2000, la NSA nous punit tous les marseillais d'avoir dit bombe le 31 décembre 1999...
Aussi, les conspirationnistes auraient suggéré qu'ils ont tué tous les canal+, surtout Antoine de caunes mon mauvais génie...
Donc en 2002, j'aurais dû être tranquille...
Mais ce con de Jospin se fait griller le cerveau par marie tartois en février ou mars 2002... Elle sait alors pour le pognon....
Donc en 2003, tartois se fait passer pour moi et vient s'installer à 500 mètres de notre appartement...
Comme elle est conne, elle a oublié de vérifier que la citadelle est un lieu pour la rééducation....
Elle se fait griller le cerveau par Caroline aigle et jean Luc bideau qui dit être dr tephene....
Donc l'armée française de dégueulasse et les comédiens dingues ont gâché la vie de toute la planète.... Et encore, ces cons croient dominer la planète....
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Rentrée automne 2023 de Canal Vie : Voici quand commencent vos émissions
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#automne 2023#automne 2023 Canal Vie#émission de télévision#Canal Vie#Canal Vie automne 2023#culture#les zackardises#rentrée#rentrée automne 2023 Canal Vie#rentrée Canal Vie#rentrée télé#rentrée télé automne 2023#Télévision#zachary barde
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Venice, Italy
#photography#analog#photographers on tumblr#la vie en rose#original photographers#analog photography#photooftheday#la vie est belle#original photography blog#photography on tumblr#la vita è bella#la vie boheme#la dolce vita#indie#retro#girly#vintage#bohochic#bohostyle#boho#bohemian#aesthetic#venice#italy#italia#january#architecture#italytravel#canals#venezia
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Macabre découverte à Viesville ce vendredi matin : le corps de Joseph Masquelier, 78 ans, disparu depuis ce jeudi à Courcelles, a été retrouvé dans le canal
https://www.sudinfo.be/id766018/article/2023-12-29/macabre-decouverte-viesville-ce-vendredi-matin-le-corps-de-joseph-masquelier-78
Source: sudinfo.be
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Sybilla
El Hilo Invisible The Invisible Thread
Luis Arias, Valerie Steele, Laura Cerrato et María Sybilla.
Ediciones El Viso, Madrid 2022, 160 pages, 215 illustrations, 22,5 x 25 cm, Couverture cartonnée, Édition bilingue en Espagnol et Français, ISBN 978-84-125528-0-5
euro 68,00
email if you want to buy [email protected]
Sybilla. El hilo invisible (Sybilla. Le fil invisible) est le catalogue de l’exposition homonyme qui a lieu à la salle Canal de Isabel II de Madrid, du 27 septembre 2022 au 15 janvier 2023.
Sybilla monte sur la scène de la mode espagnole en 1983. Dès lors, la critique, nationale et internationale, la reconnaît comme la meilleure créatrice espagnole depuis Cristóbal Balenciaga. Il peut paraître mal aisé de trouver un fil conducteur dans son travail vu dans son ensemble. Toutefois, ce fil existe et il est présent sous la forme de langages qui permettent à Sybilla de désorienter et qui confèrent en outre une cohérence à ses créations.
Cette exposition entend mettre en lumière ces langages articulés autour de ce fil invisible qui donne une cohérence à l’ensemble de son œuvre. Des langages qu’elle paraît tisser sans le savoir, parce que Sybilla met les mots de côté pour exprimer la Vie qui la traverse.
31/01/23
orders to: [email protected]
ordini a: [email protected]
twitter: @fashionbooksmi
instagram: fashionbooksmilano, designbooksmilano tumblr: fashionbooksmilano, designbooksmilano
#Sybilla#El Hilo Invisible#The Invisible Thread#fashion exhibition catalogue#Canal Isabel II Madrid 2022#mode espagnole#1983-2022#Javier Vallhonrat#Juan de la Fuente#fashion books#fashionbooksmilano
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J'espère que jui pas entrain dme faire un canal carpien, entre les stickers coupé au cutter, les heures sur le tel et les heures a ecrire et dessinee je sent que ma main zst au bout de sa vie
#j'arrive pas a trnir mon ptn de stylet ça apuis sur une zone du doigt qui fait des etincelles c'est trop chelou#journaliteuse#bref bon#c'est peut-être juste psychologique parce que je fais un cv et une elttre de motive un peu plus poussée et ça m'angoisse tellement
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What did our gorgeous city ever do to you?? I think someone may have fallen into the canal one too many times?
-@la-vie-en-romano
IT WAS TWICE!
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